Définition de « m »


Notre dictionnaire de français vous présente les définitions du mot m de manière claire et concise, avec des exemples pertinents pour aider à comprendre le sens du mot.

Il comprend des informations supplémentaires telles que des exemples d'expressions, l'étymologie, les synonymes, les homonymes, les antonymes mais également les rimes et anagrammes et bien sûr des citations littéraires sur m pour aider à enrichir la compréhension du mot M et répondre à la question quelle est la définition de m ?

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Une définition simple : (lettre|m|M|?m) m (m) (inv) (anciennement (f))

  • Treizième lettre et dixième consonne de l’alphabet (minuscule). - Il n’y a qu’un m dans « je t’aime ».

  • (vx) Une m. (jusque vers 1935). - Quand m est précédée de a, e, i ou y, o, u, elle forme souvent avec cette lettre une voyelle nasale et, par suite, ne se prononce pas, comme dans champ, chambre, temple, sembler, faim, timbre, thym, bombe, dompter, ombre, parfum. - Elle ne se prononce pas non plus dans damné, automne. - Elle se prononce, au contraire, dans certains mots d’origine latine ou étrangère, comme album, ultimatum, pensum, Abraham, Jérusalem, Éphraïm, Stockholm. - Quand l’m est redoublée, après a, e, i ou y, o, u, tantôt la seconde m seule se prononce, comme dans gramme, femme, homme, somme, tantôt les deux m se prononcent, comme dans grammaire, immédiatement, immense, comminatoire. - Lorsque cette lettre est redoublée dans les mots composés de la préposition en-, la première m se prononce comme n ; ainsi on prononce emmener, emmailloter, etc., comme si on écrivait enmener, enmailloter. - Elle se prononce également dans certains mots où cette lettre est suivie de l’n comme amnistie, somnifère, memnon. (-réf-)


    Définitions de « m »


    Trésor de la Langue Française informatisé


    M, m, subst. masc.

