Définition de « sacré »


Notre dictionnaire de français vous présente les définitions du mot sacre de manière claire et concise, avec des exemples pertinents pour aider à comprendre le sens du mot.

Il comprend des informations supplémentaires telles que des exemples d'expressions, l'étymologie, les synonymes, les homonymes, les antonymes mais également les rimes et anagrammes et bien sûr des citations littéraires sur sacré pour aider à enrichir la compréhension du mot Sacré et répondre à la question quelle est la définition de sacre ?

VER genre (m) de 2 syllabes
Une définition simple :

  • Quon ne peut pas transgresser sous peine dêtre profane, domaine du religieux.

  • Qui mérite une révérence, une vénération totale ; qui est inviolable.

  • Semploie aussi familièrement devant les substantifs pour en appuyer le sens. Il na plus alors ce sens appelant à une déférence absolue. Sutilise aussi bien péjorativement que méliorativement (selon le terme employé à la suite). (fr-verbe-flexion|pp=oui)

  • Participe passé masculin singulier du verbe sacrer. (-anagr-) acres, âcres caser césar, César races, racés scare


    Définitions de « sacre »


    Trésor de la Langue Française informatisé


    SACRE1, subst. masc.

    [Corresp. à sacrer1]
    A ? LITURG. CATH.
    1. Cérémonie religieuse par laquelle l'Église reconnaît à un souverain une autorité de droit divin. Sacre du roi, d'un empereur; cérémonie, onction, pompe du sacre. Hérauts d'armes et brandisseurs des insignes royaux au sacre de Bonaparte, ils [ces jureurs du Champ-de-Mai] rempliront les mêmes fonctions au sacre de Charles X (Chateaubr.,Mém., t. 2, 1848, p. 601).Reims, vous êtes la ville du sacre. Vous êtes donc la plus belle ville du royaume de France. Et il n'y a pas de cérémonie plus belle au monde, il n'y a pas dans le monde de cérémonie aussi belle que le sacre du roi de France, dans aucun pays (Péguy,Myst. charité, 1910, p. 43).V. autorité ex. 4, légitimité ex. 4.
    ? P. anal. Le faubourg d'Eyoub avec sa mosquée, où les sultans, à leur avénement au trône, vont ceindre le sabre de Mahomet; sacre de sang, consécration de la force, religion du despotisme musulman (Lamart.,Voy. Orient, t. 2, 1835, p. 432).
    2. Vieilli. Cérémonie liturgique au cours de laquelle un prêtre reçoit la consécration épiscopale. Synon. consécration, ordination* épiscopale.M. Hugon avait servi d'acolyte au sacre de M. de Talleyrand à la chapelle d'Issy, en 1788 (Renan,Souv. enf., 1883, p. 267).
    B. ? P. anal. Consécration solennelle et quasi religieuse d'une personne ou d'une chose jugée exceptionnelle en son genre, excellente en son domaine. Cette persévérance, ce sérieux, qui vient du respect de son art et d'une religion intérieure, c'est la moralité de l'artiste, son sacre divin, qui le met à part (Michelet,Oiseau, 1856, p. 252).La révolution française, c'est le sacre de l'humanité (Hugo,Misér., t. 1, 1862, p. 53).
    ? En partic. [Désignant le caractère sacré ou d'exception que confère l'épreuve ou la misère] Sa noblesse, ses années le grandissent, et la douleur y ajoutant son sacre, bien des hommes sentent les larmes leur monter aux yeux (R. Bazin,Blé, 1907, p. 353).
    Prononc. et Orth.: [sak? ?]. Att. ds Ac. dep. 1694. Étymol. et Hist. 1. a) Ca 1170 « cérémonie par laquelle un roi est sacré » (Chrétien de Troyes, Erec, éd. M. Roques, 6805); b) 1174-76 « consécration d'un évêque » (Guernes de Pont-Sainte-Maxence, St Thomas, éd. E. Walberg, 4790); 2. 1816 p. ext., fig. « consécration » (Chateaubr., Mél. pol., t. 2, p. 230). Déverbal de sacrer*. Bbg. Gougenheim (G.). Sacre, sacré, sacripant. B. Soc. Ling. Paris. 1959, t. 54, n o1, pp. V-VI; Qq. faits d'étymol. secondaire. B. jeunes Rom. 1961, t. 4, pp. 3-8. ? Quem. DDL t. 19. ? Thierbach (A.). Untersuchungen zur Benennung der Kirchenfeste in den romanischen Sprachen. Berlin, 1951, p. 104, 107, 108, 123.


    SACRE2, subst. masc.

