Définition de « métal »
Notre dictionnaire de français vous présente les définitions du mot metal de manière claire et concise, avec des exemples pertinents pour aider à comprendre le sens du mot.
Il comprend des informations supplémentaires telles que des exemples d'expressions, l'étymologie, les synonymes, les homonymes, les antonymes mais également les rimes et anagrammes et bien sûr des citations littéraires sur métal pour aider à enrichir la compréhension du mot Métal et répondre à la question quelle est la définition de metal ?
Une définition simple : (fr-accord-mf-al|mét|me.t) métal (m)
Expression : métal anglais métal blanc métal de cloche métal natif métal précieux
Définitions de « métal »
Trésor de la Langue Française informatisé
MÉTAL, -AUX, subst. masc.
Wiktionnaire
Nom commun - français
métal \me.tal\ masculin
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Corps simple, brillant, tantôt ductile et malléable, comme le fer et l'argent, tantôt cassant, comme l'antimoine et le bismuth : on le trouve dans les entrailles de la terre, quelquefois pur, mais le plus souvent uni à d'autres substances, avec lesquelles il forme des oxydes, des sulfures ou d'autres combinaisons chimiques.
- L'histoire des métaux se confond avec l'histoire de la civilisation, et l'on peut dire qu'à mesure que l'homme s'est avancé dans la voie du progrès, l'emploi des métaux a pris des développements de plus en plus considérables. ? (Edmond Nivoit, Notions élémentaires sur l'industrie dans le département des Ardennes, E. Jolly, Charleville, 1869, page 176)
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(Chimie) Élément chimique qui peut perdre des électrons pour former des cations et former des liaisons métalliques ainsi que des liaisons ioniques dans le cas des métaux alcalins.
- Les métaux possèdent des bandes de valence et de conduction qui se recouvrent.
- (Astronomie) Tout élément autre que l'hydrogène et l'hélium[1].
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(Héraldique) En termes de blason, se dit de l'or et de l'argent, qu'on représente par le jaune et le blanc.
- Suivant les règles héraldiques, l'écu ne doit jamais porter métal sur métal.
- (Musique) Heavy metal. Musique caractérisé par de vivaces battements de batterie, des guitares distordues et l'utilisation d'accords dissonants tel que le triton.
Dictionnaire de l'Académie française, huitième édition
Corps simple, brillant, tantôt ductile et malléable, comme le fer et l'argent, tantôt cassant, comme l'antimoine et le bismuth : on le trouve dans les entrailles de la terre, quelquefois pur, mais le plus souvent uni à d'autres substances, avec lesquelles il forme des oxydes, des sulfures ou d'autres combinaisons chimiques. Extraire le métal de la mine. Purifier, fondre un métal. Doreur sur métaux. Le mercure est un métal liquide à la température ordinaire. Métal natif, Celui qui se présente à l'état pur dans la mine. Métaux précieux, L'or, l'argent et le platine. Métal de cloche, Alliage de cuivre et d'étain qui sert à faire les cloches. Métal anglais, Alliage d'antimoine et d'étain, avec un peu de cuivre, qui sert à faire des couverts de table, etc. Métal blanc, Alliage de divers métaux, qui ressemble à de l'argent.
MÉTAL, en termes de Blason, se dit de l'Or et de l'Argent, qu'on représente par le jaune et le blanc. Suivant les règles héraldiques, l'écu ne doit jamais porter métal sur métal.
Littré
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1Corps opaques, pesants, qui se trouvent, dans la nature, associés à des substances terreuses ou entre eux, et qui constituent alors des composés connus sous le nom de mines. Les Grecs et les Romains ne connaissaient que sept métaux, l'or, l'argent, le fer, le cuivre, le plomb, l'étain et le mercure.
Allons briser ces dieux de pierre et de métal
, Corneille, Poly. II, 6.?Cent fois la bête a vu l'homme hypocondre Adorer le métal que lui-même il fit fondre
, Boileau, Sat. VIII.Les torrents et les incendies nous ont fait découvrir que les terres contenaient des métaux
, Montesquieu, Esp. XVIII, 15.En devenant monnaie, les métaux n'ont pas cessé d'être marchandise?; ils ont une empreinte de plus et une nouvelle dénomination?; mais ils sont toujours ce qu'ils étaient, et ils n'auraient pas une valeur comme monnaie s'ils ne continuaient pas d'en avoir une comme marchandise
, Condillac, Comm. gouv. I, 14.Fig.