    La treizième lettre de l'alphabet; un spécimen de cette lettre:
    1. Je connais quelqu'un qui voudrait vous parler, un soir, à dix heures, sous le peuplier d'Italie, près de la haie d'épines (...). C'est un très beau jeune homme dont le nom commence par un M... Duhamel, Suzanne, 1941, p. 228.
    ? [m, désigné en tant que tel, renvoie cependant à un nom, un mot dont il est l'initiale, en l'occurr., respectivement, Marguerite, monarchie] :
    2. ... la fille d'un bonnetier des environs vint faire emplette de deux couplets pour la fête d'une Marguerite; le moderne Pellegrin les tira d'un carton marqué de la lettre M [it. ds le texte]. Jouy, Hermite, t. 4, 1813, p. 79.
    3. Le ciel s'est ouvert devant lui: il a contemplé les âmes des justes (...) formant, de leurs splendeurs groupées ensemble, ces mots écrits en lettres de feu, comme la loi fondamentale des cités politiques: diligite justitiam, qui judicatis terram. Puis, la lettre M reste seule et couronnée d'une auréole flamboyante, initiale et symbole de la monarchie. Ozanam, Philos. Dante, 1838, p. 183.
    ? [Le rapport de m avec des mots dont il est l'initiale est conçu comme un rapport d'engendrement graph. et phon.] Sa lèvre est l'M où renaît le mois de mai dès la première moue (Aragon, Crève-coeur, 1941, p. 31).
    ? [L'attention porte alternativement sur le signe graph. et sur sa valeur phon.] :
    4. Un orientaliste de votre érudition, Monsieur, aurait (...) pu deviner que les deux M [it. ds le texte] de Salammbô sont mis exprès pour faire prononcer Salam et non Salan... Flaub., Corresp., 1863, p. 78.
    Rem. Nous disons [-l bo], malgré la précaution destinée à faire prononcer [-lambo], avec un m consonne.
    ? [L'attention porte plus partic. sur la valeur expressive de la majuscule] Nous devions, plus tard, habiter la Maison (grand M) toute l'année (H. Bazin, Vipère, 1948, p. 16).
    ? [P. anal. avec le graphisme du caractère] Je traversai un large jardin ras. Dans les parterres bordés de buis, de courtes plantes grasses dessinaient des coeurs ou des M (Vercel, Cap. Conan, 1934, p. 189).
    ? [m épelé en tant qu'abrév., élément de sigle, etc.]
    ? M abrév. de meridiem dans a. m., ante meridiem; p. m., post meridiem. Partis à 14 h. 55, les bagages expédiés directement à Rome. Arrivés à Gênes un peu avant 6 h. p. m. [heures post meridiem] (Larbaud, Journal, 1932, p. 259).
    ? M. R. P., emme-erre-pé ou, par substitution des termes en cause, Mouvement républicain populaire. Né trop tard pour s'engager dans les zouaves pontificaux, mort trop tôt pour connaître les saints triomphes du M. R. P. (H. Bazin, Vipère, 1948, p. 18).
    ? M. L. F., emme-elle-effe, Mouvement de libération des femmes. Le misogyne a soin de nous parler d'associations féminines secrètes (cf. le M.L.A.C. [Mouvement pour la liberté de l'avortement et de la contraception], le M.L.F.), de franc-maçonneries redoutables (B. Groult,Ainsi soit-elle,Paris, Le Livre de poche, 1975, p. 202).
    ? [Sans épellation; avec, oralement, substitution du mot abrégé: monsieur] M. le curé est un saint homme bien sûr (Mirbeau,Journal femme ch., 1900, p. 63).
    ? MÉTROL. ,,m est le symbole du mètre; m2, du mètre carré; m3du mètre cube. M est le symbole du préfixe milli. M est le symbole du maxwell; il est aussi le symbole de méga`` (Lar. encyclop.). Les hautes altitudes sont l'équivalent des déserts. À 5000 m, la pression de la colonne d'air a déjà diminué de moitié (Vidal de La Bl.,Princ. géogr. hum.,1921, p. 23).
    ? [Attribution arbitraire de la lettre comme nom d'un objet, M, ou comme expr. d'une quantité (indéterminée), m] Soit m jours ou heures, pendant 3 m sur 4 je ne vaux pas un sou. Reste m sur 4. Ce quart d'm se répartit ainsi: ... (Valéry, Corresp.[avec Gide], 1894, p. 224).Soit M le point de l'espace occupé à l'instant (...) par ce corps (H. Poincaré, Valeur sc., 1905, p. 105).
    ? [Attribution motivée de m] Une trajectoire (...) dessinée par un mobile m dans l'espace (Bergson, Essai donn. imm., 1889, p. 149).
    Rem. Sous l'épellation traditionnelle, et sous les transcr. orth. emme, ème, m est fém.: Ac., Fér. 1768, Fér. Crit. t. 2 1787, Besch. 1845 (qui imprime par erreur emm pour emme), Lar. 19e. Sous les transcr. èm', èm aussi, généralement: Littré, Guérin 1892, DG, Nouv. Lar. ill. Sous la transcr. API, il est masc. et fém. ds Davau-Cohen 1972, masc. ds Lar. Lang. fr., Lexis 1975. Sous l'appellation me, ds Ac. 1762-1878, etc., il est partout masculin.
    Prononc. et Orth.: [ m]. Transcr. orth. sous les formes emme (Ac. dep. 1694, Besch. 1845), ème (Fér. 1768, Fér. Crit. t. 2 1787, Lar. 19e). Ds Fér. 1768 mise en garde rel. à la transcr. emme: ,,prononcez ème (...), et non pas enme``. À rapprocher du procédé mis en oeuvre, sans succès, par Flaubert supra ex. 4. Les formes èm' (Littré, Guérin 1892, DG, Nouv. Lar. ill., Rob.) ou emm' (Quillet 1965), et èm (Lar. 20e), appartiennent au processus d'élaboration d'une écriture phonique. On dit selon les cas l'm (supra Aragon et Valéry) ou le m (,,lorsque le m est redoublé``, Besch. 1845 s.v. m). Sous la forme me (Ac. 1762-1878, Besch. 1845, Littré, Lar. 19e-20e, DG, Rob., Quillet 1965) il s'agit à l'[ ] près de la désignation par la valeur phonique. Fréq. abs. littér.: 5548. Fréq. rel. littér.: xixes.: a) 11621, b) 8891; xxes.: a) 6961, b) 4726.


    M, m, subst. masc.

