Définition de « prenais »


Notre dictionnaire de français vous présente les définitions du mot prenais de manière claire et concise, avec des exemples pertinents pour aider à comprendre le sens du mot.

Il comprend des informations supplémentaires telles que des exemples d'expressions, l'étymologie, les synonymes, les homonymes, les antonymes mais également les rimes et anagrammes et bien sûr des citations littéraires sur prenais pour aider à enrichir la compréhension du mot Prenais et répondre à la question quelle est la définition de prenais ?

VER genre () de 2 syllabes
Une définition simple : (fr-verbe-flexion |ind.i.1s=oui |ind.i.2s=oui)

  • Du verbe prendre.

    Pas de définition complémentaire
    PRENDRE, verbe trans.
    Étymol. et Hist. A. Verbe trans. 1. a) 842 fig. prendre plait «conclure un accord avec quelqu'un» (Serments de Strasbourg, éd. A.Henry, Chrest., p.2, ligne 7); fin xes. «saisir avec la main» (Passion, éd. d'Arco Silvio Avalle, 37); 1160-74 prendre en mains (Wace, Rou, éd. A.J.Holden, III, 5337); 1658 prendre une affaire en mains (Pascal, Lettres aux curés de Paris, éd. Brunschvicg, VII, 298); 1690 prendre la balle au bond (Fur.); 1765 «entourer, envelopper le corps en parlant d'un vêtement» (Diderot, Salons, éd. J. Seznec et J. Adhémar, vol. II, p.215); 1898 prendre le taureau par les cornes (DG); b) ca 1100 «saisir vivement» (Roland, éd. J. Bédier, 2552); 1188 «serrer une proie en parlant d'un animal» (Aimon de Varennes, Florimont, éd. A. Hilka, 777); id. prendre par la main (Id., ibid., 1025); 1690 «saisir en se servant d'un instrument, d'un outil» (Fur.); 1892 n'être pas à prendre avec des pincettes «être sale» (Guérin); c) ca 1050 «amener avec soi» (Alexis, éd. C. Storey, 506); 1667 «joindre quelqu'un pour l'emmener avec soi» (Racine, Andromaque, III, 7); 1690 prendre ses jambes à son cou «commencer un voyage à pied» (Fur.); 1895-96 id. «s'enfuir» (F.Champsaur, Le Mandarin ds France); av. 1784 «accepter de recevoir quelqu'un» (Diderot, Mémoires, t.IV, p.224 ds Littré); d) déb. xiies. «comprendre, interpréter quelque chose d'une certaine manière» (St Brendan, éd. E. G. R. Waters, 1789); 1269-78 prendre à la lettre (Jean de Meung, Rose, éd. F. Lecoy, 7153); 1540 je ne sais comment vous le prendrez (Nicolas Herberay des Essars, Amadis, éd. H. Vaganay, 369); 1608 à tout prendre (M. Régnier, Satires, V, éd. G. Raibaud, p.49); 1155 prendre de travers «entendre de travers» (Wace, Brut, éd. I. Arnold, 1746); ca 1500 prendre a mal (Philippe de Commynes, Mémoires, éd. J. Calmette, t.3, p.128); 1535-74 prendre mal (St Gelays, OEuvres, éd. P. Blanchemain, I, 208); 1657-62 prendre littéralement (Pascal, Pensées, éd. Brunschvicg, X, 648); 1694 prendre les choses du mauvais côté (Regnard, La Sérénade, sc. 13 ds OEuvres, t.2, p.223 [éd. Paris, 1830]); 1745 prendre au tragique «trop sérieusement» (Voisenon, Themidore, I, 264 ds Brunot t.6, 2, 1, p.1403); 1582 le prendre haut (Garnier, Bradamante, éd. W. Foerster, IV, p.23); 1459-60 Je prens le temps ainsi qu'il peut venir (Charles d'Orléans, Rondeaux, éd. P. Champion, t.II, p.598); 1666 prendre les hommes comme ils sont (Molière, Misanthrope, I, 1); 1174 prendre en haür (Guernes de Pont-Ste-Maxence, St Thomas, éd. E. Walberg, 739); 1225-30 prendre en gré (Guillaume de Lorris, Rose, éd. F. Lecoy, 2698); e) 1176 prendre sor soi «rapporter à soi» (Chrétien de Troyes, Cligès, éd. A. Micha, 4426); ca 1220 prendre (qqc.) sur soi «en répondre» (H. de Valenciennes, Continuation conquête de Constantinople, 594 ds T.