Définition de « avouer »


Notre dictionnaire de français vous présente les définitions du mot avouer de manière claire et concise, avec des exemples pertinents pour aider à comprendre le sens du mot.

Il comprend des informations supplémentaires telles que des exemples d'expressions, l'étymologie, les synonymes, les homonymes, les antonymes mais également les rimes et anagrammes et bien sûr des citations littéraires sur avouer pour aider à enrichir la compréhension du mot Avouer et répondre à la question quelle est la définition de avouer ?

VER genre () de 2 syllabes
Une définition simple :

  • Confesser et reconnaître qu’une chose est ou n’est pas, en demeurer d’accord. - Avouer le fait, le crime. - Avouer ingénument, franchement. - J’étais, je l’avoue, un peu confus.

  • Approuver, ratifier. - J’avoue tout ce qui s’est fait. - Ce sont des principes que la morale peut avouer. - Avouer une personne, Approuver ce qu’elle a jugé à propos de faire d’après l’autorisation qu’on lui en a donnée. - Je l’avouerai de tout ce qu’il fera, en tout ce qu’il fera.

  • Se Confesser en demeurer d’accord. - S’avouer vaincu. - S’avouer plus faible qu’un autre. - S’avouer coupable.

  • Péché avoué est à moitié pardonné.

  • Avouer un écrit, un ouvrage, S’en reconnaître l’auteur.

  • Avouer un enfant, S’en reconnaître le père.

  • Avouer pour fils, pour sœur, etc., Reconnaître pour fils, pour sœur, etc. (ébauche-pron|fr) (-réf-)


    Définitions de « avouer »


    Trésor de la Langue Française informatisé


    AVOUER, verbe trans.

