La définition de Hébreu du dictionnaire français. Signification du mot et son éthymologie - De nombreux exemples d'usage en français ainsi que des citations.

Hébreu
Nature : s. m.
Prononciation : é-breu
Etymologie : Lat. hebraeus, du grec, de Heber, arrière-petit-fils de Sem. Selon Renan, Langues sémitiques, p. 29, 1re édit. il vient de heber, passage, et hébreux veut dire, ceux d'au delà du fleuve, par souvenir du temps où une partie de la population sémitique habitait en deçà de l'Euphrate, et une partie au delà.

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Notre dictionnaire de français vous présente les définitions de hébreu de manière précise, avec des exemples pertinents pour aider à comprendre la signification du mot.

Notre dictionnaire de définitions comprend des informations complémentaires telles que la nature du mot, sa prononciation, des exemples d'expressions, l'étymologie, les synonymes, les homonymes, les antonymes mais également les rimes et anagrammes. Quand la définition du mot s'y prête nous vous proposons des citations littéraires en rapport avec hébreu pour illustrer la compréhension du mot ou préciser le sens et de répondre à la question quelle est la signification de Hébreu ?


La définition de Hébreu

Nom du peuple juif. Les Hébreux. Un Hébreu.


Toutes les définitions de « hébreu »


Dictionnaire de l'Académie française, huitième édition

HÉBREU. n. m.
Langue des hébreux. Il s'emploie familièrement pour désigner Ce qu'on se reconnaît incapable de comprendre. Tout cela, c'est de l'hébreu pour moi.

Littré

HÉBREU (é-breu) s. m.
  • 1Nom du peuple juif. Les Hébreux. Un Hébreu.

    Ce mot n'a pas de féminin?; on ne dit pas les Hébreues, mais les Juives.

  • 2Langue hébraïque. L'hébreu est une des langues sémitiques. On verra qu'il s'est ébloui lui-même, ou qu'il veut éblouir les autres par son grec et par son hébreu, Bossuet, 1re instr. sur la version du Nouv. Test. XXVII, 7e passage, 5.

    Fig. et familièrement. C'est de l'hébreu, on n'y peut rien comprendre. C'est de l'hébreu pour moi, je n'y puis rien comprendre, Molière, l'Ét. III, 3. Il renvoya le valet après avoir dit quelques paroles italiennes qui furent de l'hébreu pour moi, Lesage, Guzm. d'Alfar. III, 1. Parler de faire le point eût été de l'hébreu pour nos marins, Chateaubriand, Itinér. partie 3e.

  • 3Hébreu carré, les caractères hébraïques modernes.
  • 4Adj. m. Le texte hébreu, le texte en langue hébraïque. Citer des passages hébreux.

    Cet adjectif est inusité au féminin?; en ce cas on le remplace par hébraïque?: la langue hébraïque, une bible hébraïque.


HISTORIQUE

XIIIe s. De ci m'en vois?: Or soiez vers moi plus cortois?; Ne me traveillez mès de mois, Va, Salatin, Ne en ebrieu ne en latin, Rutebeuf, II, 87.

XVe s. Car selon loy hebrée et en latin, Tuit sommes faiz trespassans par ce monde, Deschamps, Poésies mss. f° 105.

XVIe s. Parler en hebrieu [parler une langue qu'on ne comprend pas], Marot, J. p. 204, dans LACURNE.

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Encyclopédie, 1re édition

HÉBREU, subst. m. (Hist. & Gram.) nom propre du peuple dur qui descendit des douze patriarches fils de Jacob, qui furent les chefs d'autant de tribus. Voyez Hébraïque Langue & Juifs.

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Wiktionnaire


Adjectif - français

hébreu \e.b?ø\ (voir la note à propos du genre de cet adjectif) (genre à préciser : {{m}}, {{f}}, {{mf}}, {{n}} ?)

