La définition de Riz du dictionnaire français. Signification du mot et son éthymologie - De nombreux exemples d'usage en français ainsi que des citations.
Riz
Nature : s. m.
Prononciation : rî ; le z ne se prononce pas et ne se li
Etymologie : Provenç. ris ; esp. et portug. arroz ; ital. riso ; du lat. oryza ; grec ; persan, orz ; arabe, rozz, avec l'article, ar rozz, d'où l'espagnol et le portugais viennent directement. Le français et le provençal viennent de l'italien, qui lui-même s'est formé par une apocope qui lui est familière : l'oriso, d'où lo riso.
Notre dictionnaire de français vous présente les définitions de riz de manière précise, avec des exemples pertinents pour aider à comprendre la signification du mot.
Notre dictionnaire de définitions comprend des informations complémentaires telles que la nature du mot, sa prononciation, des exemples d'expressions, l'étymologie, les synonymes, les homonymes, les antonymes mais également les rimes et anagrammes. Quand la définition du mot s'y prête nous vous proposons des citations littéraires en rapport avec riz pour illustrer la compréhension du mot ou préciser le sens et de répondre à la question quelle est la signification de Riz ?
La définition de Riz
Plante céréale, cultivée dans les pays chauds (oryza sativa, L.)
Toutes les définitions de « riz »
Dictionnaire de l'Académie française, huitième édition
Céréale que l'on cultive dans les terres humides et marécageuses des pays chauds. Semer du riz. Cultiver du riz. Un champ de riz. Un grain de riz. Il se dit aussi du Grain farineux produit par cette plante. Du riz nouveau. Une poule au riz. Potage au riz. Crème de riz. Riz au lait. Riz au gras. Pain de riz. Gâteau de riz. Faire crever du riz. Un plat de riz. Eau de riz. Poudre de riz.
Littré
-
1Plante céréale, cultivée dans les pays chauds (oryza sativa, L.)
. La Chine, comme tous les pays où croît le riz, est sujette à des famines fréquentes
, Montesquieu, Esp. VIII, 21.Dans la plus grande partie de l'Asie, en Perse, en Arabie, en Égypte et de là jusqu'à la Chine, le riz fait la principale nourriture
, Buffon, Suppl. à l'hist. nat. ?uv. t. XI, p. 129.Les visages pâles et décharnés dans le Piémont attestent les cruels résultats de la culture du riz
, Genlis, Maison rust. t. III, p. 63. dans POUGENS. -
2Le grain de cette plante. Gâteau de riz. Faire crever du riz.
Ainsi fut adopté par la moitié du monde Le riz, fils de la terre et nourrisson de l'onde
, Delille, Trois règnes, VI.Faire du riz, faire cuire du riz, préparer un plat de riz.
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3Riz d'Allemagne, espèce du genre orge, hordeum zeocrithon, L. dite orge pyramidale ou à éventail.
Petit riz, riz du Pérou, noms vulgaires du chenopodium quinoa, plante cultivée au Pérou et au Chili pour ses semences alimentaires.
Riz sauvage, le zizania aquatica (graminées) qui croît à la Jamaïque et dans les États-Unis.
Sous le nom de riz sauvage on a désigné aussi l'orpin blanc (crassulacées), dit encore petite joubarbe.
- 4Grains de riz, points moins brillants qu'on observe sur les feuilles de saule (voy. SAULE), dans le disque du soleil.
SUPPLÉMENT AU DICTIONNAIRE
RIZ. Ajoutez?:Cette matière fragile, que nous nommons papier de riz?; ce papier est fabriqué avec la moelle de l'arbre à pain, ou bien avec celle d'une sorte de roseau, et le plus communément avec des tiges de jeunes bambous ramollies par un long séjour dans l'eau, puis broyées dans des mortiers de pierre, F. Chaulnes, Journ. offic. 16 fév. 1876, p. 1246, 1re col.
Encyclopédie, 1re édition
RIZ, s. m. (Hist. nat. Bot.) oriza ; genre de plante dont la fleur n'a point de pétales. Les semences sont un peu épaisses & ovoïdes ; elles naissent en épi, & elles sont renfermées dans une capsule qui est terminée par un filet. Tournefort. Inst. reih. Voyez Plante.
Comme c'est dans les lieux où le riz croît, que le soin des terres devient pour les hommes une immense manufacture, on doit me permettre d'entrer dans quelques détails sur ce sujet. D'ailleurs le riz demande une culture particuliere, & qui doit être d'autant mieux circonstanciée, qu'on veut en transmettre la pratique en des pays où il ne vient pas naturellement.