-L.); 1606 prendre à sa charge (Nicot); 1688 prendre tout sur (son courage) «se donner beaucoup de peine» (Mmede Sévigné, Lettres, éd. M. Monmerqué, t.8, p.285); 2. a) 1283 «percevoir un droit sur» (Philippe de Beaumanoir, Coutumes Beauvaisis, éd. A.Salmon, 1594, p.309); av. 1544 à prendre ou à laisser (Des Périers, Nouvelles récréations, éd. K. Kasprzyk, 50, p.202); 1700 il faut prendre ou laisser (Regnard, Democrite, I, 1 ds OEuvres, t.4, p.8 [éd. Paris, 1830]); 1869 c'est à prendre ou à laisser (Littré); b) ca 1100 «recevoir de l'argent» (Roland, éd. J. Bédier, 1148); 1585 «recevoir comme rémunération» (Noël Du Fail, Contes d'Eutrapel, éd. J. Assézat, II, p.381); c) ca 1100 «recevoir un coup» un col avez pris fort (Roland, éd. J.Bédier, 1948); 1934 «encaisser un but au football» (L'Auto ds Petiot 1982); d) ca 1100 «s'emparer d'une ville» (Roland, éd. J. Bédier, 1566); 1690 jeux «se rendre maître d'un pion» (Fur.); 1478-80 prendre d'assault (Coquillart, Les nouveaulx droitz ds OEuvres, éd. M.J.Freeman, p.181); ca 1480 prendre dame a force (Mistere Viel Testament, éd. J. de Rothschild, 41783); 1718 prendre par force (Ac.); 1812 prendre de force (Mozin-Biber); e) ca 1050 «prélever (de l'or et de l'argent de son trésor)» (Alexis, éd. C. Storey, 526); ca 1480 prendre un enfant (Mistere Viel Testament, éd. J.de Rothschild, 34437); av. 1648 prendre un baiser (Voiture, Poésies, OEuvres, t.II, p.90 ds Littré); f) ca 1140 «capturer des animaux» (G. Gaimar, Histoire des anglais, éd. A.Bell, 2722); 1536 prendre au piège (un animal) (Roger de Collerye, OEuvres, éd. C. D'Héricault, 214); g) 2emoit. xes. «arrêter, capturer quelqu'un» (St Léger, éd. J. Linskill, 150); 1636 prendre en traître (Corneille, Cid, V, 5); 1668 on ne l'y prendrait plus (La Fontaine, Fables, I, 2: Le Corbeau et le Renard); 1678 tel est pris qui croyait prendre (Id., ibid., VIII, 9: Le Rat et l'Huître); 1690 se laisser prendre au piège (Fur.); 1697 savoir prendre qqn (J. B. Rousseau, Le Flatteur, I, 1 ds Littré); h) ?) 1450-55 prendre qqn sur le fait (Farce de Maistre Pathelin, éd. R. T. Holbroock, v. 1113); ca 1480 pris a depourveu (Mistere Viel Testament, éd. J.de Rothschild, 7984); 1674 prendre au dépourvu (Hauteroche, Crispin musicien ds Littré); 1760 Je vous y prends (Voltaire, L'Écossaise, IV, 4, ibid.); 1798 prendre qqn en faute (J. J. Rousseau, Confessions, XII, ibid.); 1808 prendre la main dans le sac (Hautel t.2); ?) ca 1280 «en parlant des choses extérieures, s'abattre brusquement» (ici, la nuit) (Adenet Le Roi, Cleomades, éd. A. Henry, 12311); ca 1050 pietét ne t'en prist (Alexis, éd. C. Storey, 440); ca 1150 somoil li prist (Wace, St Nicolas, éd. E. Ronsjö, 775); 1678 la faim le prit (La Fontaine, Fables, VII, 4: Le Héron); ?) 