La définition de Fourbissure du dictionnaire français. Signification du mot et son éthymologie - De nombreux exemples d'usage en français ainsi que des citations.
Fourbissure
Nature : s. f.
Prononciation : four-bi-su-r'
Etymologie : Fourbir.
Notre dictionnaire de français vous présente les définitions de fourbissure de manière précise, avec des exemples pertinents pour aider à comprendre la signification du mot.
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La définition de Fourbissure
Action de fourbir.
Toutes les définitions de « fourbissure »
Wiktionnaire
Nom commun - français
fourbissure \fu?.bi.sy?\ féminin
- Action de fourbir.
- Aux murs du salon, s'étalaient en panoplies des armes variées, poignards, yatagans, Itriss-malais, d'une fourbissure impeccable; revolvers des marques les plus célèbres. ? (Jean Richepin, Contes sans morale, 1922)
Littré
- Action de fourbir.
HISTORIQUE
XVIe s. Fourbisseure
, Cotgrave ?
Encyclopédie, 1re édition
FOURBISSURE, s. f. (Art. méch.) la fourbissure en latin furvus, ou furvor, selon M. Huet, de l'anglois to furbish, fourbir ; selon Kinner, de l'allemand farb, couleur, & farben, mettre en couleur ; & selon Ignez, de furben, qui dans la langue des francs signifie nettoyer, polir, est en effet non-seulement l'art de polir & rendre luisant toute espece d'armes, telles que les lances, dagues, haches, masses, épieux, pertuisannes, hallebardes, couteaux, poignards, épées, &c. & quantité d'autres armes blanches offensives & défensives, mais encore celui de les fabriquer, vendre & débiter.
L'art de fourbir, selon plusieurs auteurs, paroît fort ancien ; quoi qu'on ne puisse déterminer exactement le tems de son origine, on pourroit vraissemblablement la faire remonter à la nécessité que les hommes avoient de se défendre d'abord contre la férocité des animaux, & ensuite contre leurs semblables ; l'intérêt & l'ambition des nations n'en ont été que trop sans doute le principal motif ; les historiens sacrés & profanes parlent beaucoup des armes des héros de l'antiquité la plus reculée, & s'accordent assez sur leur beauté & leur poli, preuve que l'on s'appliquoit beaucoup à leur perfection.
Anciennement on appelloit indifféremment fourbisseurs tous ceux qui travailloient aux armes qui ne formoient alors qu'une profession ; mais depuis l'invention des nouvelles armes, en quantité, & de différente espece, cet art prit plusieurs branches ; on le divise maintenant en quatre parties, la premiere est la fourbissure, qui consiste dans la fabrique des armes blanches offensives & défensives, comme épées, sabres, hallebardes, lances, &c. la deuxieme est l'armurerie, qui consiste dans la fabrique des armures, especes d'armes blanches défensives, comme casques, cuirasses, boucliers & autres ; la troisieme est l'arquebuserie, qui consiste dans la fabrique de toute sorte d'arquebuses espece d'armes à feu inventées depuis ces derniers siecles, tels que les fusils, pistolets, mousquets & autres ; la quatrieme enfin est l'art de faire des canons d'arquebuse, & l'autre dans la fonte des gros canons, mortiers, bombes, & autre grosse artillerie.
On divise la fourbissure en deux parties : l'une est la connoissance des différens métaux, & l'art de les travailler ; l'autre est la maniere d'en fabriquer toutes sortes d'ouvrages propres à cet art.
Des métaux. Les métaux que l'on emploie le plus communément dans la fourbissure sont l'acier, le fer, le cuivre, l'argent & l'or, l'acier quelquefois seul, & quelquefois mêlé avec le fer qu'on appelle alors étoffe, s'emploie le plus communément aux lames, les autres métaux, comme plus rares & moins propres aux lames, sont réservés pour les gardes, soit en partie, soit par incrustement, selon leur rareté, quelquefois enrichis de brillans & autres pierres précieuses.
Les lames faites pour trancher, couper, piquer ou percer, sont de deux sortes : les unes sont élastiques, & les autres non élastiques ; les unes servent ordinairement aux épées, sabres, fleurets, &c. les autres aux couteaux, lances, piques, hallebardes & autres ; leur bonté en général dépend non-seulement de la qualité du fer & de l'acier que l'on emploie pour les composer, mais encore de la maniere de les mélanger, selon les différentes especes de lames que l'on veut faire ; ce mélange est d'autant plus nécessaires pour les rendre bonnes, que premierement le fer étant mou & pliant, n'auroit pas seul assez de roideur pour donner aux unes de l'élasticité, & en même tems de la fermeté, & aux autres une fléxibilité jointe à une force capable de résister aux efforts auxquels elles sont sujettes ; deuxiemement, que l'acier étant dur & cassant, seroit seul trop roide & trop sujet à casser pour les unes & pour les autres ; c'est pourquoi ces deux métaux joints ensemble, procurent en même tems, & comme de concert, la perfection convenable aux lames.
