La définition de Très du dictionnaire français. Signification du mot et son éthymologie - De nombreux exemples d'usage en français ainsi que des citations.

Très
Nature : adj.
Prononciation : trê ; l's se lie : trê-z heureux
Etymologie : Bourguig. tré ; du lat. trans, au delà. Si l'on prend en considération le sens de très dans l'anç. français, qui est beaucoup, dès, jusqu'à ; si on le voit en composition dans trespasser et autres mots ; si on tient compte de l'ital. tracodardo, très couart, trafreddo, très froid, etc. on reconnaîtra que très est la forme française de trans.

Voir les citations du mot TrèsSignification du mot Très


Notre dictionnaire de français vous présente les définitions de très de manière précise, avec des exemples pertinents pour aider à comprendre la signification du mot.

Notre dictionnaire de définitions comprend des informations complémentaires telles que la nature du mot, sa prononciation, des exemples d'expressions, l'étymologie, les synonymes, les homonymes, les antonymes mais également les rimes et anagrammes. Quand la définition du mot s'y prête nous vous proposons des citations littéraires en rapport avec très pour illustrer la compréhension du mot ou préciser le sens et de répondre à la question quelle est la signification de Très ?


La définition de Très

Particule qui marque le superlatif absolu, et qui se joint à un adjectif, à un participe et à un adverbe ; on unit ces deux mots par un trait d'union ; du moins c'est l'usage du Dictionnaire de l'Académie. Une campagne très agréable. Il est très estimé et très aimé. Cela lui arrive très rarement.


Toutes les définitions de « très »


Dictionnaire de l'Académie française, huitième édition

TRÈS. adv.
Beaucoup, au plus haut point; il marque le superlatif absolu et ne s'emploie que devant un adjectif, un participe pris adjectivement ou un adverbe. Un homme très bon. Il est très connu. Très bien. Très fort. Très peu. Il a agi très sagement.

Littré

TRÈS (trê?; l's se lie?: trê-z heureux) adj.
  • 1Particule qui marque le superlatif absolu, et qui se joint à un adjectif, à un participe et à un adverbe?; on unit ces deux mots par un trait d'union?; du moins c'est l'usage du Dictionnaire de l'Académie. Une campagne très agréable. Il est très estimé et très aimé. Cela lui arrive très rarement. Il est très informé des questions du temps, et il sait parfaitement le secret des jésuites, Pascal, Prov. II.
  • 2Très se met devant une locution adverbiale?; alors le trait d'union ne s'emploie pas. Quand je parle de labourer la terre, je parle très à la lettre?: je me sers du nouveau semoir?, Voltaire, d'Argental, 19 déc. 1758. Mon ouvrage, qui avait été écrit à Gênes, très à la hâte, Galiani, Lett. à Mme d'Épinay, 28 avril 1770. Ce qui restera doit être donné à mon ambassadeur, qui m'a avancé cet argent?; mais, comme il est très en état d'attendre?, ID. ib. 18 sept. 1769. ? sur l'état de l'industrie et de l'agriculture en France, qu'il dit être très en souffrance, Gudin, Rapport au sénat, Monit. univ. 21 mars 1868, p. 423, 1re col.
  • 3On a contesté s'il pouvait se mettre devant un substantif. Cela est peu usité?; mais l'usage de bons auteurs y autorise. Il ne laisse pas de se fier à celui-ci, comme à un très homme de bien, Guez de Balzac, le Barbon. Oui, vous êtes sergent, monsieur, et très sergent, Racine, Plaid. II, 4.
  • 4Mme de Sévigné l'a mis devant un verbe à un temps composé. Ils m'ont très assuré que la vendange de cette année [un bain de vendange, pour des douleurs] m'aurait empirée, Sévigné, 30 sept. 1676.

HISTORIQUE

XIe s. Tres qu'en la mer [il] conquist la tere altaigne, Ch. de Rol. I. Si li truvez ki tres bien li ajut [aide], ib. LX. Le cors [il] li trenchet tres l'un costet qu'al altre, ib. CXIII.

XIIe s. Mais ma dame est de si tres grant vaillance [prix], Que son ami ne doit faire faillance, Couci, XXIV. L'apostoiles de Rome, tres en mi le palais, Les princes en apele, Sax. X.

XIIIe s. Aliste, se je puis, tres bien [je] marierai, Berte, VII. Et si tres en mal aise et si fort tourmentée, ib. LXVIII. Sachiez, si tres m'en deut li cuers [le c?ur] sous la mamele, ib. LXXXVI. Amis, dit Renart, di moi voir, Sez-tu ci entor nul manoir Où je trovasse que mengier?? Je ne manjoi tres [dès] avant er [hier], Ren. 23348. Je n'os mie bien recorder Sa beauté que ele a si tres, Ms. de poés. franç. av. 1300, t. I, p. 248.

