La définition de Verbe du dictionnaire français. Signification du mot et son éthymologie - De nombreux exemples d'usage en français ainsi que des citations.
Verbe
Nature : s. m.
Prononciation : vèr-b'
Etymologie : Provenç. verbi, masculin, verba, féminin, parole, mot, verbe, verb, verbe ; catal. verb ; espagn. et ital. verbo ; du lat. verbum, qui se rattache au grec parler ; goth. vaurd ; allem. Wort ; angl. word ; le b du latin vient d'un dh.
Notre dictionnaire de français vous présente les définitions de verbe de manière précise, avec des exemples pertinents pour aider à comprendre la signification du mot.
Notre dictionnaire de définitions comprend des informations complémentaires telles que la nature du mot, sa prononciation, des exemples d'expressions, l'étymologie, les synonymes, les homonymes, les antonymes mais également les rimes et anagrammes. Quand la définition du mot s'y prête nous vous proposons des citations littéraires en rapport avec verbe pour illustrer la compréhension du mot ou préciser le sens et de répondre à la question quelle est la signification de Verbe ?
La définition de Verbe
Parole, ton de voix.
Toutes les définitions de « verbe »
Wiktionnaire
Nom commun - français
verbe \v??b\ masculin
-
(Grammaire) Partie du discours qui exprime soit une action faite ou supportée par le sujet, soit un état ou une manière d'être du sujet, et qui, pour les exprimer, possède un certain nombre de formes diverses dont l'ensemble est appelé conjugaison, lesquelles formes expriment son sujet et le temps de la proposition.
- Et les cédilles, ça ressemblait à rien ces zigouigouis, quant au verbe avoir qui s'accordait tantôt avec le complément d'objet direct tantôt pas, c'était un cauchemar. ? (Akli Tadjer, Alphonse, Jean-Claude Lattès, 2005)
- Mais, dupé par la langue grecque, qui, grâce à l'article, permet de transformer des verbes en substantifs, il n'échappe à l'aporie de Parménide « L'Être est, le non-être n'est pas, on ne sortira pas de cette pensée » que par cinq théories [?]. ? (Louis Rougier, Histoire d'une faillite philosophique : la Scolastique, 1925, édition 1966)
- La caractéristique du langage schtroumpf est que les noms propres et les noms communs, les verbes et les adverbes y sont remplacés, et chaque fois que possible, par des conjugaisons et déclinaisons du mot schtroumpf. ? (Umberto Eco, Kant et l'ornithorynque, traduit de l'italien par Julien Gayrard, Éditions Grasset, 1999)
- Quand Karl Lentze venta les 505 440 formes possibles d'un verbe en volapük, Auguste Kerckhoffs répondit que cette prétendue richesse constituait un défaut et qu'elle conduirait infailliblement la langue du Père Schleyer à sa perte.
-
(Soutenu) (Littéraire) Parole, expression de la pensée par les mots.
- Tu admets, ô Prospêtès, que, par le verbe et par la plume, je fasse profession d'amoralité. Que je me décrive comme un être ayant rompu avec la morale officielle ou la morale officieuse. ? (Émile Armand, « Amoral », dans Les réfractaires, n°2, février-mars 1914)
- Quand il n'est pas une duperie, un mirage, quand il est le reflet d'un esprit supérieur, le verbe emporte tout. L'éloquence naturelle et concise du grand Charcot l'aida à déchiffrer le système nerveux. Vivier était un verbal sans verbosité, un de ceux chez qui le terme exact est comme la rampe de la découverte et qui s'appuient sur lui pour monter plus haut, pénétrer plus avant. ? (Léon Daudet, ?'Souvenirs des milieux littéraires, politiques, artistiques et médicaux/Salons et Journaux'', Grasset, 1917, réédition Le Livre de Poche, page 319)
- Finies, la puissance de conviction du verbe, les accents de vérité des déclarations à la police.? (Antoine Garapon (producteur de l'émission « Esprit de justice » sur France culture), La justice a besoin de temps et de temps morts, journal La Croix, 15 janvier 2015, page 25)
- On se sent bien, dans la grammaire de la rue. Le verbe fait l'action. Mais il y a les verbes d'état aussi. Ils n'ont pas de complément d'objet, pas de but. Être, paraître, devenir. On se sent là. Lézard de la rue. ? (Philippe Delerm, Le trottoir au soleil, Gallimard, 2011, collection Folio, page 36)
Littré
-
1Parole, ton de voix.
