Définition de « m »
Notre dictionnaire de français vous présente les définitions du mot m de manière claire et concise, avec des exemples pertinents pour aider à comprendre le sens du mot.
Il comprend des informations supplémentaires telles que des exemples d'expressions, l'étymologie, les synonymes, les homonymes, les antonymes mais également les rimes et anagrammes et bien sûr des citations littéraires sur m pour aider à enrichir la compréhension du mot M et répondre à la question quelle est la définition de m ?
Une définition simple : (lettre|m|M|?m) m (m) (inv) (anciennement (f))
Définitions de « m »
Trésor de la Langue Française informatisé
M, m, subst. masc.
La treizième lettre de l'alphabet; un spécimen de cette lettre:M, m, subst. masc.
La treizième lettre de l'alphabet; un spécimen de cette lettre:Dictionnaire de l'Académie française, huitième édition
Une M. La treizième lettre de l'alphabet. Elle représente une des consonnes. Quand M est précédée de A, E I ou Y, O, U, elle forme souvent avec cette lettre une voyelle nasale, et, par suite, ne se prononce pas, comme dans Champ, Chambre, Temple, Sembler, Faim, Timbre, Thym, Bombe, Dompter, Ombre, Parfum. Elle ne se prononce pas non plus dans Damné, Automne. Elle se prononce, au contraire, dans certains mots d'origine latine ou étrangère, comme Album, Ultimatum, Pensum, Abraham, Jérusalem, Éphraïm, Stockholm. Quand l'M est redoublée, après A, E I ou Y, O, U, tantôt la seconde m seule se prononce, comme dans Gramme, Femme, Homme, Somme, tantôt les deux M se prononcent, comme dans Grammaire, Immédiatement, Immense, Comminatoire. Lorsque cette lettre est redoublée dans les mots composés de la préposition En, la première m se prononce comme n. Ainsi on prononce Emmener, Emmailloter, etc., comme si on écrivait Enmener, Enmailloter. Elle se prononce également dans certains mots où cette lettre est suivie de l'n comme Amnistie, Somnifère, Memnon.
Littré
-
1La treizième lettre de notre alphabet. Une M majuscule.
Pour le B, la lèvre supérieure prend son appui au-dessous de l'inférieure?; et pour l'M les deux lèvres, d'un mouvement égal, ne font que s'unir et se détacher
, Marmontel, Élém. litt. ?uv. t. VIII, p. 504, dans POUGENS.Ici l'M à son tour sur ses trois pieds se dresse
, De Piis, Harmon. imit. I. - 2Suivant l'épellation nouvelle, M se nomme me et est masculin?: un me majuscule.
- 3M, devant un nom propre, signifie monsieur?; MM signifie messieurs?; Mme signifie madame?; et Mlle signifie mademoiselle.
-
4Dans les chiffres romains, M est le signe numérique de 1000. CM veut dire 900.
Surmontée d'une ligne horizontale, cette lettre vaut mille fois 1000, ou un million.
- 5M est la marque des anciennes monnaies françaises qui ont été frappées à Toulouse. M M. celles des monnaies fabriquées à Marseille.
- 6Les médecins, dans leurs ordonnances, se servent de la lettre M pour signifier une mesure qui se nomme manipule?; et pour le mot latin misce, qui signifie mêlez, ou mixtio, mélange (f. m. s. a.?: fiat mixtio secundum artem).
HISTORIQUE
XIIIe s. La bone loi nous vint par m, Qui des lettres est dame et geme?; M a trois piés en sa figure
, Senefiance de l'ABC, dans JUBINAL, t. II, p. 280.
Encyclopédie, 1re édition
, Subs. fém. (Gram.) c'est la treizieme lettre
& la dixieme consonne de notre alphabet : nous la nommons emme ; les Grecs
la nommoient mu, ??, & les Hébreux men. La facilité
de l'épellation demande qu'on la prononce me
avec un e muet ; & ce nom alors n'est plus féminin,
mais masculin.
L'articulation représentée par la lettre M est labiale & nasale : labiale, parce qu'elle exige l'approximation des deux levres, de la même maniere que pour l'articulation B ; nasale, parce que l'effort des levres ainsi rapprochées, fait refluer par le nez une partie de l'air sonore que l'articulation modifie, comme on le remarque dans les personnes fort enrhumées qui prononcent b pour m, parce que le canal du nez est embarrassé, & que l'articulation alors est totalement orale.
