Définition de « pollution »
Notre dictionnaire de français vous présente les définitions du mot pollution de manière claire et concise, avec des exemples pertinents pour aider à comprendre le sens du mot.
Il comprend des informations supplémentaires telles que des exemples d'expressions, l'étymologie, les synonymes, les homonymes, les antonymes mais également les rimes et anagrammes et bien sûr des citations littéraires sur pollution pour aider à enrichir la compréhension du mot Pollution et répondre à la question quelle est la définition de pollution ?
Une définition simple : (fr-rég|p?.ly.sj??) pollution (f)
Approchant : polluant, polluer, pollueur
Définitions de « pollution »
Trésor de la Langue Française informatisé
POLLUTION, subst. fém.
Wiktionnaire
Nom commun - français
pollution \p?.ly.sj??\ féminin
- Diffusion dans l'environnement d'un produit potentiellement toxique ou de nature à perturber le fonctionnement d'un biotope.
- Il se fichait même de savoir pourquoi De Lavarice préconisait un désherbement à la main plutôt que l'application de produit herbicide. Il se fichait de savoir si c'était par souci de pollution ou d'économie. ? (Ernest Bavarin, L'habitation de la nouvelle chance, L'Harmattan, 2001, page 264)
- Et les muges ? Pauvres muges ! On leur a fait tellement de tort avec la pollution et le mazout que les amateurs de muges aux olives sont plutôt rares. C'est un grand vide dans les traditions que la disparition de ce poisson appelé « mulet » dans le reste de la France. ? (Christiane Maréchal raconte la Provence calendale: Noël, Étrennes, les Rois, Éditions de Provence, 1996, page 27)
-
(Par extension) Tout phénomène extérieur qui peut être nuisible, dangereux pour la santé, ou désagréable.
- La pollution lumineuse empêche la bonne observation des étoiles.
- La pollution acoustique est un fléau urbain.
-
(Médecine) Émission involontaire de sperme.
- Une pollution nocturne.
-
(Religion) (Vieilli) Profanation, souillure, péché d'impureté.
- La pollution d'une église dure jusqu'à ce qu'elle ait été bénite à nouveau.
Dictionnaire de l'Académie française, huitième édition
Profanation, souillure. La pollution d'une église dure jusqu'à ce qu'elle ait été bénite de nouveau. Il se dit aussi du Péché d'impureté. En termes de Médecine, il se dit des Émissions involontaires de sperme. Pollution nocturne.
Littré
- 1Profanation, souillure. La pollution d'une église.
-
2Certain péché d'impureté.
Terme de médecine. Émission spermatique involontaire. Pollutions nocturnes.
HISTORIQUE
XIIe s. Les pollutions des males penses [des mauvaises pensées]
, Job, p. 449.
XIVe s. Pollucion est projection de semence sans savoir le tans que c'est fait
, H. de Mondeville, f° 31.
XVIe s. Il n'y a en cela [le soin des sépultures] pollution ny contamination quelconque
, Amyot, Numa, 20.
SUPPLÉMENT AU DICTIONNAIRE
POLLUTION. Ajoutez?:La plus grande pollution des eaux de Seine correspond un peu après à la sortie des eaux d'égout, De Parville, Journ. offic. 20 nov. 1874, p. 7718, 2e col.
Encyclopédie, 1re édition
POLLUTION, s. f. POLLUER, v. act. (Morale.) effusion de semence hors l'usage du mariage. Les théologiens moralistes en distinguent de deux sortes : l'une volontaire, & l'autre involontaire.
La pollution volontaire est celle qu'on se procure par mollesse ; les casuistes la nomment mollities, immunditia. Tous conviennent que c'est un péché contre-nature. Les rabbins la mettent au rang des homicides ; & saint Paul dit que ceux qui tombent dans ce crime n'entreront point dans le royaume de Dieu. I. Cor. vj. 10.
La pollution involontaire est celle qui arrive pendant le sommeil, en conséquence de quelque songe qui a troublé l'imagination. On l'appelle autrement illusion ; & elle ne rend pas coupable la personne à qui elle arrive, à-moins qu'elle n'y ait donné occasion en s'arrêtant avec complaisance à quelque pensée impure.
