Définition de « auberge »


Notre dictionnaire de français vous présente les définitions du mot auberge de manière claire et concise, avec des exemples pertinents pour aider à comprendre le sens du mot.

Il comprend des informations supplémentaires telles que des exemples d'expressions, l'étymologie, les synonymes, les homonymes, les antonymes mais également les rimes et anagrammes et bien sûr des citations littéraires sur auberge pour aider à enrichir la compréhension du mot Auberge et répondre à la question quelle est la définition de auberge ?

NOM genre (f) de 2 syllabes
Une définition simple : (fr-rég|?.b???) auberge (f)

  • (ucf|maison) où l’on trouve la table et le lit en payant. - On fait bonne chère dans notre auberge. - Coucher à l’auberge. - Vivre à l’auberge. - Il y a beaucoup d’auberges sur la route. - J’ai laissé mon cheval à l’auberge.

  • (fig) (fam) … - Tenir auberge, Avoir maison ouverte, recevoir tout le monde à sa table. - Cette place est onéreuse, elle force à tenir auberge.

  • (arg) Prison (car on y est nourri et logé).
    Expression : auberge de jeunesse auberge espagnole ne pas être sorti de lauberge prendre la maison de quelqu’un pour une auberge : S’y établir pour quelque temps, ou aller y dîner fréquemment, sans être invité, ni désiré.



    Définitions de « auberge »


    Trésor de la Langue Française informatisé


    AUBERGE, subst. fém.

