Définition de « au »


Notre dictionnaire de français vous présente les définitions du mot au de manière claire et concise, avec des exemples pertinents pour aider à comprendre le sens du mot.

Il comprend des informations supplémentaires telles que des exemples d'expressions, l'étymologie, les synonymes, les homonymes, les antonymes mais également les rimes et anagrammes et bien sûr des citations littéraires sur au pour aider à enrichir la compréhension du mot Au et répondre à la question quelle est la définition de au ?

ART:def genre (m) de 1 syllabes
Une définition simple : (fr-accord-mf-x|o) au

  • Contraction de à le. - Je vais au marché. - Ce train s’arrête au Mans. (usage) La contraction s’opère avec l’article initial des noms de lieu (voir l’exemple), mais pas avec celui des noms de famille (on doit cette architecture à Le Corbusier).


    Définitions de « au »


    Wiktionnaire


    Nom commun - français

    au \Prononciation ?\ masculin singulier

    1. Langue torricelli parlée en Papouasie-Nouvelle-Guinée (code ISO 639-3 : avt).

    Forme d'article défini - français

    au \o\ masculin singulier

    1. Contraction de la préposition à et de l'article défini le.
      • Je vais au marché.
      • Ce train s'arrête au Mans.
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    Littré

    AU (ô?; dans aux, l'x se lie, comme si c'était une s, aux mots commençant par une voyelle ou une h muette?: aux hommes, dites?: ô-z hommes)
    • 1Au, contraction pour à le, s'emploie avec les noms masculins qui commencent par une consonne ou une h aspirée. Au temple, au seigneur, au héros. Je lui dis au hasard. Je l'entends au sens des molinistes, Pascal, Prov. 1. L'endurcissement au péché traîne une mort funeste, Molière, D. Juan, V, 6. Et qu'au dû de ma charge, on ne me trouble en rien, Molière, Tart. V, 4.
    • 2Aux, contraction pour à les, s'emploie avec les substantifs des deux genres. Vivre aux champs. Donner aux pauvres. Convenir aux femmes. Qu'on se laisse aisément persuader aux personnes qu'on aime?! Molière, le Bourg. gent. III, 10. On souffre aux entretiens ces sortes de combats, Molière, Femm. sav. IV, 3. Nous saurons toutes deux imiter notre mère? Vous, aux productions d'esprit et de lumière, Moi, dans celles, ma s?ur, qui sont de la matière, Molière, ib. I, 1. Je ne me trompe guère aux choses que je pense, Molière, Dép. am. I, 2. J'approuve la pensée, et nous avons matière D'en faire l'épreuve première Aux deux princes qui sont les derniers arrivés, Molière, Psyché, I, 1.

    HISTORIQUE

    XIe s. E se [il] mesfeist as homes de sa baillie?, L. de Guill. 2. [Il] Forfait [mis à l'amende] fust u duble de ce que altre fust forfait, ib. 2. Si perde [qu'il perde] sa franchise, si al rei nel pot reachater, ib. 41. Et dist al rei?: Or ne vous esmaiez, Ch. de Rol. III. Quant vous serez el palais seigneuril, ib. X.

    XIIe s. Si m'avez point [piqué] el cors profondement, Ronc. p. 154. Au chief [ils] lui ploient un mantel aufricant, ib. p. 152. Si estes suer [s?ur] al marquis Olivier, ib. p. 161. Il fu nourriz enz ou regne de France, ib. p. 165. Quant au tierz jour [il] se prist à pourpenser, ib. p. 177. Dès-ci as ongles sont armé sans faillance, ib. p. 134. [Amour] Me fait chanter de la plus debonaire Qu'on puist el mont [monde] ne vouer ne trouver, Couci, II. Et que mes cuers au vostre s'humelie, ib. Que naist la rose et le lis Et la rosée ou vert pré, ib. XI. Ou palais de Tremoigne [il] a sa femme laissie?; Au departir de li l'a doucement baisie, Sax. VII.

    XIIIe s. El jardin le [du] roi [il y] ot mainte table dressée, Berte, II. Au manger sist li rois o sa gente mesnie, ib. Mout a eu grant guerre on pays longuement, ib. XLVII. Que le livre as histoires [il] me montra, où je vi?, ib. I. Se li uns des arbitres ne pot entendre à autres besongnes qu'aus [à celles de] son segneur, Beaumanoir, XLI, 8.

    XVIe s. Aux longues guerres d'entre luy et Robert, Montaigne, I, 15. Razias, surnommé le pere aux Juifs, Montaigne, II, 33. Punissant aux enfants la faulte des peres, Montaigne, II, 197. De toutes les absurdités, la plus absurde aux Epicuriens est desad vouer la force et l'effect des sens, Montaigne, II, 12.