    I.? Emploi trans.
    A.? [Le suj. désigne une pers.; l'obj. désigne une chose] Reconnaître quelque chose comme vrai. Avouer qqc., avouer que, avouer + inf., ou absol. avouer.
    1. Révéler (qqc.).
    a) [L'obj. est extérieur au suj.] Révéler quelque chose d'inconnu, de secret, le faire connaître, l'expliquer :
    1. Les triplets sont d'un degré de raffinement plus élevé : ils servent surtout à imiter l'inimitable émeraude en interposant un verre de couleur verte entre deux pièces en béryl médiocres (...). Ces procédés ne sont pas prohibés quand ils sont avoués par le vendeur, mais ils ont été mis fréquemment au service d'une imposture. A. et N. Metta, Les Pierres précieuses,1960, p. 110.
    b) [L'objet désigne un acte, une action, blâmables ou non, accomplis par le suj.] Reconnaître quelque chose; reconnaître, déclarer qu'on est l'auteur de quelque chose. Avouer qqc. (à qqn) :
    2. Quand tu lèveras les bras au ciel! Révéler, avouer, et encore avouer, et exhiber tout ce qu'on fait de mal! ... le taire, s'en punir au fond de soi, voilà qui est mieux. Colette, La Maison de Claudine,1922, p. 180.
    ? Emploi réciproque :
    3. ... les prêtres et plusieurs personnages corrompus qui sont mis en scène y tiennent un langage qui n'est point naturel. Les méchants et les hypocrites, loin de s'avouer mutuellement leurs défauts, ne se les disent pas à eux-mêmes. Delécluze, Journal,1825, p. 258.
    ? Absol. Faire des aveux :
    4. ? Dans votre intérêt, il serait peut-être préférable d'avouer. Pour ma part j'estime que votre système de dénégations absolues est d'une insigne maladresse. Et dès lors Crainquebille eût fait des aveux s'il avait su ce qu'il fallait avouer. A. France, Crainquebille,1904, p. 22.
    ? Faire avouer (de force). Obliger à avouer :
    5. Ne fais pas l'ignorante, ne m'oblige pas à te faire avouer de force la vérité. Zola, Thérèse Raquin,1867, p. 193.
    c) Proverbe, avec une coloration relig. Péché (var. faute) avoué(e) est à moitié pardonné(e)
    Rem. Attesté ds Ac. 1932, Quillet 1965 et cf. G. Sand, Histoire de ma vie, 1855, t. 4, p. 214.
    2. Admettre (qqc.).
    a) [L'obj. est un subst. abstr. interne au suj., une composante de sa personnalité] Admettre ce que l'on est, admettre ses imperfections et parfois, les révéler; révéler un sentiment que l'on éprouve. Avouer son amour :
    6. Il m'avoua qu'il était juif, bâtard, et sexuellement maniaque... S. de Beauvoir, Mémoires d'une jeune fille rangée,1958, p. 300.
    b) Reconnaître à quelque chose certaines qualités :
    7. ... je me défie d'une esthétique qui distingue si résolument la beauté de la perfection. Mais ces caractères dont l'absence empêche M. Brunetière de reconnaître belle une ?uvre moderne qu'il avoue parfaite, ne sont-ce point précisément ceux qui sont communs aux ?uvres les plus admirées du xviiesiècle? Lemaitre, Les Contemporains,1885, p. 237.
    c) [L'obj. est abstr. et désigne un point de doctrine, de morale] Donner son adhésion à (qqc.) :
    8. En examinant la distribution générale des animaux telle que je l'ai présentée dans l'article précédent, et dont l'ensemble est unanimement avoué des zoologistes, qui ne contestent que sur les limites de certaines classes, je remarque un fait bien évident, et qui, seul, seroit déjà décisif pour mon objet; le voici... Lamarck, Philos. zool.,t. 1, 1809, p. 137.
    d) Sens affaibli. [Formules conventionnelles, en incise ou parenthèse de style] Je l'avoue, avouons-le, il faut l'avouer, il faut avouer que. Concéder quelque chose; donner son opinion :
    9. Aujourd'hui, dans le plus modeste foyer, on peut tenir captifs tous les génies musicaux des siècles passés et de la période présente. Les plus grands orchestres du monde, les virtuoses les plus célèbres, les chanteurs les plus émouvants sont là, enfermés dans un meuble et prêts à livrer, à toute réquisition, le meilleur d'eux-mêmes. Au point de vue de la culture musicale universelle, c'est, on l'avouera, un progrès dont il est inutile de souligner l'importance. Arts et litt. dans la société contemp.,t. 1, 1935, p. 8807.
    3. Au fig.
    a) [Le suj. désigne une chose concr. : l'objet désigne une chose; et absol.] Qqc. avoue (qqc.).Révéler, être l'indice de :
    10. Son attitude vaincue [de la chatte], les coins tirés et pâlis de sa lèvre gris-pervenche avouaient une nuit de veille misérable. Colette, La Chatte,1933, p. 65.
    b) [Le suj. est abstr.; l'obj. souvent abstr. désigne un point de doctrine, de morale] Être conforme à :
    11. La bastonnade, en général, étoit, chez les romains, une peine avouée par la loi; mais nul homme non militaire ne pouvoit être frappé avec la vigne, et nul autre bois que celui de la vigne ne pouvoit servir pour frapper un militaire. J. de Maistre, Les Soirées de Saint-Pétersbourg,1821, p. 11.
    B.? [Le suj. désigne une pers.] Reconnaître comme sien
    1. [L'obj. désigne une pers.] Qqn avoue qqn.
    a) Convenir des liens ou des relations que l'on a avec quelqu'un. Avouer un enfant, avouer pour fils, pour s?ur :
    12. ... le maître classique qui enseigna l'équitation française à Louis XIII n'aurait jamais avoué pour son élève ce chevaucheur furieux... A. France, La Vie littéraire,t. 1, 1888, p. 135.
    b) DR. FÉOD. Reconnaître pour seigneur, pour protecteur.
    Rem. Attesté ds Lar. 19e, Guérin 1892, Nouv. Lar. ill., DG, Rob.
    ? P. ext. Reconnaître quelqu'un (ou qqc.) comme supérieur; reconnaître la supériorité ou la suprématie de quelqu'un (ou de qqc.) : Dieu, l'argent considérés comme êtres supérieurs :
    13. ... moi-même ai-je toujours volontiers reconnu les bienfaits reçus, et avoué mes bienfaiteurs? Il déplaît à l'homme d'être inférieur, et toute obligation nous met dans cet état subalterne... Amiel, Journal intime,1866, p. 101.
    c) Vieilli. Qqn avoue qqn, qqn avoue qqn de qqc. Approuver, ratifier les actes de quelqu'un; prendre la responsabilité de ce qui a été fait par quelqu'un :
    14. ... le roi, sur le conseil du cardinal de Richelieu, le croit [Rohan] très-propre à ses affaires en ces contrées [les Grisons], à cause des qualités mixtes et variées qu'il possède, négociateur, capitaine, très en renom à l'étranger, pouvant agir comme de lui-même et n'être avoué que lorsqu'il en serait temps. Sainte-Beuve, Causeries du lundi,t. 12, 1851-62, p. 343.
