La définition de Cousin, Ine du dictionnaire français. Signification du mot et son éthymologie - De nombreux exemples d'usage en français ainsi que des citations.

Cousin, ine
Nature : s. m. et f.
Prononciation : kou-zin, zi-n'
Etymologie : Provenç. cosin, cozin, cousin, cozina, cousine ; catal. cosi ; ital. cugino ; pays de Coire, cusrin, cusdrin ; cosina, cousine ; bas-lat. cossofrenus, dans un glossaire du VIIe siècle ; du latin consobrinus, de cum, avec, et sobrinus, cousin ; c'est ce que montrent les formes cusrin, cusdrin, où l'r est conservée.

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Notre dictionnaire de français vous présente les définitions de cousin, ine de manière précise, avec des exemples pertinents pour aider à comprendre la signification du mot.

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La définition de Cousin, Ine

Il se dit de tous les parents ou alliés autres que ceux qui ont un nom spécial. Les cousins germains sont les cousins issus de frères ou soeurs. Les cousins issus de cousins germains sont les cousins au second degré. Cousins au troisième, au quatrième degré, au sixième degré, parents à ce degré.


Toutes les définitions de « cousin, ine »


Dictionnaire de l'Académie française, huitième édition

COUSIN, INE. n.
Celui, celle qui descend, soit de deux frères, soit de deux sœurs, soit du frère ou de la sœur. Cousins germains. Cousins issus de germains. Cousins au troisième, au quatrième degré, etc. Il était aussi, dans l'ancienne France, le Titre que, dans ses lettres, le roi donnait à des princes étrangers, aux cardinaux, aux pairs, aux ducs, aux maréchaux de France, aux grands d'Espagne et à quelques seigneurs du royaume. Fam., Le roi n'est pas son cousin signifie, avec une nuance d'ironie, Il se met au-dessus du roi, il est très fier, très glorieux. Il se dit, figurément et familièrement, de Ceux qui sont en bonne intelligence. Si vous faites telle chose, nous ne serons pas cousins. Depuis cette fâcheuse affaire, je ne suis pas très cousin avec lui.

Littré

COUSIN (kou-zin, zi-n') s. m.
  • 1Il se dit de tous les parents ou alliés autres que ceux qui ont un nom spécial. Les cousins germains sont les cousins issus de frères ou s?urs. Les cousins issus de cousins germains sont les cousins au second degré. Cousins au troisième, au quatrième degré, au sixième degré, parents à ce degré. Chacun, jetant les yeux dans un rang ennemi, Reconnaît un beau-frère, un cousin, un ami, Corneille, Hor. I, 4. S'il vous souvient aussi, dès lors un trait de flamme Des yeux de ma cousine avait blessé votre âme, Rotrou, Bélis. IV, 2. Vous donnant des conseils de cousin à cousine, Il prétend vous tirer de vos égarements, Et par même moyen savoir vos sentiments, La Fontaine, Florentin, I, 6. Un cousin, abusant d'un fâcheux parentage, Veut qu'encor tout poudreux et sans me débotter, Chez vingt juges pour lui j'aille solliciter, Boileau, Épît. VI. Vois-tu cet autre avec ce visage farouche?? C'est Ajax, fils de Télamon et cousin d'Achille, Fénelon, Tél. XIX. À Rome, le mariage entre cousins germains était permis, Chateaubriand, Génie, I, I, 10.

    Mon cousin, titre que le roi de France donnait, dans ses lettres, aux princes du sang, aux cardinaux, aux pairs, aux dues, aux maréchaux de France. Le roi répondit aux grands d'Espagne, et leur donna à tous le cousin qu'ils ont aussi des rois d'Espagne, Saint-Simon, 84, 98.

    Familièrement. Je n'eus pas de peine à lui faire entendre [à M. de Beauvillier] que, quand bien même son expulsion ne serait pas résolue, l'intrusion d'Harcourt en était le cousin germain [en était l'équivalent, l'avant-coureur], Saint-Simon, 221, 236.

    Fig. Si cette fortune lui arrivait, le roi ne serait pas son cousin, il en ressentirait un orgueil excessif.

  • 2 Familièrement. Cousins, personnes qui vivent comme bons amis. Ils sont grands cousins. Si vous faites telle chose, nous ne serons pas cousins. Ces animaux vivaient entre eux comme cousins, La Fontaine, Fabl. XII, 8.
  • 3Cousin de la gueule noire, se dit dans le Berry de ceux qui sont intéressés dans les forges. La gueule noire est une métaphore par laquelle on désigne une usine à fer.
  • 4Chanteau de pâtisserie qu'on envoie, quand on rend le pain bénit, aux parents et aux amis.