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    Encyclopédie, 1re édition

    * AU (Gramm.) Quant à sa valeur dans la composition des mots, c'est un son simple & non diphthongue ; il ne differe de celui de la voyelle o qu'en ce qu'il est un peu plus ouvert : quant à sa valeur dans le discours, voyez l'article Article.

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    Étymologie de « au »

    Au, ou, u, on sont des formes diverses de el ou al?; al est pour à le?; mais el est sans doute pour en le?; aux, aus, as sont pour à les.

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    À, prép.
    ÉTYMOL. ? Corresp. rom. : prov., ital., esp., cat., port., roum. a. I.? Attestations. ? [1reattest. 842, Serm. cf. inf. C1]. A.? Notions se rattachant à ad : mouvement, direction, instrument, etc. 1. a) Mil. xies. Mouvement vers un lieu (Alexis, éd. Paris et Pannier 16a ds T.-L. : vint ... dreitement a la mer); ca 1100, vers une pers. (Rol., éd. Bédier, 70 : Seignurs baruns a Carlemagnes irez); emploi fig. : notion de finalité (Alexis, 10e ds T.-L. : de tot en tot ad a deu son talent); doner a + inf. (ibid., 51e, ibid. : as plus povres le donet a mangier); b) mil. xies. constr. prép. avec valeur : ? de datif lat. : parler a (ibid., 34d, ibid. : parler al visitor), doner a (cf. sup. Alexis, 51e); ? de génit. lat. (ibid., 9b ds Gdf. : Filie ad un comte de Rome ...). 2. Notion de situation : 881, dans le temps (Eul., 12 ds Meyer ds Gdf. : Chi rex eret a cels dis sovre pagiens); mil. xies., dans un lieu (Alexis, 34d ds T.-L. : serveit a l'alter). 3. Notions : a) d'instrument : 881 (Eul., 22 ds Gdf. : ad une spede li roverent tolir le chief); b) de manière : ca 1100 (Rol., éd. Bédier, 1276 : L'escut li freinst, Ki est ad or e a flurs); c) de rapport : mil. xies. (Alexis, 5e ds T.-L. : Enfant nos done qui seit a ton talent), tenir a (ibid., 14a ds Gdf. : celui tien ad espos, Qui ...); d) de compar. : ca 1100 (Rol., éd. Bédier, 1598 : Beste nen est Ki poisset curre a lui [qui puisse courir comme lui]). B.? Notions se rattachant à ab : séparation, orig., etc. 1. Mil. xies. prendre congiet a (Alexis, 120c ds T.-L. : prenent congiet al cors saint Alexis). 2. 1172-1174, notion d'orig. (G. de P. Sainte-Maxence, S. Thomas, éd. Hippeau, ibid. : a ses clers prist conseil); 1176 (Chrétien de Troyes, Clig., éd. Micha, 2824 : Que ses oncles li mande Qu'a lui pes ne trives n'atande). 3. Av. 1167, notion d'agent (Marie de France, Lais, éd. Roq., Laustic, 225 ds Gdf. : Ki se faiseit amer a tus). C.? Notions se rattachant à apud : relation, accompagnement. 1. 842, notion de relation (Serm., Bartsch ds Gdf. : Et ab Ludher nul plaid nunquam prindrai). 2. 2emoitié xes., notion d'accompagnement (Pass., éd. Avalle, 428 : Castel Emaus ab elz entret, Ab elz ensemble si sopet); id. (St Léger, ds Förster et Koschwitz, 8 : Primos didrai uos dels honors Quae il auuret ab duos seniors). II.? Étymologie. ? A.? Du lat. ad exprimant les notions de mouvement, de direction : vers un lieu (dep. Liv. Andr., 28 ds TLL s.v., 485, 40; fréq. chez Plaute, ibid., passim; maintenu en lat. médiév. ds Mittellat. W. s.v., 148, 10 sq.); vers une pers. (fréq. ds Plaute, ds TLL, 478, 65 sq.); constr. verbe de mouvement + ad + inf. : dare ad manducare [class. dare + inf.], Itala, Johan., 6, 52, cod. vercellensis ibid., 559, 62. ? Constr. prép. alterne surtout en lat. vulg. ? avec datif : Plaute, Epid., ibid., 475, 15 : ad hostes exuvias dabit (cf. 741-744, Lex Baiuv., 1, 1 ds Mittellat. W., 149, 38 : alodem suam ad ecclesiam ... donare), d'où donner à, Horace, Satirae, 2, 6, 90 ds Väänänen, Lat. vulg., § 249 : tandem urbanus ad hunc ... inquit (cf. Trad. ratisb., 25 ds Mittellat. W., 153, 69, ad ipsum abbatem loqui), d'où parler à; voir G. De Poerck et L. Mourin, Réflexions sur la prép. ad, Vox rom., XIII, 279-281; ? avec le génit. : Itala, Aggaeus, 2, 23 ds TLL, 558, 47 : unusquisque in gladio ad fratrem suum (cf. fin vies., Form. andec., 28 ds Mittellat. W., 153, 39 : terra ad illo homine). ? De la notion de mouvement, celle de proximité, puis de situation (sans mouvement) : dans le temps, dep. Pacuv., (Trag., 363 ds TLL, 556, 50 : terra