La définition de Chétif, Ive du dictionnaire français. Signification du mot et son éthymologie - De nombreux exemples d'usage en français ainsi que des citations.

Chétif, ive
Nature : adj.
Prononciation : ché-tif, ti-v' ; les paysans des environ
Etymologie : Bourguig. cheti ; Berry, ch'ti, au féminin ch'tite, chaitis ; provenç. captiu, caitiu ; anc. catal. caitiu ; anc. espagn. captivo ; espagn. mod cautivo ; portug. cativo ; ital. cattivo ; du latin captivus, prisonnier (voy. ). Chetif, en vieux français, signifie captif, et de là, faible, misérable.

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La définition de Chétif, Ive

De peu d'importance, de peu de distinction, de peu de force, en parlant des personnes.


Toutes les définitions de « chétif, ive »


Dictionnaire de l'Académie française, huitième édition

CHÉTIF, IVE. adj.
Qui est faible, débile. Il se dit des Personnes ou des Choses qui n'ont pas l'apparence ou les qualités, la force qu'elles devraient avoir. Ces enfants sont d'une complexion chétive. Un fermier qui a des moutons fort chétifs. Faire une chétive récolte. Il leur a fait une chétive réception. Fam., Avoir chétive mine, Avoir une apparence maladive ou misérable.

Littré

CHÉTIF (ché-tif, ti-v'?; les paysans des environs de Paris disent chéti et même cheti) adj.
  • 1De peu d'importance, de peu de distinction, de peu de force, en parlant des personnes. Un chétif garçon de boutique, Patru, Plaid. 2, dans RICHELET. À l'égard de ces hommes chétifs, La Bruyère, VI. Le monarque lui dit [au cerf]?: Chétif hôte des bois, Tu ris?! tu ne suis pas ces gémissantes voix, La Fontaine, Fab. VIII, 14. Il vint des partis d'importance, La belle les trouva trop chétifs de moitié, La Fontaine, ib. VII, 5. Tout chétif et tout misérable qu'il est, il a été détroussé en France, Guez de Balzac, liv. VI, lett. 5. Depuis les plus chétifs jusques aux plus fendants, Régnier, Sat. XII. Un chétif centenier des troupes de Mysie, Corneille, Héracl. I, 2. Qu'entreprends-je, chétif, en ces lieux écartés?? Rotrou, St Gen. III, 2. Éryphile n'est encore digne ni de vous ni du public, ni même de moi, chétif, Voltaire, Lett. vers et prose, 17. Et celui qui chétif aux misères succombe, Sans vouloir autre bien que le bien de la tombe, Malherbe, I, 4. Quand Crésus vit Ésope, il s'étonna qu'une si chétive créature lui eût été un si grand obstacle, La Fontaine, Vie d'Ésope. ? La chétive pécore S'enfla si bien qu'elle creva, La Fontaine, Fab. I, 3. Quel ton, quel ascendant ne prennent-ils pas [les riches] sur les savants, quelle majesté n'observent-ils pas à l'égard de ces hommes chétifs que leur mérite n'a ni placés ni enrichis et qui en sont encore à penser et à écrire judicieusement?! La Bruyère, VI.
  • 2En parlant des choses, qui n'a pas force, qualité. Une chétive récolte. Une plante chétive. Une mine chétive. Comme un chien qui fait fête Aux os qu'il voit n'être pas trop chétifs, La Fontaine, Jum. Une flamme pieuse autant comme chétive, Corneille, Pomp. V, I. Et mon bras n'est du sien qu'un chétif instrument Qui ne meut et n'agit que par son mouvement, Rotrou, Bélis. I, 1. Notre vigne n'est point si chétive qu'on le voudrait bien faire croire, Courier, 2e lettre particulière.

    Avoir chétive mine, avoir la mine basse, et aussi avoir l'air malade.

  • 3Misérable, pauvre. Une vie, une chère chétive. Dans quelque urne chétive en ramasser la cendre, Corneille, Pomp. II, 2.

HISTORIQUE

XIe s. [Elle] Trait ses chevels, si se clame caitive, Ch. de Rol. CCLXXIV. Dist l'uns à l'autre?: Caitif que deviendrons?? ib. CXC. Que deviendrai, douloureuse caitive?? ib. CXCI. En France douce [elle] ert [sera] menée caitive, ib. CCLXVIII.