    A.? Petit hôtel à la campagne, dans les petites villes ou les faubourgs, où les voyageurs peuvent se loger et se restaurer :
    1. ... nous avons craint qu'étranger dans nos montagnes et fatigué d'une longue route à pied, vous ne trouviez pas dans le village une auberge où vous puissiez vous rafraîchir et vous reposer. Lamartine, Les Confidences,1849, p. 298.
    ? P. métaph. :
    2. On recevait dans ce salon des étrangers, Turcs, Autrichiens, Allemands... et personne n'y trouvait à redire. Paris était, sous Napoléon III, l'auberge du monde. A. France, La Vie en fleur,1922, p. 526.
    SYNT. Bonne, petite auberge; fille, garçon, servante d'auberge; salle d'auberge; coucher, descendre à l'auberge.
    ? Loc. Tenir auberge. Recevoir tout le monde à sa table. Prendre la maison de qqn pour une auberge. Aller y dîner souvent et sans invitation. Sortir de l'auberge. ,,Se tirer d'un mauvais pas`` (Le Breton 1960) :
    3. N'allez-vous pas me dire que vous êtes ivre, puisque vous me faites l'extrême faveur de prendre ma maison pour une auberge ou pour quelque chose de pire? Delécluze, Journal,1825, p. 160.
    4. [ursus] : ? ... Ah çà, est-ce que je tiens auberge, moi? Pourquoi est-ce que j'ai des arrivages de voyageurs? La détresse universelle a des éclaboussures jusque dans ma pauvreté. Il me tombe dans ma cabane des gouttes hideuses de la grande boue humaine. Hugo, L'Homme qui rit,t. 1, 1869, p. 162.
    5. On avait maintenant en plus de l'équipe du Frisé, le commissaire Mandru et sa brigade au train. Je nous voyais pas sortis de l'auberge! A. Simonin, Le Petit Simonin illustré par l'ex.,Paris, N.R.F., 1968, p. 263.
    ? Auberge espagnole :
    6. Si la Neuvième Symphonie était présentée aujourd'hui comme le morceau de concours d'un prix de Rome, on y prendrait très peu d'intérêt et de plaisir. Mais il y a deux cents ans que l'on tartine sur elle; on y arrive extasié d'avance, y apportant, comme dans les auberges espagnoles, tout ce qu'on souhaite d'y trouver. Montherlant, Notes de théâtre,1954, p. 1072.
    B.? Spécialement
    1. ?UVRES. Auberge de (la) jeunesse. Centre d'accueil de vacances pour les jeunes qui font du tourisme :
    7. Selon l'importance de l'agglomération, il comporte des salles de réunions, 1 salle de fêtes, une bibliothèque, des bureaux de renseignements, un service médical, une piscine, un gymnase, éventuellement une auberge de jeunesse, divers plateaux d'éducation physique et de sports. Les Gds ensembles d'habitation,1963, p. 18.
    2. TOUR. Hôtel ou restaurant d'une classe touristique élevée.
    PRONONC. : [ob? ? ?]. Passy 1914 et Barbeau-Rodhe 1930 donnent la possibilité d'une prononc. avec [?] ouvert pour la 1resyll. (cf. aussi Buben 1935, p. 54, § 44). Ils notent également pour cette syll. une durée mi-longue.
    ÉTYMOL. ET HIST. ? 1. 1477 dr. féod. aulberge « droit de gîte » (Ordonnances des rois de France, éd. Pastoret, t. 18, p. 353, 356 cité ds Bartsch, p. 98 : notaireries ... aulberges ... amendes), attest. isolée; 2. 1606 « maison où l'on trouve le gîte et le couvert » (Nicot); 1606 fig. (Nicot : La mort tel c?ur ne domine, Qui s'affine En telle flamme, & point ne vit Chez luy, mais en autre Auberge Il s'heberge. Et ailleurs est escondit); 1680 tenir auberge (Rich.) Empr. au prov. mod. aubergo, fr.-prov. (dauph.) aubergo « hôtellerie » (Mistral); le prov. mod. aubergo, anc. prov. alberga, alberja « campement, baraque », xiies. Fierabras, Gerard de Rossillon ds Rayn. et le fr.-prov. sont dérivés des verbes anc. prov. arbergar (Levy Prov.), albergar, forme dissimilée, « héberger » (xiies., Peire Vidal ds Rayn.) et fr.-prov. (Pays de Vaud) abèrdzi, (1213 ds Pat. Suisse rom.), corresp. à l'a. fr. arberjer « héberger, abriter » (xies. Passion), habergier (ca 1188, Florimont), abergier (fin xiies., Floovant ds T.-L.). Ces verbes sont empr. au germ. occ. *haribergôn (de même que l'anc. esp. albergar, xiiies. Berceo ds Al.; l'anc. cat. albergar, xies. ds Alc.-Moll.; l'anc. ital. albergare, début xiiies. Uguccione da Lodi ds Batt.), verbe prob. importé dans l'aire gallo-rom. par les mercenaires germ. antérieurement au ves., avec le sens étymol. de « loger une armée » (Brüch, p. 73). Étant donné que les subst. rom. corresp. à *haribergôn appartiennent aux genres masc. et fém., et que d'autre part, une forme masc. germ. ne peut être avancée, il faut supposer pour point de départ non pas le subst. germ., mais le verbe, emprunté par les langues rom. (Brüch, op. cit.); cf. aussi lat. médiév. arbergare « loger, héberger » 1056-1105 (Dipl. Heinr. IV, 170 ds Mittellat. W. s.v., 426, 41). Antérieurement à l'empr. du fr. auberge, la notion de « lieu où on loge » était rendue par des dér. du verbe en -erie ou en -age (a. fr. abergerie, xiies. ds T.-L.; anc. fribourgeois albergerie « hôtellerie », 1429 ds Pat. Suisse rom.). Selon Brüch, loc. cit., le type germ. *hari(bergôn) aurait, av. le ves., couvert l'aire gallo-rom. entière (d'où les formes en ar-, al-, a-, supra), puis reculé à l'époque franque devant le type *heri- qui se serait alors installé dans la partie septentrionale de l'aire gallo-rom. (v. héberger), le type *hari- s'étant restreint à la partie méridionale (prov., fr.-prov.).
    STAT. ? Fréq. abs. littér. : 2 233. Fréq. rel. littér. : xixes. : a) 3 563, b) 4 659; xxes. : a) 3 215, b) 2 025.
    BBG. ? Ac. Gastr. 1962. ? Bach.-Dez. 1882. ? Bruant 1901. ? Chabat 1881. ? Dainv. 1964. ? Esn. 1966. ? Gall. 1955, p. 27, 467. ? Gerster (W.). Beitrag zur Geschichte einiger Bezeichnungen für Gasthaus, besonders fr. taverne, hôtel, auberge. Vox rom. 1946/47, t. 9, p. 94; pp. 103-151. ? Goug. Mots t. 1 1962, p. 240. ? Lacr. 1963. ? Lammens 1890, p. 6. ? Lavedan 1964. ? Le Breton 1960. ? Pope 1961 [1952], § 28, 54, 660.