Les Israélites, entendant le verbe de ce Philistin, étaient stupéfaits
, Voltaire, Phil. Bible expl. Saül et David.Qui donc a mis cette puissance dans le verbe de l'homme [la joie que causent les premiers mots de l'enfant]??
Chateaubriand, Génie, I, VI, 4.L'austère vérité n'a plus de portes closes?; Tout verbe est déchiffré
, Hugo, Voix int. 1.Avoir le verbe haut, avoir une voix fort élevée, et, figurément, parler avec hauteur.
Les huit députés [des nobles] s'y signalèrent [à rallier leur monde], mais ils n'eurent plus le verbe si haut
, Saint-Simon, 463, 17. -
2Synonyme de logos.
Le verbe de Dieu au plus haut des cieux est la source de la sagesse, et ses voies sont les commandements éternels
, Sacy, Bible, Ecclésiastique, I, 5.Vos sages, dit Tertullien, conviennent que logos, c'est-à-dire le verbe, la parole, semble être l'ouvrier de l'univers?; or nous croyons encore que la propre substance de ce verbe, de cette raison, par laquelle Dieu a tout fait, est l'esprit
, Condillac, Hist. anc. XV, 8. -
3Dans le christianisme, le Verbe divin, ou, simplement, le Verbe, la sagesse éternelle, le Fils de Dieu, la seconde personne de la Trinité, égale et consubstantielle au Père (avec un V majuscule).
Au commencement était le Verbe, et le Verbe était en Dieu, et le Verbe était Dieu
, Sacy, Bible, Év. St Jean, I, 1.Le nom de son fils est le nom de Verbe?; Verbe qu'il engendre éternellement en se contemplant lui-même
, Bossuet, Hist. II, 6.Le vrai Emmanuël, Dieu avec nous?; en un mot le Verbe fait chair, unissant en sa personne la nature humaine avec la divine, afin de réconcilier toutes choses en lui-même
, Bossuet, Hist. II, 6.Il ne dit pas qu'il a pris une âme telle que la nôtre, mais il dit simplement que le Verbe s'est fait chair
, Bourdaloue, Myst. Très Saint Sacrem. t. I, p. 516. -
4 Terme de grammaire. Mot qui affirme l'existence d'une personne ou d'une chose, ce qu'elle fait ou ce qu'elle éprouve, ou, plus abstraitement, mot qui indique l'existence d'un attribut dans un sujet. Verbes auxiliaires. Verbes défectifs. Verbes transitifs et intransitifs. Verbes irréguliers. Verbes neutres. Verbes pronominés, appelés souvent, mais à tort, pronominaux. Verbes réfléchis et réciproques. Verbes transitifs directs et indirects.