exhalat auram ad auroram humidam; cf. début ixes., Annal. Einh. ds Mittellat. W., 150, 66 : anno 771, ad II nonas dec.); dans un lieu, dep. Plaute, (Truc., 281 ds TLL, 522, 15 : quid apud [ad A] nostras negoti ... est aedis tibi?). ? De la notion de proximité, celles : ? d'instrument : dep. 1ers. ds TLL, 551, 50 sq. (cf. avec 3 a : Vég., Mil., 3, 24, ibid., 77 : ad latiores lanceas ... beluas occidebant); ? de manière (cf. avec b : Pline, Epist., 5, 6, 13, ibid., 551, 42 : formam aliquam ad eximiam pulchritudinem pictam); ? de rapport (dep. Plaute, ibid., 80 sq.; cf. avec c : ixes., Sangall., p. 81, 5 ds Mittellat W., 152, 59 : ad mensura egrotantis); tenir a « considérer comme », cf. anno 774, Concilium Suess, can. IX ds Bourc. 1956, § 236 b : nullus sacratam feminam ad mulierem habeat; ? de compar. (cf. avec d : Cic., De Orat., éd. Courbaud, 2, 25 : sed nihil ad Persum). B.? Du lat. ab exprimant les notions : ? de séparation, dep. lat. arch. : discedere ab « se séparer de (qqn) » dep. Plaute, ds TLL s.v. discedere, 1278, 80 sq.; cf. avec 1 : ? d'orig. avec verbe « espérer », « craindre », « attendre » + nom de pers. (Tite-Live, 21, 13, 3, ibid., s.v. ab, 31, 59, d'où 2; exprimant l'agent (dep. Plaute, passim ibid., 28, 71 sq.), d'où 3, cf. aussi hyp. de H. Fr. Müller, Orig. et hist. de la prép. « à » dans les loc. du type « faire faire qqc. à qqn » (cr. par Rübel ds Z. rom. Philol., XXXVIII, 371-373) qui y voit la trace d'un dativus graecus compl. de l'inf. passif puis actif, remplacé par le tour prép., opinion reprise par Gam. Synt. 1957, § 85, et Spitzer ds Z. rom. Philol., XLIII, 279 sq. C. ? Du lat. apud (Fouché Phonét. 1952, 659, rem. IV), par l'intermédiaire de *abu, hyp. confirmée par forme ab des Serments; prép. apud, fréq. à partir vies., surtout en Gaule, pour exprimer notions de relation et d'accompagnement; cf. avec 1 : Merov., 70, p. 62, 51 ds Mittellat. W., s.v., 832, 23 : quod exinde socer suos [e. suus] concammio apud ipso Magnoaldo fecisset; cf. avec 2 : anno 726-727, Hist. Franc., 10, 252 ds Mittellat, W., s.v., 832, 27 : rex omnem exercitum suum apud [cum ds Greg. Turon.] armorum apparatu jussit venire; cf. a. fr. o(d). ? A partir de l'époque mérov., confusion fréq. entre a(b) et ad (cf. TLL, s.v. ad, 558, 78 sq.; Mittellat. W., s.v. ad, 155, 12 sq.) et entre ad et apud (cf. TLL, s.v. apud, 344, 35-54; Mittellat. W., s.v. apud, 832, 1-17) ce qui explique la triple orig. de l'a. fr. a. HIST. ? En a. fr. la prép. à, dont les orig. lat. sont très diverses (cf. étymol.), a un emploi beaucoup plus large qu'en fr. mod. Au cours de l'hist. de la lang., à ne cesse de lutter contre des prép. concurrentes anc. (en, de, pour) ou de création plus récente (chez, dans, avec), le mouvement gén. étant un mouvement de recul, en partic. devant un subst. de l'animé. I.? Emplois stables. ? Dep. l'a. fr., la prép. à a exprimé le mouvement vers (ou jusqu'à) une limite non franchie, tant au sens concr. qu'au sens fig. Cette stab. ne va pas sans fluctuations de détail au cours de la longue période considérée. A.? Dans le syntagme verbal. 1. Constr. indir. simple. ? À noter une concurrence à / de devant l'inf. (cf. I A 1 b, rem. 3). ? En a. fr., à s'emploie apr. des verbes auj. suivis de de : souffrir à, jurer à, menacer à (T.-L.). ? Au xviies. : oublier à; manquer à; prescrire à; rechercher à; risquer à; omettre à; retarder à; se proposer à; il est aisé à; avoir accoutumé à; prendre garde à; etc. (Haase 1914, pp. 327-331). ? Rem. 1. Inversement de a pu s'employer apr. des verbes suivis auj. de à. Citons, au xvies. : apprendre de; chercher de; s'offrir de (Goug. Gramm. 1951, p. 154). 2. À noter aussi la constr. en a. fr. à + inf., là où le fr. mod. a la constr. dir. : Alerent a veoir Costantinople. Villehardouin, 192 (T.-L.). 2. Verbes à double constr. ? Concurrence des prép. à / de devant l'inf. dans le type inviter qqn à + inf. (cf. I B 4 a) : au xvies. de s'emploie là où l'usage mod. est de mettre à : convier qqn de; inciter qqn de (Goug. Gramm., p. 154). 