Vous avez bien raison de croire que je serai affligée de la perte de M. l'archevêque? il n'y a point d'esprits ni de c?urs sur ce moule?; ce sont des sortes de métaux qui ont été altérés par la corruption du temps
, Sévigné, 18 mars 1689.Métal natif ou vierge, celui qui se présente à l'état pur dans la mine.
On nommait autrefois ridiculement métaux vierges ce que l'on désigne plus exactement aujourd'hui par le nom de métaux natifs
, Fourcroy, Connaiss. chim. sect. VI, art. 1.Métaux précieux, l'or, l'argent et le platine.
L'or est un charme étrange, un métal précieux, Qui corrompt toute chose et tenteroit les dieux
, Rotrou, Antig. V, 5.Ils ont en abondance des métaux précieux qu'ils tiennent immédiatement des mains de la nature
, Montesquieu, Esp. XXI, 2.Que ne puis-je à la fois engloutir sous le Tibre Ces métaux corrupteurs d'un peuple jadis libre??
Chénier M. J. Gracques, II, 3. - 2Aujourd'hui la chimie, qui compte 49 métaux, ne peut les définir que d'une manière très générale, en disant que ce sont des corps simples, liquides ou solides, attaquables par l'oxygène ou par les acides.
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3Métal de cloche, alliage de cuivre et d'étain qui sert à faire les cloches.
Le cuivre et l'étain peuvent être facilement séparés l'un de l'autre par le procédé qui a été employé pendant la révolution pour exploiter le métal de cloche
, Thenard, Traité de chimie, part. I, liv. VI, ch. 3, n° 254 bis.Métal de Darcet, alliage fusible de bismuth, d'étain et de plomb.
Terme de fondeur. Métal, mélange d'étain, de cuivre jaune et de débris de vieux canons. Cuiller, fourchette de métal.
Métal de potier, alliage d'étain, de cuivre et de bismuth.
Métal du prince Robert, alliage de cuivre et de zinc.
Métal d'Alger, composition métallique qui imite grossièrement l'argent. Couvert de métal d'Alger.
Métal de prince, cuivre très raffiné dont on fait des tabatières, des étuis, etc.
Métal de miroirs, composition métallique qui prend le poli au point de devenir unie comme une glace (cuivre, plomb, antimoine).
Métal anglais, sorte d'étain. Une cuiller en métal anglais.
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4Demi-métal, nom que les anciens chimistes donnaient aux substances métalliques cassantes et volatiles, comme l'arsenic, le bismuth, etc.
M. Margraaf a eu le mérite d'enrichir la chimie d'un nouveau demi-métal, du régule de manganèse
, Condorcet, Margraaf. - 5 En termes de blason, métaux, l'or et l'argent, qu'on représente par le jaune et le blanc.
- 6 Terme d'alchimie. Métaux parfaits?: l'or, l'argent?; métaux imparfaits?: le plomb, l'étain, le mercure.
-
7 Fig. Les quatre métaux, les quatre âges du monde, dits siècle d'or, siècle d'argent, siècle de cuivre, siècle de fer.
La bonne foi? N'alla pas jusqu'au temps du troisième métal
, Boileau, Sat. X.
HISTORIQUE
XIIe s.
Il ont mis desoz lor poesté les metauz [mines] d'or et d'argent qui là sont
, Machab I, 8. Sonent busines [trompettes] d'arain et de metal
, Ronc. p. 78.
XIIIe s. Li diable les rostisseient, Divers metaus sur eus fundeient
, Marie de France, Purgatoire, 1099. Cil qui font monnoie à essient de malvès metail et les voelent alouer por bone
, Beaumanoir, XXX, 12. Car tout ausi comme li ors Est li mieudres [meilleur] metaus qu'on truise [trouve]
, Rutebeuf, 230.
XVe s. Les sept planetes que j'ay dict, Accomparons sans contredit Aux sept metaulx venans de terre Qui tous sont faicts d'une matiere
, La Fontaine, 408.
XVIe s. L'argent en masse et celui qui est monnoyé, puisque c'est tout un mesme metail
, Calvin, Instit. 1041. L'art de transmuer les metaux imparfaits, et de les multiplier en quantité
, Lanoue, 460.
