La définition de Toiser du dictionnaire français. Signification du mot et son éthymologie - De nombreux exemples d'usage en français ainsi que des citations.

Toiser
Nature : v. a.
Prononciation : toi-zé
Etymologie : Toise.

Voir les citations du mot ToiserSignification du mot Toiser


Notre dictionnaire de français vous présente les définitions de toiser de manière précise, avec des exemples pertinents pour aider à comprendre la signification du mot.

Notre dictionnaire de définitions comprend des informations complémentaires telles que la nature du mot, sa prononciation, des exemples d'expressions, l'étymologie, les synonymes, les homonymes, les antonymes mais également les rimes et anagrammes. Quand la définition du mot s'y prête nous vous proposons des citations littéraires en rapport avec toiser pour illustrer la compréhension du mot ou préciser le sens et de répondre à la question quelle est la signification de Toiser ?


La définition de Toiser

Mesurer à la toise (on dit maintenant métrer, parce qu'on mesure par mètres). Toiser des bâtiments. Toiser des travaux.


Toutes les définitions de « toiser »


Dictionnaire de l'Académie française, huitième édition

TOISER. v. tr.
Mesurer à la toise. Toiser un bâtiment, une muraille. Il est vieux; on dit aujourd'hui Métrer. Toiser un soldat, Mesurer sa taille. Fig. et fam., Toiser quelqu'un, L'examiner avec une attention nuancée de dédain et parfois d'hostilité. Il l'a toisé de la tête aux pieds. Ils se sont toisés sans se dire un seul mot.

Littré

TOISER (toi-zé) v. a.
  • 1Mesurer à la toise (on dit maintenant métrer, parce qu'on mesure par mètres). Toiser des bâtiments. Toiser des travaux. S'il estime la hauteur d'un clocher, qu'il le toise avec les maisons, Rousseau, Ém. II.

    Toiser à mur, réduire de légers ouvrages de maçonnerie en toises de gros mur, en les mesurant.

    Toiser à toise bout avant, mesurer les ouvrages sans retour ni demi-face, et les murs tant plein que vide, sans avoir égard aux saillies.

    Toiser aux us et coutumes, mesurer tant plein que vide, en y comprenant les saillies.

    Toiser la taille de pierre, réduire la taille de toutes les façons d'une pierre à la toise courante d'un pied sur six.

    Toiser le bois, le réduire par 3 pieds cubes ou 12 pieds de longueur sur 6 pouces d'équarrissage.

    Fig. Son esprit régulier [d'un géomètre] toisait tout ce qui se disait dans la conversation, Montesquieu, Lett. pers. 128. Nous n'y choisirons point pour guide Cette raison froide et timide Qui toise impitoyablement Et la pensée et le langage, Gresset, Épît. P. Bougeant. Tout versificateur doit savoir à propos Toiser une pensée et combiner des mots, Favart, Acajou, I, 4.

  • 2Toiser un soldat, mesurer sa taille.

    Fig. Toiser quelqu'un, le regarder attentivement, pour apprécier son mérite, ou pour lui témoigner du dédain. Il l'a toisé de la tête aux pieds. Aussi connais-je bien mon monde?; et je défie, Quant j'ai toisé mes gens, qu'on m'en impose en rien, Gresset, le Méch. III, 10.

  • 3 Fig. Se toiser, v. réfl. Se regarder l'un l'autre avec dédain. Ils se sont toisés sans se dire un seul mot.

HISTORIQUE

XIIIe s. C'est assavoir que tous marchans et maistres ouvriers des marchandises et mestiers cy après nommés toisent et portent pour vendre leurs dites denrées et marchandises es halles de Paris, Liv. des mét. 437.

Version électronique créée par François Gannaz - http://www.littre.org - licence Creative Commons Attribution

Encyclopédie, 1re édition

TOISER, v. act. (Archit.) c'est mesurer un ouvrage avec la toise pour en prendre les dimensions, ou pour en faire l'estimation. Et retoiser, c'est toiser de nouveau, quand les experts ne sont pas convenus du toisé.

Toiser à toise bout avant, c'est toiser les ouvrages sans retour ni demi-face, & les murs tant plein que vuide, le tout quarrément, sans avoir égard aux saillies, qui doivent néanmoins être proportionnées au lieu qu'elles décorent.

Toiser aux us & coutumes, c'est mesurer tant plein que vuide, en y comprenant les saillies ; ensorte que la moindre moulure porte demi-pié, & toute moulure couronnée un pié, lorsque la pierre est piquée, & qu'il y a un enduit, &c.