    A. ? ORNITH. Oiseau de proie de la famille des Falconidés, habitant l'Asie et l'Europe orientale, qui peut être dressé pour la chasse au vol. La fauconnerie, peut-être, dépassait la meute; le bon seigneur (...) s'était procuré des tiercelets du Caucase, des sacres de Babylone, des gerfauts d'Allemagne, et des faucons-pèlerins (Flaub.,St Julien l'Hospitalier, 1877, p. 89).C'est la Ville plus vive aux feux de mille glaives, le vol des sacres sur les marbres (Saint-John Perse,Exil, 1942, p. 258).
    Rem. ,,En termes de fauconnerie, il ne se dit que de la femelle`` (Ac. 1935).
    ? Vieilli. [Dans des compar.] M. de Burelviller qui avait l'air d'un grand sacre et qui peut-être avait été chassé d'un régiment et cherchait à se raccrocher à un autre (Stendhal,H. Brulard,t. 1, 1836, p. 472).
    B. ? Au fig., vx. ,,Homme capable de toutes sortes de méfaits`` (Ac. 1935). Synon. rapace.
    Prononc. et Orth.: [sak?]. Att. ds Ac. dep. 1694. Étymol. et Hist. A. Fin xiiies. ornith. (Frédéric II de Hohenstaufen, De arte venandi cum avibus, éd. G. Holmér, chap. 24, 2, p. 82: li sacre). B. a) 2emoit. xves. « homme d'armes, ou brigand (?) » (Martial d'Auvergne, Vigiles, B.N. fr. 5054, 214: Si vindrent assieger la Dacre Estant du costé de Bordeaulx Ou d'Orval moult terrible sacre, leur fist bien machier leurs morceaulx); b) 1507-08 (D'Amerval, Livre de la diablerie, éd. Ch.-F. Ward, p. 17b: [Lucifer à Satan] Acours bien tost, faulx sacrilege, Le pire de tout mon college. Dors-tu, mauldit symoniacre, Tant horrible et terrible sacre?), encore att. par Saint-Simon (cf. Pilastre, Lex. sommaire de la lang. de Saint-Simon, p. 133), v. aussi Littré. A empr. à l'ar. s?aqr « faucon », très prob. lui-même empr. au lat. sacer « sacré », qui a été empl. comme épith. du faucon par Virgile, Énéide, XI, 721: accipiter [...] sacer ales (OLD, s.v. sacer 4 b); cf. aussi Servius, Commentaires sur l'Enéide, XI, 721 ds TLL I, 322, 46: accipiter ? ? ? ? ? ? ? dicitur, hoc est sacer. B empl. fig. de A, cf. H. Estienne, Precellence du langage françois, 1579, éd. Huguet, p. 129: ,,Nostre langage se sert, par metaphore, du nom d'un autre oiseau de proye, à sçavoir du Sacre. Car nous disons C'est un sacre, ou C'est un merveilleux sacre, de celuy qui, en quelque lieu qu'il puisse mettre les mains, happe tout, rifle tout, racle tout, et, en somme, auquel rien n'eschappe``; une infl. des représentants du germ. sakman « valet d'armée, pillard » cf. 1422 sacquement « soldat qui pille » et xvies. saccard « valet d'armée » (v. FEW t. 17, p. 7) n'est cependant pas à exclure. Les interférences entre sacre1, sacre2, sacre3expliquent prob. l'empl. blasphématoire de sacre et sacré (v. sacre3), le sens « jurer » de sacrer* et, selon Gougenheim (ds B. jeunes Rom., n o4, pp. 5-7), si la disparition de l'adj. sacre « sacré » après le xvies. (v. sacre3) peut s'expliquer par l'homophonie fâcheuse avec sacre « brigand », celui-ci aurait subi le contre-coup de cette disparition en perdant sa vitalité.
    DÉR.
    Sacret, subst. masc.,fauconn. Mâle du sacre. C'était la femelle qui portait le nom de sacre, le mâle s'appelait sacret; il n'y a d'autres différences entre eux que dans la grandeur (Baudr.Chasses1834).? [sak? ?]. Att. ds Ac. dep. 1798. ? 1reattest. 1377 (Gace de La Buigne, Roman des deduis, éd. Å. Blomqvist, 803: de sacres, de sacrez); de sacre2, suff. -et*.
    BBG. ? Callebaut (B.). Index hist. et explicatif des n. des oiseaux en fr. Trav. Ling. Gand. 1980, n o7, p. 147.


    SACRE3, subst. masc.

