La définition de Pacification du dictionnaire français. Signification du mot et son éthymologie - De nombreux exemples d'usage en français ainsi que des citations.

Pacification
Nature : s. f.
Prononciation : pa-si-fi-ka-sion ; en vers, de six sylla
Etymologie : Lat. pacificationem, de pacificare, pacifier.

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Notre dictionnaire de français vous présente les définitions de pacification de manière précise, avec des exemples pertinents pour aider à comprendre la signification du mot.

Notre dictionnaire de définitions comprend des informations complémentaires telles que la nature du mot, sa prononciation, des exemples d'expressions, l'étymologie, les synonymes, les homonymes, les antonymes mais également les rimes et anagrammes. Quand la définition du mot s'y prête nous vous proposons des citations littéraires en rapport avec pacification pour illustrer la compréhension du mot ou préciser le sens et de répondre à la question quelle est la signification de Pacification ?


La définition de Pacification

Rétablissement de la paix. La pacification de l'Europe. La pacification des troubles.


Toutes les définitions de « pacification »


Dictionnaire de l'Académie française, huitième édition

PACIFICATION. n. f.
Action de pacifier. Édit de pacification. C'est à lui qu'on doit la pacification de cette province. Par extension, La pacification des esprits. Il se dit aussi en parlant du Soin qu'on prend pour apaiser les dissensions domestiques, les différends entre particuliers. Ils étaient tous divisés dans cette famille, c'est lui qui a travaillé à la pacification de leurs différends.

Littré

PACIFICATION (pa-si-fi-ka-sion?; en vers, de six syllabes) s. f.
  • 1Rétablissement de la paix. La pacification de l'Europe. La pacification des troubles. On tenterait vainement des pacifications sur les controverses, en présupposant qu'il fallût changer quelque chose dans aucun des jugements portés par l'Église, Bossuet, Projet de réunion, 2e part. Lett. XXX.

    Édits de pacification, plusieurs édits des rois, qui avaient pour but d'apaiser les troubles de religion, dans le XVIe siècle. Le résultat du colloque et des intrigues qui le suivirent fut un édit par lequel les protestants pouvaient avoir des prêches hors des villes?; et cet édit de pacification fut encore la cause de guerres civiles, Voltaire, M?urs, 171.

  • 2 Particulièrement. Apaisement des dissensions domestiques, des différends entre particuliers.

HISTORIQUE

XVe s. Pour la pacification de leur pays, Commines, VI, 9.

XVIe s. La pacification et union de toute la Grece, Amyot, Péric. 37. Pour parvenir à une entiere, seure et perdurable pacification des troubles, D'Aubigné, Hist. II, 173. Le seigneur d'un serf occis aura la pacification de la paix [prix pour l'accommodement], et la remission sera à donner à nous ou à nostre grand bailly, Nouv. coust. gén. t. II, p. 144.

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Encyclopédie, 1re édition

PACIFICATION, s. f. (Hist. mod.) l'action de remettre ou de rétablir la paix & la tranquillité dans un état.

Dans notre histoire, on entend par édits de pacification plusieurs ordonnances des rois de France, rendues pour pacifier les troubles de religion qui s'éleverent dans le royaume pendant le xvj. siecle.

François I. & Henri II. avoient rendu des édits très-séveres contre ceux qui feroient profession des nouvelles opinions de Luther & de Calvin. Charles IX. en 1561 suivit à cet égard les traces de ses prédécesseurs ; mais les hommes souffriront toujours impatiemment qu'on les gêne sur un objet, dont ils croyent ne devoir compte qu'à Dieu ; aussi le prince fut-il obligé au mois de Janvier 1562, de révoquer son premier édit par un nouveau qui accordoit aux Prétendus Réformés le libre exercice de leur religion, excepté dans les villes & bourgs du royaume. En 1563, il donna à Amboise un second édit de pacification qui accordoit aux gentilshommes & hauts-justiciers, la permission de faire faire le prêche dans leurs maisons pour leur famille & leurs sujets seulement. On étendit même ce privilege aux villes, mais avec des restrictions qui le rendirent peu favorable aux Calvinistes ; au lieu qu'on les obligea à restituer aux Catholiques les Eglises qu'ils avoient usurpées. L'édit de Lonjumeau suivit en 1558 ; mais les deux partis qui cherchoient à s'y tromper mutuellement, étant peu de tems après rentrés en guerre, Charles IX. par un édit donné à Saint-Maur au mois de Septembre 1568, révoqua tous les précédens édits de pacification. Cependant la paix ayant été faite le 8 Août 1570, dès le 10 du même mois, ce prince rendit un nouvel édit, qui, aux privileges accordés par les précédens, ajouta celui d'avoir quatre places de sûreté ; savoir, la Rochelle, Montauban, Coignac & la Charité, pour leur servir de retraite pendant deux ans.