Et, transposant cent fois et le nom et le verbe, Dans mes vers recousus mettre en pièces Malherbe
, Boileau, Sat. II.Qu'est-ce que le verbe?? c'est le mot qui marque que l'on juge, c'est-à-dire que l'on pense une chose d'une autre?: par exemple, la terre est ronde?; le mot est, c'est le verbe, c'est-à-dire que c'est le mot qui marque que je juge que la terre est ronde
, Dumarsais, ?uv. t. I, p. 73.D'après l'étymologie, verbe est la même chose que mot ou parole?; et il paraît que le verbe ne s'est approprié cette dénomination, que parce qu'on l'a regardé comme le mot par excellence
, Condillac, Gramm. II, 6.Les verbes adjectifs sont des expressions abrégées équivalentes à deux éléments du discours, à un nom adjectif et au verbe être
, Condillac, II, 21.Les premiers verbes n'ont été imaginés que pour exprimer l'état de l'âme quand elle agit ou pâtit
, Condillac, Conn. hum. II, I, 9.Il y eut trois sortes de verbes?: les uns actifs, ou qui signifient action?; les autres passifs, ou qui marquent passion?; et les derniers neutres, ou qui indiquent toute autre qualité
, Condillac, ib. II, I, 9.
HISTORIQUE
XIIe s. Alquant [quelques-uns] diseient bien, pluisur diseient mal? Tel qui fist personel del verbe impersonal
, Th. le mart. 55.
XVIe s. Quand le Verbe eternel, par qui tout est formé?
, Desportes, ?uvres chrestiennes, Sonnets, 16.
Encyclopédie, 1re édition
VERBE, s. m. (Gram.) en analysant avec la plus grande attention les différens usages du verbe dans le discours, voyez Mot, art. I. j'ai cru devoir le définir, un mot qui présente à l'esprit un être indéterminé, désigné seulement par l'idée générale de l'existence sous une relation à une modification.
L'idée de mot est la plus générale qui puisse entrer dans la notion du verbe ; c'est en quelque sorte le genre suprème : toutes les autres parties d'oraison sont aussi des mots.
Ce genre est restraint à un autre moins commun, par la propriété de présenter à l'esprit un être : cette propriété ne convient pas à toutes les especes de mots ; il n'y a que les mots déclinables, & susceptibles surtout des inflexions numériques : ainsi l'idée générique est restrainte par-là aux seules parties d'oraison déclinables, qui sont les noms, les pronoms, les adjectifs, & les verbes ; les prépositions, les adverbes, les conjonctions, & les interjections s'en trouvent exclus.
C'est exclure encore les noms & les pronoms, & restraindre de plus en plus l'idée générique, que de dire que le verbe est un mot qui présente à l'esprit un être indéterminé ; car les noms & les pronoms présentent à l'esprit des êtres déterminés. Voyez Nom & Pronom. Cette idée générique ne convient donc plus qu'aux adjectifs & aux verbes ; le genre est le plus restraint qu'il soit possible, puisqu'il ne comprend plus que deux especes ; c'est le genre prochain. Si l'on vouloit se rappeller les idées que j'ai attachées aux termes de déclinable & d'indéterminatif, voyez Mot ; on pourroit énoncer cette premiere partie de la définition, en disant que le verbe est un mot déclinable indéterminatif : & c'est apparemment la meilleure maniere de l'énoncer.
Que faut-il ajouter pour avoir une définition complette ? Un dernier caractere qui ne puisse plus convenir qu'à l'espece que l'on définit ; en un mot, il faut déterminer le genre prochain par la différence spécifique. C'est ce que l'on fait aussi, quand on dit que le verbe désigne seulement par l'idée générale de l'existence sous une relation à une modification : voilà le caractere distinctif & incommunicable de cette partie d'oraison.