    Wiktionnaire


    Nom commun - français

    auberge \o.b???\ féminin

    1. Maison où on trouve un repas et un lit pour dormir en payant.
      • Ou bien, j'aborde dans un des petits ports de la côte, à Meschers, à Talmont, à Saint-Seurin, et je vais m'attabler au fond d'une auberge, devant un quignon de pain, un morceau de fromage et une bouteille de l'honnête vin blanc du pays. (Pierre-Henri Simon, Les Raisins verts, 1950)
      • [?], puis sous prétexte de prendre conseil, se dirigea vers l'auberge où il fit venir une première chopine suivie de plusieurs autres. (Louis Pergaud, Joséphine est enceinte, dans Les Rustiques, nouvelles villageoises, 1921)
      • Voilà, se dit le gentilhomme, une auberge qui s'annonce bien, et l'hôte qui la tient doit être, sur mon âme, un ingénieux compère. (Alexandre Dumas, La Reine Margot, 1845, volume I, chapitre IV)
      • Il n'est point pressé de conquérir les sommets. Si le temps menace, il n'attend pas l'averse, il redescend à l'auberge où il se met à la chotte. (La Semaine littéraire, 1908, vol.16, page 254)
    2. (Argot) (Prison) Prison (car on y est nourri et logé).
    Wiktionnaire - licence Creative Commons attribution partage à l'identique 3.0

    Littré

    AUBERGE (ô-bèr-j') s. f.
    • Maison où on loge et nourrit les voyageurs pour de l'argent. Descendre, coucher à l'auberge.

      Fig. L'auberge enfin de l'hyménée Lui [à la discorde] fut pour maison assignée, La Fontaine, Fab. VI, 20.

      Familièrement. Tenir auberge, recevoir tout le monde à sa table.

      Prendre la maison de quelqu'un pour une auberge, aller y dîner souvent et sans invitation.

      À Malte, l'hôtel de chaque langue portait le nom d'auberge, parce que les chevaliers s'y assemblaient et y mangeaient ordinairement.


    HISTORIQUE

    XIe s. Guenes li quens est venus as herberges [logis], Ch. de Rol. LIII. Li emperere a prise sa herberge, ib. CLXXVIII.

    XVe s. Item, que l'ost puisse surprendre ses ennemis en prenant leur repast, ou de nuit en leur hebarges, Christine de Pisan, Charles V, II, ch. 33.


    SUPPLÉMENT AU DICTIONNAIRE

    1. AUBERGE. - ÉTYM. Ajoutez?: Auberge représente une forme franque archaïque hariberga, chari-berga, chario-berga, atténuée plus tard en heriberga (voy. HÉBERGER), D'Arbois de Jubainville, Romania, n. 2, p. 140.
    Version électronique créée par François Gannaz - http://www.littre.org - licence Creative Commons Attribution

