Définition de « prenais »


Notre dictionnaire de français vous présente les définitions du mot prenais de manière claire et concise, avec des exemples pertinents pour aider à comprendre le sens du mot.

Il comprend des informations supplémentaires telles que des exemples d'expressions, l'étymologie, les synonymes, les homonymes, les antonymes mais également les rimes et anagrammes et bien sûr des citations littéraires sur prenais pour aider à enrichir la compréhension du mot Prenais et répondre à la question quelle est la définition de prenais ?

VER genre () de 2 syllabes
Une définition simple : (fr-verbe-flexion |ind.i.1s=oui |ind.i.2s=oui)

  • Du verbe prendre.

    Pas de définition complémentaire
    PRENDRE, verbe trans.
    Étymol. et Hist. A. Verbe trans. 1. a) 842 fig. prendre plait «conclure un accord avec quelqu'un» (Serments de Strasbourg, éd. A.Henry, Chrest., p.2, ligne 7); fin xes. «saisir avec la main» (Passion, éd. d'Arco Silvio Avalle, 37); 1160-74 prendre en mains (Wace, Rou, éd. A.J.Holden, III, 5337); 1658 prendre une affaire en mains (Pascal, Lettres aux curés de Paris, éd. Brunschvicg, VII, 298); 1690 prendre la balle au bond (Fur.); 1765 «entourer, envelopper le corps en parlant d'un vêtement» (Diderot, Salons, éd. J. Seznec et J. Adhémar, vol. II, p.215); 1898 prendre le taureau par les cornes (DG); b) ca 1100 «saisir vivement» (Roland, éd. J. Bédier, 2552); 1188 «serrer une proie en parlant d'un animal» (Aimon de Varennes, Florimont, éd. A. Hilka, 777); id. prendre par la main (Id., ibid., 1025); 1690 «saisir en se servant d'un instrument, d'un outil» (Fur.); 1892 n'être pas à prendre avec des pincettes «être sale» (Guérin); c) ca 1050 «amener avec soi» (Alexis, éd. C. Storey, 506); 1667 «joindre quelqu'un pour l'emmener avec soi» (Racine, Andromaque, III, 7); 1690 prendre ses jambes à son cou «commencer un voyage à pied» (Fur.); 1895-96 id. «s'enfuir» (F.Champsaur, Le Mandarin ds France); av. 1784 «accepter de recevoir quelqu'un» (Diderot, Mémoires, t.IV, p.224 ds Littré); d) déb. xiies. «comprendre, interpréter quelque chose d'une certaine manière» (St Brendan, éd. E. G. R. Waters, 1789); 1269-78 prendre à la lettre (Jean de Meung, Rose, éd. F. Lecoy, 7153); 1540 je ne sais comment vous le prendrez (Nicolas Herberay des Essars, Amadis, éd. H. Vaganay, 369); 1608 à tout prendre (M. Régnier, Satires, V, éd. G. Raibaud, p.49); 1155 prendre de travers «entendre de travers» (Wace, Brut, éd. I. Arnold, 1746); ca 1500 prendre a mal (Philippe de Commynes, Mémoires, éd. J. Calmette, t.3, p.128); 1535-74 prendre mal (St Gelays, OEuvres, éd. P. Blanchemain, I, 208); 1657-62 prendre littéralement (Pascal, Pensées, éd. Brunschvicg, X, 648); 1694 prendre les choses du mauvais côté (Regnard, La Sérénade, sc. 13 ds OEuvres, t.2, p.223 [éd. Paris, 1830]); 1745 prendre au tragique «trop sérieusement» (Voisenon, Themidore, I, 264 ds Brunot t.6, 2, 1, p.1403); 1582 le prendre haut (Garnier, Bradamante, éd. W. Foerster, IV, p.23); 1459-60 Je prens le temps ainsi qu'il peut venir (Charles d'Orléans, Rondeaux, éd. P. Champion, t.II, p.598); 1666 prendre les hommes comme ils sont (Molière, Misanthrope, I, 1); 1174 prendre en haür (Guernes de Pont-Ste-Maxence, St Thomas, éd. E. Walberg, 739); 1225-30 prendre en gré (Guillaume de Lorris, Rose, éd. F. Lecoy, 2698); e) 1176 prendre sor soi «rapporter à soi» (Chrétien de Troyes, Cligès, éd. A. Micha, 4426); ca 1220 prendre (qqc.) sur soi «en répondre» (H. de Valenciennes, Continuation conquête de Constantinople, 594 ds T.