De ce que le verbe est un mot qui présente à l'esprit un être indéterminé, ou si l'on veut, de ce qu'il est un mot déclinable indéterminatif ; il peut, selon les vûes plus ou moins précises de chaque langue, se revêtir de toutes les formes accidentelles que les usages ont attachées aux noms & aux pronoms, qui présentent à l'esprit des sujets déterminés : & alors la concordance des inflexions correspondantes des deux especes de mots, sert à désigner l'application du sens vague de l'un au sens précis de l'autre, & l'identité actuelle des deux sujets, du sujet indéterminé exprimé par le verbe, & du sujet déterminé énoncé par le nom ou par le pronom. Voyez Identité. Mais comme cette identité peut presque toujours s'appercevoir sans une concordance exacte de tous les accidens, il est arrivé que bien des langues n'ont pas admis dans leurs verbes toutes les inflexions imaginables relatives au sujet. Dans les verbes de la langue françoise, les genres ne sont admis qu'au participe passif ; la langue latine & la langue grecque les ont admis au participe actif ; la langue hébraïque étend cette distinction aux secondes & troisiemes personnes des modes personnels. Si l'on excepte le chinois & la langue franque, où le verbe n'a qu'une seule forme immuable à tous égards, les autres langues se sont moins permis à l'egard des nombres & des personnes ; & le verbe prend presque toujours des terminaisons relatives à ces deux points de vûe, si ce n'est dans les modes dont l'essence même les exclut : l'infinitif, par exemple, exclut les nombres & les personnes, parce que le sujet y demeure essentiellement indéterminé ; le participe admet les genres & les nombres, parce qu'il est adjectif, mais il rejette les personnes, parce qu'il ne constitue pas une proposition. Voyez Infinitif, Participe.
L'idée différencielle de l'existence sous une relation à une modification, est d'ailleurs le principe de toutes les propriétés exclusives du verbe.
I. La premiere & la plus frappante de toutes, c'est qu'il est en quelque sorte, l'ame de nos discours, & qu'il entre nécessairement dans chacune des propositions qui en sont les parties intégrantes. Voici l'origine de cette prérogative singuliere.
Nous parlons pour transmettre aux autres nos connoissances ; & nos connoissances ne sont rien autre chose que la vûe des êtres sous leurs attributs : ce sont les résultats de nos jugemens intérieurs. Un jugement est l'acte par lequel notre esprit apperçoit en soi l'existence d'un être, sous telle ou telle relation à telle ou telle modification. Si un être a véritablement en soi la relation sous laquelle il existe dans notre esprit ; nous en avons une connoissance vraie : mais notre jugement est faux, si l'être n'a pas en soi la relation sous laquelle il existe dans notre esprit. Voyez Proposition.
Une proposition doit être l'image de ce que l'esprit apperçoit par son jugement ; & par conséquent elle doit énoncer exactement ce qui se passe alors dans l'esprit, & montrer sensiblement un sujet déterminé, une modification, & l'existence intellectuelle du sujet sous une relation à cette modification. Je dis existence intellectuelle, parce qu'en effet, il ne s'agit primitivement, dans aucune proposition, de l'existence réelle qui suppose les êtres hors du néant ; il ne s'agit que d'une existence telle que l'ont dans notre entendement tous les objets de nos pensées, tandis que nous nous en occupons. Un cercle quarré, par exemple, ne peut-avoir aucune existence réelle ; mais il a dans mon entendement une existence intellectuelle, tandis qu'il est l'objet de ma pensée, & que je vois qu'un cercle quarré est impossible : les idées abstraites & générales ne sont & ne peuvent être réalisées dans la nature ; il n'existe réellement, & ne peut exister nulle part un animal en général qui ne soit ni homme, ni brute : mais les objets de ces idées factices existent dans notre intelligence, tandis que nous nous occupons pour en découvrir les propriétés.
Or c'est précisément l'idée de cette existence intellectuelle sous une relation à une modification, qui fait le caractere distinctif du verbe ; & de-là vient qu'il ne peut y avoir aucune proposition sans verbe, parce que toute proposition, pour peindre avec fidélité l'objet du jugement, doit exprimer entr'autres choses, l'existence intellectuelle du sujet sous une relation à quelque modification, ce qui ne peut être exprimé que par le verbe.