    Encyclopédie, 1re édition

    AUBERGE, s. f. (Hist. mod.) lieu ou les hommes sont nourris & couchés, & trouvent des écuries pour leurs montures & leur suite. L'extinction de l'hospitalité a beaucoup multiplié les auberges ; elles sont favorisées par les lois à cause de la commodité publique. Ceux qui les tiennent ont action pour le payement de la dépense qu'on y a faite, sur les équipages & sur les hardes ; pourvu que ce ne soient point celles qui sont absolument nécessaires pour se couvrir. Les hôtes y doivent être reçûs avec affabilité, y demeurer en pleine sécurité, & y être fournis de ce dont ils ont besoin pour leur vie & celle de leurs animaux, à un juste prix. Les anciens ont eu des auberges comme nous. Les nôtres ont leurs loix, dont les principales sont de n'y point recevoir les domiciliés des lieux ; mais seulement les passans & les voyageurs ; de n'y point donner retraite à des gens suspects, sans avertir les officiers de police ; de n'y souffrir aucuns vagabonds, gens sans aveu, & blasphémateurs, & de veiller à la sûreté des choses & des personnes. Voyez le traité de la Pol. pag. 727. Dans la capitale, l'aubergiste est encore obligé de porter sur un registre le nom & la qualité de celui qui entre chez lui, avec la date de son entrée & de sa sortie, & d'en rendre compte à l'inspecteur de police. Il y a des auberges où l'on peut aller manger sans y prendre sa demeure. On paye à tant par tête, en comptant ou sans compter le vin ni les autres liqueurs.

    Auberge. Voyez Alberge. (K)

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    Étymologie de « auberge »

    Provenç. alberc, demeure, logement, alberga, alberja, baraque?; espagn. albergue?; ital. albergo. Ce mot, écrit aussi herberge, a même origine que héberger (voy. ce mot).

    Version électronique créée par François Gannaz - http://www.littre.org - licence Creative Commons Attribution

    Du moyen français alberge, de l'ancien occitan alberga, altération de l'ancien bas vieux-francique *heriberga (« loge des soldats, caserne »). Apparenté au néerlandais herberg), à l'allemand Herberge, à l'anglais harbour (« havre, darce »).
    Wiktionnaire - licence Creative Commons attribution partage à l'identique 3.0

    AUBERGE, subst. fém.
    ÉTYMOL. ET HIST. ? 1. 1477 dr. féod. aulberge « droit de gîte » (Ordonnances des rois de France, éd. Pastoret, t. 18, p. 353, 356 cité ds Bartsch, p. 98 : notaireries ... aulberges ... amendes), attest. isolée; 2. 1606 « maison où l'on trouve le gîte et le couvert » (Nicot); 1606 fig. (Nicot : La mort tel c?ur ne domine, Qui s'affine En telle flamme, & point ne vit Chez luy, mais en autre Auberge Il s'heberge. Et ailleurs est escondit); 1680 tenir auberge (Rich.) Empr. au prov. mod. aubergo, fr.-prov. (dauph.) aubergo « hôtellerie » (Mistral); le prov. mod. aubergo, anc. prov. alberga, alberja « campement, baraque », xiies. Fierabras, Gerard de Rossillon ds Rayn. et le fr.-prov. sont dérivés des verbes anc. prov. arbergar (Levy Prov.), albergar, forme dissimilée, « héberger » (xiies., Peire Vidal ds Rayn.) et fr.-prov. (Pays de Vaud) abèrdzi, (1213 ds Pat. Suisse rom.), corresp. à l'a. fr. arberjer « héberger, abriter » (xies. Passion), habergier (ca 1188, Florimont), abergier (fin xiies., Floovant ds T.-L.). Ces verbes sont empr. au germ. occ. *haribergôn (de même que l'anc. esp. albergar, xiiies. Berceo ds Al.; l'anc. cat. albergar, xies. ds Alc.-Moll.; l'anc. ital. albergare, début xiiies. Uguccione da Lodi ds Batt.), verbe prob. importé dans l'aire gallo-rom. par les mercenaires germ. antérieurement au ves., avec le sens étymol. de « loger une armée » (Brüch, p. 73). Étant donné que les subst. rom. corresp. à *haribergôn appartiennent aux genres masc. et fém., et que d'autre part, une forme masc. germ. ne peut être avancée, il faut supposer pour point de départ non pas le subst. germ., mais le verbe, emprunté par les langues rom. (Brüch, op. cit.); cf. aussi lat. médiév. arbergare « loger, héberger » 1056-1105 (Dipl. Heinr. IV, 170 ds Mittellat. W. s.v., 426, 41). Antérieurement à l'empr. du fr. auberge, la notion de « lieu où on loge » était rendue par des dér. du verbe en -erie ou en -age (a. fr. abergerie, xiies. ds T.-L.; anc. fribourgeois albergerie « hôtellerie », 1429 ds Pat. Suisse rom.). Selon Brüch, loc. cit., le type germ. *hari(bergôn) aurait, av. le ves., couvert l'aire gallo-rom. entière (d'où les formes en ar-, al-, a-, supra), puis reculé à l'époque franque devant le type *heri- qui se serait alors installé dans la partie septentrionale de l'aire gallo-rom. (v. héberger), le type *hari- s'étant restreint à la partie méridionale (prov., fr.-prov.).