    La treizième lettre de l'alphabet; un spécimen de cette lettre:
    1. Je connais quelqu'un qui voudrait vous parler, un soir, à dix heures, sous le peuplier d'Italie, près de la haie d'épines (...). C'est un très beau jeune homme dont le nom commence par un M... Duhamel, Suzanne, 1941, p. 228.
    ? [m, désigné en tant que tel, renvoie cependant à un nom, un mot dont il est l'initiale, en l'occurr., respectivement, Marguerite, monarchie] :
    2. ... la fille d'un bonnetier des environs vint faire emplette de deux couplets pour la fête d'une Marguerite; le moderne Pellegrin les tira d'un carton marqué de la lettre M [it. ds le texte]. Jouy, Hermite, t. 4, 1813, p. 79.
    3. Le ciel s'est ouvert devant lui: il a contemplé les âmes des justes (...) formant, de leurs splendeurs groupées ensemble, ces mots écrits en lettres de feu, comme la loi fondamentale des cités politiques: diligite justitiam, qui judicatis terram. Puis, la lettre M reste seule et couronnée d'une auréole flamboyante, initiale et symbole de la monarchie. Ozanam, Philos. Dante, 1838, p. 183.
    ? [Le rapport de m avec des mots dont il est l'initiale est conçu comme un rapport d'engendrement graph. et phon.] Sa lèvre est l'M où renaît le mois de mai dès la première moue (Aragon, Crève-coeur, 1941, p. 31).
    ? [L'attention porte alternativement sur le signe graph. et sur sa valeur phon.] :
    4. Un orientaliste de votre érudition, Monsieur, aurait (...) pu deviner que les deux M [it. ds le texte] de Salammbô sont mis exprès pour faire prononcer Salam et non Salan... Flaub., Corresp., 1863, p. 78.
    Rem. Nous disons [-l bo], malgré la précaution destinée à faire prononcer [-lambo], avec un m consonne.
    ? [L'attention porte plus partic. sur la valeur expressive de la majuscule] Nous devions, plus tard, habiter la Maison (grand M) toute l'année (H. Bazin, Vipère, 1948, p. 16).
    ? [P. anal. avec le graphisme du caractère] Je traversai un large jardin ras. Dans les parterres bordés de buis, de courtes plantes grasses dessinaient des coeurs ou des M (Vercel, Cap. Conan, 1934, p. 189).
    ? [m épelé en tant qu'abrév., élément de sigle, etc.]
    ? M abrév. de meridiem dans a. m., ante meridiem; p. m., post meridiem. Partis à 14 h. 55, les bagages expédiés directement à Rome. Arrivés à Gênes un peu avant 6 h. p. m. [heures post meridiem] (Larbaud, Journal, 1932, p. 259).
    ? M. R. P., emme-erre-pé ou, par substitution des termes en cause, Mouvement républicain populaire. Né trop tard pour s'engager dans les zouaves pontificaux, mort trop tôt pour connaître les saints triomphes du M. R. P. (H. Bazin, Vipère, 1948, p. 18).
    ? M. L. F., emme-elle-effe, Mouvement de libération des femmes. Le misogyne a soin de nous parler d'associations féminines secrètes (cf. le M.L.A.C. [Mouvement pour la liberté de l'avortement et de la contraception], le M.L.F.), de franc-maçonneries redoutables (B. Groult,Ainsi soit-elle,Paris, Le Livre de poche, 1975, p. 202).
    ? [Sans épellation; avec, oralement, substitution du mot abrégé: monsieur] M. le curé est un saint homme bien sûr (Mirbeau,Journal femme ch., 1900, p. 63).
    ? MÉTROL. ,,m est le symbole du mètre; m2, du mètre carré; m3du mètre cube. M est le symbole du préfixe milli. M est le symbole du maxwell; il est aussi le symbole de méga`` (Lar. encyclop.). Les hautes altitudes sont l'équivalent des déserts. À 5000 m, la pression de la colonne d'air a déjà diminué de moitié (Vidal de La Bl.,Princ. géogr. hum.,1921, p. 23).
    ? [Attribution arbitraire de la lettre comme nom d'un objet, M, ou comme expr. d'une quantité (indéterminée), m] Soit m jours ou heures, pendant 3 m sur 4 je ne vaux pas un sou. Reste m sur 4. Ce quart d'm se répartit ainsi: ... (Valéry, Corresp.[avec Gide], 1894, p. 224).Soit M le point de l'espace occupé à l'instant (...) par ce corps (H. Poincaré, Valeur sc., 1905, p. 105).
    ? [Attribution motivée de m] Une trajectoire (...) dessinée par un mobile m dans l'espace (Bergson, Essai donn. imm., 1889, p. 149).
    Rem. Sous l'épellation traditionnelle, et sous les transcr. orth. emme, ème, m est fém.: Ac., Fér. 1768, Fér. Crit. t. 2 1787, Besch. 1845 (qui imprime par erreur emm pour emme), Lar. 19e. Sous les transcr. èm', èm aussi, généralement: Littré, Guérin 1892, DG, Nouv. Lar. ill. Sous la transcr. API, il est masc. et fém. ds Davau-Cohen 1972, masc. ds Lar. Lang. fr., Lexis 1975. Sous l'appellation me, ds Ac. 1762-1878, etc., il est partout masculin.
    Prononc. et Orth.: [ m]. Transcr. orth. sous les formes emme (Ac. dep. 1694, Besch. 1845), ème (Fér. 1768, Fér. Crit. t. 2 1787, Lar. 19e). Ds Fér. 1768 mise en garde rel. à la transcr. emme: ,,prononcez ème (...), et non pas enme``. À rapprocher du procédé mis en oeuvre, sans succès, par Flaubert supra ex. 4. Les formes èm' (Littré, Guérin 1892, DG, Nouv. Lar. ill., Rob.) ou emm' (Quillet 1965), et èm (Lar. 20e), appartiennent au processus d'élaboration d'une écriture phonique. On dit selon les cas l'm (supra Aragon et Valéry) ou le m (,,lorsque le m est redoublé``, Besch. 1845 s.v. m). Sous la forme me (Ac. 1762-1878, Besch. 1845, Littré, Lar. 19e-20e, DG, Rob., Quillet 1965) il s'agit à l'[ ] près de la désignation par la valeur phonique. Fréq. abs. littér.: 5548. Fréq. rel. littér.: xixes.: a) 11621, b) 8891; xxes.: a) 6961, b) 4726.