De-là vient le nom emphatique donné à cette partie d'oraison. Les Grecs l'appelloient ???? ; mot qui caractérise le pur matériel de la parole, puisque ???, qui en est la racine, signifie proprement fluo, & qu'il n'a reçu le sens de dico que par une catachrese métaphorique, la bouche étant comme le canal par où s'écoule la parole, & pour ainsi dire, la pensée dont elle est l'image. Nous donnons à la même partie d'oraison le nom de verbe, du latin verbum, qui signifie encore la parole prise matériellement, c'est-à-dire en tant qu'elle est le produit de l'impulsion de l'air chassé des poumons & modifié, tant par la disposition particuliere de la bouche, que par les mouvemens subits & instantanées des parties mobiles de cet organe. C'est Priscien (lib. VIII. de verbo init.) qui est le garant de cette étymologie : à verberatu aeris dicitur, quod commune accidens est omnibus partibus orationis. Priscien a raison ; toutes les parties d'oraison étant produites par le même méchanisme, pouvoient également être nommées verba, & elles l'étoient effectivement en latin : mais c'étoit alors un nom générique, au lieu qu'il étoit spécifique quand on l'appliquoit à l'espece dont il est ici question : Præcipuè in hâc dictione quasi proprium ejus accipitur quâ frequentiùs utimur in oratione. (Id. ib.) Telle est la raison que Priscien donne de cet usage : mais il me semble que ce n'est l'expliquer qu'à demi, puisqu'il reste encore à dire pourquoi nous employons si fréquemment le verbe dans tous ces discours.
C'est qu'il n'y a point de discours sans proposition ; point de proposition qui n'ait à exprimer l'objet d'un jugement ; point d'expression de cet objet qui n'énonce un sujet déterminé, une modification également déterminée, & l'existence intellectuelle du sujet sous une relation à cette modification : or c'est la désignation de cette existence intellectuelle d'un sujet qui est le caractere distinctif du verbe, & qui en fait entre tous les mots, le mot par excellence.
J'ajoute que c'est cette idée de l'existence intellectuelle, qu'entrevoit l'auteur de la grammaire générale
dans la signification commune à tous les verbe, &
propre à cette seule espece, lorsqu'après avoir remarqué
tous les défauts des définitions données avant
lui, il s'est arrêté à l'idée d'a
Trésor de la Langue Française informatisé
VERBE, subst. masc.
Verbe au Scrabble
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Les mots proches de Verbe
Ver Véracité Véraison Verbal, ale Verbalement Verbalisateur Verbaliser Verbe Verbération Verbeux, euse Verbiage Verbiager Verbosité Verchère Ver-coquin Verdal Verdâtre Verdelet, ette Verderet Verderie Verderon Verdet Verdeur Verdi, ie Verdict Verdier Verdir Verdissage Verdissant, ante Verdissement Verdiste Verdoyant, ante Verdoyer Verdure Verdurier Véreux, euse Verge Vergé, ée Vergée Vergelet Vergenne Verger Vergeté, ée Vergeter Vergette Vergeture Verglacer Verglas Vergne Vergogne ver ver Ver Ver-lès-Chartres Ver-sur-Launette Ver-sur-Mer Vérac vérace véraces véracité véranda vérandas Véranne Vérargues Véraza verbal verbale verbalement verbales verbalisation verbalise verbalisé verbalisée verbaliser verbalisez verbalisme verbaliste verbatim verbaux verbe Verberie verbes verbeuse verbeuses verbeux verbiage Verbiesles verbosité verbosités Vercel-Villedieu-le-Camp Verchain-Maugré Verchaix Verchamp Vercheny Verchers-sur-Layon Verchin Verchocq Vercia Verclause VercoiranMots du jour