Comme labiale, elle est commuable avec toutes les autres labiales b, p, v, f ; c'est ainsi que scabellum vient de scamnum, selon le témoignage de Quintilien ; que fors vient de ?????, que pulvinar vient de pluma : cette lettre attire aussi les deux labiales b & p, qui sont comme elle produites par la réunion des deux lettres ; ainsi voit-on le b attiré par m dans tombeau dérivé de tumulus, dans flambeau formé de flamme, dans ambigo composé de am & ago ; & p est introduit de même dans promptus formé de promotus, dans sumpsi & sumptum qui viennent de sumo.
Comme nasale, la lettre ou articulation M se change aussi avec N : c'est ainsi que signum vient de ?????, nappe de mappa, & natte de matta, en changeant m en n ; au contraire amphora vient de ???????, amplus de ????????, abstemius d'abstineo, sommeil de somnus, en changeant n en m.
M obscurum in extremitate, dit Priscien (lib. I. de accid. litt.) ut templum : apertum in principio, ut magnus : mediocre in mediis, ut umbra. Il nous est difficile de bien distinguer aujourd'hui ces trois prononciations différentes de m, marquées par Priscien : mais nous ne pouvons guere douter qu'outre sa valeur naturelle, telle que nous la démêlons dans manie, m?urs, &c. elle n'ait encore servi, à peu-près comme parmi nous, à indiquer la nasalité de la voyelle finale d'un mot ; & c'est peut-être dans cet état que Priscien dit, M obscurum in extremitate, parce qu'en effet on n'y entendoit pas plus distinctement l'articulation m, que nous ne l'entendons dans nos mots françois nom, faim. Ce qui confirme ce raisonnement, c'est que dans les vers toute voyelle finale, accompagnée de la lettre m, étoit sujette à l'élision, si le mot suivant commençoit par une voyelle :
Divisum imperium cum Jove Cæsar habet :
dans ce tems-là même, si l'on en croit Quintilien, Inst. IX. 4. ce n'est pas que la lettre m fût muette, mais c'est qu'elle avoit un son obscur : adeo ut penè cujusdam novæ litteræ sonum reddat ; neque enim eximitur, sed obscuratur. C'est bien là le langage de Priscien.
« On ne sauroit nier, dit M. Harduin, Rem. div. sur la prononc. p. 40. que le son nasal n'ait été connu des anciens. Nicod assûre, d'après Nigidius Figulus, auteur contemporain & ami de Cicéron, que les Grecs employoient des sons de ce genre devant les consonnes y, x ». Mais Cicéron lui-même & Quintilien nous donnent assez à entendre que m à la fin étoit le signe de la nasalité. Voici comme parle le premier, Orat. XXII. p. 156. Quid ? illud non det unde sit, quod dicitur cum illis, cum autem nobis non dicitur, sed nobiscum ? Quia si ita diceretur, obscænius concurrerent litteræ, ut etiam modò, nisi autem inter posuissem, concurrissent. Quintilien, Instit. VIII. 3. s'exprime ainsi dans les mêmes vûes, & d'après le même principe : Vitanda est junctura deformiter sonans, ut si cum hominibus notis loqui nos dicimus, nisi hoc ipsum hominibus medium sit, in ????????? videmur incidere : quia ultima prioris syllabæ littera (c'est la lettre m de cum) quæ exprimi nisi labris coëuntibus non potest, aut ut intersistere nos indecentissimè cogit, aut continuata cùm N insequente in naturam ejus corrumpitur. Cette derniere observation est remarquable. si on la compare avec une autre remarque de M. Harduin : ibid. « Le même Nigidius, dit-il, donne à entendre que chez les Latins n rendoit aussi la voyelle nasale dans anguis, increpat, & autres mots semblables : in his, dit-il, non verum n, sed adulterinum ponitur ; nam si ea littera esset, lingua palatum tangeret ». Si donc on avoit mis de suite cum nobis ou cum notis, il auroit fallu s'arrêter entre deux, ce qui étoit, selon la remarque de Quintilien, de très-mauvaise grace ; ou, en prononçant les deux mots de suite, vu que le premier étoit nasal, on auroit entendu la même chose que dans le mot obscène, cunno, où la premiere étoit apparemment nasale conformément à ce que nous venons d'apprendre de Nigidius.