    2. [L'obj. désigne une chose] Qqn avoue qqc.
    a) Reconnaître être l'auteur de quelque chose. Avouer un écrit, un ouvrage :
    15. Pendant que Beyle disait à Duvergier qu'il avait eu raison, et que le baron de Stendhal n'avouait ni ne désavouait formellement l'écrit, les rires devinrent universels... Delécluze, Journal,1824, p. 30.
    ? Proverbial et fig. Avouer la dette. Reconnaître qu'on a tort
    Rem. Attesté ds la plupart des dict. gén. du xixesiècle.
    b) Autoriser quelque chose, le confirmer, le ratifier :
    16. Dévotions populaires. Nous quittons les harmonies physiques des monumens religieux et des scènes de la nature, pour entrer dans les harmonies morales du christianisme. Il faut placer au premier rang ces dévotions populaires, qui consistent en de certaines croyances et de certains rites pratiqués par la foule, sans être ni avoués, ni absolument proscrits par l'église. Ce ne sont, en effet, que des harmonies de la religion et de la nature. Chateaubriand, Génie du christianisme,t. 2, 1803, p. 163.
    SYNT. Avouer un besoin, un (des) crime (s), (son) un embarras, une (des) faiblesse(s), une (des) faute(s), la (sa) (avec) honte, (son) l'ignorance, (son) l'impuissance, un (des) manque(s), un sentiment, des torts, la vérité; courage, honte d'avouer; avouer franchement, hautement, humblement, ingénument, naïvement, nettement, publiquement, sincèrement, volontiers; avouer comprendre, savoir, contraint, forcé, obligé d'avouer; consentir, forcer, hésiter, obliger à avouer; craindre, refuser, rougir d'avouer; devoir, falloir (il faut), oser avouer.
    II.? Emploi pronom.
    A.? Pronom. passif [Le suj. désigne une chose] Être avoué, admis, reconnu (par qqn); être révélé (par qqn). Qqc. s'avoue (cf. I A 1, 2) :
    17. edmond. ? Ah! n'outragez pas un pareil nom! L'amitié s'avoue et se proclame, elle ne se cache pas, elle ne conspire pas! Elle ne rougit pas de se montrer! Car la véritable amitié n'existe que pour de louables actions! Scribe, La Camaraderie,1837, II, 7, p. 281.
    ? Se révéler, être révélé (cf. I A 3; à l'actif, le suj. désigne un inanimé) :
    18. C'est la sortie des bureaux : des civils de tous les genres et de tous les âges, et des militaires vieux et jeunes qui, de loin, sont habillés à peu près comme nous... Mais, de près, s'avoue leur identité de cachés et de déserteurs de la guerre à travers leurs déguisements de soldats et leurs brisques. Barbusse, Le Feu,1916, p. 328.
    B.? Pronom. réfl. S'avouer qqc.
    1. [Le suj. désigne un animé ou un inanimé personnifié] S'avouer + adj., s'avouer + subst., s'avouer que. Avouer quelque chose à soi-même, admettre quelque chose :
    19. ... tant qu'elles voltigeaient autour de mes oreilles, mes belles anglaises lui [à ma mère] avaient permis de refuser l'évidence de ma laideur. Déjà, pourtant, mon ?il droit entrait dans le crépuscule. Il fallut qu'elle s'avouât la vérité. Sartre, Les Mots,1964, p. 85.
    2. [Le suj. désigne une pers.] S'avouer + adj., s'avouer + subst. S'avouer qqc. Se reconnaître tel vis à vis des autres, s'accuser de quelque chose :
    20. Il s'agissait d'un nommé Jean Prost, assassiné. Sa mère, ayant pris soupçon du maître du logis où il demeurait, ... l'avait dénoncé, et il s'en était suivi pour l'accusé la question ordinaire et extraordinaire; mais, quelque temps après, deux voleurs, arrêtés pour d'autres crimes, s'étaient avoués les assassins de Prost. Sainte-Beuve, Port-Royal,t. 1, 1840, p. 69.
    C.? Rare. S'avouer de qqn. S'autoriser de quelqu'un, se réclamer de lui, en appeler à son témoignage.
    Rem. Attesté ds les dict. gén. du xixes. ainsi que ds Quillet 1965.
    PRONONC. : [avwe], j'avoue [?avu]. Enq. : /avu/ (il) avoue.
    ÉTYMOL. ET HIST. ? 1. a) 1160-74 dr. féod. avoer « reconnaître pour seigneur celui dont on tient un fief » (Wace, Rou II, 3731 ds Keller, p. 240 : Tu es sis liges hom si nel vols avoer; Ne pur ceo s'il est juefne nel deis mie aviler); b) 1204 « reconnaître pour sien » (Reclus de Molliens, Charité, éd. Van Hamel, 218, 4 ds T.-L.); c) 1363 pronom. « déclarer, reconnaître » (Arch. Nord., B 11265, fol. 4 vods IGLF Techn.); d) 1387 « reconnaître comme valable, approuver (une chose) » (Froissart, Chron., I, II, c. 143 ds Dict. hist. Ac. fr., t. 4, p. 762); (une pers.) (Id., 61, ibid., p. 760); 2. 1580-92 « confesser, reconnaître qu'une chose est ou n'est pas » (Montaigne, Essais, III, 5, ibid., p. 758 : La pire de mes actions et conditions ne me semble pas si laide, comme je trouve laid et lasche de ne l'oser advouer); 1738 absol. (Piron, La Métromanie, V, II, ibid., p. 763). Empr. au lat. advo?care « convoquer » (Plaute, Amph. 1128 ds TLL s.v., 893, 8); à l'époque impériale, « avoir recours à qqn comme avocat, comme défenseur » (Sénèque, Dial., 10, 7, 7, ibid., 894, 24); d'où lat. médiév., sens 1 a (1164, Const. Clarend. c. 9, Stubbs, Sel. ch., p. 166 ds Nierm.), 1 c « reconnaître » (1296, Guillaume de Nangis, Chron. ds Du Cange, t. 1, 103a, s.v. advocare 3), 1 d « approuver, cautionner (qqn) » (1374, Reconnaissance de Vedastus Raquestor, Cartulaire de St Bertin [Pas-de-Calais], ibid., 103c). Le vocalisme des formes médiév. fait difficulté, les textes ayant, au lieu des formes attendues advocat, *avuee etc. des formes comme avoe, avoue, aveue, qui supposent des formes latines avec o accentué fermé (cf. l'évolution normale pour le verbe (jur.) lo(u)er (lieu, luee) < lo?care) le fait que les formes non diphtonguées l'emportent nettement sur les formes diphtonguées laisse supposer une influence précoce du lat. médiév. jur., et prob. du subst. avo(u)é. (Cf. O. Bloch, Notes étymol. et lexicales ds R. Ling. rom., t. 11, pp. 321-23).
    STAT. ? Fréq. abs. littér. : 8 142. Fréq. rel. littér. : xixes. : a) 11 227, b) 10 669; xxes. : a) 11 916, b) 12 162.
    BBG. ? Bloch (O.). Notes étymol. et lexicol. R. Ling. rom. 1935, t. 11, pp. 321-323. ? Bruant 1901. ? Canada 1930. ? Dupin-Lab. 1846. ? Le Roux 1752. ? Pierreh. Suppl. 1926.