    Région. (Canada). [Corresp. à sacrer2; juron ou imprécation] Synon. région. sacrement.Le gars qui échappait un sacre dans ses colères (R. Lemelin,Au pied de la pente douce, 1944, p. 40 ds Richesses Québec 1982, p. 2058).
    ? Mettre en sacre. Mettre en colère, de mauvaise humeur. Ça prend un gros paquet de niaiseries comme Jacky, pour mettre tout le monde en sacre! (M. Riddez,Rue des Pignons,1966,p. 287, ds Richesses Québec 1982, p. 2059).
    Prononc.: [sak?]. Étymol. et Hist. a) 1552 sacre Dieu (v. sacrebleu); b) 1642 par la sacre-bleu (v. sacrebleu); c) 1549 et sacre du Gouvernement! (Agréable récit in Choix de mazarinades, I, 16 ds Quem. DDL t. 19); d) 1750 sacre non pas d'un chien (J.-J. Vadé, Le Paquet de mouchoirs, p. 41); e) 1789 sacre-nom d'un c?ur! (Compliment des poissardes de Paris à MM. les électeurs, p. 4 ds Quem. DDL t. 19); f) 1894 subst. canadianisme sacre « juron, blasphème, imprécation » et être en sacre « être en colère », comme le sacre « à l'extrême » (S. Clapin, Dict. can.-fr.). Empl. blasphématoire soit de sacre1(cf. ciboire, Dieu, dans les loc. interj.), soit de l'adj. sacre « sacré » (issu du lat. sacer « sacré », ou bien dér. régr. de sacré, sacrer*), usité au xvies. (vers 1513, Jean Lemaire, Concorde des deux langages, éd. J. Frappier, p. 21), empl. également comme subst. aux sens de « objet sacré; chant religieux; fête religieuse; Saint-Sacrement », v. Hug., cf. également ca 1250 par le sacrement empl. comme juron sacrement* et serment empl. comme juron ou imprécation dans certains parlers région., et sacrementer « jurer » (1609 ds Pierreh.), v. FEW t. 11, pp. 35-39. Selon Gougenheim (ds B. jeunes Rom., n o4, pp. 5-7) l'existence du subst. sacre « brigand, homme sans foi, ni loi » (empl. fig. de sacre « rapace », v. sacre2), expliquerait la disparition de l'adj. sacre apr. le xvies. (cette disparition permettant de faire cesser l'homon.) et l'empl. blasphématoire de sacre et sacré serait à rattacher à sacre « brigand », d'où sacrer « proférer des jurons » (de même que pester a été formé sur l'interj. peste!).
    STAT. ? Sacre1, 2 et 3. Fréq. abs. littér.: 237. Fréq. rel. littér.: xixes.: a) 498, b) 357; xxes.: a) 318, b) 199.
    BBG. ? Vincent (D.). Pressions et impressions sur les sacres au Québec. S.I., 1982, p. 35.


    Wiktionnaire


    Nom commun 3 - français

    sacre \sak?\ masculin

    1. Grand oiseau de proie du genre des faucons. Note : En fauconnerie, ce terme n'était appliqué qu'à la femelle, pour le mâle ont utilise sacret.
      • La fauconnerie, peut-être, dépassait la meute ; le bon seigneur, à force d'argent, s'était procuré des tiercelets du Caucase, des sacres de Babylone, des gerfauts d'Allemagne, et des faucons pèlerins, capturés sur les falaises, au bord des mers froides, en de lointains pays. (Gustave Flaubert, Trois Contes : La Légende de Saint Julien l'Hospitalier, 1877)
      • Plus grand et plus massif que le Faucon pèlerin, le Sacre a un plumage brun terreux, de fines moustaches et une calotte pâle, souvent blanchâtre. (Frédéric Jiguet, Aurélien Audevard, Petit Larousse des oiseaux de France et d'Europe, Larousse, 2016, page 160)
    2. (Armement) Ancien canon pesant 2850 livres et qui lance des projectiles de cinq livres. (Selon Cotgrave repris ensuite par Littré).
      • Viennent ensuite deux pièces qui ne font pas partie des calibres de France, il s agit d un canon pierrier et d'un sacre. (Max Guérout, ?Bernard Liou, La Grande Maîtresse, nef de François Ier, Éd. PUPS, Paris 2001)

    Nom commun 2 - français

    sacre \sak?\ masculin

    1. (Vieilli) Homme grossier, immoral, capable de toute sorte de méfaits.
      • Ne se rencontre plus que dans l'expression : Jurer comme un sacre.

    Nom commun 1 - français

    sacre \sak?\ masculin

    1. (Monarchie) Cérémonie religieuse par laquelle on consacre un souverain.
      • Le sacre de Napoléon.
      • Aujourd'hui, 7 septembre, a lieu la grande représentation du sacre d'un sultan. (Pierre Loti, Aziyadé, 1879)
    2. Consécration d'un évêque.
      • Assister au sacre d'un évêque.
    3. (Figuré) Obtention d'un titre dans une compétition, notamment sportive.
      • MotoGP : Fabio Quartararo est « dans un rêve » au lendemain de son sacre de champion du monde. (Présentation d'une vidéo de France Info, 25 octobre 2021 ? lire en ligne)
    4. (Québec) Juron, voire un blasphème.
      • [?] avec son langage direct, épicé de sacres bien sentis, et sa poésie de bum de bonne famille. (L'actualité, 15 avril 2006)
      • Selon François Avard, TQS a exigé, au moment de la rédaction des scénarios de Bob Gratton : ma vie, my life, une réduction du nombre de sacres. C'est tout. « On a retiré des sacres et je ne crois pas que ça nuise à la vulgarité de la série. Elle est tout aussi vulgaire. Qu'il y ait un sacre ou 12, ça ne change pas grand-chose », explique François Avard [?]. (Cyberpresse, 1er décembre 2006)
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    Dictionnaire de l'Académie française, huitième édition