-L.); 1606 prendre à sa charge (Nicot); 1688 prendre tout sur (son courage) «se donner beaucoup de peine» (Mmede Sévigné, Lettres, éd. M. Monmerqué, t.8, p.285); 2. a) 1283 «percevoir un droit sur» (Philippe de Beaumanoir, Coutumes Beauvaisis, éd. A.Salmon, 1594, p.309); av. 1544 à prendre ou à laisser (Des Périers, Nouvelles récréations, éd. K. Kasprzyk, 50, p.202); 1700 il faut prendre ou laisser (Regnard, Democrite, I, 1 ds OEuvres, t.4, p.8 [éd. Paris, 1830]); 1869 c'est à prendre ou à laisser (Littré); b) ca 1100 «recevoir de l'argent» (Roland, éd. J. Bédier, 1148); 1585 «recevoir comme rémunération» (Noël Du Fail, Contes d'Eutrapel, éd. J. Assézat, II, p.381); c) ca 1100 «recevoir un coup» un col avez pris fort (Roland, éd. J.Bédier, 1948); 1934 «encaisser un but au football» (L'Auto ds Petiot 1982); d) ca 1100 «s'emparer d'une ville» (Roland, éd. J. Bédier, 1566); 1690 jeux «se rendre maître d'un pion» (Fur.); 1478-80 prendre d'assault (Coquillart, Les nouveaulx droitz ds OEuvres, éd. M.J.Freeman, p.181); ca 1480 prendre dame a force (Mistere Viel Testament, éd. J. de Rothschild, 41783); 1718 prendre par force (Ac.); 1812 prendre de force (Mozin-Biber); e) ca 1050 «prélever (de l'or et de l'argent de son trésor)» (Alexis, éd. C. Storey, 526); ca 1480 prendre un enfant (Mistere Viel Testament, éd. J.de Rothschild, 34437); av. 1648 prendre un baiser (Voiture, Poésies, OEuvres, t.II, p.90 ds Littré); f) ca 1140 «capturer des animaux» (G. Gaimar, Histoire des anglais, éd. A.Bell, 2722); 1536 prendre au piège (un animal) (Roger de Collerye, OEuvres, éd. C. D'Héricault, 214); g) 2emoit. xes. «arrêter, capturer quelqu'un» (St Léger, éd. J. Linskill, 150); 1636 prendre en traître (Corneille, Cid, V, 5); 1668 on ne l'y prendrait plus (La Fontaine, Fables, I, 2: Le Corbeau et le Renard); 1678 tel est pris qui croyait prendre (Id., ibid., VIII, 9: Le Rat et l'Huître); 1690 se laisser prendre au piège (Fur.); 1697 savoir prendre qqn (J. B. Rousseau, Le Flatteur, I, 1 ds Littré); h) ?) 1450-55 prendre qqn sur le fait (Farce de Maistre Pathelin, éd. R. T. Holbroock, v. 1113); ca 1480 pris a depourveu (Mistere Viel Testament, éd. J.de Rothschild, 7984); 1674 prendre au dépourvu (Hauteroche, Crispin musicien ds Littré); 1760 Je vous y prends (Voltaire, L'Écossaise, IV, 4, ibid.); 1798 prendre qqn en faute (J. J. Rousseau, Confessions, XII, ibid.); 1808 prendre la main dans le sac (Hautel t.2); ?) ca 1280 «en parlant des choses extérieures, s'abattre brusquement» (ici, la nuit) (Adenet Le Roi, Cleomades, éd. A. Henry, 12311); ca 1050 pietét ne t'en prist (Alexis, éd. C. Storey, 440); ca 1150 somoil li prist (Wace, St Nicolas, éd. E. Ronsjö, 775); 1678 la faim le prit (La Fontaine, Fables, VII, 4: Le Héron); ?) 