La définition de Très du dictionnaire français. Signification du mot et son éthymologie - De nombreux exemples d'usage en français ainsi que des citations.

Très
Nature : adj.
Prononciation : trê ; l's se lie : trê-z heureux
Etymologie : Bourguig. tré ; du lat. trans, au delà. Si l'on prend en considération le sens de très dans l'anç. français, qui est beaucoup, dès, jusqu'à ; si on le voit en composition dans trespasser et autres mots ; si on tient compte de l'ital. tracodardo, très couart, trafreddo, très froid, etc. on reconnaîtra que très est la forme française de trans.

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Notre dictionnaire de français vous présente les définitions de très de manière précise, avec des exemples pertinents pour aider à comprendre la signification du mot.

Notre dictionnaire de définitions comprend des informations complémentaires telles que la nature du mot, sa prononciation, des exemples d'expressions, l'étymologie, les synonymes, les homonymes, les antonymes mais également les rimes et anagrammes. Quand la définition du mot s'y prête nous vous proposons des citations littéraires en rapport avec très pour illustrer la compréhension du mot ou préciser le sens et de répondre à la question quelle est la signification de Très ?


La définition de Très

Particule qui marque le superlatif absolu, et qui se joint à un adjectif, à un participe et à un adverbe ; on unit ces deux mots par un trait d'union ; du moins c'est l'usage du Dictionnaire de l'Académie. Une campagne très agréable. Il est très estimé et très aimé. Cela lui arrive très rarement.


Toutes les définitions de « très »


Dictionnaire de l'Académie française, huitième édition

TRÈS. adv.
Beaucoup, au plus haut point; il marque le superlatif absolu et ne s'emploie que devant un adjectif, un participe pris adjectivement ou un adverbe. Un homme très bon. Il est très connu. Très bien. Très fort. Très peu. Il a agi très sagement.

Littré

TRÈS (trê?; l's se lie?: trê-z heureux) adj.
  • 1Particule qui marque le superlatif absolu, et qui se joint à un adjectif, à un participe et à un adverbe?; on unit ces deux mots par un trait d'union?; du moins c'est l'usage du Dictionnaire de l'Académie. Une campagne très agréable. Il est très estimé et très aimé. Cela lui arrive très rarement. Il est très informé des questions du temps, et il sait parfaitement le secret des jésuites, Pascal, Prov. II.
  • 2Très se met devant une locution adverbiale?; alors le trait d'union ne s'emploie pas. Quand je parle de labourer la terre, je parle très à la lettre?: je me sers du nouveau semoir?, Voltaire, d'Argental, 19 déc. 1758. Mon ouvrage, qui avait été écrit à Gênes, très à la hâte, Galiani, Lett. à Mme d'Épinay, 28 avril 1770. Ce qui restera doit être donné à mon ambassadeur, qui m'a avancé cet argent?; mais, comme il est très en état d'attendre?, ID. ib. 18 sept. 1769. ? sur l'état de l'industrie et de l'agriculture en France, qu'il dit être très en souffrance, Gudin, Rapport au sénat, Monit. univ. 21 mars 1868, p. 423, 1re col.
  • 3On a contesté s'il pouvait se mettre devant un substantif. Cela est peu usité?; mais l'usage de bons auteurs y autorise. Il ne laisse pas de se fier à celui-ci, comme à un très homme de bien, Guez de Balzac, le Barbon. Oui, vous êtes sergent, monsieur, et très sergent, Racine, Plaid. II, 4.
  • 4Mme de Sévigné l'a mis devant un verbe à un temps composé. Ils m'ont très assuré que la vendange de cette année [un bain de vendange, pour des douleurs] m'aurait empirée, Sévigné, 30 sept. 1676.

HISTORIQUE

XIe s. Tres qu'en la mer [il] conquist la tere altaigne, Ch. de Rol. I. Si li truvez ki tres bien li ajut [aide], ib. LX. Le cors [il] li trenchet tres l'un costet qu'al altre, ib. CXIII.

XIIe s. Mais ma dame est de si tres grant vaillance [prix], Que son ami ne doit faire faillance, Couci, XXIV. L'apostoiles de Rome, tres en mi le palais, Les princes en apele, Sax. X.

XIIIe s. Aliste, se je puis, tres bien [je] marierai, Berte, VII. Et si tres en mal aise et si fort tourmentée, ib. LXVIII. Sachiez, si tres m'en deut li cuers [le c?ur] sous la mamele, ib. LXXXVI. Amis, dit Renart, di moi voir, Sez-tu ci entor nul manoir Où je trovasse que mengier?? Je ne manjoi tres [dès] avant er [hier], Ren. 23348. Je n'os mie bien recorder Sa beauté que ele a si tres, Ms. de poés. franç. av. 1300, t. I, p. 248.