XIVe s. En batailles les tres plus forts ne sont pas les mieux combatans, Oresme, Éth. 85. L'en a de tiex [tels] tres pitey et misericorde, Oresme, ib. 75. Pour ce que felicité est operacion selon vertu, il est raisonnable que ce soit selon la tres meilleur vertu, Oresme, ib. 313. Vous estes le cinquieme message vraiement Qu'envoié a li rois, dont je sui moult dolent, Qu'à lui n'ai obei tres le commencement, Guesclin. 17222.

XVe s. Et tres adont [aussitôt] furent instituées reigles et ordonnance d'ost mettre en forme d'eschieles, Christine de Pisan, Charles V, II, 2.

XVIe s. L'autre [trait] dangereux plus que très , Porte un fer de plomb mal couché, Par la pointe tout rebouché, Marot, I, 169.


SUPPLÉMENT AU DICTIONNAIRE

TRÈS. Ajoutez?:
5 Absolument. Vous êtes belle, plus que très, Corneille, Lexique, éd. Marty-Laveaux.

Le même Lexique dit que les paysans des environs de Paris emploient très de cette même manière?: Ce terrain est-il bon?? - Il ne l'est pas très.

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Wiktionnaire


Adverbe - français

très \t??\

  1. Beaucoup, au plus haut point (devant un adjectif ou un adverbe).
    • Lorsque dans une armée le besoin de récompenses se fait très vivement sentir, on peut affirmer que sa valeur est en baisse. (Georges Sorel, Réflexions sur la violence, Chap. VII, La Morale des producteurs, 1908, page 359)
    • Il avait été entendu entre maman et moi que si j'étais heureuse je lui écrirais : « Ici je suis très heureuse », en soulignant « très ». Et seulement « Je suis heureuse » si je ne l'étais pas. (Nathalie Sarraute, Enfance, Gallimard, 1983, collection Folio, page 114)
    • Les aliments détaillés en menus morceaux sont sautés très rapidement avec très peu de matière grasse dans un récipient hémisphérique placé sur un brûleur très puissant. (Michel Maincent-Morel, Techno Culinaire ? Bac Pro, Éditions BPI , 2011, page 270)
    • À quoi servent les faits divers ? [?] En règle générale, à faire du très mauvais journalisme, caressant le lecteur dans ses pulsions malsaines quitte à pulvériser les lignes jaunes du métier [?]. (Nicolas Demorand, Trouble, dans Libération, no 9535, 7 & 8 janvier 2012, page 3)
    • L'affaire sera jugée sur le fond le 31 mai, mais, en attendant, ces déboires juridiques vont augmenter la facture de la grève pour les agents dès la fin de ce mois et, sans doute, faire basculer une part des très-grévistes vers le camp des non-grévistes ou des peu-grévistes. (Éric Béziat, SNCF : la grève faiblit, le malaise cheminot grandit, Le Monde. Mis en ligne le 19 mai 2018)
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Trésor de la Langue Française informatisé


TRÈS, adv.