1160-74 «advenir à quelqu'un» (Wace, Rou, éd. A.J.Holden, III, 2629); déb. xiies. impers. «venir à l'esprit de quelqu'un, lui advenir» (St Brendan, éd. E. G. R. Waters, 48); ca 1480 mal vous en prendra (Mistere Viel Testament, éd. J.de Rothschild, 15433); 1962 ça l'a pris comme une envie de pisser (Rob.); i) ?) 2emoit. xes. «faire venir» (St Léger, éd. J. Linskill, 86); 1585 «acheter» (Noël Du Fail, Contes d'Eutrapel, éd. J. Assézat, II, 66); 1677 prendre une maison «la louer» (Mmede Sévigné, Lettres, éd. M. Monmerqué, t.5, p.314); ?) ca 1165 prendre conseiz (Benoît de Ste-Maure, Troie, éd. L. Constans, 24705); 1405-49 prendre la foy chretienne (Journal d'un bourgeois de Paris, éd. Tuetey, 219); ca 1535-74 prendre avis sur (St Gelais, OEuvres, éd. P.Blanchemain, II, 2); 1568 prendre le nom d'un roi (en parlant d'une ville) (Garnier, Porcie, éd. W. Foerster, I, p.6); 1697 prendre l'accent (Regnard, Le Distrait, III, 3 ds OEuvres, t.3, p.173 [éd. Paris, 1830]); 1748 prendre les moeurs des Perses (Montesquieu, De l'esprit des lois, éd. G.Truc, chap. 14, p.157); ?) ca 1160 prendre jour (Eneas, éd. J. J. Salverda de Grave, 10010); 1740 prendre date (Ac.); ?) ca 1180 prendre essample de qqn «un exemple» (Marie de France, Fables, éd. Warnke, 14, 34); 1269-78 prendre exanple a «prendre exemple sur» (Jean de Meung, Rose, éd. F. Lecoy, 5196); 1428 or prenons que (A. Chartier, Le Curial, éd. F. Heuckenkamp, p.7, l. 12-13); 1611 prenons le cas que (P. de Larivey, Fidelle, éd. Viollet le Duc, IV, 10); ?) 1606 prendre le double de quelqu'une écriture (Nicot); 1690 prendre les dimensions (Fur., s.v. dimension); 1876 id. fig. (Littré); 1907 «filmer» (Méliès, V. cin., A.G.I.P., p.383 ds Giraud 1956); 1954 «photographier» (P. Guth, Le Naïf sous les drapeaux, part.1, ch.3, p.43 ds Quem. DDL t.18); ?) ca 1050 «s'adjoindre quelqu'un» (Alexis, éd. C. Storey, 111); 1835 prendre des passagers (Ac.); ca 1050 prendre moyler «prendre femme» (Alexis, éd. C. Storey, 39); ca 1145 «épouser quelqu'un» (Wace, Conception N.D., éd. W.R.Ashford, 980); 1690 prendre pour femme (Fur.); 1174 prendre a avoé (Guernes de Pont-Ste-Maxence, St Thomas, éd. E.Walberg, 476); 1269 prendre a testamenteur (Archives du Nord, B 446, no1592 ds IGLF); 1460-63 prendre comme mercenaires (Coquillart, Trad. de l'hist. de la guerre des juifs ds OEuvres, éd. C.D'Héricault, II, 320); 1536 prendre pour serviteur (R. de Collerye, OEuvres, éd. C. D'Héricault, p.158); 1538 prendre à temoin (Est.); ?) 1370 prendre qqc. pour qqc. d'autre «en juger autrement qu'il ne faut» (Oresme, Ethiques, éd. A.D.Menut, 74); 1450-65 pour qui c'est que vous me prenez? (Farce de maistre Pathelin, éd. R.T.Holbroock, v. 1506); ca 1480 prendre pour «confondre» (Mistere Viel Testament, éd. J.de Rothschild, 3727); 1585 prendre Paris pour Corbeil (Noël Du Fail, Contes d'Eutrapel, éd. J.Assézat, II, 112); 1690 prendre qqc. pour argent comptant (Fur.); 1743 prendre son cul pour ses chausses (Trév.); 1875 prendre le Pirée pour un homme (Lar. 19e, s.v. Pirée); ?) ca 1350 «avaler, absorber une boisson» (Gilles Li Muisis, Poésies, I, 85 ds T.