La définition de Courtier du dictionnaire français. Signification du mot et son éthymologie - De nombreux exemples d'usage en français ainsi que des citations.

Courtier
Nature : s. m.
Prononciation : kour-tié ; l'r ne se lie jamais ; au plu
Etymologie : Génev. couriatier, ière, couratier, ière, celui, celle qui perd son temps en course ; Berry, picard et saintongeois, couratier, vagabond, coureur ; wallon, coultî ; rouchi, coultier ; provenç. corratier ; anc. catal. corrater ; ital. curattiere. Ménage et, après lui, Raynouard le tirent de cursitarius ; mais les formes s'y opposent absolument ; il vient d'une forme curatarius, dérivée de curare, soigner (voy. ) ; le courtier est celui qui prend soin d'une affaire.

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Notre dictionnaire de français vous présente les définitions de courtier de manière précise, avec des exemples pertinents pour aider à comprendre la signification du mot.

Notre dictionnaire de définitions comprend des informations complémentaires telles que la nature du mot, sa prononciation, des exemples d'expressions, l'étymologie, les synonymes, les homonymes, les antonymes mais également les rimes et anagrammes. Quand la définition du mot s'y prête nous vous proposons des citations littéraires en rapport avec courtier pour illustrer la compréhension du mot ou préciser le sens et de répondre à la question quelle est la signification de Courtier ?


La définition de Courtier

Terme de commerce. Agent qui s'entremet pour l'achat ou la vente des marchandises, pour les placements de fonds, les opérations de bourse, etc.


Toutes les définitions de « courtier »


Dictionnaire de l'Académie française, huitième édition

COURTIER, IÈRE. n. m.
T. de Commerce. Celui, celle qui, moyennant une prime, s'entremet pour la vente ou l'achat de certaines marchandises, pour faire prêter de l'argent sur la place, ou pour les affrètements, les assurances, etc. Courtier de marchandises. Courtier maritime. Courtier marron, Celui qui exerce irrégulièrement. Fig., Courtier électoral, Agent d'élection.

Littré

COURTIER (kour-tié?; l'r ne se lie jamais?; au pluriel, l's se lie?: des kour-tié-z actifs) s. m.
  • 1 Terme de commerce. Agent qui s'entremet pour l'achat ou la vente des marchandises, pour les placements de fonds, les opérations de bourse, etc. Les Juifs allaient faire le métier de courtiers en Asie, Voltaire, M?urs, 58. Aussitôt un courtier juif prit la parole?, Bernardin de Saint-Pierre, Café de Surate.

    Il y a cinq sortes de courtiers?: 1° les courtiers de marchandises, ayant seuls le droit de faire le courtage des marchandises, d'en constater le cours et d'exercer, concurremment avec les agents de change, le courtage des matières métalliques?; 2° les courtiers d'assurances (maritime et fluviale), rédigeant les contrats ou polices d'assurance, concurremment avec les notaires, en attestant par leur signature et certifiant le taux des primes pour tous les voyages de mer ou de rivière?; 3° les courtiers-interprètes et conducteurs de navires, faisant le courtage des affrétements?; 4° les courtiers de transport par terre et par mer, seuls autorisés, dans les lieux où ils sont établis, à faire les transports par terre et par eau?; 5° les courtiers-gourmets-piqueurs de vin, servant, dans l'entrepôt, d'intermédiaire, quand ils sont requis, entre les vendeurs et les acheteurs de boissons, dégustant à cet effet ces boissons et en indiquant fidèlement le cru et la qualité.

    Courtier marron, celui qui exerce sans titre.

  • 2 Fig. Je n'ai point vu de plus insolent vieillard, s'écria un des courtiers de chair humaine [négrier], Chateaubriand, Natch. II, 179. C'est une chose merveilleuse que la facilité avec laquelle il se forme une liaison entre les courtiers de galanterie et les femmes qui ont besoin d'eux, Lesage, Gil Blas, VIII, 10. De tout Cythère Sois le courtier?: On paiera bien ton ministère, Béranger, Ami Robin.

    Courtier électoral, personne qui s'entremet d'élections et qui agit auprès des électeurs au nom et en faveur de quelqu'un.

    Au sens figuré, courtier a un féminin. Une courtière de mariage.