Cette plante pousse des tiges ou tuyaux de trois à quatre piés de hauteur, plus gros & plus fermes que ceux du blé, noués d'espace en espace ; ses feuilles sont longues, charnues, assez semblables à celles de la canne ou du poireau. Ses fleurs naissent à ses sommités, & ressemblent à celles de l'orge ; mais les graines qui les suivent, au lieu de former un épi, sont disposées en pannicules ou bouquets, enfermées dans une capsule jaunâtre, ou coque formée de deux balles rudes au toucher, & dont l'une se termine en un long filet : on sait que ses graines sont blanches & oblongues.
En général le riz se cultive dans les lieux humides & marécageux, & dans des pays chauds, du moins à en juger par les contrées où il est le plus en usage, & où il fait la principale nourriture des habitans. Tout le Levant, l'Egypte, l'Inde, la Chine, sont dans ce cas. Les états de l'Europe où l'on en recueille davantage, sont l'Espagne & l'Italie, & c'est de-là que nous vient presque tout le riz que l'on consomme en France. M. Barrere ayant fait beaucoup d'attention à la culture de cette plante, tant à Valence en Espagne, qu'en Catalogne & dans le Roussillon, a envoyé à l'académie royale des Sciences, en 1741, un mémoire dont voici la partie la plus essentielle.
Pour élever utilement le riz, & en multiplier le produit, on choisit un terrein bas, humide, un peu sablonneux, facile à dessécher, & où l'on puisse faire couler aisément l'eau. La terre où l'on le seme, doit être labourée une fois seulement dans le mois de Mars. Ensuite on la partage en plusieurs planches égales, ou carreaux, chacun de 15 à 20 pas de côté. Ces planches de terre sont séparées les unes des autres par des bordures en forme de banquettes, d'environ deux piés d'hauteur, sur environ un pié de largeur, pour y pouvoir marcher à sec en tout tems, pour faciliter l'écoulement de l'eau d'une planche de riz à l'autre, & pour l'y retenir à volonté sans qu'elle se répande. On aplanit aussi le terrein qui a été foui, de maniere qu'il soit de niveau, & que l'eau puisse s'y soutenir par-tout à la même hauteur.
La terre étant ainsi préparée, on y fait couler un pié, ou un demi-pié d'eau par-dessus, dès le commencement du mois d'Avril ; après quoi on y jette le riz de la maniere suivante. Il faut que les grains en aient été conservés dans leur balle ou enveloppe, & qu'ils aient trempé auparavant trois ou quatre jours dans l'eau, où on les tient dans un sac jusqu'à ce qu'ils soient gonflés, & qu'ils commencent à germer. Un homme, piés nus, jette ces grains sur les planches inondées d'eau, en suivant des alignemens à-peu-près semblables à ceux qu'on observe dans les sillons en semant le blé. Le riz ainsi gonflé, & toujours plus pesant que l'eau, s'y précipite, s'attache à la terre, & s'y enfonce même plus ou moins, selon qu'elle est plus ou moins délayée. Dans le royaume de Valence, c'est un homme à cheval qui ensemence le riz.
On doit toujours entretenir l'eau dans les champs ensemencés jusque vers la mi-Mai, où l'on a soin de la faire écouler. Cette condition est regardée comme indispensable pour donner au riz l'accroissement nécessaire, & pour le faire pousser avantageusement.
Au commencement du mois de Juin, on amene une seconde fois l'eau dans les rivieres, & l'on a coutume de l'en retirer vers la fin du même mois, pour sarcler les mauvaises herbes, sur-tout la prêle & une espece de souchet, qui naissent ordinairement parmi le riz, & qui l'empêchent de profiter.
Enfin on lui donne l'eau une troisieme fois, savoir vers la mi-Juillet, & il n'en doit plus manquer jusqu'à ce qu'il soit en bouquet, c'est-à-dire jusqu'au mois de Septembre. On fait alors écouler l'eau pour la derniere fois, & ce desséchement sert à faire agir le soleil d'une façon plus immédiate sur tous les sucs que l'eau a portés avec elle dans les rivieres, à faire grainer le riz, & à le couper enfin commodément, ce qui arrive vers la mi-Octobre, tems auquel le grain a acquis tout son complément.
On coupe ordinairement le riz avec la faucille à scier le blé, ou, comme on le pratique en Catalogne, avec une faux dont le tranchant est découpé en dents de scie fort déliés. On met le riz en gerbes, on le fait sécher, & après qu'il est sec, on le porte au moulin pour le dépouiller de sa balle.
Ces sortes de moulins ressemblent assez à ceux de la poudre à canon, excepté que la boëte ou chaussure du pilon y est différente. Ce sont pour l'ordinaire six grands mortiers, rangés en ligne droite, & dans chacun desquels tombe un pilon dont la tête, qui est garnie de fer, a la figure d'une pomme de pin, de demi-pié de long, & de 5 pouces de diametre, elle est tailladée tout au tour, comme un bâton à faire mousser le chocolat.