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Les citations avec le mot Verbe
- Proverbe chinois: Un homme a réussi sa vie quand il a planté un arbre ou fait un enfant ou écrit un livre.Auteur : Victor Lanoux - Source : Laissez flotter les rubans (2009)
- Plusieurs de ses bons mots (de Pascal) ont même fait proverbe dans la langue; et les Lettres provinciales seront éternellement regardées comme un modèle de goût et de style.Auteur : Jean le Rond d'Alembert - Source : Eloges, Bossuet
- La Révolution française fut une révolution du verbe. Les mots sont des armes.Auteur : Denis Guedj - Source : Le mètre du monde (2000)
- Nous vivons dans une société où il faut que les choses servent. Or, le verbe servir a pour étymologie être esclave de.Auteur : Amélie Nothomb - Source : Riquet à la houppe (2016)
- Pour moi, ce que j'aimais surtout de cet étrange paysage, c'était la terrassante splendeur des pleins midis: une réverbération aussi intense que dans les solitudes africaines.Auteur : Louis Bertrand - Source : Le Livre de la Méditerranée (1911)
- Il me cite alors un proverbe arabe : Si ce que tu as à dire n'est pas plus beau que le silence, alors tais-toi !Auteur : Jean-Pierre Otte - Source : Un cercle de lecteurs autour d'une poêlée de châtaignes (2011)
- Nous ne pouvons voir la lune et les étoiles, tant qu'il nous plaît de demeurer dans l'effluve lumineux des réverbères et des réclames de whisky.Auteur : Aldous Huxley - Source : Les portes de la perception (1954)
- Vous aviez l'air d'accord; je n'y entendais rien; et dans les cas difficiles à juger, une bourse d'or me paraît toujours un argument sans réplique. Et puis, comme dit le proverbe, ce qui est bon à prendre...Auteur : Pierre Augustin Caron de Beaumarchais - Source : Le Barbier de Séville (1775), IV, 1, Bazile
- Poètes, évangélistes d'une déesse intime, transfigurez-vous par la nuit - Ecrivez à l'écart - Signez - Rentrez dans l'ombre - Le verbe seul est illustre.Auteur : Pierre Louÿs - Source : Poétique (1917), X
- Suivant un vieux proverbe, les égaux se rassemblent volontiers avec leurs égaux.Auteur : Cicéron - Source : Cato Maior de senectute (44 av. J.-C.), III, 7
- Le verbe « aimer » est le plus compliqué de la langue. Son passé n'est jamais simple, son présent n'est qu'imparfait et son futur toujours conditionnel.Auteur : Jean Cocteau - Source : Sans référence
- Les devantures des magasins étaient constellées d'inscriptions faussement alléchantes; les clôtures le long des routes, les réverbères, les poteaux télégraphiques étaient recouverts d'affiches trompeuses. La gigantesque Compagnie qui vous employait vous mentait, à vous et au monde entier; tout, du haut jusqu'en bas n'était qu'une phénoménale mystification. Auteur : Upton Sinclair - Source : La Jungle (1905)
- Il n'est pas difficile d'être malheureux! ce qui est difficile c'est d'être heureux; ce n'est pas une raison pour ne pas essayer; au contraire; le proverbe dit que toutes les belles choses sont difficiles.Auteur : Emile-Auguste Chartier, dit Alain - Source : Propos sur le bonheur (1928)
- Un proverbe dit : Le rêve, c'est la conséquence de la fatigue de toutes les parties du corps.Auteur : Yasushi Inoue - Source : Le Maître de thé (1991)
- Qu'avait-il besoin du baptême s'il était le Verbe? Comment le Diable pouvait-il le tenter, lui, Dieu?