Adv. non prédicatif marquant l'intensité forte devant un mot susceptible de recevoir une gradation.
Rem. ,,Le mot très recouvre un être de langue qui est déficient du côté de la matière et ne constitue qu'une forme imposée à la matière fournie par l'adjectif (...) comme est le signe d'une forme le suffixe de superlatif qui dans certaines langues (cf. ital. -issimo) vient s'ajouter au radical de l'adjectif`` (G. Moignet, Ét. de psycho-systématique fr., Paris, Klincksieck, 1974, p. 145).
A. ? [Devant un adj.] Vinrent huit petits cochons (...) ils luttaient entre eux, arc-boutés comme des chèvres, et leurs très petits pas étaient précipités (Jammes, De l'angélus, 1898, p. 115).Où ai-je déjà vu ce menton net et ce regard froid, et ces cheveux très blonds lissés en bandeaux? (Farrère, Homme qui assass., 1907, p. 109).Il y avait (...) un voyou très « modern' style » qui ressemblait à une bottine jaune (Fargue, Piéton Paris, 1939, p. 132).
? [Dans un titre (souvent avec une majuscule) pour qualifier une pers. (ou un pays) auxquels on attribue une certaine prééminence] La Très Sainte Mère l'Église; la Très Sainte Vierge Marie; sa Très Gracieuse Majesté. Louis XVIII était affligé de la froideur avec laquelle l'ambassadeur de Sa Majesté Très Chrétienne avait été reçu (Chateaubr., Mém., t. 3, 1848, p. 97).
? [Dans les formules de politesse] Je suis, Monsieur, votre très humble et très dévoué (Flaub., Corresp., 1872, p. 35).
? [Précédé de très, l'adj. de relation prend une valeur caractérisante] C'est un défaut très féminin d'aller d'une exagération à l'autre (Frapié, Maternelle, 1904, p. 224).Mais qu'entend-on par une personne ou une chose très parisienne ? (Fargue, Piéton Paris, 1939, p. 171).
Rem. 1. Très, qui permet de représenter la qualité à son degré le plus élevé sans compar. avec d'autres (superl. abs.), est en principe exclu devant un adj. compar. (meilleur, moindre, pire) ou devant un adj. qui ne peut recevoir une gradation (infime, essentiel) ou qui a la valeur d'un superl. (excessif, extrême, primordial, supérieur). On peut noter toutefois qq. ex. de ces empl.: Avant de quitter Paris, il était très essentiel de s'assurer de quelques moyens d'influence (Reybaud, J. Paturot, 1842, p. 311). Heine a tous les défauts d'un journaliste très supérieur (Du Bos, Journal, 1927, p. 199). Vous êtes sans doute trop orgueilleuse pour me faire, à moi très infime, l'honneur d'une scène de jalousie (Duhamel, Cécile, 1938, p. 164). 2. Très fonctionnait, d'apr. Littré, comme un élém. de compos. indiquant une qualité supérieure: C'est une assez grande île, où l'on trouva du bois, de l'eau, des rafraîchissemens, et des habitans très-pacifiques (Voy. La Pérouse, t. 1, 1797, p. 103). À la très-chère, à la très-belle Qui remplit mon c?ur de clarté (...) Salut en l'immortalité (Baudel., Fl. du Mal, 1867, p. 268).
B. ? [Devant un adv.] Et le grand soleil équatorial buvait très vite toute cette eau tombée sur nous (Loti, Mon frère Yves, 1883, p. 71).Il parlait très curieusement et très abondamment d'un retable qu'il venait de voir (Goncourt, Journal, 1894, p. 680).
C. ? [Devant un subst. non déterminé en fonction d'adj.] J'étais un enfant très enfant, un petit garçon garçonnant, un petit animal vif et joyeux (A. France, Pt Pierre, 1918, p. 234).Très mode ? col lacet mélangé argent et or (Catal. jouets (Louvre) 1936).
? [Le subst. est précédé d'un adj.] Un régime de république suisse, esprit radical et très petit bourgeois (Maurras, Kiel et Tanger, 1914, p. 86).
? [Le subst. est suivi d'un compl. déterminatif] Je la trouvai très « femme du monde », et ce grade, que je lui décernai d'emblée, ne m'emballa pas sur elle (Gyp, Souv. pte fille, 1928, p. 82).
? [Devant un nom propre] Très Ève, « éternel féminin »; elle est belle (Gide, Voy. Congo, 1927, p. 759).Le ton est très Rilke, et me faisait penser à sa voix (Larbaud, Journal, 1934, p. 278).
D. ? [Devant un groupe prép. en fonction d'attribut] Le docteur est très en verve ce soir (Maurois, Sil. Bramble, 1918, p. 139).Les sièges formaient là un endroit retiré très hors du monde (Jouve, Scène capit., 1935, p. 241).La marche chantée était très en faveur dans l'armée allemande (Ambrière, Gdes vac., 1946, p. 263).
E. ? [Empl. improprement dans une loc. verb. formée d'un auxil. ou d'un verbe support (avoir, être, faire, prendre...) et d'un subst. abstr. désignant des ,,sensations ou des sentiments à l'état brut: faim, soif, froid, chaud, sommeil, mal, peur, envie, plaisir, honte, hâte...`` (G. Moignet, op. cit., p. 154); empl. critiqué] Un jour, elle se retrouva dans son lit, bien faible, ayant très faim (A. France, Jocaste, 1879, p. 74).Il faut que nous fassions très attention, il faut que nous soyons très prudents (Guitry, Veilleur, 1911, iii, p. 19).
? [Dans une loc. à la forme impers. désignant un phénomène météor.] Cosette pensait donc qu'il était nuit, très nuit, qu'il avait fallu remplir à l'improviste les pots et les carafes dans les chambres des voyageurs (Hugo, Misér., t. 1, 1862, p. 462).Dans la rue, il faisait très doux, déjà l'on pressentait les caresses de juin, malgré l'heure tardive (Aragon, Beaux quart., 1936, p. 324).
F. ? [Devant un part. passé]
1. [Le part. passé est pris adj.] Son domestique par derrière, très enveloppé de manteaux (Nerval, Voy. Orient, t. 1, 1851, p. 9).De grands triangles de pâte très feuilletée où se niche un ?uf mollet (Gide, Journal, 1943, p. 169).