  1. Relatif au peuple hébraïque (les Hébreux), à sa langue ou à sa culture.
    • Un servant hébreu de Pharaon.
    • Alors le roi d'Égypte ordonne aux sages-femmes hébreues de tuer les garçons au moment de leur naissance. (Revue de théologie et de philosophie?, 1885, page 24)
    • [?] les poètes hébreux ont chanté un espoir de revanche qui existait au c?ur de persécutés ; mais jusqu'au second siècle de notre ère les Juifs ont demandé cette revanche aux armes [?] (Georges Sorel, Réflexions sur la violence, chapitre VII, La Morale des producteurs, 1908, page 339)
    • Il fabriqua, en 1621, des poinçons pour former des caractères hébreux, chaldaïques, syriaques, arabes, grecs et allemands, et pour les lettres fleuries, les notes de musique, les vignettes et les fleurons, et rendit public, durant cette année, un cahier d'épreuves de ces caractères, qu'il avait gravés. (Article sur Jean Jannon, dans Biographie ardennaise ou Histoire des Ardennais qui se sont fait remarquer par leurs écrits, leurs actions, leurs vertus et leurs erreurs, par Jean-Baptiste-Joseph Boulliot, Paris, 1830, volume 2, page 56)
  2. Relatif à Israël.
    • L'État hébreu.

Nom commun - français

hébreu \e.b?ø\ masculin invariable

  1. (Linguistique) Langue sémitique, langue officielle d'Israël.
    • La langue hébraïque était ici l'instrument capital, puisque, des deux Bibles chrétiennes, l'une est en hébreu et que, même pour le Nouveau Testament, il n'y a pas de complète exégèse sans la connaissance de l'hébreu. (Ernest Renan, Souvenirs d'enfance et de jeunesse, Calman-Lévy, Paris, 1883, page 286)
    • L'étude de l'hébreu est, par ses leçons, singulièrement facilitée. Je suis tombé de surprise quand je me suis trouvé en présence de cette langue si simple, sans construction, presque sans syntaxe, expression nue de l'idée pure, une vraie langue d'enfant. (Ernest Renan, Souvenirs d'enfance et de jeunesse, Calman-Lévy, Paris, 1883, page 287)
    • Ben Yehuda fonde la première famille hébréophone du monde moderne, ayant pris la décision d'élever en hébreu les enfants que lui donne son épouse, rencontrée autrefois à Polotsk. (Claude Hagège, Halte à la mort des langues, Éditions Odile Jacob, 2000, page 309)
    • Tandis qu'un banquier néoplatonicien régnait sur Florence, le jeune comte de Concordia, Pic de la Mirandole (1463-1494), s'initiait à l'hébreu, à l'araméen et se faisait traduire par l'énigmatique Flavius Mithridate, juif sicilien [?] (Chaim Wirszubski, Pic de la Mirandole et la cabale, traduction de Jean-Marc Mandosio, éditions de l'Éclat, Paris & Tel-Aviv, 2007)
  2. (Familier) Ce qu'on se reconnaît incapable de comprendre.
    • Évidemment Fantômas, le criminel, les aventures, la police et le reportage, cela devait être pour eux de l'imaginaire, du roman, de l'hébreu ! (Pierre Souvestre et Marcel Allain, Fantômas, L'Agent secret, tome 1, collection Bouquins, Éditions Robert Laffont, 1911, page 958)
    • Tout cela, c'est de l'hébreu pour moi.
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Trésor de la Langue Française informatisé


HÉBREU, adj. et subst. masc.