    PROVERBE

    Tous gentilshommes sont cousins, et tous vilains compères.

HISTORIQUE

XIe s. Tedbal de Reims et Milon son cusin, Ch. de Rol. XI.

XIIe s. Cil quatre estoient et cosin et parent, Ronc. p. 121. Mult nota les paroles que li quens respundi, Pur ço que li quens ert cusins le rei Henri, E erent d'un conseil e durement ami, Th. le mart. 52.

XIIIe s. Cil dui conte estoient cousin germain et neveu le roi de France, Villehardouin, LI. Qu'à sa cousine [il] puist hastivement venir, Berte, XII. Il estoit en guerre contre Burile, qui ses cousins germains estoit, H. de Valenciennes, 11. Paor qui tint la teste encline, Parla à Honte sa cousine, la Rose, 3658. Li dis doit le fait resembler?; Car les vois as choses voisines Doivent estre à lor faiz cousines, ib. 15394. Nos apelons coisins toz cez que la loi apele parenz de par pere ou de par mere, Liv. de just. 231. En ce meisme degré sont cil qui sont apelé cosin germain et coisines germaines?: ce sont cil qui nessent de deus freres et de deus serors, ou de frere ou de seror, ib. 227. Etli fix de mon oncle m'est el secont degré de lignage en montant, et l'apel on cousin germain, Beaumanoir, XIX, 3. Je ving au conte de Soissons, cui [duquel] cousine germaine j'avoie espousée, Joinville, 227. Sire, se vous ne me lessiez dire que vous soiés cousin au roy, l'en vous occirra touz et nous avec, Joinville, 240.

XIVe s. Cognoistre sa cousine ou cas dessus dit n'est pas pechié pource que la decretale le deffent, Oresme, Eth. 163.

XVe s. Son mari lui rendit la chose telle comme elle lui bailla, combien qu'il en demourast toujours le cousin [dupe], Louis XI, Nouv. XIX. Et tiens, qui en auroit affaire, qu'on la trouveroit aujourd'hui au rang de nos cousines [courtisanes] en Avignon, à Beaucaire ou autre part, Louis XI, ib. LV. Nous ferons venir à notre logis deux jeunes filles de nos cousines [filles de joie], Louis XI, ib. LVIII. Mes amis, vous faictes comme celuy qui espouse sa cousine, puis en demande dispensacion, Petit Jehan de Saintré, p. 235, dans LACURNE.

XVIe s. Après disner, ayant toujours continué ses premiers propos, ils furent incontinent cousins, Despériers, Contes, LXI. Le faillir à gaigner honnestement, est cousin germain de perte, De Serres, 738. Et diroit on à voir la chere et grace de ces beaux mespriseurs de toutes choses, qu'ils sont cousins germains de quelque grosse souche de bois, Dial. de TAHUREAU, p. 45, dans LACURNE.

