Définition de « auberge »


Notre dictionnaire de français vous présente les définitions du mot auberge de manière claire et concise, avec des exemples pertinents pour aider à comprendre le sens du mot.

Il comprend des informations supplémentaires telles que des exemples d'expressions, l'étymologie, les synonymes, les homonymes, les antonymes mais également les rimes et anagrammes et bien sûr des citations littéraires sur auberge pour aider à enrichir la compréhension du mot Auberge et répondre à la question quelle est la définition de auberge ?

NOM genre (f) de 2 syllabes
Une définition simple : (fr-rég|?.b???) auberge (f)

  • (ucf|maison) où l’on trouve la table et le lit en payant. - On fait bonne chère dans notre auberge. - Coucher à l’auberge. - Vivre à l’auberge. - Il y a beaucoup d’auberges sur la route. - J’ai laissé mon cheval à l’auberge.

  • (fig) (fam) … - Tenir auberge, Avoir maison ouverte, recevoir tout le monde à sa table. - Cette place est onéreuse, elle force à tenir auberge.

  • (arg) Prison (car on y est nourri et logé).
    Expression : auberge de jeunesse auberge espagnole ne pas être sorti de lauberge prendre la maison de quelqu’un pour une auberge : S’y établir pour quelque temps, ou aller y dîner fréquemment, sans être invité, ni désiré.



    Définitions de « auberge »


    Trésor de la Langue Française informatisé


    AUBERGE, subst. fém.