    Dictionnaire de l'Académie française, huitième édition

    M. (On prononce EMME.) n. f.
    Une M. La treizième lettre de l'alphabet. Elle représente une des consonnes. Quand M est précédée de A, E I ou Y, O, U, elle forme souvent avec cette lettre une voyelle nasale, et, par suite, ne se prononce pas, comme dans Champ, Chambre, Temple, Sembler, Faim, Timbre, Thym, Bombe, Dompter, Ombre, Parfum. Elle ne se prononce pas non plus dans Damné, Automne. Elle se prononce, au contraire, dans certains mots d'origine latine ou étrangère, comme Album, Ultimatum, Pensum, Abraham, Jérusalem, Éphraïm, Stockholm. Quand l'M est redoublée, après A, E I ou Y, O, U, tantôt la seconde m seule se prononce, comme dans Gramme, Femme, Homme, Somme, tantôt les deux M se prononcent, comme dans Grammaire, Immédiatement, Immense, Comminatoire. Lorsque cette lettre est redoublée dans les mots composés de la préposition En, la première m se prononce comme n. Ainsi on prononce Emmener, Emmailloter, etc., comme si on écrivait Enmener, Enmailloter. Elle se prononce également dans certains mots où cette lettre est suivie de l'n comme Amnistie, Somnifère, Memnon.

    Littré

    M (è-m') s. f.
    • 1La treizième lettre de notre alphabet. Une M majuscule. Pour le B, la lèvre supérieure prend son appui au-dessous de l'inférieure?; et pour l'M les deux lèvres, d'un mouvement égal, ne font que s'unir et se détacher, Marmontel, Élém. litt. ?uv. t. VIII, p. 504, dans POUGENS. Ici l'M à son tour sur ses trois pieds se dresse, De Piis, Harmon. imit. I.
    • 2Suivant l'épellation nouvelle, M se nomme me et est masculin?: un me majuscule.
    • 3M, devant un nom propre, signifie monsieur?; MM signifie messieurs?; Mme signifie madame?; et Mlle signifie mademoiselle.
    • 4Dans les chiffres romains, M est le signe numérique de 1000. CM veut dire 900.

      Surmontée d'une ligne horizontale, cette lettre vaut mille fois 1000, ou un million.

    • 5M est la marque des anciennes monnaies françaises qui ont été frappées à Toulouse. M M. celles des monnaies fabriquées à Marseille.
    • 6Les médecins, dans leurs ordonnances, se servent de la lettre M pour signifier une mesure qui se nomme manipule?; et pour le mot latin misce, qui signifie mêlez, ou mixtio, mélange (f. m. s. a.?: fiat mixtio secundum artem).

    HISTORIQUE

    XIIIe s. La bone loi nous vint par m, Qui des lettres est dame et geme?; M a trois piés en sa figure, Senefiance de l'ABC, dans JUBINAL, t. II, p. 280.

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    Encyclopédie, 1re édition


    M, Subs. fém. (Gram.) c'est la treizieme lettre & la dixieme consonne de notre alphabet : nous la nommons emme ; les Grecs la nommoient mu, ??, & les Hébreux men. La facilité de l'épellation demande qu'on la prononce me avec un e muet ; & ce nom alors n'est plus féminin, mais masculin.

    L'articulation représentée par la lettre M est labiale & nasale : labiale, parce qu'elle exige l'approximation des deux levres, de la même maniere que pour l'articulation B ; nasale, parce que l'effort des levres ainsi rapprochées, fait refluer par le nez une partie de l'air sonore que l'articulation modifie, comme on le remarque dans les personnes fort enrhumées qui prononcent b pour m, parce que le canal du nez est embarrassé, & que l'articulation alors est totalement orale.

    Comme labiale, elle est commuable avec toutes les autres labiales b, p, v, f ; c'est ainsi que scabellum vient de scamnum, selon le témoignage de Quintilien ; que fors vient de ?????, que pulvinar vient de pluma : cette lettre attire aussi les deux labiales b & p, qui sont comme elle produites par la réunion des deux lettres ; ainsi voit-on le b attiré par m dans tombeau dérivé de tumulus, dans flambeau formé de flamme, dans ambigo composé de am & ago ; & p est introduit de même dans promptus formé de promotus, dans sumpsi & sumptum qui viennent de sumo.

    Comme nasale, la lettre ou articulation M se change aussi avec N : c'est ainsi que signum vient de ?????, nappe de mappa, & natte de matta, en changeant m en n ; au contraire amphora vient de ???????, amplus de ????????, abstemius d'abstineo, sommeil de somnus, en changeant n en m.