XIVe s. En batailles les tres plus forts ne sont pas les mieux combatans, Oresme, Éth. 85. L'en a de tiex [tels] tres pitey et misericorde, Oresme, ib. 75. Pour ce que felicité est operacion selon vertu, il est raisonnable que ce soit selon la tres meilleur vertu, Oresme, ib. 313. Vous estes le cinquieme message vraiement Qu'envoié a li rois, dont je sui moult dolent, Qu'à lui n'ai obei tres le commencement, Guesclin. 17222.

XVe s. Et tres adont [aussitôt] furent instituées reigles et ordonnance d'ost mettre en forme d'eschieles, Christine de Pisan, Charles V, II, 2.

XVIe s. L'autre [trait] dangereux plus que très , Porte un fer de plomb mal couché, Par la pointe tout rebouché, Marot, I, 169.


SUPPLÉMENT AU DICTIONNAIRE

TRÈS. Ajoutez?:
5 Absolument. Vous êtes belle, plus que très, Corneille, Lexique, éd. Marty-Laveaux.

Le même Lexique dit que les paysans des environs de Paris emploient très de cette même manière?: Ce terrain est-il bon?? - Il ne l'est pas très.

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Wiktionnaire


Adverbe - français

très \t??\

  1. Beaucoup, au plus haut point (devant un adjectif ou un adverbe).
    • Lorsque dans une armée le besoin de récompenses se fait très vivement sentir, on peut affirmer que sa valeur est en baisse. (Georges Sorel, Réflexions sur la violence, Chap. VII, La Morale des producteurs, 1908, page 359)
    • Il avait été entendu entre maman et moi que si j'étais heureuse je lui écrirais : « Ici je suis très heureuse », en soulignant « très ». Et seulement « Je suis heureuse » si je ne l'étais pas. (Nathalie Sarraute, Enfance, Gallimard, 1983, collection Folio, page 114)
    • Les aliments détaillés en menus morceaux sont sautés très rapidement avec très peu de matière grasse dans un récipient hémisphérique placé sur un brûleur très puissant. (Michel Maincent-Morel, Techno Culinaire ? Bac Pro, Éditions BPI , 2011, page 270)
    • À quoi servent les faits divers ? [?] En règle générale, à faire du très mauvais journalisme, caressant le lecteur dans ses pulsions malsaines quitte à pulvériser les lignes jaunes du métier [?]. (Nicolas Demorand, Trouble, dans Libération, no 9535, 7 & 8 janvier 2012, page 3)
    • L'affaire sera jugée sur le fond le 31 mai, mais, en attendant, ces déboires juridiques vont augmenter la facture de la grève pour les agents dès la fin de ce mois et, sans doute, faire basculer une part des très-grévistes vers le camp des non-grévistes ou des peu-grévistes. (Éric Béziat, SNCF : la grève faiblit, le malaise cheminot grandit, Le Monde. Mis en ligne le 19 mai 2018)
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Trésor de la Langue Française informatisé


TRÈS, adv.