Pollution nocturne, (Médecine pratiq.) maladie dont le symptome caractéristique, & celui d'où elle tire son nom, est une éjaculation involontaire, plus ou moins fréquente, de la semence, qui se fait pour l'ordinaire pendant la nuit à l'occasion des songes voluptueux. Les Grecs l'ont appellée en conséquence ?????????? ou ???????????, mot composé d'???????, songe, & ?????, semence, qui signifie littéralement songe vénérien ; c'est sous ce nom que C?lius Aurelianus, un des plus anciens auteurs qui ait parlé de cette maladie, en donne une description assez imparfaite.
Il ne faut pas confondre avec l'affection dont il s'agit ici une espece de pollution qui n'est du tout point maladive, & qui sert plutôt à entretenir la santé par l'excrétion nécessaire d'une humeur superflue. C'est celle qui est familiere aux personnes de l'un & l'autre sexe qui vivent dans une continence trop rigoureuse : la nature qui, au grand avantage de l'humanité, ne perd jamais ses droits, les trompe par des mensonges heureux dans des rêves agréables, pourvoit à leur besoin, & leur fait goûter les plaisirs dont ils ont la cruauté ou la vertu de se priver, & qui les dédommagent souvent avec usure de la réalité ; ces personnes, après avoir éprouvé pendant la nuit une de ces pollutions innocentes & salutaires, loin d'en être affoiblies, n'en sont que mieux portantes, plus alertes, & plus dispos.
Il n'en est pas ainsi de ceux qui ont des pollutions nocturnes, excitées moins par le besoin que par une disposition vicieuse des parties de la génération ou du cerveau, & qui méritent à si juste titre le nom affreux de maladie : ces éjaculations plus ou moins réitérées, que le besoin n'a point préparées, que l'appétit ou les desirs n'ont point assaisonnées, n'occasionnent souvent aucun plaisir même momentané ; elles causent au contraire dans plusieurs des douleurs cuisantes, il leur semble que la semence brûle & dévore toutes les parties qu'elle traverse. Mais les suites sont bien plus funestes : après ces éjaculations qui interrompent son sommeil, le malade est plongé dans une espece d'anéantissement, ses yeux s'obscurcissent, une langueur extrème s'empare de tous ses sens, il lui semble n'exister qu'à-demi ; cette terrible idée qui lui retrace sans cesse sa foiblesse & son néant, qui souvent entraîne avec elle l'image d'une mort prochaine, qui la lui représente le bras levé, la faux déployée prête à moissonner ses jours, le plonge dans une tristesse accablante, & jette peu-à-peu les fondemens d'une affreuse mélancolie ; le sommeil vient-il de nouveau fermer sa paupiere, le dérober à lui-même, mettre fin à ses cruelles réflexions, ce n'est que pour lui en procurer une nouvelle matiere ; à-peine est-il endormi, que les songes les plus voluptueux présentent à son imagination échauffée des objets lascifs, la machine suit sa pente naturelle, des foibles desirs naissent aussi-tôt, mais plus promptement encore les parties qui doivent les satisfaire obéissent à ces impressions, & plus encore à la disposition maladive dont elles sont attaquées ; le nouveau feu qui s'allume ne tarde pas à procurer l'évacuation qui en est le sceau & la fin ; le malade se réveille par le plaisir ou par la douleur, & retombe avec plus de force dans l'anéantissement horrible qu'il avoit déja éprouvé. Dans quelques-uns, un nouveau sommeil prépare encore de nouvelles éjaculations & de nouveaux tourmens encore plus terribles. Après avoir passé de pareilles nuits, quelle doit être la situation des malades pendant le jour ? on les voit pâles, mornes, abattus, ayant de la peine à se soutenir, les yeux enfoncés, sans force & sans éclat, leur vûe s'affoiblit, une maigreur épouvantable les défigure, leur appétit se perd, les digestions sont dérangées, presque toutes les fonctions s'alterent, la mémoire n'a plus sa vivacité, & ce n'est pas le plus grand mal ; il seroit même à souhaiter qu'ils en fussent dépourvus au point d'oublier tout-à-fait les fautes qui les ont ordinairement plongés dans cet effroyable état ; bien-tôt des douleurs vagues se répandent dans différentes parties du corps, un feu intérieur les dévore, des ardeurs d'urine s'y joignent, la fievre lente survient, & enfin la phthisie dorsale, suite funeste des excès dans l'évacuation de la semence. Voyez Manustupration. Je ne mets pas au nombre de leurs maux la mort à laquelle ils échappent rarement, parce qu'elle est plutôt un remede le seul souvent qui leur reste, & qui se rend toujours trop tard à leurs desirs. Le portrait que je viens de tracer est sans doute affreux, mais il est fait d'après nature ; il n'y