Toiser la couverture, c'est mesurer la superficie d'une couverture, sans avoir égard aux ouvertures ni aux croupes, & en évaluant les lucarnes, yeux de b?uf, arestieres, égoûts, faîtes, &c. en toises ou piés, suivant l'usage.

Toiser la taille de pierre, c'est réduire la taille de toutes les façons d'une pierre aux paremens seulement, mesurés à un pié de hauteur sur six piés courans par toise. Lorsque ce sont des moulures, chaque membre couronné de son filet est compté pour un pié de toise, dont les six font la toise, c'est-à-dire que six membres couronnés sur une toise de long, qui ne sont comptés que pour une toise à l'entrepreneur, sont comptés pour six toises au tailleur de pierre qui travaille à sa tâche.

Toiser le bois, c'est réduire & évaluer les pieces de bois de plusieurs grosseurs, à la quantité de trois piés cubes, ou de douze piés de long sur six pouces de gros, réglée pour une piece.

Toiser le pavé, c'est mesurer à la toise quarrée superficielle, sans aucun retour. Le prix est différent selon l'ouvrage. Les ouvrages de fortification se toisent à la toise cube dont 216 piés font la toise. (D. J.)

Wikisource - licence Creative Commons attribution partage dans les mêmes conditions 3.0

Wiktionnaire


Verbe - français

toiser \twa.ze\ transitif 1er groupe (voir la conjugaison) (pronominal : se toiser)

  1. (Vieilli) Mesurer à la toise.
    • Toiser un bâtiment, une muraille.
  2. En particulier, mesurer la taille d'une personne.
  3. (Figuré) (Familier) Examiner quelqu'un avec une attention nuancée de dédain et parfois d'hostilité.
    • Elle le toisa d'un ?il de reproche étonné et attristé, et, pour la millième fois, se reprocha intérieurement d'être une mère trop faible, qui ne savait pas se faire craindre. (Paul Margueritte, À la mer dans Fors l'honneur, 1894, chap. 1)
    • Nous nous considérons en silence pendant quelques secondes ; il me toise en faisant le myope, il me classe. (Jean-Paul Sartre, La Nausée, Collection Folio, Éditions Gallimard, 1938, page 101)
    • Eh ! oui, il était grossier ce césarien. Il n'en toisait pas moins, non sans bonheur, les mollesses, les fluctuations du grand seigneur... (Joseph Caillaux, Mes Mémoires, I, Ma jeunesse orgueilleuse, 1942, page 62)
    • L'homme au vieux visage buriné et fier comme un bar-tabac me toisa avec un sourire condescendant. (Patrick Montarnal, L'appel de la route, Société des Écrivains, 2011, page 45)
  4. (Pronominal) (Figuré) S'examiner avec une attention nuancée de dédain et parfois d'hostilité.
    • Alors ils reculèrent d'un pas chacun et se toisèrent une minute, silencieux, froids, menaçants. (Pierre Alexis de Ponson du Terrail, La Baronne trépassée, Baudry, t. 2, 1853, page 113)
    • Dans la grande pureté du jour, les deux femmes se toisaient d'un regard farouche, riant férocement, montrant leurs dents blanches sous la rouge charnure des lèvres. (Marc de Montifaud, Celles qui tuent : la baronne de Livry, 1890, page 79)

Verbe - ancien français

toiser \Prononciation ?\

  1. Variante de teser.
Wiktionnaire - licence Creative Commons attribution partage à l'identique 3.0

Trésor de la Langue Française informatisé


TOISER, verbe trans.