Adv. non prédicatif marquant l'intensité forte devant un mot susceptible de recevoir une gradation.
Rem. ,,Le mot très recouvre un être de langue qui est déficient du côté de la matière et ne constitue qu'une forme imposée à la matière fournie par l'adjectif (...) comme est le signe d'une forme le suffixe de superlatif qui dans certaines langues (cf. ital. -issimo) vient s'ajouter au radical de l'adjectif`` (G. Moignet, Ét. de psycho-systématique fr., Paris, Klincksieck, 1974, p. 145).
A. ? [Devant un adj.] Vinrent huit petits cochons (...) ils luttaient entre eux, arc-boutés comme des chèvres, et leurs très petits pas étaient précipités (Jammes, De l'angélus, 1898, p. 115).Où ai-je déjà vu ce menton net et ce regard froid, et ces cheveux très blonds lissés en bandeaux? (Farrère, Homme qui assass., 1907, p. 109).Il y avait (...) un voyou très « modern' style » qui ressemblait à une bottine jaune (Fargue, Piéton Paris, 1939, p. 132).
? [Dans un titre (souvent avec une majuscule) pour qualifier une pers. (ou un pays) auxquels on attribue une certaine prééminence] La Très Sainte Mère l'Église; la Très Sainte Vierge Marie; sa Très Gracieuse Majesté. Louis XVIII était affligé de la froideur avec laquelle l'ambassadeur de Sa Majesté Très Chrétienne avait été reçu (Chateaubr., Mém., t. 3, 1848, p. 97).
? [Dans les formules de politesse] Je suis, Monsieur, votre très humble et très dévoué (Flaub., Corresp., 1872, p. 35).
? [Précédé de très, l'adj. de relation prend une valeur caractérisante] C'est un défaut très féminin d'aller d'une exagération à l'autre (Frapié, Maternelle, 1904, p. 224).Mais qu'entend-on par une personne ou une chose très parisienne ? (Fargue, Piéton Paris, 1939, p. 171).
Rem. 1. Très, qui permet de représenter la qualité à son degré le plus élevé sans compar. avec d'autres (superl. abs.), est en principe exclu devant un adj. compar. (meilleur, moindre, pire) ou devant un adj. qui ne peut recevoir une gradation (infime, essentiel) ou qui a la valeur d'un superl. (excessif, extrême, primordial, supérieur). On peut noter toutefois qq. ex. de ces empl.: Avant de quitter Paris, il était très essentiel de s'assurer de quelques moyens d'influence (Reybaud, J. Paturot, 1842, p. 311). Heine a tous les défauts d'un journaliste très supérieur (Du Bos, Journal, 1927, p. 199). Vous êtes sans doute trop orgueilleuse pour me faire, à moi très infime, l'honneur d'une scène de jalousie (Duhamel, Cécile, 1938, p. 164). 2. Très fonctionnait, d'apr. Littré, comme un élém. de compos. indiquant une qualité supérieure: C'est une assez grande île, où l'on trouva du bois, de l'eau, des rafraîchissemens, et des habitans très-pacifiques (Voy. La Pérouse, t. 1, 1797, p. 103). À la très-chère, à la très-belle Qui remplit mon c?ur de clarté (...) Salut en l'immortalité (Baudel., Fl. du Mal, 1867, p. 268).
B. ? [Devant un adv.] Et le grand soleil équatorial buvait très vite toute cette eau tombée sur nous (Loti, Mon frère Yves, 1883, p. 71).Il parlait très curieusement et très abondamment d'un retable qu'il venait de voir (Goncourt, Journal, 1894, p. 680).
C. ? [Devant un subst. non déterminé en fonction d'adj.] J'étais un enfant très enfant, un petit garçon garçonnant, un petit animal vif et joyeux (A. France, Pt Pierre, 1918, p. 234).Très mode ? col lacet mélangé argent et or (Catal. jouets (Louvre) 1936).
? [Le subst. est précédé d'un adj.] Un régime de république suisse, esprit radical et très petit bourgeois (Maurras, Kiel et Tanger, 1914, p. 86).
? [Le subst. est suivi d'un compl. déterminatif] Je la trouvai très « femme du monde », et ce grade, que je lui décernai d'emblée, ne m'emballa pas sur elle (Gyp, Souv. pte fille, 1928, p. 82).
? [Devant un nom propre] Très Ève, « éternel féminin »; elle est belle (Gide, Voy. Congo, 1927, p. 759).Le ton est très Rilke, et me faisait penser à sa voix (Larbaud, Journal, 1934, p. 278).
D. ? [Devant un groupe prép. en fonction d'attribut] Le docteur est très en verve ce soir (Maurois, Sil. Bramble, 1918, p. 139).Les sièges formaient là un endroit retiré très hors du monde (Jouve, Scène capit., 1935, p. 241).La marche chantée était très en faveur dans l'armée allemande (Ambrière, Gdes vac., 1946, p. 263).
E. ? [Empl. improprement dans une loc. verb. formée d'un auxil. ou d'un verbe support (avoir, être, faire, prendre...) et d'un subst. abstr. désignant des ,,sensations ou des sentiments à l'état brut: faim, soif, froid, chaud, sommeil, mal, peur, envie, plaisir, honte, hâte...`` (G. Moignet, op. cit., p. 154); empl. critiqué] Un jour, elle se retrouva dans son lit, bien faible, ayant très faim (A. France, Jocaste, 1879, p. 74).Il faut que nous fassions très attention, il faut que nous soyons très prudents (Guitry, Veilleur, 1911, iii, p. 19).
? [Dans une loc. à la forme impers. désignant un phénomène météor.] Cosette pensait donc qu'il était nuit, très nuit, qu'il avait fallu remplir à l'improviste les pots et les carafes dans les chambres des voyageurs (Hugo, Misér., t. 1, 1862, p. 462).Dans la rue, il faisait très doux, déjà l'on pressentait les caresses de juin, malgré l'heure tardive (Aragon, Beaux quart., 1936, p. 324).
F. ? [Devant un part. passé]
1. [Le part. passé est pris adj.] Son domestique par derrière, très enveloppé de manteaux (Nerval, Voy. Orient, t. 1, 1851, p. 9).De grands triangles de pâte très feuilletée où se niche un ?uf mollet (Gide, Journal, 1943, p. 169).
2. [Très renforce le procès exprimé par le part. passé qui conserve une valeur verbale passive] Cette dernière chanson fut très applaudie par les inconnues (Restif de La Bret., M. Nicolas, 1796, p. 235).La rivière est très grossie par les pluies précédentes (Maine de Biran, Journal, 1816, p. 249).
? En partic.
? [Si le procès exprimé par le verbe est réitérable, la gradation porte soit sur le nombre d'agents effectuant le procès, soit sur le nombre de fois que chacun de ces agents effectue le procès] On risquait (...) à traverser un carrefour très fréquenté (Camus, Peste, 1947, p. 1335).Cette passerelle est très utilisée par Marie et Jean. Cette passerelle est très utilisée, quotidiennement, une fois à l'aller une fois au retour (J. Authier, Note sur l'interprétation sémantique de « très + participe passé passif »ds Cah. Lexicol.1980, no37, p. 28).
? [L'obj. (suj. du passif) peut désigner un type, un modèle...] Cette maison est très construite par ici. Ce modèle a été très vendu (J. Authier, Note sur l'interprétation sémantique de « très + participe passé passif »ds Cah. Lexicol.1980, p. 30).
? [Avec un verbe de sentiment, très porte sur la force du sentiment éprouvé par une pers. donnée ou sur la quantité de pers. éprouvant ce sentiment] Mais il est aimé, très aimé, souvent aimé (Balzac, Cous. Bette, 1846, p. 359).
? [Très peut marquer qu'une partie importante de l'obj. (suj. du passif) est affectée par le procès] Des souvenirs qui datent de si loin (...) sont très-brisés dans ma mémoire, et ce n'est pas ma mère qui eût pu m'aider par la suite à les enchaîner (Sand, Hist. vie, t. 2, 1855, p. 187).? Ma jambe! (...) La carne! ? Était-elle très abîmée! (Benjamin, Gaspard, 1915, p. 147).
Rem. 1. Très peut être empl. absol., spéc. dans la reprise d'un discours où l'on omet de reprendre le terme modifié par l'adv.: Henriette: Denis est très intelligent! Gabrielle: Très! Henriette: Il sait un tas de choses (Bernstein, Secret, 1913, I, 5, p. 8). ? (...) Elle est très habile. ? Très! soupira Elsa (Sagan, Boujour tristesse, 1954, p. 94). 2. Très est fréq. repris pour en renforcer l'intensité: On y buvait du petit vin blanc très... très passable (Erckm.-Chatr., Ami Fritz, 1864, p. 159). Il est vrai que la dame a plus de cinquante ans, mais elle est très-très riche (Lorrain, Modern., 1885, p. 106).
Prononc. et Orth.: [t? ?] devant cons., [t? ?z] devant voy. ou h muet: très belle [t? ?b?l], très agréable [t? ?zag?eabl?]. Ac. 1694: tres; 1718: trés ; dep. 1740: très. Ac. 1694: tres-bon, tres-mauvais, tres-bien et 1740-1835: très-bon, très-mauvais, très-bien. V. aussi Littré: ,,Se joint à un adjectif, à un participe et à un adverbe; on unit ces deux mots par un trait d'union; du moins c'est l'usage du Dictionnaire de l'Académie``. Rob. 1985 explique cette façon d'écrire par l'orig. préf. de très: ,,Son caractère originel de préfixe a longtemps subsisté dans l'orthographe: il est accolé au mot dans le Dictionnaire de R. Estienne (tresbon, treslong etc.), et on l'a lié ensuite au mot par un trait d'union (très-bon), que l'imprimeur Didot fut le premier à supprimer, suivi par l'Académie en 1877``. On a, effectivement, très bon, tres bien ds Ac. 1878 et 1935 mais 1718 écrit déjà: trés bon, trés bien. Étymol. et Hist. 1. Ca 1050 placé devant un adj. ou un autre adv. pour marquer le superl. abs. (Alexis, éd. Chr. Storey, 547); 2. 2emoit. xiiies. devant un nom empl. comme adj. ou devant une loc. à valeur adj. (Gaufrey, 292 ds T.-L.); 3. ca 1225 dans des loc. verb. d'état comp. de avoir et d'un subst. (Gautier de Coincy, Mir. Vierge, éd. V. F. Koenig, II Mir 26, t. 4, p. 269: J'ai si tres soif); 4. ca 1450-65 empl. dans les réponses avec ell. de l'adj. ou de l'adv. (Charles d'Orléans, Rondeaux ds ?uvres, éd. P. Champion, t. 2, p. 347); 5. 1668 devant un subst. (Racine, Plaideurs, II, 4); 6. 1715 s'emploie devant un part. à valeur verbale de passif (A. Lesage, Gil Blas, éd. M. Bardon, t. 2, L. XII, ch. VIII, p. 336, éd. Garnier 1962). Du lat. trans « au delà de, par-delà », « par-dessous, de l'autre côté de », qui pouvait comme préverbe avoir le sens de « de part en part, complètement » d'où son empl. comme adv. superl. passé très tôt en a. fr. Très est parfois encore prép. en a. fr. et jusqu'au xvies. au sens de « jusqu'à, dès, depuis, auprès, derrière... » (v. Gdf., T.-L. et FEW t. 13, 2, pp. 197b-199) et a formé de nombreuses loc. tres puis, tres or, etc. Fréq. abs. littér.: 68 535. Fréq. rel. littér.: xixes.: a) 74 526, b) 105 566; xxes.: a) 118 891, b) 99 810. Bbg. Authier (J.). Note sur l'interprétation sém. de « très + participe passé passif ». Cah. Lexicol. 1980, t. 37, no2, pp. 25-33. ? Blanc (B.). Ét. de la combinaison très + participe passé passif. Mém., Paris III, 1978, 83 p. ? Darm. 1877, p. 146. ? Gaatone (D.). Obs. sur l'oppos. très-beaucoup. R. Ling. rom. 1981, t. 45, pp. 74-95. ? Gohin 1903, p. 340. ? Le Flem (D. C.). Syst. de la compar. en fr. contemporain... Congrès Internat. de Ling. et Philol. Rom. 14. 1974. Naples. Napoli; Amsterdam, 1979, pp. 493-517. ? Michaëlsson (K.). Neuphilol. Mitt. 1943, t. 44, pp. 108-112. ? Schwarz (Ch.). Zur kategorialgrammatischen Klassifierung von neufr. très. Papiere zur Linguistik. 1977, pp. 17-185. ? Togeby (K.). Gramm. fr. vol. 4: les mots inv. Copenhague, 1984, pp. 183-186.