A. ?
1. HIST. ANC. (Celui, ce) qui appartient au peuple issu d'Abraham et dont l'histoire est relatée dans la Bible (cf. commandement I B 3 e). L'Hébreu qui accomplissoit la loi n'étoit-il pas en sûreté de conscience? (J. de Maistre, Soirées St-Pétersb., t. 2, 1821, p. 325).Près de six siècles avant Jésus-Christ, les Hébreux, devenus des Juifs, ne parlaient ni n'entendaient plus leur langue originelle (Leroux, Humanité, t. 2, 1840, p. 512).La doctrine des prophètes hébreux (Faure, Hist. art,1912, p. 152) :
1. Le judaïsme prend racine dans une longue suite d'expériences spirituelles (...) qui eurent lieu parmi les Hébreux ou Israélites, groupe de tribus parlant une langue sémitique, fixé (...) sur le sol de la Palestine actuelle, vers 1200 av. J.-Chr. Philos., Relig., 1957, p. 48-8.
SYNT. Les anciens, les premiers Hébreux; le Dieu, le législateur des Hébreux; la Bible, les Écritures des Hébreux; histoire, lois, pays, religion, philosophie, psaumes, théologie, thora des Hébreux; tribus des Hébreux; épître aux Hébreux; peuple hébreu; droit, dogme, messianisme, rituel, sacerdoce hébreu; génie hébreu.
Rem. Hébreu est synon. de israélite à partir de la sortie d'Égypte; il est synon. de juif à partir de l'exil babylonien (cf. M. Catane, Qui est Juif? Paris, Laffont, 1972, pp. 21-22 et p. 28).
? En partic., subst. masc.
a) [Dans la période néo-testamentaire, p. oppos. à juif hellénistique] Juif de souche palestinienne. Il y avoit à Rome un Hébreu, déserteur de la loi de ses pères (Chateaubr., Martyrs, t. 3, 1810, p. 80).Les uns [parmi les nouveaux convertis] étaient des « Hébreux », c'est-à-dire des Juifs de Palestine, parlant hébreu ou plutôt « araméen », lisant la Bible dans le texte hébreu (Renan, Apôtres,1866, p. 109).
b) [Dans l'hypothèse où le peuple biblique aurait pour ancêtres les Habiru des sources orientales] Descendant des Habiru. Les Hébreux israélites sont arrivés dans l'histoire à une telle célébrité, qu'ils ont absorbé pour eux seuls le nom d'Hébreux; mais, à l'origine, ce nom s'appliqua à bien d'autres peuplades (Renan, Hist. peuple Isr., t. 1, 1887, p. 93).
2.
a) (Celui, celle, ce) qui appartient aux descendants du peuple hébreu (supra A 1). Synon. vieilli de israélite ou de juif.Copiste, docteur, philosophe hébreu; mariage, cimetière hébreu. Et qu'est devenu, ajouta-t-il en se tournant vers moi, votre jeune ami hébreu que nous voyions à Doville? (Proust, Prisonn.,1922, p. 216).Il n'y a (...) pas ici un quartier juif, mais cinq ou six. New-York est la plus grande ville juive de la terre; on compte près de deux millions d'Hébreux (Morand, New-York,1930, p. 83) :
2. Nous brûlons les Hébreux et nous baisons leurs livres; stupidité! nous les brûlons parce qu'ils sont fidèles à leur loi, à leur dieu, et nous chantons autour de leurs bûchers, les psaumes de leur roi David... Borel, Champavert,1833, p. 118.
b) En partic. État hébreu. État d'Israël. Depuis janvier de cette année (...) 8 616 d'entre eux [les juifs soviétiques] (...) ont pris le chemin de l'État hébreu (L'Arche, no269, août 1979, p. 13).
B. LINGUISTIQUE
1. Subst. masc. sing. Langue sémitique occidentale parlée par les Hébreux jusqu'à l'exil de Babylone, restée vivante en tant que langue sacrée et devenue langue officielle de l'État d'Israël. Judas, imposant (...) ses deux mains sur la tête de son gendre, lut plusieurs passages de la sainte Bible, récita plusieurs prières en hébreu, puis ajouta d'une voix haute : ? mon fils, je te bénis au nom du Dieu d'Israël (Borel, Champavert,1833, p. 138) :
3. L'hébreu, concis, énergique, presque sans inflexion dans ses verbes, exprimant vingt nuances de la pensée, par la seule apposition d'une lettre, annonce l'idiôme d'un peuple qui, par une alliance remarquable, unit à la simplicité primitive une connoissance profonde des hommes. Chateaubr., Génie, t. 1, 1803, p. 544.
SYNT. Vieil hébreu; hébreu michnaïque, moderne, rabbinique; cours, chaire, leçon d'hébreu; professeur d'hébreu; apprendre, enseigner, étudier, parler l'hébreu; traduire de l'hébreu.