SUPPLÉMENT AU DICTIONNAIRE
MÉTAL. - ÉTYM. Ajoutez?: D'après M. Renan, il ne faut pas chercher l'origine de ???????? dans le grec lui-même?; c'est la racine sémitique matal, dans MAX MÜLLER, Essais sur la mythologie comparée, trad. Perrot, p. 60, Paris (1873).
Encyclopédie, 1re édition
MÉTAL, au pl. Métaux. (Hist. nat. Chimie & Métallurgie.) metalla. Ce sont des substances pesantes, dures, éclatantes, opaques, qui deviennent fluides & prennent une sur face convexe dans le feu, mais qui reprennent ensuite leur solidité lorsqu'elles sont refroidies ; qui s'étendent sous le marteau ; qualités que les differens métaux ont dans des degrés differens.
On compte ordinairement six métaux ; savoir, l'or, l'argent, le cuivre, le fer, l'étain & le plomb. Mais depuis peu quelques auteurs en ont compté un septieme, que l'on nomme platine ou or blanc. Voyez Platine.
Il y a trois caracteres principaux & distinctifs des vrais métaux ; c'est 1°. la ductilité ou la faculté de s'étendre sous le marteau & de se plier, sur-tout lorsqu'ils sont froids ; 2°. d'entrer en fusion dans le feu ; & 3°. d'avoir de la fixité au feu, & de n'en être point entierement ou du moins trop promptement dissipés. Les substances qui réunissent ces trois qualités, doivent être regardées comme de vrais métaux. Il y a plusieurs substances minérales semblables en plusieurs points aux métaux, & qui ont une ou deux de ces propriétés, mais comme elles ne les ont point toutes, on les appelle demi-métaux ; ces substances ont bien à l'extérieur le coup d'?il des vrais métaux, mais elles se brisent sous le marteau, & l'action du feu les dissipe & les volatilise entierement, quoiqu'elles ayent la faculté d'entrer en fusion dans le feu. Voyez l'art. Demi-métaux.
On divise les métaux en parfaits & en imparfaits. Les métaux parfaits, sont ceux qui n'éprouvent aucune alteration de la part du feu ; après les avoir fait entrer en fusion, il ne peut point les calciner ou les changer en chaux, ni en dissiper aucune partie ; l'air & l'eau ne produisent aucune altération sur les métaux parfaits ; on en compte deux, qui sont l'or & l'argent ; on appelle métaux imparfaits, ceux à qui l'action du feu fait perdre leur éclat & leur forme métallique, & dont à la fin il vient à bout de détruire, de décomposer & même de dissiper une grande partie. Tels sont le cuivre, le fer, l'étain & le plomb. L'air & l'eau sont en état d'altérer ces sortes de métaux.
Pour simplifier les choses, on peut dire que les métaux parfaits sont ceux à qui l'action du feu ne fait point perdre leur phlogistique ou la partie inflammable qui leur est nécessaire pour paroître sous la forme métallique qui leur est propre ; au lieu que les métaux imparfaits sont ceux que le feu prive de cette partie. Voyez Phlogistique & voyez Chaux métallique.
Les anciens Chimistes ont encore divisé les métaux, en solaires & en lunaires. Suivant eux, les métaux solaires sont l'or, le cuivre & le fer ; & les métaux lunaires sont l'argent, l'étain & le plomb. Les uns sont colorés & les autres sont blancs. M. Rouelle a trouvé que cette distinction n'étoit point si chimérique que quelques Chimistes l'ont cru ; & les métaux lunaires ou blancs ont en effet des proprietés qui les distinguent des métaux solaires ou jaunes. Voyez Rapport, table des.
Enfin, l'or & l'argent ont été appellés métaux précieux où métaux nobles, à cause du prix que les hommes ont attaché à leur possession ; les autres métaux plus communs ont été appellés métaux ignobles ; cependant, si l'on ne consultoit que l'utilité pour attacher du prix aux choses, on verroit que le fer devroit sans difficulté, être regardé comme un métal plus précieux que l'or.
Les Alchimistes comptoient sept métaux, parce qu'ils joignoient le mercure aux six qui précedent ; ils croyoient aussi que chacun de ces sept métaux étoient sous l'influence d'une des sept planetes, ou bien, comme ils affectoient un style énigmatique, ils se sont servi des noms des planetes pour désigner les differens métaux. C'est ainsi qu'ils ont appellé l'or, Soleil ; l'argent, Lune ; le cuivre, Venus ; le fer, Mars ; l'étain, Jupiter ; le plomb, Saturne.