XIIe s. Ainsi nos, caitif, comperrons [payerons] Les guerres de ces haus barons, Chrestien de Troyes, dans HOLLAND, p. 266. Come chaitis [captif] mené, Ronc. p. 16. Meurent paien come chaitif dolent, ib. p. 77. À la chaitive [malheureuse] qui au mostier atent, ib. p. 173. Ceste chaitive qui de son dueil morra, ib. p. 174. Vous deüssiez querre leur delivrance [des prisonniers]?; C'est grant pechés, ses [si les] i laissez chaitis, Quesnes, Romancero, p. 100.

XIIIe s. Qui caitif sert caitif loiier en sent, L. Passy, Fragm. d'hist. litt. p. 89. Hé?! las, chetif, où irai?? que ferai?? Anonyme, dans Couci. Et li consaus de l'empereour fu tiex qu'il s'iroit à lui combatre, pour secorre les chaitis et les chaitives que il enmenoit, Villehardouin, CLXIV. Neis [même] Avarice la chetive N'ert pas si à prendre ententive, la Rose, 1439. Moult est chetis et fox naïs Qui croit que ci soit son païs, ib. 5049. Et se ne vous plet, si vous preingne pitié de ceste chietive qui ci gist, que vous attendés que je soie relevée, Joinville, 252. Car qui à chetif seigneur sert, Il en atent chetif loier, les Vers du monde. ? Dan Macrobe Vestu d'une chetive robe, Bat. des 7 arts.

XVe s. Le plus petit, maigre et chetif cheval qu'il put trouver, Froissart, I, 1, 23. ? Diex?! doux valet, Di-je lors, es-tu si quatis [caché]?? Par ma foi, tu es uns quetis, Quant tous seuls tu es en prison, Froissart, Le dit dou florin. Ainsi ma vie se compasse, Maleureuse, chetive et lasse, En paine et maulx dont trop recueil, Orléans, Rond. Nuz [Dieu] les crea, et puis l'ame leur mist Ou chetif corps, sans faire difference, Deschamps, L'habit ne fait pas l'homme. Vaut-il pas mieux avoir la couleur rouge et vive, Riche de beaux rubis, que si pale et chetive Ainsi qu'un buveur d'eau?? Basselin, II.

XVIe s. Aux c?urs chetifs tu remets l'esperance, Ronsard, 703. De tous les animaux qui marchent sur la terre L'homme est le plus chetif?: car il se fait la guerre Luy-mesmes à soy-mesme?, Ronsard, 815. Il [l'homme] n'est pas assez chestif, si par art et par estude il n'augmente sa misere, Montaigne, I, 227.


SUPPLÉMENT AU DICTIONNAIRE

CHÉTIF. - ÉTYM. Ajoutez?: Dès le IVe siècle, captivus a eu le sens de chétif?: Homines nanos, gibbesos, deformes, captivos ridiculosque, J. Firmicus, Math. VIII, 27.

Version électronique créée par François Gannaz - http://www.littre.org - licence Creative Commons Attribution

Wiktionnaire


Adjectif - français

chétif \?e.tif\

  1. Qui est faible, frêle. ? Note d'usage : Se dit des personnes ou des choses qui n'ont pas l'apparence ou les qualités, la force qu'elles devraient avoir.
    • Petit-Pierre paraissait plus avisé que ses frères ; mais autant ceux-ci étaient gros, joufflus et vermeils, autant il avait l'air maigre, chétif et pâlot. (Charles Deulin, Manneken-Pis)
    • Il me restait une chétive maison, je l'ai vue pillée et détruite. (Voltaire, Zadig ou la Destinée, XV. Le pêcheur, 1748)
    • (Figuré) - Je ne me lassais point d'admirer la bizarre réunion de ces misérables mortels [?] que le hasard s'était néanmoins plu à rassembler pour les soumettre à une existence aussi chétive, aussi précaire. (Voyage de Dumont d'Urville autour du Monde, raconté par lui-même)
    • Une récompense, d'ailleurs me fut réservée dès le lendemain même de mon entrée dans la pension obscure où je devais occuper durant trois ans et demi la situation la plus chétive. (Ernest Renan, Souvenirs d'enfance et de jeunesse, 1883, collection Folio, page 189.)
    • (Figuré) - Il se vit lui-même si chétif, si pauvre, si humble, si seul au monde qu'un rire d'amertume éclata sur ses lèvres crispées. (Michel Zévaco, Le Capitan, 1906, Arthème Fayard, collection « Le Livre populaire » no 31, 1907)
    • Kinkin, vers la quarantaine, était un gaillard de taille moyenne qui dissimulait sous des dehors chétifs et une allure pataude une force herculéenne et une agilité de singe. (Louis Pergaud, L'Évasion de Kinkin, dans Les Rustiques, nouvelles villageoises, 1921)
    • Je me revois tout chétif, tout mièvre, suivant les cours du catéchisme, où j'arrivais bon premier. (Victor Méric, Les Compagnons de l'Escopette, Éditions de l'Épi, Paris, 1930, page 247)
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Trésor de la Langue Française informatisé