Ce mélange se fait de deux manieres, la premiere en mêlant indifféremment l'un & l'autre ensemble, moitié par moitié ce qu'on appelle étoffe, ce qui se fait en les corroyant tous deux ensemble, à différentes reprises ; cette dose doit cependant varier selon la qualité des métaux, & la roideur que l'on veut donner aux lames, car un acier trop fier & trop roide a besoin d'un peu plus de fer pour l'amolir, lui donner du ressort, & l'empêcher de casser ; un fer mou & filandreux, a besoin d'un peu plus d'acier pour lui donner du corps ; la deuxieme se fait ainsi, on commence d'abord par forger la lame en fer, voyez la fig. 1. & lui donner à-peu-près la forme qu'elle doit avoir ; étant faite, on fend ensuite le fer sur son champ, en formant sur la longueur une entaille ou fente AA capable de contenir environ le tiers ou la moitié de la largeur d'une lame d'acier A A, fig. 2. en forme de couteau que l'on y insinue à froid, lorsque le fer est chaud, comme le représente la fig. 3. je dis à froid, parce que la masse d'acier étant plus petite que celle du fer, & recevant aussi par la nature plus promptement la chaleur, il est nécessaire que l'un soit froid & l'autre chaud, sans quoi l'acier se brûleroit, lorsque le fer ne seroit pas encore assez chaud pour souder ; il faut observer d'ailleurs en les faisant chauffer tous deux à la forge, de les y disposer de maniere qu'ils ne prennent pas plus de chaleur l'un que l'autre, surtout l'acier qui auroit alors beaucoup plus de difficulté que le fer à reprendre fermeté ; on corroie ensuite le tout ensemble d'un bout à l'autre, & de cette maniere le taillant de cette lame se trouve en acier, & le dos en fer qui lui donne tout le corps & la fermeté qu'elle exige.
Des ouvrages. Les ouvrages de fourbissure étoient déja fort en usage chez les anciens, la nécessité qu'ils ayoient de se préserver des irruptions de leurs ennemis, les rendit nécessairement industrieux dans l'art de fabriquer les armes. Josephe assure qu'avant Moïse toutes les armes étoient de bois ou d'airain, & qu'il sut le premier qui arma ses troupes de fer ; les Egyptiens, selon le sentiment unanime des anciens auteurs, furent en cet art, comme dans la plûpart des autres, les plus ingénieux, & ceux qui donnent aux armes les formes les plus avantageuses ; ensuite vinrent les Grecs qui enchérirent sur ces inventions, & après eux les Romains : l'histoire nous en fournit quantité d'exemples, leur description & leur usage ; on en peut voir plusieurs au naturel dans quelques cabinets de curiosité de différens particuliers ; nous les distinguerons pour plus de clarté en anciennes & modernes.
Des armes anciennes. Les armes anciennes se divisent premierement en masses ferrées ou non ferrées, à pointe & sans pointe ; deuxiemement en lames à un & deux tranchans, aigus & non aigus, dont les unes sont élastiques, & les autres non élastiques, les unes sont les massues & masses de différentes especes, les autres sont les haches, les piques & demi-piques, les lances, les javelots & javelines, les fleches, les dagues & poignards, les épées & bâtons, braquemarts, espadons & les cimeterres, coutelas ou sabres, & quantité d'autres, dont la connoissance n'est pas parvenue jusqu'à nous, soit par l'usage qui s'en est perdu, soit par le désavantage que l'on trouvoit à s'en servir.
Les premieres & celles qui ont semblé aux anciens les plus propres & les plus avantageuses pour attaquer ou pour se defendre, sont les massues (fig. 4.) ; en effet cette forme qui paroît la plus simple & la plus naturelle n'étoit autre chose qu'une piece de bois grosse & lourde par un bout A d'abord simple, & ensuite armée de pointe dont on se servoit dans les combats en la tenant par son extrémité B ; on en peut voir de semblables dans les allégories qui représentent la force.