    SACRE. n. m.
    Grand oiseau de proie du genre des faucons. Lorsque le sacre fond sur sa proie... En termes de Fauconnerie, il ne se disait que de la Femelle. Voyez SACRET. Fig., Un sacre s'est dit pour un Homme capable de toutes sortes de méfaits.

    Littré

    SACRE (sa-kr') s. m.
    • 1Action par laquelle on sacre un roi. Le sacre n'est qu'une cérémonie, mais elle en impose au peuple, Voltaire, Hist. Parlem. XXXIV. Quoique Philippe n'eût encore que sept ans, la cérémonie de son sacre se fit à Reims le 23 mai, jour de la Pentecôte 1059, du vivant de son père, qui mourut l'année d'après, Brial, Mém. hist et lit. anc. t. IV, p. 490.

      Fig. [Napoléon] Des porte-clefs anglais misérable risée, Au sacre du malheur il retrempe ses droits, Hugo, Orient. 40.

    • 2L'action par laquelle on sacre un évêque. Pour dire un mot de moi en particulier et sur un fait dans le fond très indifférent, étais-je indigne d'être invité par M. de Cambrai à faire son sacre, moi qu'il appelait, quoique indigne, son père et son maître?? Bossuet, Remarques sur la rép. de M. de Cambrai, Avant propos.
    • 3Se disait de la procession de la Fête-Dieu. Le sacre d'Angers.

    HISTORIQUE

    XIIe s. Ã tel sacre ne dut prodome metre destre, Th. le mart. 127.

    XVe s. Ceux de la cité de Reims doivent le sacre du roi, Froissart, II, II, 74. De ce sacre sont tous les roys de France Oint et sacré, et non autre lignée, Deschamps, Sur quels points doit durer ce royaume. Encore ay-je d'autres veüs Jurer le sang que Dieux jecta, Et par le ventre Dieu le plus, Par le sacre que Dieux sacra, Par cil qui sa mort pardonna, Deschamps, Poés. mss. f° 32. La veille du sacre [de la Fête-Dieu], Hist. d'Artus III, p. 748, dans LACURNE.

    XVIe s. De son bon gré ta gent bien disposée Au jour très saint de ton sacre courra, Marot, IV, 321.

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    Encyclopédie, 1re édition

    SACRE, s. m. (Hist. mod.) cérémonie religieuse qui se pratique à l'égard de quelques souverains, surtout des catholiques, & qui répond à celle que dans d'autres pays on appelle couronnement ou inauguration.

    Cette cérémonie en elle-même est très-ancienne. On voit dans les livres saints dès l'établissement de la monarchie des Hébreux, que les rois étoient sacrés. Saül & David le furent par Samuël, & les rois de Juda conserverent cette pratique d'être consacrés ou par des prophetes ou par le grand-prêtre. Il paroît aussi par l'Ecriture, que la cérémonie de cette consécration s'étoit conservée dans le royaume d'Israël malgré le schisme, puisque Jéhu fut sacré par un des enfans, c'est-à-dire des disciples des prophetes.

    Sous la loi nouvelle, les princes chrétiens ont imité cet exemple pour marquer sans doute par cette cérémonie que leur puissance vient de Dieu même. Nous ne parlerons ici que du sacre du roi de France & de celui de l'empereur.

