La définition de Tombé, ée du dictionnaire français. Signification du mot et son éthymologie - De nombreux exemples d'usage en français ainsi que des citations.

Tombé, ée
Nature : part. passé de tombe
Prononciation : ton-bé, bée
Etymologie : Berry, tumbe ; provenç. tomba ; espagn. tumba ; ital. tomba ; du latin, tumba, qui vient, avec changement de genre, du grec, tombeau.

Voir les citations du mot Tombé, éeSignification du mot Tombé, ée


Notre dictionnaire de français vous présente les définitions de tombé, ée de manière précise, avec des exemples pertinents pour aider à comprendre la signification du mot.

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La définition de Tombé, ée

Qui a été entraîné de haut en bas. Un fruit tombé.


Toutes les définitions de « tombé, ée »


Dictionnaire de l'Académie française, huitième édition

TOMBE. n. f.
Fosse recouverte d'une table de pierre, de marbre, de cuivre, etc., qui renferme un ou plusieurs morts. Il se dit, en général, de Tout lieu où un mort est enseveli. Fig., Avoir un pied dans la tombe, Être très âgé, très malade, être sur le point de mourir. Fig., Descendre dans la tombe, Mourir.

TOMBE se dit figurément, surtout dans le langage soutenu, de la Mort. Chaque instant de la vie est un pas vers la tombe. Fig., Suivre quelqu'un dans la tombe, Mourir peu de temps après lui.

Littré

TOMBE (ton-b') s. f.
  • 1Grande table de marbre, de pierre, de cuivre, etc. dont on couvre la fosse qui contient un mort. Mes cheveux gris me font déjà frémir?; Dessous la tombe il faut toujours dormir?; Elle est un lit où jamais on ne veille, Mainard, dans RICHELET. Que des plus nobles fleurs leur tombe soit couverte, Corneille, Hor. III, 6. Avant qu'un peu de terre, obtenu par prière, Pour jamais sous la tombe eût enfermé Molière, Boileau, Ép. VII. Le comte de Tessin? après avoir été comblé d'honneurs pendant le cours d'une longue vie et avoir paru le plus heureux des hommes, a ordonné qu'on mît sur sa tombe?: Tandem felix, Duclos, ?uv. t. x, p. 247.
  • 2 Par extension, tombeau. Ma flamme par Hector fut jadis allumée?; Avec lui dans la tombe elle s'est renfermée, Racine, Andr. III, 4. Je meurs, et sur ma tombe où lentement j'arrive, Nul ne viendra verser des pleurs, Gilbert, Ode imitée de plusieurs psaumes. Sa mère, peu de temps, hélas?! Vint tous les soirs dans la vallée Visiter la tombe isolée, Et son amante ne vint pas, Millevoye, Chute des feuilles. Moi bien portant, quoi?! vous pensez d'avance à m'ériger une tombe à grands frais, Béranger, Mon tomb. Quel est sur moi le froid qui tombe?? C'est le froid du soir de mes jours?; Promettez un rêve à ma tombe?; Muses, restez?; restez, amours, Béranger, Sciences.
  • 3 Fig. et poétiquement. La mort. Ta gloire est en danger, ta tombe est entr'ouverte, Voltaire, Fanat. IV, 1. Nous [chrétiens] demandons des sourires au berceau et des pleurs à la tombe, Chateaubriand, Génie, I, I, 1.

    La tombe, pour le more même. Qu'un vaste empire tombe, Qu'est-ce, au loin, pour ma tombe, Qu'un vain bruit qui se perd?? Ducis, Stances.


HISTORIQUE

XIIIe s. Et li fu faite tombe biele et riche, tele qu'il afferoit à roi, Chr. le Rains, 82. Dame, fait-il, car me menés à sa tombe [de ma mie], se le savés, Fl. et Bl. 705. Et ordonnons et prions'et commandons estroitement à nos executeurs, que eus ne mettent pas plus de cinquante livres tournois en toutes choses à fere tombe sur nostre cors, ne plus de trente livres tournois à faire tombe sur nostre cuer, De Laborde, Émaux, p. 517. De saint Robiert enquist la vie, Si en a la tombe ravie?; L'oissemente qu'il i trova, Plus d'avoir n'en porter rouva, Du Cange, tumba.

XIVe s. Si celuy eprouvé est tel qu'il doive estre orfevre? il le sera?; mais il n'ouvrera ne fera ouvrer jamais d'autre metal que de bon or et de bon argent, si ce n'est en joyaux d'eglise, comme tombes, chasses, croix, Du Cange, tumba. À Thibaut de la Nasse, marguillier de Saint Innocent, pour dix tumbes dont l'on a faict marches en la grand viz [escalier] neuve dudit Louvre, achetée de li chaque tumbe, prise au cimetiere dudit Saint-Innocent, De Laborde, Émaux, p. 534.