    Wiktionnaire


    Verbe - français

    avouer \a.vwe\ transitif 1er groupe (voir la conjugaison) (pronominal : s'avouer)

    1. Confesser et reconnaître qu'une chose est ou n'est pas, témoigner de la vérité.
      • Puisqu'il faut tout avouer, je descendrai en moi jusqu'au tréfonds, j'en remuerai la lie et j'en étalerai la pestilence. (Jean Rogissart, Hurtebise aux griottes, L'Amitié par le livre, Blainville-sur-Mer, 1954, p. 48)
      • Si Dimitri ne voulait pas épouser Phoebe, il aurait au moins dû avoir le courage de l'avouer et de rompre formellement sa promesse. Au lieu de cela, il avait opté pour le silence et l'hypocrisie, [?]. (Lucy Monroe , Pour l'honneur des Pétronides, traduit de l'anglais, dans le volume Séducteurs, éd. Harlequin, coll. Coup de C?ur, 2012)
      • J'étais, je l'avoue, un peu confus.
    2. Approuver ; ratifier ; admettre.
      • On le dit auteur de plusieurs productions que n'avouent ni le goût, ni les m?urs et entre autres du roman souvent réimprimé de Félicia ou mes Fredaines. (Biographie nouvelle des contemporains ou Dictionnaire historique et raisonné de tous les hommes qui, depuis la Révolution française, ont acquis de la célébrité ..., par MM. A. V. Arnault, A. Jay, E. Jouy, J. Norvins, etc. , vol. 1, Paris : à la Librairie historique, 1820, page 175)
    3. Approuver ce qu'une personne a jugé à propos de faire d'après l'autorisation qu'on lui en a donnée.
      • Je l'avouerai de tout ce qu'il fera, en tout ce qu'il fera.
    4. Se reconnaître l'auteur, le géniteur.
      • Avouer un écrit, un ouvrage.
      • Avouer un enfant.
      • (Par extension) Avouer pour fils, pour s?ur, etc.,
    5. Être voué à.
      • Ainsi Le Chesne-Populeux (Ardennes) et La Chapelle-Gauthier (Eure) qui vénèrent au premier chef saint Martin dans un cas et Notre-Dame dans l'autre, avouent saint Jacques pour patron. (Léon Pressouyre, Pèlerinages et croisades, France Comité des Travaux Historiques et Scientifiques, 1995, page 89)
    6. (Pronominal) Se confesser ; en demeurer d'accord.
      • Il hocha la tête, soupirant, s'avouant très bas, que peut-être il eût préféré que Jeanne noçât sans rien lui dire, plutôt que de l'abandonner brutalement ainsi. (Joris-Karl Huysmans, En ménage, Paris : chez Charpentier, 1881 ; édition critique de Gilles Bonnet, Librairie Droz, 2005, p. 254)
      • S'avouer vaincu.
      • S'avouer plus faible qu'un autre.
      • S'avouer coupable.
    Wiktionnaire - licence Creative Commons attribution partage à l'identique 3.0

    Littré

    AVOUER (a-vou-é. Dans j'avouerai et temps analogues l'e ne se prononce pas et ne compte pas dans les vers?; mais l'ancienne langue le prononçait, et avouerai était de quatre syllabes) v. a.
    • 1Dans le langage de la féodalité, faire v?u à un supérieur, le reconnaître pour seigneur ou protecteur.
    • 2 Par extension, et dans le langage actuel, avouer une personne, approuver ce qu'elle a fait en notre nom. Parle, écris, je t'avouerai de tout, pourvu que tu m'aides à sortir de cette botte [l'Italie], Courier, Lett. I, 164. Je t'avouerai de tout, Racine, Phèd. III, 1. Et sans doute son c?ur vous en avouera bien, Corneille, D. San. IV, 2. Alors, sans consulter si Phébus l'en avoue, Boileau, Disc. au roi. Quels doctes vers me feront avouer Digne de te louer?? Malherbe, III, 4. Et si ta faveur tutélaire Fait signe de les avouer [les Muses], Jamais ne partit de leur veilles Rien qui se compare?, Malherbe, III, 2.