TRÈS, adv.
Étymol. et Hist. 1. Ca 1050 placé devant un adj. ou un autre adv. pour marquer le superl. abs. (Alexis, éd. Chr. Storey, 547); 2. 2emoit. xiiies. devant un nom empl. comme adj. ou devant une loc. à valeur adj. (Gaufrey, 292 ds T.-L.); 3. ca 1225 dans des loc. verb. d'état comp. de avoir et d'un subst. (Gautier de Coincy, Mir. Vierge, éd. V. F. Koenig, II Mir 26, t. 4, p. 269: J'ai si tres soif); 4. ca 1450-65 empl. dans les réponses avec ell. de l'adj. ou de l'adv. (Charles d'Orléans, Rondeaux ds ?uvres, éd. P. Champion, t. 2, p. 347); 5. 1668 devant un subst. (Racine, Plaideurs, II, 4); 6. 1715 s'emploie devant un part. à valeur verbale de passif (A. Lesage, Gil Blas, éd. M. Bardon, t. 2, L. XII, ch. VIII, p. 336, éd. Garnier 1962). Du lat. trans « au delà de, par-delà », « par-dessous, de l'autre côté de », qui pouvait comme préverbe avoir le sens de « de part en part, complètement » d'où son empl. comme adv. superl. passé très tôt en a. fr. Très est parfois encore prép. en a. fr. et jusqu'au xvies. au sens de « jusqu'à, dès, depuis, auprès, derrière... » (v. Gdf., T.-L. et FEW t. 13, 2, pp. 197b-199) et a formé de nombreuses loc. tres puis, tres or, etc.

