La définition de Bouffon, Onne du dictionnaire français. Signification du mot et son éthymologie - De nombreux exemples d'usage en français ainsi que des citations.

Bouffon, onne
Nature : adj.
Prononciation : bou-fon, fo-n'
Etymologie : Bouffon, s. m.

Voir les citations du mot Bouffon, onneSignification du mot Bouffon, onne


Notre dictionnaire de français vous présente les définitions de bouffon, onne de manière précise, avec des exemples pertinents pour aider à comprendre la signification du mot.

Notre dictionnaire de définitions comprend des informations complémentaires telles que la nature du mot, sa prononciation, des exemples d'expressions, l'étymologie, les synonymes, les homonymes, les antonymes mais également les rimes et anagrammes. Quand la définition du mot s'y prête nous vous proposons des citations littéraires en rapport avec bouffon, onne pour illustrer la compréhension du mot ou préciser le sens et de répondre à la question quelle est la signification de Bouffon, Onne ?


La définition de Bouffon, Onne

Qui tient du bouffon, qui fait rire. Avoir la mine bouffonne. Une joie bouffonne.


Toutes les définitions de « bouffon, onne »


Dictionnaire de l'Académie française, huitième édition

BOUFFON. n. m.
Personnage de théâtre dont l'emploi est de faire rire. On le dit, par extension et par dénigrement, d'un Homme qui prend à tâche de faire rire. Cet acteur est un bouffon assez amusant. C'est un excellent bouffon. Faire le personnage de bouffon. Il se plaît à faire le bouffon. Un mauvais, un insipide bouffon. On l'emploie aussi au féminin. Faire la bouffonne. C'est une petite bouffonne. Servir de bouffon, Être dans quelque société un objet de moquerie, de risée. Je vois bien, dit-il, que je sers ici de bouffon. On dit de même, Je ne prétends pas être votre bouffon. Suis-je donc votre bouffon? Il s'emploie aussi comme adjectif. C'est un personnage bouffon. Avoir la mine bouffonne, l'humeur bouffonne. Discours bouffon. Style bouffon. Aventure bouffonne. Cela est bouffon, très bouffon. On dit aussi, en parlant des Ouvrages de l'esprit, Le genre, le style bouffon et, par ellipse, Le bouffon.

Littré

BOUFFON (bou-fon) s. m.
  • 1Personnage de théâtre dont l'emploi est de faire rire. Cet acteur est un bouffon assez amusant. Le bouffon du roi.

    Fig. Un auteur dont les plaisanteries sont quelquefois excessives. Si Horace est le premier des faiseurs de bonnes épîtres, Rabelais, quand il est bon, est le premier des bons bouffons, Voltaire, Lettr. Mme du Deffant, 12 avril 1760.

  • 2 Par dénigrement, celui qui cherche à amuser par ses plaisanteries. Il se plaît à faire le bouffon.

    Servir de bouffon, être un objet de moquerie.

    Au féminin, une bouffonne. C'est une petite bouffonne.


HISTORIQUE

XVIe s. Les propos de tous ces beuveurs, Que vous avez, buffons, baveurs, Vous font-ils frenatique [fou]?? Marot, IV, 165. C'est à ce mestier là que des biens on amasse, Non à celui des vers, où moins y a d'acquet Qu'au mestier d'un bouffon ou celui d'un naquet [homme de rien], Du Bellay, J. VI, 40, verso. La bouffonne [plaisante] Atrie, D'Aubigné, Hist. II, 337.

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Encyclopédie, 1re édition

BOUFFON, s. m. (Hist. anc. & littér.) comédien, farceur qui divertit le public par ses plaisanteries ; qui fait & qui dit des quolibets pour faire rire les spectateurs, & attraper de l'argent. Voyez Mime, Pantomime, Burlesque.