Quoique nous ayons dit que les métaux sont des corps pesans, ductiles, malléables & fixes au feu, il ne faut point croire qu'ils possedent tous ces qualités au même degré. C'est ainsi que pour le poids, l'or surpasse tous les métaux ; le plomb tient le second rang ; l'argent, le cuivre, le fer & l'étain viennent ensuite.
Il en est de même de la ductilité des métaux, elle varie considerablement. L'or possede cette qualité dans le degré le plus éminent ; ensuite viennent l'argent, le cuivre, le fer, l'étain, & enfin le plomb. A l'égard de la malleabilité ou de la faculté de s'étendre sous les coups de marteau, le plomb & l'étain la possedent plus que les autres métaux ; ensuite vient l'or, l'argent, le cuivre & enfin le fer, qui est moins malleable que tous les autres.
Une autre propriété génerale des métaux est d'entrer en fusion dans le feu, & d'y prendre une surface convexe, sans qu'il soit besoin pour cela de leur joindre d'additions ; mais tous ne se fondent point avec la même facilité. Il y en a qui se fondent avec une très-grande promptitude à un degré de feu très-foible, & avant que de rougir ; tels sont le plomb & l'étain : d'autres se fondent en même-tems qu'ils rougissent, & exigent pour cela un feu beaucoup plus violent que les premiers ; tels sont l'or & l'argent. Enfin, le cuivre & le fer demandent un feu d'une violence extreme, & rougissent long-tems avant que d'entrer en fusion. Voyez Fusion.
Les métaux sont dissouts par differens menstrues ou dissolvans ; il y a des dissolvans qui agissent sur les uns sans rien faire sur d'autres ; c'est ainsi que l'esprit de nitre dissout l'argent, le cuivre, le fer, &c. sans agir sur l'or. Mais une vérité que M. Rouelle a découverte, c'est que tous les acides agissent sur les métaux ; il faut pour cela que leur aggrégation ait été rompue, c'est-à-dire qu'ils ayent été divisés en particules déliées. Cependant il est certain qu'il y a des métaux qui ont plus de disposition à se dissoudre dans un dissolvant, que d'autres métaux qui y sont pourtant déja dissouts ; c'est ainsi que si de l'argent a été dissout par de l'esprit de nitre, en trempant du cuivre dans cette dissolution, le dissolvant quitte l'argent pour s'unir avec le cuivre ; & alors on-dit qu'un métal en a dégagé un autre. Voyez Dissolvant & Précipitation.
La plûpart des métaux & des demi-métaux ont la proprieté de s'unir ou de s'amalgamer avec le mercure, mais cette union ne se fait point avec autant de facilité pour tous, & il y en a qui n'ont aucune disposition à s'amalgamer. Voyez Mercure.
L'action du feu dilate tous les métaux, & leur fait occuper plus d'espace qu'ils n'en occupoient auparavant, lorsqu'ils étoient froids. La chaleur de l'atmosphere suffit aussi pour dilater les métaux, mais cette dilatation est plus insensible.
A l'exception de l'or & de l'argent, le feu fait perdre à tous les métaux leur éclat & leur forme metallique, il les change en une espece de terre ou de cendre que l'on nomme chaux métallique ; par cette calcination, ils perdent leur liaison, ils changent & augmentent de poids ; le plomb, par exemple, devient de la nature du verre ; ils changent de couleur ; ils sont rendus moins fusibles ; ils ne sont plus sonores ; ils ne sont plus en état de s'unir avec le mercure. Ces changemens s'operent plus ou moins promptement sur les différens métaux, mais on peut toujours rendre à ces cendres ou chaux leur premiere forme metallique, en leur joignant une matiere grasse ou inflammable, & en les exposant de nouveau à l'action du feu. Voyez l'article Réduction. Les chaux des métaux jointes avec la fritte, c'est-à-dire, avec la matiere dont on fait le verre, la colore diversement, suivant la couleur propre à chaque metal. Voyez Émail & Verrerie.