Très au Scrabble


Le mot très vaut 4 points au Scrabble.

tres

Informations sur le mot tres - 4 lettres, 1 voyelles, 3 consonnes, 4 lettres uniques.

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tres

Les mots proches de Très

Tréaz ou trezTrébuchableTrébuchant, anteTrébuché, éeTrébuchementTrébucherTrébuchetTredameTréfilerTréfilerieTréfileurTrèfleTréfoncierTréfonds ou très-fondsTreillageTreilleTreillisTreillissé, éeTreillisserTreillonTreizaineTreizeTreizièmeTrémaTrémailTrématerTremblaieTremblant, anteTrembleTrembleTremblementTremblerTremble-terreTrembleur, euseTremblotant, anteTremblotementTrembloterTrémeurTrémieTrémoireTrémoisTrémoliteTremoloTrémoussementTrémousserTrémoussoirTrempant, anteTrempeTrempé, éeTremperTréalTréauvilleTrébabuTrebanTrébanTrébasTrébédanTrèbesTrébeurdenTrébonsTrébons-de-LuchonTrébons-sur-la-GrasseTréboulTrébrivanTrébrytrébuchatrébuchaitrébuchaienttrébuchaistrébuchaittrébuchanttrébuchanttrébuchantetrébuchantestrébuchantstrébuchetrébuchétrébuchementtrébuchementstrébuchenttrébuchertrébuchestrébuchettrébucheztrébuchonstrecentoTréclunTréconTrédanielTrédarzecTrédiasTrédionTrédrez-LocquémeauTréduderTrefconTreffayTreffendelTreffiagatTreffieuxTreffléan