Nous ne nous arrêterons pas à décrire la force motrice qu'on y emploie, & qui peut différer selon la commodité des lieux. En Espagne & en Catalogne on se sert d'un cheval attaché à une grande roue, &c.
Le riz qu'on seme dans une terre salée, y pullule ordinairement beaucoup plus qu'en toute autre. On en retire jusqu'à 30 ou 40 pour un ; par conséquent, & toutes choses d'ailleurs égales, les côtes & les plages maritimes y seront les plus propres.
Après avoir décrit la maniere dont le riz se cultive en Europe, il faut indiquer celle des Chinois, qui qui est le peuple le plus industrieux à tirer parti du terrein, & celui chez lequel la plus grande sagacité des laboureurs se porte à la culture du riz : pour y réussir, ils commencent par fumer extraordinairement les terres, & n'en pas laisser un seul endroit sans rapport avantageux. Les Chinois sont bien éloignés d'occuper la terre superflue en objets agréables, comme à former des parterres, à cultiver des fleurs passageres, à dresser des allées, & à planter des avenues d'arbres sans rapport ; ils croient qu'il est du bien public, &, ce qui les touche encore plus, de leur intérêt particulier, que la terre produise des choses utiles. Aussi toutes leurs plaines sont cultivées, & en plusieurs endroits elles donnent deux fois l'an. Les provinces du midi sont celles qui produisent le plus de riz, parce que les terres sont basses & le pays aquatique.
Les Laboureurs jettent d'abord les grains sans ordre ; ensuite quand l'herbe a poussé à la hauteur d'un pié ou d'un pié & demi, ils l'arrachent avec sa racine, & ils en font de petits bouquets ou gerbes qu'ils plantent au cordeau ou en échiquier, afin que les épis appuyés les uns sur les autres, se soutiennent aisément en l'air, & soient plus en état de résister à la violence des vents.
Quoiqu'il y ait dans quelques provinces des montagnes désertes, les vallons qui les séparent en mille endroits, sont couvertes du plus beau riz. L'industrie chinoise a sçu applanir entre ces montagnes tout le terrein inégal qui est capable de culture. Pour cet effet, ils divisent comme en parterres, le terrein qui est de même niveau, & disposent par étages en forme d'amphitéâtre, celui qui suivant le penchant des vallons, a des hauts & des bas. Comme le riz ne peut se passer d'eau, ils pratiquent par-tout de distance en distance, & à différentes élévations, de grands réservoirs pour ramasser l'eau de pluie, & celle qui coule des montagnes, afin de la distribuer également dans tous leurs parterres de riz. C'est à quoi ils ne plaignent ni soins, ni fatigues, soit en laissant couler l'eau par sa pente naturelle des réservoirs supérieurs dans les parterres les plus bas, soit en la faisant monter des réservoirs inférieurs & d'étage en étage, jusqu'aux parterres les plus élevés.
Ils inondent les campagnes de riz, de l'eau des canaux qui les environnent, en employant certaines machines semblables aux chapelets dont on se sert en Europe pour dessécher les marais, & pour vuider les bâtardeaux. Ensuite ils donnent à cette terre trois ou quatre labours consécutifs. Quand le riz commence à paroître, ils arrachent les mauvaises herbes qui seroient capables de l'étouffer. C'est ainsi qu'ils font d'abondantes récoltes. Après avoir cueilli leur riz, ils le font cuire légérement dans l'eau avec sa peau ; ensuite ils le sechent au soleil, & le pilent à plusieurs reprises. Quand on a pilé le riz pour la premiere fois, il se dégage de la grosse peau ; & la seconde fois, il quitte la pellicule rouge qui est au-dessous, & le riz sort plus ou moins blanc selon l'espece. C'est dans cet état qu'ils l'apprêtent de différentes manieres. Les uns lui donnent un court bouillon avec une sauce ; d'autres le mangent avec des herbes, ou des feves ; & d'autres plus pauvres, l'apprêtent simplement avec un peu de sel. Comme le riz vient dans les Indes à-peu-près de la même maniere qu'à la Chine, nous n'avons rien de particulier à en dire ; mais il se présente une observation à faire sur les lieux où le riz se cultive pour la nourriture de tant de monde.