Ménage après Saumaise, dérive ce mot de buffo. On nommoit ainsi en latin ceux qui paroissoient sur le théatre avec les joues enflées pour recevoir des soufflets ; afin que le coup fît plus de bruit, & excitât davantage à rire les spectateurs. Quelques-uns dérivent ce mot d'une fête qui fut instituée dans l'Attique par le Roi Erechtée, à l'occasion d'un sacrificateur nommé Buphon, lequel après avoir immolé le premier b?uf sur l'autel de Jupiter Polyen, ou gardien de la ville, s'enfuit sans aucun sujet si soudainement, qu'on ne put ni l'arrêter, ni le trouver. La hache & les autres ustensiles du sacrifice furent mis entre les mains des juges, pour leur faire leur procès : les juges déclarerent la hache criminelle & le reste innocent. Toutes les autres années suivantes on fit le sacrifice de la même sorte. Le sacrificateur s'enfuyoit comme le premier, & la hache étoit condamnée par des juges. Comme cette cérémonie & ce jugement étoient tout-à-fait burlesques, on a appellé depuis bouffons & bouffonneries toutes les autres momeries & farces qu'on a trouvées ridicules. Cette histoire est rapportée dans Cælius Rhodiginus, lib. VIII. c. vj. (G)

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Wiktionnaire


Nom commun - français

bouffon \bu.f??\ masculin (pour une femme, on dit : bouffonne)

  1. (Histoire) Personnage dont la fonction était d'amuser la cour des nobles.
    • C'était à cette partie du bonnet de Wamba que l'on avait cousu les sonnettes, et cette circonstance, aussi bien que la forme de sa coiffure et l'expression moitié folle, moitié futile de sa figure, servait à le désigner comme appartenant à la classe des bouffons domestiques, ou railleurs, qu'on nourrissait dans les maisons des riches pour chasser l'ennui de ces heures languissantes qu'ils étaient obligés de passer dans leurs châteaux. (Walter Scott, Ivanhoé, traduit de l'anglais par Alexandre Dumas, 1820)
  2. (Vieilli) Personnage de théâtre dont l'emploi est de faire rire.
    • [?] la pauvre désolée ne trouvait plus rien qui l'égayât. En vain avait-on mandé des quatre coins du monde les plus fameux baladins, bateleurs, bouffons, turlupins, pîtres, grimaciers, grotesques et farceurs. (Charles Deulin, « Les Trentes-Six Rencontres de Jean du Gogué », in Cambrinus et autres Contes, XIXe siècle)
  3. (Par extension) (Péjoratif) (Par dénigrement) Personne qui prend à tâche de faire rire.
    • Cet acteur est un bouffon assez amusant.
    • C'est un excellent bouffon.
    • Faire le personnage de bouffon.
    • Il se plaît à faire le bouffon.
  4. (Injurieux) (Péjoratif) Personne stupide ou ridicule.
    • [?] et Noémie ne cessa de chuchoter des nouvelles sérieuses ou fantaisistes qu'elle avait rapportées de Marseille. Une cité de barjaqueurs, de bouffons, de chapacans, de farfantiers, de glandouilleurs et autres bidonasses. (Jean Anglade, La soupe à la fourchette, Paris : le Grand livre du mois, 1994, chap. 10)
    • N'importe quel clampin de bistrot, d'aède de comptoir a plus de talent et de sensibilité que ces bavasseurs glumeux, ces bouffons de l'art officiel, castrats du sérail de la bien-pensance, créatures de la gauche culturellement proprette. (Eugène Durif, Sale temps pour les vivants, Éditions Flammarion, 2001, page 17)
    • J'avais fait le poireau de neuf heures du matin jusqu'à dix heures, avant que l'autre bouffon de dealer s'amène. Je l'imaginais qui devait prendre son petit déj' peinard pendant que je me pelais le jonc à l'attendre. (Éric Maravélias, La faux soyeuse, Éditions Gallimard, 2016)
  5. (Par ellipse) Genre, style bouffon, en parlant des ouvrages de l'esprit.
    • Le bouffon.
  6. Peut désigner un fou aux échecs.
  7. (Belgique) (Familier) Gourmand, personne qui ne pense qu'à manger.
    • Quel bouffon ! Tu viens de te taper trois sandwiches et t'as encore la dalle !