Les masses étoient des armes offensives à grosse tête, dont on se servoit aussi autrefois dans les combats, il en est de deux sortes, les unes simples, & les autres composées ; les premieres, fig. 5. sont composées de grosses têtes de fer A, à angles aigus, montées sur un manche de bois B, par lequel on les tient ; les autres sont de plusieurs formes ; la premiere, fig. 6. est composée d'une espece de boule de bois ou de fer A, percée d'un trou, suspendue par une corde B, à l'extrémité du bâton C, par lequel on la tient ; la seconde, fig. 7. est aussi composée d'une boule de bois ou de fer A, armée de pointe, portant d'un côté B un anneau suspendu à une chaine de fer C, double ou simple, arrêtée à une autre anneau D, placé à l'extrémité supérieure d'un bâton E garnis par en bas d'une poignée F, par où on la tient.
Les haches d'armes ont été fort long-tems en usage chez les anciens. Les premiers rois des Romains en faisoient porter devant eux à l'exemple de quelques nations voisines, comme le symbole de leur puissance & les instrumens des peines imposées aux coupables ; elles étoient composées par un bout (fig. 8 & 9.) d'un fer large & tranchant en hache d'un côté AA, d'une pointe B ou marteau C ; par l'autre, d'une autre pointe D ou bouton E au milieu monté sur un manche de bois F, quelquefois simple & quelquefois garni d'une poignée G.
Les bâtons ferrés (fig. 10.) étoient d'ordinaire les armes des anciens cavaliers, & n'étoient autre chose que des bâtons A garnis par chaque bout BB d'une pointe de fer.
Les piques (fig. 11. Pl. II.) étoient des armes offensives que portoient les anciens fantassins : c'étoit des armes d'hast (c'est ainsi qu'on appelloit les armes qui avoient un long manche de bois, espece de bâton A d'environ douze à quinze piés de long, armé par le haut d'une lame de fer B à deux tranchans & pointue), quelquefois simples & quelquefois garnis d'un gland brodé en or, en argent ou en soie, comme celui marqué B de la fig. 12, & par le bas C simples ou garnis d'une virole en pointe.
Les demi-piques (fig. 12.) ne différoient des précédentes que par leur longueur, qui étoit d'environ huit à dix piés. Les officiers s'en servent encore maintenant à la guerre, ainsi que pour porter les étendards & les drapeaux.
Les lances (fig. 13.) étoient fort en usage autrefois, sur-tout dans les combats singuliers ; ces armes étoient de même longueur que les demi-piques, mais le fer A tranchant de chaque côté en étoit en forme de dard.
Les javelines (fig. 14.) étoient des especes de demi-piques dont on se servoit autrefois tant a pié qu'à cheval, composées par en-haut d'un fer triangulaire & pointu, monté sur un long manche ou bâton B d'environ cinq à six piés de longueur, quelquefois ferré par l'autre bout C.
Les javelots (fig. 15.) étoient des especes de javelines beaucoup plus courtes & un peu plus grosses, qu'on lançoit à la main sur les ennemis, composées, comme les précédentes, d'un fer triangulaire & pointu A monte sur un manche de bois ou bâton B.
Les fleches étoient de deux sortes : les unes (fig. 16.) que l'on appelloit quarres ou quarreaux, parce que leur fer en étoit quarré, étoient composées d'un fer A quarré & très-pointu, monté à l'extrémité supérieure d'une verge ou baguette B, à l'autre extrémité de laquelle étoient des pennons ou plumes croisées C ; les autres (fig. 17.) que l'on appelloit viretou, parce qu'elles viroient ou tournoient en l'air après les avoir décochées, étoient composées d'un fer A quarré & cannelé à angle aigu, monté comme les précédentes, sur une verge ou baguette B, dont l'autre extrémité portoit des pennons C, souvent de cuivre, aussi croisés, dont la disposition faisoit tourner la fleche. Les unes & les autres étoient lancées par le secours d'un arc (fig. 18.) : c'étoit en effet une espece d'arc de bois très-élastique, composé d'une poignée A, par laquelle on le tenoit de la main gauche, à chacune des extrémités BB, duquel étoit arrêtée celle d'une corde C que l'on tiroit de la main droite pour bander l'arc lorsque l'on vouloit décocher des fleches.
Les dagues (fig. 19.) étoient des especes de poignards gros & courts, dont on se servoit autrefois dans les combats singuliers. Les anciens portoient cette arme à la main, à la ceinture & dans la poche ; elles étoient composées d'un fer A gros & court, triangulaire & cannelé, monté sur un manche de bois ou d'yvoire B garni quelquefois d'or ou d'argent, & quelquefois aussi de pierres précieuses.