Il faut dans cette culture de grands travaux pour ménager les eaux, beaucoup de gens y peuvent être occupés. Il y faut moins de terre pour fournir à la subsistance d'une famille, que dans les pays qui produisent d'autres grains ; enfin la terre qui est employée ailleurs à la nourriture des animaux, y sert immédiatement à la subsistance des hommes. Le travail que font ailleurs les animaux, est fait là par les hommes ; & la culture des terres devient pour eux une immense manufacture. Voilà les avantages de la culture du riz, dans le rapport que cette culture peut avoir avec le nombre des habitans, & ce sont des vues dignes des législateurs. Je ne discuterai point ici s'il convient de favoriser, de permettre, ou de défendre la culture du riz dans ce royaume ; je sais bien qu'il y a 25 à 30 ans qu'elle a été défendue en Roussillon, par arrêt du conseil souverain de cette province, sur ce qu'on a cru que les exhalaisons des lieux marécageux où l'on seme le riz, y causoient des maladies & des mortalités. Il ne seroit pas difficile de rassurer les esprits là-dessus, & d'indiquer en même tems des moyens pour prévenir tous les inconvéniens que l'on en pourroit craindre : mais ce sont les avantages de cette culture qu'il faudroit peser ; & comme cette question a tant de branches par elle-même, & relativement au commerce, ce n'est pas ici le lieu de la discuter. Il suffit de bien connoître la maniere dont on peut s'y prendre pour cultiver utilement dans ce pays une plante d'un si grand usage, lorsqu'on le jugera nécessaire. (Le chevalier de Jaucourt.)
Maniere d'accommoder le riz, de façon qu'avec dix livres de riz, dix livres de pain, dix pintes de lait, & soixante pintes d'eau, soixante-dix personnes se sont trouvées nourries parfaitement pendant vingt-quatre heures. On lavera la quantité de dix livres de riz dans deux eaux différentes : il faut que cette eau soit tiede.
On les jettera ensuite dans soixante pintes d'eau bouillante où le riz crevera ; on le fera bouillir à petit feu pendant trois heures ou environ, & on le remuera pour l'empêcher de s'attacher.
Lorsque ledit riz sera bien crevé & renflé, l'on jettera dans la marmite ou chauderon, dix livres de pain coupé par petits morceaux fort minces, lequel, par sa cuisson, se mêle & s'incorpore parfaitement avec ledit riz, & forme une liaison à l'eau dans laquelle le riz a cuit.
On ajoute ensuite par-dessus le tout dix pintes de lait, & l'on remue la totalité sur le feu jusqu'à ce que le riz ait pu être pénétré par le lait.
Sur cette quantité de liquide on met huit onces de sel, & huit gros de poivre.
Si le lait est rare, on peut y substituer dix onces d'huile de noix ou d'olive.
Pour donner un goût agréable à cette nourriture, on peut y ajouter une douzaine de feuilles de laurier-cerise.
La distribution ne s'en fait que lorsque le tout est refroidi, & que cette nourriture a acquis la consistance d'une espece de bouillie, dans laquelle le riz seul se conserve en grain.
Une demi-livre de cette nourriture soutient plus qu'une livre & demie de pain.
Méthode de faire la soupe au riz pour cinquante personnes. Il faut se pourvoir d'un chauderon assez grand pour contenir quarante pintes d'eau, mesure de Paris : s'il est plus grand, il en sera plus commode.
L'on mettra dans ce chauderon neuf pintes d'eau, à ladite mesure de Paris ; quand elle sera chaude, on y mettra six livres de riz, qu'on aura soin auparavant de bien laver avec de l'eau chaude.
Le chauderon étant mis sur le feu avec le riz, on aura attention de le faire cuire lentement, & de le remuer sans cesse de peur qu'il ne s'attache au fond.
A mesure que le riz crevera, & qu'il s'épaissira, on y versera successivement trois autres pintes d'eau chaude.
Pour faire crever & revenir le riz, il faut environ une heure : c'est pendant ce tems qu'il faut l'humecter & lui faire boire encore successivement vingt-huit pintes d'eau, ce qui fera en tout environ quarante pintes d'eau, qu'il faut verser peu à peu & par intervalle, de peur de noyer le riz. Cela fait, il faut laisser le riz sur le feu pendant deux autres heures, & l'y faire cuire lentement & à petit feu, en le remuant sans cesse, sans quoi il s'attacheroit au poëlon ou chauderon.
Le riz étant bien cuit, on y mettra une demi-livre de beurre, ou de bonne graisse si l'on ne peut avoir de beurre, avec trois quarterons de sel, & pour deux liards de poivre noir en poudre ; en observant de remuer le tout ensemble pendant une demi-heure.
Au lieu de beurre on peut mettre du lait, la quantité de six pintes de lait suffit pour la chauderonnée ; mais il faut prendre garde que le lait ne soit point trop vieux, car il s'aigriroit à la cuisson.
On ôtera ensuite le chauderon de dessus le feu, pour y mettre aussi-tôt, mais peu à peu, six livres de pain bis ou blanc qu'on coupe en soupes très minces, en observant de mêler le pain avec le riz, de maniere qu'il aille jusqu'au fond pour l'imbiber & faire corps ensemble.
Si l'on se sert de lait au lieu de beurre, il faut quelques pintes d'eau de moins dans la préparation du riz, autrement le riz seroit trop clair. Et aussi si l'on emploie le lait, il faut mettre du pain blanc, parce que le pain bis feroit aigrir le lait.