XVe s. Y a forsbours moult grans [à Paris] comme se ce feust une ville à part, si y demeuroient ouvriers de divers mestiers, especiaulement bouchiers, tainturiers, ouvriers de tombes et de lames et autres, De Laborde, ib. p. 517.

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Wiktionnaire


Nom commun - ancien français

tombe \Prononciation ?\ féminin

  1. Tombe.

Nom commun - français

tombe \t??b\ féminin

  1. Fosse mortuaire ; sépulture qui renferme un ou plusieurs morts.
    • Les Chinois ne creusent pas les tombes. Ils déposent le cercueil sur le sol, et le recouvrent ou d'un tertre ou d'une maçonnerie. La Chine entière est bossuée de ces tombes, et bien des petits héritages ne laissent plus qu'une place insignifiante à la culture, appelée à disparaître à bref délai sous d'autres cercueils si un changement de dynastie ne survient. (Émile Bard, Les Chinois chez eux, Paris : A. Colin et Cie, 1899)
    • Il n'y a rien sur la tombe de Bonnot. Pourtant une autre tombe, celle d'un enfant, touche la sienne et le père n'en est point indigné. (Francis Carco, Maman Petitdoigt, La Revue de Paris, 1920)
    • Trois croix voisinaient avec celle qui marquait la tombe d'un matelot autrichien. (Jean-Baptiste Charcot, Dans la mer du Groenland, 1928)
    • Une autre fois, nouvel exercice de reptation pour me trouver finalement en face d'une tombe militaire dont la croix blanche faisait tache à travers les ténèbres. (Jacques Mortane, Missions spéciales, 1933, pages 175-176)
  2. Pierre tombale ; monument, recouvrant un tombeau.
    • Mais de tous ces lieux, la tombe du soldat inconnu est sans doute le plus évocateur, à la fois sépulture d'un seul et de tous les autres, monument symbolique et terriblement concret [?] (Bruno Cabanes, Anne Duménil, Larousse de la Grande Guerre, 2007)
    • Une dernière inscription se voit gravée sur une tombe enrichie de quelques sculptures d'un travail estimable. (Annuaire historique du département de l'Yonne, volume 19, page 490, 1855)
  3. (Figuré) La mort.
    • Très vite, on trouve de bien étranges propos. Ceux-ci par exemple, dans les Pages françaises, de Paul Déroulède : « En avant ! Tant pis pour la tombe. La mort n'est rien. Vive la tombe ! » (Thérèse Delpech, L'ensauvagement : Le retour de la barbarie au XXIe siècle, éditions Bernard Grasset, 2005, page 173)
  4. (Agriculture) (Désuet) Sorte de tas de compost.
    • On fait alors des tombes ou tertres de compost, c'est?à-dire que l'on emploie la chaux en mélange avec la terre, le fumier et en général avec toutes les substances pouvant avoir un effet utile sur la végétation. (Guide pour l'emploi de la chaux en agriculture, 1860, page 25)
    • Dans les départements de l'Ouest, on a depuis fort longtemps l'habitude de faire des composts avec de la chaux, de la terre ou du fumier, qu'on désigne sous le nom de tombes. (Charles-Victor Garola, Engrais : Le matières fertilisantes, Paris : J.-B. Baillière & fils, 7e édition, 1925, page202)
    • On reconstruit alors la tombe en mélangeant à la terre chaulée, du fumier, et l'on achève en la recouvrant de terre. (G. Warcollier, Le pommier à cidre, J.B. Baillière et Fils, 1926, page 168)
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Trésor de la Langue Française informatisé


TOMBE, subst. fém.