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Encyclopédie, 1re édition

COUSIN, culex, sub. m. (Hist. nat. Insectolog.) insecte fort connu par sa piquûre & par son bourdonnement ; on éprouve assez l'une & l'autre de ces incommodités, pour être curieux d'en connoître la cause, aussi nos plus grands observateurs n'ont-ils pas négligé cet insecte. Il n'est que trop multiplié : on en distingue dans ce pays-ci plusieurs especes de différentes grandeurs ; aux environs de Paris on peut en reconnoître trois especes ; ceux de la plus grande ont sur le corps des marques de blanc & de noir, & sur le corcelet des ondes brunes ou noires, mêlées avec des ondes blanches ou grisâtres ; les yeux sont bruns. D'autres cousins moins grands ont le corps brun ; le corcelet des plus petits, qui sont les plus communs, est de couleur rousse ou de feuille morte, & le corps blanchâtre ; ils ont le ventre gris, excepté l'endroit d'une tache brune qui est sur chaque anneau. En général les cousins ont le corps allongé, cylindrique, & composé de huit anneaux ; le corcelet est court & gros, il porte les six jambes, les deux ailes, & les deux balanciers ou maillets de cet insecte. On y voit aussi quatre stigmates. Dans l'état de repos les ailes se croisent l'une sur l'autre ; elles sont très-minces & transparentes ; on y apperçoit au microscope quelques écailles semblables à celles des ailes de papillon ; ces écailles sont placées pour l'ordinaire le long des nervures de l'aile, ce qui ressemble en quelque sorte à des feuilles posées le long de la tige d'une plante ; il y a aussi des écailles sur le corcelet & sur tous les anneaux du corps, & on y découvre des poils longs & extrèmement fins : les antennes sont faites en forme de panache, celles des mâles sont plus grosses que celles des femelles. Ces insectes ont des yeux à réseau qui entourent presque toute la tête ; il y en a qui sont d'un beau verd, changeant à certains aspects où ils paroissent rouges. Dans quelques especes il y a deux corps oblongs, arrondis, & placés près de la trompe comme les barbes des papillons. Les cousins piquent par le moyen d'une trompe ; c'est une sorte d'instrument composé de plusieurs pieces renfermées dans un fourreau, qui paroît cylindrique dans la plus grande partie de sa longueur, & qui est couvert d'écailles ; il est terminé par un bouton pointu, dont l'extrémité est percée : on apperçoit quelquefois une pointe qui sort par cette ouverture ; mais lorsqu'on presse l'insecte entre deux doigts par le corcelet près de la tête, on voit le fourreau de la trompe s'entrouvrir dans sa partie supérieure, & quelquefois d'un bout à l'autre, jusqu'au bouton qui est à l'extrémité. Il sort alors de l'ouverture du fourreau une espece de fil rougeâtre & luisant, qui se courbe dans toute sa longueur ; ce fil est composé de plusieurs filets que l'on peut séparer les uns d'avec les autres, & qui se séparent quelquefois d'eux-mêmes. Lorsque l'insecte pique, on voit la pointe qui sort de l'ouverture du bouton placé à l'extrémité de la trompe : il fait d'abord quelque tentative, & semble chercher l'endroit où il enfoncera la pointe ; alors si on l'observe, par exemple, sur la main avec une loupe, on voit qu'à mesure que l'aiguillon pénetre dans la chair, il glisse à travers le bouton qui remonte du côté de la tête de l'insecte : le fourreau n'étant pas fait de façon à se raccourcir en se plissant, il se plie par le milieu, l'aiguillon en sort par la fente dont il a déjà été fait mention, & le bouton du fourreau en se rapprochant de la tête de l'insecte met le fourreau en double. Cette organisation est particuliere à la trompe du cousin : c'est par ce moyen qu'un aiguillon qui n'a qu'une ligne de longueur, peut entrer dans la peau à trois quarts de ligne & plus de profondeur sans s'allonger d'autant, sans que le fourreau se plisse & sans que le bouton entre dans l'ouverture que fait l'aiguillon. Il y a quelques différences entre les trompes des diverses especes de cousins : on voit quelquefois deux antennes qui se séparent de la trompe ; dans d'autres l'aiguillon a un double fourreau ; l'extérieur est composé de deux pieces latérales, qui se séparent du second, & s'élevent jusqu'à la tête de l'insecte avant que le second fourreau se plie lorsque l'aiguillon fait une piquûre. Il y a de ces insectes dont l'aiguillon est plus fort que celui des especes les plus communes ; l'extrémité de l'étui s'éloigne de celle de l'aiguillon, qui par conséquent ne passe plus par le bouton de l'étui lorsqu'il sort au-dehors ; l'insecte s'appuie alors sur l'extrémité de l'étui de la trompe, comme sur une jambe qui pose à une ou deux lignes de l'endroit où se fait la piquûre de l'aiguillon.

Cet aiguillon est dans tous les cousins composé de plusieurs pieces, mais si fines, que les observateurs ne sont pas d'accord ni sur leur nombre ni sur leur figure ; mais il n'est pas douteux que ces insectes ne sucent le sang des animaux & de l'homme par le moyen de leur trompe ; ils s'en remplissent l'estomac & tous les intestins. Le ventre qui est plat, flasque, & gris, lorsqu'il est vuide, devient arrondi, tendu, & rougeâtre, après qu'il a été rempli de sang ; & pour qu'il en contienne une plus grande quantité, on prétend que l'insecte rend les excrémens qui y étoient restés ; mais cette quantité est si petite, qu'elle seroit très-indifférente si nous ne ressentions pas une petite douleur dans l'instant de la piquûre, & sur-tout si elle n'étoit pas suivie d'une démangeaison assez forte, & d'une enflûre assez considérable. Sur les bords de la mer & dans les lieux marécageux, où il se trouve un plus grand nombre de ces insectes qu'ailleurs, il arrive que leurs piquûres sont si fréquentes, que des gens en ont eu les bras & les jambes enflés & affectes au point, qu'il étoit à craindre qu'on ne fût obligé de les couper. Pour l'ordinaire les piquûres de ces insectes ne sont pas si dangereuses, mais on en est assez incommodé pour en rechercher la cause & le remede.