La distribution doit être faite sur le champ pour trouver les cinquante portions : chaque portion sera de deux cuillerées, qui contiendront chacune la valeur d'un demi-septier ou quart de pinte, mesure de Paris.
Pour les enfans de neuf ans & au-dessous, la portion d'une de ces cuillerées sera suffisante.
En distribuant les soupes chaudes, on aura soin de remuer le riz avec la cuillere à pot, & de prendre au fond du chauderon, pour que la distribution se fasse également, tant en riz qu'en pain.
On avertit ceux qui ne mangeront pas sur le champ leur portion, de la faire réchauffer à petit feu, en y mêlant un peu d'eau ou de lait, pour la faire revenir & la rendre plus profitable.
Méthode pour faire la bouillie au riz, au lieu de farine, pour les petits enfans. On prend un demi-septier de lait, un demi-septier d'eau, un gros & demi de sel, une once & demie de riz mis en farine ; il faut délayer cette farine avec le lait, l'eau & le sel, faire bouillir le tout jusqu'à ce qu'il commence à y avoir une croûte légere au fond du poëlon ; l'ôter ensuite de dessus la flamme, & le mettre un quart d'heure environ sur la cendre rouge ; on remettra ensuite cette bouillie sur la flamme jusqu'à cuisson parfaite, laquelle cuisson se connoît à l'odeur, & lorsque la croûte qui est au fond du poëlon est fort épaisse, sans cependant qu'elle sente le brûlé.
Wiktionnaire
Nom commun - français
riz \?i\ masculin invariable
-
(Botanique) Céréale que l'on cultive dans les terres humides et marécageuses des pays chauds.
- On constate par la suite une « poussée géographique du riz vers l'Indonésie, ainsi que vers le Tibet et le Japon. Au riz aquatique, ce « riz noble » auquel nous songeons le plus souvent et qui n'occupe que d'assez faibles superficies, il convient d'ajouter le riz à culture sèche, ou « riz pauvre », semé à même le sol après débroussaillement, sans aucun labourage, et qu'on trouve en particulier en Malaisie, en Indonésie, à Madagascar, ainsi que dans certaines régions de l'Inde et du Vietnam.? (François Gros, L'Ingénierie du vivant, 1990, page 37)
- Le riz est moissonné proche du sol. L'égrenage de cette céréale à grain vêtu fait appel à deux techniques : le chaubage sur une grosse pierre et le dépiquage sous les sabots des b?ufs. ? (Couscous, boulgour et polenta: Transformer et consommer les céréales dans le monde, Karthala, 2010, page 268)
- Le riz est la céréale la plus cultivée dans le monde? Elle constitue l'aliment de base de plus de la moitié de l'humanité. Outre son utilisation directe dans l'alimentation humaine, les grains de riz servent à fabriquer alcool, amidon et dérivés, huile, produits pharmaceutiques, aliments diététiques, etc. Les sous-produits de transformation (brisure, farine, tourteau) et la paille sont utilisés en alimentation animale. Les balles de riz servent de combustible et les cendres d'engrais. La paille est également utilisée comme litière, comme matière première pour la fabrication de pâte à papier ou encore pour la fabrication de papier mural. ? (Cirad/Gret/MAE, Mémento de l'Agronome, 1 692 pages, page 799, 2002, Paris, France, Cirad/Gret/Ministère des Affaires Étrangères)
-
(Alimentation) Grain farineux produit par cette plante.
- Le gofio est pour le paysan canarien ce qu'est le macaroni pour les lazzaroni, le riz pour les Indiens, la banane pour les Nègres, la pomme de terre pour l'Irlandais. ? (Marie-Armand-Pascal D'Avezac, Iles de l'Afrique, dans la collection L'Univers : Histoire et description de tous les peuples, Paris : chez Firmin Didot frères, 1848, page 144)
- Quand le riz fut cuit à point, à peine crevé et non réduit en bouillie, comme le servent bien souvent les cuisinières parisiennes, elle le dressa sur une écuelle en une pyramide à large base, et le porta dans la voiture. ? (Hector Malot, En famille, 1893)
- En remplaçant la farine de blé par une farine composée de trois parts de farine de riz à faible teneur en amylose pour une part de farine de riz gluant. on a produit des petits pains satisfaisants pour les personnes sensibles au gluten (Stucy Johnson, 1988). ? (Bienvenido O. Juliano, Le riz dans la nutrition humaine, 1994, page 127)
- Les Kpellés utilisent le même expression, gba-mi, pour dire «manger du riz» et «riz». C'est dire l'importance symbolique du riz. Pour préparer un plat de riz, la femme kpellée le fait bouillir dans une grande casserole, puis le couvre, et laisse achever la cuisson feu éteint.? (Michelle Jeanguyot, ?Nour Ahmadi, Grain de riz, grain de vie, 2002, page 120)
- La photo ci-contre illustre une forme d'agriculture qui perdure et dans laquelle les modes de récolte ne modifient pas les caractéristiques de dissémination des espèces. Le riz sauvage (récolté tous les 2 jours, par des femmes et enfants fouettant les épis à l'aide de paniers tressés retenant les épillets prêts à tomber) conserve sa caducité.? (AgroParisTech, Domestication et diversification des espèces cultivées, 2004)
Trésor de la Langue Française informatisé
RIZ, subst. masc.