-L.); 1903 prendre un verre (J. Lorrain, D.Fabrice, Clair de lune, I, iv ds Quem. DDL t.6); 1450-65 prendre des pilulles (Farce de maistre Pathelin, éd. R.T.Holbroock, v. 645); 1478-80 prendre medicine (Coquillart, Le plaidoié ds OEuvres, éd. M.J.Freeman, p.11); 1645 prendre l'air (Corneille, Suite du menteur, II, 7); apr. 1661 prendre les eaux (Retz, Mémoires, éd. A. Feuillet, J. Gourdault, R. Chantelauze, II, 125); 1668 prendre le frais (Molière, Georges Dandin, III, 8); 1673 prendre un bain (Id., Malade imaginaire, III, 4); 1694 prendre un lavement (Ac.); ?) ca 1150 prendre à qqn «atteindre quelqu'un en parlant d'une maladie» (Wace, St Nicolas, éd. E. Ronsjö, 1492); 1155 prendre une maladie «être atteint de» (Id., Brut, éd. I.Arnold, 11318); 1188 prendre mal «tomber malade» (Aimon de Varennes, Florimont, éd. A.Hilka, 8919); 1613 prendre l'eau (d'un bateau) (M. Regnier, Satires, XVI, éd. G. Raibaud, p.212); 1669 prendre feu (Widerhold); 1690 prendre du froid (Fur.); 1875 prendre froid (Lar. 19e); 3. a) ca 1050 prendre congét (Alexis, éd. C.Storey, 598); 1119 prendre fin (Philippe de Thaon, Comput, 2171 ds T.-L.); ca 1480 prendre du bon temps (Mistere Viel Testament, éd. J.de Rothschild, 39281); 1538 prendre le temps «attendre le moment favorable» (Est.); 1645 prendre son temps pour (Corneille, Suite du menteur, V, 4); 1869 prendre du temps «être long à réaliser» (Littré); b) 1536 prendre la plume (R. de Collerye, OEuvres, éd. C.D'Héricault, 166); 1561 prendre (un vêtement) (J. Grevin, L'Olympe, éd. L.Pinvert, 263); 1611 prendre le deuil (Cotgr.); 1869 prendre le voile (Littré); c) 1450-65 prendre place (Farce de maistre Pathelin, éd. R.T.Holbroock, v. 1218); ca 1480 prendre les armes (Mistere Viel Testament, éd. J.de Rothschild, 41992); 1606 prendre le vent (Nicot); 1671 prendre la mer (Pomey); 1690 «faire usage d'un véhicule» (Fur.); 1476 prendre le chemin (Archives du Nord, B 1698, fo65 ds IGLF); 1540 prendre la route (Nicolas Herberay des Essars, Amadis, éd. H. Vaganay, 3); 1690 prendre un tournant (Fur., s.v. tournant); 1798 prendre la porte (Ac.); 1869 prendre le large «s'enfuir» (Littré); 1907 prendre la tangente (France); d) déb. xiies. prendre fuite (St Brendan, éd. E. G. R. Waters, 1166); ca 1225 prendre son vol (Reclus de Molliens, Carité, 36, 10 ds T.-L.); 1585 prendre les devants (Noël Du Fail, Contes d'Eutrapel, éd. J.Assézat, II, 68); 1955 prendre ses distances (Rob., s.v. distance); 1962 prendre du recul (ibid.); e) 1160-74 prendre garde de «s'occuper de» (Wace, Rou, éd. A.J.Holden, III, 358); 1174-80 prendre garde (à qqc.) «faire attention à» (Chrétien de Troyes, Perceval, éd. W.Roach, 8952); déb. xiies. prendre cure de (Voyage St Brendan, éd. E.G.R.Waters, 162); 1538 prendre soin de (Est.); 1188 prendre courage (Aimon de Varennes, Florimont, éd. A.Hilka, 7725); 1370 prendre plaisir (Froissart, Espinette amoureuse, éd. A.Fourrier, 785); 1656 prendre plaisir à (Molière, Dépit amoureux, II, 5); ca 1480 prendre en pascience (Mistere Viel Testament, éd. J.de Rothschild, 31229); f) ca 1480 prendre (une charge) (ibid., 47339); 1585 prendre parti (Noël Du Fail, Contes d'Eutrapel, éd. J.Assézat, II, 238); 1599 prendre à partie (Coustumes du pays et duché de Normandie, fol. 34 ro); 1604 prendre connaissance (Montchrestien, Les Lacenes, éd. Petit de Julleville, 192); av. 1615 prendre le fait et cause (Pasquier, Recherches de la France, 827); 1740 prendre fait et cause pour (Ac.); 1656-57 prendre part (Pascal, Provinciales, éd. Brunschvicg, X, V, p.320); 1870 prendre sa retraite (Littré, s.v. retraite); g) 1538 prendre racine (Est.); 1540 prendre naissance (d'un homme) (Nicolas Herberay des Essars, Amadis, éd. H.Vaganay, 298); 1549 prendre chair (Est.); 1869 prendre de l'âge (Littré); 1585 prendre sa source (de la pauvreté) (Noël Du Fail, Contes d'Eutrapel, éd. J.Assézat, p.318); 1694 id. (d'une rivière) (Ac.); ca 1590 prendre son pli (Montaigne, Essais, éd. P.Villey et V.L.Saulnier, p.110); 1798 prendre forme (Ac.). B. Verbe intrans. 1. ca 1140 part. passé li plons iert toz pris «durci (en parlant d'un métal)» (Pèlerinage Charlemagne, éd. G.Favati, 572); ca 1393 faire prendre (la gelée) (Le Ménagier, II, 219 ds T.-L.); 2. 1176-84 être pris «occupé par un sentiment» (Gautier d'Arras, Eracle, 2714); 3. 1559 «s'enraciner» (Amyot, Rom., 32 ds Littré); 4. 1176-81 el covertor est li feus pris (Chrétien de Troyes, Chevalier Charrete, éd. M.Roques, 522); 5. 1538 «avoir de l'effet» (Est.); 1727 «réussir, s'implanter» (Moncrif, Les chats ds Brunot t.6, 2, 1, p.1364); av. 1784 cela ne prend pas toujours (Diderot, Neveu de Rameau, éd. Piazza, 116); 6. 1606 prendre à droite, à gauche (Crespin, p.319); 1616 «suivre une direction, un chemin» (D'Aubigné, Hist., I, 339 ds Littré); 1690 prendre par le plus court (Fur., s.v. court); 1828 prendre par (Hugo, Odes, L.5, ode 24, Pluie d'été ds OEuvres poétiques, éd. de la Pléiade, t.1, p.488); 7. ca 1500 «commencer en parlant de ce qui suit une direction» (Philippe de Commynes, Mémoires, éd. J.Calmette, t.3, p.131). C. Verbe pronom. 1. 1671 «être employé d'une certaine façon dans le langage» (Pomey); 1730 «être interprété, compris dans un autre sens en parlant d'un mot» (Dumarsais, Traité des Tropes, La métonymie, p.63); 2. 1666 «être attrapé, coincé» (Furetière, Roman Bourgeois, éd. Colombey, 107); 1675 «être captivé, séduit» (Mmede Sévigné, Lettres, éd. M. Monmerqué, t.4, p.200); 3. 1135 «s'attacher à quelque chose (en parlant de personnes)» (Wace, Vie Ste Marguerite, éd. E.A.Francis, 53); 4. ca 1150 (Id., Vie St Nicolas, éd. E. Ronsjö, 694); 1739 ne s'en prendre qu'à soi-même (Marivaux, Marianne, éd. J.Janin, 484); 5. 1640 se prendre de vin «s'enivrer» (Oudin Curiositez); 6. ca 1150 se prendre a «se mettre à» (Wace, St Nicolas, éd. E.Ronsjö, 1455); 7. 1611 se prendre à qqc. «s'y mettre avec adresse, de la manière qui convient» (Cotgr.); 1580 s'y prendre de bon'heure (Montaigne, Essais, I, 26, éd. P.Villey et V.L.Saulnier, p.166); 1656-57 s'y prendre pour (Pascal, Provinciales, éd. Brunschvicg, XII, p.274); 8. av. 1615 se prendre pour (Pasquier, Recherches de la France, 87); 9. 1376 «s'attacher à, coller à (en parlant d'une substance)» (Modus et Ratio, éd. G.Tilander, 139, 9); 1623 «geler» (Sorel, Francion, éd. E.Roy, 246); 10. 1554 «s'unir» (C. Marot, Metam. d'Ovide, II, p.98 ds Gdf. Compl.); 1754 «s'unir en mariage» (Ac.); 11. 1666 «se saisir l'un l'autre par les cheveux» (Boileau, Satire, III ds OEuvres complètes, éd. de la Pléiade, p.25). Du lat. prendere, contraction de prehendere «saisir, prendre», «surprendre, prendre sur le fait», «se saisir de quelqu'un, arrêter», «occuper, prendre possession d'un lieu», «atteindre».