3. Dans le compl. circ. a) Dans le compl. circ. de lieu (cf. I D, rem. 1 et 3) ? Concurrence à / en. Ses causes : . les orig. lat. de à, qui lui donnaient les valeurs de en < in et notamment celles du locatif, avec idée de pénétration. ? On sait que le lat. class. opposait esse in urbe « être en ville » ou « à la ville », d'une part à ire in urbem « aller en ville » (avec franchissement d'une limite et pénétration) et d'autre part à ire ad urbem « aller vers la ville » ou « à la ville » (avec tout au plus atteinte de la limite mais sans pénétration). Il est évident que la prép. ad s'imposait quand la pénétration était inconcevable : cas d'obj. n'ayant pas d'intériorité accessible (ire ad januam « aller vers la porte » ou « à la porte »; cas des pers. (ire ad aliquem « aller vers qqn » ou « à qqn »)). Le lat. vulg. avait simplifié ce système d'oppos. trop subtiles et avait fini par dire indifféremment d'une part, ire in ou ad urbem « aller vers la ville », « à la ville », « en ville » (sans considération de limite approchée, atteinte ou franchie) et d'autre part, esse in urbe ou ad urbem « être en ville » ou « à la ville » (sans considération de mouvement); cette ext. à l'expr. du locatif avait été facilitée par des tours class. exceptionnels, comme stare ad januam « se tenir à la porte », d'où l'idée de mouvement est exclue; . un accident phonét. ? On sait que phonétiquement *à le donne au, mais que de même *en le donne el, eu, ou et risque ainsi de se confondre avec au. C. Fahlin (cf. bbg., op. cit., pp. 62-63) cite comme 1erex. de la confusion ainsi créée, Merlin (fin du xiiies. ou début du xive) où l'on trouve simultanément : (... il n'a el monde chastiel (I, 198); (...) c'est la chose ou monde (I, 11); (...) canques il voit au monde (II, 179). Ses manifestations : . devant les subst. masc. à initiale vocalique (enfer) et les subst. fém. (forêt) qui appellent une prép. ayant le sens de « à l'intérieur de », en s'est imposé au prix du sacrifice de l'art., tandis que au supplantait apparemment en ? qu'en fait il contient ? devant les subst. masc. à initiale consonantique : cf. en forêt, en enfer, mais au bois, au paradis; . devant les subst. masc. à initiale vocalique (hôtel) ou les subst. fém. (maison, tête) devant lesquels la prép. peut signifier soit l'approche, soit la pénétration, l'alternance en / à est possible : à la maison / en maison de; à la tête / en tête; à l'hôtel / en l'hôtel; devant les subst. masc. à initiale consonantique au supplante en : au logis, au visage; . même phénomène pour les noms de pays et de provinces : en a. fr. la prép. usuelle est en, à étant très rare. Or devant ces noms, précédés ou non de la prép., s'introduit l'usage de l'art., rare encore au xiiies. puis avec une fréquence croissante jusqu'au xvies., la tendance étant ensuite à l'élimination de l'art. Aussi trouve-t-on en devant les noms de pays masc. à initiale vocalique et les noms fém. (l'élimination totale de à la ou à l' au profit de en sans art. ne date que du xixes. où l'on trouve les dernières attest. de à la Chine, à la Floride). Devant les noms de pays masc. au < *en le ou *à le est resté, même devant les noms très anc. (au Portugal, au Danemark); . devant les noms de ville, à concurrence en, qui devient rare, dès les xiieet xiiies. sauf dedant les noms de villes bibliques ou lointaines. Aux xiveet xves. à cède parfois la place à en (ou à dedanz) quand on veut souligner qu'on est à l'intérieur de la ville. D'autre part en semble se réintroduire devant les noms de ville à initiale vocalique (cf. C. Fahlin, op. cit., pp. 137-145). Au xviies. on trouve encore en Damas, en Florence, en Paris et en Alexandrie, en Épidaure, etc. (Haase, p. 341). Pour en Avignon, cf. sup. I D 1, rem. 3. . Au suj. de l'oppos. au printemps / en été, en automne, en hiver, les grammairiens sont divisés. Beaucoup, tels Bally et Wartburg, la justifient par l'absence de l'art. devant été, automne, hiver ? s'agissant de véritables noms propres l'art. était inutile ? et par sa présence (dans au) devant printemps < primum tempus, à l'orig. simple nom commun ayant donc besoin d'un déterm. (sur cette question controversée cf. C. Fahlin, op. cit., pp. 107-111-114-116 et W. v. Wartburg, Problèmes et méthodes de la linguistique, pp. 113-114). . Au xviies. à est encore