    A.? Petit hôtel à la campagne, dans les petites villes ou les faubourgs, où les voyageurs peuvent se loger et se restaurer :
    1. ... nous avons craint qu'étranger dans nos montagnes et fatigué d'une longue route à pied, vous ne trouviez pas dans le village une auberge où vous puissiez vous rafraîchir et vous reposer. Lamartine, Les Confidences,1849, p. 298.
    ? P. métaph. :
    2. On recevait dans ce salon des étrangers, Turcs, Autrichiens, Allemands... et personne n'y trouvait à redire. Paris était, sous Napoléon III, l'auberge du monde. A. France, La Vie en fleur,1922, p. 526.
    SYNT. Bonne, petite auberge; fille, garçon, servante d'auberge; salle d'auberge; coucher, descendre à l'auberge.
    ? Loc. Tenir auberge. Recevoir tout le monde à sa table. Prendre la maison de qqn pour une auberge. Aller y dîner souvent et sans invitation. Sortir de l'auberge. ,,Se tirer d'un mauvais pas`` (Le Breton 1960) :
    3. N'allez-vous pas me dire que vous êtes ivre, puisque vous me faites l'extrême faveur de prendre ma maison pour une auberge ou pour quelque chose de pire? Delécluze, Journal,1825, p. 160.
    4. [ursus] : ? ... Ah çà, est-ce que je tiens auberge, moi? Pourquoi est-ce que j'ai des arrivages de voyageurs? La détresse universelle a des éclaboussures jusque dans ma pauvreté. Il me tombe dans ma cabane des gouttes hideuses de la grande boue humaine. Hugo, L'Homme qui rit,t. 1, 1869, p. 162.
    5. On avait maintenant en plus de l'équipe du Frisé, le commissaire Mandru et sa brigade au train. Je nous voyais pas sortis de l'auberge! A. Simonin, Le Petit Simonin illustré par l'ex.,Paris, N.R.F., 1968, p. 263.
    ? Auberge espagnole :
    6. Si la Neuvième Symphonie était présentée aujourd'hui comme le morceau de concours d'un prix de Rome, on y prendrait très peu d'intérêt et de plaisir. Mais il y a deux cents ans que l'on tartine sur elle; on y arrive extasié d'avance, y apportant, comme dans les auberges espagnoles, tout ce qu'on souhaite d'y trouver. Montherlant, Notes de théâtre,1954, p. 1072.
    B.? Spécialement
    1. ?UVRES. Auberge de (la) jeunesse. Centre d'accueil de vacances pour les jeunes qui font du tourisme :
    7. Selon l'importance de l'agglomération, il comporte des salles de réunions, 1 salle de fêtes, une bibliothèque, des bureaux de renseignements, un service médical, une piscine, un gymnase, éventuellement une auberge de jeunesse, divers plateaux d'éducation physique et de sports. Les Gds ensembles d'habitation,1963, p. 18.
    2. TOUR. Hôtel ou restaurant d'une classe touristique élevée.
    PRONONC. : [ob? ? ?]. Passy 1914 et Barbeau-Rodhe 1930 donnent la possibilité d'une prononc. avec [?] ouvert pour la 1resyll. (cf. aussi Buben 1935, p. 54, § 44). Ils notent également pour cette syll. une durée mi-longue.
    ÉTYMOL. ET HIST. ? 1. 1477 dr. féod. aulberge « droit de gîte » (Ordonnances des rois de France, éd. Pastoret, t. 18, p. 353, 356 cité ds Bartsch, p. 98 : notaireries ... aulberges ... amendes), attest. isolée; 2. 1606 « maison où l'on trouve le gîte et le couvert » (Nicot); 1606 fig. (Nicot : La mort tel c?ur ne domine, Qui s'affine En telle flamme, & point ne vit Chez luy, mais en autre Auberge Il s'heberge. Et ailleurs est escondit); 1680 tenir auberge (Rich.) Empr. au prov. mod. aubergo, fr.-prov. (dauph.) aubergo « hôtellerie » (Mistral); le prov. mod. aubergo, anc. prov. alberga, alberja « campement, baraque », xiies. Fierabras, Gerard de Rossillon ds Rayn. et le fr.-prov. sont dérivés des verbes anc. prov. arbergar (Levy Prov.), albergar, forme dissimilée, « héberger » (xiies., Peire Vidal ds Rayn.) et fr.-prov. (Pays de Vaud) abèrdzi, (1213 ds Pat. Suisse rom.), corresp. à l'a. fr. arberjer « héberger, abriter » (xies. Passion), habergier (ca 1188, Florimont), abergier (fin xiies., Floovant ds T.-L.). Ces verbes sont empr. au germ. occ. *haribergôn (de même que l'anc. esp. albergar, xiiies. Berceo ds Al.; l'anc. cat. albergar, xies. ds Alc.-Moll.; l'anc. ital. albergare, début xiiies. Uguccione da Lodi ds Batt.), verbe prob. importé dans l'aire gallo-rom. par les mercenaires germ. antérieurement au ves., avec le sens étymol. de « loger une armée » (Brüch, p. 73). Étant donné que les subst. rom. corresp. à *haribergôn appartiennent aux genres masc. et fém., et que d'autre part, une forme masc. germ. ne peut être avancée, il faut supposer pour point de départ non pas le subst. germ., mais le verbe, emprunté par les langues rom. (Brüch, op. cit.); cf. aussi lat. médiév. arbergare « loger, héberger » 1056-1105 (Dipl. Heinr. IV, 170 ds Mittellat. W. s.v., 426, 41). Antérieurement à l'empr. du fr. auberge, la notion de « lieu où on loge » était rendue par des dér. du verbe en -erie ou en -age (a. fr. abergerie, xiies. ds T.-L.; anc. fribourgeois albergerie « hôtellerie », 1429 ds Pat. Suisse rom.). Selon Brüch, loc. cit., le type germ. *hari(bergôn) aurait, av. le ves., couvert l'aire gallo-rom. entière (d'où les formes en ar-, al-, a-, supra), puis reculé à l'époque franque devant le type *heri- qui se serait alors installé dans la partie septentrionale de l'aire gallo-rom. (v. héberger), le type *hari- s'étant restreint à la partie méridionale (prov., fr.-prov.).
    STAT. ? Fréq. abs. littér. : 2 233. Fréq. rel. littér. : xixes. : a) 3 563, b) 4 659; xxes. : a) 3 215, b) 2 025.
    BBG. ? Ac. Gastr. 1962. ? Bach.-Dez. 1882. ? Bruant 1901. ? Chabat 1881. ? Dainv. 1964. ? Esn. 1966. ? Gall. 1955, p. 27, 467. ? Gerster (W.). Beitrag zur Geschichte einiger Bezeichnungen für Gasthaus, besonders fr. taverne, hôtel, auberge. Vox rom. 1946/47, t. 9, p. 94; pp. 103-151. ? Goug. Mots t. 1 1962, p. 240. ? Lacr. 1963. ? Lammens 1890, p. 6. ? Lavedan 1964. ? Le Breton 1960. ? Pope 1961 [1952], § 28, 54, 660.