    auberge au Scrabble


    Le mot auberge vaut 10 points au Scrabble.

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    Informations sur le mot auberge - 7 lettres, 4 voyelles, 3 consonnes, 6 lettres uniques.

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    auberge

    Les rimes de « auberge »


    On recherche une rime en RZ .

    Les rimes de auberge peuvent aider les poètes et les paroliers à trouver des mots pour former des vers avec une structure rythmique cohérente, mais aussi pour jouer avec les mots et les sons, découvrir de nouvelles idées et perspectives ce qui peut être amusant et divertissant.

    Les rimes en RZ

    Rimes de purge      Rimes de asperges      Rimes de surcharges      Rimes de immerge      Rimes de monte-charges      Rimes de engorge      Rimes de égorgent      Rimes de rouges-gorges      Rimes de forgent      Rimes de quatorze      Rimes de forges      Rimes de flamberge      Rimes de concierge      Rimes de barjes      Rimes de héberge      Rimes de auberge      Rimes de décharge      Rimes de monte-charge      Rimes de gamberge      Rimes de surcharge      Rimes de émerge      Rimes de urgent      Rimes de concierges      Rimes de orges      Rimes de Grotenberge      Rimes de rouge-gorge      Rimes de insurge      Rimes de soutiens-gorge      Rimes de rengorge      Rimes de Forges      Rimes de courges      Rimes de vierge      Rimes de larges      Rimes de forge      Rimes de recharges      Rimes de dramaturge      Rimes de insurgent      Rimes de canneberges      Rimes de canneberge      Rimes de barges      Rimes de immergent      Rimes de charges      Rimes de gorgent      Rimes de gorge      Rimes de bourge      Rimes de engorgent      Rimes de entr'égorgent      Rimes de émergent      Rimes de décharges      Rimes de barge     

    Mots du jour

    purge     asperges     surcharges     immerge     monte-charges     engorge     égorgent     rouges-gorges     forgent     quatorze     forges     flamberge     concierge     barjes     héberge     auberge     décharge     monte-charge     gamberge     surcharge     émerge     urgent     concierges     orges     Grotenberge     rouge-gorge     insurge     soutiens-gorge     rengorge     Forges     courges     vierge     larges     forge     recharges     dramaturge     insurgent     canneberges     canneberge     barges     immergent     charges     gorgent     gorge     bourge     engorgent     entr'égorgent     émergent     décharges     barge     


    Les citations sur « auberge »

    1. Oasis: Auberge dans le désert.

      Auteur : Gustave Flaubert - Source : Dictionnaire des idées reçues (1913)


    2. L'homme et les animaux sont un passage et un conduit de nourriture, des auberges de mort, des gaines de corruption, faisant de la vie avec la mort d'autrui.