A. ?
1. Fosse creusée dans le sol où est ou sera enseveli un mort. Synon. sépulture.Descendre un cercueil dans une tombe. J'ai un pressentiment que nous trouverons dans la vallée de Biban-El-Molouk une tombe inviolée, disait à un jeune Anglais de haute mine un personnage beaucoup plus humble (Gautier, Rom. momie, 1858, p. 151).Au cimetière, situé en contre-bas, le fossoyeur achevait de creuser une tombe (Vailland, Drôle de jeu, 1945, p. 125).
? P. compar. [À propos d'un lieu] Froid comme une tombe. Lorsque je revins à moi, la chambre était silencieuse comme une tombe (Dumas père, P. Jones, 1838, iv, 4, p. 187).Qu'il [le lit] soit encourtiné de brocart ou de serge, Triste comme une tombe ou joyeux comme un nid, C'est là que l'homme naît, se repose et s'unit (Heredia, Trophées, 1893, p. 150).
? Locutions
? Se retourner dans sa tombe. Se dit d'un défunt qu'on imagine profondément indigné, bouleversé. (Dict. xxes.).
? Être une tombe [À propos d'une pers.] Être muet, ne rien dire de ce que l'on sait. Malthilde avait rapproché sa chaise: ? Tu peux avoir confiance, lui souffla-t-elle. Tu sais que je suis une tombe. Je ne désire pas d'ailleurs qu'Andrès épouse Catherine (Mauriac, Anges noirs, 1936, p. 163).
[À propos d'un lieu] Être sans vie, ennuyeux à mourir. Quelqu'un! Silence partout. La maison demeure impassible dans l'ombre. Cette maison, grand Dieu, c'est une tombe! (Hugo, Roi s'amuse, 1832, p. 481):
Enfin, Paris est un chaos, et la province une tombe. Quand on est en province et qu'on y voit l'annihilation des esprits, il faut bien se dire que toute la sève était dans quelques hommes aujourd'hui prisonniers, morts ou bannis. Sand, Corresp., t. 3, 1852, p. 293.
? Être muet comme la/une tombe. Être d'une discrétion absolue. Cette misérable, qui peut répéter le mot de Marguerite, dans Faust, lorsqu'elle agonise au fond d'un cachot: « Le monde est muet comme la tombe », car elle n'a plus de communication avec aucun c?ur vivant, ? cette créature (...) détient encore ce pouvoir sur le Christ: il dépend d'elle d'être pardonnée (Mauriac, Journal 1, 1934, p. 62).
2. Pierre tombale qui recouvre la fosse. Noms, dates gravés sur la tombe; déposer des fleurs sur une tombe. On l'a enterré à Saint-Roch, en gala (...) Il est question de ne graver sur sa tombe que son seul nom, Eugène Scribe, comme qui dirait Turenne ou Bossuet (Veuillot, Odeurs de Paris, 1866, p. 133).
? P. méton. Monument où repose un (des) mort(s) et devant lequel on se recueille. Ce toit tranquille, où marchent des colombes, Entre les pins palpite, entre les tombes (Valéry, Charmes, 1922, p. 147).
B. ? [La tombe symbolisant la mort]
1. Loc. fig. [À propos d'une pers. ou d'une personnification]
? (Être) au bord de la tombe, avoir déjà un pied dans la tombe. Être près de mourir, près de la mort. Dans les affaires, on croit avoir tout gagné quand on a gagné du temps: c'est l'un des symptômes de cette maladie, que de vivre d'illusions jusqu'au bout, et de se bercer de rêves d'avenir quand on a le pied dans la tombe (Reybaud, J. Paturot, 1842, p. 397).
? Descendre dans la tombe. Mourir, disparaître. On doit voir brusquement s'éteindre ton flambeau, Ô France! Descends dans la tombe, Et Meurs libre! Ton sort n'en sera pas moins beau! (Glatigny, Fer rouge, 1870, p. 42).
? Emporter son secret dans la tombe. Mourir sans avoir fait les révélations que l'on attendait. ? Hé bien, Frescheville, que voulez-vous que je vous dise... Parlez franchement au procureur. ? Jamais! protesta le petit juge. Si je dois crever ici, j'emporterai mon secret dans la tombe, comme disent les romanciers-feuilletonistes (Bernanos, Crime, 1935, p. 842).
? Suivre qqn dans la tombe. Mourir peu de temps après. J'ai nommé Revel, un savant considéré, un homme considérable. Mon illustre père est mort, Revel, bientôt, l'aura suivi dans la tombe... s'il ne l'a fait déjà (Pailleron, Monde où l'on s'ennuie, 1869, ii, 1, p. 76).
? Creuser* la tombe de qqn. Creuser* sa tombe avec ses dents.