    Le lieu destiné pour le sacre des rois de France est l'église cathédrale de Rheims. On remarque néanmoins que les rois de la seconde race n'y ont point été sacrés, si ce n'est Louis le Begue, roi & empereur ; mais ceux de la troisieme race ont préféré ce lieu à tout autre, & Louis VII. dit le Jeune, qui y fut sacré par le pape Innocent II. fit une loi pour cette cérémonie lors du couronnement de Philippe-Auguste son fils en 1179. Henri IV. fut sacré à Chartres, parce qu'il n'étoit pas maître de Rheims qui tenoit pour la ligue. La sainte-ampoule dont l'huile sert au sacre des rois, est gardée dans l'église de l'abbaye de S. Remi, & les ornemens dans le trésor de S. Denis. Le jour de cette cérémonie le roi entre dans l'église de Rheims, revêtu d'une camisole de satin rouge, garnie d'or, ouverte au dos & sur les manches, avec une robe de toile d'argent & un chapeau de velours noir, garni d'un cordon de diamans, d'une plume blanche & d'une aigrette noire. Il est précédé du connétable, tenant l'épée nue à la main, accompagné des princes du sang, des pairs de France, du chancelier, du grand-maître, du grand-chambellan, des chevaliers de l'ordre, & de plusieurs princes & seigneurs. Le roi s'étant mis devant l'autel dans sa chaire, le prieur de S. Remi monté sur un cheval blanc, sous un dais de toile d'argent porté par les chevaliers de la sainte-ampoule, apporte cette sainte ampoule au bruit des tambours & des trompettes ; & l'archevêque ayant été la recevoir à la porte de l'église, la pose sur le grand autel, où l'on met aussi les ornemens préparés pour le sacre, qui sont la grande couronne de Charlemagne, l'épée, le sceptre & la main de justice, les éperons & le livre de la cérémonie. Les habits du roi pour le sacre sont une camisole de satin rouge garnie d'or, une tunique & une dalmatique qui représentent les ordres de soudiacre & de diacre, des bottines, & un grand manteau royal, doublé d'hermine & semé de fleurs de lys d'or. Pendant cette auguste cérémonie, les douze pairs de France ont chacun leur fonction. L'archevêque de Rheims sacre le roi en lui faisant des onctions en forme de croix sur les épaules & aux deux bras par les ouvertures pratiquées pour cet effet à la camisole dont nous avons parlé. L'évêque de Laon tient la sainte ampoule ; l'évêque de Langres, le sceptre ; l'évêque de Beauvais, le manteau royal ; l'évêque de Châlons, l'anneau ; l'évêque de Noyon, le ceinturon ou baudrier. Entre les pairs laïcs, le duc de Bourgogne porte la couronne royale, & ceint l'épée au roi ; le duc de Guienne porte la premiere banniere quarrée ; le duc de Normandie, la seconde ; le comte de Toulouse, les épérons ; le comte de Champagne, la banniere royale ou l'étendart de guerre ; & le comte de Flandres, l'épée royale. Ces pairs ont alors sur la tête un cercle d'or en forme de couronne. Lorsque ces dernieres pairies étoient occupées par les grands vassaux de la couronne, ils assistoient en personne au sacre & y faisoient leurs fonctions, mais depuis que de ces six pairies cinq ont été réunies à la couronne, & que celles de Flandres est en partie en main étrangere, le roi choisit six princes ou seigneurs pour représenter ces pairs, & un autre pour tenir la place de connétable depuis que cette charge a été supprimée. C'est ainsi qu'on l'a pratiqué au sacre de Louis XIV. & de Louis XV. Au reste le sacre du roi ne lui confere aucun nouveau droit, il est monarque par sa naissance & par droit de succession ; & le but de cette pieuse cérémonie n'est sans doute que d'apprendre aux peuples par un spectacle frappant, que la personne du roi est sacrée, & qu'il n'est pas permis d'attenter à sa vie, parce que, comme l'Ecriture dit de Saül, il est l'oint du seigneur.

    Au sacre de l'empereur, lorsque ce prince marche en ordre avec les électeurs laïques & ses officiers à l'église où se doit faire la cérémonie, l'archevêque officiant, qui est toujours un électeur ecclésiastique, & les deux autres électeurs de son ordre vont le recevoir ; ensuite on célebre la messe jusqu'à l'Evangile, alors on ôte à l'empereur le manteau royal, & deux des électeurs ecclésiastiques le conduisent à l'autel où, après quelques prieres, l'électeur officiant lui demande s'il veut professer la foi catholique, défendre l'Eglise, gouverner l'empire avec justice & le défendre avec valeur, en conserver les droits, protéger les foibles & les pauvres, & être soumis au saint siege. Lorsqu'il en a reçu des réponses convenables, confirmées par un serment sur les évangiles, & fait quelques autres oraisons, les suffragans de l'archevêque officiant découvrent l'empereur pour le sacrer, & l'archevêque prend l'huile benite dont il l'oint en forme de croix sur le sommet de la tête, entre les épaules, au col, à la poitrine, au poignet du bras droit, & en dernier lieu dans la main droite, disant à chaque onction la priere que porte le rituel de cette cérémonie. Les deux autres archevêques électeurs essuyent l'huile avec du coton, ensuite on revêt l'empereur de ses habits impériaux & des autres marques de sa dignité, comme le sceptre, le globe, &c. Quoique la bulle d'or prescrive de faire le couronnement de l'empereur à Aix-la-Chapelle, il se fait cependant ailleurs, comme à Francfort, Ausbourg, Nuremberg.