Mots du jour


Recousse ou rescousse     Panne     Décrétiste     Limpidité     Tabellion     Géodésiste     Orne     Dériver     Réitérer     Blé     

Les citations avec le mot Très


  1. A tout être humain ont été concédées deux qualités: le pouvoir et le don. Le pouvoir conduit l'homme à la rencontre de son destin; le don l'oblige à partager avec les autres ce qu'il y a de meilleur en lui.

    Auteur : Paulo Coelho - Source : Comme le fleuve qui coule (2006)


  2. Mieux vaut un petit chez soi qu'un grand chez les autres.

    Auteur : Proverbes français - Source : Proverbe


  3. Ses expansions étaient devenues régulières; il l'embrassait à de certaines heures. C'était une habitude parmi les autres, et comme un dessert prévu d'avance, après la monotonie du dîner.

    Auteur : Gustave Flaubert - Source : Madame Bovary (1857), I, 7


  4. Les fonctionnaires qui assurent passer toujours après les autres et être traités par-dessus la jambe; les non-fonctionnaires, qui prétendent que tout le mal vient des fonctionnaires... Le résultat: 42 millions de citoyens sont dressés contre le 43ème.

    Auteur : Pierre Daninos - Source : Les Carnets du major W. Marmaduke Thompson (1954)


  5. C'est une bombe lancée dans le futur. C'est très grave. Le monde n'en est pas encore conscient. Tant que cela n'a pas atteint quelqu'un personnellement, c'est une chose très difficile à comprendre.

    Auteur : Wladimir Tchertkoff - Source : Le Crime de Tchernobyl, le Goulag nucléaire (2006)


  6. Seuls deux états existent ; la peur et l’amour. Toutes nos réflexions prennent racine dans l’un ou dans l’autre. La peur entraîne la tristesse, la colère, l’agressivité et bien d’autres émotions qui ont un effet désastreux sur notre corps. En revanche les pensées générées dans un état d’amour permettent l’harmonie du corps, la réconciliation, l’unité, le bien-être.

    Auteur : Maud Ankaoua - Source : Kilomètre zéro : Le chemin du bonheur (2016)


  7. Etre original, c'est, en un sens, mettre en valeur la médiocrité des autres, ce qui me paraît d'un goût très douteux.

    Auteur : Ernesto Sábato - Source : Le Tunnel (1978)


  8. Le sage se demande à lui-même la cause des ses fautes, l'insensé la demande aux autres.

    Auteur : Proverbes chinois - Source : Proverbe


  9. Nous autres, mordus d'informatique, préférons par-dessus tout passer notre temps à bidouiller nos ordinateurs, plutôt que les utiliser pour faire quelque chose de productif.

    Auteur : Dave Barry - Source : Chroniques déjantées d'Internet... et autres cyberdélires (1998)


  10. Nous avons le droit d'espérer une vie après celle-ci, mais nous n'avons pas le droit de nous maltraiter et de nous servir les uns des autres comme si nous étions des instruments pour atteindre une existence dont nous savons au fond si peu de choses.

    Auteur : Jostein Gaarder - Source : Vita Brevis


  11. Les ratés aiment entrainer les autres dans l'échec.

    Auteur : Douglas Kennedy - Source : L'Homme qui voulait vivre sa vie (1998)


  12. Et Ti-Lou lui avait demandé : T'aimes pas les hommes ? ce à quoi Rose avait répondu : Y'a rien que les guidounes qui peuvent les aimer, nous autres, on les endure.

    Auteur : Michel Tremblay - Source : Chroniques du Plateau Mont-Royal, La grosse femme d'à côté est enceinte (1978)


  13. ... on ne peut pas mentir aux êtres qui vous plaisent!

    Auteur : Sacha Guitry - Source : Beaumarchais


  14. Il ne faut jamais chercher à s'excuser; ce n'est point la raison des autres, mais leur passion, qui est irritée contre nous; et, vis-à-vis de celle-ci, le temps est la meilleure justification.