concurrencé par en devant déterm. On trouve a) s'intéresser en ma conversation, en leurs maux; avoir quelque part en vos bonnes grâces; se confier en la bonne fortune; croire en les livres de Moïse; b) mourir en la peine; mettre en la place de; être en la disposition de, etc. (Haase, pp. 341-343). ? Concurrence à / dans, sur, vers : . La prép. dans s'impose vers le mil. du xvies. (cf. C. Fahlin, op. cit., p. 159) et tend à supplanter à devant les subst. ou apr. des verbes appelant une prép. signifiant « à l'intérieur de ». Mais au xviies. l'anc. état de lang. est encore abondamment attesté par des tours comme : se baigner au sang d'un frère; renfermer qqn à de petites choses; se jeter à d'autres desseins; être blessé à une attaque; tomber au désespoir; laisser qqn au besoin; entrer au détail; tremper au complot (Haase, pp. 313-317). ? Rem. Inversement l'usage a imposé à là où le xviies. employait dans : s'intéresser dans les affaires; abandonner qqn dans sa folie; pousser les choses dans les dernières violences; trouver du goût dans la vie; oublier sa dignité dans la vue de; être attaché dans cette bienheureuse terre (Haase, pp. 346-347). . La prép. à a été concurrencée également par d'autres prép. de sens concr. Pour le xviies., citons : à supplanté par sur : rétablir qqn au trône; trouver le diable à son chemin; insister toujours aux mêmes principes (Haase, p. 314); à supplanté par vers : se frayer un chemin à la foi (Haase, p. 321). b) À concurrencé par le degré zéro dans le compl. circ. de temps (cf. I E 3, rem. 1). ? Des compl. circ. auj. constr. sans prép., étaient souvent, en m. fr., précédés de la prép. à : au lendemain matin, à ce matin, au soir (Goug. Gramm., p. 185). c) Concurrence à / pour dans le compl. de but. ? La prép. à avec une valeur finale a perdu du terrain au profit de pour, comme en témoignent les emplois suiv. : ? au xvies. : Et aultres instruments requis a bien arboriser. Rabelais, Gargantua, 23. ? Au xviies. : avoir des appuis à se soutenir; se servir de ses mains à faire qqc.; se faire un prétexte de qqc. à ne pas ...; chercher la solitude à cacher qqc.; s'en prévaloir à éviter qqc.; n'avoir rien à rendre content; faire son possible à (Haase, p. 331). ? Rem. Inversement à a été parfois préféré à pour dans l'usage mod. : être destiné pour posséder qqc.; se tuer pour remarquer toutes ces choses (Haase, p. 363). B.? Dans le syntagme nom. ? Le syntagme nom. présente dès l'a. fr. les caractères mod. du syntagme nom. dont le subst. déterminé est un subst. concr. 1. À marquant la destination (cf. III D 1). ? À + subst. sans art. : à est suivi normalement d'un subst. non actualisé : boîtes a ongement. Meng. Rag., 1849 (T.-L.). Cependant à + art. + subst. est plus répandu qu'en fr. mod. : fourche au fiens. Jub. N. Rec., II, 164, (T.-L.). 2. À marquant l'accompagnement (cf. III D 3). ? À + subst. sans art. : à est suivi normalement d'un subst. non actualisé : chape a manches. Men. Reims, 145, (T.-L.). 3. À introduisant un compl. qui exprime le moy. par lequel fonctionne un appareil ex. roue à aubes (cf. III D 2), semble ne pas avoir existé en a. fr. II.? Emplois en régression. ? A.? Dans le syntagme verbal. 1. Constr. indir. simple (cf. I A 1 a, rem. 1). ? Recul du compl. indir. à + subst. de l'animé, certains verbes qui ont maintenant un régime dir. de l'animé s'étant constr. au xvies. avec à + subst. de l'animé : aider à qqn; assister à qqn; satisfaire à qqn; favoriser à qqn; rencontrer à qqn; supplier à qqn; éclairer à qqn (Goug. Gramm., pp. 149-150). 2. À devant l'attribut de l'obj. (cf. I C 1 pour les emplois mod. qui subsistent). ? La prép. à a reculé au profit de pour et comme. En a. fr., à est la prép. normale apr. les verbes avoir, prendre, vouloir : Rochebrune a a non. Bast., 87 (T.-L.). La concurrence à / pour existe dès l'a. fr. : Ne vos taing or mie por sage ne por cortois / Ne vos an taing or mie a sage ne por cortois. R. Charr., 140 (T.-L.). Au xviies., on trouve encore largement à devant des subst. abstr. : réputer, recevoir à faveur; compter à grand malheur; tenir à bonheur, à infamie; interpréter à mal; avoir à mépris; devenir à rien (Haase, p. 315). 