Qu'il me soit permis, à cette occasion, de justifier notre ortographe usuelle, qui représente les voyelles nasales par la voyelle ordinaire suivie de l'une des consonnes m ou n. J'ai prouvé, article H, qu'il est de l'essence de toute articulation de précéder le son qu'elle modifie ; c'est donc la même chose de toute consonne à l'égard de la voyelle. Donc une consonne à la fin d'un mot doit ou y être muette, ou y être suivie d'une voyelle prononcée, quoique non écrite : & c'est ainsi que nous prononçons le latin même dominos, crepat, nequit, comme s'il y avoit dominose, crepate, nequite avec l'e muet françois ; au contraire, nous prononçons il bat, il promet, il fit, il crut, sabot, &c. comme s'il y avoit il ba, il promè, il fi, il cru, sabo sans t. Il a donc pu être aussi raisonnable de placer m ou n à la fin d'une syllabe, pour y être des signes muets par rapport au mouvement explosif qu'ils représentent naturellement, mais sans cesser d'indiquer l'émission nasale de l'air qui est essentielle à ces articulations. Je dis plus : il étoit plus naturel de marquer la nasalité par un de ces caracteres à qui elle est essentielle, que d'introduire des voyelles nasales diversement caractérisées : le méchanisme de la parole m'en paroît mieux analysé ; & l'on vient de voir, en effet, que les anciens Grecs & Latins ont adopté ce moyen suggéré en quelque sorte par la nature.
Quoi qu'il en soit, la lettre m à la fin du mot est en françois un simple signe de la nasalité de la voyelle précedente ; comme dans nom, pronom, faim, thim, &c. il faut excepter l'interjection hem, & les noms propres étrangers, où l'm finale conserve sa véritable prononciation ; comme Sem, Cham, Jérusalem, Krim, Stokolm, Salm, Surinam, Amsterdam, Rotterdam, Postdam, &c. Il y en a cependant quelques-uns où cette lettre n'est qu'un signe de nasalité, comme Adam, Absalom : & c'est de l'usage qu'il faut apprendre ces différences, puisque c'est l'usage seul qui les établit sans égard pour aucune analogie.
M au milieu des mots, mais à la fin d'une syllabe, est encore un signe de nasalité, quand cette lettre est suivie de l'une des trois lettres m, b, p ; comme dans emmener, combler, comparer. On en excepte quelques mots qui commencent par imm, comme immodeste, immodestie, immodestement, immaculée conception, immédiat, immédiatement, immatriculé, immatriculation, immense, immensité, immodéré, immunité, &c. on y fait sentir la réduplication de l'articulation m.
On prononce aussi l'articulation m dans les mots où elle est suivie de n, comme indemniser, indemnité, amnistie, Agamemnon, Memnon, Mnémosine, &c. excepté damner, solemnel, & leurs dérivés où la lettre m est un signe de nasalité.
Elle l'est encore dans comte venu de comitis, dans compte venu de computum, dans prompt venu de promptus, & dans leurs dérivés.
M. l'abbé Regnier, Gramm. franç. in-12. p. 37. propose un doute sur quatre mots, contemptible, qui n'est, dit-il, plus guere en usage, exemption, rédemption & rédempteur, dans lesquels il semble que le son entier de m se fasse entendre. A quoi il répond : « Peut-être aussi que ce n'est qu'une illusion que fait à l'oreille le son voisin du p rendu plus dur par le t suivant. Quoi qu'il en soit, la différence n'est pas assez distinctement marquée pour donner lieu de décider là-dessus ». Il me semble qu'aujourd'hui l'usage est très-décidé sur ces mots : on prononce avec le son nasal exemt, exemption, exemtes sans p ; & plusieurs même l'écrivent ainsi, & entre autres le rédacteur qui a rendu portatif le dictionnaire de Richelet ; le son nasal est suivi distinctement du p dans la prononciation & dans l'orthographe des mots contempteur, contemptible, rédemption, rédempteur.
M en chiffres romains signifient mille ; une ligne horisontale au-dessus lui donne une valeur mille fois plus grande, M vaut mille fois mille ou un million.
M, dans les ordonnances des Médecins, veut dire misce, mêlez, ou manipulus, une poignée ; les circonstances décident entre ces deux sens.