Les poignards que les anciens employoient comme les dagues, étoient de différente sorte ; les uns (fig. 20.) étoient composés d'un fer A méplat & pointu à un tranchant, monté sur un manche de bois ou d'ivoire B diversement orné comme ceux des dagues ; les autres (fig. 21.) étoient composés d'un fer A à deux tranchans ronds, quarrés, triangulaires, & cannelés, menus & déliés, montés, comme les autres, sur un manche de bois ou d'ivoire B enrichi d'ornemens.
Les épées en bâton ou épées fourrées (fig. 22.) étoient des especes d'épées très-fortes & pesantes, dont on se servoit à deux mains comme des espadons ; elles étoient composées d'une grosse & forte lame A à deux tranchans & pointue, montée sur un long & fort manche de bois B.
Les braquemarts (fig. 23.) étoient aussi des especes d'épées grosses & courtes, dont on se servoit souvent d'une main, composées d'une grosse & forte lame A à deux tranchans, montée sur un manche de bois ou d'ivoire B simple ou enrichi.
Les espadons (fig. 24 & 25.) étoient de grandes & longues épées, dont on se servoit à deux mains & en tout sens, ce qu'on appelloit espadonner : Plusieurs auteurs rapportent qu'il y en avoit de si fortes, qu'elles fendoient un homme en deux. Telle fut celle de l'empereur Conrad au siege de Damas ; telle aussi celle de Godefroy de Bouillon, mentionnée dans l'histoire des croisades ; elles étoient composées d'un fer A d'environ cinq à six piés de longueur, à deux tranchans larges & pointus, garnies d'une poignée de bois ou d'y voire B séparée d'une garde C, pour préserver le poignet ou la main des coups des adversaires.
Les cimeterres (fig. 26.) sont des especes de sabres lourds & pesans, dont se servent encore maintenant les Turcs & presque tous les peuples d'Orient, composés d'un fer A fort & large, tranchant d'un seul côté, & recourbé par une de ses extrémités, garni par l'autre d'une poignée de bois ou d'ivoire B simple ou ornée, séparée par une tête de serpent C faisant garde.
Les coutelas ou sabres (fig. 27.) sont des especes de cimeterres gros & lourds, dont on se sert aussi chez les Orientaux, d'un fer A large & épais, tranchant d'un côté & courbé par l'une de ses extrémités, garni par l'autre d'une poignée de bois ou d'ivoire B séparé par une coquille C ; ces deux dernieres especes d'armes sont quelquefois enrichies d'or, d'argent & de pierres précieuses en entier ou par incrustement.
Des armes modernes. Les armes modernes sont de deux sortes : les unes élastiques, & les autres non élastiques : celles-ci sont les pertuisanes & hallebardes, les épieux, espontons & les bayonnettes ; les autres sont les sabres, les couteaux-de-chasse & les épées.
Les pertuisanes (fig. 28. Pl. III.) dont l'usage est déja fort ancien, sont des armes d'hast dont se servent encore les gardes qui approchent le plus de la personne du roi : ce sont des especes de hallebardes composées d'un fer A très-large, long, pointu & tranchant des deux côtés, élargi vers son extrémité inférieure B en forme de hache à pointe de chaque côté, montée sur un hast ou bâton C d'environ six piés de long, orné par en-haut de cloux, rubans & glands D en soie, or ou argent, & garni par en-bas E d'une douille de cuivre ou de fer à pointe ou à bouton.
Les hallebardes (fig. 29.) faites à-peu-près comme les pertuisanes, sont aussi des armes d'hast plus foibles & plus petites que les précédentes, que portent les Suisses, sergens & autres ; elles sont composées d'un fer A pointu & tranchant de chaque côté, élargi vers son extrémité inférieure en forme de hache B d'un côté & à pointe ou dard de l'autre C garnie d'une forte douëlle D montée sur un fust ou bâton E orné ou non de cloux, rubans & autres choses semblables en soie, or ou argent, & garni par en-bas F d'une douëlle à pointe ou à bouton.
Les épieux (fig. 30.) sont des armes d'hast, principalement
d'usage pour la chasse du sanglier, mais
dont on ne se sert presque plus ; maintenant ces armes
sont composées d'un fer large, pointu & à tranchant
A garni d'une douille B montée sur une hampe
ou bâton C d'environ quatre à cinq piés de long,
ferré par l'autre bout D.
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Fourbissure au Scrabble
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Informations sur le mot fourbissure - 11 lettres, 5 voyelles, 6 consonnes, 8 lettres uniques.
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Mise à jour le mercredi 24 septembre 2025 à 13h55

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