Riz au Scrabble
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Informations sur le mot riz - 3 lettres, 1 voyelles, 2 consonnes, 3 lettres uniques.
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Les citations avec le mot Riz
- La Chine, c'est gai. Plus on est de fous, moins y a de riz.Auteur : Coluche - Source : Coluche les inoubliables : Tous ses sketches, toutes ses chansons
- Il y a ceux qui ont bu l'eau de la baignoire de Marat, et nous qui avons frissonné à l'horizon de Saint-Just et de Lénine. Mais Staline est perpétuellement imminent. On conserve avec des égards la mâchoire de Hitler.Auteur : René Char - Source : Aromates chasseurs (1976)
- Quand le soleil était descendu à l'horizon, ses rayons, brisés par les troncs des arbres, divergeaient dans les ombres de la forêt en longues gerbes lumineuses.Auteur : Jacques-Henri Bernardin de Saint-Pierre - Source : Paul et Virginie (1787)
- Dans les films, quand une femme est quittée, elle entre dans une agence de voyages. Sans regarder la personne au guichet, elle dit donnez-moi un billet pour n'importe où, un aller sans retour. Et hop, elle part. Je ferai comme dans les films. Tokyo est évidemment le lieu parfait. Tokyo c'est loin, les gens y vivent vieux, mangent du riz et sont rarement diabétiques. Compte tenu de ce qui m'arrive, savoir que je ne finirai pas aveugle et amputée des deux jambes est une bonne nouvelle.Auteur : Tania de Montaigne - Source : Tokyo c'est loin (2006)
- Tes yeux ont le mal d'horizon
Fou qui trouve assez bleu l'azur
A qui le ciel n'est pas prison
Il faut aimer à démesure
Ce n'est pas assez que raison.Auteur : Louis Aragon - Source : Le Nouveau Crève-Coeur (1948), Un air d'octobre - Nous voulons voyager sans vapeur et sans voile!
Faites, pour égayer l'ennui de nos prisons,
Passer sur nos esprits, tendus comme une toile,
Vos souvenirs avec leurs cadres d'horizons.Auteur : Charles Baudelaire - Source : Les Fleurs du Mal (1857), CXXVI - Le voyage - Penser ! c'est sentir les souffles de la vie nous pénétrer, les horizons se colorer, l'espace nous appartenir, les mondes se grouper autour de nous, les éléments invisibles nous envelopper.Auteur : Anne Barratin - Source : Chemin faisant (1894)
- L'horizon - Nous condamne au cercle.Auteur : Eugène Guillevic - Source : Du domaine
- Croire tout découvert est une erreur profonde; - C'est prendre l'horizon pour les bornes du monde.Auteur : Antoine Marin Lemierre - Source : Utilité des découvertes, etc
- Pardonnez-moi cette amertume
Mais l'âge d'aimer quand nous l'eûmes
Comme le regain sous la faux
Tout y sonnait mortel et faux
Et qu'opposer sinon nos songes
Au pas triomphant du mensonge
Nous qui n'avions pour horizon
Qu'hypocrisie et trahison.Auteur : Louis Aragon - Source : Le Roman inachevé (1956), Marguerite Marie et Madeleine - Mais l'enfance n'est ni nostalgie, ni terreur, ni paradis perdu, ni Toison d'Or, mais peut-être horizon, point de départ, coordonnées à partir desquelles les axes de ma vie pourront trouver leur sens.Auteur : Georges Perec - Source : W. ou le Souvenir d'enfance (1975)
- C'est terrible la mémoire lorsqu'elle se montre à l'horizon comme une marée en marche.Auteur : Anne Hébert - Source : Le temps sauvage
- Seul aime être noyé le riz.