HISTORIQUE

XIIIe s. On fait le ban qu'il ne soit nus si hardis couletiers ne autres qui accate warde [provision pour autrui], se cieus [celui] n'est presens pour cui il l'acate, Tailliar, Recueil, p. 431. El mestier devant dit ne puet ne ne doit avoir nul couratier, Liv. des mét. 149. Et s'il n'i a coretier ne home qui fist le marchié, Ass. de J. I, 213.

XIVe s. Coppin et Jehan corretiers, Bibl. des Chartes, 2e série, t. III, p. 423.

XVe s. Alors envoyerent querir des plus souffisans et feables coratiers de chevaulx, Jeh. de Saint. ch. 16. Faulx laboureurs, faulx couratiers, Faulx marcheans, faulx regratiers, Mir. de Ste Genev. On passe par hic ou par hoc, Sans courratiers ou truchemens, On se rencontre bec à bec, Coquillart, Le blason des armes et des dames.

XVIe s. Il ne prend courtier qui ne veut, Loysel, 416. Celui qui a ravy ou pris à force femme de libre condition, il ne le condemne qu'en l'amende de cent drachmes d'argent?: et celuy qui en aura esté le courratier, et qui l'aura menée, à vingt drachmes seulement, Amyot, Solon, 44. Le même peuple saccagea ceulx que l'on appeloit prosagogides comme qui diroit les courratiers, hommes meschans, qui ne faisoient autre mestier que se promener parmy la ville, et se mesler parmy les citoyens, s'enquerans de ce que chacun alloit disant, faisant ou pensant, pour puis après l'aller rapporter au tyran, Amyot, Dion, 37. Il sera fidele courtier et ministre de quelques folles amourettes, Amyot, Comm. discerner le flatteur, 41. À quoy M. le legat servoit de courratier, pour faire valoir la marchandise, Sat. Mén. p. 174. Aujourd'hui, dit Lupolde, les parties ne parlent aux juges que par courratiers et personnes interposées, Noel du Fail, Contes d'Eutrapel, p. 158, dans LACURNE.

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Encyclopédie, 1re édition

COURTIER, s. m. (Comm.) sorte de négociateur qui s'entremet entre des négocians ou des commerçans, pour la vente de leurs marchandises, ou pour leur faire trouver de l'argent ; sur quoi ils ont un droit ou un salaire. Voyez Change & Agent de change.

En Ecosse on les nomme broccarii, qui veut dire médiateurs ou entre-metteurs dans quelque affaire.

Leur affaire est de connoître les différentes variations dans le cours du change, d'en instruire les négocians, & de faire savoir à ceux qui ont de l'argent à recevoir ou à payer dans les pays étrangers, quelles sont les personnes auxquelles ils doivent s'adresser pour en négocier le change ; & quand la transaction est finie, c'est-à-dire quand l'argent est payé, ils ont à Paris pour droit de courtage, un quart pour cent, dont la moitié est payée par chacune des deux parties qui font la négociation. En Angleterre le droit de courtage n'est que d'un par mille.

En France, jusqu'au milieu du dix-septieme siécle, on les appelloit courtiers de change ; mais par un arrêt du conseil en 1639, ce nom fut changé en celui de agens de change, banque & finance : & au commencement du dix-huitieme siecle on y ajoûta le titre de conseillers du Roi, afin de rendre cet emploi encore plus honorable. Voyez Agent de change.

Au Caire & dans plusieurs villes du Levant, on appelle censals les Arabes qui font l'emploi de courtiers de change. Leur façon de négocier avec les commerçans européens a quelque chose de si singulier, que nous avons crû devoir en faire un article separé. Vozez Censal.

Les courtiers de change à Amsterdam, nommés makelaers, sont de deux especes ; les uns sont nommés courtiers jurés, a cause du serment qu'ils font entre les mains des bourguemaîtres ; les autres négocient sans être autorisés pour cela : on appelle ces derniers courtiers ambulans. Les courtiers jurés sont au nombre de 395, dont 375 sont Chrétiens, & 20 Juifs. Il y a presque le double de ce nombre de courtiers ambulans ; de serte qu'il y a près de mille courtiers de change à Amsterdam. Il y a cette différence entre les courtiers jurés & les courtiers ambulans, que les livres & le témoignage des premiers sont reçûs dans les cours judiciaires, comme des preuves ; au lieu que dans un cas de contestation, les derniers sont récusés & leurs transactions annullées. La même distinction a aussi lieu en Angleterre entre ces deux sortes de courtiers.