1160-74 «advenir à quelqu'un» (Wace, Rou, éd. A.J.Holden, III, 2629); déb. xiies. impers. «venir à l'esprit de quelqu'un, lui advenir» (St Brendan, éd. E. G. R. Waters, 48); ca 1480 mal vous en prendra (Mistere Viel Testament, éd. J.de Rothschild, 15433); 1962 ça l'a pris comme une envie de pisser (Rob.); i) ?) 2emoit. xes. «faire venir» (St Léger, éd. J. Linskill, 86); 1585 «acheter» (Noël Du Fail, Contes d'Eutrapel, éd. J. Assézat, II, 66); 1677 prendre une maison «la louer» (Mmede Sévigné, Lettres, éd. M. Monmerqué, t.5, p.314); ?) ca 1165 prendre conseiz (Benoît de Ste-Maure, Troie, éd. L. Constans, 24705); 1405-49 prendre la foy chretienne (Journal d'un bourgeois de Paris, éd. Tuetey, 219); ca 1535-74 prendre avis sur (St Gelais, OEuvres, éd. P.Blanchemain, II, 2); 1568 prendre le nom d'un roi (en parlant d'une ville) (Garnier, Porcie, éd. W. Foerster, I, p.6); 1697 prendre l'accent (Regnard, Le Distrait, III, 3 ds OEuvres, t.3, p.173 [éd. Paris, 1830]); 1748 prendre les moeurs des Perses (Montesquieu, De l'esprit des lois, éd. G.Truc, chap. 14, p.157); ?) ca 1160 prendre jour (Eneas, éd. J. J. Salverda de Grave, 10010); 1740 prendre date (Ac.); ?) ca 1180 prendre essample de qqn «un exemple» (Marie de France, Fables, éd. Warnke, 14, 34); 1269-78 prendre exanple a «prendre exemple sur» (Jean de Meung, Rose, éd. F. Lecoy, 5196); 1428 or prenons que (A. Chartier, Le Curial, éd. F. Heuckenkamp, p.7, l. 12-13); 1611 prenons le cas que (P. de Larivey, Fidelle, éd. Viollet le Duc, IV, 10); ?) 1606 prendre le double de quelqu'une écriture (Nicot); 1690 prendre les dimensions (Fur., s.v. dimension); 1876 id. fig. (Littré); 1907 «filmer» (Méliès, V. cin., A.G.I.P., p.383 ds Giraud 1956); 1954 «photographier» (P. Guth, Le Naïf sous les drapeaux, part.1, ch.3, p.43 ds Quem. DDL t.18); ?) ca 1050 «s'adjoindre quelqu'un» (Alexis, éd. C. Storey, 111); 1835 prendre des passagers (Ac.); ca 1050 prendre moyler «prendre femme» (Alexis, éd. C. Storey, 39); ca 1145 «épouser quelqu'un» (Wace, Conception N.D., éd. W.R.Ashford, 980); 1690 prendre pour femme (Fur.); 1174 prendre a avoé (Guernes de Pont-Ste-Maxence, St Thomas, éd. E.Walberg, 476); 1269 prendre a testamenteur (Archives du Nord, B 446, no1592 ds IGLF); 1460-63 prendre comme mercenaires (Coquillart, Trad. de l'hist. de la guerre des juifs ds OEuvres, éd. C.D'Héricault, II, 320); 1536 prendre pour serviteur (R. de Collerye, OEuvres, éd. C. D'Héricault, p.158); 1538 prendre à temoin (Est.); ?) 1370 prendre qqc. pour qqc. d'autre «en juger autrement qu'il ne faut» (Oresme, Ethiques, éd. A.D.Menut, 74); 1450-65 pour qui c'est que vous me prenez? (Farce de maistre Pathelin, éd. R.T.Holbroock, v. 1506); ca 1480 prendre pour «confondre» (Mistere Viel Testament, éd. J.de Rothschild, 3727); 1585 prendre Paris pour Corbeil (Noël Du Fail, Contes d'Eutrapel, éd. J.Assézat, II, 112); 1690 prendre qqc. pour argent comptant (Fur.); 1743 prendre son cul pour ses chausses (Trév.); 1875 prendre le Pirée pour un homme (Lar. 19e, s.v. Pirée); ?) ca 1350 «avaler, absorber une boisson» (Gilles Li Muisis, Poésies, I, 85 ds T.