A. ? Toiser qqn, qqc.
1. Vx. Toiser qqc.
a) Mesurer en prenant la toise comme unité de longueur. Toiser un terrain. On enseignera, dans ces écoles, à lire, à écrire, ce qui suppose nécessairement quelques notions grammaticales; on y joindra les règles de l'arithmétique, des méthodes simples de mesurer exactement un terrain, de toiser un édifice (Condorcet, Organ. instr. publ., 1792, p. 454).
b) Considérer quelque chose de façon à l'estimer; estimer une grandeur, une quantité, un prix. Synon. apprécier, évaluer.Après s'être assuré du bon état des membres et des aplombs, après avoir vérifié que la jointure qui les lie aux sabots est flexible, son regard remonte doucement, s'arrête aux pointes de l'épaule; Gardefort en toise l'écartement avec deux doigts, comme ferait un architecte (Morand, Extrav., 1936, p. 22).
2. Toiser qqn.Faire passer quelqu'un sous la toise pour mesurer sa taille. Toiser un soldat (Ac.). Un greffier les enregistra [les représentants], les mesura, les toisa et les écroua comme des forçats (Hugo, Hist. crime, 1877, p. 113).
B. ? Au fig. Toiser qqn, qqc.; qqc. est toisé
1. Vx. Regarder quelqu'un avec attention, l'examiner pour le juger. Je serai contrôlé, estimé, coté, toisé, apprécié enfin (Barrès, Barbares, 1888, p. 264).
? Empl. pronom. réfl. Il entra dans le salon après s'être toisé dans la glace et s'être reconnu pour un fort joli homme politique (Balzac, Employés, 1837, p. 220).
? Empl. pronom. réciproque. Des dizaines de Clarque et de Marlène se rencontrent, se toisent et s'évaluent, heureux de vivre et de paraître, livrés pour une heure au vertige des existences parfaites (Camus, Été, 1954, p. 25).
2. Usuel, péj. Regarder de haut, considérer quelqu'un avec défi ou avec mépris, dédain. Toiser qqn de la tête aux pieds; toiser de haut. Mon père (...) se met au premier rang pour voir de près, toiser, accabler de son mépris ce brigand, ce gueux de Louis-Philippe (A. Daudet, Rois en exil, 1879, p. 223).Le boulanger (...) me toise avec une si glaciale froideur que j'ose à peine lui adresser un bonjour (Arnoux, Roi, 1956, p. 57).
? P. métaph. Les honneurs que je dédaigne, que je toise de haut (Arnoux, Double chance, 1958, p. 31).
3. Au passif, fam., vx. Être achevé. Mon mémoire est toisé, réglé, vérifié, je vous prie de me tenir l'argent prêt demain (Balzac, C. Birotteau, 1837, p. 230).
? Loc. verb. C'est toisé. C'est achevé, terminé. C'est toisé, Jérôme, dans trois semaines je suis sous-chef (Reybaud, J. Paturot, 1842, p. 123).
REM.
Toisé, -ée, part. passé en empl. adj.a) Vx. Qui est mesuré à la toise. Muraille toisée (Littré). b) Subst. masc. ?) Cubage de blocs de pierres en carrière (d'apr. Noël 1968). ?) Mesurage à la toise; mesure des surfaces et des volumes. Synon. métré.Sous le prétexte de toisés et de vérification, on oblige un homme à mener la vie du couvreur; on le fait errer sur les toits à vingt-deux mètres au-dessus du niveau de la rue, sur des ardoises glissantes (Reybaud, J. Paturot, 1842, p. 245).c) Hist. fiscale. Édit du toisé ou, p. ell., le toisé. Édit de Mazarin ordonnant de toiser certains bâtiments des faubourgs de Paris pour les taxer en fonction de la surface bâtie. On essaya de revenir au toisé, mais il fallut encore y renoncer et y suppléer par des créations d'offices et autres expédients ruineux (MarionInstit.1923).
Prononc. et Orth.: [twaze], (il) toise [twa:z], [-?-]. V. toise. Att. ds Ac. dep. 1694. Étymol. et Hist. A. 1. Ca 1260 « mesurer en prenant la toise comme unité de longueur » (Etienne Boileau, Livre des Métiers, éd. G.-P. Depping, p. 437); 2. 1690 toiser à toise bout avant (Fur.); 3. 1798 toiser un soldat (Ac.). B. 1. a) 1721 « apprécier quelque chose à sa juste valeur » (Montesquieu, Lettres Persanes, 128, éd. E. Carcassonne, t. 2, p. 118: son esprit régulier toisoit tout ce qui se disoit dans la conversation); b) 1747 « examiner quelqu'un avec attention pour apprécier son mérite » (Gresset, Le Méchant, III, 10 ds Littré); 2. 1782 « examiner quelqu'un avec attention pour lui témoigner du dédain » (L.-S. Mercier, Tabl. Paris, t. 2, p. 219 ds Brunot t. 6, p. 1315); 3. 1830 verbe pronom. (Stendhal, Rouge et Noir, p. 150). Dér. de toise*; dés. -er. Fréq. abs. littér.: 214. Fréq. rel. littér.: xixes.: a) 208, b) 301; xxes.: a) 268, b) 407.
DÉR. 1.
Toisage, subst. masc.[Corresp. à supra A 1 b] Action de toiser, résultat de cette action. Le service du trafic assure le groupage des frets, effectue les opérations de toisage pour déterminer les taxations. Il établit les connaissements, certificats d'embarquement et extraits de manifestes (M. Benoist, Pettier, Transp. mar., 1961, p. 134).? [twaza:?]. V. toise. ? 1resattest. 1392-93 tesaige (Compt. de l'H.-D. d'Orl., exp. comm. dom., Hôp. gén. Orl. ds Gdf.), 1508 toisage (Comptes de dépenses de la construction du château de Gaillon, éd. A. Deville, p. 269); de toiser, suff. -age*.
2.
Toisement, subst. masc.a) [Corresp. à supra A 1 b] Synon. de toisage (supra dér. 1).Chaque bisse a son chef, élu par tous les participants à l'eau, son conseil, ses règlements écrits, relatifs à la répartition de l'eau, au toisement qui fixe les heures, les jours de chacun (Brunhes, Géogr. hum., 1942, p. 254).b) [Corresp. à supra B 1] Action de toiser du regard. Une autre de nos forces (...), c'est l'esprit d'observation, le toisement des gens, une science et une institution de physionomistes moraux, qui nous fait déshabiller des caractères à vue de nez, entrer au fond de tous ceux à qui nous nous frottons (Goncourt, Journal, 1859, p. 598).? [twazm? ?]. ? 1reattest. 1522, 10 janv. (Pièces relatives au procès de Gaucher De Sainte Marthe ds R. Ét. rab. t. 9, p. 135); de toiser, suff. -ment1*.
3.
Toiseur, subst. masc.,,Celui dont la profession est de toiser, de mesurer les travaux de construction`` (Jossier 1881). Toiseur en bâtiment. ? [twaz?:?]. Att. ds Ac. 1762-1878. ? 1reattest. 1549 (Est.); de toiser, suff. -eur2*.
BBG. ? Archit. 1972, p. 19 (s.v. toisé). ? Gohin 1903, p. 238 (s.v. toisage); p. 371 (s.v. toisé). ? Schepping 1982, pp. 251-252.

