La définition de Politesse du dictionnaire français. Signification du mot et son éthymologie - De nombreux exemples d'usage en français ainsi que des citations.

Politesse
Nature : s. f.
Prononciation : po-li-tè-s'
Etymologie : Ital. pulitezza, de pulilo, poli.

Voir les citations du mot PolitesseSignification du mot Politesse


Notre dictionnaire de français vous présente les définitions de politesse de manière précise, avec des exemples pertinents pour aider à comprendre la signification du mot.

Notre dictionnaire de définitions comprend des informations complémentaires telles que la nature du mot, sa prononciation, des exemples d'expressions, l'étymologie, les synonymes, les homonymes, les antonymes mais également les rimes et anagrammes. Quand la définition du mot s'y prête nous vous proposons des citations littéraires en rapport avec politesse pour illustrer la compréhension du mot ou préciser le sens et de répondre à la question quelle est la signification de Politesse ?


La définition de Politesse

Culture intellectuelle et morale des sociétés.


Toutes les définitions de « politesse »


Dictionnaire de l'Académie française, huitième édition

POLITESSE. n. f.
Manière de vivre, d'agir, de parler, civile, honnête, courtoise. On remarque une grande politesse dans tout ce qu'il dit, dans tout ce qu'il fait. Il a du savoir, mais il manque de politesse. Il est d'une politesse fatigante, incommode. Il se dit aussi des Actions conformes à la politesse. Faire une politesse. Faire des politesses. J'ai reçu de lui beaucoup de politesses. Il s'est confondu en politesses. Brûler la politesse. Voyez BRÛLER.

Littré

POLITESSE (po-li-tè-s') s. f.
  • 1Culture intellectuelle et morale des sociétés. En envoyant ses colonies par toute la terre, et avec elles la politesse, Bossuet, Hist. III, 3. Je viens vous faire admirer un homme qui a su joindre la politesse du temps à la bonne foi de nos pères, Fléchier, Duc de Mont. Quelles peines n'eut-on pas à lui persuader d'étendre un peu, en faveur de sa dignité, les limites de son patrimoine, et d'ajouter quelques politesses de l'art aux agréments rustiques de la nature?? Fléchier, le Tellier. Les dissensions domestiques, les guerres étrangères, l'ignorance qui toujours en est le triste fruit, avaient répandu sur toutes les parties de l'État je ne sais quel air de licence et de barbarie, toujours fatal à la sainte politesse et à la candeur des m?urs chrétiennes, Massillon, Panég. St Bernard. Carthage sortit de ses ruines? elle devint la métropole de l'Afrique, et fut célèbre par sa politesse et par ses écoles, Chateaubriand, Itin. 7e part.
  • 2Il se dit aussi de la culture individuelle. La politesse de l'esprit consiste à penser des choses honnêtes et délicates, La Rochefoucauld, Maxime 99. Ce nom, capable d'imprimer du respect dans les esprits où il reste encore quelque politesse, Fléchier, Duc de Mont. Il faut très peu de fond pour la politesse dans les manières?; il en faut beaucoup pour celle de l'esprit, La Bruyère, XII.

    Manière de vivre polie, non sauvage ni farouche. Hélas?! je suis une biche au bois, éloignée de toute politesse?; je ne sais plus s'il y a une musique dans le monde, et si l'on rit, Sévigné, 15 juin 1680. Télémaque fut étonné de voir toute la campagne de Salente cultivée comme un jardin?: il en fut charmé, car il aimait naturellement les choses qui ont de l'éclat et de la politesse, Fénelon, Tél. XXII.