    Sacre ou Sacret, (Art milit.) ce nom se donnoit anciennement à des pieces de canon de fonte, qui pesoient depuis 2500 livres jusqu'à 2850. Elles chassoient des boulets de 4 & de 5 livres, & elles avoient environ 13 piés de longueur. Ces pieces ne sont plus d'usage, mais il est nécessaire qu'un officier d'artillerie en ait connoissance, afin de n'être point embarrassé dans les inventaires qu'il peut être chargé de faire, & dans lesquelles il peut se trouver de ces anciennes pieces. (Q)

    Sacre, s. m. (Faucon.) c'est une espece de faucon femelle, dont le mâle s'appelle sacret, il a les plumes d'un roux foncé, le bec, les jambes & les doigts bleus ; il est excellent, & courageux pour la volerie, mais difficile à traiter ; il est propre au vol du milan, du héron, des buses & autres oiseaux de montée : le sacre est passager, & vient du côté de Grece ; celui qui est pris après la mue, est le meilleur & le plus vîte.

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    Étymologie de « sacre »

    Voy. SACRER?; provenç. et ital. sagra?; espagn. sacra.

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    (Nom 1) Du verbe sacrer.
    (Nom 2) Du latin ecclésiastique sacer (« frappé d'anathème »), lui même du latin classique sacer (« maudit, exécrable »).
    (Nom 3) De l'arabe ???, çaqr (« faucon, oiseau de proie »).
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    SACRE1, subst. masc.
    Étymol. et Hist. 1. a) Ca 1170 « cérémonie par laquelle un roi est sacré » (Chrétien de Troyes, Erec, éd. M. Roques, 6805); b) 1174-76 « consécration d'un évêque » (Guernes de Pont-Sainte-Maxence, St Thomas, éd. E. Walberg, 4790); 2. 1816 p. ext., fig. « consécration » (Chateaubr., Mél. pol., t. 2, p. 230). Déverbal de sacrer*.

    sacré au Scrabble


    Le mot sacré vaut 7 points au Scrabble.

    sacre

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    sacre

    Les rimes de « sacré »


    On recherche une rime en RE .

    Les rimes de sacré peuvent aider les poètes et les paroliers à trouver des mots pour former des vers avec une structure rythmique cohérente, mais aussi pour jouer avec les mots et les sons, découvrir de nouvelles idées et perspectives ce qui peut être amusant et divertissant.

    Les rimes en Re

    Rimes de déciderais      Rimes de moirées      Rimes de tiré      Rimes de consolerais      Rimes de exaspérée      Rimes de restaurait      Rimes de décélérer      Rimes de encadré      Rimes de sablerais      Rimes de comparer      Rimes de avérée      Rimes de désemparée      Rimes de gratouillerait      Rimes de réverbéré      Rimes de rejoindrait      Rimes de soulèverais      Rimes de apprendrait      Rimes de asservirai      Rimes de énumérai      Rimes de scierait      Rimes de coffrerai      Rimes de apeuré      Rimes de siégeraient      Rimes de enterrés      Rimes de macéré      Rimes de transférerait      Rimes de séparées      Rimes de perforés      Rimes de rez      Rimes de censurez      Rimes de sevré      Rimes de démontrés      Rimes de assurée      Rimes de sélectionnerais      Rimes de entrait      Rimes de prolongeraient      Rimes de améliorés      Rimes de mourrez      Rimes de écraseraient      Rimes de ocrés      Rimes de peinturlurée      Rimes de rangerai      Rimes de peinturé      Rimes de renouvellerait      Rimes de pérorais      Rimes de libérées      Rimes de éclaircirait      Rimes de déconcentrée      Rimes de rouvrait      Rimes de augurer     

    Mots du jour

    déciderais     moirées     tiré     consolerais     exaspérée     restaurait     décélérer     encadré     sablerais     comparer     avérée     désemparée     gratouillerait     réverbéré     rejoindrait     soulèverais     apprendrait     asservirai     énumérai     scierait     coffrerai     apeuré     siégeraient     enterrés     macéré     transférerait     séparées     perforés     rez     censurez     sevré     démontrés     assurée     sélectionnerais     entrait     prolongeraient     améliorés     mourrez     écraseraient     ocrés     peinturlurée     rangerai     peinturé     renouvellerait     pérorais     libérées     éclaircirait     déconcentrée     rouvrait     augurer     


    Les citations sur « sacré »

    1. La solitude, c'est se raconter à soi-même des blagues et les trouver drôles. La solitude, c'est consacrer chacune de ses pensées à l'étude d'un temps qui ne s'écoule plus, ne file plus, n'avance pas, compressé, lourd, minéral, pierreux.