CHÉTIF, IVE, adj.

A.? [En parlant d'une pers.] Qui est faible, fragile; dont l'aspect donne une impression de faiblesse ou de fragilité; en partic., qui dénote une santé médiocre. Aspect chétif, mine chétive; avoir l'air chétif :
1. Nous avions entendu six ou huit acteurs quand a paru sur la scène un garçon maigre et chétif (...). Il me semble que je verrai toujours cette face hâve, ces yeux enfoncés, ces joues blanches. Green, Journal,1950-54, p. 193.
? Emploi subst. Des regards tant dédaigneux sur les chétifs, et tant coquets sur les beaux garçons (Brillat-Savarin, Physiol. du goût,1825, p. 122).Le mépris païen du chétif, du faible, de l'inadapté (Mounier, Traité du caractère,1946, p. 265).
? P. méton. Saccard la trouvait charmante, (...), avec sa grâce chétive (Zola, L'Argent,1891, p. 135).
? P. métaph. Le tronc de l'olivier, triste, chétif et gris (A. Dumas Père, Le Comte de Monte-Cristo,t. 1, 1846, p. 436).Les seigles chétifs, les avoines maigres (Zola, La Terre,1887, p. 204).
B.? P. ext., vieilli et littér.
1. Qui est de peu d'importance, de peu de valeur.
a) [En parlant d'une pers.] Moi chétif mortel (Chateaubriand, Génie du Christianisme,t. 1, 1803, p. 526):
2. ... si un Pierre a pu renier son maître par trois fois, que ne devons-nous pas craindre, nous chétifs, de notre pusillanimité? Verlaine, ?uvres posthumes,t. 2, Voyage en France par un Français, 1896, p. 84.
b) [En parlant d'une chose concr. ou abstr.] Voilà l'amour réduit à de chétives proportions (Barbey d'Aurevilly, 2ememorandum,1838, p. 279).Ce petit seigneur d'un chétif territoire (Montherlant, Malatesta,1946, I, 4, p. 442):
3. Il [Fernand] obligeait sa mère à se rappeler l'immense douleur de son mari, et comme sa propre peine en parut plus chétive, lorsque mourut ce fils puîné. Mauriac, Génitrix,1923, p. 380.
? Peu abondant. Il partagera le chétif morceau de pain qui nous reste (Balzac, Les Illusions perdues,1843, p. 647).La chétive clarté de la lampe (Bordeaux, Les Derniers jours du fort de Vaux,1916, p. 52).
2. D'où
a) [En parlant d'une chose] Dont l'aspect évoque la pauvreté, la misère. Grosse tête, coiffée du triste bonnet rouge-bleu, redingote chétive, chétif pantalon (Michelet, Journal,1839, p. 304).Une pauvre petite église luthérienne, coiffée d'un chétif dôme romain, affublée d'un méchant fronton (Hugo, Le Rhin,1842, p. 299).
b) [En parlant d'une pers.] Méprisable, vil. Une chétive créature ose-t-elle s'enorgueillir? (Ac.1835-78) :
4. Inspirez-lui [au peuple] ces chétifs instincts du lucre, vous le rapetissez, vous détruisez son originalité, sans le rendre plus instruit ni plus moral. Renan, L'Avenir de la sc.,1890, p. 84.
Rem. On rencontre ds la docum. le subst. masc. chétivisme. Type d'infantilisme comportant un retard de croissance global (cf. Méd. Biol. t. 1 1970). Attesté ds Lar. 20e, Lar. encyclop., Quillet 1965.