Le massacre de la saint Barthelemi & un édit qui le suivit de près, annulla toutes ces conditions ; mais Henri III. en 1576 donna un nouvel édit de pacification plus favorable aux Calvinistes, qu'aucun des précédens ; la ligue qui commença alors, le fit révoquer aux états de Blois sur la fin de la même année ; mais le roi se vit obligé de faire en leur faveur l'édit de Poitiers du 8 Septembre 1577, par lequel en rétablissant à certains égards, & en restraignant à d'autres les privileges accordés par les précédens édits pour le libre exercice de leur religion, il leur accorda de plus d'avoir des chambres mi-parties, & huit places de sureté pour six ans ; savoir, Montpellier, Aigues-mortes, Nyons, Seyne, la Grand'Tour, & Serres, en Dauphiné ; Périgueux, la Réole, & le mas de Verdun en Guienne. Mais en 1585 & 1588, la ligue obtint de ce prince la révocation totale de ces édits.

Enfin Henri IV. en 1591, cassa les derniers édits d'Henri III. & en 1598 donna à Nantes ce fameux édit de pacification, qui entr'autres choses permettoit aux prétendus Réformés l'exercice public de leur religion dans tous les lieux où il avoit été fait publiquement pendant les années 1596 & 1597, & leur en accordoit l'exercice particulier à deux lieues des principales villes, pour chaque bailliage où on n'en pouvoit établir l'exercice public sans trouble. Louis XIII. le confirma à Nîmes en 1610, & Louis XIV. en 1652, pendant les troubles de la minorité ; mais il le révoqua en 1656, & le supprima en 1685.

Les Protestans se sont plaints avec amertume de la révocation de l'édit de Nantes, & leurs plaintes ont été fortifiées de celles de tous les gens de bien Catholiques, qui tolerent d'autant plus volontiers l'attachement d'un protestant à ses|opinions, qu'ils auroient plus de peine à supporter qu'on les troublât dans la profession des leurs ; de celles de tous les philosophes, qui savent combien notre façon de penser religieuse dépend peu de nous, & qui prêchent sans cesse aux souverains la tolérance générale, & aux peuples l'amour & la concorde ; de celles de tous les bons politiques qui savent les pertes immenses que l'état a faites par cet édit de révocation, qui exila du royaume une infinité de familles, & envoya nos ouvriers & nos manufactures chez l'étranger.

Il est certain qu'on viola à l'égard des Protestans, la foi des traités & des édits donnés & confirmés par tant de rois ; & c'est ce que Bayle démontre sans réplique dans ses lettres critiques sur l'histoire du Calvinisme. Sans entrer ici dans la question, si le prince a droit ou non de ne point tolérer les sectes opposées à la religion dominante dans son état, je dis que celui qui penseroit aujourd'hui qu'un prince doit ramener par la force tous ses sujets à la même croyance, passeroit pour un homme de sang ; que graces à une infinité de sages écrivains, on a compris que rien n'est plus contraire à la saine religion, à la justice, à la bonne politique & à l'intérêt public que la tyrannie sur les ames.

On ne peut nier que l'état ne soit dans un danger imminent lorsqu'il est divisé par deux cultes opposés, & qu'il est difficile d'établir une paix solide entre ces deux cultes ; mais est-ce une raison pour exterminer les adhérans à l'un des deux ? n'en seroit-ce pas plutôt une au contraire pour affoiblir l'esprit de fanatisme, en favorisant tous les cultes indistinctement ; moyen qui appelleroit en même tems dans l'état une infinité d'étrangers, qui mettroit sans cesse un homme à portée d'en voir un autre séparé de lui par la maniere de penser sur la religion, pratiquer cependant les mêmes vertus, traiter avec la même bonne foi, exercer les mêmes actes de charité, d'humanité & de bienfaisance ; qui rapprocheroit les sujets les uns des autres ; qui leur inspireroit le respect pour la loi civile qui les protegeroit tous également ; & qui donneroit à la morale que la nature a gravée dans tous les c?urs, la préférence qu'elle mérite.