? P. méton. La Bible hébraïque. Rachel a une s?ur aînée, Lia, que la Vulgate appelle la chassieuse, et l'hébreu simplement celle qui a la vue faible (Claudel, Poète regarde Croix,1958, p. 297).
? En partic. [L'hébreu considéré comme une langue difficile à apprendre] Dans votre condition, mon ami, vous n'aviez pas besoin d'apprendre la grammaire. C'est comme si moi, dans mon état, j'avais voulu connaître l'hébreu (A. France, P. Nozière,1899, p. 100).
? P. métaph. L'?il d'un ami peut seul les suivre, et si vous savez le grec et le latin, moi je sais lire l'hébreu que décrivent dans l'air les hirondelles de cheminée (Renard, Hist. nat.,1896, p. 225).
? Loc. fig. (cf. chinois II B 4).
a) Parler hébreu. Tenir des propos inintelligibles. ? Qu'est-ce qui ne va pas? ? Le métier. ? Vous venez de tuer un malade? ? J'ai fait pis : je n'ai pu le sauver. Mais je vous parle hébreu, ô le plus sage des directeurs! (Estaunié, Ascension M. Baslèvre,1919, p. 265).
b) C'est de l'hébreu. C'est incompréhensible. Ici [dans le métro], avec ces lignes enchevêtrées, ces noms de station qu'il ne savait pas lire, c'était pour lui de l'hébreu (Vialar, Zingari,1959, p. 30) :
4. Sait-on qui on aide? Sait-on de quels gestes on est capable lorsque le bateau coule? Où commence-t-on à servir les autres et à se servir soi-même? C'est de l'hébreu. Cocteau, Par. terr.,1938, II, 12, p. 266.
2. Adj. Qui concerne la langue des Hébreux, qui lui appartient. Caractère hébreu. La Loi, c'est la Thora, c'est-à-dire la Doctrine, la Science Divine, la Révélation. Tel est le sens hébreu de ce terme de Loi (P. Leroux, Humanité, t. 2, 1840, p. 942).V. cabale ex. 1 :
5. Le texte grec de Baruch (...) parle des démons dans un contexte, où il est question des idoles ou d'animaux sauvages habitant au milieu des ruines. Nous ignorons quels étaient les mots hébreux ainsi traduits. Théol. cath.,t. 4, 1920, p. 328.
? En partic. Qui est écrit en hébreu. Fragment, psautier, texte hébreu. Un curieux document (...) découvert (...) dans une synagogue du vieux-Caire, parmi une foule d'autres manuscrits hébreux (Philos., Relig., 1957, p. 42-2) :
6. Ce qui est sûr, c'est qu'Ezéchiel n'est jamais cité dans le Nouveau-testament, et qu'il n'est pas mentionné dans la liste des livres hébreux canoniques donnée par Philon. P. Leroux, Humanité, t. 2, 1840p. 829.
Rem. Selon les dict., hébreu ne prend pas la marque du fém. Cf. cependant les formes hébreue et hébreuse dans les ex. suiv. Le procès, qui a eu à débattre de l'existence ou non d'une « mafia » hébreue (...) a longtemps agité l'opinion (L'Arche, no269, août 1979, p. 12). [L'ancien soldat] : cette écriture-là n'est ni hébreuse, ni (...) c'est tout bêtement de l'arabe (Richepin, Miarka, 1883, p. 172). Déchirons nos vêtements! crient les hébreuses épouvantées (Villiers de L'I.-A., Contes cruels, 1883, p. 391).
Prononc. et Orth. : [eb?ø]. Att. ds Ac. dep. 1718. Au plur. des hébreux. Sing. hébreux (cf. Staël, Allemagne, t. 2, 1810, p. 270 et Laforgue, Complaintes, 1885, p. 189). Étymol. et Hist. 1. a) Ca 1119 subst. Hebreus « langue hébraïque » (Ph. de Thaon, Comput, éd. E. Mall, 100); fin xiies. adj. [ebrieues] (Sermons St Grégoire sur Ezechiel 13, 19 ds T.-L.); b) ca 1530 subst. fig. « chose inintelligible » (J. Marot, ?uvres, éd. A. Coustelier, 1723, Rondeau IV, p. 224 : sans argent vous parlez en hebrieu); 2. ca 1190 adj. ebrieu « relatif au peuple juif » (Herman de Valenciennes, Li romanz de Dieu et de sa mere, éd. I. Spiele, 2 : au temps ebrieu); début xiiies. subst. ebris « Hébreu » (Ste Julienne, 533 ds T.-L.). Du lat. chrét. Hebraeus ethnique, subst. et adj., empr. au gr. ? ? ? ? ? ? ? ?, et celui-ci, par l'intermédiaire de l'araméen ibra'i (cf. Bible t. 3, col. 514 et Klein Etymol.), à l'hébr. biblique ibri?. Fréq. abs. littér. : 643. Fréq. rel. littér. : xixes. : a) 1 504, b) 706; xxes. : a) 819, b) 578.