Est-ce que ces pensées-là ne te sont jamais venues?Auteur : Gustave Flaubert - Source : La Tentation de Saint Antoine (1874) - Il y a le verbe «naître»... Et puis mourir, crever, se suicider, être assassiné, étranglé, défenestré,occis, supprimé, empoisonné... On sent que les académiciens créateurs de mots sont plus proche de la fin que du début.Auteur : Patrick Sébastien - Source : Carnet de notes (2001)
- Le proverbe est vrai : un vieillard est deux fois enfant.Auteur : Eupolis - Source : Fragments, 35
- Quelle que soit la chose qu'on veut dire, il n'y a qu'un mot pour l'exprimer, qu'un verbe pour l'animer et qu'un adjectif pour la qualifier.Auteur : Guy de Maupassant - Source : Pierre et Jean (1888)
- Epuisant, le verbe de Malraux était inépuisable. Il n'était pas obscur, puisqu'il donnait l'illusion de le comprendre. C'est après qu'on se demandait: «Mais qu'est-ce qu'il a dit?»Auteur : Françoise Giroud - Source : Leçons particulières (1990)
- Un vieux proverbe le dit on ne peut plus clairement : si une fille ne se marie pas, elle n'a pas la moindre valeur si le feu ne rase pas la montagne, la terre ne sera jamais fertile.Auteur : Lisa See - Source : Fleur de neige (2006)
- Un écrivain est la seconde chance de l'humanité. Lorsque la décadence menace de se généraliser, le verbe durcit le ton et rappelle le cheptel à l'ordre.Auteur : Mohammed Moulessehoul, dit Yasmina Khadra - Source : L'Imposture des mots (2002)
- Proverbe porc: Ne faites pas aux truies ce que vous ne voudriez pas qu'elles vous fassent.Auteur : Coluche - Source : Proverbes
- Toutes les belles choses sont difficiles, comme dit le proverbe ; et celui-là ne saura jamais le violon, qui n'a su que s'y amuser.Auteur : Emile-Auguste Chartier, dit Alain - Source : Propos
- Les idées n'appartiennent à personne. Ou plutôt si, elles appartiennent à ceux qui les pensent, les vivifient par leur verbe et les communiquent.Auteur : Eric-Emmanuel Schmitt - Source : La Part de l'autre (2001)
- C'est un vieux proverbe que celui-ci: un gladiateur se décide dans l'arène.Auteur : Sénèque - Source : Lettres à Lucilius, XXII
Les citations du Littré sur Verbe
- Sire, il y a dans tous les pays chrétiens un vieux proverbe qui dit : Il vaut mieux avoir affaire à Dieu qu'à ses saints ; et je le crois plus vrai en Espagne que partout ailleursAuteur : C. DELAV. - Source : D. Juan, V, 2
- Quand les glaces et les neiges fondent sur les montagnes pour la verberation du soleilAuteur : Jean Froissard - Source : II, III, 82
- Temps c'est la difference du verbe selon le present, preterit, futurAuteur : RAMUS - Source : dans LIVET, Gramm. franç. p. 225
- Il a en France un tel proverbe : De bon tourneeur couart guerrierAuteur : ORESME - Source : Eth. 79
- Le cousteau n'appaise l'herésie [proverbe tiré des supplices inutiles contre l'hérésie au XVIe siècle]Auteur : LEROUX DE LINCY - Source : ib.
- Il y eut trois sortes de verbes : les uns actifs, ou qui signifient action ; les autres passifs, ou qui marquent passion ; et les derniers neutres, ou qui indiquent toute autre qualitéAuteur : CONDIL. - Source : ib. II, I, 9
- Quand un verbe a deux nominatifs, doit-il toujours être mis au pluriel ?Auteur : D'OLIVET - Source : Rem. Racine, § 87
- D'après l'étymologie, verbe est la même chose que mot ou parole ; et il paraît que le verbe ne s'est approprié cette dénomination, que parce qu'on l'a regardé comme le mot par excellenceAuteur : CONDIL. - Source : Gramm. II, 6
- Il a en France un tel proverbe : de bon tourneeur [homme de tournoi] couart guerrierAuteur : ORESME - Source : Eth. 79
- La sortie du Verbe, son progrès, son avancement vers la créature.... est en ce sens une espèce de génération et de production, qui n'est en effet que sa manifestationAuteur : BOSSUET - Source : 6e avert. 72
- On dit en un commun proverbe, et voir est, que oncques envie ne mourut ; je le ramentois, pourtant que par nature Anglois sont trop envieux sur le bien d'autrui et ont toujours estéAuteur : Jean Froissard - Source : II, II, 206
- Faites qu'en ce moment je lui puisse annoncer Un bonheur où peut-être il n'ose plus penser : j'avoue que les poëtes n'oseraient dire auquel, et que ce pronom est ordinairement remplacé avec élégance par l'adverbe où ; mais pourtant il me semble qu'un bonheur où je pense ne se dit point ; vous le demanderez à l'usageAuteur : D'OLIVET - Source : Rem. Rac. § 83
- Toutefois ce qui paraît donner l'avantage à la première étymologie, c'est qu'on trouve le verbe niquer avec le sens de branler la tête : Grignoit les dents, et maschoit ses levres, niquoit de la teste souventAuteur : G. CHASTEL. - Source : Expos. sur vérité mal prise.