En fondant au feu les métaux, plusieurs s'unissent les uns aux autres, & forment ce qu'on appelle des alliages métalliques, c'est ainsi que l'or s'unit ou s'allie avec l'argent & avec le cuivre ; d'autres ne s'unissent point du tout par la fusion ; tels sont le fer & le plomb. Il y a aussi des métaux qui s'unissent avec les demi-métaux ; c'est ainsi que, par exemple, le cuivre s'unit avec le zinc, & forme le cuivre jaune ou laiton. Les métaux alliés par la fusion n'occupent point le même espace, qu'ils occupoient chacun pris séparement : il y en a dont le volume augmente par l'alliage, & d'autre, dont le volume diminue. D'où l'on voit, que le fameux probleme d'Archimede, pour connoître l'alliage de la couronne d'Hiéron, étoit fondé sur une supposition entierement fausse. Il en est de même des alliages des métaux avec les demi-métaux. Voyez la métallurgie de M. Cellert, tom. I. de la traduction françoise.
La balance hydrostatique ne peut point non plus faire connoître exactement la pesanteur specifique des métaux. Aussi, voit-on, que jamais deux hommes n'ont été parfaitement d'accord sur la pesanteur d'un métal : ces variations viennent, 1°. du plus ou du moins de pureté du métal que l'on a examiné ; 2°. du plus ou du moins de pureté de l'eau que l'on a employée pour l'experience ; 3°. des différens degrés de chaleur de l'atmosphere qui influent considérablement sur les liquides, sans produire des effets si marqués sur des corps solides, tels que les métaux.
Telles sont les proprietés génerales qui conviennent à tous les métaux : on trouvera à l'article de chaque métal en particulier, les caracteres qui lui sont propres & qui le distinguent des autres. Voyez Or, Argent, Fer, Plomb, &c.
Les sentimens des anciens Alchimistes & des Physiciens speculatifs, qui ont voulu raisonner sur la nature des métaux, ont été très-vagues & très-obscurs ; ils regardoient le sel, le soufre & le mercure, comme les élémens des métaux ; ce système subsista jusqu'à ce que Beccher eût fait voir, que ces trois prétendus principes sont eux-mêmes des corps composés, & par conséquent ne peuvent point être regardés comme des élémens ; d'après ces reflexions, ce celebre chimiste regarde les métaux, ainsi que tous les corps de la nature, comme composés de trois substances qu'il appelle terres. La premiere de ces terres est la terre saline ou vitrescible ; la seconde est la terre grasse ou inflammable ; & la troisieme, est la terre mercurielle ou volatile. Suivant lui, ces trois terres entrent dans la composition de tous les métaux, & c'est de leur combinaison plus ou moins exacte & parfaite, que dépend la perfection des métaux, & leur difference ne vient que de ce que l'un de ces principes domine sur tous les autres, & des différentes proportions suivant lesquelles ils se trouvent combinés dans les métaux. Quoiqu'il soit très-difficile d'analyser les métaux, au point de faire voir ces trois principes distincts & séparés les uns des autres, Beccher s'efforce de prouver leur existence par des raisonnemens, & par des expériences qui doivent encore avoir plus de poids.
1°. Il prouve l'existence d'une terre vitrescible, par la propriété que tous les métaux, à l'exception de l'or & de l'argent, ont de se calciner au feu, c'est-à-dire, de se changer en une terre ou cendre, qui, exposée à un feu convenable, se convertit en un verre. Selon ce même auteur, cette terre vitrescible se trouve dans le caillou, dans le quartz, & c'est à elle que les sels alkalis doivent la proprieté qu'ils ont de se vitrifier.
2°. Le second principe constituant des métaux est, suivant Beccher, la terre onctueuse ou inflammable ; elle corrige & tempere la siccité de la terre vitrescible, elle sert à lui donner de la raison, & par cette terre, il a voulu désigner ce que l'on appelle le principe inflammable ou le phlogistique des métaux, dont on ne peut nier l'existence.
3°. Enfin, Beccher admet un troisieme principe constituant des métaux, qu'il appelle la terre mercurielle ; c'est cette derniere qu'il regarde comme la plus essentielle aux métaux, & qui leur donne la forme metallique. En effet, les deux principes ou terres qui précedent sont communs aux pierres, aux végetaux, &c. mais, selon lui, c'est la terre mercurielle, qui étant jointe avec les deux autres, donne aux métaux la ductilité qui leur est propre & qui les met dans l'état métallique, ou la métallicité.