a malheureusement que trop d'occasions d'en appercevoir la conformité. J'ai observé tous ces symptomes dans un homme d'un tempérament vif, très-sensible, dont la vie n'avoit été qu'un tissu de débauches, qui, après lui avoir attiré plusieurs fois des maladies vénériennes, l'avoient enfin jetté dans cette cruelle maladie : il m'assuroit que loin de goûter du plaisir dans la consommation d'un acte pour l'ordinaire si voluptueux, il n'en ressentoit que des douleurs si aiguës qu'il en poussoit les hauts cris ; il éprouvoit pendant l'éjaculation, aux environs des prostates & dans le reste du canal de l'urethre, une sensation semblable à celle qu'auroit pû faire un fer ardent placé dans ces endroits. Confié aux soins de M. de Lamure, célebre professeur de Montpellier, il en fut traité avec tant de prudence qu'il recouvra enfin une parfaite santé. J'ai vû un autre malade de cette espece, & je n'en rappelle qu'avec horreur le souvenir, dont la fin fut plus déplorable : cloué depuis plusieurs mois sur un lit de douleur où il étoit retenu par une extrème foiblesse, il y étoit en proie au plus cruel martyre ; il éprouvoit même pendant le jour & étant bien éveillé des atteintes de cette maladie auxquelles il lui étoit impossible de résister ; malgré tous ses efforts, sa verge entroit dans une violente érection, des mouvemens convulsifs appropriés agitoient tout son corps, ses yeux étoient hagards, sa mine égarée, des cris plaintifs sortoient de sa bouche, & enfin il éjaculoit avec les plus vives douleurs quelques gouttes de semence ; alors il tomboit dans un affaissement qui paroissoit mortel, dont il ne sortoit que pour renouveller l'horrible scene qu'il venoit de jouer ; il se passoit vers les derniers jours de sa vie peu d'heures qu'il n'eût ainsi quelque pollution : on peut juger à quel point de foiblesse & de maigreur, &c. il étoit réduit ; mais il est impossible de se représenter toute l'horreur du désespoir qui l'agita dans ses derniers momens.
On regarde ordinairement une continence outrée & l'excès dans les plaisirs vénériens, comme causes de la pollution nocturne ; sur quoi nous remarquerons que la continence ne produit que la pollution naturelle, qui n'a lieu qu'autant que la quantité de la semence est trop considérable, & qu'elle irrite par-là les vésicules séminales & les parties correspondantes : mais la pollution nocturne vraiment maladive est toujours l'effet des débauches immodérées & de corps & d'esprit, lorsque non-content de se livrer sans excès aux plaisirs vénériens, on se repaît continuellement l'imagination d'images lascives, voluptueuses, par des conversations sales, des lectures libertines & deshonnêtes ; alors les songes qui ne sont souvent qu'une représentation des objets qui ont le plus occupé l'esprit pendant le jour, roulent sur les mêmes matieres ; les parties de la génération, qu'un exercice fréquent & une imagination échauffée tiennent dans une tension continuelle, sont beaucoup plus susceptibles des impressions lascives, elles obéissent avec facilité au moindre aiguillon, & les mouvemens destinés à l'éjaculation de la semence, devenus presque habituels, s'exécutent sans effort. Ces mêmes causes continuant d'agir avec plus de force, à mesure qu'elles agissent plus souvent, enracinent le mal & le portent au point où nous l'avons vû si terrible ; la chaleur du lit contribue beaucoup à l'augmenter, sur-tout de ces lits de duvet préparés pour la mollesse, où tout le corps est comme enseveli ; la situation du corps couché sur le dos, favorise aussi les pollutions, sans doute à cause de la chaleur plus considérable des reins, il arrive souvent que la tension des parties génitales est augmentée beaucoup au-dessus de l'état naturel ; alors le chatouillement voluptueux, occasionné par l'éjaculation de la semence, dégénere en douleur qui est d'autant plus aiguë que cette tension est plus forte, & que la semence est plus active, plus chaude, plus irritante, tant la douleur est voisine du plaisir ! Quant aux autres symptomes, ils sont une suite naturelle de l'évacuation d'une humeur précieuse qui prive les parties de leur nourriture & de leur force ; mais de tous les excès vénériens la manustupration est celui qui produit & plutôt & plus constamment ces effets : voyez cet article. Les personnes livrées à cette infâme passion, & sacrifiant sans mesure à cette fausse Vénus, en sont plus cruellement tourmentées ; par où l'on voit que la nature ne manque pas de supplices pour faire expier les crimes commis contre ses lois, & qu'elle peut en proportionner la violence à la gravité du mal.