2. [Très renforce le procès exprimé par le part. passé qui conserve une valeur verbale passive] Cette dernière chanson fut très applaudie par les inconnues (Restif de La Bret., M. Nicolas, 1796, p. 235).La rivière est très grossie par les pluies précédentes (Maine de Biran, Journal, 1816, p. 249).
? En partic.
? [Si le procès exprimé par le verbe est réitérable, la gradation porte soit sur le nombre d'agents effectuant le procès, soit sur le nombre de fois que chacun de ces agents effectue le procès] On risquait (...) à traverser un carrefour très fréquenté (Camus, Peste, 1947, p. 1335).Cette passerelle est très utilisée par Marie et Jean. Cette passerelle est très utilisée, quotidiennement, une fois à l'aller une fois au retour (J. Authier, Note sur l'interprétation sémantique de « très + participe passé passif »ds Cah. Lexicol.1980, no37, p. 28).
? [L'obj. (suj. du passif) peut désigner un type, un modèle...] Cette maison est très construite par ici. Ce modèle a été très vendu (J. Authier, Note sur l'interprétation sémantique de « très + participe passé passif »ds Cah. Lexicol.1980, p. 30).
? [Avec un verbe de sentiment, très porte sur la force du sentiment éprouvé par une pers. donnée ou sur la quantité de pers. éprouvant ce sentiment] Mais il est aimé, très aimé, souvent aimé (Balzac, Cous. Bette, 1846, p. 359).
? [Très peut marquer qu'une partie importante de l'obj. (suj. du passif) est affectée par le procès] Des souvenirs qui datent de si loin (...) sont très-brisés dans ma mémoire, et ce n'est pas ma mère qui eût pu m'aider par la suite à les enchaîner (Sand, Hist. vie, t. 2, 1855, p. 187).? Ma jambe! (...) La carne! ? Était-elle très abîmée! (Benjamin, Gaspard, 1915, p. 147).
Rem. 1. Très peut être empl. absol., spéc. dans la reprise d'un discours où l'on omet de reprendre le terme modifié par l'adv.: Henriette: Denis est très intelligent! Gabrielle: Très! Henriette: Il sait un tas de choses (Bernstein, Secret, 1913, I, 5, p. 8). ? (...) Elle est très habile. ? Très! soupira Elsa (Sagan, Boujour tristesse, 1954, p. 94). 2. Très est fréq. repris pour en renforcer l'intensité: On y buvait du petit vin blanc très... très passable (Erckm.-Chatr., Ami Fritz, 1864, p. 159). Il est vrai que la dame a plus de cinquante ans, mais elle est très-très riche (Lorrain, Modern., 1885, p. 106).
Prononc. et Orth.: [t? ?] devant cons., [t? ?z] devant voy. ou h muet: très belle [t? ?b?l], très agréable [t? ?zag?eabl?]. Ac. 1694: tres; 1718: trés ; dep. 1740: très. Ac. 1694: tres-bon, tres-mauvais, tres-bien et 1740-1835: très-bon, très-mauvais, très-bien. V. aussi Littré: ,,Se joint à un adjectif, à un participe et à un adverbe; on unit ces deux mots par un trait d'union; du moins c'est l'usage du Dictionnaire de l'Académie``. Rob. 1985 explique cette façon d'écrire par l'orig. préf. de très: ,,Son caractère originel de préfixe a longtemps subsisté dans l'orthographe: il est accolé au mot dans le Dictionnaire de R. Estienne (tresbon, treslong etc.), et on l'a lié ensuite au mot par un trait d'union (très-bon), que l'imprimeur Didot fut le premier à supprimer, suivi par l'Académie en 1877``. On a, effectivement, très bon, tres bien ds Ac. 1878 et 1935 mais 1718 écrit déjà: trés bon, trés bien. Étymol. et Hist. 1. Ca 1050 placé devant un adj. ou un autre adv. pour marquer le superl. abs. (Alexis, éd. Chr. Storey, 547); 2. 2emoit. xiiies. devant un nom empl. comme adj. ou devant une loc. à valeur adj. (Gaufrey, 292 ds T.-L.); 3. ca 1225 dans des loc. verb. d'état comp. de avoir et d'un subst. (Gautier de Coincy, Mir. Vierge, éd. V. F. Koenig, II Mir 26, t. 4, p. 269: J'ai si tres soif); 4. ca 1450-65 empl. dans les réponses avec ell. de l'adj. ou de l'adv. (Charles d'Orléans, Rondeaux ds ?uvres, éd. P. Champion, t. 2, p. 347); 5. 1668 devant un subst. (Racine, Plaideurs, II, 4); 6. 1715 s'emploie devant un part. à valeur verbale de passif (A. Lesage, Gil Blas, éd. M. Bardon, t. 2, L. XII, ch. VIII, p. 336, éd. Garnier 1962). Du lat. trans « au delà de, par-delà », « par-dessous, de l'autre côté de », qui pouvait comme préverbe avoir le sens de « de part en part, complètement » d'où son empl. comme adv. superl. passé très tôt en a. fr. Très est parfois encore prép. en a. fr. et jusqu'au xvies. au sens de « jusqu'à, dès, depuis, auprès, derrière... » (v. Gdf., T.-L. et FEW t. 13, 2, pp. 197b-199) et a formé de nombreuses loc. tres puis, tres or, etc. Fréq. abs. littér.: 68 535. Fréq. rel. littér.: xixes.: a) 74 526, b) 105 566; xxes.: a) 118 891, b) 99 810. Bbg. Authier (J.). Note sur l'interprétation sém. de « très + participe passé passif ». Cah. Lexicol. 1980, t. 37, no2, pp. 25-33. ? Blanc (B.). Ét. de la combinaison très + participe passé passif. Mém., Paris III, 1978, 83 p. ? Darm. 1877, p. 146. ? Gaatone (D.). Obs. sur l'oppos. très-beaucoup. R. Ling. rom. 1981, t. 45, pp. 74-95. ? Gohin 1903, p. 340. ? Le Flem (D. C.). Syst. de la compar. en fr. contemporain... Congrès Internat. de Ling. et Philol. Rom. 14. 1974. Naples. Napoli; Amsterdam, 1979, pp. 493-517. ? Michaëlsson (K.). Neuphilol. Mitt. 1943, t. 44, pp. 108-112. ? Schwarz (Ch.). Zur kategorialgrammatischen Klassifierung von neufr. très. Papiere zur Linguistik. 1977, pp. 17-185. ? Togeby (K.). Gramm. fr. vol. 4: les mots inv. Copenhague, 1984, pp. 183-186.