HÉBREU, adj. et subst. masc.
Étymol. et Hist. 1. a) Ca 1119 subst. Hebreus « langue hébraïque » (Ph. de Thaon, Comput, éd. E. Mall, 100); fin xiies. adj. [ebrieues] (Sermons St Grégoire sur Ezechiel 13, 19 ds T.-L.); b) ca 1530 subst. fig. « chose inintelligible » (J. Marot, ?uvres, éd. A. Coustelier, 1723, Rondeau IV, p. 224 : sans argent vous parlez en hebrieu); 2. ca 1190 adj. ebrieu « relatif au peuple juif » (Herman de Valenciennes, Li romanz de Dieu et de sa mere, éd. I. Spiele, 2 : au temps ebrieu); début xiiies. subst. ebris « Hébreu » (Ste Julienne, 533 ds T.-L.). Du lat. chrét. Hebraeus ethnique, subst. et adj., empr. au gr. ? ? ? ? ? ? ? ?, et celui-ci, par l'intermédiaire de l'araméen ibra'i (cf. Bible t. 3, col. 514 et Klein Etymol.), à l'hébr. biblique ibri?.

Hébreu au Scrabble


Le mot hébreu vaut 11 points au Scrabble.

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Les citations avec le mot Hébreu


  1. J'attaque sur son trône une reine orgueilleuse,
    qui voit sous ses drapeaux marcher un camp nombreux
    de hardis étrangers, d'infidèles Hébreux.


    Auteur : Jean Racine - Source : Athalie (1691), IV, 3, Joad


  2. Hébreu: Est hébreu tout ce qu'on ne comprend pas.

    Auteur : Gustave Flaubert - Source : Dictionnaire des idées reçues (1913)


  3. Elle ne savait lire ni l’hébreu, ni l’arabe, ni le français, Ma Mouna, mais elle savait lire entre les lignes.

    Auteur : Emmanuel Ruben - Source : Les Méditerranéennes (2022)


  4. Il y a une divinité horrible, tragique, exécrable, paienne. Cette divinité s'appelait Moloch chez les hébreux et Teutatès chez les celtes; elle s'appelle à présent la peine de mort.

    Auteur : Victor Hugo - Source : Actes et Paroles (1875-1876)


  5. L'esprit humain souffre d'une carence intellectuelle fondamentale: pour qu'il comprenne la valeur d'une chose, il faut le priver de cette chose. L'absence lui parle sa langue maternelle; la présence, c'est de l'hébreu pour lui.

    Auteur : Amélie Nothomb - Source : Attentat (1997)


  6. Pour être une oeuvre d'art célébrée et commentée par le monde entier, il faut soit être très bien élevée comme Mona Lisa, soit ne comprendre que l'hébreu ancien comme David, soit, comme moi, s'en foutre royalement.

    Auteur : Eric-Emmanuel Schmitt - Source : Lorsque j'étais une oeuvre d'art (2002)


  7. Le Yiddish était la langue de l'Europe, du vieux continent, ses sons humides et riches s'enroulent autour de mes souvenirs, familiers et cependant mystérieux, de la même façon que les lettres de l'Hébreu ondulent sur une feuille de papier ou sur une pierre.

    Auteur : Daniel Mendelsohn - Source : Les disparus (2007)


  8. C'était une espèce d'imprécation parmi les Hébreux, de souhaiter à un homme que le sang d'un autre homme retombât sur lui.

    Auteur : Louis Bourdaloue - Source : Exhortation sur le jugement du peuple contre Jésus-Christ en faveur de Barabbas (1864)


  9. Les Israéliens se méfient de moi car je n’ai pas l’allure d’un Palestinien mais pas non plus celle d’un Israélien d’autant que je ne parle pas hébreu. Je demande comment on reconnaît l’allure d’un Palestinien ou d’un Israélien. À un pantalon trop large ? Une paire de Blundstone ? Une barbe un peu trop fournie ?

    Auteur : Sabyl Ghoussoub - Source : Beyrouth entre parenthèses (2020)


  10. La langue hébraïque était ici l'instrument capital, puique, des deux Bibles chrétiennes, l'une est en hébreu et que, même pour le Nouveau Testament, il n'y a pas de complète exégèse sans la connaissance de l'hébreu.

    Auteur : Ernest Renan - Source : Souvenirs d'enfance et de jeunesse (1883), V, le Séminaire St-Sulpice


  11. Israël est une base américaine offshore que les Etats-Unis laisseraient tomber avec tout le reste si cela devait cesser un jour. Mais tant que l'Etat hébreu est utile à l'extension de la puissance américaine, il peut faire ce qu'il veut.