L'aiguillon qui fait cette piquûre est si délié, qu'on a peine à l'appercevoir, & qu'on ne sait comment il est capable de causer de la douleur & des tumeurs dans la peau : on a cru que ces symptomes venoient de ce que l'aiguillon avoit une figure particuliere ; mais il y a là-dessus une autre opinion, c'est qu'il sort de la trompe une liqueur qui peut irriter la petite plaie. On a vû dans diverses circonstances de petites gouttes d'une liqueur claire au bout de la trompe, &c. cette eau sert peut-être à délayer le sang, & à le rendre assez fluide pour qu'il puisse entrer dans la trompe. On a comparé cette liqueur à la salive qui prépare les alimens à la digestion. Quoi qu'il en soit, il vaudroit encore mieux avoir un bon remede contre les piquûres du cousin, que de connoître la cause des accidens qu'elles font éprouver. On conseille de délayer avec de l'eau la liqueur que l'insecte a laissée dans la plaie, c'est-à-dire de laver la plaie aussi-tôt qu'on a été piqué, & même de la gratter pour l'aggrandir afin que l'eau y pénetre mieux. Pour l'ordinaire on ne la grate que trop, & l'enflûre n'en est que plus grande ; mais je ne doute pas que l'eau, ou tout autre topique émollient & rafraîchissant, ne puisse non-seulement adoucir la demangeaison & prévenir l'enflûre, mais même faire disparoître la tumeur lorsqu'elle est déjà formée ; & je crois qu'on ne doit pas négliger de traiter méthodiquement les piquûres de ces insectes, lorsqu'il y en a plusieurs sur une même partie. Il est à croire que le sang des animaux n'est pas un aliment nécessaire pour les insectes dont il s'agit, & que la plûpart vivent du suc des plantes, sans jamais sucer de sang.

Les cousins naissent dans les eaux croupissantes. On les trouve sous la forme de vers aquatiques dans les mares, depuis le mois de Mai jusqu'au commencement de l'hyver. Dans les années pluvieuses leur nombre est prodigieux : mais il est toûjours aisé d'en avoir ; il suffit de laisser un baquet plein d'eau à l'air, au bout de quelques semaines il y a des vers de cousins. Ceux des différentes especes peuvent varier en quelque chose dans leur figure ; mais ils se ressemblent tous pour les parties essentielles. Ces vers n'ont ni jambes ni dents ; le corps est allongé ; la tête bien détachée du premier anneau auquel elle tient par une espece de cou. Les anneaux sont au nombre de neuf ; le premier est beaucoup plus gros & plus long que les autres ; ils diminuent successivement de grosseur jusqu'au dernier, qui est le plus petit de tous : il y a une sorte de tuyau qui tient au dernier anneau, & qui pour l'ordinaire est dirigé obliquement en arriere & à côté : sa longueur est plus grande que celle des trois anneaux qui le précedent pris ensemble ; c'est par ce conduit que le ver respire. L'ouverture qui est à l'extrémité se trouve à la surface de l'eau, de sorte que l'insecte est comme suspendu la tête en bas. Dès qu'on agite l'eau, ces vers s'y enfoncent ; mais bien-tôt ils reviennent à la surface, où il est aisé de les voir, quoiqu'ils soient très petits. Un autre tuyau tient encore au dernier anneau ; il est aussi gros, mais plus court que l'autre, & il sert d'anus. Chacun des anneaux a de chaque côté une houpe de poils ; mais le premier en a trois. La couleur des anneaux est verdâtre ou blanchâtre, lorsque le ver est nouvellement éclos ; elle devient grisâtre lorsqu'il approche du tems de sa transformation. La tête est un peu plus brune que le reste de l'insecte : on voit une tache brune à l'endroit de chaque ?il, & autour de la bouche des barbillons qui servent à diriger les alimens qui nagent dans l'eau. Il y a encore sur la tête deux antennes différentes de celles des insectes ailés ; elles sont courbées en arc, & n'ont qu'une articulation qui est à la base.

Le ver du cousin change trois fois de peau en quinze jours ou trois semaines. Avant que de se transformer à la quatrieme fois, il perd sa premiere forme, il se raccourcit & s'arrondit ; le corps est contourné de façon que la queue est appliquée contre le dessous de la tête, & que le tout a une forme lenticulaire : une partie de sa circonférence est plus épaisse que l'autre ; celle-là est à la surface de l'eau, & l'autre en-bas : on distingue sur la premiere deux sortes de cornes, ou plûtôt deux cornets qui ressemblent à des oreilles d'âne. Lorsque l'insecte nage, il déplie la partie du corps qui étoit recourbée en-dessous jusqu'auprès de la tête. Dans ce second état il peut être appelle nymphe ou chrysalide, parce qu'il a des qualités propres à l'une & à l'autre : alors il ne mange plus, mais il respire comme auparavant, quoique la situation des organes soit différente ; l'air entre par les cornets qui s'élevent sur le corcelet, & qui se trouvent à la surface de l'eau. L'état de nymphe dure plus ou moins, selon le degré de chaleur. Quelquefois la seconde transformation se fait onze ou douze jours après la naissance du ver ; & d'autres fois ce n'est qu'après quatre semaines.