    M obscurum in extremitate, dit Priscien (lib. I. de accid. litt.) ut templum : apertum in principio, ut magnus : mediocre in mediis, ut umbra. Il nous est difficile de bien distinguer aujourd'hui ces trois prononciations différentes de m, marquées par Priscien : mais nous ne pouvons guere douter qu'outre sa valeur naturelle, telle que nous la démêlons dans manie, m?urs, &c. elle n'ait encore servi, à peu-près comme parmi nous, à indiquer la nasalité de la voyelle finale d'un mot ; & c'est peut-être dans cet état que Priscien dit, M obscurum in extremitate, parce qu'en effet on n'y entendoit pas plus distinctement l'articulation m, que nous ne l'entendons dans nos mots françois nom, faim. Ce qui confirme ce raisonnement, c'est que dans les vers toute voyelle finale, accompagnée de la lettre m, étoit sujette à l'élision, si le mot suivant commençoit par une voyelle :

    Divisum imperium cum Jove Cæsar habet :

    dans ce tems-là même, si l'on en croit Quintilien, Inst. IX. 4. ce n'est pas que la lettre m fût muette, mais c'est qu'elle avoit un son obscur : adeo ut penè cujusdam novæ litteræ sonum reddat ; neque enim eximitur, sed obscuratur. C'est bien là le langage de Priscien.

    « On ne sauroit nier, dit M. Harduin, Rem. div. sur la prononc. p. 40. que le son nasal n'ait été connu des anciens. Nicod assûre, d'après Nigidius Figulus, auteur contemporain & ami de Cicéron, que les Grecs employoient des sons de ce genre devant les consonnes y, x ». Mais Cicéron lui-même & Quintilien nous donnent assez à entendre que m à la fin étoit le signe de la nasalité. Voici comme parle le premier, Orat. XXII. p. 156. Quid ? illud non det unde sit, quod dicitur cum illis, cum autem nobis non dicitur, sed nobiscum ? Quia si ita diceretur, obscænius concurrerent litteræ, ut etiam modò, nisi autem inter posuissem, concurrissent. Quintilien, Instit. VIII. 3. s'exprime ainsi dans les mêmes vûes, & d'après le même principe : Vitanda est junctura deformiter sonans, ut si cum hominibus notis loqui nos dicimus, nisi hoc ipsum hominibus medium sit, in ????????? videmur incidere : quia ultima prioris syllabæ littera (c'est la lettre m de cum) quæ exprimi nisi labris coëuntibus non potest, aut ut intersistere nos indecentissimè cogit, aut continuata cùm N insequente in naturam ejus corrumpitur. Cette derniere observation est remarquable. si on la compare avec une autre remarque de M. Harduin : ibid. « Le même Nigidius, dit-il, donne à entendre que chez les Latins n rendoit aussi la voyelle nasale dans anguis, increpat, & autres mots semblables : in his, dit-il, non verum n, sed adulterinum ponitur ; nam si ea littera esset, lingua palatum tangeret ». Si donc on avoit mis de suite cum nobis ou cum notis, il auroit fallu s'arrêter entre deux, ce qui étoit, selon la remarque de Quintilien, de très-mauvaise grace ; ou, en prononçant les deux mots de suite, vu que le premier étoit nasal, on auroit entendu la même chose que dans le mot obscène, cunno, où la premiere étoit apparemment nasale conformément à ce que nous venons d'apprendre de Nigidius.

    Qu'il me soit permis, à cette occasion, de justifier notre ortographe usuelle, qui représente les voyelles nasales par la voyelle ordinaire suivie de l'une des consonnes m ou n. J'ai prouvé, article H, qu'il est de l'essence de toute articulation de précéder le son qu'elle modifie ; c'est donc la même chose de toute consonne à l'égard de la voyelle. Donc une consonne à la fin d'un mot doit ou y être muette, ou y être suivie d'une voyelle prononcée, quoique non écrite : & c'est ainsi que nous prononçons le latin même dominos, crepat, nequit, comme s'il y avoit dominose, crepate, nequite avec l'e muet françois ; au contraire, nous prononçons il bat, il promet, il fit, il crut, sabot, &c. comme s'il y avoit il ba, il promè, il fi, il cru, sabo sans t. Il a donc pu être aussi raisonnable de placer m ou n à la fin d'une syllabe, pour y être des signes muets par rapport au mouvement explosif qu'ils représentent naturellement, mais sans cesser d'indiquer l'émission nasale de l'air qui est essentielle à ces articulations. Je dis plus : il étoit plus naturel de marquer la nasalité par un de ces caracteres à qui elle est essentielle, que d'introduire des voyelles nasales diversement caractérisées : le méchanisme de la parole m'en paroît mieux analysé ; & l'on vient de voir, en effet, que les anciens Grecs & Latins ont adopté ce moyen suggéré en quelque sorte par la nature.