  • 3Manière d'agir, de parler civile et honnête, acquise par l'usage du monde. La politesse n'inspire pas toujours la bonté, l'équité, la complaisance, la gratitude?; elle en donne du moins les apparences, et fait paraître l'homme au dehors comme il devrait être intérieurement, La Bruyère, V. Il me semble que l'esprit de politesse est une certaine attention à faire que, par nos paroles et nos manières, les autres soient contents de nous et d'eux-mêmes, La Bruyère, ib. Il est vrai que les manières polies donnent cours au mérite, et le rendent agréable, et qu'il faut avoir de bien éminentes qualités pour se soutenir sans la politesse, La Bruyère, ib. Il [Vauban] méprisait cette politesse superficielle dont le monde se contente, et qui couvre souvent tant de barbarie, Fontenelle, Vauban. La politesse est à l'esprit Ce que la grâce est au visage?; De la bonté du c?ur elle est la douce image, Et c'est la bonté qu'on chérit, Voltaire, Stances, 28. Celui qui ne veut satisfaire qu'aux besoins de la nature, ne se morfond point à la porte des grands, n'essuie ni leurs regards dédaigneux, ni leur politesse insultante, Diderot, Claude et Nér. II, 1. Le peuple est ici plus bruyant qu'ailleurs?; dans la première classe des citoyens règnent cette bienséance qui fait croire qu'un homme s'estime lui-même, et cette politesse qui fait croire qu'il estime les autres, Barthélemy, Anach. ch. 20. Il avait des manières élégantes, une politesse facile et de bon goût, Staël, Corinne, I, 3. Une politesse froide, une conversation pleine de solidité, Genlis, Veillées du château t. III, p. 41, dans POUGENS.

    La politesse du c?ur, celle qui est inspirée par la bonté, par la cordialité. Il est bon, facile?; il a la politesse du c?ur, bien supérieure à celle des manières, Barthélemy, Anach. ch. 51.

  • 4Action conforme à la politesse. De toutes les obligations qu'on peut avoir à une belle âme, ces tendres attentions, ces secrètes politesses de sentiment sont les plus touchantes, Marivaux, Marianne, 3e part. J'ai dû à M. d'Alembert et à M. Diderot la politesse que j'ai eue pour eux?: il n'était pas juste que mon nom parût avant le leur, Voltaire, Lett. Panckoucke, 21 févr. 1770. Les hommes savent que les politesses qu'ils se font ne sont qu'une imitation de l'estime, Duclos, Consid. m?urs, 3.

    Faire politesse à quelqu'un, se montrer particulièrement civil à son égard. Déjà l'on me fait politesse, Déjà l'on m'attend au retour, Béranger, Hab. de cour.

    Brûler la politesse, s'esquiver sans dire adieu.