Le droit des jurés courtiers de change à Amsterdam, est fixé par deux reglemens, par celui de 1613, & par celui de 1623 ; pour les affaires du change, à 18 sols pour 100 livres de gros, qui valent 600 florins, c'est-à-dire 3 sols par 100 florins, payables moitié par le tireur, & moitié par celui qui paye l'argent ; mais l'usage a autorisé en cela bien des changemens.

Dans l'Orient toutes les affaires se font par une espece de courtiers que les Persans appellent dedal, c'est-à-dire grands parleurs. Leur façon de négocier est très-singuliere. Après que les courtiers se sont étendus en de longs & souvent d'impertinens discours, ils ne s'entretiennent plus qu'avec les doigts lorsqu'il s'agit de conclure le marché. Le courtier de l'acheteur & celui du vendeur se donnent réciproquement la main droite, qu'ils couvrent avec leurs habits ou avec un mouchoir. Le doigt étendu signifie six ; plié, il veut dire cinq ; le bout du doigt dénote un ; la main entiere signifie cent ; & le poing fermé, mille. Ils savent exprimer jusqu'aux sols & deniers avec la main. Pendant que ce commerce mystérieux dure, les deux courtiers paroissent aussi tranquilles & de sang-froid, que s'il ne s'agissoit de rien entr'eux. Voyez les Dictionn. de Trévoux & du Comm. Chambers.

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France Terme

Intermédiaire qui agit sur les marchés financiers pour le compte de tiers.

FranceTerme, Délégation générale à la langue française et aux langues de France

Wiktionnaire


Nom commun - français

courtier \ku?.tje\ masculin (pour une femme, on dit : courtière)

  1. (Commerce) Mandataire (attention, pas au sens où le droit commercial l'entend) qui, moyennant une prime, s'entremet pour la vente ou l'achat de certaines marchandises, ou pour les affrètements, les assurances, etc.
    • Morel est maintenant courtier en pierres fines. (Eugène Sue, Les Mystères de Paris, 1843)
    • Les expéditeurs sont à leur poste ; les courtiers des grandes maisons étrangères sont sur pied. Sans beaucoup de bruit, des cours s'établissent, des transactions s'effectuent, des chargements s'accomplissent. (Ludovic Naudeau, La France se regarde : le Problème de la natalité, Librairie Hachette, Paris, 1931)
    • ? Les courtiers filaient doux avec elle. En voilà une qui savait limer un bordereau, toujours sans escompte ni courtage? (François Mauriac, Le Mystère Frontenac, 1933, réédition Le Livre de Poche, page 191)
    • Les courtiers de transport par terre et par eau constitués selon la loi ont seuls, dans les lieux où ils sont établis, le droit de faire le courtage des transports par terre et par eau. Ils ne peuvent cumuler leurs fonctions avec celles de courtiers de marchandises ou de courtiers conducteurs de navires, désignés à l'article L. 131-1. (Article L131-3 du Code de commerce, France -2008)
  2. (Finance) Intermédiaire qui agit sur les marchés financiers pour le compte de tiers ; intermédiaire qui met en relation deux parties pour qu'elles contractent.
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Trésor de la Langue Française informatisé


COURTIER, IÈRE, subst.