-L.); 1903 prendre un verre (J. Lorrain, D.Fabrice, Clair de lune, I, iv ds Quem. DDL t.6); 1450-65 prendre des pilulles (Farce de maistre Pathelin, éd. R.T.Holbroock, v. 645); 1478-80 prendre medicine (Coquillart, Le plaidoié ds OEuvres, éd. M.J.Freeman, p.11); 1645 prendre l'air (Corneille, Suite du menteur, II, 7); apr. 1661 prendre les eaux (Retz, Mémoires, éd. A. Feuillet, J. Gourdault, R. Chantelauze, II, 125); 1668 prendre le frais (Molière, Georges Dandin, III, 8); 1673 prendre un bain (Id., Malade imaginaire, III, 4); 1694 prendre un lavement (Ac.); ?) ca 1150 prendre à qqn «atteindre quelqu'un en parlant d'une maladie» (Wace, St Nicolas, éd. E. Ronsjö, 1492); 1155 prendre une maladie «être atteint de» (Id., Brut, éd. I.Arnold, 11318); 1188 prendre mal «tomber malade» (Aimon de Varennes, Florimont, éd. A.Hilka, 8919); 1613 prendre l'eau (d'un bateau) (M. Regnier, Satires, XVI, éd. G. Raibaud, p.212); 1669 prendre feu (Widerhold); 1690 prendre du froid (Fur.); 1875 prendre froid (Lar. 19e); 3. a) ca 1050 prendre congét (Alexis, éd. C.Storey, 598); 1119 prendre fin (Philippe de Thaon, Comput, 2171 ds T.-L.); ca 1480 prendre du bon temps (Mistere Viel Testament, éd. J.de Rothschild, 39281); 1538 prendre le temps «attendre le moment favorable» (Est.); 1645 prendre son temps pour (Corneille, Suite du menteur, V, 4); 1869 prendre du temps «être long à réaliser» (Littré); b) 1536 prendre la plume (R. de Collerye, OEuvres, éd. C.D'Héricault, 166); 1561 prendre (un vêtement) (J. Grevin, L'Olympe, éd. L.Pinvert, 263); 1611 prendre le deuil (Cotgr.); 1869 prendre le voile (Littré); c) 1450-65 prendre place (Farce de maistre Pathelin, éd. R.T.Holbroock, v. 1218); ca 1480 prendre les armes (Mistere Viel Testament, éd. J.de Rothschild, 41992); 1606 prendre le vent (Nicot); 1671 prendre la mer (Pomey); 1690 «faire usage d'un véhicule» (Fur.); 1476 prendre le chemin (Archives du Nord, B 1698, fo65 ds IGLF); 1540 prendre la route (Nicolas Herberay des Essars, Amadis, éd. H. Vaganay, 3); 1690 prendre un tournant (Fur., s.v. tournant); 1798 prendre la porte (Ac.); 1869 prendre le large «s'enfuir» (Littré); 1907 prendre la tangente (France); d) déb. xiies. prendre fuite (St Brendan, éd. E. G. R. Waters, 1166); ca 1225 prendre son vol (Reclus de Molliens, Carité, 36, 10 ds T.-L.); 1585 prendre les devants (Noël Du Fail, Contes d'Eutrapel, éd. J.Assézat, II, 68); 1955 prendre ses distances (Rob., s.v. distance); 1962 prendre du recul (ibid.); e) 1160-74 prendre garde de «s'occuper de» (Wace, Rou, éd. A.J.Holden, III, 358); 1174-80 prendre garde (à qqc.) «faire attention à» (Chrétien de Troyes, Perceval, éd. W.Roach, 8952); déb. xiies. prendre cure de (Voyage St Brendan, éd. E.G.R.Waters, 162); 1538 prendre soin de (Est.); 1188 prendre courage (Aimon de Varennes, Florimont, éd. A.Hilka, 7725); 1370 prendre plaisir (Froissart, Espinette amoureuse, éd. A.Fourrier, 785); 1656 prendre plaisir à (Molière, Dépit amoureux, II, 5); ca 1480 prendre en pascience (Mistere Viel Testament, éd. J.de Rothschild, 31229); f) ca 1480 prendre (une charge) (ibid., 47339); 1585 prendre parti (Noël Du Fail, Contes d'Eutrapel, éd. J.Assézat, II, 238); 1599 prendre à partie (Coustumes du pays et duché de Normandie, fol. 34 ro); 1604 prendre connaissance (Montchrestien, Les Lacenes, éd. Petit de Julleville, 192); av. 1615 prendre le fait et cause (Pasquier, Recherches de la France, 827); 1740 prendre fait et cause pour (Ac.); 1656-57 prendre part (Pascal, Provinciales, éd. Brunschvicg, X, V, p.320); 1870 prendre sa retraite (Littré, s.v. retraite); g) 1538 prendre racine (Est.); 1540 prendre naissance (d'un homme) (Nicolas Herberay des Essars, Amadis, éd. H.Vaganay, 298); 1549 prendre chair (Est.); 1869 prendre de l'âge (Littré); 1585 prendre sa source (de la pauvreté) (Noël Du Fail, Contes d'Eutrapel, éd. J.Assézat, p.318); 1694 id. (d'une rivière) (Ac.); ca 1590 prendre son pli (Montaigne, Essais, éd. P.Villey et V.L.Saulnier, p.110); 1798 prendre forme (Ac.). B. Verbe intrans. 1. ca 1140 part. passé li plons iert toz pris «durci (en parlant d'un métal)» (Pèlerinage Charlemagne, éd. G.Favati, 572); ca 1393 faire prendre (la gelée) (Le Ménagier, II, 219 ds T.-L.); 2. 1176-84 être pris «occupé par un sentiment» (Gautier d'Arras, Eracle, 2714); 3. 1559 «s'enraciner» (Amyot, Rom., 32 ds Littré); 4. 1176-81 el covertor est li feus pris (Chrétien de Troyes, Chevalier Charrete, éd. M.Roques, 522); 5. 1538 «avoir de l'effet» (Est.); 1727 «réussir, s'implanter» (Moncrif, Les chats ds Brunot t.6, 2, 1, p.1364); av. 1784 cela ne prend pas toujours (Diderot, Neveu de Rameau, éd. Piazza, 116); 6. 1606 prendre à droite, à gauche (Crespin, p.319); 1616 «suivre une direction, un chemin» (D'Aubigné, Hist., I, 339 ds Littré); 1690 prendre par le plus court (Fur., s.v. court); 1828 prendre par (Hugo, Odes, L.5, ode 24, Pluie d'été ds OEuvres poétiques, éd. de la Pléiade, t.1, p.488); 7. ca 1500 «commencer en parlant de ce qui suit une direction» (Philippe de Commynes, Mémoires, éd. J.Calmette, t.3, p.131). C. Verbe pronom. 1. 1671 «être employé d'une certaine façon dans le langage» (Pomey); 1730 «être interprété, compris dans un autre sens en parlant d'un mot» (Dumarsais, Traité des Tropes, La métonymie, p.63); 2. 1666 «être attrapé, coincé» (Furetière, Roman Bourgeois, éd. Colombey, 107); 1675 «être captivé, séduit» (Mmede Sévigné, Lettres, éd. M. Monmerqué, t.4, p.200); 3. 1135 «s'attacher à quelque chose (en parlant de personnes)» (Wace, Vie Ste Marguerite, éd. E.A.Francis, 53); 4. ca 1150 (Id., Vie St Nicolas, éd. E. Ronsjö, 694); 1739 ne s'en prendre qu'à soi-même (Marivaux, Marianne, éd. J.Janin, 484); 5. 1640 se prendre de vin «s'enivrer» (Oudin Curiositez); 6. ca 1150 se prendre a «se mettre à» (Wace, St Nicolas, éd. E.Ronsjö, 1455); 7. 1611 se prendre à qqc. «s'y mettre avec adresse, de la manière qui convient» (Cotgr.); 1580 s'y prendre de bon'heure (Montaigne, Essais, I, 26, éd. P.Villey et V.L.Saulnier, p.166); 1656-57 s'y prendre pour (Pascal, Provinciales, éd. Brunschvicg, XII, p.274); 8. av. 1615 se prendre pour (Pasquier, Recherches de la France, 87); 9. 1376 «s'attacher à, coller à (en parlant d'une substance)» (Modus et Ratio, éd. G.Tilander, 139, 9); 1623 «geler» (Sorel, Francion, éd. E.Roy, 246); 10. 1554 «s'unir» (C. Marot, Metam. d'Ovide, II, p.98 ds Gdf. Compl.); 1754 «s'unir en mariage» (Ac.); 11. 1666 «se saisir l'un l'autre par les cheveux» (Boileau, Satire, III ds OEuvres complètes, éd. de la Pléiade, p.25). Du lat. prendere, contraction de prehendere «saisir, prendre», «surprendre, prendre sur le fait», «se saisir de quelqu'un, arrêter», «occuper, prendre possession d'un lieu», «atteindre».