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Encyclopédie, 1re édition

POLITESSE, s. f. (Morale.) Pour découvrir l'origine de la politesse, il faudroit la savoir bien définir, & ce n'est pas une chose aisée. On la confond presque toujours avec la civilité & la flatterie, dont la premiere est bonne, mais moins excellente & moins rare que la politesse, & la seconde mauvaise & insupportable, lorsque cette même politesse ne lui prête pas ses agrémens. Tout le monde est capable d'apprendre la civilité, qui ne consiste qu'en certains termes & certaines cérémonies arbitraires, sujettes, comme le langage, aux pays & aux modes ; mais la politesse ne s'apprend point sans une disposition naturelle, qui à la vérité a besoin d'être perfectionnée par l'instruction & par l'usage du monde. Elle est de tous les tems & de tous les pays ; & ce qu'elle emprunte d'eux lui est si peu essentiel, qu'elle se fait sentir au-travers du style ancien & des coutumes les plus étrangeres. La flatterie n'est pas moins naturelle ni moins indépendante des tems & des lieux, puisque les passions qui la produisent ont toujours été & seront toujours dans le monde. Il semble que les conditions élevées devroient garantir de cette bassesse ; mais il se trouve des flatteurs dans tous les états, quand l'esprit & l'usage du monde enseignent à déguiser ce défaut sous le masque de la politesse, en se rendant agréable, il devient plus pernicieux ; mais toutes les fois qu'il se montre à découvert, il inspire le mépris & le dégoût, souvent même aux personnes en faveur desquelles il est employé : il est donc autre chose que la politesse, qui plaît toujours & qui est toujours estimée. En effet, on juge de sa nature par le terme dont on se sert pour l'exprimer, on n'y découvre rien que d'innocent & de louable. Polir un ouvrage dans le langage des artisans, c'est en ôter ce qu'il y a de rude & d'ingrat, y mettre le lustre & la douceur dont la matiere qui le compose se trouve susceptible, en un mot le finir & le perfectionner. Si l'on donne à cette expression un sens spirituel, on trouve de même que ce qu'elle renferme est bon & louable. Un discours, un sens poli, des manieres & des conversations polies, cela ne signifie-t-il pas que ces choses sont exemptes de l'enflure, de la rudesse, & des autres défauts contraires au bon sens & à la société civile, & qu'elles sont revêtues de la douceur, de la modestie, & de la justice que l'esprit cherche, & dont la société a besoin pour être paisible & agréable ? Tous ces effets renfermés dans de justes bornes, ne sont-ils pas bons, & ne conduisent-ils pas à conclure que la cause qui les produit ne peut aussi être qui bonne ? Je ne sai si je la connois bien, mais il me semble qu'elle est dans l'ame une inclination douce & bienfaisante, qui rend l'esprit attentif, & lui fait découvrir avec délicatesse tout ce qui a rapport avec cette inclination, tant pour le sentir dans ce qui est hors de soi, que pour le produire soi-même suivant sa portée ; parce qu'il me paroît que la politesse, aussi bien que le goût, dépend de l'esprit plutôt que de son étendue ; & que comme il y a des esprits médiocres, qui ont le goût très-sûr dans tout ce qu'ils sont capables de connoître, & d'autres très-élevés, qui l'ont mauvais ou incertain, il se trouve de même des esprits de la premiere classe dépourvus de politesse, & de communs qui en ont beaucoup. On ne finiroit point si on examinoit en détail combien ce défaut de politesse se fait sentir, & combien, s'il est permis de parler ainsi, elle embellit tout ce qu'elle touche. Quelle attention ne faut-il pas avoir pour pénétrer les bonnes choses sous une enveloppe grossiere & mal polie ? Combien de gens d'un mérite solide, combien d'écrits & de discours bons & savans qui sont fuis & rejettés, & dont le mérite ne se découvre qu'avec travail par un petit nombre de personnes, parce que cette aimable politesse leur manque ? Et au contraire qu'est-ce que cette même politesse ne fait pas valoir ? Un geste, une parole, le silence même, enfin les moindres choses guidées par elle, sont toujours accompagnées de graces, & deviennent souvent considérables. En effet, sans parler du reste, de quel usage n'est pas quelquefois ce silence poli, dans les conversations même les plus vives ? c'est lui qui arrête les railleries précisément au terme qu'elles ne pourroient passer sans devenir piquantes, & qui donne aussi des bornes aux discours qui montreroient plus d'esprit que les gens avec qui on parle n'en veulent trouver dans les autres. Ce même silence ne supprime-t-il pas aussi fort à propos plusieurs réponses spirituelles, lorsqu'elles peuvent devenir ridicules ou dangereuses, soit en prolongeant trop les complimens, soit en évitant quelques disputes ? Ce dernier usage de la politesse la releve infiniment, puisqu'il contribue à entretenir la paix, & que par-là il devient, si on l'ose dire, une espece de préparation à la charité. Il est encore bien glorieux à la politesse d'être souvent employée dans les écrits & dans les discours de morale, ceux mêmes de la morale chrétienne, comme un véhicule qui diminue en quelque sorte la pesanteur & l'austérité des préceptes & des corrections les plus séveres. J'avoue que cette même politesse étant profanée & corrompue, devient souvent un des plus dangereux instrumens de l'amour-propre mal reglé ; mais en convenant qu'elle est corrompue par quelque chose d'étranger, on prouve, ce me semble, que de sa nature elle est pure & innocente.

Il ne m'appartient pas de décider, mais je ne puis m'empêcher de croire que la politesse tire son origine de la vertu, qu'en se renfermant dans l'usage qui lui est propre, elle demeure vertueuse ; & que lorsqu'elle sert au vice, elle éprouve le sort des meilleures choses dont les hommes vicieux corrompent l'usage. La beauté, l'esprit, le savoir, toutes les créatures en un mot, ne sont-elles pas souvent employées au mal, & perdent elles pour cela leur bonté naturelle ? Tous les abus qui naissent de la politesse n'empêchent pas qu'elle ne soit essentiellement un bien, tant dans son origine que dans les effets, lorsque rien de mauvais n'en altere la simplicité.