A.? DR. COMM. Personne dont la profession consiste à mettre en relation vendeurs et acheteurs (commerçants ou particuliers), moyennant un courtage*, pour des opérations de Bourse ou de commerce. Courtier de marchandises, courtier en vins. Tournées de courtier d'assurances (Barrès, Colline insp.,1913, p. 271).Les courtiers reconnus par le Code de Commerce ont seuls le droit de faire le courtage des marchandises, des assurances maritimes et autres (Art. 78 et 79 du Code de Commerce) (Boyard, Bourse et spéculations,1853, p. 155).La courtière de terrains du bois de Boulogne (...) s'entremettant dans tous les marchés (Goncourt, Journal,1864, p. 91):
1. La clientèle ne venant plus à eux, ils s'efforçaient d'aller à elle, par l'intermédiaire des courtiers. Il y avait alors, sur la place de Paris, un courtier, en rapport avec tous les grands tailleurs, qui sauvait les petites maisons de draps et de flanelles, lorsqu'il voulait bien les représenter. Zola, Au Bonheur des dames,1883, p. 599.
SYNT. a) Courtier + adj. Courtier libre, marron, clandestin; courtier assermenté, inscrit (courtier de marchandises dépendant du tribunal de commerce); courtier privilégié (officier ministériel qui jouit d'un monopole); courtier d'assurances maritimes, courtier maritime. b) Courtier + compl. Courtier d'annonces, d'assurances, de change, de commerce, de publicité; courtier en bijouterie, en grains, en immeubles, en librairie, en valeurs mobilières.
? P. anal., vieilli. Courtier, ière, de mariage. Celui, celle dont la profession consiste à mettre en relation des personnes désirant se marier, afin de favoriser leur mariage :
2. adolphe. Je ne peux donc agir que par ambassadeur, Et j'ai compté sur toi... paul. Pour ton entremetteur? Merci. Je ne suis pas courtier de mariage. É. Augier, Paul Forestier,1868, VI, p. 60.
B.? P. ext. Personne qui joue le rôle d'intermédiaire dans une affaire. Synon. agent, entremetteur.Courtier électoral; courtier de galanterie; courtier de chair humaine (synon. négrier). Ils [les hommes] travaillent pour le génie de l'espèce sans le savoir, ils sont tout à la fois ses instruments, ses courtiers et ses dupes (Bourget, Nouv. Essais psychol.,1885, p. 44).Ne pouvait-il pas devenir le courtier qui ferait man?uvrer discrètement les syndicats en agissant sur leurs chefs? (Sorel, Réflex. violence,1908, p. 304).
1. HIST. Honnête courtier. ,,Expression employée par Bismarck pour caractériser le rôle que voulait jouer l'Allemagne au congrès de Berlin, après la guerre russo-turque (1878)`` (Lar. encyclop.). Ce que l'Allemagne voulait, c'était éviter un conflit. Son rôle serait, entre des intérêts contraires, celui de « l'honnête courtier » (Maurois, Disraëli,1927, p. 296).
2. P. ext. Tout rôle diplomatique analogue. Le 29 juin, Eden m'entretint seul à seul de l'affaire de la reconnaissance, me soumettant, en honnête courtier, une formule proposée par le gouvernement de Washington (De Gaulle, Mém. guerre,1956, p. 6).M. Churchill se tenait lui-même comme le courtier désigné entre les prétentions du président Roosevelt et les refus du général de Gaulle (De Gaulle, Mém. guerre,1956p. 214).
Rem. Au fig., les groupes constitués avec le mot courtier demandent la préposition de (courtier de chair humaine, de mariage, de galanterie) (d'apr. B. Couture, Emploi de en et de dans les locutions de spécialisation ds Meta, déc. 1972, vol. 17, no4).
Prononc. et Orth. : [ku?tje], fém. [-tj?:?]. Ds Ac. depuis 1790. Étymol. et Hist. [Ca 1220 courretier d'apr. FEW t. 2, p. 1568 b] 1241 corretier (Ban de tréf., bibl. Metz ds Gdf. Compl.); 1225-50 curratier, corratier ([J. Erart, artésien] ds Bartsch, III, X, 21, 58) ? 1634 (Corneille, Veuve, 1049 ds Marty Corneille); mil. xiiies. coletier (G. de Metz, Ym. du monde, B.N. 2021, fo86dds Gdf. Compl.); 1538 courtier (Est., s.v. emissarius). Prob. dér. avec suff. -ier* élargi en -(et)ier du verbe a. fr. corre, v. courir (le courtier servant d'intermédiaire entre l'acheteur et le vendeur); le suff. -atier (-at + -ier, cf. puisatier) est surtout fréquent en occitan (a. prov. corratier ds Rayn.; v. Thomas (A.) Nouv. Essais 1904, pp. 233-234) tandis que le type fr. corratier est surtout relevé en pic. (v. T.-L.). Fréq. abs. littér. : 210. Fréq. rel. littér. : xixes. : a) 413, b) 325; xxes. : a) 310, b) 178.