      Auteur : Nicolas Delesalle - Source : Le goût du large (2016)


    2. L'Eucharistie est le sacrement le plus parfait de l'union au Christ.

      Auteur : Jean-Paul II - Source : Sans référence


    3. Le mariage est un sacrement en vertu duquel nous ne communiquons que des chagrins.

      Auteur : Honoré de Balzac - Source : Sans référence


    4. L'ouverture à la vie est une condition du sacrement de mariage. Cela ne signifie pas que les chrétiens doivent faire des enfants en série. Certains croient, excusez-moi du terme, que, pour être bons catholiques, ils doivent être comme des lapins.

      Auteur : Pape François - Source : 19 janvier 2015


    5. Pleurez, doux alcyons! O vous oiseaux sacrés,
      Oiseaux chers à Thétis, doux alcyons, pleurez!


      Auteur : André Chénier - Source : La Jeune Tarentine


    6. Y a-t-il un plus grand exemple que la tolérance était regardée par les Romains comme la loi la plus sacrée du droit des gens ?

      Auteur : Voltaire - Source : Traité sur la tolérance à l'occasion de la mort de Jean Calas (1763), VIII


    7. La moitié de mon âme est dans la nef fragile - Qui sur la mer sacrée où chantait Arion - Vers la terre des Dieux porte le grand Virgile.

      Auteur : José Maria de Heredia - Source : Les Trophées (1893)


    8. Archevêque : Dignitaire ecclésiastique plus sacré d'un cran qu'un évêque.

      Auteur : Ambrose Bierce - Source : Le Dictionnaire du Diable (1911)


    9. Un malade imaginaire : Un malade qui ne voulait pas recevoir les sacrements disait à son ami : Je vais faire semblant de ne pas mourir.

      Auteur : Sébastien-Roch Nicolas de Chamfort - Source : Maximes et Pensées, Caractères et Anecdotes (1795)


    10. Il est clair qu'assassiner des enfants ou des hommes, simplement parce qu'ils sont juifs, est plus ignoble que de massacrer une rédaction engagée dans un combat.

      Auteur : Emmanuel Todd - Source : Qui est Charlie ? : Sociologie d'une crise religieuse (2015)


    11. Le temps qui nous manque c'est toujours celui qu'on aurait voulu consacrer à ceux qu'on aime.

      Auteur : Sylvain Trudel - Source : Terre du roi Christian (1989)


    12. Lorsque Rimbaud dit: «Je finis par trouver sacré le désordre de mon esprit», il montre qu'il a compris qu'il y a dans le désordre quelque chose sans lequel la vie ne serait que platitude mécanique.

      Auteur : Edgard Morin - Source : Amour, poésie, sagesse


    13. Est-ce que la raison de l'espèce humaine n'est pas tout autrement sacrée que la raison d'un législateur?

      Auteur : Denis Diderot - Source : Entretien d'un père avec ses enfants (1771)


    14. L'art est l'expression sacrée de forces invisibles et surnaturelles scellées par les génies.

      Auteur : Jean-Marie Adiaffi - Source : La carte d'identité (1980)


    15. Vous devez avoir envie de tourner la page. Il y a de très belles sagas dont vous pouvez apprécier un chapitre avant de reposer le livre. Mais si vous lisez mes livres, je veux que vous soyez obligés de lire le paragraphe d’après. Le plus grand compliment que je peux recevoir c’est : « J’ai lu votre sacré bouquin jusqu’à 4 heures du matin et maintenant je suis fatigué.» Je réponds : « Vous en avez eu pour votre argent.»

      Auteur : Mary Higgins Clark - Source : A ses lecteurs en 2013


    16. Quand même il serait en état de réciter nombre de textes sacrés, l’étourdi, qui n’agit point conformément à ces textes, ressemble au vacher comptant les vaches d’autrui, et ne fait point partie de la Communauté.

      Auteur : Bouddha - Source : Le Dhammapada


    17. J'avais l'intuition, depuis ma jeunesse, que ce pays souffrait non pas d'un manque de nourriture et d'espoir, mais d'un mal encore plus terrible et qui pouvait conduire à la construction de pyramides ou à la perpétration de massacres : le désoeuvrement.

      Auteur : Kamel Daoud - Source : Minotaure 504 (2011)


    18. Je suis né d'une mère folle très géniale. Elle était généreuse, simple, et des perles coulaient de ses lèvres. Je les ai recueillies sans savoir leur valeur. Après le massacre (8 mai 1945), je l'ai vue devenir folle. Elle, la source de tout. Elle se jetait dans le feu, partout où il y avait du feu. Ses jambes, ses bras, sa tête, n'étaient que brûlures. J'ai vécu ça, et je me suis lancé tout droit dans la folie d'un amour, impossible pour une cousine déjà mariée.