Il me semble encore que la politesse s'exerce plus fréquemment avec les hommes en général, avec les indifférens, qu'avec les amis, dans la maison d'un étranger que dans la sienne, sur-tout lorsqu'on y est en famille, avec son pere, sa mere, sa femme, ses enfans. On n'est pas poli avec sa maîtresse ; on est tendre, passionné, galant. La politesse n'a guere lieu avec son pere, avec sa femme ; on doit à ces êtres d'autres sentimens. Les sentimens vifs, qui marquent l'intimité, les liens du sang, laissent donc peu de circonstances à la politesse. C'est une qualité peu connue du sauvage. Elle n'a guere lieu au fond des forêts, entre des hommes & des femmes nuds, & tout entiers à la poursuite de leurs besoins ; & chez les peuples polices, elle n'est souvent que la démonstration extérieure d'une bienfaisance qui n'est pas dans le c?ur.

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Wiktionnaire


Nom commun - français

politesse \p?.li.t?s\ féminin

  1. Bonne manière de vivre, d'agir ou de parler avec quelqu'un, civile, honnête ou courtoise.
    • [?]; et quand elles se parlaient, c'était avec politesse, mais avec une mutuelle indifférence. (Marie-Jeanne Riccoboni, Histoire d'Ernestine, 1762, édition ?uvres complètes de Mme Riccoboni, tome I, Foucault, 1818)
    • Massalie répand sur quelques-uns de nos rivages, avec le langage de la Grèce, la politesse de ses m?urs et l'élégance de son génie. (Jean-Jacques Ampère, La Littérature française dans ses rapports avec les littératures étrangères au Moyen Âge, Revue des Deux Mondes, 1833, tome 1)
    • Il est à remarquer que la politesse française, autrefois proverbiale, a disparu depuis que l'on a cessé de porter l'épée. Les lois contre le duel achèveront de nous rendre le peuple le plus grossier de l'univers. (Théophile Gautier, Voyage en Espagne, Charpentier, 1859)
    • La vieille politesse, en effet, n'est plus guère propre qu'à faire des dupes. Vous donnez, on ne vous rend pas. La bonne règle à table est de se servir toujours très mal, pour éviter la suprême impolitesse de paraître laisser aux convives qui viennent après vous ce qu'on a rebuté. Peut-être vaut-il mieux encore prendre la part qui est la plus rapprochée de vous, sans la regarder. Celui qui, de nos jours, porterait dans la bataille de la vie une telle délicatesse serait victime sans profit ; son attention ne serait même pas remarquée. (Ernest Renan, Souvenirs d'enfance et de jeunesse, 1883, collection Folio, pages 201-202.)
    • Sans doute les gamins qu'il évangélisait n'usaient pas toujours entre eux et avec leurs camarades des villages voisins d'une politesse et d'une mansuétude qui rappelaient la vieille galanterie française et la charité chrétienne, [?] (Louis Pergaud, Le Sermon difficile, dans Les Rustiques, nouvelles villageoises, 1921)
    • Je fis mine d'ignorer que sa formule de politesse cachait en fait un ordre. (Antoine Bello, Les Éclaireurs, 2009 ; édition Folio, 2010, page 261)
  2. Actions conformes à la politesse.
    • Tous les passants que je rencontrais portaient la main à leur chapeau de feutre et m'honoraient d'un salut respectueux; ceux que je croisais pour la dixième fois me saluaient une dixième fois, et j'avais fort à faire pour tenir tête à un pareil assaut de politesses. (Jules Leclercq, La Terre de glace, Féroë, Islande, les geysers, le mont Hékla, Paris : E. Plon & Cie, 1883, page 49)
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Trésor de la Langue Française informatisé


POLITESSE, subst. fém.