- [Dans la langue huronne] il est général, à quelques exceptions près, que l'objet du verbe, lorsqu'il n'est pas un nom propre, s'inclut dans le verbe même, et ne fait plus qu'un seul motAuteur : Chateaubriand - Source : Amér. Langues indiennes.
- L'austère vérité n'a plus de portes closes ; Tout verbe est déchiffréAuteur : Victor Hugo - Source : Voix int. 1
- Ils s'arrestent à ceste diction, du tout : laquelle toutesfois ne se rapporte pas au verbe qui est là misAuteur : CALV. - Source : Instit. 291
- Ils se perdent eulx mesmes, dansant, comme l'on dit en commun proverbe, la danse d'alentour du puisAuteur : AMYOT - Source : Comment disc. le flatt. 47
- Decliner quelque nom vulgaire, ou conjuguer un verbeAuteur : CALVIN - Source : ib. 872
- Par un commun proverbe, on dit celui-là vivre à la franche marguerite, qui conduit rondement et sans tromperie ses deportementsAuteur : PASQUIER - Source : Lettres, XXII, 5 (cité par FEUGÈRE, Glossaire d'Ét. Pasquier).
- L'apium risus, autrement appellé sardonia, espece de ranunculus, rend les hommes insensés, .... en sorte qu'il semble que le malade rie, dont est venu en proverbe ris sardonien, pour un ris malheureux et mortelAuteur : PARÉ - Source : XXIII, 44
- Quand, par quelques sourdes pratiques, advint un inopiné massacre à ceux qui pensoient estre à l'abry du vent, les doctes appellent cela les vespres siciliennes, proverbe vrayement nostre, pour nous avoir esté cher venduAuteur : PASQUIER - Source : Recherches, liv. VIII, p. 740, dans LACURNE
- Ce mot de Parole [le Verbe] signifie une sagesse residente en Dieu, dont toutes revelations et propheties sont procedées - de là nous concluons infailiblement que la Parole est vray DieuAuteur : CALV. - Source : Instit. 75
- Ce mesme personnage (je di Bembo) use d'adverbes ayant forme de superlatifs, lesquels je confesse que notre langue n'ha point.... mais je respons premierement que les Grecs nous ont faict le plaisir de nous prester une petite particule, laquelle mestans devans les adverbes aussi bien que devant les noms, exprimons ceste superlationAuteur : H. ESTIENNE - Source : Précellence.
- Il faut que vous [Dieu] acheviez votre ouvrage [dans l'incarnation], et que, l'ayant associée [Marie] en quelque façon à la chaste génération éternelle par laquelle vous produisez votre Verbe....Auteur : BOSSUET - Source : 1er sermon, Compass. de la Ste Vierge, 1
- Nom d'un genre de scrofularinées où l'on distingue le nuxier verticillé, que certains auteurs ont réuni à tort au genre égiphile (verbénacées) ; il est appelé vulgairement, à Maurice, bois d'écorce blancheAuteur : LEGOARANT - Source :
Les mots débutant par Ver Les mots débutant par Ve
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Mise à jour le dimanche 28 décembre 2025 à 06h21
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