    Wiktionnaire


    Nom commun - français

    auberge \o.b???\ féminin

    1. Maison où on trouve un repas et un lit pour dormir en payant.
      • Ou bien, j'aborde dans un des petits ports de la côte, à Meschers, à Talmont, à Saint-Seurin, et je vais m'attabler au fond d'une auberge, devant un quignon de pain, un morceau de fromage et une bouteille de l'honnête vin blanc du pays. (Pierre-Henri Simon, Les Raisins verts, 1950)
      • [?], puis sous prétexte de prendre conseil, se dirigea vers l'auberge où il fit venir une première chopine suivie de plusieurs autres. (Louis Pergaud, Joséphine est enceinte, dans Les Rustiques, nouvelles villageoises, 1921)
      • Voilà, se dit le gentilhomme, une auberge qui s'annonce bien, et l'hôte qui la tient doit être, sur mon âme, un ingénieux compère. (Alexandre Dumas, La Reine Margot, 1845, volume I, chapitre IV)
      • Il n'est point pressé de conquérir les sommets. Si le temps menace, il n'attend pas l'averse, il redescend à l'auberge où il se met à la chotte. (La Semaine littéraire, 1908, vol.16, page 254)
    2. (Argot) (Prison) Prison (car on y est nourri et logé).
    Wiktionnaire - licence Creative Commons attribution partage à l'identique 3.0

    Littré

    AUBERGE (ô-bèr-j') s. f.
    • Maison où on loge et nourrit les voyageurs pour de l'argent. Descendre, coucher à l'auberge.

      Fig. L'auberge enfin de l'hyménée Lui [à la discorde] fut pour maison assignée, La Fontaine, Fab. VI, 20.

      Familièrement. Tenir auberge, recevoir tout le monde à sa table.

      Prendre la maison de quelqu'un pour une auberge, aller y dîner souvent et sans invitation.

      À Malte, l'hôtel de chaque langue portait le nom d'auberge, parce que les chevaliers s'y assemblaient et y mangeaient ordinairement.


    HISTORIQUE

    XIe s. Guenes li quens est venus as herberges [logis], Ch. de Rol. LIII. Li emperere a prise sa herberge, ib. CLXXVIII.

    XVe s. Item, que l'ost puisse surprendre ses ennemis en prenant leur repast, ou de nuit en leur hebarges, Christine de Pisan, Charles V, II, ch. 33.


    SUPPLÉMENT AU DICTIONNAIRE

    1. AUBERGE. - ÉTYM. Ajoutez?: Auberge représente une forme franque archaïque hariberga, chari-berga, chario-berga, atténuée plus tard en heriberga (voy. HÉBERGER), D'Arbois de Jubainville, Romania, n. 2, p. 140.
    Version électronique créée par François Gannaz - http://www.littre.org - licence Creative Commons Attribution