A.? Au sing.
1. Respect des bonnes manières, des règles de la bienséance; bonne éducation. Anton. impolitesse.Au dîner, elle ne parut pas avant le second service, entra, toute fardée, avec un petit chien de six semaines qu'elle fit laper dans son assiette. Tante Aurélie, doucement, lui représenta que cela choquait la politesse (Adam, Enf. Aust.,1902, p. 446).Elle ne lui écrivait plus que de loin en loin, des lettres de dix lignes où elle disait par politesse : « J'espère que tu vas bien », mais sans s'inquiéter outre mesure (Dorgelès, Croix de bois,1919, p. 307):
1. Il ne faut pas croire que la politesse ne consiste que dans des vains usages. La véritable politesse prend sa source dans les qualités les plus estimables du c?ur : elle nous apprend à contenir les passions haineuses; elle donne l'habitude de s'occuper des autres; elle exclut tout ce qui peut blesser; elle apprend à nous oublier nous-mêmes, et l'expression de l'estime d'autrui se trouve toute faite, soit en démonstration, soit en parole. Bonstetten, Homme Midi,1824, pp. 178-179.
? Politesse du c?ur (v. c?ur II D 3 c). Respect des bonnes manières non seulement dicté par les usages mais par des sentiments sincères. La fille Mireille et les étrangers se saluent dans les termes de cette simple et modeste familiarité, politesse du c?ur de ceux qui n'ont pas de temps à perdre en vains discours (Lamart., Cours litt.,1859, p. 253).
SYNT. Manuel de politesse; code de la politesse; politesse affectée, appliquée, appuyée, cérémonieuse, distante, enjouée, exagérée, excessive, exquise, glacée, glaciale, parfaite, stricte, surannée; politesse britannique, française, orientale; se découvrir par politesse; visite de politesse.
? Formule* de politesse.
? [P. allus. à la phrase favorite de Louis XVIII : L'exactitude est la politesse des rois] V. exactitude ex. 2.
? GRAMM. Futur* de politesse, pluriel* de politesse;
? Loc. Brûler* la politesse à qqn; fausser* (la) politesse à qqn.
2. Vx. Civilisation, culture, raffinement d'une société. La politesse mondaine. Un Athénien vantoit les arts et la politesse d'Athènes, un Spartiate demandoit la préférence pour Lacédémone (Chateaubr., Martyrs,t. 1, 1810, p. 279).
B.? P. méton., souvent au plur. Action, propos dénotant une bonne éducation, le respect des règles de la bienséance. Politesses embarrassées, exagérées; dire, faire une/des politesse(s) à qqn; échanger des politesses. Fontenelle, âgé de quatre-vingts ans, s'empressa de relever l'éventail d'une femme jeune et belle, mais mal élevée, qui reçut sa politesse dédaigneusement (Chamfort, Caract. et anecd.,1794, p. 113).Il nous invite à nous asseoir et nous demande s'il peut nous offrir quelque chose. Nous pensons bien qu'il ne s'agit pas d'un cercueil, aussi le remercions-nous de sa courtoisie. Pendant ces politesses est entrée une femme corpulente (T'Serstevens, Itinér. esp.,1963, p. 55):
2. ... il se montra fort aimable. Rien n'était plus facile que de recommander son jeune ami au garde des sceaux. On serait trop heureux de l'avoir; et il termina ses politesses en l'invitant à une soirée qu'il donnait dans quelques jours. Flaub., Éduc. sent.,t. 1, 1869, p. 199.
? Se confondre* en politesses.
? Rendre la, une, sa politesse à qqn; rendre des politesses à qqn. Avoir à l'égard de quelqu'un le même comportement que celui qu'il a eu à notre égard. Synon. rendre la pareille.Je vais essayer de vous rendre à Paris votre gracieuse politesse de Rome, et mettre mon coupé à votre disposition jusqu'à ce que vous ayez eu le temps de monter vos équipages (Dumas père, Monte-Cristo,t. 1, 1846, p. 611).Le soir, comme il revenait du travail le premier, il promenait les enfants, sur le boulevard extérieur. Gervaise, pour lui rendre ses politesses, montait dans l'étroit cabinet où il couchait, sous les toits; et elle visitait ses vêtements, mettant des boutons aux cottes, reprisant les vestes de toile (Zola, Assommoir,1877, p. 417).V. galanterie A 1 ex. de Musset.
Prononc. et Orth. : [p?lit?s]. Att. ds Ac. dep. 1694. Étymol. et Hist. 1. 1578 « état de ce qui est lisse, uni » (La Boderie, L'Harmonie du monde [trad. de l'ital.], Ep. ds Gdf.); 2. 1664 « ensemble des caractères sociaux, intellectuels et moraux qui caractérisent une civilisation » (La Rochefoucauld, Maximes, éd. J. Truchet, maxime supprimée apr. la 1reéd., 52, p. 146); 3. 1678 « respect des règles de la bienséance; bonne éducation » (Id., ibid., 99, p. 29). Empr. à l'ital. pulitezza, politezza « propreté » (dep. xives., Fr. Da Buti), également « élégance, raffinement (d'une ?uvre d'art, d'une ?uvre littéraire, etc.) » (id.) et « culture, civilisation » (dep. 1600, G. de' Bardi ds Tomm.-Bell.), dér. de polito « lisse, poli; propre », du lat. politus « lisse; brillant; orné » (cf. poli). Fréq. abs. littér. : 2 183. Fréq. rel. littér. : xixes. : a) 3 219, b) 2 889; xxes. : a) 2 784, b) 3 314. Bbg. Hope 1971, p. 217. ? Quem. DDL t. 11. ? Siccardo (F.). Police. Genova, 1979, p. 8, 146.