    Auteur : Noam Chomsky - Source : Pouvoir et terreur : entretiens après le 11 septembre (2003)


  12. À l’âge de dix-neuf ans, je suis parti m’installer au Liban, persuadé de libérer la Palestine. J’élaborais des théories sur comment s’organiser pour que les Israéliens, les Palestiniens et les Libanais vivent ensemble. Je voulais que les mizrahim, les juifs orientaux, reviennent vivre dans leur pays d’origine, que les Israéliens deviennent palestiniens, qu’on apprenne l’hébreu au Liban. Je me transformai peu à peu en personnage fou digne d’un roman de Philip Roth.

    Auteur : Sabyl Ghoussoub - Source : Beyrouth entre parenthèses (2020)


  13. Mon nom est Simcha, qui veut dire “joie” en hébreu. Je ne puis m'empêcher de le rapprocher de celui d'un de mes illustres contemporains, auquel je pense avoir tant à reprocher, Sigmund Freud : car tel est aussi, à peu près, le sens de son patronyme. Il suffit de voir nos photographies, ou ma figure, pour comprendre que ces noms ne nous ont pas porté chance, à moins de considérer que la joie est restée en nous bien secrète.

    Auteur : Pierre Pachet - Source : Autobiographie de mon père (1987)


  14. Le mot “Shoah” s'est imposé à moi tout à la fin parce que, n'entendant pas l'hébreu, je n'en comprenais pas le sens, ce qui était encore une façon de ne pas nommer. Mais, pour ceux qui parlent l'hébreu, “Shoah” est tout aussi inadéquat. Le terme apparaît dans la Bible à plusieurs reprises. Il signifie “catastrophe”, “destruction”, “anéantissement”, il peut s'agir d'un tremblement de terre ou d'un déluge.

    Auteur : Claude Lanzmann - Source : Entretien paru dans Le Monde du 26 février 2005, Claude Lanzmann, à propos de « Shoah »


  15. Israël a fait de l'hébreu la langue de la haine... Le judaïsme ne méritait pas un tel sort.

    Auteur : Michel Rachline - Source : Un Juif libre (1976)


  16. Le trait saillant de l'Ancien Testament, c'est que la pureté de la race doit être maintenue autant que possible; il est présupposé d'emblée que l'hébreu épousera une femme de son peuple.

    Auteur : Walter Georg Groddeck - Source : Conférences psychanalytiques à l'usage des malades (1981)


  17. AMÈNE : D'un mot hébreu qui signifie « ainsi soit-il ». Se dit d'un certain sourire qui fait présager le consentement.

    Auteur : Georges-Armand Masson - Source : L'amour, de ah ! jusqu'à zut !


Les citations du Littré sur Hébreu


  1. Quelques-uns ont cru trouver de la conformité entre des paroles caraïbes et des mots hébreux, et n'ont pas manqué de suivre une si belle ouverture

    Auteur : Voltaire - Source : Moeurs, 145


  2. Les nicolaïtes dont il est question dans l'Apocalypse (II, 14) et dont les Pères de l'Église ont fait les disciples d'un hérétique appelé Nicolas, sont, comme l'explique l'auteur lui-même de l'Apocalypse, ceux qui, à l'exemple de Balaam, cherchent à surprendre les chrétiens et à les faire tomber dans le péché, afin d'attirer sur eux la colère de Dieu... Nicolaïtes est en grec ce que balaamites est en hébreu

    Auteur : NICOLAS - Source : Revue German. 1er avr. 1863, p. 261


  3. Ainsi tel.... S'en va, mal à propos, d'une voix insolente, Chanter du peuple hébreu la fuite triomphante, Et, poursuivant Moïse au travers des déserts, Court avec Pharaon se noyer dans les mers

    Auteur : BOILEAU - Source : Art p. I


  4. Par misericorde et beneficence les pechez nous sont remis. - L'au heur de l'epistre aux Hebreux, recommandant humanité et beneficence, dit que Dieu se delecte de tels sacrifices

    Auteur : CALV. - Source : Inst. 519


  5. Leurs lettres [des Hébreux] étaient celles que l'on nomme aujourd'hui samaritaines, parce que les Samaritains les ont conservées

    Auteur : FLEURY - Source : Moeurs des Israél. tit. XV, 2e part. p. 180, dans POUGENS.