    prenais au Scrabble


    Le mot prenais vaut 9 points au Scrabble.

    prenais

    Informations sur le mot prenais - 7 lettres, 3 voyelles, 4 consonnes, 7 lettres uniques.

    Quel nombre de points fait le mot prenais au Scrabble ?


    Le calcul de points ne prend pas en compte lettre compte double, lettre compte triple, mot compte double et mot compte triple. Ces cases augmentent les valeurs des mots posés selon un coefficient indiqué par les règles du jeu de Scrabble.

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    prenais

    Les rimes de « prenais »


    On recherche une rime en NE .

    Les rimes de prenais peuvent aider les poètes et les paroliers à trouver des mots pour former des vers avec une structure rythmique cohérente, mais aussi pour jouer avec les mots et les sons, découvrir de nouvelles idées et perspectives ce qui peut être amusant et divertissant.

    Les rimes en nE

    Rimes de congestionnaient      Rimes de incriminé      Rimes de environnées      Rimes de sillonnés      Rimes de éborgner      Rimes de haubanée      Rimes de canés      Rimes de enrubannée      Rimes de contaminé      Rimes de oignait      Rimes de renée      Rimes de wagonnet      Rimes de ramenez      Rimes de peinées      Rimes de mutinés      Rimes de clignés      Rimes de ratiocinait      Rimes de malmenés      Rimes de rambiné      Rimes de crânez      Rimes de fonctionnais      Rimes de cognais      Rimes de emmenée      Rimes de traînaient      Rimes de hallucinez      Rimes de ricaner      Rimes de cochonnée      Rimes de maçonner      Rimes de ordonnait      Rimes de illusionnez      Rimes de entretenait      Rimes de badiné      Rimes de besognait      Rimes de tartinée      Rimes de colophané      Rimes de enrubannées      Rimes de sélectionnés      Rimes de déchaînés      Rimes de dominer      Rimes de résigner      Rimes de lésinaient      Rimes de forcenés      Rimes de tisonné      Rimes de cautionnait      Rimes de fané      Rimes de suroxygéné      Rimes de enluminés      Rimes de adonnée      Rimes de étonnée      Rimes de fascinais     

    Mots du jour

    congestionnaient     incriminé     environnées     sillonnés     éborgner     haubanée     canés     enrubannée     contaminé     oignait     renée     wagonnet     ramenez     peinées     mutinés     clignés     ratiocinait     malmenés     rambiné     crânez     fonctionnais     cognais     emmenée     traînaient     hallucinez     ricaner     cochonnée     maçonner     ordonnait     illusionnez     entretenait     badiné     besognait     tartinée     colophané     enrubannées     sélectionnés     déchaînés     dominer     résigner     lésinaient     forcenés     tisonné     cautionnait     fané     suroxygéné     enluminés     adonnée     étonnée     fascinais     


    Les citations sur « prenais »

    1. Je comprenais que, malgré les chagrins, les erreurs, les échecs et la défaite, j'avais, grâce à mes parents, le goût du bonheur, du combat et des victoires.

      Auteur : Marc Lavoine - Source : L'homme qui ment (2015)


    2. Je ne comprenais rien à la vie de famille. J'ignorais que l'on pouvait aimer ses parents, ou qu'ils pouvaient vous porter assez d'amour pour vous autoriser à être vous-même.