POLITESSE, subst. fém.
Étymol. et Hist. 1. 1578 « état de ce qui est lisse, uni » (La Boderie, L'Harmonie du monde [trad. de l'ital.], Ep. ds Gdf.); 2. 1664 « ensemble des caractères sociaux, intellectuels et moraux qui caractérisent une civilisation » (La Rochefoucauld, Maximes, éd. J. Truchet, maxime supprimée apr. la 1reéd., 52, p. 146); 3. 1678 « respect des règles de la bienséance; bonne éducation » (Id., ibid., 99, p. 29). Empr. à l'ital. pulitezza, politezza « propreté » (dep. xives., Fr. Da Buti), également « élégance, raffinement (d'une ?uvre d'art, d'une ?uvre littéraire, etc.) » (id.) et « culture, civilisation » (dep. 1600, G. de' Bardi ds Tomm.-Bell.), dér. de polito « lisse, poli; propre », du lat. politus « lisse; brillant; orné » (cf. poli).

Politesse au Scrabble


Le mot politesse vaut 11 points au Scrabble.

politesse

Informations sur le mot politesse - 9 lettres, 4 voyelles, 5 consonnes, 7 lettres uniques.

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Les citations avec le mot Politesse


  1. Ne pas écouter est non seulement un manque de politesse, mais encore une marque de mépris.

    Auteur : Honoré de Balzac - Source : Modeste Mignon (1844)


  2. La politesse est plus généreuse que la franchise, car elle signifie qu'on croit à l'intelligence de l'autre.

    Auteur : Roland Barthes - Source : Dans le Nouvel Observateur, 1979.


  3. La foule s'est un peu animée, mais c'est encore une politesse. Elle respire avec gravité l'odeur sacrée de l'embrocation.

    Auteur : Albert Camus - Source : L'Eté (1954)


  4. Si l'exactitude, suivant un mot du Roi, homme d'esprit autant que grand politique, est la politesse des rois, elle est aussi la fortune des négociants.

    Auteur : Honoré de Balzac - Source : César Birotteau (1838)


  5. Son parler était bref; sa politesse, distante, même avec ses collaborateurs.

    Auteur : Roger Martin du Gard - Source : Les Thibault


  6. Dans les pays arabes, il est indispensable de prendre soin des palabres, qui sont plus un témoignage de politesse que de déférence à l’égard de son interlocuteur, qu’il soit souverain ou palefrenier. Il n’est pas convenable d’aborder tout à trac les questions qui se posent.

    Auteur : Roland Dumas - Source : Politiquement incorrect (2015)


  7. L'injure gratuite est bien plus efficace que le compliment de politesse car elle peut faire réfléchir les personnes à qui elle est adressée.

    Auteur : Simon Berryer, dit Sim - Source : Sans référence


  8. La politesse de la vertu consiste à ne point s'afficher, à ne point faire montre de ses mépris ou de son blâme. Son blâme, c'est l'exemple qu'elle donne: les discours ne signifient rien; on ne peut méconnaître les actions.

    Auteur : Charles Dollfus - Source : De la Nature humaine (1868)


  9. Le doute philosophique de Descartes est une politesse par laquelle il faut toujours honorer la vertu.

    Auteur : Honoré de Balzac - Source : La Comédie humaine (1842-1852)


  10. Mais le pauvre M. Calpin avait été complètement mis dedans par la politesse du duc, qui dès la première présentation avait eu l'air de le reconnaître.

    Auteur : Marcel Proust - Source : Jean Santeuil (1896-1904)


  11. La politesse est l'art de s'ennuyer sans ennui ou (si vous l'aimez mieux) de supporter l'ennui sans s'ennuyer.

    Auteur : Joseph Joubert - Source : Carnets tome 1


  12. Ils dorment debout, et, malgré quelque signe d'intelligence et de politesse du destin, le sommeil les empêchera de voir la trappe qui se ferme sur eux pour toujours.