      Approuver, ratifier, en parlant des choses. Des moyens que l'honneur avoue. Les dieux n'avoueront point un combat plein de crimes, Corneille, Hor. III, 2. Me voyant froidement ses ?uvres avouer, Il les serre, Régnier, Sat. VIII.

    • 3Reconnaître qu'une chose est ou n'est pas. Avouer sa faute. Il avoua ses méfaits. Vous avouerez que votre conduite a été blâmable. Ceux qui sont instruits des affaires étant obligés d'avouer que le roi n'avait point donné d'ouverture ni de prétexte aux excès sacriléges?, Bossuet, Reine d'Anglet. J'avouerai les rumeurs les plus injurieuses, Racine, Brit. IV.
    • 4Reconnaître comme sien. Avouer un enfant. Il n'ose avouer un parent pauvre. Il n'avoua jamais ce pamphlet. Une lettre que l'on m'a assuré que vous aviez avouée, Bossuet, Lett. 181. Mon père ne peut plus l'avouer pour sa fille, Corneille, Hor. IV, 6. Rome ne voudra point l'avouer pour Romaine, Racine, Bérén. IV, 4.

      Avouer une dette, la reconnaître.

      Fig. Ma foi, madame, avouons la dette [ne dissimulons pas], vous voudriez qu'il fût à vous, Molière, Princ. d'Él. IV, 6.

    • 5S'avouer, v. réfl. S'avouer de quelqu'un, le prendre à garant. Il s'est avoué d'un banquier de cette ville.

      Se reconnaître. S'avouer coupable. S'avouer vaincu.

    • 6S'avouer, être confessé, en parlant d'une chose. Cela ne s'avoue pas.

    HISTORIQUE

    XIIIe s. Ha?! sire Diex, fait ele, mon cuer à vous [j'] avo, Berte, XXXII. Com celle qui du tout à vous servir m'avo, ib. Car nus ne puet Dieu trop loer, Ne trop por seignor avoer, Trop criendre, ne trop obeir, la Rose, 7078. Et doit mander que cil qui en est porsivis en avoue tel garant quiconque, Beaumanoir, XXXIV, 44.

    XVIe s. Je advoue Dieu, sil ne la faisoyt bon veoir, Rabelais, Garg. I, 8. En bonne foi, dit Emarsintte, j'avoue cette dame du tour qu'elle a fait, Marguerite de Navarre, Nouv. LVIII. Entre tous les philosophes qui ont advoué des dieux, Montaigne, I, 47. Lachès se radvisant advoue cet usage aux Scythes [reconnaît qu'ils ont cet usage], Montaigne, I, 48. La vertu n'advoue rien que ce qui se faict par elle et pour elle, Montaigne, I, 263. Ils souffroient tout, avant que d'advouer estre vaincus, Montaigne, I, 307. C'estoit heresie d'advouer des antipodes, Montaigne, II, 332. Il faut que vous avouez que la possession de ces seuls biens est suffisante pour vous faire benir le donateur, Lanoue, 155. Le vassal est tenu avouer [reconnaître] ou desavouer son seigneur, sinon qu'il y eust contention de tenure entre deux seigneurs, Loysel, 645. Non seulement il sauva Phoebidas, ains feit que la ville de Sparte prit sur elle et advoua la forfaitture qu'il avoit commise, Amyot, Agésil. 39. Leotychides sçut si bien faire que Agis, en presence des tesmoings, declara qu'il l'advouoit pour son filz, Amyot, ib. 3. Ceste proposition ayant esté leue publiquement, le peuple l'advoua et authorisa de merveilleuse affection, Amyot, Pomp. 39. ? Qui, auparavant sa mort, endura des gehennes inventées pour lui faire advouer le purgatoire, D'Aubigné, Hist. I, 73.

    Version électronique créée par François Gannaz - http://www.littre.org - licence Creative Commons Attribution

    Étymologie de « avouer »

    À et vouer?; provenç. avoar.

    Version électronique créée par François Gannaz - http://www.littre.org - licence Creative Commons Attribution

    Du latin advocare (« appeler à soi ») qui a pris le sens de « avoir recours à quelqu'un comme avocat, comme défenseur ».
    Wiktionnaire - licence Creative Commons attribution partage à l'identique 3.0