    Auteur : Johann Paul Friedrich Richter, dit Jean-Paul - Source : Pensées extraites de tous les ouvrages de Johann Paul Friedrich Richter dit Jean-Paul


  15. La vie a un bon côté, même s'il est plus court que les autres.

    Auteur : Philippe Meyer - Source : Les progrès du progrès (1998)


  16. On ne peut qu'aider les autres à être heureux, ou bien les ignorer. Vouloir et faire l'horreur est une faute impardonnable.

    Auteur : Justine Niogret - Source : Mordre le bouclier (2011)


  17. Aujourd'hui, il y a plus de dangers. Ils sont multiples. Vous avez le danger nucléaire. Vous avez le danger économique, celui de la domination de l'argent un peu partout. Vous avez les crises de la démocratie, comme il y en a eu à l'époque, et qui aujourd'hui sont aussi graves. Donc, il y a des traits semblables, mais aussi des traits très différents. Surtout, il y a l'absence de conscience lucide que l'on marche vers l'abîme. Ce que je dis n'est pas fataliste. Je cite souvent la parole du poète Hölderlin qui dit que « là où croît le péril croît aussi ce qui sauve ». Donc, je pense quand même qu'il y a encore espoir.

    Auteur : Edgar Morin - Source : Grand entretien, France Info, le 08 juillet 2021


  18. Sur terre les humains passent comme les feuilles: si le vent fait tomber les unes sur le sol, la forêt vigoureuse, au retour du printemps, en fait pousser bien d'autres; chez les hommes ainsi les générations l'une à l'autre succèdent.

    Auteur : Homère - Source : L'Iliade, VI


  19. Une conspiration anéantit tous les titres donnés par les caprices sociaux. Là, un homme prend d'emblée le rang qui lui assigne sa manière d'envisager la mort. L'esprit lui-même perd de son empire...

    Auteur : Henri Beyle, dit Stendhal - Source : Le Rouge et le Noir (1830)


  20. Amusante et un peu dangereuse traversée d'une très belle rivière, sur un pont chancelant et à demi ruiné.

    Auteur : André Gide - Source : Voyage au Congo (1926)


  21. Avec un très-bon coeur,
    Des moyens de couler les jours les plus prospères,
    Pour des opinions qui n'intéressent guères,
    On risque souvent son bonheur.


    Auteur : Jean Frain, seigneur du Tremblay - Source : Le Hibou et le Linx


  22. Je ne sais l'exprimer : un être heureux, il vit comme au-dessus de tous les autres. Et cela, on n'a même pas à le lui pardonner, parce qu'il l'a comme on a la santé, ou la beauté.

    Auteur : Nina Berberova - Source : L'Accompagnatrice (1985)


  23. À part le bouddhisme dans la version la plus extrême de sa doctrine, toutes les grandes traditions spirituelles ont pour point commun d'affirmer une perspective de l'âme située au-delà de la mort corporelle. Cette affirmation est basée sur l'idée que l'âme de chaque être est reliée au Souffle primordial qui est, je l'ai dit, le principe de Vie même. Compte tenu de ce fait, notre âme, animée par un authentique désir d'être, a le don de nous rappeler — quelle que soit notre « croyance » — combien la vie de chacun participe d'une immense aventure que les Chinois nomment le Tao, la Voie, aventure unique en réalité — il n'y en a pas d'autres — qui connaîtra des transformations mais point de fin, celle de la Vie.

    Auteur : François Cheng - Source : De l'âme (2016)


  24. Le seul défaut des oeuvres de réelle valeur, c'est qu'elles en suscitent ordinairement beaucoup d'autres mauvaises ou simplement médiocres.

    Auteur : Georg Christoph Lichtenberg - Source : Aphorismes (1800-1806)


  25. L'art est comme l'air que je respire. Ce que les autres appellent le monde réel m'a toujours paru pâle et insipide en comparaison.

    Auteur : Jonathan Coe - Source : Testament à l'anglaise (1994)


Les citations du Littré sur Très


  1. Ils montroient des centuries de Nostradamus et autres predictions

    Auteur : D'AUBIG. - Source : Hist. II, 230


  2. Et souvent y avoit des chevauchées, des rencontres et des faits d'armes des uns aux autres

    Auteur : Jean Froissard - Source : I, I, 113


  3. Au nom de Dieu, ôtez de vos lettres ce Monsieur tant exhaussé, ou j'en mettrai dans les miennes un encore plus haut

    Auteur : BOILEAU - Source : Lett. à Brossette, 28


  4. On remarque que l'or résiste aux impressions et aux morsures du sel et du vinaigre, qui résolvent et qui domptent toutes les autres matières

    Auteur : ROLLIN - Source : Hist. anc. Oeuv. t. X, p. 522, dans POUGENS


  5. Lesquels se complegnoient les uns aus autres, de ce dont il avoient perdu celle licence et maniere de vivre

    Auteur : BERCHEURE - Source : f° 28, recto.