Adjectif - français

bouffon \bu.f??\ masculin

  1. (Histoire) Qualifie un genre théâtral du Moyen Âge.
    • Le drame bouffon, la farce, appartiennent plus en propre au moyen-âge, mais encore ici il y a un certain rapport de filiation entre les acteurs des tréteaux du moyen-âge et les derniers histrions de l'antiquité. (Jean-Jacques Ampère, La Littérature française au moyen-âge, Revue des Deux Mondes, tome 19, 1839)
  2. Qui fait rire par extrême ridicule.
    • La veulerie des hommes de ce temps fut si grande que parfois la substitution du nouveau personnel à l'ancien prenait des allures bouffonnes. (Georges Sorel, Réflexions sur la violence, chap. V, La Grève générale politique, 1908, p. 237)
    • L'humanité n'est pas simple, il faut en prendre son parti ; et toute tentative de simplification, d'unification, de réduction par le dehors sera toujours odieuse, ruineuse et sinistrement bouffonne. (André Gide, Nouveaux Prétextes, 1910)
    • Feydeau raconte les bouffonnes exigences de la Censure théâtrale qui, par exemple, lui fait remplacer par un civil, dans une de ces pièces, un général péruvien. (Michel Corday, L'Envers de la guerre : journal inédit 1914?1916, Flammarion, 1932, p. 151)
  3. Qualifie ce qui est comique dans les ouvrages de l'esprit.
    • Le genre, le style bouffon.
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Trésor de la Langue Française informatisé


BOUFFON, ONNE, adj. et subst.