Il n'est pas besoin, je pense, de nous arrêter ici à retoucher les signes qui peuvent faire connoître cette maladie, il n'est pas possible de s'y méprendre ; ni à retracer le tableau effrayant des maladies qu'elle peut entraîner à sa suite, on peut facilement en juger par ce que nous avons dit plus haut : nous nous bornerons à observer que ce qui ajoute encore au danger attaché aux pollutions nocturnes, c'est la difficulté de trouver des remedes convenables. Comme la maladie s'est formée peu-à-peu, elle a eu le tems de pousser des profondes racines avant qu'on ait pensé à les arracher ; elle attaque d'ailleurs la machine par le côté le plus foible & par où les ravages sont les plus funestes, c'est en empêchant la nutrition. Il est aisé d'appercevoir combien ce défaut est difficile à réparer ; ainsi, quoiqu'on puisse guérir cette maladie, le tempérament en est affoibli pour toujours.
Les remedes qu'une expérience la moins malheureuse a consacrés, sont 1°. les secours moraux qui doivent tendre à éloigner de l'esprit des malades toute idée lascive, en écartant les livres deshonnêtes, les objets voluptueux, les amis libertins, & y substituant des lectures agréables & décentes, car il faut amuser le malade, l'ennui ne pourroit qu'augmenter son mal : voilà pourquoi les livres de morale & de piété, quoique dans le fond meilleurs, seroient moins convenables, d'autant mieux que le changement étant trop rapide ne seroit pas naturel ; on pourroit aussi remplir le tems par des parties de jeu, par des concerts ; dans l'état ou sont nos spectacles, ils ne me paroissent pas propres à détourner l'esprit des idées voluptueuses. 2°. Les secours diététiques qui doivent être propres à nourrir légérement en rafraîchissant, en tempérant le feu & l'agitation des humeurs ; en conséquence on peut nourrir ces malades avec la viande des jeunes animaux, & s'en servir pour faire leurs bouillons & potages dans lesquels il faut faire entrer le riz, l'orge, ou les herbes rafraîchissantes, la laitue, la chicorée, le pourpier, &c. On doit éviter avec beaucoup de circonspection tous les mets salés, épices, les liqueurs fortes, aromatiques, & le vin même, à-moins que l'estomac affoibli ne l'exige : sine Baccho & Cerere friget Venus, dit le proverbe. Au nombre des secours diététiques est encore l'attention qui n'est pas indifférente qu'il faut avoir au lit du malade ; il doit être aussi dur que le malade pourra le soutenir, & fort large, afin qu'il puisse changer souvent de place & chercher les endroits frais ; du reste il aura soin de se tenir couché sur le côté, ou sur le ventre, quand il sera prêt à s'endormir. 3°. Les remedes que la Pharmacie fournit, sont les rafraîchissans employés de différentes façons : parmi les remedes intérieurs, le nymphæa passe pour le plus propre à calmer les irritations vénériennes ; on pourra s'en servir en tisane, en julep, en syrop, faire prendre tous les soirs en se couchant des émulsions composées avec la décoction ou le syrop de cette fleur aquatique ; on pourra y joindre les semences d'agnus castus, & toutes les autres plantes rafraîchissantes : il faudra prendre garde cependant qu'elles ne dérangent pas l'estomac ; & pour parer à cet inconvénient, comme pour donner du ton aux parties génitales, on peut conseiller l'usage de quelque léger tonique, comme du mars ou du quinquina. A l'extérieur, les remedes généraux sont les bains sur-tout un peu froids : on peut enfin tenter la vertu des applications extérieures qui passent pour modérer le feu vénérien, telles sont les ceintures avec l'herbe de nymphæa, les fomentations sur les reins avec des linges ou des éponges imbibées d'oxicrat, d'extrait de Saturne, de décoction de nymphæa, de balaustes, d'hypocistis, &c. telle est aussi, à ce que l'on prétend, l'application d'une plaque de plomb sur la région des lombes. Lorsque la maladie commencera à s'appaiser, il faudra graduellement diminuer les rafraîchissans, & insister sur les toniques amers ou martiaux. (m)
Pollution, (Jurisprud.) signifie souillure : la pollution d'une église arrive, lorsqu'on y a commis quelque profanation, comme quand il y a eu effusion de sang en abondance.