    AVOUER, verbe trans.
    ÉTYMOL. ET HIST. ? 1. a) 1160-74 dr. féod. avoer « reconnaître pour seigneur celui dont on tient un fief » (Wace, Rou II, 3731 ds Keller, p. 240 : Tu es sis liges hom si nel vols avoer; Ne pur ceo s'il est juefne nel deis mie aviler); b) 1204 « reconnaître pour sien » (Reclus de Molliens, Charité, éd. Van Hamel, 218, 4 ds T.-L.); c) 1363 pronom. « déclarer, reconnaître » (Arch. Nord., B 11265, fol. 4 vods IGLF Techn.); d) 1387 « reconnaître comme valable, approuver (une chose) » (Froissart, Chron., I, II, c. 143 ds Dict. hist. Ac. fr., t. 4, p. 762); (une pers.) (Id., 61, ibid., p. 760); 2. 1580-92 « confesser, reconnaître qu'une chose est ou n'est pas » (Montaigne, Essais, III, 5, ibid., p. 758 : La pire de mes actions et conditions ne me semble pas si laide, comme je trouve laid et lasche de ne l'oser advouer); 1738 absol. (Piron, La Métromanie, V, II, ibid., p. 763). Empr. au lat. advo?care « convoquer » (Plaute, Amph. 1128 ds TLL s.v., 893, 8); à l'époque impériale, « avoir recours à qqn comme avocat, comme défenseur » (Sénèque, Dial., 10, 7, 7, ibid., 894, 24); d'où lat. médiév., sens 1 a (1164, Const. Clarend. c. 9, Stubbs, Sel. ch., p. 166 ds Nierm.), 1 c « reconnaître » (1296, Guillaume de Nangis, Chron. ds Du Cange, t. 1, 103a, s.v. advocare 3), 1 d « approuver, cautionner (qqn) » (1374, Reconnaissance de Vedastus Raquestor, Cartulaire de St Bertin [Pas-de-Calais], ibid., 103c). Le vocalisme des formes médiév. fait difficulté, les textes ayant, au lieu des formes attendues advocat, *avuee etc. des formes comme avoe, avoue, aveue, qui supposent des formes latines avec o accentué fermé (cf. l'évolution normale pour le verbe (jur.) lo(u)er (lieu, luee) < lo?care) le fait que les formes non diphtonguées l'emportent nettement sur les formes diphtonguées laisse supposer une influence précoce du lat. médiév. jur., et prob. du subst. avo(u)é. (Cf. O. Bloch, Notes étymol. et lexicales ds R. Ling. rom., t. 11, pp. 321-23).

    avouer au Scrabble


    Le mot avouer vaut 9 points au Scrabble.

    avouer

    Informations sur le mot avouer - 6 lettres, 4 voyelles, 2 consonnes, 6 lettres uniques.

    Quel nombre de points fait le mot avouer au Scrabble ?


    Le calcul de points ne prend pas en compte lettre compte double, lettre compte triple, mot compte double et mot compte triple. Ces cases augmentent les valeurs des mots posés selon un coefficient indiqué par les règles du jeu de Scrabble.

    SCRABBLE © est une marque déposée. Tous les droits de propriété intellectuelle du jeu sont détenus aux Etats-Unis et au Canada par Hasbro Inc. et dans le reste du monde par J.W. Spear & Sons Limited de Maidenhead, Berkshire, Angleterre, une filiale de Mattel Inc. Mattel et Spear ne sont pas affiliés à Hasbro.

    avouer

    Les rimes de « avouer »


    On recherche une rime en WE .

    Les rimes de avouer peuvent aider les poètes et les paroliers à trouver des mots pour former des vers avec une structure rythmique cohérente, mais aussi pour jouer avec les mots et les sons, découvrir de nouvelles idées et perspectives ce qui peut être amusant et divertissant.

    Les rimes en we

    Rimes de secouait      Rimes de jouait      Rimes de reloué      Rimes de fouet      Rimes de sous-louer      Rimes de doués      Rimes de rejoué      Rimes de amadouer      Rimes de roué      Rimes de sous-louait      Rimes de dénouée      Rimes de tatoués      Rimes de enroués      Rimes de vouer      Rimes de avouées      Rimes de bafouée      Rimes de allouée      Rimes de Wesh      Rimes de avouait      Rimes de vouaient      Rimes de déjouée      Rimes de secouer      Rimes de inavoué      Rimes de rouer      Rimes de tatouaient      Rimes de secouées      Rimes de échouai      Rimes de échouait      Rimes de tramway      Rimes de bafoués      Rimes de nouée      Rimes de tatoué      Rimes de douées      Rimes de renouer      Rimes de loués      Rimes de secoués      Rimes de renoué      Rimes de échoué      Rimes de noué      Rimes de dévouait      Rimes de louée      Rimes de secouée      Rimes de déjoués      Rimes de dévoué      Rimes de enjoués      Rimes de voué      Rimes de inavouées      Rimes de nouée      Rimes de échouer      Rimes de louais     

    Mots du jour

    secouait     jouait     reloué     fouet     sous-louer     doués     rejoué     amadouer     roué     sous-louait     dénouée     tatoués     enroués     vouer     avouées     bafouée     allouée     Wesh     avouait     vouaient     déjouée     secouer     inavoué     rouer     tatouaient     secouées     échouai     échouait     tramway     bafoués     nouée     tatoué     douées     renouer     loués     secoués     renoué     échoué     noué     dévouait     louée     secouée     déjoués     dévoué     enjoués     voué     inavouées     nouée     échouer     louais     


    Les citations sur « avouer »

    1. Désigner nommément le mal, c'était le faire exister, en rechercher la cause, c'était avouer son inquiétude, s'exposer aux rumeurs.