    Encyclopédie, 1re édition

    AUBERGE, s. f. (Hist. mod.) lieu ou les hommes sont nourris & couchés, & trouvent des écuries pour leurs montures & leur suite. L'extinction de l'hospitalité a beaucoup multiplié les auberges ; elles sont favorisées par les lois à cause de la commodité publique. Ceux qui les tiennent ont action pour le payement de la dépense qu'on y a faite, sur les équipages & sur les hardes ; pourvu que ce ne soient point celles qui sont absolument nécessaires pour se couvrir. Les hôtes y doivent être reçûs avec affabilité, y demeurer en pleine sécurité, & y être fournis de ce dont ils ont besoin pour leur vie & celle de leurs animaux, à un juste prix. Les anciens ont eu des auberges comme nous. Les nôtres ont leurs loix, dont les principales sont de n'y point recevoir les domiciliés des lieux ; mais seulement les passans & les voyageurs ; de n'y point donner retraite à des gens suspects, sans avertir les officiers de police ; de n'y souffrir aucuns vagabonds, gens sans aveu, & blasphémateurs, & de veiller à la sûreté des choses & des personnes. Voyez le traité de la Pol. pag. 727. Dans la capitale, l'aubergiste est encore obligé de porter sur un registre le nom & la qualité de celui qui entre chez lui, avec la date de son entrée & de sa sortie, & d'en rendre compte à l'inspecteur de police. Il y a des auberges où l'on peut aller manger sans y prendre sa demeure. On paye à tant par tête, en comptant ou sans compter le vin ni les autres liqueurs.

    Auberge. Voyez Alberge. (K)

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    Étymologie de « auberge »

    Provenç. alberc, demeure, logement, alberga, alberja, baraque?; espagn. albergue?; ital. albergo. Ce mot, écrit aussi herberge, a même origine que héberger (voy. ce mot).

    Version électronique créée par François Gannaz - http://www.littre.org - licence Creative Commons Attribution

    Du moyen français alberge, de l'ancien occitan alberga, altération de l'ancien bas vieux-francique *heriberga (« loge des soldats, caserne »). Apparenté au néerlandais herberg), à l'allemand Herberge, à l'anglais harbour (« havre, darce »).
    Wiktionnaire - licence Creative Commons attribution partage à l'identique 3.0

    AUBERGE, subst. fém.
    ÉTYMOL. ET HIST. ? 1. 1477 dr. féod. aulberge « droit de gîte » (Ordonnances des rois de France, éd. Pastoret, t. 18, p. 353, 356 cité ds Bartsch, p. 98 : notaireries ... aulberges ... amendes), attest. isolée; 2. 1606 « maison où l'on trouve le gîte et le couvert » (Nicot); 1606 fig. (Nicot : La mort tel c?ur ne domine, Qui s'affine En telle flamme, & point ne vit Chez luy, mais en autre Auberge Il s'heberge. Et ailleurs est escondit); 1680 tenir auberge (Rich.) Empr. au prov. mod. aubergo, fr.-prov. (dauph.) aubergo « hôtellerie » (Mistral); le prov. mod. aubergo, anc. prov. alberga, alberja « campement, baraque », xiies. Fierabras, Gerard de Rossillon ds Rayn. et le fr.-prov. sont dérivés des verbes anc. prov. arbergar (Levy Prov.), albergar, forme dissimilée, « héberger » (xiies., Peire Vidal ds Rayn.) et fr.-prov. (Pays de Vaud) abèrdzi, (1213 ds Pat. Suisse rom.), corresp. à l'a. fr. arberjer « héberger, abriter » (xies. Passion), habergier (ca 1188, Florimont), abergier (fin xiies., Floovant ds T.-L.). Ces verbes sont empr. au germ. occ. *haribergôn (de même que l'anc. esp. albergar, xiiies. Berceo ds Al.; l'anc. cat. albergar, xies. ds Alc.-Moll.; l'anc. ital. albergare, début xiiies. Uguccione da Lodi ds Batt.), verbe prob. importé dans l'aire gallo-rom. par les mercenaires germ. antérieurement au ves., avec le sens étymol. de « loger une armée » (Brüch, p. 73). Étant donné que les subst. rom. corresp. à *haribergôn appartiennent aux genres masc. et fém., et que d'autre part, une forme masc. germ. ne peut être avancée, il faut supposer pour point de départ non pas le subst. germ., mais le verbe, emprunté par les langues rom. (Brüch, op. cit.); cf. aussi lat. médiév. arbergare « loger, héberger » 1056-1105 (Dipl. Heinr. IV, 170 ds Mittellat. W. s.v., 426, 41). Antérieurement à l'empr. du fr. auberge, la notion de « lieu où on loge » était rendue par des dér. du verbe en -erie ou en -age (a. fr. abergerie, xiies. ds T.-L.; anc. fribourgeois albergerie « hôtellerie », 1429 ds Pat. Suisse rom.). Selon Brüch, loc. cit., le type germ. *hari(bergôn) aurait, av. le ves., couvert l'aire gallo-rom. entière (d'où les formes en ar-, al-, a-, supra), puis reculé à l'époque franque devant le type *heri- qui se serait alors installé dans la partie septentrionale de l'aire gallo-rom. (v. héberger), le type *hari- s'étant restreint à la partie méridionale (prov., fr.-prov.).