M, sur nos monnoies, indique celles qui sont frappées à Toulouse.
M, (Ecriture.) dans sa forme italienne, ce sont trois droites & trois courbes ; la premiere est un I, sans courbe ; la seconde est un I parfait, en le regardant du côté de sa courbe ; la troisieme est la premiere, la huitieme, la troisieme, la quatrieme & la cinquieme partie de l'O. L'm coulée est faite de trois i liés ensemble. Il en est de même de l'm ronde.
Ces trois m se forment du mouvement composé des doigts & du poignet. Voyez les Planches d'Ecriture.
Étymologie de « m »
Lat. m (dit em suivant Priscien)?; grec ???; du phénicien mim.
m au Scrabble
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Les rimes de « m »
On recherche une rime en EM .
Les rimes de m peuvent aider les poètes et les paroliers à trouver des mots pour former des vers avec une structure rythmique cohérente, mais aussi pour jouer avec les mots et les sons, découvrir de nouvelles idées et perspectives ce qui peut être amusant et divertissant.
Les rimes en Em
Rimes de Nossegem Rimes de Relegem Rimes de extrême Rimes de schème Rimes de Zomergem Rimes de Wijnegem Rimes de Kortessem Rimes de Beerlegem Rimes de achélèmes Rimes de tu autem Rimes de schlem Rimes de blasphèmes Rimes de Roksem Rimes de soi-même Rimes de Nerem Rimes de post mortem Rimes de phonèmes Rimes de quarante-septième Rimes de trentième Rimes de pénultième Rimes de érythème Rimes de Auderghem Rimes de quatre-vingt-douzième Rimes de chrysanthème Rimes de Eernegem Rimes de Zonnegem Rimes de Waregem Rimes de Stokkem Rimes de dixième Rimes de Wulveringem Rimes de quatre-vingt-treizième Rimes de item Rimes de millionième Rimes de Faimes Rimes de Ottergem Rimes de antépénultièmes Rimes de vingtième Rimes de Leupegem Rimes de sèmes Rimes de centième Rimes de emphysème Rimes de Bellem Rimes de Bavegem Rimes de troisièmes Rimes de Idegem Rimes de Anzegem Rimes de Gottem Rimes de Opheylissem Rimes de vingt-septième Rimes de centièmesMots du jour
Nossegem Relegem extrême schème Zomergem Wijnegem Kortessem Beerlegem achélèmes tu autem schlem blasphèmes Roksem soi-même Nerem post mortem phonèmes quarante-septième trentième pénultième érythème Auderghem quatre-vingt-douzième chrysanthème Eernegem Zonnegem Waregem Stokkem dixième Wulveringem quatre-vingt-treizième item millionième Faimes Ottergem antépénultièmes vingtième Leupegem sèmes centième emphysème Bellem Bavegem troisièmes Idegem Anzegem Gottem Opheylissem vingt-septième centièmes
Les citations sur « m »
- Seuls les imbéciles sont heureux.Auteur : Anonyme - Source : Écrit anonyme
- Ne regarde pas la figure, jeune fille regarde le coeur. Le coeur d'un beau jeune homme est souvent difforme. Il y a des coeurs où l'amour ne se conserve pas.Auteur : Victor Hugo - Source : Notre-Dame de Paris (1831)
- Nul ne sait nager avant d'avoir traversé, seul, un fleuve large et impétueux ou un détroit, un bras de mer agités. Il n'y a que du sol dans une piscine, territoire pour piétons en foule.Auteur : Michel Serres - Source : Le Tiers-instruit (1991)
- Je ne voyais pas encore quelle carrière pouvait s'ouvrir pour moi. Mon père et ma mère ne m'aidaient guère dans le choix difficile d'un état.Auteur : Anatole France - Source : La vie en fleur (1922)
- Une loi juste capable de suivre les moeurs est le contraire d'une loi.Auteur : André Frossard - Source : Sans référence
- Chez les hommes durs, l'intimité est affaire de pudeur - et c'est quelque chose de précieux.Auteur : Friedrich Wilhelm Nietzsche - Source : Par-delà le bien et le mal (1886)
- La guerre civile est moins détestable que la guerre avec l'étranger. On sait du moins pourquoi l'on s'y bat.Auteur : Anatole France - Source : Dernières pages inédites
- Je crois à la justice, mais je défendrai ma mère avant la justice. [ Albert Camus ]Auteur : José Lenzini - Source : Albert Camus, entre justice et mère (2013)