TRÈS, adv.
Étymol. et Hist. 1. Ca 1050 placé devant un adj. ou un autre adv. pour marquer le superl. abs. (Alexis, éd. Chr. Storey, 547); 2. 2emoit. xiiies. devant un nom empl. comme adj. ou devant une loc. à valeur adj. (Gaufrey, 292 ds T.-L.); 3. ca 1225 dans des loc. verb. d'état comp. de avoir et d'un subst. (Gautier de Coincy, Mir. Vierge, éd. V. F. Koenig, II Mir 26, t. 4, p. 269: J'ai si tres soif); 4. ca 1450-65 empl. dans les réponses avec ell. de l'adj. ou de l'adv. (Charles d'Orléans, Rondeaux ds ?uvres, éd. P. Champion, t. 2, p. 347); 5. 1668 devant un subst. (Racine, Plaideurs, II, 4); 6. 1715 s'emploie devant un part. à valeur verbale de passif (A. Lesage, Gil Blas, éd. M. Bardon, t. 2, L. XII, ch. VIII, p. 336, éd. Garnier 1962). Du lat. trans « au delà de, par-delà », « par-dessous, de l'autre côté de », qui pouvait comme préverbe avoir le sens de « de part en part, complètement » d'où son empl. comme adv. superl. passé très tôt en a. fr. Très est parfois encore prép. en a. fr. et jusqu'au xvies. au sens de « jusqu'à, dès, depuis, auprès, derrière... » (v. Gdf., T.-L. et FEW t. 13, 2, pp. 197b-199) et a formé de nombreuses loc. tres puis, tres or, etc.