TOISER, verbe trans.
Étymol. et Hist. A. 1. Ca 1260 « mesurer en prenant la toise comme unité de longueur » (Etienne Boileau, Livre des Métiers, éd. G.-P. Depping, p. 437); 2. 1690 toiser à toise bout avant (Fur.); 3. 1798 toiser un soldat (Ac.). B. 1. a) 1721 « apprécier quelque chose à sa juste valeur » (Montesquieu, Lettres Persanes, 128, éd. E. Carcassonne, t. 2, p. 118: son esprit régulier toisoit tout ce qui se disoit dans la conversation); b) 1747 « examiner quelqu'un avec attention pour apprécier son mérite » (Gresset, Le Méchant, III, 10 ds Littré); 2. 1782 « examiner quelqu'un avec attention pour lui témoigner du dédain » (L.-S. Mercier, Tabl. Paris, t. 2, p. 219 ds Brunot t. 6, p. 1315); 3. 1830 verbe pronom. (Stendhal, Rouge et Noir, p. 150). Dér. de toise*; dés. -er.

Toiser au Scrabble


Le mot toiser vaut 6 points au Scrabble.

toiser

Informations sur le mot toiser - 6 lettres, 3 voyelles, 3 consonnes, 6 lettres uniques.

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Les citations avec le mot Toiser


Les citations du Littré sur Toiser


  1. Quelquefois les piéges sont détendus sans que le gibier y soit resté ; cet accident est l'effet de la matoiserie des renards ; en avançant la patte par le côté de la planche, au lieu de s'engager sous la trappe, ils attaquent l'amorce, emportent, sains et saufs, la picorée

    Auteur : CHATEAUBR. - Source : Amér. Chasse.


  2. Ô le beau temps pour la galanterie, Qu'estoit le temps de la chevalerie ! Point de matois ni de matoiserie ; Dames et preux sur la belle prairie, Sur le gazon et sur l'herbe fleurie Faisoient entre eux une honneste frairie

    Auteur : PERRIN - Source : Poésies, p. 201, dans LACURNE


  3. Mais d'où vient qu'au renard Ésope accorde un point, C'est d'exceller en tours pleins de matoiserie ?

    Auteur : Jean de La Fontaine - Source : ib. XI, 6




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Mise à jour le mercredi 24 septembre 2025 à 15h16










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