En cas de pollution des églises, les évêques avoient coutume autrefois de les consacrer de nouveau ; mais présentement la simple réconciliation suffit. Voyez Réconciliation & les Mém. du Clergé, tom. VI. (A)
Étymologie de « pollution »
Prov. pollucio?; espagn. polucion?; ital. polluzione?; du lat. pollutionem, de polluere, polluer.
- (Date à préciser) Du latin pollutio (« salissure, souillure », au figuré et au sens de « profanation » en latin chrétien).
pollution au Scrabble
Le mot pollution vaut 11 points au Scrabble.

Informations sur le mot pollution - 9 lettres, 4 voyelles, 5 consonnes, 7 lettres uniques.
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Les rimes de « pollution »
On recherche une rime en J§ .
Les rimes de pollution peuvent aider les poètes et les paroliers à trouver des mots pour former des vers avec une structure rythmique cohérente, mais aussi pour jouer avec les mots et les sons, découvrir de nouvelles idées et perspectives ce qui peut être amusant et divertissant.
Les rimes en j§
Rimes de brillions Rimes de passation Rimes de bonification Rimes de variations Rimes de finition Rimes de autorisions Rimes de anti-immigration Rimes de munitions Rimes de incrustation Rimes de épluchions Rimes de infiltrations Rimes de floculation Rimes de acquérions Rimes de désaffectation Rimes de exclusion Rimes de occupions Rimes de prostitutions Rimes de oyons Rimes de collations Rimes de focalisation Rimes de détruisions Rimes de contravention Rimes de illuminations Rimes de décongestion Rimes de renonciation Rimes de innovations Rimes de sujétions Rimes de démocratisation Rimes de consentions Rimes de éclosions Rimes de préformation Rimes de exagérations Rimes de tournions Rimes de optimisation Rimes de surpression Rimes de volitions Rimes de voyagions Rimes de animaux-espions Rimes de obsession Rimes de circonspections Rimes de cassations Rimes de légalisation Rimes de munition Rimes de irruption Rimes de dussions Rimes de éditions Rimes de populations Rimes de résiliation Rimes de scission Rimes de anti-tensionMots du jour
brillions passation bonification variations finition autorisions anti-immigration munitions incrustation épluchions infiltrations floculation acquérions désaffectation exclusion occupions prostitutions oyons collations focalisation détruisions contravention illuminations décongestion renonciation innovations sujétions démocratisation consentions éclosions préformation exagérations tournions optimisation surpression volitions voyagions animaux-espions obsession circonspections cassations légalisation munition irruption dussions éditions populations résiliation scission anti-tension
Les citations sur « pollution »
- Il existe un moyen très sûr de réduire la pollution automobile: c'est de permettre aux véhicules de débarrasser l'asphalte le plus rapidement possible au lieu de les immobiliser, moteur tournant, dans les embouteillages.Auteur : Philippe Bouvard - Source : Mille et une pensées (2005)
- Le clonage, la mondialisation, la pollution, posent des questions nouvelles qu'il faut absolument affronter ! Il s'agit de la vie sur Terre, et c'est notre devoir à nous, l'espèce humaine, de la préserver.Auteur : Albert Jacquard - Source : Extrait d'une conférence en juillet 2004
- Le coronavirus a fait mieux encore. L’arrêt des nuisances productivistes a diminué la pollution mondiale, il épargne une mort programmée à des millions de personnes, la nature respire, les dauphins reviennent batifoler en Sardaigne, les canaux de Venise purifiés du tourisme de masse retrouvent une eau claire, la bourse s’effondre. l’Espagne se résout à nationaliser les hôpitaux privés, comme si elle redécouvrait la sécurité sociale, comme si l’État se souvenait de l’État-providence qu’il a détruit. Auteur : Raoul Vaneigem - Source : Le coronavirus, révélateur de la faillite de l'État, Le Média, 19 mars 2020
- Je pense sincèrement que la pollution de la planète ce n'est pas aussi grave qu'on le dit...