Très au Scrabble


Le mot très vaut 4 points au Scrabble.

tres

Informations sur le mot tres - 4 lettres, 1 voyelles, 3 consonnes, 4 lettres uniques.

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Le calcul de points ne prend pas en compte lettre compte double, lettre compte triple, mot compte double et mot compte triple. Ces cases augmentent les valeurs des mots posés selon un coefficient indiqué par les règles du jeu de Scrabble.

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tres

Les mots proches de Très

Tréaz ou trezTrébuchableTrébuchant, anteTrébuché, éeTrébuchementTrébucherTrébuchetTredameTréfilerTréfilerieTréfileurTrèfleTréfoncierTréfonds ou très-fondsTreillageTreilleTreillisTreillissé, éeTreillisserTreillonTreizaineTreizeTreizièmeTrémaTrémailTrématerTremblaieTremblant, anteTrembleTrembleTremblementTremblerTremble-terreTrembleur, euseTremblotant, anteTremblotementTrembloterTrémeurTrémieTrémoireTrémoisTrémoliteTremoloTrémoussementTrémousserTrémoussoirTrempant, anteTrempeTrempé, éeTremperTréalTréauvilleTrébabuTrebanTrébanTrébasTrébédanTrèbesTrébeurdenTrébonsTrébons-de-LuchonTrébons-sur-la-GrasseTréboulTrébrivanTrébrytrébuchatrébuchaitrébuchaienttrébuchaistrébuchaittrébuchanttrébuchanttrébuchantetrébuchantestrébuchantstrébuchetrébuchétrébuchementtrébuchementstrébuchenttrébuchertrébuchestrébuchettrébucheztrébuchonstrecentoTréclunTréconTrédanielTrédarzecTrédiasTrédionTrédrez-LocquémeauTréduderTrefconTreffayTreffendelTreffiagatTreffieuxTreffléan


Mots du jour


Nurage ou nuraghe     Hussitisme     Inflexion     Mangouste     Élu, ue     Dessouvenir (se)     Ranger     Popoffka     Tarole     Cingler     

Les citations avec le mot Très


  1. Quand une épingle tombe sur le parquet dans une chambre vide, le bruit en semble disproportionné, démesuré: il en va de même quand le vide règne entre les êtres. On ne sait plus si l'on crie ou si plane un silence de mort.

    Auteur : Robert Musil - Source : L'Homme sans qualités (1933)


  2. Quelqu'un à dit un jour des hommes politiques anglais qu'on pouvait leur donner un coup de pied au derrière sans que ne tressaille un muscle de leur visage avant qu'ils n'aient décidé de la réaction à adopter.

    Auteur : Terry Pratchett - Source : La Longue Terre (2012)


  3. Durant toute ma longue vie, relativement heureuse pourtant, je n’ai jamais connu que des moments de bonheur très brefs, très aigus. Et, très rares. Ils se comptent sur les doigts d’une main.

    Auteur : Claude Sarraute - Source : Encore un instant (2017)


  4. Vous avez tous peur les uns des autres, c'est pas autre chose. Vous avez tous peur que les autres aient quelque chose à raconter sur votre compte.

    Auteur : John Steinbeck - Source : Des souris et des hommes (1937)


  5. Je les aime toutes, mes chansons... Je vis avec des trésors. Je suis très riche. Riche de mots.

    Auteur : Juliette Gréco - Source : Interview L'Express, propos recueillis par Dominique Simonnet le 08/11/2001


  6. L'âge ne sépare pas les êtres qui se ressemblent.

    Auteur : Cécile Gavriloff, dite Alice Ferney - Source : La conversation amoureuse (2000)


  7. Maîtresse, s. F., terme d'outrage par lequel un homme flétrit la conduite d'une femme qui a eu l'imprudence de se donner à lui ou à quelqu'un de ses semblables.

    Auteur : Paul Bourget - Source : Physiologie de l'amour moderne (1883)


  8. Ne jamais parler de soi aux autres et leur parler toujours d'eux-mêmes ; c'est tout l'art de plaire. Chacun le sait et tout le monde l'oublie.

    Auteur : Les frères Goncourt - Source : Journal


  9. Savoir choisir dans la nature ce qu'il faut imiter est assurément le grand problème de l'art, du moins c'est à le résoudre que se sont appliqués de tout temps les maîtres qui ont laissé une renommée durable.

    Auteur : Prosper Mérimée - Source : Les Beaux-Arts en Angleterre, Revue des Deux Mondes, 15 octobre 1857.


  10. Les gens très âgés se languissent et meurent. Cela, nous le savons, mais les gens très âgés le savent bien mieux que nous. Ils vivent dans un monde de perte continuelle et cela, ainsi que l'avait dit ma mère, c'est cruel.

    Auteur : Siri Hustvedt - Source : Un été sans les hommes (2011)


  11. La tendresse constitue le trésor des ménages unis. Même charnelle, la tendresse est un sentiment, et qui ne s'accommode pas avec la lubricité.

    Auteur : Jean Dutourd - Source : Le Complexe de César (1946)


  12. On ne sait jamais rien pour les autres.

    Auteur : Lyse Desroches - Source : Sans référence


  13. Tous les hommes voudraient cheminer sur la route de la Connaissance. Cette route, les uns la cherchent, d'autres affirment qu'ils l'ont trouvée. Mais, un jour, une voix criera: « Il n'y a ni route, ni sentier. »

    Auteur : Omar Khayyam - Source : Ruba'iyat


  14. L'esprit est plus fort que la chair, ce qui veut dire que la chair est légère à porter pour l'esprit. Ça signifie qu'il y a une manière de vivre - une manière de le faire, mec. C'est là qu'intervient Rastafari. Parce que tous les autres disent que quand on meurt on va au Paradis. Non, ça me plait pas. Parce que si je vais au paradis quand je serai mort, j'étais où, avant ? Si le paradis était l'endroit fait pour moi, si c'était là que j'étais avant de naître, j'aurais dû y rester.