Telle est la théorie de Beccher, sur la nature des métaux, depuis elle a été adoptée, modifiée & expliquée par Stahl & par la plûpart des Chimistes ; il paroît néanmoins qu'il sera toujours très-difficile d'établir rien de certain sur une matiere aussi obscure que celle qui s'occupe des élemens des corps ; sur-tout si l'on considere que les parties simples & élementaires échappent toujours à nos sens, qui sont pourtant les seuls moyens que la nature fournisse pour juger des êtres physiques.
Cela posé, il n'est point surprenant que les sentimens des Naturalistes soient si variés sur la formation des métaux ; c'est encore une de ces questions que la nature semble avoir abandonnées aux spéculations & aux systèmes des Physiciens. Il y a deux sentimens géneraux sur cette formation ; les uns prétendent que les métaux se forment encore journellement dans le sein de notre globe, & que c'est par la différente élaboration & combinaison de leurs molécules élémentaires qu'ils sont produits ; on prétend de plus, que ces molécules sont susceptibles d'être mûries & perfectionnées, & que par cette maturation, des substances métalliques, qui dans leur origine étoient imparfaites, acquierent peu-à-peu & à l'aide d'une sorte de fermentation, un plus grand degré de perfection. Les Alchimistes ont enchéri sur ces idées, & ont imaginé un grand nombre d'expressions figurées, telles que celles de semence ou de sperme mercuriel & métallique, de semence saline & vitriolique, &c. termes obscurs & inintelligibles pour ceux mêmes qui les ont inventés.
Le célebre Stahl croit que les métaux ont la même origine que le monde, & que les filons qui les contiennent ont été formés dès sa création ; ce savant chimiste pense que dès les commencemens, Dieu créa les métaux & les filons métalliques tels qu'ils sont actuellement ; il se fonde sur la régularité qui se trouve dans la direction de ces filons sur leur conformation, qui ne semble nullement être un effet du hasard, & sur leur marche qui n'est jamais interrompue que par des obstacles accidentels que differentes révolutions arrivées à de certaines portions de la terre ont pû faire naître. Voyez l'article Filons. Malgré l'autorité d'un si grand homme, il y a tout lieu de croire que les métaux & leurs mines se forment encore journellement, plusieurs observations semblent constater cette vérité, & nous convainquent que ces substances éprouvent dans le sein de la terre, des décompositions qui sont suivies d'une reproduction nouvelle. Voyez l'artîcle Mines, mineræ.
Les métaux se trouvent donc dans le sein de la terre ; on les y rencontre quelquefois purs, c'est-à-dire, sous la forme métallique qui leur est propre, & alors on les nomme métaux natifs ou vierges : mais l'état dans lequel les métaux se rencontrent le plus ordinairement est celui de mines, c'est-à-dire, dans un état de combinaison, soit avec le soufre, soit avec l'arsenic, soit avec l'une & l'autre de ces substances à la fois ; alors on dit qu'ils sont minéralisés. Voyez Minéralisation. C'est dans ces deux états que les métaux sont dans les filons ou veines métalliques ; leur combinaison avec le soufre & l'arsenic leur donne des formes, des couleurs & des qualités très-differentes de celles qu'ils auroient s'ils étoient purs ; l'on est donc obligé de recourir à plusieurs travaux pour les purifier, c'est-à-dire, pour les délivrer des substances avec lesquelles ils sont combinés, pour les séparer de la roche ou de la terre à laquelle ils étoient attachés dans leurs filons, & pour les faire paroître sous la forme nécessaire pour servir aux différens usages de la vie. Ces travaux font l'objet de la métallurgie. Voyez Metallurgie.
Cependant les métaux ne se trouvent point toujours dans des filons suivis & réguliers, on les rencontre souvent ainsi que leurs mines, soit mêlés dans les couches de la terre, soit répandus à sa surface, soit en masses roulées par les eaux, soit en paillettes éparses dans le sable des rivieres & des ruisseaux. Il y a lieu de présumer que les métaux & leurs mines qui se trouvent en ces états ont été arrachés des filons, & entraînés par la violence des torrens ou par quelqu'autres grandes inondations ou révolutions arrivées à notre globle ; c'est par ces eaux que les métaux & les fragmens de leurs mines & de leurs matrices ont été portés dans des endroits souvent fort éloignés de ceux où ils avoient pris naissance. Voyez Mines. (?)
Métal, dans l'Artillerie, est la composition des différens métaux dont on forme celui du canon & des mortiers. Voyez Canon.