3. Dans le compl. circ. a) Recul de à devant un subst. de l'animé (cf. I D, rem. 2) au profit de chez, vers, sur : en a. fr., à sert très couramment à indiquer le mouvement vers une pers. : . à signifiant « envers » : a li n'a pas häine. Berte, 1377, (T.-L.); . à signifiant « sur » : traoient as noz. Villehardouin, 218 (T.-L.); . à signifiant « vers, chez » : a vos m'anvoie. Ch. lyon, 5072 (T.-L.). ? Au xviies. à est encore largement empl. devant l'animé : . « chez » : souffrir qqc. à un homme comme vous. (Haase, p. 315); . « vers » : (se) tourner à un officier. (Haase, p. 314); . « sur » : se lancer à lui. (Haase, p. 314). ? Recul de à devant un subst. de l'animé au profit de avec, contre, pour exprimer l'accompagnement, la relation. . En a. fr. : à lui se vuet asseyer. Rich., 2217 (T.-L.). Tobie a sa fame ne jut. Tob., 1011 (T.-L.)... de cumbatre as Turs avoient grant ardour. Bast., 170 (T.-L.). Et va a chascun(s) demandant Qui est li sire a cui il vont Et cil lors respondu li ont Qu'il vont au seignor de Cocagne. Joufr., 1370 (T.-L.). « Je tire a vous de l'erbalestre » c'est-à-dire : « Je tireray avec vous de l'erbalestre ». Fabri, Art. de Rhetor, I, 13 (Hug.). . Au xviies. : Tu suis mes ennemis, t'assembles à leur bande. Malh., I, 7, 89 (Haase, p. 320). Je m'amuse a votre fille. Sev., II, 444 (Haase, p. 320). . A noter, en fr. mod., l'alternance à / avec / contre apr. se battre, se mesurer. ? Recul de à marquant l'intérêt. ? En a. fr., le tour suiv. est fréq. : Au conte ocïent son cheval. G. Gui. I, 5404 (T.-L.). Aux xviieet xviiies., on hésite entre à et pour : On fait pour Camille un crime de sa flamme. Corneille, Othon, IV, 1, 1206 (Haase, p. 363). Ce n'est pas un petit avantage à un homme ... de n'avoir point à faire de guerre à sa patrie. Balzac, Dissert. chrét., V (Haase, p. 335). D'autre part la prép. à continue en a. fr., la prép. lat. ab marquant l'orig. : prent cungé a ses freres. S. Brand., 145 (T.-L.). Apprenneiz a mi, ke ... S. S. Bern., 17, 25 (T.-L.). A cui marceant l'acaterent. Fl. et Bl., 511 (T.-L.). Cette constr. a été éliminée par de et des loc. adv. comme auprès de, de la part de. ? L'agent (apr. un inf. dépendant de laisser ou faire à la voix pronom.) a cessé de pouvoir être constr. avec à (cf. I B 2) : La Grèce ne lui a point reproché de s'être laissé gouverner à Nestor. Balzac, De la Cour. disc. I (Haase, p. 337). b) Recul de à devant un subst. de l'inanimé. ? Recul de à au profit de avec, pour exprimer la manière, la circonstance (cf. I F 1). Troverent le conte Loeys a grand plenté de bons chevaliers. Villehardouin, 498 (T.-L.). Noter dans les ex. suiv. la c?xistence de avec ou od + subst. de l'animé et de à « avec » + subst. de l'inanimé : Tut li altre passerent od le rei l'ewe de Cedron a plainte, a duleur e a plur. Rois, II, XV, 22 (Gdf.). Revenoient avec leurs peres ... a mains d'avoir et a plus de pechiez. L. Mest., 236 (T.-L.). En fr. mod. à subsiste encore dans des compl. circ. figés : à foison, à grands cris, etc. ? Recul de à au profit de par, de, pour exprimer une circonstance explicative (cf. I F 2 c) : Al sanc qu'il ot perdu et al caut quil destraint se pasma quatre fois. R. Alix., 188, 1 (T.-L.). A l'orgueil de ce traître De mes ressentimens je n'ai pas été maître. Molière, Tart. V, 3, 1709 (Haase, p. 324). ? Rem. Pour à par, symétrique de de par, cf. par. B.? Dans le syntagme nom. ? Une modification fondamentale se produit dans le syntagme nom. : la prép. à a cessé d'introd. le compl. d'appartenance et a été remplacée par de. On disait en a. fr. la nef à cil saint home; la terres as dous freres; la mere au roi; l'amor au saint home; la coe au lion, etc. (d'apr. T.-L.) : Se jo ne sui fille de roi Si sui je fille a rice conte. Parton., 10216, Crapelet (Gdf.). ? Rem. Dans ce dernier ex. on notera la coexistence des 2 prép. à et de. En m. fr. à + subst. de l'animé est encore fréq., mais de est devenu la constr. usuelle : La bauge du sanglier, du cerf la reposee, La ruche de l'abeille et la loge au berger. D'aubigné, Trag. II, 1525 (Goug., p. 211). Auj. la constr. ne survit plus que dans la lang. pop. et fam. : la cousine à Germaine; un fils à papa (cf. III D 6 b, rem. 1).