Prononc. et Orth. : [?etif], fém. [-i:v]. Fér. 1768 écrit chetif sans accent aigu sur e et souligne : ,,On ne prononce point dans le masc. l'f final.`` Fér. Crit. t. 1 1787 écrit chétif et répond que l'f se prononce au masc. (et rappelle : ,,Aûtrefois on écrivait chetifve au fém.``). À ce sujet cf. Littré qui indique que ,,les paysans des environs de Paris disent ché-ti et même che-ti``. Cf. aussi Buben 1935, § 37 : ,,L'é fermé l'a emporté dans (...) chétif a. fr. chaitif.`` Attesté ds Ac. 1694-1932. Étymol. et Hist. 1. xes. caitiu « prisonnier » (La Passion, éd. d'Arco S. Avalle, 65) ? 1530 ds Gdf.; 2. ca 1100 caitif « malheureux, misérable » (Roland, éd. J. Bédier, 2698); 3. ca 1150 chaitif « de faible constitution » (Couronnement de Louis, 620 ds T.-L.), rare av. le xviies. (Fur. 1690). Du lat. vulg. *cactivus, croisement du lat. class. captivus « prisonnier » et d'un gaul. *cactos, que l'on peut déduire de l'irl. cacht « serviteur », bret. caez (Dottin, p. 98); captivus est utilisé par Sénèque pour désigner quelqu'un de prisonnier d'une passion (TLL s.v., 373, 57), par les auteurs chrét. pour désigner l'homme captif du péché (Blaise), spéc. par St Augustin pour désigner celui qui prisonnier de Satan, ne peut se libérer par ses propres forces parce que la Grâce lui manque, d'où la notion de compassion et le sens de « malheureux » (ibid. et TLL s.v., 69, 76). Fréq. abs. littér. : 819. Fréq. rel. littér. : xixes. : a) 1 240, b) 1 127; xxes. : a) 1 554, b) 884.
DÉR. 1.
Chétivement, adv.D'une manière chétive, faiblement. Le grenier déjà très chétivement éclairé (F. Fabre, Julien Savignac,1863, p. 54).Il nous restera à peine de quoi vivre, chétivement (Flaubert, Correspondance,1875, p. 191).? [?etivm? ?]. Ds Ac. 1694-1932. ? 1reattest. xiiies. chativement (Sermons de St Bernard, éd. W. Foerster, fo147, p. 173, 13); de chétif, suff. -ment2*. ? Fréq. abs. littér. : 13.
2.
Chétiveté ou chétivité, subst. fém.Caractère de ce qui est chétif. Le peu d'effet de la pompe, et la chétiveté de son produit (P.-A. de Beaumarchais, Correspondance,1799, p. 14).La chétiveté de son petit buste (Champfleury, Les Souffrances du professeur Delteil,1853, p. 74).L'indigence de mes mérites, la chétivité de ma personne (Billy, Introïbo,1939, p. 12).? [?etivte], [?etivite]. Lar. 20e, Lar. encyclop., Lar. Lang. fr. ainsi que Quillet 1965 admettent les 2 formes. Les dict. ant. à Lar. 20en'enregistrent que chétivité. ? 1resattest. a) Début xiies. caitiveted « captivité » (Psautier Oxford, 67, 19 ds T.-L. [captivitatem]); b) 1remoitié xiies. « pauvreté, infortune » (Psautier Cambridge, 62, 10 ds ibid. [calamitatem]); c) 1799 (P.-A. de Beaumarchais, loc. cit.); de chétif, chétive, suff. -eté, -ité*. ? Fréq. abs. littér. Chétivité : 7.
BBG. ? Axisa (H.). Les Mots qui muent. Déf. Lang. fr. 1971, no59, p. 21. ? Darm. Vie 1932, p. 53, 93, 155. ? Gohin 1903, p. 306. ? Goug. Mots t. 1, 1962, p. 276. ? Haerle (P.). Captivus, cattivo, chétif. Bern, 1955. ? Ulrich (J.). Etymologisches. Ipse > isse > ixe; factum > fattum > faptum. Z. rom. Philol. 1897, t. 21, p. 236.


Chétif, Ive au Scrabble


Le mot chétif, ive vaut 20 points au Scrabble.

chetif--ive

Informations sur le mot chetif--ive - 9 lettres, 4 voyelles, 5 consonnes, 7 lettres uniques.

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