    auberge au Scrabble


    Le mot auberge vaut 10 points au Scrabble.

    auberge

    Informations sur le mot auberge - 7 lettres, 4 voyelles, 3 consonnes, 6 lettres uniques.

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    Le calcul de points ne prend pas en compte lettre compte double, lettre compte triple, mot compte double et mot compte triple. Ces cases augmentent les valeurs des mots posés selon un coefficient indiqué par les règles du jeu de Scrabble.

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    auberge

    Les rimes de « auberge »


    On recherche une rime en RZ .

    Les rimes de auberge peuvent aider les poètes et les paroliers à trouver des mots pour former des vers avec une structure rythmique cohérente, mais aussi pour jouer avec les mots et les sons, découvrir de nouvelles idées et perspectives ce qui peut être amusant et divertissant.

    Les rimes en RZ

    Rimes de gorges      Rimes de gamberge      Rimes de purge      Rimes de gorge      Rimes de quatre-vingt-quatorze      Rimes de regorgent      Rimes de demi-vierge      Rimes de asperge      Rimes de concierge      Rimes de émerge      Rimes de gamberges      Rimes de hébergent      Rimes de barge      Rimes de barjes      Rimes de asperge      Rimes de ex-concierge      Rimes de démurge      Rimes de recharges      Rimes de large      Rimes de quatorze      Rimes de dramaturges      Rimes de arrière-gorge      Rimes de auberges      Rimes de monte-charge      Rimes de gorges      Rimes de insurge      Rimes de immergent      Rimes de larges      Rimes de berge      Rimes de forgent      Rimes de coupe-gorge      Rimes de barges      Rimes de gamberges      Rimes de vierge      Rimes de vierges      Rimes de décharge      Rimes de georges      Rimes de chargent      Rimes de insurgent      Rimes de Forges      Rimes de Bierges      Rimes de courges      Rimes de targe      Rimes de orges      Rimes de rengorgent      Rimes de demi-vierges      Rimes de démiurge      Rimes de forge      Rimes de Grotenberge      Rimes de soutiens-gorge     

    Mots du jour

    gorges     gamberge     purge     gorge     quatre-vingt-quatorze     regorgent     demi-vierge     asperge     concierge     émerge     gamberges     hébergent     barge     barjes     asperge     ex-concierge     démurge     recharges     large     quatorze     dramaturges     arrière-gorge     auberges     monte-charge     gorges     insurge     immergent     larges     berge     forgent     coupe-gorge     barges     gamberges     vierge     vierges     décharge     georges     chargent     insurgent     Forges     Bierges     courges     targe     orges     rengorgent     demi-vierges     démiurge     forge     Grotenberge     soutiens-gorge     


    Les citations sur « auberge »

    1. Figue verte et fille d'auberge mûrissent à force d'être pincées.

      Auteur : Miguel de Cervantès - Source : Les Nouvelles exemplaires (1613), Le petit-fils de Sancho


    2. Le style plein air, toile de tente, gros souliers, le culte de la jeunesse saine, studieuse, rieuse, chanteuse en choeur, bronzée, héritière des Auberges de la jeunesse et même des Maisons de la culture.