Par cette transformation l'insecte passe de l'état de nymphe à celui d'insecte ailé, dans lequel nous lui donnons le nom de cousin. Pour y parvenir, il étend la partie postérieure du corps à la surface de l'eau, au-dessus de laquelle le corcelet paroît ; alors l'enveloppe extérieure de la nymphe se fend assez près des deux cornets, ou même entre ces deux cornets ; le corcelet se découvre, la fente s'aggrandit, & bientôt la tête du cousin s'éleve au-dessus des bords ; le corps suit, & à mesure que l'insecte sort de son enveloppe, il se redresse, & parvient enfin à mettre son corps dans une direction presque verticale, s'appuyant sur sa partie postérieure qui porte dans le milieu de sa dépouille comme un mât dans le milieu d'un bateau. En effet, la dépouille lui sert de barque ; & si par quelqu'accident l'insecte perd l'équilibre au point que l'eau passe par-dessus les bords de l'ouverture qu'il a faite dans sa dépouille lorsqu'il en est sorti, & qu'elle entre dans la cavité qui est restée vuide par le déplacement du corps de l'insecte, la barque est submergée, & il tombe dans l'eau où il périt à l'instant ; ce qui arive à une grande quantité de ces insectes lorsqu'il fait du vent dans le tems de leur transformation. Cependant pour l'ordinaire la barque se soûtient, & en une minute la man?uvre la plus difficile est achevée. Le cousin tire d'abord ses deux premieres jambes du fourreau, ensuite les deux suivantes, & les appuie sur l'eau en penchant son corps ; enfin il déplie ses ailes ; dans un instant elles se sechent, & l'insecte prend l'essor.

On ne sait pas comment, ni en quel lieu, ni en quel tems se fait l'accouplement de ces insectes ; ce qu'il y a de certain, c'est qu'ils sont très-féconds ; une seule femelle produit deux cents cinquante ou trois cents, & même jusqu'à trois cents cinquante ?ufs d'une seule ponte ; & s'il ne faut que trois semaines ou un mois pour chaque génération, il pourroit y avoir six ou sept générations chaque année, puisqu'on trouve des ?ufs dans les mares depuis le mois de Mai jusqu'à l'hyver. Dès que l'on a vû des nymphes se transformer en cousins, dans un vase que l'on a rempli d'eau & exposé à l'air, comme il a déjà été dit, peu de jours après il se trouve dans le même vase de nouveaux ?ufs qui nagent sur la surface de l'eau ; ils sont oblongs, & plus gros à un bout qu'à l'autre : tous ceux qui viennent d'une même femelle sont rassemblés en un tas, situés verticalement le gros bout en bas, & l'autre en haut à la surface de l'eau. Ces ?ufs sont collés les uns aux autres, & disposés de façon qu'ils forment une sorte de radeau dont la figure approche de celle d'un bateau plat qui se soûtient sur l'eau ; car si elle y entroit, les ?ufs n'éclorroient pas. Lorsqu'on les regarde à la loupe, on voit que leur gros bout est terminé par une sorte de cou : d'abord ils sont blancs ; bien-tôt ils deviennent verds, & en moins d'une demi-journée leur couleur change encore en grisâtre. Lorsque le cousin femelle pond, il s'affermit avec ses quatre jambes antérieures sur quelque corps solide, & étend son corps sur la surface de l'eau, sans y toucher que par l'avant-dernier anneau : le dernier est relevé en-haut, & l'anus situé de façon que l'?uf en sort de bas en haut, & se trouve dans sa position verticale tout près des autres ?ufs déjà pondus, contre lesquels il se colle, parce qu'il est enduit d'une matiere gluante. Dans le commencement de la ponte, l'insecte soûtient les premiers ?ufs avec les jambes de derriere en les croisant ; il les écarte peu-à-peu à mesure que le tas augmente ; enfin il ne l'abandonne qu'a la fin de la ponte. Ces ?ufs ont sans doute été fécondés dans le corps de la femelle. On la distingue du mâle en ce que le corps de celui-ci est moins allongé & plus effilé, & terminé par des crochets ; au lieu de ces crochets ; la femelle a deux petites palettes. Mém. pour servir à l'hist. des insect. tome IV. p. 573 & suiv. Voyez Insecte. (I)

Cousin, s. m. (Jurisprud.) qualité relative de parenté qui se forme entre ceux qui sont issus de deux freres, ou de deux s?urs, ou d'un frere & d'une s?ur. Les cousins sont paternels ou maternels ; on appelle cousins paternels, ceux qui descendent d'un frere ou s?ur du pere de celui dont il s'agit ; les cousins maternels, sont ceux qui descendent des freres ou s?urs de la mere.