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    Les rimes de « au »


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    Mots du jour


    Les citations sur « au »

    1. L'Homme n'a pas été créé pour le chagrin, mais pour la Liesse et l'Exaltation et ce n'est que faute de connaître ses ressources infinies que l'on manque d'être heureux en ce monde et dans l'Autre.

      Auteur : Marcel Jouhandeau - Source : Ecrits secrets (1988), II - Carnets de Don Juan


    2. Je n'avais d'autre raison de lui en vouloir que d'avoir cessé de l'aimer. C'est une chose que l'on pardonne difficilement malgré les «nous resterons toujours copains». Au reste, un homme qu'on a aimé d'amour mérite rarement d'être aimé d'amitié.

      Auteur : Claire Martin - Source : Quand j'aurai payé ton visage (1962)


    3. Et par contre, si je communique à mes hommes l’amour de la marche sur la mer, et que chacun d’eux soit ainsi en pente à cause d’un poids dans le cœur, alors tu les verras bientôt se diversifier selon leurs mille qualités particulières. Celui-là tissera des toiles, l’autre dans la forêt par l’éclair de sa hache couchera l’arbre. L’autre, encore, forgera des clous, et il en sera quelque part qui observeront les étoiles afin d’apprendre à gouverner. Et tous cependant ne seront qu’un. Créer le navire ce n’est point tisser les toiles, forger les clous, lire les astres, mais bien donner le goût de la mer qui est un, et à la lumière duquel il n’est plus rien qui soit contradictoire mais communauté dans l’amour.

      Auteur : Antoine de Saint-Exupéry - Source : Citadelle (1948)


    4. Une victime, c'est un peu le contraire d'un rebelle. On n'aime pas entendre parler des victimes. Elles sont le miroir d'une mauvaise conscience, leur douleur est gênante, et leur cri insupportable.

      Auteur : Tonino Benacquista - Source : Le Serrurier volant (2006)


    5. Au Bhoutan, la pêche et la chasse sont interdites à l'échelle nationale, bon exemple de la façon dont les idéaux du bouddhisme peuvent s'accomplir au niveau d'une société.

      Auteur : Jean-François Ricard, dit Jean-François Revel - Source : Le Moine et le Philosophe (1997)


    6. Honore le sage, pour qu'il t'honore;
      Et le sot aussi, de peur qu'il ne te déshonore.


      Auteur : Proverbes espagnols - Source : Proverbe


    7. La meilleure sauce du monde, c'est la faim, et comme celle-là ne manque jamais aux pauvres, ils mangent toujours avec plaisir.

      Auteur : Miguel de Cervantès - Source : Don Quichotte de la Mancha (1605-1615)


    8. Toute femme portait jadis une robe bleue ou noire qu'elle gardait dix ans sans la laver, de peur qu'elle ne s'en allât en lambeaux.