      Auteur : Jacques Laurent - Source : Les Bêtises (1971)


    3. De guerre lasse, il dut s'accommoder d'une mauvaise chambre à l'auberge.

      Auteur : Maurice Barrès - Source : La Colline inspirée (1913)


    4. A l'auberge de la décision, les gens dorment bien.

      Auteur : Proverbes persans - Source : Proverbe


    5. Vous souvient-il de l'auberge - Et combien j'y fus galant? - Vous étiez en piqué blanc: - On eût dit la Sainte Vierge. - De l'auberge dans les Landes - Je rêve, et voudrais revoir - L'hôtesse au sombre mouchoir. - Et la glycine en guirlandes.

      Auteur : Paul-Jean Toulet - Source : Les Contrerimes (1979)


    6. Une mise élégante nous coûte plus cher à l'auberge que chez le tailleur.

      Auteur : Jean Antoine Petit, dit John Petit-Senn - Source : Bluettes et boutades (1846)


    7. Maille à maille se fait l'haubergeon.

      Auteur : Proverbes français - Source : Proverbe


    8. On connaît le cheval en chemin, et le cavalier à l'auberge.

      Auteur : Proverbes chinois - Source : Proverbe


    9. Cette foi à l'auberge fait partie des racines de la providence dans l'homme. Croire à un gîte, c'est croire en Dieu.

      Auteur : Victor Hugo - Source : L'Homme qui rit (1869)


    10. A chaque auberge me saluait une faim, devant chaque source m'attendait une soif - une soif devant chacune, particulière.

      Auteur : André Gide - Source : Les Nourritures terrestres (1897), I, 3


    11. L'auberge, solitaire et vieille, prend, sitôt que baisse la lumière, des aspects de coupe-gorge.

      Auteur : Louis Marie Julien Viaud, dit Pierre Loti - Source : Ramuntcho (1897)


    12. Tous les vivants sont dans mon coeur. L'auberge est vaste. Il y a même un lit et un repas chaud pour les criminels et les fous.

      Auteur : Christian Bobin - Source : Un assassin blanc comme neige (2011)


    13. Quand Eve bigla Adam à poil comme une pièce de cinq francs
      Elle dit au grand daron vot'superman c'est pas le beau serge
      Et s'y a vraiment qu'cézigue pour ensemencer tout le continent
      C'est pas pour vous chabler mais on n'est pas sortis de l'auberge.


      Auteur : Pierre Perret - Source : Adam et Eve (1977)


    14. La vie sans farces est comme un voyage sans auberges.

      Auteur : Henri Pourrat - Source : Gaspard des montagnes


    15. Cette auberge sans routes qui s'appelle la vie.

      Auteur : André Malraux - Source : Antimémoires (1967)


    16. Les États-Unis ressemblent à une auberge espagnole. […] Rien n’est, en effet, plus facile que de découvrir tout et son contraire, les attitudes les plus libérales et les plus conservatrices, les valeurs profondes de la démocratie et la persécution des minorités, la richesse acquise par le mérite et par le travail en même temps que la pauvreté la plus insupportable.

      Auteur : André Kaspi - Source : Comprendre les États-Unis aujourd’hui, André Kaspi, éd. Perrin, 2008


    17. La maison Kessel est une auberge ouverte sur le monde, que les vents traversent en une lancinante complainte, celle de l'appel au voyage.

      Auteur : Olivier Weber - Source : Kessel, le nomade éternel (2006)


    18. Il y a les cathédrales, mais il y a les auberges. Or, sais-tu ce que c'est que les auberges? Ce sont les anciennes cavernes de voleurs civilisées, perfectionnées et abonnées au Constitutionnel.

      Auteur : Victor Hugo - Source : Lettre à Adèle, 17 juillet 1836


    19. A la vérité, quelques ventas ou auberges isolées se trouvaient éparses sur cette route désastreuse, mais des revenants, plus diables que les cabaretiers eux-mêmes, avaient forcé ceux-ci à leur céder la place ...