Métal, les Fondeurs de cloches appellent ainsi la matiere dont les cloches sont faites, qui est trois parties de cuivre rouge, & une d'étain fin. Voyez l'article Fonte des cloches.
Étymologie de « métal »
Provenç. metalh?; catal. metall?; espagn. metal?; ital. metallo?; du lat. metallum, qui vient de ????????, que les étymologistes grecs tirent de ????, après, et de ?????, autre, parce que les filons se suivent l'un l'autre dans les mines.
- Du latin metallum (« mine »), lui même issu du grec ancien ????????, métallon (« mine, tranchée »).
métal au Scrabble
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Les rimes de « métal »
On recherche une rime en AL .
Les rimes de métal peuvent aider les poètes et les paroliers à trouver des mots pour former des vers avec une structure rythmique cohérente, mais aussi pour jouer avec les mots et les sons, découvrir de nouvelles idées et perspectives ce qui peut être amusant et divertissant.
Les rimes en al
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Les citations sur « métal »
- La Guerre des Religions du XXIème siècle sera métalocale, et elle sera.Auteur : Maurice Georges Dantec - Source : American Black Box. Le Théâtre des opérations 3 (2006)
- Vous remplacerez ces insignes par le métal du Fascisme : le fer. Qui a du fer, a du pain ; mais quand le fer est bien trempé, il trouve probablement aussi l'or.Auteur : Benito Mussolini - Source : Allocution de Bologne, 25 octobre 1936
- Un rideau métallique tombe sur l'Histoire russe en grinçant, en crissant, en grondant. La représentation est terminée. Le public se lève. Il est temps d'enfiler sa pelisse et de rentrer à la maison. On se retourne. Plus de pelisses, ni de maisons.Auteur : Vassili Vassilievitch Rozanov - Source : L'Apocalypse de notre temps (1918)
- Que devant l'or tout s'abaisse et tout tremble! - Tout est soumis, tout cède à ce métal! - Un homme eût-il tous les défauts ensemble, - Fût-il tordu, vieux, difforme et brutal, - Dès qu'il est riche - Il vous déniche, - Et vous fait faire et le bien et le mal.Auteur : Alexis Piron - Source : La Rose
- N'aime l'argent que pour l'usage,
Et de son vain éclat ne sois jamais épris:
A ce trait on connaît le sage,
Qui pour le métal seul ne sent que du mépris.Auteur : Denys Caton - Source : Distiques de Caton, Livre quatrième, IV - Car le propre de la divinité c'est l'entêtement. Si l'homme savait pousser l'obstination à son point extrême, lui aussi serait déjà dieu. Voyez les savants, et les secrets divins qu'ils arrachent de l'air ou du métal, simplement parce qu'ils se butent.Auteur : Jean Giraudoux - Source : Amphitryon 38 (1929), III, 1
- Un bruit inoubliable, un bruit qui est une douleur physique. On vient de refermer la porte et, après le bruit des lourdes clefs qui tournent dans les serrures, j’entends le fer qui claque deux fois. Deux grands verrous que l’on pousse avec violence, volontairement sans doute, pour signifier l’enfermement. C’est un bruit métallique, aigu, bref, définitif et irrévocable. Le fer du verrou s’enfonce en moi. Je suis le papillon épinglé par le travers du corps. Cloué. Auteur : Bernard Tapie - Source : Librement (1998)
- Viens, mon beau chat, sur mon coeur amoureux;
Retiens les griffes de ta patte,
Et laisse-moi plonger dans tes beaux yeux,
Mêlés de métal et d'agate.Auteur : Charles Baudelaire - Source : Les Fleurs du Mal (1857), XXXIV - Le chat - L'or est le fils de Jupiter ; ni la rouille ni les vers ne rongent ce métal, qui agite si merveilleusement l'intelligence des mortels.Auteur : Sapho - Source : Odes et fragments, Sappho (trad. Yves Battistini), éd. Gallimard, coll. « Poésie », 2005
- Les matins d'hiver sont faits d'acier, ils ont un goût métallique et des bords acérés. Les mercredis de janvier, à sept heures du matin, on voit bien que le monde n'a pas été crée pour l'homme, et certainement pas pour son confort et son plaisir. Auteur : Olga Tokarczuk - Source : Sur les ossements des morts (2014)
- Dès la fin du XIe siècle, la cuirasse est déjà devenue si complexe qu'elle vaut le prix d'une bonne exploitation agricole, et les perfectionnements de l'armement sont à la source du développement constant de la métallurgie du fer.Auteur : Georges Duby - Source : Guerriers et paysans (1973)