Si les premiers chrétiens mouroient en bénissant les empereurs payens, & ne leur arrachoient pas par la force des armes des édits favorables à la Religion, ils ne s'en plaignoient pas moins amérement de la liberté qu'on leur ôtoit, de servir leur Dieu selon la lumiere de leur conscience.

En Angleterre, par édit de pacification on entend ceux que fit le roi Charles I. pour mettre fin aux troubles civils entre l'Angleterre & l'Ecosse en 1638. Voyez Edit.

On appelle aussi pacification en Hongrie des conditions proposées par les états du royaume, & acceptées par l'archiduc Léopold en 1655 ; mais ce prince devenu empereur, ne se piqua pas de les observer exactement, ce qui causa de nouveaux troubles dans ce royaume pendant tout son regne.

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Wiktionnaire


Nom commun - français

pacification \pa.si.fi.ka.sj??\ féminin

  1. Action de pacifier ; rétablissement de la paix. ? Note : se dit même (et surtout ?) si la paix est obtenue par l'écrasement de l'adversaire ou de l'ennemi ou en brisant toute résistance à l'occupation.
    • Les régimes appliqués d'un bout à l'autre de l'empire sont divers. L'Algérie, après une longue « pacification »-c'est à dire une guerre impitoyable pour briser toute résistance à l'occupation et chasser de leurs terres ceux qui y habitaient- est devenue une colonie de peuplement. (François Reynaert, Nos ancêtres le Gaulois et autres fadaises, Chap. La colonisation, page 554, Le Livre de Poche-ISBN 978-2-253-16282-7, 2012)
    • En 1957, il fallait une force de protection de 24 hommes pour 300 travailleurs, en 1960, 10 pour 500 000 travailleurs ce qui indique le degré de pacification obtenu. (Bachaga Boualam, Les Harkis au service de la France, page 32, France-Empire, 1963)
    • Puis, très volubile, il me donna un « digest » de la pensée politique des officiers de pacification : « Nous ne partirons pas », c'était le leitmotiv. (Henri Alleg, La Question, 1957)
    • Toutefois la pacification des villes ne va pas sans réactions parfois violentes et soudaines de fanatiques irréductibles. (Michel Droit, De Lattre, maréchal de France, Pierre Horay, éditions de Flore, 1952, p.21)
  2. Apaisement des dissensions, des querelles et des différends entre particuliers.
    • Non seulement il invita ses concitoyens à déposer leurs ressentiments et leurs griefs sur l'autel de la patrie, mais il demanda encore que le bienfait de cette pacification fût étendu aux autres peuples, et que la France, introduisant parmi les nations une nouvelle diplomatie, jetât les fondements d'une alliance universelle. (« ISNARD (Maximin) », dans la Biographie universelle et portative des contemporains; ou, Dictionnaire historique des hommes vivants et des hommes morts depuis 1788 jusqu'à nos jours, tome 10, Paris : chez l'Éditeur, 1836, p. 2141)
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Trésor de la Langue Française informatisé


PACIFICATION, subst. fém.