      Auteur : Léonard de Vinci - Source : Pensées de LÉONARD DE VINCI dans toutes ses oeuvres - Leonardo Da Vinci - Frammenti letterari e filosofici Copertina rigida – 1979 di Edmondo Solmi


    3. Les États-Unis ressemblent à une auberge espagnole. […] Rien n’est, en effet, plus facile que de découvrir tout et son contraire, les attitudes les plus libérales et les plus conservatrices, les valeurs profondes de la démocratie et la persécution des minorités, la richesse acquise par le mérite et par le travail en même temps que la pauvreté la plus insupportable.

      Auteur : André Kaspi - Source : Comprendre les États-Unis aujourd’hui, André Kaspi, éd. Perrin, 2008


    4. Les États-Unis ressemblent à une auberge espagnole. […] Rien n’est, en effet, plus facile que de découvrir tout et son contraire, les attitudes les plus libérales et les plus conservatrices, les valeurs profondes de la démocratie et la persécution des minorités, la richesse acquise par le mérite et par le travail en même temps que la pauvreté la plus insupportable. Les États-Unis sont le pays des contrastes, qui touchent à la nature et aux climats, aux structures sociales et politiques, aux diversités culturelles. Nous avons beau décréter que les Américains sont de grands enfants, aux idées simplistes et aux comportements aisément prévisibles, nous découvrons vite qu’ils sont au moins aussi compliqués et divers que nous, les Européens, le sommes.

      Auteur : André Kaspi - Source : Comprendre les États-Unis aujourd’hui, André Kaspi, éd. Perrin, 2008


    5. De guerre lasse, il dut s'accommoder d'une mauvaise chambre à l'auberge.

      Auteur : Maurice Barrès - Source : La Colline inspirée (1913)


    6. Nous arrivâmes à son auberge affamés et fourbus.

      Auteur : André Gide - Source : Si le grain ne meurt (1926)


    7. A la vérité, quelques ventas ou auberges isolées se trouvaient éparses sur cette route désastreuse, mais des revenants, plus diables que les cabaretiers eux-mêmes, avaient forcé ceux-ci à leur céder la place ...

      Auteur : Jan Nepomucen Potocki, dit Jean Potocki - Source : Manuscrit trouvé à Saragosse (1804-1810), Première Journée


    8. Cette foi à l'auberge fait partie des racines de la providence dans l'homme. Croire à un gîte, c'est croire en Dieu.

      Auteur : Victor Hugo - Source : L'Homme qui rit (1869)


    9. Une vie sans plaisir, c'est un long voyage sans auberge.

      Auteur : Démocrite - Source : Sans référence


    10. Maille à maille se fait l'haubergeon.

      Auteur : Proverbes français - Source : Proverbe


    11. La vie n'est qu'une nuit à passer dans une mauvaise auberge.

      Auteur : Sainte Thérèse d'Avila - Source : La Passion de Thérèse d'Avila , livre de Christiane Rancé (2015)


    12. Vous souvient-il de l'auberge - Et combien j'y fus galant? - ... - Ah, que j'aimais, la Navarre - et l'amour, et le vin frais. - ... - Un Jurançon 93 - Aux couleurs du maïs - Et ma vie, et l'air du pays - Que mon coeur était aise.

      Auteur : Paul-Jean Toulet - Source : Les Contrerimes (1979)


    13. Le style plein air, toile de tente, gros souliers, le culte de la jeunesse saine, studieuse, rieuse, chanteuse en choeur, bronzée, héritière des Auberges de la jeunesse et même des Maisons de la culture.

      Auteur : Jacques Laurent - Source : Les Bêtises (1971)


    14. La vie sans farces est comme un voyage sans auberges.

      Auteur : Henri Pourrat - Source : Gaspard des montagnes


    15. Tous les vivants sont dans mon coeur. L'auberge est vaste. Il y a même un lit et un repas chaud pour les criminels et les fous.