    Auteur : Bob Marley - Source : La sagesse et l'espoir (2011)


  15. Il avait pris au sérieux des mots sans importance, et était devenu très malheureux.

    Auteur : Antoine de Saint-Exupéry - Source : Le Petit Prince (1943)


  16. Pour des êtres de notre espèce, tu le sais, l'erreur est pire que le crime. Je vais donc faire effort pour t'expliquer ma conception de la philosophie nietzschéenne en ce qui te concerne : le surhomme est exempté des lois ordinaires qui gouvernent le commun des hommes. Rien de ce qu'il peut faire ne l'engage, à l'exception cependant du seul crime qu'il puisse commettre : faire une erreur.

    Auteur : Meyer Levin - Source : Crime (1958)


  17. La perfection: Nous ne parlons pas de la beauté et des autres perfections que les hommes ont voulu appeler perfection par ignorance, mais j'entends par perfection seulement la réalité de l'être.

    Auteur : Baruch Spinoza - Source : Principes de la philosophie de Descartes (1663)


  18. Si l'amour n'était pas la plus noble des passions, on ne le donnerait pas pour excuse à toutes les autres.

    Auteur : Marcel Achard - Source : Je ne vous aime pas (1926)


  19. La fouine a la physionomie très fine, loeil vif, le saut léger, les membres souples, le corps flexible, tous les mouvements très prestes.

    Auteur : Georges Louis Leclerc, comte de Buffon - Source : Histoire naturelle des animaux


  20. Si je crois à quelque chose et très gravement, c'est à la frivolité de l'art et aussi bien sûr au plaisir qu'il donne.

    Auteur : François Morellet - Source : Mais comment taire mes commentaires (1999)


  21. Il divisait les êtres en trois catégories: ceux qui préfèrent n'avoir rien à cacher plutôt que d'être obligés de mentir, ceux qui préfèrent mentir plutôt que de n'avoir rien à cacher, et ceux enfin qui aiment en même temps le mensonge et le secret.

    Auteur : Albert Camus - Source : La Chute (1956)


  22. Les jeunes: de l'avenir sans passé. Les vieux: du passé sans avenir. Seuls les très grands écrivains, ressuscités par la postérité, ont à la fois un brillant passé et un long avenir.

    Auteur : Philippe Bouvard - Source : Mille et une pensées (2005)


  23. Dufrény, l'abbé Pellegrin, l'abbé d'Alainval, Delille, auteur de Timon le misanthrope, et cent autres, sont morts dans la misère et ont été inhumés aux dépens de leurs amis ou de la charité de leur paroisse.

    Auteur : Jean le Rond d'Alembert - Source : Eloges, Charpentier


  24. Je ne mange pas d'huîtres. Je veux que mes aliments soient morts. Ni malades, ni blessés, simplement morts.

    Auteur : Woody Allen - Source : Sans référence


  25. J'ai trop le désir qu'on respecte la mienne pour ne pas respecter celle des autres.

    Auteur : Françoise Sagan - Source : Qui je suis? (Le Soir, 20 avril 1960).


Les citations du Littré sur Très


  1. Une infinité d'élogistes des dames illustres

    Auteur : BAYLE - Source : Lett. à la Monnoye, 8 juillet 1697


  2. J'entends, avecques une grande honte de nostre siecle, qu'à nostre veue deux tres excellents personnages en sçavoir sont morts en estat de n'avoir pas leur saoul à manger, Lilius Gregorius Giraldus en Italie et Sebastianus Castalion en Allemaigne

    Auteur : MONT. - Source : I, 257


  3. Car puisque fu trespassés Cuens Tibaus à mort de vie

    Auteur : HUES DE LA FERTÉ - Source : Romancero, p. 186


  4. Le pape Paul Ier envoie au roi des livres, des chantres et une horloge à roues ; Constantin Copronyme lui envoie aussi un orgue et quelques musiciens

    Auteur : Voltaire - Source : Ann. Emp. Charlemagne, 766


  5. Je vous avertis qu'il est fort vain : il aime à voir ramper devant lui les autres domestiques

    Auteur : LESAGE - Source : Gil. Bl. III, 3


  6. Nous voilà comme un amant et une maîtresse dont les lettres sont interceptées par les jaloux ; aimons-nous-en davantage