  6. Un récit écrit par Racine est supérieur à toutes les autres actions théâtrales

    Auteur : Voltaire - Source : Dict. phil. Art dramat.


  7. Ils verraient par ce coup [la mort de Britannicus] leur puissance abaissée ; Vous seriez libre alors, seigneur, et, devant vous, Ces maîtres orgueilleux fléchiraient comme nous

    Auteur : Jean Racine - Source : Brit. IV, 4


  8. Il y a en nous une géométrie naturelle, c'est-à-dire une science des proportions, qui nous fait mesurer les grandeurs en les comparant les unes aux autres et concilier la vérité avec les apparences

    Auteur : BOSSUET - Source : Conn. I, 8


  9. La bonne dame a douze lustres accomplis ; son mari vient de mourir ; elle veut se retirer dans un couvent, afin, dit-elle, que sa réputation soit à l'abri de la médisance

    Auteur : LE SAGE - Source : Diable boit. ch. 10, dans POUGENS


  10. Le despit est la plus forte tentation de toutes les autres

    Auteur : MARG. - Source : Nouv. XVIII


  11. Or oés se ceste gens devoient terre tenir, qui si grant cruauté faisoient li uns envers les autres

    Auteur : VILLEH. - Source : CXV


  12. La mumie a pris son nom et origine des anciens Juifs, Arabes et Chaldeens, et principalement des Égyptiens, mesmes longtemps auparavant Moyse, et depuis eux les Grecs et les Romains : tous lesquels ont eu en si grand honneur, reverence et recommandation les corps des trespassés, pour l'esperance de la resurrection, qu'ils ont fort recherché les moyens non seulement de les ensevelir, mais aussi de les conserver à jamais

    Auteur : PARÉ - Source : Mumie, I


  13. Se aucuns hons ou autres qui fussent mehaingniés [estropiés] ....et un autre qui soit sours ou lours [louche]

    Auteur : DU CANGE - Source : luscus


  14. Je voudrais que Dieu lui envoyât des lettres patentes contre-signées Mathusalem

    Auteur : Voltaire - Source : Lett. à Cath. 132


  15. L'anneau de Saturne est formé de deux anneaux concentriques d'une très mince épaisseur

    Auteur : LA PLACE - Source : Expos. IV, 9


  16. Il faut laisser aux théâtres de province ces galvaudages de distribution [de rôles] ; mais le Vaudeville se doit à lui-même de conserver intactes quelques physionomies d'artistes

    Auteur : ALPH. DAUDET - Source : Journ. offic. 24 avril 1876, p. 2905, 2e col.


  17. Si tu m'aimais, Phédime, il fallait me pleurer Quand d'un titre funeste on me vint honorer, Et lorsque, m'arrachant du doux sein de la Grèce, Dans un climat barbare on traîna ta maîtresse

    Auteur : Jean Racine - Source : Mithr. V, 2


  18. Des temples dépouillés les trésors vénérables Abandonnés en proie à la cupidité....

    Auteur : DELAV. - Source : Vêpres sicil. II, 6


  19. Ayant des taches separées les unes des autres, riolées piolées, c'est à dire de diverses couleurs, comme un tapis velu

    Auteur : PARÉ - Source : XXIII, 25


  20. Nom donné par Bosc à des corps fossiles qui présentent la forme d'un tube de 6 à 10 millimètres de diamètre et de 6 à 8 centimètres de longueur, ouverts d'un côté et fermés de l'autre ; la formation en paraît due à un insecte aquatique du genre frigane, névroptères

    Auteur : LEGOARANT - Source :


  21. Ilz refuserent tous le tripié, et le cederent en tour les uns aux autres par une honneste humilité

    Auteur : AMYOT - Source : Solon, 7


  22. J'en veois qui se transforment et se transsubstancient en autant de nouvelles figures et de nouveaux estres, qu'ils entreprennent de charges

    Auteur : MONT. - Source : IV, 158


  23. Les sages ministres des cours étrangères, qui le trouvent [Louis XIV] aussi convaincant dans ses discours que redoutable par ses armes

    Auteur : BOSSUET - Source : Mar.-Thér.


  24. Ceux de la ville d'Arras en Artois ont esté de grands causeurs de tout temps, et font des rencontres qu'on appelle des rebus d'Arras

    Auteur : BRANT. - Source : Cap. franç. t. II, p. 130, dans LACURNE


  25. Je sais que les uns lui mettront, Comme à toi, les rides au front, Et feront à sa tresse blonde Même outrage qu'à tes cheveux

    Auteur : MALH. - Source : IV, 16




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Mise à jour le samedi 8 novembre 2025 à 14h55










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