    Quoi qu'il en soit, la lettre m à la fin du mot est en françois un simple signe de la nasalité de la voyelle précedente ; comme dans nom, pronom, faim, thim, &c. il faut excepter l'interjection hem, & les noms propres étrangers, où l'm finale conserve sa véritable prononciation ; comme Sem, Cham, Jérusalem, Krim, Stokolm, Salm, Surinam, Amsterdam, Rotterdam, Postdam, &c. Il y en a cependant quelques-uns où cette lettre n'est qu'un signe de nasalité, comme Adam, Absalom : & c'est de l'usage qu'il faut apprendre ces différences, puisque c'est l'usage seul qui les établit sans égard pour aucune analogie.

    M au milieu des mots, mais à la fin d'une syllabe, est encore un signe de nasalité, quand cette lettre est suivie de l'une des trois lettres m, b, p ; comme dans emmener, combler, comparer. On en excepte quelques mots qui commencent par imm, comme immodeste, immodestie, immodestement, immaculée conception, immédiat, immédiatement, immatriculé, immatriculation, immense, immensité, immodéré, immunité, &c. on y fait sentir la réduplication de l'articulation m.

    On prononce aussi l'articulation m dans les mots où elle est suivie de n, comme indemniser, indemnité, amnistie, Agamemnon, Memnon, Mnémosine, &c. excepté damner, solemnel, & leurs dérivés où la lettre m est un signe de nasalité.

    Elle l'est encore dans comte venu de comitis, dans compte venu de computum, dans prompt venu de promptus, & dans leurs dérivés.

    M. l'abbé Regnier, Gramm. franç. in-12. p. 37. propose un doute sur quatre mots, contemptible, qui n'est, dit-il, plus guere en usage, exemption, rédemption & rédempteur, dans lesquels il semble que le son entier de m se fasse entendre. A quoi il répond : « Peut-être aussi que ce n'est qu'une illusion que fait à l'oreille le son voisin du p rendu plus dur par le t suivant. Quoi qu'il en soit, la différence n'est pas assez distinctement marquée pour donner lieu de décider là-dessus ». Il me semble qu'aujourd'hui l'usage est très-décidé sur ces mots : on prononce avec le son nasal exemt, exemption, exemtes sans p ; & plusieurs même l'écrivent ainsi, & entre autres le rédacteur qui a rendu portatif le dictionnaire de Richelet ; le son nasal est suivi distinctement du p dans la prononciation & dans l'orthographe des mots contempteur, contemptible, rédemption, rédempteur.

    M en chiffres romains signifient mille ; une ligne horisontale au-dessus lui donne une valeur mille fois plus grande, M vaut mille fois mille ou un million.

    M, dans les ordonnances des Médecins, veut dire misce, mêlez, ou manipulus, une poignée ; les circonstances décident entre ces deux sens.

    M, sur nos monnoies, indique celles qui sont frappées à Toulouse.

    M, (Ecriture.) dans sa forme italienne, ce sont trois droites & trois courbes ; la premiere est un I, sans courbe ; la seconde est un I parfait, en le regardant du côté de sa courbe ; la troisieme est la premiere, la huitieme, la troisieme, la quatrieme & la cinquieme partie de l'O. L'm coulée est faite de trois i liés ensemble. Il en est de même de l'm ronde.

    Ces trois m se forment du mouvement composé des doigts & du poignet. Voyez les Planches d'Ecriture.

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    Étymologie de « m »

    Lat. m (dit em suivant Priscien)?; grec ???; du phénicien mim.

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    M, m, subst. masc.

    m au Scrabble


    Le mot m vaut 2 points au Scrabble.

    m

    Informations sur le mot m - 1 lettres, 0 voyelles, 1 consonnes, 1 lettres uniques.

    Quel nombre de points fait le mot m au Scrabble ?


    Le calcul de points ne prend pas en compte lettre compte double, lettre compte triple, mot compte double et mot compte triple. Ces cases augmentent les valeurs des mots posés selon un coefficient indiqué par les règles du jeu de Scrabble.

    SCRABBLE © est une marque déposée. Tous les droits de propriété intellectuelle du jeu sont détenus aux Etats-Unis et au Canada par Hasbro Inc. et dans le reste du monde par J.W. Spear & Sons Limited de Maidenhead, Berkshire, Angleterre, une filiale de Mattel Inc. Mattel et Spear ne sont pas affiliés à Hasbro.

    m

    Les rimes de « m »


    On recherche une rime en EM .

    Les rimes de m peuvent aider les poètes et les paroliers à trouver des mots pour former des vers avec une structure rythmique cohérente, mais aussi pour jouer avec les mots et les sons, découvrir de nouvelles idées et perspectives ce qui peut être amusant et divertissant.