      Auteur : Jeanette Winterson - Source : Pourquoi être heureux quand on peut être normal (2012)


    3. Plus je prenais conscience que Jiazhen était atteinte d'une maladie inguérissable, plus je me sentais saisi d'épouvante. La vie passait tellement vite ! Dire qu'elle se trouvait dans un état pareil...En voyant son visage si maigre, je me rendais compte que, depuis son mariage, elle n'avait pas vécu un seul jour paisible avec moi. Jiazhen paraissait au contraire très contente.
      - Tant mieux si c'est inguérissable, dit-elle. Sinon, nous n'aurions pas eu assez d'argent pour me soigner.


      Auteur : Yu Hua - Source : Brothers (2008)


    4. Je comprenais maintenant ces innocents qui avouent aux flics un crime qu'ils n'ont pas commis, après des nuits de garde à vue, après des heures d'arguments, d'hypothèses et de preuves assénés par l'accusation. Ces innocents qui finissent par croire à la vérité énoncée par d'autres, qui en viennent à douter de leurs propres certitudes, celles qu'ils possédaient en entrant dans le bureau du juge.

      Auteur : Michel Bussi - Source : N'oublier jamais


    5. Quand j'avais dix-neuf ou vingt ans, à l'Université, j'étais absurdement jaloux de Goethe. Cela me rendait furieux de penser que je n'étais pas l'auteur de ses poésies que j'apprenais avec un mélange de ravissement et de rage.

      Auteur : Julien Green - Source : Journal


    6. Je prenais conscience de mes propres transformations en les confrontant à l'identité des choses.

      Auteur : Marcel Proust - Source : A la recherche du temps perdu, Sodome et Gomorrhe (1922-1923)


    7. Je comprenais maintenant une phrase que m'avait dite un jour Philippe et que j'avais alors jugée monstrueuse: L'amour supporte mieux l'absence ou la mort que le doute ou la trahison.

      Auteur : André Maurois - Source : Climats (1928)


    8. Le coucher de soleil avait été magnifique et la lune montait, presque entière, déversant sa lumière argentée sur la plaine, la montagne et les monticules qui s'élevaient çà et là. C'était un décor paisible et idyllique mais, sachant ce qu'il cachait, je me prenais à le haïr.

      Auteur : Howard Phillips Lovecraft - Source : L'Appel de Cthulhu (1926)


    9. J'avais grandi avec ces jeunes, je considérais leurs comportements comme normaux et leur langue violente était la mienne. Mais je suivais aussi tous les jours, depuis six ans maintenant, un parcours dont ils ignoraient tout et auquel je faisais face de manière tellement brillante que j'avais fini par être la meilleure. Avec eux je ne pouvais rien utiliser de ce que j'apprenais au quotidien, je devais me retenir, et d'une certaine manière me dégrader moi-même

      Auteur : Elena Ferrante - Source : L'Amie prodigieuse, tome 1 : Enfance, adolescence (2014)


    10. Il déplia devant moi un plan du métro et me montra le chemin que j'aurais à faire sous terre. Mais je ne comprenais rien à ce plan, et l'idée même de métro me demeurait obscure.

      Auteur : Camara Laye - Source : L'Enfant noir (1953)


    11. Je comprenais maintenant les veufs qu'on croit consolés et qui prouvent au contraire qu'ils sont inconsolables, parce qu'ils se remarient avec leur belle-soeur.

      Auteur : Marcel Proust - Source : Albertine disparue (1925)


    12. La violence est une sorte de magie, on y puise le sentiment que le monde vous cédera toujours. Quand je comprenais la structure grammaticale, je comprenais quelque chose que je respectais et qui ne me céderait pas.

      Auteur : Iris Murdoch - Source : Un Enfant du verbe (1979)


    13. J'ai toujours aimé les fictions de fin du monde, j'en ai lu énormément quand j'avais 20, 30 ans. A mesure que je prenais conscience du réchauffement climatique, d'Ebola (...) ou du virus H1N1, je n'ai pu m'empêcher de penser que nous vivions dans un monde où l'apocalypse était possible.

      Auteur : Deon Meyer - Source : Interview de Deon Meyer, AFP, 19 avril 2020


    14. Elle vint à moi, s’agenouilla au bord du lit d’un geste tendre, m’entoura de ses bras tout frais du vent de mer, et il me sembla que je prenais sur ses lèvres le goût du sel.