      Auteur : Franck Pavloff - Source : L'Homme à la carrure d'ours (2012)


    2. Un Homme ne devrait jamais rougir d'avouer qu'il a tort ; car, en faisant cet aveu, c'est comme s'il disait qu'il est plus sage aujourd'hui qu'il ne l'était hier.

      Auteur : Alexander Pope - Source : Les pensées de Pope


    3. Il est toujours difficile d'avouer son amour à une femme dont on ignore les sentiments.

      Auteur : Claire Martin - Source : Quand j'aurai payé ton visage (1962)


    4. Pour moi, voici quel est mon mot - Et sur le mot et sur la chose. - J'avouerai que j'aime le mot, - J'avouerai que j'aime la chose.

      Auteur : Gabriel-Charles de Lattaignant - Source : Le Mot et la Chose


    5. J'avoue bien que l'argent ne fait pas le bonheur ; mais il faut avouer suffi qu'il le facilite beaucoup.

      Auteur : Pierre Choderlos de Laclos - Source : Les Liaisons dangereuses (1782)


    6. Il est vrai que le confinement n’est pas le même pour tout le monde. Même en cas de crise sanitaire, la lutte des classes a de beaux restes. Certes, à la morgue, tout le monde se ressemble, et ce virus semble apprécier particulièrement ces classes supérieures mondialisées qui partagent leurs postillons dans les aéroports. Léger sentiment de revanche chez tous les autres, en attendant d’être contaminés à leur tour. Mais à présent que chacun se retrouve face à lui-même, et face à son intérieur, il faut avouer que la sélection sociale reprend ses droits.

      Auteur : Natacha Polony - Source : Coronavirus : confinez-vous avec grâce, bande d’incultes, Marianne, 20 mars 2020


    7. Ceux qui sont unis par les liens du mariage doivent le traiter avec le plus grand respect, et n'en jamais souiller la pureté par des unions illégitimes et criminelles dont ils n'osent avouer les fruits.

      Auteur : Plutarque - Source : Oeuvres morales, Préceptes de mariage


    8. Faire comme si son prochain était un pauvre minable est simplement une façon indirecte d'avouer sans le reconnaître explicitement qu'on est un pauvre minable soi-même.

      Auteur : Robert Escarpit - Source : Lettre ouverte au diable


    9. J'adore avouer. C'est une passion. Je ne commets des fautes que pour le plaisir d'avoir à les avouer.

      Auteur : Yann Moix - Source : Une simple lettre d'amour (2015)


    10. Mais un homme ne doit jamais s'avouer vaincu, dit t-il.

      Auteur : Ernest Hemingway - Source : Le vieil homme et la mer (1952)


    11. On doit se consoler de ses fautes quand on a la force de les avouer.

      Auteur : François de La Rochefoucauld - Source : Réflexions ou Sentences et Maximes morales (1664)


    12. Peindre à la perfection une figure équestre, c'est encore et toujours - et seulement - rendre hommage au vrai Créateur, avouer et montrer, par les couleurs mêmes de la vie, notre émoi devant l'opulence du monde qu'Il a créé.

      Auteur : Orhan Pamuk - Source : Mon nom est Rouge (2002)


    13. Dire d'un homme colère, inégal, querelleux, chagrin, pointilleux, capricieux : «c'est son humeur» n'est pas l'excuser, comme on le croit, mais avouer sans y penser que de si grands défauts sont irrémédiables.

      Auteur : Jean de La Bruyère - Source : Les Caractères (1696), 9, IV, De l'homme


    14. On doit avouer ses qualités à voix basse, et ses défauts à haute voix.

      Auteur : Talmud - Source : Sota, 32b


    15. Une femme doit toujours avouer son âge quand il lui va bien.

      Auteur : Frédéric Dard - Source : Les pensées de San-Antonio


    16. Ah! Qu'il faut avouer que celui qu'on vous a donné étoit peu digne de l'honneur qu'il a reçu, et que c'est une étrange chose que l'assemblage qu'on a fait d'une personne comme vous avec un homme comme lui!

      Auteur : Molière - Source : George Dandin (1666), III, 5, Clitandre


    17. S'avouer ses dépendances multiples peut aider l'homme à s'améliorer sur plusieurs points de vue. Se cacher ses dépendances multiples ne fait que le rendre de plus en plus malheureux.

      Auteur : Daniel Desbiens - Source : Maximes d'Aujourd'hui


    18. Il était sur le point d'avouer à Madame de Rênal l'ambition qui jusqu'alors avait été l'essence même de son existence.

      Auteur : Henri Beyle, dit Stendhal - Source : Le Rouge et le Noir (1830)


    19. Oh! argent que j'ai tant méprisé et que je ne puis aimer quoi que je fasse, je suis forcé d'avouer que tu as pourtant ton mérite: source de la liberté, tu arranges mille choses dans notre existence, où tout est difficile sans toi.