    prenais au Scrabble


    Le mot prenais vaut 9 points au Scrabble.

    prenais

    Informations sur le mot prenais - 7 lettres, 3 voyelles, 4 consonnes, 7 lettres uniques.

    Quel nombre de points fait le mot prenais au Scrabble ?


    Le calcul de points ne prend pas en compte lettre compte double, lettre compte triple, mot compte double et mot compte triple. Ces cases augmentent les valeurs des mots posés selon un coefficient indiqué par les règles du jeu de Scrabble.

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    prenais

    Les rimes de « prenais »


    On recherche une rime en NE .

    Les rimes de prenais peuvent aider les poètes et les paroliers à trouver des mots pour former des vers avec une structure rythmique cohérente, mais aussi pour jouer avec les mots et les sons, découvrir de nouvelles idées et perspectives ce qui peut être amusant et divertissant.

    Les rimes en nE

    Rimes de martinez      Rimes de déraciné      Rimes de charbonnés      Rimes de peiner      Rimes de lorgnez      Rimes de consignées      Rimes de tronçonnait      Rimes de enfarinés      Rimes de raviner      Rimes de gainée      Rimes de turlupiné      Rimes de baronnait      Rimes de cantonnai      Rimes de dessiné      Rimes de dominez      Rimes de révolutionnait      Rimes de instantané      Rimes de traînées      Rimes de lésiné      Rimes de savonné      Rimes de vanner      Rimes de cognés      Rimes de halluciné      Rimes de rognait      Rimes de réunionnais      Rimes de égrenée      Rimes de feignait      Rimes de réincarnait      Rimes de trottinez      Rimes de carillonner      Rimes de décliner      Rimes de premiers-nés      Rimes de réapprenais      Rimes de assassinées      Rimes de fanées      Rimes de affiner      Rimes de redimensionnées      Rimes de assenaient      Rimes de butinés      Rimes de monnaies      Rimes de canonner      Rimes de plafonné      Rimes de illuminez      Rimes de réceptionnées      Rimes de béarnais      Rimes de disproportionné      Rimes de provisionner      Rimes de Neu-Moresnet      Rimes de poinçonné      Rimes de entériné     

    Mots du jour

    martinez     déraciné     charbonnés     peiner     lorgnez     consignées     tronçonnait     enfarinés     raviner     gainée     turlupiné     baronnait     cantonnai     dessiné     dominez     révolutionnait     instantané     traînées     lésiné     savonné     vanner     cognés     halluciné     rognait     réunionnais     égrenée     feignait     réincarnait     trottinez     carillonner     décliner     premiers-nés     réapprenais     assassinées     fanées     affiner     redimensionnées     assenaient     butinés     monnaies     canonner     plafonné     illuminez     réceptionnées     béarnais     disproportionné     provisionner     Neu-Moresnet     poinçonné     entériné     


    Les citations sur « prenais »

    1. La vie me devenait moins facile : quand le corps est triste, le coeur languit. Il me semblait que je désapprenais en partie ce que je n'avais jamais appris et que je savais pourtant si bien, je veux dire vivre.

      Auteur : Albert Camus - Source : La Chute (1956)


    2. Je prenais donc en quelque sorte congé de mon siècle et de mes contemporains, et je faisais mes adieux au monde en me confinant dans cette île pour le reste de mes jours.