      Auteur : Jan Nepomucen Potocki, dit Jean Potocki - Source : Manuscrit trouvé à Saragosse (1804-1810), Première Journée


    20. Certains films sont des auberges espagnoles. Si l'on n'invente pas un peu soi-même, c'est de la non-assistance à personne en danger.

      Auteur : Francis Blanche - Source : Les Pensées de Francis Blanche (2012)


    21. Frédérick Lemaître me contait hier qu'il entrait un jour dans un bouge, auberge de rouliers pour y passer la nuit. Il a demandé en entrant: Y a-t-il des puces ici? L'hôte a répondu gravement: - Non, Monsieur. Les poux les mangent.

      Auteur : Victor Hugo - Source : Faits et croyances, 1840


    22. Je n'aimerais point à avoir pour hôte des gens qui ne seraient pas mieux chez moi que chez eux (s'ils sont mes voisins) ou qu'à l'auberge (s'ils voyagent).

      Auteur : Joseph Joubert - Source : Carnets tome 1


    23. Le bon choix de loin, c'est de préférer un peu de saveur à beaucoup d'insipidité. Quelque jeune que l'on soit, le plus grand trot vous brise, même si elle vous fait arriver moins vite à l'auberge, vous y mène du moins sans vous fatiguer.

      Auteur : Giovanni Boccaccio, dit Boccace - Source : Le Décaméron (1350-1353)


    24. Sans masque, on est pas sorti de l'auberge !

      Auteur : Serge Joncour - Source : Tweet de Serge Joncour, le 04/04/2020


    25. Les États-Unis ressemblent à une auberge espagnole. […] Rien n’est, en effet, plus facile que de découvrir tout et son contraire, les attitudes les plus libérales et les plus conservatrices, les valeurs profondes de la démocratie et la persécution des minorités, la richesse acquise par le mérite et par le travail en même temps que la pauvreté la plus insupportable. Les États-Unis sont le pays des contrastes, qui touchent à la nature et aux climats, aux structures sociales et politiques, aux diversités culturelles. Nous avons beau décréter que les Américains sont de grands enfants, aux idées simplistes et aux comportements aisément prévisibles, nous découvrons vite qu’ils sont au moins aussi compliqués et divers que nous, les Européens, le sommes.

      Auteur : André Kaspi - Source : Comprendre les États-Unis aujourd’hui, André Kaspi, éd. Perrin, 2008


    Les citations sur auberge renforcent la crédibilité et la pertinence de la définition du mot auberge en fournissant des exemples concrets et en montrant l'utilisation d'un terme par des personnes célèbres. Elles peuvent également renforçer la compréhension du sens d'un terme et en ajoutant une dimension historique.

    Les mots proches de « auberge »

    AubadeAubainAubaineAubeAubeAubeAubépineAubergeAubergineAubierAubifoinAubinAubourAubronAuburnien, ienne

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    aubadeaubadentAubagnanAubagneAubagneAubagneaubainaubaineAubaineaubainesAubaisAubangeAubarèdeAubasAubazatAubazinesaubeaubeAubeAubeAubeAubechiesAubéguimontAubelAubenasAubenas-les-AlpesAubenassonAubencheul-au-BacAubencheul-aux-BoisAubentonAubepierre-Ozouer-le-ReposAubepierre-sur-AubeAubépinaubépineaubépinesAuberchicourtAubercourtaubèreaubèreaubèresaubergeAubergenvilleaubergesaubergineaubergineauberginesaubergisteaubergistesAubériveAuberive

    Les synonymes de « auberge»

    Les synonymes de auberge :

      1. taverne
      2. guinguette
      3. hôtel
      4. restaurant
      5. pension
      6. palace
      7. hôtellerie
      8. cabaret
      9. hostellerie
      10. posada
      11. restau

    synonymes de auberge

    Fréquence et usage du mot auberge dans le temps


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