La guerre est le pire des cris.Auteur : Charles de Leusse - Source : Le Sablier (2002) - On y mangeait du riz et des boulettes de viande en brochette dans une grande épingle. Elle appelait cela du chiche-kebab.Auteur : Robert Sabatier - Source : Alain et le Nègre (1999)
- Puis il tourna autour d'un château médiéval, perché en haut d'une colline de sapins noirs; de la brume blanche encerclait le burg sinistre, et les cimes neigeuses étaient immobiles à l'horizon, une muraille rose et grise.Auteur : J. M. G. Le Clézio - Source : La Fièvre (1965)
- L'humanité est l'horizon, non pas le terreauAuteur : Thomas Paine - Source : Droits de l'homme
- La chaleur pétillait sur les tuiles. Le soleil n'avait plus de corps; il était frotté comme une craie aveuglante sur tout le ciel; les collines étaient tellement blanches qu'il n'y avait plus d'horizon.Auteur : Jean Giono - Source : Le Hussard sur le toit (1951)
- Homéopathie : Régime dissocié pour couple moderne, dans lequel la femme est au riz et l'homme est aux pâtesAuteur : Marc Escayrol - Source : Mots et Grumots (2003)
- Un bol de riz avec de l'eau et le coude pour oreiller, voilà un état qui a sa satisfaction.Auteur : Confucius - Source : Sentences
- La mer. Il faut l'imaginer, la voir avec le regard d'un homme de jadis: comme une barrière étendue jusqu'à l'horizon, comme une immensité obsédante omniprésente merveilleuse énigmatique... A elle seule, elle est un univers, une planète.Auteur : Fernand Braudel - Source : Sans référence
- Chérie, viens près de moi
Ce soir je veux chanter
Une chanson pour toi.
Une chanson sans larmes
Une chanson légère
Une chanson de charme.
Le charme des matins
Emmitouflés de brume
Où valsent les lapins.
Le charme des étangs
Où de gais enfants blonds
Pêchent des caïmans.
Le charme des prairies
Que l´on fauche en été
Pour pouvoir s´y rouler.
Le charme des cuillères
Qui raclent les assiettes
Et la soupe aux yeux clairs.
Le charme de l´oeuf dur
Qui permit à Colomb
Sa plus belle invention.
Le charme des vertus
Qui donnent au péché
Goût de fruit défendu.
J´aurais pu te chanter
Une chanson de chêne
D´orme ou de peuplier.
Une chanson d´érable
Une chanson de teck
Aux rimes plus durables.
Mais sans bruit ni vacarme
J´ai préféré tenter
Cette chanson de charme.
Charme du vieux notaire
Qui dans l´étude austère
Tire l´affaire au clair.
Le charme de la pluie
Roulant ses gouttes d´or
Sur le cuivre du lit.
Le charme de ton coeur
Que je vois près du mien
Quand je pense au bonheur.
Le charme des soleils
Qui tournent tout autour
Des horizons vermeils.
Et le charme des jours
Effacés de nos vies
Par la gomme des nuits.
Auteur : Boris Vian - Source : Cantilènes en gelée - Vie je te veux. Je t'ai toujours voulue. J'avais pas le mode d'emploi. C'est pour ça que j'ai tant attendu. Pour te dire combien je t'aime. Comme si t'avais toujours eu ta place dans mon horizon. Mais comment faire pour t'aimer ? Vraiment t'aimer.Auteur : Richard Bohringer - Source : C'est beau une ville la nuit (1988)
- Notre valeur n'est pas non plus cette mystique dénuée de spiritualité, au travers de laquelle nous prétendons commander aux puissances occultes. Sans chercher à nous conformer aux principes supérieurs et universels qui régissent la vie. Notre grandeur viendra de ce que nous saurons engendrer des êtres libres. Qu'ils se tiennent debout, qu'ils ne récitent leur longue généalogie que pour mieux regarder devant. Qu'ils disent : je suis parce que j'existe. Je récuse l'obscur et réfute la démence comme unique horizon. Et après qu'ils auront dit combien l'Afrique vaut mieux que ce qu'elle pense d'elle-même, des légions leur emboîteront le pas. Auteur : Léonora Miano - Source : Contours du jour qui vient (2006)
- J'ai connu des paysages
Et des soleils merveilleux
Au cours de lointains voyages
Tout là-bas sous d'autres cieux
Mais combien je leur préfère
Mon ciel bleu mon horizon
Ma grande route et ma rivière
Ma prairie et ma maison.Auteur : Karine Tuil - Source : Douce France (2007) - L'orsqu'il n'y a pas de nuages à l'horizon, il se trouve toujours quelqu'un pour déclarer que «ça ne peut pas durer»...Auteur : Jean Simard - Source : Mon fils pourtant heureux (1956)
Les citations du Littré sur Riz
- À chapiteaux d'albastre et frizes de crystalAuteur : DU BELLAY - Source : VI, 61, recto
- Depuis ce temps là [le temps de Lucullus, qui rapporta le cerisier d'Asie], l'Italie non seulement s'est trouvée fournie de ceriziers, ains, par son entre-pos, le reste de l'EuropeAuteur : O. DE SERRES - Source : 682
- À tuz jurs mais en est houniz, Come fu la chauve souriz, Qui ne deit mès par jur voler, Ni ne deit plus en court parlerAuteur : MARIE - Source : ib.