COURTIER, IÈRE, subst.
Étymol. et Hist. [Ca 1220 courretier d'apr. FEW t. 2, p. 1568 b] 1241 corretier (Ban de tréf., bibl. Metz ds Gdf. Compl.); 1225-50 curratier, corratier ([J. Erart, artésien] ds Bartsch, III, X, 21, 58) ? 1634 (Corneille, Veuve, 1049 ds Marty Corneille); mil. xiiies. coletier (G. de Metz, Ym. du monde, B.N. 2021, fo86dds Gdf. Compl.); 1538 courtier (Est., s.v. emissarius). Prob. dér. avec suff. -ier* élargi en -(et)ier du verbe a. fr. corre, v. courir (le courtier servant d'intermédiaire entre l'acheteur et le vendeur); le suff. -atier (-at + -ier, cf. puisatier) est surtout fréquent en occitan (a. prov. corratier ds Rayn.; v. Thomas (A.) Nouv. Essais 1904, pp. 233-234) tandis que le type fr. corratier est surtout relevé en pic. (v. T.-L.).

Courtier au Scrabble


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courtier

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courtier

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Les citations avec le mot Courtier


  1. Il sera fidele courtier et ministre de quelques folles amourettes.

    Auteur : Jacques Amyot - Source : Comment discerner le flatteur de l'ami, 41


  2. C'est une chose merveilleuse que la facilité avec laquelle il se forme une liaison entre les courtiers de galanterie et les femmes qui ont besoin d'eux.

    Auteur : Alain René Lesage - Source : Histoire de Gil Blas de Santillane (1724)


  3. Dévoiler les intrigues de la Bourse et des courtiers, c'est entreprendre un des travaux d'Hercule.

    Auteur : Charles Fourier - Source : Sans référence


  4. Vous voyez devant vous un pauvre homme, avec les qualités et les défauts de son état... un courtier en bidets normands et bretons.

    Auteur : Georges Bernanos - Source : Sous le soleil de Satan (1926)


Les citations du Littré sur Courtier


  1. Aussitôt un courtier juif prit la parole....

    Auteur : BERN. DE S.-P. - Source : Café de Surate


  2. Je n'ai point vu de plus insolent vieillard, s'écria un des courtiers de chair humaine [négrier]

    Auteur : Chateaubriand - Source : Natch. II, 179


  3. Il [le rabâcheur] hante tous les lieux propres à son métier, Et des salons Trublet populacier, Emmagasine à l'aventure Le bel esprit dont il est le courtier

    Auteur : DELILLE - Source : Convers. I


  4. Cette courtière était une maquignonne d'affaires, qui prêtait et empruntait sur gages

    Auteur : Voltaire - Source : Polit. et législ. Essai probab. en fait de justice, 1re probabilité.


  5. Un courtier d'usure, comme vous, ne doit s'intriguer que d'affaires de contre-bande

    Auteur : REGNARD - Source : Sérénade, 1


  6. Les Juifs allaient faire le métier de courtiers en Asie

    Auteur : Voltaire - Source : Moeurs, 58


  7. C'est une chose merveilleuse que la facilité avec laquelle il se forme une liaison entre les courtiers de galanterie et les femmes qui ont besoin d'eux

    Auteur : LESAGE - Source : Gil Blas, VIII, 10


  8. Il ne prend courtier qui ne veut

    Auteur : LOYSEL - Source : 416


  9. Ils [les Juifs] firent le métier de courtiers, de revendeurs, ainsi qu'autrefois à Babylone, à Rome et dans Alexandrie

    Auteur : Voltaire - Source : Moeurs, 103


  10. Chez les banquiers de la rue Quincampoix, les courtiers se procurent de l'argent à 2 pour 100 par heure ; c'est ce qu'on appelle les prêts à la pendule

    Auteur : H. BABOU - Source : Journ. offic. 19 mai 1875, p. 3528, 1re col.


  11. De tout Cythère Sois le courtier : On paiera bien ton ministère

    Auteur : BÉRANG. - Source : Ami Robin.


  12. Il sera fidele courtier et ministre de quelques folles amourettes

    Auteur : AMYOT - Source : Comm. discerner le flatteur, 41


  13. De tout Cythère Sois le courtier ; On payera bien ton ministère

    Auteur : BÉRANG. - Source : Ami Robin.


  14. Nous devons informer Votre Grandeur [le contrôleur général] de ce que tous les censaux, courtiers, mesureurs, étalonneurs, arpenteurs et géomètres n'ont d'autres provisions que celles que les consuls et échevins leur fournissent

    Auteur : BOISLISLE - Source : Corresp. des contrôleurs généraux (Aix, 1868), p. 160




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Mise à jour le mercredi 12 novembre 2025 à 20h18








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