? Jusqu'à la tombe. Jusqu'au moment de mourir. Au delà de la tombe. Au delà de la mort. Aussi, remuée jusqu'aux moëlles et souhaitant ardemment (...) que le héros gardât sa réputation d'invincible au delà de la tombe, ordonna-t-elle, la foule, que le combat cessât aussitôt (Cladel, Ompdrailles, 1879, p. 75).
2. Au fig. [À propos d'une chose] La fin, la mort, la disparition d'une institution, d'une ?uvre, etc. Si l'on réduisait les écrits de M. de Fontanes à deux très petits volumes, l'un de prose, l'autre de vers, ce serait le plus élégant monument funèbre qu'on pût élever sur la tombe de l'école classique (Chateaubr., Mém., t. 1, 1848, p. 480).
? (D')outre-tombe*.
Prononc. et Orth.: [t? ?:b]. Att. ds Ac. dep. 1694. Étymol. et Hist. A. 1. a) Ca 1150 tombe « fosse où l'on enterre un mort » (Wace, Vie Saint Nicolas, éd. E. Ronsjö, 635); b) ca 1180 expr. sur la tombe de qqn (Marie de France, Fables, éd. K. Warnke, XXV, 3-4: Sa femme meine grant dolur Desur [var.: sur] sa tumbe nuit e jur); 1646 (F. Maynard, Poés., éd. F. Gohin, p. 80, pleurer [..] Sur la tombe des Valois); 1776 (Restif de La Bret., Le Paysan perverti, t. 4, p. 22: nous allons [...] sur les tombes de mon pere et de ma mere); c) 1938 se retourner dans sa tombe (Bernanos, Grands cimetières sous la lune, p. 19 ds Rob.); 2. 1311 « pierre tombale » (Arch. du Pas-de-Calais, A 278 ds Gay: une tombe ... de marbre ). B. P. métaph. 1. a) 1555 avoir un pied dans la tombe (Ronsard, ?uvres compl., éd. P. Laumonier, t. 8, p. 171, 179: leur pied [...] est desja sur la tombe); 1751 (Prévost, Lettres angloises, t. 6, p. 384: un pied dans sa tombe); b) 1606 descendre dans la tombe (J. Bertaut, Rec. de quelques vers amoureux, éd. L. Terreaux, p. 104: en la tombe descendre); 1718 (Ac.: descendre dans la tombe); c) 1633 suivre qqn dans la tombe (A. Godeau, Poés. chrestiennes, p. 112: que mon esprit dans la tombe te suive); 1764 (Arnaud, Comte de Comminge, éd. 1780, p. 39: elle n'a point encor dans la tombe suivi votre père); d) 1646 au bord de la tombe (F. Maynard, op. cit., p. 32: nos pieds sont arrivez sur le bord de la tombe); 1797 (Chateaubr., Essai Révol., t. 1, p. 69: s'asseoir un moment au bord de sa tombe); e) 1671 emporter qqc. dans la tombe (La Fontaine, Fables nouv. et autres poés., éd. P. Clarac, p. 605: un mort a dans la tombe emporté votre foi); 1769 (Mercier, Jenneval, p. 56: qui entraînera avec lui dans sa tombe le secret [...] de sa mort); f) 1972 creuser sa tombe avec ses dents (Lar. Lang. fr., s.v. creuser); 2. 1578 « la mort » (Ronsard, op. cit., t. 7, p. 80, 117 var.: les ans et la tumbe a fuy); 3. 1801 muet comme la tombe (Crèvec?ur, Voyage, t. 2, p. 293); 1936 être une tombe « garder les secrets » (Mauriac, Anges noirs, p. 163). Du lat. chrét. tumba «tombe, sépulcre» (ives.), empr. au gr. ? ? ? ? ? ? ? « tumulus funéraire; tombeau; pierre tumulaire ». Fréq. abs. littér.: 3 499. Fréq. rel. littér.: xixes.: a) 5 631, b) 5 652; xxes.: a) 5 392, b) 3 803.
DÉR.
Tombelle, subst. fém.,archéol. Butte qui dénonce la présence d'un monument funéraire. On a trouvé dans nos contrées des chaînes d'or dans les urnes des tombelles ou tumulus (Sand, Jeanne, 1844, p. 114).? [t? ?b?l]. ? 1resattest. 1320-40 tombele « tertre, tumulus » (Jean de Condé, La Messe des oiseaux, éd. J. Ribard, 9: S'ere assis sour une tombele), 1625 tombelle (Bethune, ap. La Fons, Gloss. ms., Bibl. d'Amiens ds Gdf.) attest. isolées, à nouv. 1808 (Boiste: Tombelle, s.f. tombe élevée, en terre); de tombe, suff. -elle*.


Tombé, ée au Scrabble


Le mot tombé, ée vaut 10 points au Scrabble.

tombe--ee

Informations sur le mot tombe--ee - 7 lettres, 4 voyelles, 3 consonnes, 5 lettres uniques.

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Les citations avec le mot Tombé, ée


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Mise à jour le jeudi 13 novembre 2025 à 04h13










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