- Vous savez mieux que moi, quels que soient nos efforts, - Que l'argent est la clef de tous les grands ressorts, - Et que ce doux métal qui frappe tant de têtes, - En amour comme en guerre avance les conquêtes.Auteur : Molière - Source : L'Ecole des femmes (1662)
- Il n'y a pas de «métalangage», de discours supérieur au nom duquel il serait possible de décider du sens de la valeur du monde où nous sommes plongés.Auteur : Luc Ferry - Source : L'Homme-Dieu ou le sens de la vie (1996)
- Le serpent se laissa doucement couler dans le sable, comme un jet d'eau qui meurt, et, sans trop se presser, se faufila entre les pierres avec un léger bruit de métal.Auteur : Antoine de Saint-Exupéry - Source : Le Petit Prince (1943)
- Le noeud qui me soudait à Caracole, en corde à rire, en fil de rien, une complicité et des regards, du bout à bout de joies en chanvre, tissées en laine de tout, ce noeud vibra alors plus dense qu'un métal, presque aussi puissant qu'un vif.Auteur : Alain Raymond, dit Alain Damasio - Source : La Horde du Contrevent (2004)
- Ce mât, solidement retenu par des haubans métalliques, tendait un étai de fer qui servait à guinder un foc de grande dimension.Auteur : Jules Verne - Source : Le Tour du monde en quatre-vingts jours (1873)
- Souvent l'estomac tenaillé par la faim, il n'osait mordre aux fruits éclatants qui pendaient des arbres; il avait peur de ces baies aux reflets métalliques, dont les bosses noueuses suaient le poison.Auteur : Emile Zola - Source : Le Ventre de Paris (1873)
- Les détecteurs de métal dans les aéroports sont à ce point sensibles, que j'évite de manger des épinards avant de prendre l'avion.Auteur : Philippe Geluck - Source : Le tour du chat en 365 jours (2006)
- L'or est d'un grand secours pour acheter un coeur: - Ce métal, en amour, est un grand séducteur.Auteur : Jean-François Regnard - Source : Le joueur
- Pendant des années je me suis réveillé jour après jour sans savoir si j'étais une bête ou un ver de terre, un métal en sommeil, et la journée entière passait en incertitude et désarroi, comme si j'avais été empêtré dans un rêve obscur, plein d'ombres sauvages, duquel seule me délivrait l'inconscience nocturne. Mais à présent que je suis un vieillard, je sais que la certitude aveugle d'être homme et seulement homme nous apparente davantage à la bête que l'incertitude constante et presque insupportable quant à notre propre condition. Auteur : Juan José Saer - Source : L'ancêtre (1983)
- C'était comme s'il n'y avait pas de noms, ici, comme s'il n'y avait pas de paroles. Le désert lavait tout dans son vent, effaçait tout. Les hommes avaient la liberté de l'espace dans leur regard, leur peau était pareille au métal.Auteur : J. M. G. Le Clézio - Source : Désert (1980)
- Musset pèche par la composition. Ses poésies sont décousues ; on les dirait faites de pièces et de morceaux. Mais quels morceaux ! C'est du cristal, de l'or, du diamant, ou plutôt c'est un métal à lui et sorti de ses entrailles, fluide, transparent, brûlant :
C'est de la lave humaine, Ardente et que le temps ne saurait refroidir.Auteur : Louise Ackermann - Source : Pensées d'une solitaire (1903) - Quand le rêve est trop violent, il désaffecte le désir comme un acide ronge doucement un métal précieux. Auteur : Dominique Blondeau - Source : Que mon désir soit ta demeure (1975)
- Le plus dangereux métal est l'acier. Il fournit la matière des glaives, des plumes à écrire et des tournures.Auteur : Paul Masson - Source : Les Pensées d'un Yoghi (1896)
- Dès l'entrée, on décelait le travail d'un architecte d'intérieur mégalomane. Escalier en colimaçon blanc nacré, parquet métallisé.Auteur : Anna Borrel - Source : Expiration (2007)
Les mots proches de « metal »
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Les synonymes de « metal»
Les synonymes de métal :- 1. fer
2. acier
3. fonte
4. nickel
5. impeccable
6. net
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Fréquence et usage du mot métal dans le temps
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