      Auteur : Jean-Jacques Rousseau - Source : Les Confessions (édition posthume 1782-1789)


    3. Après de laborieux et peu brillants débuts, je prenais goût rapidement à la langue étrangère, et puis, fort amoureux d'une sémillante institutrice, j'allais jusqu'à rêver de résoudre, pour elle, à son insu, tous les problèmes proposés dans mon volume d'arithmétique !

      Auteur : Yacine Kateb - Source : Le polygone étoilé (1966)


    4. Avant, je mettais la gomme. Je prenais des risques inutiles sur la route. Maintenant, je suis très, très prudent.

      Auteur : James Dean - Source : Spot publicitaire pour la sécurité routière, septembre 1955.


    5. De honte, je serais rentré sous terre, si Cassius n'y eût été. Car je prenais l'expression à la lettre, et désirais me fondre au sol, pour échapper à ce Barnabé malveillant et sarcastique dont la présence et le mutisme me paralysaient la langue.

      Auteur : Henri Bosco - Source : Antonin (1952)


    6. Ce que je comprenais le moins, c'est que la connaissance conduisît au désespoir.

      Auteur : Simone de Beauvoir - Source : Mémoires d'une jeune fille rangée (1958)


    7. Corbleu! une décoction de mouches cantharides! aphrodisiaque le plus puissant! et à une dose... Si j'en prenais la vingt-cinquième partie, je serais depuis vingt-cinq nuits comme un enragé. Il y avait de quoi mettre en fureur tout mon équipage.

      Auteur : Jean-Baptiste Louvet de Couvray - Source : Les Amours du chevalier de Faublas (1790)


    8. J’étais allergique à la censure et encore plus à certains juges qui s’érigeaient en parangons de vertu et en gardiens de l’ordre religieux et moral. Je ne comprenais pas comment, dans « l’État de droit et des institutions » que prônaient nos dirigeants, dans un pays prétendument démocratique, considéré comme un havre de liberté par les autres pays arabes, pareille mesure pouvait être décrétée.

      Auteur : Alexandre Najjar - Source : Le Roman de Beyrouth (2005)


    9. Moi je ne comprenais pas les enfants qui aimaient aller chez leurs grands-parents. Elles me terrifiaient ces vieilles personnes, à vouloir qu'on les aime et qu'on touche leurs peaux en gants de toilette. Tout sombrait chez eux : les bajoues, le cou, les bras, les lèvres. Ils voulaient nous faire jouer à des jeux trop vieux pour nous : ils ne comprenaient pas que nous étions des enfants modernes. Ils avaient chez eux des produits qui n'existaient pas ailleurs. Des savons écaillés qui trempaient dans un jus maronnâtre, des granules d'arnica, des boîtes de nourriture qu'on ne voyait jamais dans nos supermarchés, c'était comme aller dans un pays étranger, la vieillesse.

      Auteur : Anne Berest - Source : La fille de son père (2010)


    10. Il gueulait si fort que des bribes de son discours arrivaient jusqu'à moi. Union... frères... Marx... capital... bifteck... amour. Je n'y comprenais rien.

      Auteur : Samuel Beckett - Source : Nouvelles


    11. Je comprenais que, malgré les chagrins, les erreurs, les échecs et la défaite, j'avais, grâce à mes parents, le goût du bonheur, du combat et des victoires.

      Auteur : Marc Lavoine - Source : L'homme qui ment (2015)


    12. Qu'elle eût honte de ne savoir ni lire ni écrire, et qu'elle préférât me sembler déroutante plutôt que d'être honteusement démasquée, je le comprenais. Je savais bien moi-même que la honte pouvait provoquer des conduites de fuite, de résistance, de dissimulation, voire des comportements blessants. Mais la honte qu'éprouvait Hanna de ne savoir ni lire ni écrire expliquait-elle son comportement au procès et dans le camp ? Par peur de la honte d'être analphabète, plutôt la honte d'être démasquée comme criminelle ? Plutôt être une criminelle ?

      Auteur : Bernhard Schlink - Source : Le Liseur (1996)


    13. Je reprenais mes vieux réflexes politiques. Appeler l'électeur par son prénom, cela crée une connivence, la connivence est soeur de la confiance, et la confiance est mère de tous les bulletins de vote.