C'est beaucoup plus grave qu'on le dit.Auteur : Philippe Geluck - Source : Le tour du chat en 365 jours (2006) - La pollution est l'ombre du progrès.Auteur : Sylvain Tesson - Source : Aphorismes sous la lune et autres pensées sauvages (2008)
- Ecologie : Belle idée généreuse, devenue très tendance grâce au nucléaire et à la pollution.Auteur : Christophe Alévêque - Source : Décodeur médiatique du XXIe siècle (2008)
- Mégapole : mégacités où croupissent des mégafoules et caractérisées par des mégaembouteillages. Etonnamment les habitants des mégapoles se montrent mégafiers de vivre dans la mégapollution et les mégaemmerdements.Auteur : Pierre Bordage - Source : Mort d'un clone (2012)
- Les autorités prennent des décisions extrêmement volontaires de confinement, de limitation des transports, de télétravail et autres qui ont des conséquences immédiates fâcheuses pour l’économie, mais très positives pour la planète. Il y a moins de pollution atmosphérique et on entend à nouveau les oiseaux chanter ! On se demande dès lors pourquoi on ne pourrait pas prendre des mesures beaucoup plus volontaristes pour l’écologie ? Car c’est bien là l’enjeu majeur de notre temps ! Le coronavirus est un enjeu sanitaire important, mais si on ne fait rien pour réduire le réchauffement de la planète, nous n’aurons pas des dizaines de milliers de morts, mais des centaines de millions à l’échelle planétaire ! C’est peut-être la survie même de l’espèce humaine qui est en jeu selon de nombreux scientifiques. Les politiques ont sans cesse les yeux rivés sur le court terme et ne prennent aucune mesure forte et indispensable face au drame du réchauffement climatique.Auteur : Frédéric Lenoir - Source : Interview Ouest France, par Sébastien Grosmaitre, le 29/03/2020
- Je ne veux pas mourir en ne laissant derrière moi que quelques chansons tristes et un petit tas de terre. Je veux laisser un monde libéré de l'ordure, de la pollution, du racisme, du pouvoir fondé sur la misère, du nationalisme et des guerres qu'il entraîne, des armées, de la bigoterie, des coteries, de cent différentes contre-vérités et d'une économie usuraire et déréglée. Auteur : George Jackson - Source : Les Frères de Soledad
- La planète abrite aujourd'hui 6 milliards d'individus. La situation est inédite. Les effectifs humains ont été multipliés par 4 en un siècle ! Il est temps de réinventer la société. Vivre comme avant n'est plus possible, ou nous allons au-devant de catastrophes. 20 % des hommes consomment 80 % des richesses produites. Dans nos pays industrialisés, un signe majeur de prospérité est, c'est le comble, la croissance de la consommation ! La croissance est criminelle, elle prend le peu qui reste aux 80 % de pauvres. Elle génère de surcroît une pollution à grande échelle.Auteur : Albert Jacquard - Source : Extrait d'une conférence en juillet 2004
- Les arbres sont responsables de plus de pollution aérienne que les usines.Auteur : Ronald Reagan - Source : Cité par Hedrick Smith dans Reagan et nous (1981).