      Auteur : Julien Gracq - Source : Le Rivage des Syrtes (1951)


    15. J'ai vécu d'heureuses années sans écrire. Je menais une vie contemplative et solitaire dont le souvenir m'est encore infiniment doux. Alors, comme je n'étudiais rien, j'apprenais beaucoup.

      Auteur : Anatole France - Source : La Vie littéraire (1888), II, Sur le scepticisme


    16. La vie me devenait moins facile : quand le corps est triste, le coeur languit. Il me semblait que je désapprenais en partie ce que je n'avais jamais appris et que je savais pourtant si bien, je veux dire vivre.

      Auteur : Albert Camus - Source : La Chute (1956)


    17. Durant que je prenais hâtivement, mesdames,
      Livraison de vos corps
      Sans cesse, bêtement, j'ai négligé vos âmes
      Pour battre des records.


      Auteur : Tristan Bernard - Source : 60 années de lyrisme intermittent (1945)


    18. De honte, je serais rentré sous terre, si Cassius n'y eût été. Car je prenais l'expression à la lettre, et désirais me fondre au sol, pour échapper à ce Barnabé malveillant et sarcastique dont la présence et le mutisme me paralysaient la langue.

      Auteur : Henri Bosco - Source : Antonin (1952)


    19. Pour moi, je comprenais mal qu'on quittât volontairement un monde qui me paraissait beau, qu'on n'épuisât pas jusqu'au bout, en dépit de tous les maux, la dernière possibilité de pensée, de contact, et même de regard. J'ai bien changé depuis.

      Auteur : Marguerite Yourcenar - Source : Mémoires d'Hadrien (1951)


    20. Moi je ne comprenais pas les enfants qui aimaient aller chez leurs grands-parents. Elles me terrifiaient ces vieilles personnes, à vouloir qu'on les aime et qu'on touche leurs peaux en gants de toilette. Tout sombrait chez eux : les bajoues, le cou, les bras, les lèvres. Ils voulaient nous faire jouer à des jeux trop vieux pour nous : ils ne comprenaient pas que nous étions des enfants modernes. Ils avaient chez eux des produits qui n'existaient pas ailleurs. Des savons écaillés qui trempaient dans un jus maronnâtre, des granules d'arnica, des boîtes de nourriture qu'on ne voyait jamais dans nos supermarchés, c'était comme aller dans un pays étranger, la vieillesse.

      Auteur : Anne Berest - Source : La fille de son père (2010)


    21. Avant, je mettais la gomme. Je prenais des risques inutiles sur la route. Maintenant, je suis très, très prudent.

      Auteur : James Dean - Source : Spot publicitaire pour la sécurité routière, septembre 1955.


    22. Notre présence mutuelle annihilait pourtant notre douleur commune et bien que profondément blessée et en théorie vouée au spleen pour l'éternité, je me surprenais à me sentir heureuse.

      Auteur : Lolita Pille - Source : Hell (2002)


    23. Je comprenais aussi que c'est dans le dénuement que l'on sent tout le prix des choses les plus simples, et combien leur absence nous appauvrit.

      Auteur : Jean Joubert - Source : Les Enfants de Noé (1988)


    24. Il gueulait si fort que des bribes de son discours arrivaient jusqu'à moi. Union... frères... Marx... capital... bifteck... amour. Je n'y comprenais rien.

      Auteur : Samuel Beckett - Source : Nouvelles


    25. Qu'elle eût honte de ne savoir ni lire ni écrire, et qu'elle préférât me sembler déroutante plutôt que d'être honteusement démasquée, je le comprenais. Je savais bien moi-même que la honte pouvait provoquer des conduites de fuite, de résistance, de dissimulation, voire des comportements blessants. Mais la honte qu'éprouvait Hanna de ne savoir ni lire ni écrire expliquait-elle son comportement au procès et dans le camp ? Par peur de la honte d'être analphabète, plutôt la honte d'être démasquée comme criminelle ? Plutôt être une criminelle ?

      Auteur : Bernhard Schlink - Source : Le Liseur (1996)


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    Les synonymes de « prenais»

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