      Auteur : Antoine Laurain - Source : Carrefour des nostalgies (2009)


    14. Le mot “Shoah” s'est imposé à moi tout à la fin parce que, n'entendant pas l'hébreu, je n'en comprenais pas le sens, ce qui était encore une façon de ne pas nommer. Mais, pour ceux qui parlent l'hébreu, “Shoah” est tout aussi inadéquat. Le terme apparaît dans la Bible à plusieurs reprises. Il signifie “catastrophe”, “destruction”, “anéantissement”, il peut s'agir d'un tremblement de terre ou d'un déluge.

      Auteur : Claude Lanzmann - Source : Entretien paru dans Le Monde du 26 février 2005, Claude Lanzmann, à propos de « Shoah »


    15. Quand j'étais jeune, je ne comprenais pas qu'on puisse être communiste parce qu'on ne voyait jamais d'Allemands de l'Ouest se faire tuer pour passer à l'Est.

      Auteur : Patrick Sébastien - Source : Carnet de notes (2001)


    16. Durant que je prenais hâtivement, mesdames,
      Livraison de vos corps
      Sans cesse, bêtement, j'ai négligé vos âmes
      Pour battre des records.


      Auteur : Tristan Bernard - Source : 60 années de lyrisme intermittent (1945)


    17. Et tandis qu'il parlait, mes yeux revenaient sans cesse à lui, je prenais à le contempler un plaisir aigu et douloureux, un plaisir désespéré, celui de l'être mourant de soif qui, sachant la source empoisonnée, se penche pour y boire longuement.

      Auteur : Charlotte Brontë - Source : Jane Eyre (1847)


    18. Je découvrais les livres, où l'on peut s'ensevelir aussi bien que sous les jupes triomphales du ciel. J'apprenais que le ciel et les livres font mal et séduisent.

      Auteur : Pierre Michon - Source : Vies minuscules (1984)


    19. Par la force des choses, j'ai commencé à lire pour remplir mes obligations scolaires, au collège. Mais je prenais un soin fou à en lire le moins possible. Quand les professeurs ou mes parents me houspillaient, je déroulais un argumentaire tout à fait saugrenu, j'avais treize ans, mais que je jugeais original et auquel je croyais : « Je ne veux pas me laisser influencer par les écrivains, je veux découvrir le monde tout seul. »

      Auteur : Nicolas Delesalle - Source : Un parfum d'herbe coupée (2013)


    20. Je comprenais maintenant les veufs qu'on croit consolés et qui prouvent au contraire qu'ils sont inconsolables, parce qu'ils se remarient avec leur belle-soeur.

      Auteur : Marcel Proust - Source : Albertine disparue (1925)


    21. Notre présence mutuelle annihilait pourtant notre douleur commune et bien que profondément blessée et en théorie vouée au spleen pour l'éternité, je me surprenais à me sentir heureuse.

      Auteur : Lolita Pille - Source : Hell (2002)


    22. Il fallait laisser le temps de disparaître aux symptômes qui ne pouvaient aller qu'en s'atténuant si je n'apprenais rien de nouveau ...

      Auteur : Marcel Proust - Source : A la recherche du temps perdu, Le Côté de Guermantes (1921-1922)


    23. Plus j'apprenais à connaître Angela Merkel, et plus je l'appréciais. Je la trouvais sérieuse, honnête, intellectuellement exigeante et instinctivement bienveillante

      Auteur : Barack Obama - Source : Une terre promise de de Barack Obama (2020)


    24. Dans la journée c'était pas drôle. C'était rare que je pleure pas une bonne partie de l'après-midi. Je prenais plus de gifles que de sourires, au magasin. Je demandais pardon à propos de n'importe quoi, j'ai demandé pardon pour tout.

      Auteur : Louis-Ferdinand Destouches, dit Céline - Source : Mort à crédit (1936)


    25. Au milieu de l’hiver, j’apprenais enfin qu’il y avait en moi un été invincible.

      Auteur : Albert Camus - Source : L’été, « Retour à Tipasa » (1952)


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    Les synonymes de « prenais»

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