      Auteur : François-René de Chateaubriand - Source : Mémoires d'outre-tombe (1848), IV, 1


    20. Si vous dites : II fait beau temps, et que vous disiez vérité, il fait donc beau temps. Voilà pas une forme de parler certaine ? Encore nous trompera-t-elle. Qu'il soit ainsi, suivons l'exemple. Si vous dites : Je mens, et que vous disiez vrai, vous mentez donc. L'art, la raison, la force de la conclusion de cette-ci sont pareilles à l'autre ; toutes fois nous voila embourbés. Je vois les philosophes Pyrrhoniens qui ne peuvent exprimer leur générale conception en aucune manière de parler; car il leur faudrait un nouveau langage. Le notre est tout formé de propositions affirmatives, qui leur sont de tout ennemies. De façon que, quand ils disent : « Je doute », on les tient incontinent à la gorge pour leur faire avouer qu'au moins ils assurent et savent cela, qu'ils doutent. [...] Cette fantaisie est plus sûrement conçue par interrogation : « Que sais-je ? » comme je la porte à la devise d'une balance.

      Auteur : Michel de Montaigne - Source : Essais, II, 12, Apologie de Raimond Sebond


    21. Le vrai «snob» est celui qui craint d'avouer qu'il s'ennuie quand il s'ennuie; et qu'il s'amuse quand il s'amuse.

      Auteur : Paul Valéry - Source : Mélange (1939)


    22. Si Dieu existe, qu'il le prouve, et s'il n'existe pas, qu'il ait le courage de l'avouer...

      Auteur : Pierre Dac & Francis Blanche - Source : Almanach de l'Os à moelle, Pensée du 24 juin 1980


    23. Si une horloge n'est pas faite pour montrer l'heure, j'avouerai alors que les causes finales sont des chimères; et je trouverai fort bon qu'on m'appelle cause-finalier, c'est-à-dire un imbécile.

      Auteur : Voltaire - Source : Dictionnaire philosophique (1764)


    24. S'il est vrai que la critique soit la contrepartie des arts et comme leur conscience, il faut avouer que les lettres de nos jours n'ont pas bonne conscience.

      Auteur : Jean Paulhan - Source : Les Fleurs de Tarbes ou La terreur dans les Lettres (1936-1941)


    25. Il faut l'avouer, le présent est pour les riches, et l'avenir pour les vertueux et les habiles. Homère est encore et sera toujours: les receveurs de droits, les publicains ne sont plus; ont-ils été?

      Auteur : Jean de La Bruyère - Source : Les Caractères (1696), 56, V, Des biens de fortune


    Les citations sur avouer renforcent la crédibilité et la pertinence de la définition du mot avouer en fournissant des exemples concrets et en montrant l'utilisation d'un terme par des personnes célèbres. Elles peuvent également renforçer la compréhension du sens d'un terme et en ajoutant une dimension historique.

    Les mots proches de « avouer »

    AvocasserAvocatAvocateAvocatieAvocetteAvoine ou aveineAvoirAvoirAvoisinerAvorté, éeAvortementAvorterAvortonAvoué, éeAvouéAvouerAvouerie

    Les mots débutant par avo  Les mots débutant par av

    avocaillonavocasseriesavocatavocat-conseilavocateavocatesavocatieravocatsavocetteAvocourtavoientavoinaientavoineAvoineAvoineavoineravoinesavoiravoiravoiravoirsAvoiseavoisinaientavoisinaitavoisinantavoisinantavoisinanteavoisinantesavoisinantsavoisineavoisinentavoisineravoisineraitAvolsheimAvonAvonAvon-la-PèzeAvon-les-RochesAvondanceavonsavonsAvordavortaavortaitavortantavorteavortéavortéavortéeavortée

    Les synonymes de « avouer»

    Les synonymes de avouer :

      1. admettre
      2. accorder
      3. concéder
      4. convenir
      5. déclarer
      6. dire
      7. confesser
      8. reconnaître
      9. accoucher
      10. correspondre
      11. plaire
      12. parler
      13. exprimer
      14. constater
      15. explorer

    synonymes de avouer

    Fréquence et usage du mot avouer dans le temps


    Évolution historique de l’usage du mot « avouer » avec Google Books Ngram Viewer qui permet de suivre l’évolution historique de l'usage du mot avouer dans les textes publiés.



    Classement par ordre alphabétique des définitions des mots français.


    Une précision sur la définition de Avouer ?


    Etendez votre recherche avec le dictionnaire des définitions :

    Citations avouer     Citation sur avouer   Poèmes avouer   Proverbes avouer   Rime avec avouer    Définition de avouer  


    Définition de avouer présentée par dicocitations.com. Les définitions du mot avouer sont données à titre indicatif et proviennent de dictionnaires libres de droits dont Le Littré, le Wiktionnaire, et le dictionnaire de l'Académie Française.



    Les informations complémentaires relatives au mot avouer notamment les liens vers les citations sont éditées par l’équipe de dicocitations.com. Ce mot fait partie de la catégorie des mots français de 6 lettres.

    Page modifiée le lundi 15 décembre 2025 21:55:27