    Les rimes en Em

    Rimes de Tiegem      Rimes de systèmes      Rimes de Wijnegem      Rimes de Bellegem      Rimes de centièmes      Rimes de dix-septième      Rimes de septième      Rimes de mi-carême      Rimes de nous-mêmes      Rimes de tréponèmes      Rimes de re-baptême      Rimes de Zomergem      Rimes de Herdersem      Rimes de soixante-dixième      Rimes de eux-mêmes      Rimes de blêmes      Rimes de Faimes      Rimes de barème      Rimes de suprêmes      Rimes de oedème      Rimes de neuvième      Rimes de cinquante-sixième      Rimes de antépénultième      Rimes de quatorzième      Rimes de Loppem      Rimes de quatre-vingtième      Rimes de vingt-cinquième      Rimes de Ettelgem      Rimes de septièmes      Rimes de dix-huitième      Rimes de nicodème      Rimes de Dalhem      Rimes de huitième      Rimes de deuxième      Rimes de quinzième      Rimes de harem      Rimes de Baardegem      Rimes de érythème      Rimes de problème      Rimes de écrème      Rimes de dilemme      Rimes de aime      Rimes de Brussegem      Rimes de carême      Rimes de trente-huitième      Rimes de Hemiksem      Rimes de Idegem      Rimes de Kobbegem      Rimes de Ichtegem      Rimes de poème     

    Mots du jour

    Tiegem     systèmes     Wijnegem     Bellegem     centièmes     dix-septième     septième     mi-carême     nous-mêmes     tréponèmes     re-baptême     Zomergem     Herdersem     soixante-dixième     eux-mêmes     blêmes     Faimes     barème     suprêmes     oedème     neuvième     cinquante-sixième     antépénultième     quatorzième     Loppem     quatre-vingtième     vingt-cinquième     Ettelgem     septièmes     dix-huitième     nicodème     Dalhem     huitième     deuxième     quinzième     harem     Baardegem     érythème     problème     écrème     dilemme     aime     Brussegem     carême     trente-huitième     Hemiksem     Idegem     Kobbegem     Ichtegem     poème     


    Les citations sur « m »

    1. L'instinct essentiel est l'instinct de la permanence.

      Auteur : Antoine de Saint-Exupéry - Source : Citadelle (1948), CXCI


    2. Maintenant que j'ai décidé de tourner la page, avec la faiblesse de croire que mon 13 heures n'est pas un JT comme les autres, je veux raconter la passion que j'ai mise dans ce métier qui me l'a rendu au centuple, toutes les aventures vécues ensemble, sans omettre ni d'où je viens, ni les galères, ni ceux qui m'ont permis de garder les pieds sur terre. Une façon de vous faire partager mon bonheur d'avoir passé 33 ans avec vous.

      Auteur : Jean-Pierre Pernaut - Source : 33 ans avec vous (2021)


    3. La vie est une tautologie que nous combattons à coups de paradoxes et de paroxysmes.

      Auteur : Roland Jaccard - Source : Topologie du pessimisme (1997)


    4. Mieux vaut restreindre son estat,
      Qu'en povreté cheoir tout plat.


      Auteur : Proverbes français - Source : Proverbe


    5. Demain il fera jour.

      Auteur : Proverbes français - Source : Proverbe


    6. On fait croire aux jeunes (et à d'autres) qu'il existe des pêches et des pommes, des stars aux seins proéminents et des clairs de lune gratuits, de loxygène à volonté et de l'espace sans passeport, mais ce n'est pas vrai.

      Auteur : Raymond Queneau - Source : Bâtons, chiffres et lettres (1950), Rendez-vous de Juillet


    7. Des plus hautes étoiles descend une splendeur qui attire tous les désirs; elle s'appelle amour. Il n'existe rien qui rende un noble coeur amoureux, le brûle et le conseille, si ce n'est un beau visage leur ressemblant par les yeux.

      Auteur : Michel-Ange - Source : Poésies (1503-1560), Madrigal VIII


    8. Nous n'avons plus l'âge des folies, n'est-ce pas, Monsieur Bouvard? - Eh! Eh! moi, je ne dis pas ça.

      Auteur : Gustave Flaubert - Source : Bouvard et Pécuchet (1881)


    9. Dîner mangé, amis envolés.

      Auteur : Proverbes espagnols - Source : Proverbe


    10. Quatre beaux vers valent mieux dans une pièce qu'un régiment de cavalerie.

      Auteur : Voltaire - Source : Sémiramis (1748)


    11. Celui qui commande bien, a nécessairement obéi quelque temps, et celui qui a la sagesse de l'obéissance paraît digne de commander un jour.

      Auteur : Cicéron - Source : Des lois, III


    12. Je suis pessimiste sur l'avenir de la lecture. Je ne peux pas parler pour d'autres pays que le mien, mais aux États-Unis, la lecture sérieuse, concentrée, intelligente, est une activité qui ne cesse de reculer. Face à l'écran et à son pouvoir hypnotique, la lecture de romans est un art désormais mourant. La forme romanesque, comme vecteur d'informations sur le monde et l'expérience humaine, et comme plaisir, est devenue obsolète.