    Auteur : Jean Cocteau - Source : La Machine infernale (1934)


  13. Je pose toujours le filtre de l'ironie entre les choses et moi, mais dans Rome en un jour, je me suis surveillée, je tenais au réalisme social. J'ai donc utilisé la dérision avec une certaine parcimonie comme une politesse que je dois aux lecteurs.

    Auteur : Maria Pourchet - Source : Interview L'internaute - Propos recueillis par Brigit Bontour janvier 2014


  14. La simple honnêteté est la meilleure politesse;
    Et la tempérance, le meilleur médecin.


    Auteur : Proverbes français - Source : Proverbe


  15. La politesse aplanit les rides.

    Auteur : Joseph Joubert - Source : Pensées


  16. La politesse a remplacé la cordialité, lorsqu'on a substitué l'apparence aux vertus.

    Auteur : Guillaume Charles Antoine Pigault de l'Espinoy, dit Pigault-Lebrun - Source : L'Homme à projets (1807)


  17. Le vernis social et de politesse étouffe les émotions, comme des insectes dans un bocal de verre.

    Auteur : Monica Sabolo - Source : Summer (2017)


  18. La politesse est une richesse et l'employer la perfection.

    Auteur : Proverbes égyptiens - Source : Proverbe


  19. La sainteté n'est peut-être que le comble de la politesse.

    Auteur : Marcel Jouhandeau - Source : De l'abjection (1939)


  20. Demandons-nous donc, mes amis, en quoi consiste la politesse vraie : s'apprend-elle comme une leçon ou bien, chez un esprit nourri aux fortes études, ne viendrait-elle pas d'elle-même, se surajouter à tout le reste, comme le parfum à la fleur éclose ?

    Auteur : Henri Bergson - Source : Mélanges


  21. La seule chose que la politesse peut nous faire perdre, c'est de temps en temps, un siège dans un autobus bondé.

    Auteur : Oscar Wilde - Source : Sans référence


  22. Ainsi, le besoin de société, né du vide et de la monotonie de leur vie intérieure, pousse les hommes les uns vers les autres ; mais leurs nombreuses manières d'être antipathiques et leurs insupportables défauts les dispersent de nouveau. La distance moyenne qu'ils finissent par découvrir et à laquelle la vie en commun devient possible, c'est la politesse et les belles manières.

    Auteur : Arthur Schopenhauer - Source : Parerga et Paralipomena (1851)


  23. Mes respects : Formule de politesse qui n'a perduré qu'en perdant son possessif et le pluriel : respect !

    Auteur : Philippe Bouvard - Source : Bouvard de A à Z (2014)


  24. Tant que la politesse a le dessus, on ne peut rien savoir vraiment des gens. C'est toujours au moment où ça se fendille qu'on sait exactement de quoi le bois est fait.

    Auteur : Jeanne Benameur - Source : Profanes (2013)


  25. L'humour : la politesse du désespoir.

    Auteur : Chris Marker - Source : Revue La Nef n° 71-72, décembre 1950-janvier 1951, p. 100


Les citations du Littré sur Politesse


  1. Qu'il y avait un art innocent de séparer les pensées d'avec les paroles, et que la probité pouvait souffrir ces complaisances mutuelles qui, étant devenues volontaires, ne blessent presque plus la bonne foi, et maintiennent la paix et la politesse du monde

    Auteur : FLÉCH. - Source : duc de Mont.


  2. Il [le cardinal de Fleury] plaisait par ses manières nobles et aisées, et il ne paraissait vouloir plaire qu'autant que l'exige une politesse bien entendue

    Auteur : MAIRAN - Source : Éloges, Fleury.


  3. Je verrai madame Martel ; la réception que son mari vous a faite mérite bien cette politesse

    Auteur : Madame de Sévigné - Source : 139


  4. Les lettres [de son fils] sont d'une manière que, si on les trouve jamais dans ma cassette, on croira qu'elles sont du plus honnête homme de mon temps ; je ne crois pas qu'il y ait un air de politesse et d'agrément pareil à celui qu'il a pour moi

    Auteur : Madame de Sévigné - Source : 2 juin 1672


  5. Il faut très peu de fond pour la politesse dans les manières ; il en faut beaucoup pour celle de l'esprit

    Auteur : LA BRUY. - Source : XII


  6. Auguste journée où ces deux rois [d'Espagne et de France], avec leur cour d'une grandeur, d'une politesse et d'une magnificence aussi bien que d'une conduite si différente, furent l'un à l'autre et à tout l'univers un si grand spectacle

    Auteur : BOSSUET - Source : Mar.-Thér.