- On ne connaissait, de pollution, que les nocturnes, qui obsédaient les petits garçons catholiques et dessinaient sur leurs draps, au réveil, des «cartes de géographie» peccamineuses et empesées.Auteur : François Nourissier - Source : Autos Graphie (1990)
- Carburer aux vraies valeurs ne cause pas de pollution.Auteur : Daniel Desbiens - Source : Maximes d'Aujourd'hui
- Sans partager intégralement les phobies de sa fille et de son gendre, elle était tout de même d'accord avec eux pour reconnaître que nous étions une espèce en voie d'extinction. Nous avions peur et nos peurs étaient aussi multiples et insidieuses que les menaces elles-mêmes. Nous avions peur des nouvelles technologies, du réchauffement climatique, de l'électrosmog, des parabènes, des sulfates, du contrôle numérique, de la salade en sachet, de la concentration de mercure dans les océans, du gluten, des sels d'aluminium, de la pollution des nappes phréatiques, du glyphosate, de la déforestation, des produits laitiers, de la grippe aviaire, du diesel, des pesticides, du sucre raffiné, des perturbateurs endocriniens, des arbovirus, des compteurs Linky, et j'en passe. Quant à moi, sans bien comprendre encore qui voulait nous faire la peau, je savais que son nom était légion et que nous étions contaminés. J'endossais des hantises qui n'étaient pas les miennes mais qui frayaient sans peine avec mes propres terreurs enfantines. Sans Arcady, nous serions morts à plus ou moins brève échéance, parce que l'angoisse excédait notre capacité à l'éprouver. Il nous a offert une miraculeuse alternative à la maladie, à la folie, au suicide. Il nous a mis à l'abri. Il nous a dit : « N'ayez pas peur. »Auteur : Emmanuelle Bayamack-Tam - Source : Arcadie (2018)
- Loin des routes, il existait une France ombreuse protégée du vacarme, épargnée par l'aménagement qui est la pollution du mystère. Une campagne du silence, du sorbier et de la chouette effraie.Auteur : Sylvain Tesson - Source : Sur les chemins noirs (2016)
- Il existe un abus que je ne peux dénoncer qu'en y ajoutant: la pollution imprimée.Auteur : Philippe Bouvard - Source : Mille et une pensées (2005)
- En résumé, l'agriculture pollue l'eau à grands coups de nitrates, de phosphates et de pesticides, et les consommateurs paient non seulement leur nourriture, les aides aux agriculteurs, mais aussi la facture de dépollution.Auteur : Isabelle Saporta - Source : Le Livre noir de l'agriculture (2011)
- Aaujourd'hui, c'est la Terre qui est menacée. Ce n'est pas seulement le monde animal et végétal. C'est nous-mêmes, avec les pollutions, l'agriculture industrialisée. Nous avons mille menaces avec des conflits, les fanatismes, les refermetures sur soi. Il y a des causes absolument magnifiques pour les jeunes, la défense de la Terre, la défense de l'humanité, c'est-à-dire l'humanisme. On voit bien aussi bien la petite Greta Thunberg que d'autres jeunes, qu'ils sentent ceci. Moi, je pense que nous avons besoin, toujours, de nous mobiliser pour une chose commune, pour une communauté. On ne peut pas se réaliser en étant enfermé dans son propre égoïsme, dans sa propre carrière. On doit aussi participer à l'humanité et c'est une des raisons, je crois, qui m'a maintenu alerte jusqu'à mon âge.Auteur : Edgar Morin - Source : Grand entretien, France Info, le 08 juillet 2021
- Personellement, je trouve que terrorisme, missile ou pollution sont des plus gros mots que merde, caca ou prout.Auteur : Philippe Geluck - Source : Le tour du chat en 365 jours (2006)
Les mots proches de « pollution »
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Les synonymes de « pollution»
Les synonymes de pollution :- 1. impureté
2. saleté
3. souillure
4. corruption
5. altération
6. immondice
7. humeur
8. poison
9. insalubrité
10. infection
11. profanation
12. dénaturation
13. tache
14. contamination
15. avilissement
16. flétrissure
17. ordure
18. péché
19. viciation
synonymes de pollution
Fréquence et usage du mot pollution dans le temps
Évolution historique de l’usage du mot « pollution » avec Google Books Ngram Viewer qui permet de suivre l’évolution historique de l'usage du mot pollution dans les textes publiés.
Classement par ordre alphabétique des définitions des mots français.
Une précision sur la définition de Pollution ?
Citations pollution Citation sur pollution Poèmes pollution Proverbes pollution Rime avec pollution Définition de pollution
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