      Auteur : Jules Michelet - Source : Le Peuple


    9. Quand j'ai débuté dans l'immobilier, je voulais réhabiliter de vieilles maisons au lieu de les démolir, mais cela n'avait pas de sens. Les Nigérians n'achètent pas une maison parce qu'elle est vieille. Une grange rénovée de deux cents ans, par exemple, le genre de choses qui plaît aux Européens, cela ne marche pas du tout ici. Mais il y a une raison: nous appartenons au tiers-monde et sommes par conséquent tournés vers l'avenir, nous aimons ce qui est nouveau, parce que le meilleur est encore devant nous, tandis que pour les Occidentaux le meilleur appartient au passé et c'est pourquoi ils ont le culte du passé.

      Auteur : Chimamanda Ngozi Adichie - Source : Americanah (2014)


    10. Où il y a des abeilles, il y aura du miel. (Se dit du succès que le travail doit amener.)

      Auteur : Proverbes anglais - Source : Proverbe


    11. Le plus mauvais plaisant eut ses approbateurs.

      Auteur : Nicolas Boileau-Despréaux - Source : L'Art poétique (1674)


    12. Lorsque vous dites que l'enfant d'autrui ne marchera pas, le vôtre ne rampera pas.

      Auteur : Proverbes béninois - Source : Proverbes


    13. Qui ferme les yeux aux dictatures
      Agenouille en fait les paupières.


      Auteur : Charles de Leusse - Source : Le Testament (2004)


    14. Dans mes souliers il y a ton coeur, ton corps, ton âme, la joie de vivre et de travailler ensemble. Un objet serait le cadeau utile que je réprouve. Du superflu. Je ne regarderais que les mains qui le donnent.

      Auteur : Jean Cocteau - Source : Lettre, à Jean Marais, noël 1938


    15. La croissance de l'esprit est à l'inverse de la croissance de la chair. Le corps grandit en prenant de la taille. L'esprit grandit en perdant de la hauteur. La sainteté renverse les lois de maturité: l'homme y est la fleur, l'enfance y est le fruit.

      Auteur : Christian Bobin - Source : Le Très-Bas


    16. Restons un moment sans parler les uns et les autres, dit le premier bouvier. Ca nous éclairera. Après nous nous expliquerons.

      Auteur : Jean Giono - Source : Le Chant du monde


    17. Beau visage et coeur arrière.

      Auteur : Proverbes français - Source : Proverbe


    18. Seuls comptent les actes, les mots ne font qu'affaiblir votre position. Ils indiquent à l'ennemi où planter le couteau.

      Auteur : Harry Crews - Source : Nu dans le jardin d'Éden (1969)


    19. Chaque point matériel dans le même lieu de la terre tend à se mouvoir avec la même vitesse par l'action de la pesanteur; la somme de ces tendances est ce qui constitue le poids d'un corps; ainsi les poids sont proportionnels aux masses.

      Auteur : Pierre-Simon Laplace - Source : Exposition du système du monde (1836)


    20. Vous voyez dans mes élans, dans mes choix, des intentions que je n'ai pas. Je pense que les piètres résultats de ma diplomatie amoureuse prouvent que je ne me demande pas souvent si j'ai raison d'aimer. Il est bien possible que vous n'auriez été réellement pour moi qu'un pis-aller, mais ce n'est pas ainsi que je vous voyais. Je commençais à sentir que vous aviez pris pour moi une place à part. Pourtant, votre intelligence ne me comprenait pas mieux, peut-être moins bien ; votre amour ne se prouvait pas plus délicatement ; votre dévouement n'éclatait pas davantage ; tout chez vous était peut-être médiocre. Mais je préférais ce qui venait de vous. Pourquoi ?

      Auteur : Marcelle Sauvageot - Source : Laissez-moi


    21. C'est pourquoi tous ceux qui ont vraiment été au service de l'idéal ont aussi recommandé le célibat. Se marier rend notre rapport à l'idéal si difficile que c'est d'ordinaire synonyme d'y renoncer.

      Auteur : Søren Kierkegaard - Source : Erotisme


    22. Oh! vivre et vivre et vivre et se sentir meilleur - A mesure que bout plus fermement le coeur; - Vivre plus clair, dès qu'on marche en conquète; - Vivre plus haut encor, dès que le sort s'entête - A déssécher la sève et la force des bras.

      Auteur : Emile Verhaeren - Source : Les Visages de la Vie, L'action


    23. Il y a beaucoup plus de sages ignorants (et non ignares) que d'érudits sages...

      Auteur : Robert Blondin - Source : Le bonheur possible


    24. Autant vaut boire le poison,
      Que de s'abandonner à la tristesse.


      Auteur : Proverbes arabes - Source : Proverbe


    25. Vraiment, la connaissance est une bonne chose. Ne pas savoir ou refuser de savoir est mauvais, ou du moins amoral. On ne peut pas agir si on ne sait pas.

      Auteur : Ray Bradbury - Source : La Foire des ténèbres (1964)


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    Les synonymes de « au»

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