  7. J'ai dû à M. d'Alembert et à M. Diderot la politesse que j'ai eue pour eux : il n'était pas juste que mon nom parût avant le leur

    Auteur : Voltaire - Source : Lett. Panckoucke, 21 févr. 1770


  8. La ville de Marseille, qui, par un heureux mélange, joint à la politesse des Grecs la simplicité et la retenue des provinces

    Auteur : ROLLIN - Source : Hist. anc. Oeuv. t. IX, p. 217, dans POUGENS


  9. Elle aimerait mieux cent fois avoir un mauvais procédé que de manquer de politesse

    Auteur : GENLIS - Source : Ad. et Th. t. III, p. 178 dans POUGENS


  10. Il [Vauban] méprisait cette politesse superficielle dont le monde se contente, et qui couvre souvent tant de barbarie

    Auteur : FONTEN. - Source : Vauban.


  11. Le comte : Quant à moi, j'aime la politesse. - Lisimon : Moi je ne l'aime point, car c'est une traîtresse Qui fait dire souvent ce qu'on ne pense pas

    Auteur : DESTOUCH. - Source : Glor. II, 15


  12. C'est un vieux seigneur qui a toute la galanterie et toute la politesse de l'ancienne cour

    Auteur : GENLIS - Source : Théâtre d'éd. Méchant par air, I, 7


  13. On avait oublié pour ces étrangers jusqu'à cette politesse singulière qui distingue notre nation

    Auteur : FLÉCH. - Source : Lamoignon.


  14. Sa vertu, sa douceur, sa politesse, tout m'avait épris de lui

    Auteur : SAINT-SIMON - Source : dans GODEFROY, Gloss. de Corn.


  15. Ajouter quelques politesses de l'art aux agréments rustiques de la nature

    Auteur : FLÉCH. - Source : le Tellier.


  16. Je veux que cet avort de mon esprit, semblable, par le peu de politesse qu'il a, aux petits ourseaux qui ne font que de naître....

    Auteur : DESC. - Source : Musique.


  17. L'on parle d'une région où les vieillards sont galants, polis et civils ; les jeunes gens au contraire, durs, féroces, sans moeurs ni politesse

    Auteur : LA BRUY. - Source : VIII


  18. Les hommes savent que les politesses qu'ils se font ne sont qu'une imitation de l'estime

    Auteur : DUCLOS - Source : Consid. moeurs, 3


  19. Il avait des manières élégantes, une politesse facile et de bon goût

    Auteur : STAËL - Source : Corinne, I, 3


  20. L'air de brusquerie de Madame ne rebuta point l'air d'attention et de politesse du roi pour elle

    Auteur : SAINT-SIMON - Source : 2, 48


  21. On le conduisit [le duc du Maine] dans la citadelle de Dourlans, où il fut gardé par un officier nommé Favencour, qui le traita avec toute l'impolitesse et la dureté d'un véritable geôlier

    Auteur : STAAL - Source : Mém. t. II, p. 81


  22. S'il fallait opter, j'aimerais cent fois mieux faire une impertinence avec grâce, qu'une politesse avec platitude

    Auteur : BOISSY - Source : Français à Lond. SC. 15


  23. Je vois toujours en vous la politesse d'un grand seigneur, avec l'érudition d'un homme d'État ; vous auriez été digne d'être sénateur romain

    Auteur : Voltaire - Source : Dial. XIII


  24. Lacépède, dont la douceur bénigne et la politesse.... n'avaient eu d'autre tort que de se tourner en adulation un peu fade devant la rudesse du premier empire

    Auteur : VILLEMAIN - Source : Souvenirs contemporains, les Cent-Jours, XIII


  25. On voulut auparavant me laisser acquérir la bonne grâce du maître à danser, m'instruire de ce qu'on appelle le savoir-vivre, la politesse

    Auteur : Mme DE TENCIN - Source : Oeuvr. t. IV, p. 25, dans POUGENS




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Mise à jour le samedi 27 décembre 2025 à 16h23











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