- L'idée même de Dieu est incluse dans l'idée de vie. Croire en la vie, c'est croire en Dieu. Quiconque vit croit en Dieu dans la mesure même où il vit, dans la mesure où la vie qu'il vit ne le contente pas.Auteur : André Billy - Source : Le Narthex (1949)
- Sur la route passent les hommes, passe aussi le bétail, passent aussi les vivants, passent aussi les morts. Auteur : Ismaïl Kadaré - Source : Avril brisé (1978)
- Il est hélas vrai que la souffrance vous rend plus profond, donne plus de lustre à vos couleurs, une résonance plus riche à vos mots. Si elle ne vous a pas détruit avant, si elle ne réduit pas à néant l'optimisme et le courage, l'imagination et le respect des choses simples et pourtant indispensables. Auteur : Anne Rice - Source : Les Chroniques des Vampires (1990)
- Il m'a donné son coeur en échange du mien.Auteur : Paul Scarron - Source : Don Japhet d'Arménie (1653)
- On ne reconnait que ce que l'on connait déjà intérieurement, sans le savoir peut-être. Connaître, c'est «naitre avec».Auteur : Abla Farhoud - Source : Le Sourire de la Petite Juive (2011)
- Un être qu'on aime, on ne fait pas de tri dedans, c'est à prendre ou à laisser.Auteur : Serge Doubrovsky - Source : Le Livre brisé (1989)
- Malheur à ceux, m'écriai-je, qui se servent du pouvoir qu'ils ont sur un coeur pour lui ravir les jouissances pures qui y germent d'elles- mêmes !Auteur : Johann Wolfgang Goethe - Source : Les Souffrances du jeune Werther (1774)
- Je remercie l'inventeur des consonnes. Grâce à lui, on peut s'exprimer sans passer pour des débiles mentaux.Auteur : Patrick Sébastien - Source : Carnet de notes (2001)
- L'indifférence, l'indifférence
L'indifférence
C'est tout ce qu'il reste à présent
De cet amour tendre et violent
En alternance
L'indifférence, l'indifférence
L'indifférence, l'indifférenceAuteur : Charles Aznavour - Source : L'indifférence - Pour éblouir le peuple, Hamilcar, dès le lendemain de la victoire, avait envoyé à Carthage les deux mille captifs faits sur le champ de bataille.Auteur : Gustave Flaubert - Source : Salammbô (1862)
- Il y a, dans toute oeuvre immense, des chapitres qui détonnent.Auteur : André Maurois - Source : Etudes littéraires
- Aimer, c'est se placer au coeur des choses.Auteur : Paul Morand - Source : Rococo (1933)
- Le bon vin rend l'âme si bonne.Auteur : Pierre Jean de Béranger - Source : Sans référence
- La femme est un roseau dépensant.Auteur : Jules Renard - Source : Journal, 16 décembre 1904
- Les Ukrainiens sont des personnes fantastiques, incroyables, et très souvent nous aimons dire que nous sommes prêts et nous pouvons vaincre qui que ce soit. Et je suis ravi que, certes, vous en parliez, mais que vous puissiez le constater également et, en effet, nous allons vaincre. Je suis sûr, je suis convaincu que cette expression, le choix européen de l'Ukraine, la route européenne de l'Ukraine, c'est le chemin sur lequel nous nous engageons aujourd'hui. Et j'aimerais aujourd'hui entendre cela de votre part. J'aimerais entendre ce message de votre bouche. J'aimerais vous entendre dire que ce choix ukrainien, le choix que nous avons fait, le choix de l'Europe, est également le vôtre.Auteur : Volodymyr Zelensky - Source : Le président ukrainien s’exprime, à distance, face au Parlement européen à Bruxelles, le 1 mars 2022
- Libérer la voix, ce n'est pas travailler avec l'appareil vocal en fixant son attention sur lui, mais il faut au contraire travailler comme si le corps chantait, le corps parlait.Auteur : Jerzy Grotowski - Source : Sans référence
- Un chef se juge à la qualité de son état-major.Auteur : Louis Hubert Gonzalve Lyautey - Source : Paroles d'action
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Les synonymes de « m»
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