      Auteur : Yacine Kateb - Source : Kateb Yacine dans Ghania Khelifi, 1990, p. 13


    19. D'où vient que chaque fois qu'un bourg informe se transforme en cité, ou un semis de villes en nation, s'élève d'un espace plan délimité un sémaphore en houlette - obélisque, flèche, colonne, rostres, statue de la Liberté, tour Eiffel ou montagne sacrée ?

      Auteur : Régis Debray - Source : Eloge des frontières (2010)


    20. L'art consacre le meurtre d'une habitude. L'artiste se charge de lui tordre le cou. Notre époque confuse se trouve prise, par exemple, au piège des peintres, parce que l'habitude lui est venue peu à peu de comparer un tableau à d'autres.

      Auteur : Jean Cocteau - Source : Journal d'un inconnu (1953)


    21. Et moi, je contemplais celle qui priait Dieu
      Dans l'enceinte sacrée,
      La trouvant grave et douce et digne du saint lieu,
      Cette belle éplorée.


      Auteur : Victor Hugo - Source : Les Chants du crépuscule (1835)


    22. C'est donc cela, les pleurs, les vrais. Des blessures en avalanche, les muscles, la peau, les os, le sang, qui tentent de sortir par les yeux, qui fuient ce navire à la dérive, cette épave incapable d'accueillir d'autres matelas que ceux du passé, dont le pont s'est depuis longtemps écroulé sous le poids de ce grelot, énorme à présent, monstrueux, une gigantesque boule qui grossissait encore. C'est donc cela, les pleurs : le sacre du désespoir.

      Auteur : Cécile Coulon - Source : Une bête au paradis (2019)


    23. Nous suivons Descartes, et délaissons Pascal. Aussi cherchons-nous d'abord à développer en nous l'intelligence. Quant aux activités non intellectuelles de l'esprit, telles que le sens moral, le sens du beau et surtout le sens du sacré, elles sont négligées de façon presque complète. L'atrophie de ces activités fondamentales fait de l'homme moderne un être spirituellement aveugle. Une telle infirmité ne lui permet pas d'être un bon élément constitutif de la société. C'est à la mauvaise qualité de l'individu qu'il faut attribuer l'effondrement de notre civilisation. En fait, le spirituel se montre aussi indispensable à la réussite de la vie que l'intellectuel et le matériel. Il est donc urgent de ressusciter en nous-mêmes les activités mentales qui, beaucoup plus que l'intelligence, donnent sa force à la personnalité. La plus ignorée d'entre elles est le sens du sacré, ou sens religieux.

      Auteur : Alexis Carrel - Source : Un médecin parle de la prière (1944)


    24. Il y a encore jusques aujourd'huy en estre quelques uns des dons qu'il a consacrez aux dieux.

      Auteur : Jacques Amyot - Source : Nicias, 4


    25. Servaz se dit que le jour oû le monde finirait dans un déchainement de catastrophes climatiques, d'effondrements boursiers, de massacres et d'émeutes, il y aurait des types assez cons pour marquer des buts et d'autres encore plus cons pour se rendre au stade et les encourager.

      Auteur : Bernard Minier - Source : Le cercle (2012)


    Les citations sur sacré renforcent la crédibilité et la pertinence de la définition du mot sacre en fournissant des exemples concrets et en montrant l'utilisation d'un terme par des personnes célèbres. Elles peuvent également renforçer la compréhension du sens d'un terme et en ajoutant une dimension historique.

    Les mots proches de « sacre »

    SacSacSaccadeSaccaderSaccagementSaccagerSaccageurSaccharificationSaccharin, ineSaccharoseSacerdoceSacerdotal, aleSacerdotalismeSachéeSachemSachetSachet, etteSacocheSacramentaireSacramentaireSacramental, ale ou sacramenteSacramentalement ou sacramenteSacreSacreSacreSacré, éeSacredireSacrementSacrerSacrerSacretSacrifiableSacrificateurSacrificatureSacrificeSacrificuleSacrifié, éeSacrifierSacrilégeSacrilégeSacrilégementSacripantSacristainSacristieSacristineSacro-lombaireSacro-saint, ainteSacrum

    Les mots débutant par sac  Les mots débutant par sa

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    Les synonymes de « sacre»

    Les synonymes de sacré :

      1. épilepsie
      2. haut
    Les synonymes de sacré :

      1. avènement
      2. arrivée
      3. venue
      4. accession
      5. couronnement
      6. consécration
      7. intronisation
      8. bénit
    Les synonymes de sacré :

      1. auguste
      2. solennel
      3. majestueux
      4. imposant
      5. pompeux
      6. respectable
      7. vénérable
      8. noble
      9. élevé
      10. clown
      11. bénit
      12. oint
      13. consacré
      14. biblique
      15. hébraïque
      16. inspiré
      17. judaïque
      18. révélé
      19. fétiche
      20. amulette
      21. gri

    synonymes de sacré

    Fréquence et usage du mot sacré dans le temps


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