Les cousins paternels ou maternels sont en plusieurs degrés.

Le premier degré est des cousins germains, c'est-à-dire enfans de freres & s?urs.

Les cousins du second degré, qu'on appelle issus de germains, sont les enfans que les cousins germains ont chacun de leur côté.

Dans le troisieme degré on les appelle arriere-issus de germains ; ce sont les enfans des cousins issus de germains.

Au quatrieme degré, on les appelle simplement cousins au quatrieme degré ; & ainsi des autres degrés subséquens.

Les cousins peuvent se trouver en degré inégal ; par exemple, un cousin germain, & un cousin issu de germain ; en ce cas, on dit que le premier a le germain sur l'autre, & c'est ce que l'on appelle oncle ou tante à la mode de Bretagne. Si les deux cousins sont encore plus éloignés d'un degré, en ce cas le plus proche de la tige commune est, à la mode de Bretagne, le grand oncle du plus éloigné.

On voit dans une ordonnance de Charles V. du 5 Septembre 1368, qu'à Doüai deux cousins germains ne pouvoient en même tems être échevins ; & dans une autre du 28 Janvier suivant il est dit, qu'entre les trente personnes qui éliront le maire & échevins de Péronne, il ne pourra pas y en avoir plus de deux qui soient parens, si cela est possible ; que si cela ne se peut, & qu'il y en ait plus de deux qui soient parens, du moins il ne pourra y en avoir plus de deux qui soient cousins germains. (A)

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Wiktionnaire


Nom commun 1 - français

cousin \ku.z??\ masculin (pour une femme, on dit : cousine)

  1. Fils ou fille de l'oncle ou de la tante d'une personne ; cousin germain.
    • Rabalan était le dernier représentant d'une famille de sorciers qui, durant plus d'un siècle, régnèrent dans Trélotte. Son arrière-grand-père, son grand-père, son père, tous ses oncles et tous ses cousins avaient été sorciers, et l'on racontait d'eux des choses terribles et merveilleuses. (Octave Mirbeau, Rabalan)
    • Peut-être donnerait-elle au Maître un garçon. Eh bien ! tant mieux ! la fortune, du moins, n'irait pas aux neveux et aux cousins du Cheikh qui la convoitaient déjà. (Out-el-Kouloub, Zaheira, dans « Trois contes de l'Amour et de la Mort », 1940)
  2. (Par extension) Descendant (en excluant la fratrie) d'un ancêtre commun.
    • J'effraye Michal comme on effraye une cousine en Normandie, avec l'aide d'une rainette, d'une araignée. (Jean Giraudoux, Retour d'Alsace - Août 1914, 1916)
    • On trouve en Bretagne des anatifes cramponnés en colonies serrées au bas des à-pics rocheux sans cesse battus par les vagues. Ces étranges crustacés cirripèdes sont de lointains cousins des minuscules balanes. (Georges Fleury, La pêche à pied, Grasset, 1997)
  3. (Argot) Dénonciateur, personne donnant des renseignements à la police. ? voir balance, donneuse et indic
    • Quentin avait 16 ans quand son daron avait écopé de six ans ferme. Balancé, le père Cointreau. Par le cousin d'un lardu, un petit fourgue sépharade de la porte de Clignancourt auquel Guy Gilbert aurait donné son blouson sans concession. (Luc Baranger, Maria chape de haine, ch. 3, Baleine, 2010)
  4. (Par analogie) (Figuré) Ce qui est en relation de genre ou de type avec autre chose.
    • Ce qui les angoisse vraiment, ce sont les cousins maléfiques des selfies : les sextos. Nous mettons nos filles en garde : « N'envoie jamais, au grand jamais, de messages sexuellement explicites à quiconque, [?]. » (Peggy Orenstein, Girls & Sex : une étude américaine, traduit de l'anglais (États-Unis) par Claire Richard, 2018)
  5. (Argot) Beur ; Maghrébin.
    • Wesh Cousin !
  6. Titre que, dans ses lettres, le roi donnait à des princes étrangers, aux cardinaux, aux pairs, aux ducs, aux maréchaux de France, aux grands d'Espagne et à quelques seigneurs du royaume.
    • Napoléon III a répondu au tsar qui lui donnait froidement et contrairement aux convenances du « cher ami » au lieu de « cher cousin » : « Je suis touché de votre missive, on choisit ses amis, on subit sa famille. »
  7. (Figuré) Celui avec lequel on est en bonne intelligence.
    • Si vous faites telle chose, nous ne serons pas cousins.
    • Depuis cette fâcheuse affaire, je ne suis pas très cousin avec lui.