- Tycho s'était aperçu le premier que les réfractions augmentaient les hauteurs apparentes des astres sur l'horizonAuteur : FONTEN. - Source : Cassini.
- Aucuns signes lievent droit, et les autres obliquement, tant pour l'obliquité ou pour le biez du zodiaque que l'obliquité de l'orizonAuteur : ORESME - Source : Thèse de MEUNIER.
- Et le char vaporeux de la reine des ombres Monte et blanchit déjà les bords de l'horizonAuteur : LAMART. - Source : Médit. I, 1
- C'est que d'un toit de chaume une faible fumée, Un peu d'herbe le soir par le pâtre allumée, Suffit pour obscurcir tout le ciel d'un vallon, Et dérober le jour au plus pur horizonAuteur : LAMART. - Source : Harm. I, 5
- Les agriotes ou cerizes aigres sont plus propres à confire que les guines ou cerizes doucesAuteur : O. DE SERRES - Source : 857
- La nuit, s'il [l'habitant de la Cochinchine] la passe dans les champs ou dans la jonque, il y ajoute [à ses vêtements] une mince paillote ou toile de paille de riz sous laquelle il se blottitAuteur : MORICE - Source : Rev. d'anthropol. t. IV, p. 445
- M. Guglielmini trouve par cette méthode que le Danube, supposé horizontal à son embouchure, comme le sont presque tous les grands fleuves, du moins sensiblement, jette dans le Pont-Euxin, en une minute, près de 42 millions de pieds cubiques bolonais d'eauAuteur : FONTEN. - Source : Guglielmini.
- Lorsque le soleil est dans l'équateur, le jour doit être égal à la nuit, puisqu'il décrit au-dessus de l'horizon une partie de cercle égale à celle qu'il décrit au-dessous, voilà pourquoi on donne à l'équateur le nom d'équinoxialAuteur : CONDIL. - Source : Art de raison. v, 4
- Les noirs linceuls des nuits sur l'horizon se posentAuteur : Victor Hugo - Source : la Bataille perdue.
- La vue, en parcourant l'horizon, se repose à droite sur cette mer qu'on appelle PropontideAuteur : BARTHÉL. - Source : Anach. ch. 2
- Les visages pâles et décharnés dans le Piémont attestent les cruels résultats de la culture du rizAuteur : GENLIS - Source : Maison rust. t. III, p. 63. dans POUGENS
- L'arrangement des couches horizontales et parallèles ne s'est pas fait en un instant, mais par les sédiments qui se sont amoncelés peu à peuAuteur : BUFF. - Source : Hist. nat. Preuv. th. terr. Oeuv. t. I, p. 445
- C'est un beau spectacle que celui des nuits de Jupiter, où l'on peut voir à la fois quatre lunes sur un même horizon ; mais ce spectacle n'est rien en comparaison de celui des nuits de Saturne....Auteur : BAILLY - Source : Hist. astr. mod. t. II, p. 399
- RizelleAuteur : DU CANGE - Source : ib.
- Bateiz ces chozes en un mortier de cuyvre, à un peteil [pilon] de fer, desgeuneiz-vos dou jus par trois matins : gariz sereiz de la maladie des versAuteur : RUTEB. - Source : 257
- Parfois, comme un soupir de leur âme brûlante, Du sein des épis lourds qui murmurent entr'eux, Une ondulation majestueuse et lente S'éveille, et va mourir à l'horizon poudreuxAuteur : LECONTE DE LISLE - Source : Poëmes antiques, Midi.
- Dès que l'aurore vint dorer l'horizon, Ulysse prit sa tunique et son manteauAuteur : FÉN. - Source : t. XXI, p. 337
- Outre les vents horizontaux, il y a encore tous les vents verticaux, naissant tant de l'oscillation diurne que du rebroussement des courants dont les pentes sont frappéesAuteur : RAMOND - Source : Instit. Mém. scienc. 1823, t. VI, p. 119
- Le soleil va porter le jour à d'autres mondes ; à l'horizon désert Phébé monte sans bruitAuteur : LAMART. - Source : Méd. II, 2
- Le tranquille horizon qui borde nos ÉtatsAuteur : Voltaire - Source : Scythes, IV, 2
- Le lieu plat et horizontal auquel aboutit la partie inclinée de la veineAuteur : BUFF. - Source : Min. t. II, p. 230 (qui écrit à tort le plateur, au masculin).
- L'effet de la réfraction pour le climat de Paris nous fait paraître le soleil, lorsqu'il est à l'horizon, plus haut de 32 ou 33 minutes de degré qu'il ne l'est réellementAuteur : BRISSON - Source : Traité de phys. t. III, p. 157
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Mise à jour le mercredi 24 septembre 2025 à 13h44

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