    Auteur : Voltaire - Source : Lett. Damilaville, 28 mai 1765


  7. Un peuple libre obéit, mais il ne sert pas ; il a des chefs, et non pas des maîtres ; il obéit aux lois, mais il n'obéit qu'aux lois ; et c'est par la force des lois qu'il n'obéit pas aux hommes

    Auteur : Jean-Jacques Rousseau - Source : Lett. de la mont. 9


  8. Et le gentil homme qui pris m'avoit estoit très bel homme

    Auteur : Jean Froissard - Source : III, IV, 42


  9. Tant sa présomption incessamment le presse De venir s'étaler aux pieds de sa maîtresse

    Auteur : SCARRON - Source : D. Japhet d'Arm. III, 2


  10. L'étendard d'un faux prophète réunit des pâtres errants dans les déserts de l'Arabie

    Auteur : TURGOT - Source : 2e disc. en Sorbonne.


  11. Il [Nébride] ne put refuser à ses prières instantes [de saint Augustin] d'entrer en qualité de sous-maître chez Vereconde, qui enseignait les belles-lettres à Milan

    Auteur : ROLLIN - Source : Traité des Ét. VII, 2e part. 4


  12. Je voudrais que vous sussiez que la maîtresse des novices est la plus importante charge de la maison, et, en un sens, plus que la supérieure

    Auteur : MAINTENON - Source : Lett. à Mme de la Viefville, 20 juin 1708


  13. Genre d'amaryllidacées, dans lequel on distingue le galanthe nivéal, appelé vulgairement perce-neige, nivéole, galanthine ou galantine, violier bulbeux, violier d'hiver, et qu'il ne faut pas confondre avec les espèces du genre leucoïon, amaryllidacées, dites également perce-neige et nivéole, entre autres le leucoïon du printemps

    Auteur : LEGOARANT - Source :


  14. Un don léger fait à ce jeune homme par Votre Majesté pour l'encourager dans ses études, serait digne du grand roi qui honore et protége les lettres d'un bout de l'Europe à l'autre

    Auteur : D'ALEMB. - Source : Lett. au roi de Prusse, 30 juill. 1781


  15. Desquels cauteres aucuns sont cultellaires, les autres ponctuels, les autres olivaires

    Auteur : PARÉ - Source : XVI, 33


  16. Les Grecs d'Égypte purent faire un commerce très étendu ; ils étaient maîtres des ports de la mer Rouge

    Auteur : Montesquieu - Source : Esp. II, 9


  17. La vitalité de certains êtres organisés

    Auteur : BONNET - Source : 7e lett. hist. nat. Oeuv. t. XI, p. 309, dans POUGENS.


  18. Des astres faux conjurez l'influence ; Effroi d'un jour, ils pâliront demain

    Auteur : BÉRANG. - Source : Ste Alliance.


  19. L'Académie peut en juger par le fragment de clayonnage que je mets sous ses yeux ; la quantité d'huîtres n'y est pas moindre que sur les fragments de roche

    Auteur : COSTE - Source : Comptes rendus, Acad. des sc. t. LII, p. 120


  20. Consolez-vous, bonne cousine, de n'avoir pas vu les glandes des crucifères ; de grands botanistes très bien oculés ne les ont pas mieux vues

    Auteur : Jean-Jacques Rousseau - Source : Lett. élém. sur la bot. Mél. t. VII, p. 135, dans POUGENS.


  21. Le suppliant et Pierre Depitres ont fait compte ou regard ensemble

    Auteur : DU CANGE - Source : regardum.


  22. Les autres sont trop empoulez et presque creux d'enfleures comme hydropiques, lesquels pensent n'avoir rien fait d'excellent, s'il n'est extravagant, creux et bouffy

    Auteur : RONS. - Source : 584


  23. De pilastres massifs les cloisons revêtues En moins de deux instants s'élèvent jusqu'aux nues ; Le chaume devient or, tout brille en ce pourpris

    Auteur : Jean de La Fontaine - Source : Phil. et Bauc.


  24. Avoient pris en grant vergogne, ce que des Hainuyers avoient esté ainsi rencontrés [d'avoir été ainsi rencontrés par les Hainuyers]

    Auteur : Jean Froissard - Source : I, I, 139


  25. Henriette, digne fille de saint Louis, y animait [dans la chapelle royale] tout le monde par son exemple, et y soutenait l'ancienne réputation de la très chrétienne maison de France

    Auteur : BOSSUET - Source : Reine d'Anglet.




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Mise à jour le mardi 23 décembre 2025 à 17h30










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