Nom commun - ancien français

cousin \Prononciation ?\ masculin (pour une femme, on dit : cousine)

  1. Variante de cosin.

Nom commun 2 - français

cousin \ku.z??\ masculin

  1. (Zoologie) (France) Tipule, insecte ressemblant à un gros moustique, mais qui ne pique pas.
    • Les cousins et les moustiques me désolèrent pendant la route, et je fus privé, pendant trois jours, de l'usage de l'?il droit. (Stendhal, De l'Amour, 1re préface de 1826)
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Trésor de la Langue Française informatisé


COUSIN1, INE, subst.

A.? Parent collatéral issu de l'oncle, de la tante ou de leurs descendants. Cousin éloigné, matrilatéral; cousins par alliance; beau, jeune, petit cousin; bonjour (mon) cousin, (ma) cousine! :
1. Ma cousine Élisa, presque une s?ur aînée, Mieux qu'une s?ur, ô toi, voici donc ramenée La saison de malheur où tu me quittas pour Ce toujours, ce jamais! ... Verlaine, ?uvres complètes,t. 2, Amour, 1888, p. 79.
? Cousins germains. Les enfants de frères ou de s?urs des parents. Cousins issus de germains, ou au deuxième degré. Les enfants nés de cousins germains des parents. Cousins au troisième, quatrième... degré. Cousins descendant de cousins germains aux différentes générations. Cousin(e) à la mode de Bretagne. Parent ou parente éloigné, dont la parenté est difficile à reconstituer sur le moment ou à établir de façon sûre. Cousins croisés. Se dit des enfants du frère et de la s?ur :
2. Précisément parce qu'il fait abstraction du facteur biologique, le mariage entre cousins croisés doit permettre non seulement d'établir l'origine purement sociale de la prohibition de l'inceste, mais encore de découvrir quelle est sa nature. C. Lévi-Strauss, Les Structures élémentaires de la parenté,La Haye-Paris, Mouton, 1967, p. 142.
? [Par équiv. avec cousin2] Iron., péj. Parent abusif; parasite qui se prévaut d'une parenté. Un homme mangé de (ses) cousins (v. cousin2B).
B.? P. anal. [En parlant d'une relation ou d'une affinité psychol., prof. ou symbolique]
1. HIST. Mon cousin. Titre donné par le roi en France non seulement aux princes du sang, mais à plusieurs princes étrangers, cardinaux, pairs, ducs, maréchaux de France, grands d'Espagne et quelques seigneurs du royaume (cf. Ac. 1798). [Le roi d'Angleterre] ne donne (...) des ordres [aux pairs] qu'en les appelant ses cousins (Dumas père, C. Howard,1834, p. 247):
3. le duc de guise. ? ... Votre Majesté va se voir contraindre à la guerre... henri. ? ... Nous ne craignons pas la guerre, mon beau cousin... Dumas père, Henri III et sa cour,1829, II, 4, p. 152.
? Loc. fam. Le roi n'est pas son cousin. Il est si fier et si heureux que le roi même ne lui semblerait pas un parent digne de lui.
2. Fam. et vx. [En parlant de pers. qui sont en bonne intelligence] Ils sont grands cousins; si vous faites telle chose, nous ne serons pas cousins.
Rem. Attesté dans Ac. 1798.
? Proverbe. Tous gentilshommes sont cousins et tous vilains sont compères.
? P. iron. Des cousins ennemis comme Aragon et Malraux (Mauriac, Nouv. Bloc-notes,1961, p. 310).
3. [En parlant d'une pers. ou d'une chose qui a des affinités, des ressemblances avec une autre] Nous, enfants de Paris, cousins des Grecs d'Athènes, Nous raillons et frappons (Hugo, Année terr.,1872, p. 175).Le bouleau (...) et son proche cousin le tremble (Genevoix, Routes avent.,1958, p. 78).
? Spéc. Cousin germain, cousine germaine. Le bien dire en Italie, est cousin-germain du bien faire (Stendhal, Corresp.,t. 2, 1808, p. 406).Son confesseur lui disait que le déiste est le cousin germain de l'athée (Balzac, Pts bourg.,1850, p. 182):
4. Que dites-vous de ceci, n'est-ce pas la cousine germaine de la Mort? dit le dessinateur à l'oreille de Gazonal en lui montrant au comptoir une terrible compagnonne... Balzac, Les Comédiens sans le savoir,1846, p. 320.
? Région. (Lorraine). Cousins de Pentecôte. Paysans qui viennent aux fêtes de la ville (FranceSuppl.1907).
? Arg., péj. Cousin, cousine. Sodomite. Synon. tante (Lar. 19e, France 1907).
Rem. 1. La docum. atteste le subst. fém. cousinette, dimin. de cousine*. Petite, jeune cousine. Grand-maman n'est pas moins timorée et cousinette pas moins émerillonnée que jadis (Amiel, Journal, 1866, p. 453). 2. Les dict. attestent les subst. fém. suivants : a) Cousinaille. Fam., rare et péj. Parenté nombreuse et déplaisante (cf. Lar. 19e). b) Cousinière. Fam. et vx. Parenté nombreuse (gén. pauvre) représentant une charge. ,,Fourmilière de cousins, de parents`` (Lar. 19e). Il m'a fallu régaler toute la cousinière (Ac. Compl. 1842, Besch. 1845). Lieu où sont réunis de nombreux cousins et parents.
Prononc. et Orth. : [kuz? ?], fém. [-in]. Ds Ac. 1694-1932. Étymol. et Hist. Ca 1100 cusin (Roland, éd. J. Bédier, 173); ca 1150 cosin germain (Thèbes, éd. L. Constans, 2737); ca 1170 cosine germainne (Chr. de Troyes, Erec, éd. M. Roques, 1341). Du lat. class. consobrinus « cousin germain du côté maternel » puis « cousin germain (en général) par l'intermédiaire d'une forme abrégée » *co(n)sinus, prob. du langage enfantin (FEW t. 2, p. 1075).
STAT. ? Cousin1 et 2. Fréq. abs. littér. : 5 715. Fréq. rel. littér. : xixes. : a) 10 011, b) 8 041; xxes. : a) 7 237, b) 7 100.
BBG. ? Arveiller (R.). R. Ling. rom. 1965, t. 29, p. 376. ? Gottsch. Redens. 1930, p. 437. ? Goug. Mots t. 1 1962, p. 150. ? Kuznecon (A. M.). On the Typology of the semantic field of kinship terms. Linguistics. La Haye. 1974, no125, p. 9, 13.