A. ? Action de pacifier; rétablissement de la paix. Depuis la bataille de Platée jusqu'à la pacification générale, il s'écoula trente années (Chateaubr., Essai Révol., t.2, 1797, p.46).Ainsi fut consommée la pacification de la cité, le mariage des deux ordres, l'unité de Rome (Michelet, Hist. romaine, t.1, 1831, p.150):
1. Grâce au progrès de la pacification, au progrès démocratique, au progrès social, on peut maintenant envisager le jour où les hommes et les femmes qui habitent l'Algérie seront en mesure de décider de leur destin, une fois pour toutes, librement, en connaissance de cause. De Gaulleds Doc. hist. contemp., 1959, p.217.
? HIST. Édits de pacification. ,,Plusieurs édits des rois, qui avaient pour but d'apaiser les troubles de religion, dans le xviesiècle`` (Littré). Le traité conclu avec les révoltés fut accompagné d'un édit qui révoquait tous les édits de pacification accordés jusque là aux calvinistes (Thierry, Tiers État, 1853, p.138).
B. ? Apaisement apporté aux discussions domestiques, aux différends entre individus, aux luttes que se livre l'homme à l'intérieur de lui-même. Il représente, en ce siècle naissant, un principe excellent, l'anoblissement par la victoire, la pacification des luttes de classe par l'héroïsme (Renan, Drames philos., Abbesse Jouarre, 1886, p.673).Ici vous développerez les idées de concorde, de pacification des esprits (...) que j'ai déjà exprimées dans mes précédents mandements (A. France, Orme, 1897, p.6):
2. La grande difficulté de l'effort réside, non pas dans un triomphe plus ou moins complet sur l'inertie matérielle, mais dans le concert des tendances, dans l'harmonie et la pacification conquise des désirs intimes. Blondel, Action, 1893, p.158.
Prononc. et Orth.: [pasifikasj? ?]. Att. ds Ac. dep. 1694. Étymol. et Hist. 1. 1316-28 «action de faire cesser les différends entre particuliers» (Ovide moralisé, II, 3713, éd. G. de Boer, t.1, p.250); 2. 1458 «action de faire la paix, rétablissement de la paix publique» (Arnoul Greban, Myst. de la Passion, éd. O. Jodogne, 1568). Empr. au lat. pacificatio «retour à la paix, accommodement, réconciliation», dér. de pacificatum, v. pacificateur. Fréq. abs. littér.: 40.

PACIFICATION, subst. fém.
Étymol. et Hist. 1. 1316-28 «action de faire cesser les différends entre particuliers» (Ovide moralisé, II, 3713, éd. G. de Boer, t.1, p.250); 2. 1458 «action de faire la paix, rétablissement de la paix publique» (Arnoul Greban, Myst. de la Passion, éd. O. Jodogne, 1568). Empr. au lat. pacificatio «retour à la paix, accommodement, réconciliation», dér. de pacificatum, v. pacificateur.

Pacification au Scrabble


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Les citations avec le mot Pacification


  1. Métissage, voilà mon idéal de culture. Blanc et noir, sciences et lettres, monothéisme et polythéisme, sans haine réciproque, pour une pacification que je souhaite et pratique.

    Auteur : Michel Serres - Source : Eclaircissements (1992)


Les citations du Littré sur Pacification


  1. Pour la pacification de leur pays

    Auteur : COMM. - Source : VI, 9


  2. C'est une idée [charger M. Hénin de la pacification de Genève] qui me vient ; il ne me l'a point du tout suggérée

    Auteur : Voltaire - Source : Lett. d'Argental, 21 déc. 1765


  3. On tenterait vainement des pacifications sur les controverses, en présupposant qu'il fallût changer quelque chose dans aucun des jugements portés par l'Église

    Auteur : BOSSUET - Source : Projet de réunion, 2e part. Lett. XXXV


  4. Nonobstant qu'ils eussent bien servy son pere au recouvrement et pacification du royaulme

    Auteur : COMM. - Source : I, 3


  5. Fut conclud envoyer devers eulx et entreprendre la pacification

    Auteur : COMM. - Source : I, 8


  6. À mesure que les conquêtes et les cultures se multiplièrent en Amérique, il fallut plus d'esclaves ; ce besoin a augmenté graduellement ; et, depuis la pacification de 1763, on a arraché chaque année à la Guinée quatre-vingt mille de ses malheureux enfants

    Auteur : RAYNAL - Source : Hist. phil. XI, 19


  7. L'edit de pacification fait devant Orleans avoit donné quasi à l'universel de la France beaucoup de contentement

    Auteur : LANOUE - Source : 605


  8. Pour parvenir à une entiere, seure et perdurable pacification des troubles

    Auteur : D'AUB. - Source : Hist. II, 173


  9. La pacification et union de toute la Grece

    Auteur : AMYOT - Source : Péric. 37




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Mise à jour le mercredi 24 septembre 2025 à 15h17











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