      Auteur : Christian Bobin - Source : Un assassin blanc comme neige (2011)


    16. Je n'aimerais point à avoir pour hôte des gens qui ne seraient pas mieux chez moi que chez eux (s'ils sont mes voisins) ou qu'à l'auberge (s'ils voyagent).

      Auteur : Joseph Joubert - Source : Carnets tome 1


    17. Il est entré céans comme dans une auberge, sans dire bonjour ni bonsoir.

      Auteur : George Sand - Source : François le Champi (1847-1848)


    18. Vous souvient-il de l'auberge - Et combien j'y fus galant? - Vous étiez en piqué blanc: - On eût dit la Sainte Vierge. - De l'auberge dans les Landes - Je rêve, et voudrais revoir - L'hôtesse au sombre mouchoir. - Et la glycine en guirlandes.

      Auteur : Paul-Jean Toulet - Source : Les Contrerimes (1979)


    19. Pourtant les auberges sont douces - Où le vin fait tourner manège.

      Auteur : Jacques Brel - Source : Sans référence


    20. Il y a les cathédrales, mais il y a les auberges. Or, sais-tu ce que c'est que les auberges? Ce sont les anciennes cavernes de voleurs civilisées, perfectionnées et abonnées au Constitutionnel.

      Auteur : Victor Hugo - Source : Lettre à Adèle, 17 juillet 1836


    21. Une mise élégante nous coûte plus cher à l'auberge que chez le tailleur.

      Auteur : Jean Antoine Petit, dit John Petit-Senn - Source : Bluettes et boutades (1846)


    22. Le coeur d'un libertin est fait comme une auberge, on y trouve à toute heure un grand feu bien nourri.

      Auteur : Alfred de Musset - Source : A quoi rêvent les jeunes filles (1832)


    23. Il y a un proverbe guatémaltèque qui dit: si tu te trouves dans l'obscurité total au milieu d'un hôtel et que tu disposes d'une bougie et de pommes allumettes, tu n'es pas sorti de l'auberge.

      Auteur : Philippe Geluck - Source : Le chat


    24. Un gros village, rendez-vous des bûcheux, des draveurs, des trappeurs. Ce sont des clients de choix pour les auberges et les hôtels. Ils boivent sec et l'argent ne leur pèse pas au bout des doigts.

      Auteur : Jean-Yves Soucy - Source : Un Dieu chasseur (2003)


    25. On connaît le cheval en chemin, et le cavalier à l'auberge.

      Auteur : Proverbes chinois - Source : Proverbe


    Les citations sur auberge renforcent la crédibilité et la pertinence de la définition du mot auberge en fournissant des exemples concrets et en montrant l'utilisation d'un terme par des personnes célèbres. Elles peuvent également renforçer la compréhension du sens d'un terme et en ajoutant une dimension historique.

    Les mots proches de « auberge »

    AubadeAubainAubaineAubeAubeAubeAubépineAubergeAubergineAubierAubifoinAubinAubourAubronAuburnien, ienne

    Les mots débutant par aub  Les mots débutant par au

    aubadeaubadentAubagnanAubagneAubagneAubagneaubainaubaineAubaineaubainesAubaisAubangeAubarèdeAubasAubazatAubazinesaubeaubeAubeAubeAubeAubechiesAubéguimontAubelAubenasAubenas-les-AlpesAubenassonAubencheul-au-BacAubencheul-aux-BoisAubentonAubepierre-Ozouer-le-ReposAubepierre-sur-AubeAubépinaubépineaubépinesAuberchicourtAubercourtaubèreaubèreaubèresaubergeAubergenvilleaubergesaubergineaubergineauberginesaubergisteaubergistesAubériveAuberive

    Les synonymes de « auberge»

    Les synonymes de auberge :

      1. taverne
      2. guinguette
      3. hôtel
      4. restaurant
      5. pension
      6. palace
      7. hôtellerie
      8. cabaret
      9. hostellerie
      10. posada
      11. restau

    synonymes de auberge

    Fréquence et usage du mot auberge dans le temps


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