      Auteur : Philip Roth - Source : « Entretien », Philip Roth (propos recueillis par Nathalie Crom), Télérama, nº 3017, semaine du 10 au 16 novembre 2007, p. 22


    13. Fuyez les vieilles barbes et les cerveaux fumeux et adorez la vie, si vous voulez m'en croire, en dépit des méchants, des jaloux, et des sots qui sont plus redoutables encore que la vermine.

      Auteur : Sacha Guitry - Source : Théâtre, je t'adore


    14. De toutes les écoles que j'ai fréquentées, c'est l'école buissonnière qui m'a paru la meilleure et dont j'ai le mieux profité.

      Auteur : Anatole France - Source : Le Petit Pierre (1918)


    15. L'autorité qu'on méprise est bientôt bravée.

      Auteur : Louis Philippe, comte de Ségur - Source : Pensées et Maximes, CCC


    16. Aimons toujours d'une amitié discrète;
      Ne soyons point à charge à nos amis.


      Auteur : Jean-François Haumont - Source : Le Marchand de mulets


    17. Après tout, il y a un avantage à piller les écrits d'autrui: on n'est jamais forcé d'exiger de son travail plus qu'il ne vaut.

      Auteur : Edgar Allan Poe - Source : Sans référence


    18. Je suis de la nature des femmes, quand l'on me dit quelque chose en termes obscurs, je veux savoir incontinent ce que c'est.

      Auteur : Louis XI - Source : Dans Lettres de Louis XI.


    19. J'entendais en m'endormant le bruit du vent dans les arbres et ce ronflement de la mer dont l'enfance de Dominique avait été bercée.

      Auteur : Eugène Fromentin - Source : Dominique (1862)


    20. C'est l'immatriculée conception.

      Auteur : Mots d'enfants - Source : L'école des fans sur Antenne 2.


    21. Seuls les imbéciles sont heureux.

      Auteur : Anonyme - Source : Écrit anonyme


    22. Il ne fume plus, ne boit plus, ne baise plus. Il lui reste la santé mais il ne sait plus quoi en faire.

      Auteur : Simon Berryer, dit Sim - Source : Sans référence


    23. Ici, c'est comme partout, il y a beaucoup de têtes creuses qui ont vite fait de se remplir de n'importe quoi, si possible du pire. C'est ce que tout le monde préfère, le pire. On s'ennuie tellement.

      Auteur : Frédérique Audouin-Rouzeau, dite Fred Vargas - Source : L'Armée furieuse (2011)


    24. Péponas fils - car le père chargé d'ans et d'honneurs avait trépassé - fut décoré, pensionné, béatifié, statufié et embaumé.

      Auteur : Raymond Queneau - Source : Le Chiendent (1933)


    25. On ne hait pas celui qu'on méprise. On hait l'homme dont les qualités balancent celles qu'on croit avoir, et dont les prétentions sont en opposition avec celles qu'on a.

      Auteur : Guillaume Charles Antoine Pigault de l'Espinoy, dit Pigault-Lebrun - Source : L'Homme à projets (1807)


    Les citations sur m renforcent la crédibilité et la pertinence de la définition du mot m en fournissant des exemples concrets et en montrant l'utilisation d'un terme par des personnes célèbres. Elles peuvent également renforçer la compréhension du sens d'un terme et en ajoutant une dimension historique.

    Les mots proches de « m »

    MMabMacabreMacadamisationMacaire ou robert macaireMacaraqueauMacariteMacaronéeMacaroniMacaroniqueMacédoineMacérationMacérerMac-ferlaneMâché, éeMâchecoulis ou mâchicoulisMâcheferMâcheferMâche-laurierMâchelier, ièreMâchementMâcherMachiavéliqueMachiavéliquementMachiavéliserMachiavélismeMachiavélisteMachicotMachicotageMachicoterMachinMachinal, aleMachinalementMachinateur, triceMachinationMachineMachiné, éeMachinerMachineurMachinismeMachinisteMachinuleMâchoireMâchonnerMachurerMâchurerMacisMacleMacleMacle

    Les mots débutant par m  Les mots débutant par m

    mmmm'as-tu-vuM?rnachM?urs-VerdeyM?uvresmamama-jongMaarke-KerkemMaarkedalMaaseikMaasmechelenMaast-et-ViolaineMaâtzMablyMabomprémaboulmaboulmaboulemaboulemaboulesmaboulesmaboulsmaboulsmacmacabremacabresmacachemacadammacadamiaMacaomacaquemacaquemacaquesmacaquesmacarelmacarellemacareuxmacaronmacaronimacaroniquemacaronismacaronsmacassarMacauMacayemaccarthysmemacchab

    Les synonymes de « m»

    Aucun synonyme.

    Fréquence et usage du mot m dans le temps


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    Classement par ordre alphabétique des définitions des mots français.


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