  6. Si j'apprenais l'hébreu, les sciences, l'histoire

    Auteur : Jean de La Fontaine - Source : ib. VIII, 25


  7. Chanter du peuple hébreu la fuite triomphante

    Auteur : BOILEAU - Source : Art. p. I


  8. Un vieux mot, paradis, que l'hébreu, comme toutes les langues de l'Orient, avait emprunté à la Perse, et qui désigna d'abord les parcs des rois achéménides

    Auteur : RENAN - Source : Vie de Jésus, I, 11


  9. La mer fit rempart aux Hébreux, Noyant les peuples ténébreux De l'ost aux têtes sacriléges

    Auteur : Jean de La Fontaine - Source : Poésies mêlées, LXXIV


  10. Le style de ces cantiques [des Hébreux], hardi, extraordinaire.... affranchi des liaisons ordinaires que recherche le discours uni

    Auteur : BOSSUET - Source : Hist. II, 3


  11. Trois jeunes Hébreux percent l'armée ennemie

    Auteur : MASS. - Source : Carême, Prosp.


  12. Le sort, qui s'appelle en hébreu phur, fut jeté dans l'urne devant Aman, pour savoir en quel mois et en quel jour on devait faire tuer toute la nation juive

    Auteur : SACI - Source : Bible, Esther, III, 7


  13. Il [Huet] avait lu vingt-quatre fois le texte hébreu [de la Bible], en le conférant avec les autres textes orientaux

    Auteur : D'OLIVET - Source : Hist. Acad. t. II, p. 400, dans POUGENS


  14. Si bien qu'il lisoit aux quatre langues [français, latin, grec, hébreu] à six ans

    Auteur : D'AUBIGNÉ - Source : Mémoires, éd. LALANNE, p. 4


  15. Aux branches du saule était suspendue une lyre plus forte que la lyre de Cymodocée : c'était un cinnor hébreu

    Auteur : Chateaubriand - Source : Mart. 63


  16. L'Hébreu.... invoque l'abîme et les cieux et Dieu même

    Auteur : Voltaire - Source : Henr. v.


  17. Il [Dieu] voulait qu'ils [les Hébreux] éprouvassent en Égypte une dure et insupportable captivité, afin qu'étant délivrés par des prodiges inouïs, ils aimassent leur libérateur et célébrassent éternellement ses miséricordes

    Auteur : BOSSUET - Source : Hist. II, 3


  18. On verra qu'il [R. Simon] s'est ébloui lui-même et qu'il veut éblouir les autres par son grec et par son hébreu

    Auteur : BOSSUET - Source : 1re instr sur la version du Nouv. Test. XXVII, 7e passage, 5


  19. Vous croyez vous tirer d'affaire en disant que Dieu payait son peuple [les Hébreux] comptant, en le punissant temporellement de ses transgressions, et en le récompensant par les biens de la terre quand il était fidèle

    Auteur : Voltaire - Source : Mél. litt. Lett au pr. de***, 4


  20. Tout ce qui reste encor de fidèles Hébreux Lui viendront aujourd'hui renouveler leurs voeux

    Auteur : Jean Racine - Source : Athal. I, 2


  21. Ces signes mystérieux appelés par les Hébreux neguiroths ou tropes ; ces signes, comme les vieux neumes du plain-chant, ne sont ni des lettres ni des notes ; ils représentent des groupes d'inflexions, des mouvements de la voix...

    Auteur : E. GAUTIER - Source : Journ. offic. 25 janv. 1876, p. 748, 3e col.


  22. Un livre cousu de passages grecs, hébreux, arabes, de citations de rabbins et d'autres auteurs obscurs et extraordinaires

    Auteur : MALEBR. - Source : Recherche, IV, 7


  23. Je les rappellerai [les Hébreux] dans la terre que j'ai promise avec serment à Abraham, à Isaac et à Jacob

    Auteur : SACI - Source : Bible, Baruch, II, 34


  24. Si j'arrondissais mes états ? Si je pouvais remplir mes coffres de ducats ? Si j'apprenais l'hébreu, les sciences, l'histoire, Tout cela c'est la mer à boire

    Auteur : Jean de La Fontaine - Source : Fabl. VIII, 25


  25. Si je pouvais remplir mes coffres de ducats ! Si j'apprenais l'hébreu, les sciences, l'histoire ! Tout cela c'est la mer à boire

    Auteur : Jean de La Fontaine - Source : Fab. VIII, 25




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Mise à jour le samedi 8 novembre 2025 à 23h29










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