COUSIN2, subst. masc.

A.? Insecte à longues pattes grêles, très répandu dans les pays marécageux, connu pour son bourdonnement importun et pour la piqûre désagréable et contagieuse de la femelle. Ailes, antennes, pattes de cousin. Synon. maringouin, moustique (cour.).Nous aurons mouches et cousins par nuées (Sainte-Beuve, Prem. lundis,t. 2, 1869, p. 412).On ne se promène guère [à Biarritz], on est mangé la nuit par les cousins, et on médit de son prochain (Mérimée, Lettres Viollet-le-Duc,1870, p. 140).
B.? Au fig., fam., vx. [Par équiv. avec cousin1] Avoir toujours des cousins chez soi ou être mangé des cousins. Avoir constamment chez soi comme des parasites des cousins ou des personnes qui imposent leur présence au nom de la parenté ou de l'amitié. Chasser les cousins. Éloigner les parasites, les importuns. Chasse-cousin.
Rem. À l'exception de Quillet 1965, les dict. gén. du xxes. ne font plus état de sens figuré.
Prononc. et Orth. : [kuz? ?]. Ds Ac. 1694-1932. Homon. et homogr. cousin1. Étymol. et Hist. 1551 lyonnais cousin (Gruget, trad. des Dialogues de Speron Sperone ds Hug.); 1577 cusin (Am. Jamyn, liv. V, Epigr. à Gellia ds Littré); 1578 (Ronsard, Les Amours diverses, XVI, éd. Laumonier, t. XVII, 2epart., p. 302). Orig. discutée; peut-être dér. de *couç issu du lat. class. culex, icis, les formes en -u- étant dues aux représentants de pulex, puce* (FEW t. 2, p. 1495 a). Bbg. Dauzat (A.). Fr. mod. 1939, t. 7, p. 167. ? Gottsch. Redens. 1930, p. 123. ? Pichon (E.). Cousin. Fr. mod. 1939, t. 7, p. 26.


Cousin, Ine au Scrabble


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