I.? Emploi subst.
A.? Vx. Comédien qui joue la farce, la pantomime. Il fut aussi [Molière], dit-on, élève de Scaramouche, le bouffon italien (Léautaud, Le Théâtre de Maurice Boissard,t. 1, 1926, p. 141).
? P. ext. Bouffon de cirque, de foire :
1. Les actions comiques sont des gestes seulement et ne veulent jamais tromper personne; aussi personne ne plaindra Géronte dans son sac, et bâtonné par Scapin, ni le Médecin malgré lui, pas plus qu'on ne plaint le bouffon de cirque des faux soufflets qu'il reçoit. Alain, Système des beaux-arts,1920, p. 163.
B.? Personnage à l'apparence le plus souvent grotesque attaché à la personne d'un roi ou d'un haut personnage, chargé de l'amuser par ses facéties ou ses moqueries à l'égard de la cour. Bouffon de cour, du gouverneur, du pacha :
2. ... pour un bouffon la métaphore risquée est de droit et (...) le propre d'un fou de cour, c'est de dire çà et là des choses étranges et folles par l'expression, vraies et sages par la pensée. Hugo, Correspondance,1839, p. 569.
C.? P. ext. et au fig.
1. Personne qui aime à faire rire la compagnie :
3. Par la suite, le personnage de Wasselin ne laissa pas de l'amuser. « C'est un bouffon, disait père avec un mépris souriant. Il est insupportable, mais impayable. » G. Duhamel, Chronique des Pasquier,Le Notaire du Havre, 1933, p. 82.
? En partic. Auteur spécialisé dans le comique de bas étage :
4. Venu après Molière, Larivey aurait sans doute égalé Regnard, et il ne fut que le premier des bouffons. Sainte-Beuve, Tabl. hist. et crit. de la poésie fr. et du théâtre fr. au XVIes.,1828, p. 233.
2. Souvent péj. Rustre, homme sans délicatesse. On parle d'un plat bouffon, d'un homme sans délicatesse, sans aucune considération (Jouy, L'Hermite de la Chaussée d'Antin,t. 2, 1812, p. 302).
? De même. Servir de bouffon. Faire rire à ses dépens.
Rem. S'emploie plus rarement au fém. Perse reconnaissait dans Eglé, la bouffonne / Qui se barbouille avec des mûres (Hugo, La Légende des siècles, Des idylles, t. 4, 1877, p. 800). De même faire la bouffonne, une petite bouffonne.
II.? Emploi adj.
A.? Qui provoque le rire par son côté comique, généralement peu délicat ou ridicule.
1. [En parlant d'une pers., de son expr.] Notre grand homme était, dans ce moment, bouffon à force de pontifier... (E. et J. de Goncourt, Journal,1892, p. 315).
SYNT. Un bouffon personnage; un entrain, un esprit, un humour, un sérieux bouffon; la fantaisie, la gaîté, l'humeur, l'ironie, la joie, la mine, la verve bouffonne.
2. [En parlant d'une chose]
a) Synon. de burlesque, cocasse, comique, grotesque :
5. ... il [le chanoine] faisait un recueil de toutes les anecdotes bouffonnes, mais chastes, qu'il avait pu récolter dans sa tournée : une espèce de dictionnaire de la gaieté ou d'encyclopédie du rire à l'usage de la famille et des voisins. Lamartine, Les Confidences,1849, p. 331.
? [En parlant d'une ?uvre littér. ou artistique] Qui est du genre bouffon.
? P. ell., emploi subst. Le bouffon :
6. On y disait très nettement que le romantisme n'était autre chose que l'alliance du fou et du sérieux, du grotesque et du terrible, du bouffon et de l'horrible, autrement dit, si vous l'aimez mieux, de la comédie et de la tragédie. Musset, Lettres de Dupuis et Cotonet,1836, p. 661.
SYNT. Une anecdote, un couplet, un discours, une image, une pièce, une plaisanterie, une satire, un style, un vaudeville bouffon(ne); une grandiloquence, une solennité bouffonne; expr. je trouve cela bouffon; c'est bouffon; cf. également afféteries ex. 11 et amuseur ex. 2.
b) Incompatible avec la réalité. Synon. extravagant, invraisemblable :
7. Un snobisme particulier aux Français (...) englobe sous le nom de cette province [les Flandres] à peu près imaginaire tout un capharnaüm d'erreurs historiques, géographiques et artistiques assez bouffonnes. Toulet, Notes sur l'art,1920, p. 89.
SYNT. Une affaire, une erreur, une idée, une proposition, une situation bouffonne; en arriver à un degré bouffon, à des proportions bouffonnes.
B.? Plus rarement. Synon. de bouffe, par réf. à opéra bouffe.Musique bouffonne, théâtre bouffon; le livret d'un opéra bouffon (Stendhal, De l'Amour,1822, p. 299).
? P. ell. Les Bouffons. Le théâtre bouffon. Avoir une loge aux Bouffons, aller aux Bouffons, je ne renouvellerai ni ma loge à l'Opéra, ni aux Bouffons (Balzac, Correspondance,1835, p. 629).
Rem. 1. Nombreuses autres attest. chez Balzac (Physiologie du mariage, éd. pré-originale, 1826, p. 118; La Peau de chagrin, 1831, p. 83 et Le Père Goriot, 1835, p. 44); chez J.-J. Ampère (Correspondance [avec Mmede Récamier], 1827, p. 455); Delécluze (Journal, 1825, p. 132, 167); Jouy (L'Hermite de la Chaussée d'Antin, t. 3, 1813, p. 187); Mmede Staël, (Lettres de jeunesse, 1789, p. 281). 2. On rencontre dans les dict. gén. le subst. masc. bouffonneur, synon. de bouffon* I B, attesté avec les mentions suiv. : ,,v. lang.`` dans Ac. Compl. 1842, ,,autrefois`` dans Besch. 1845 et Lar. 19e, sans mention partic. dans Littré, ,,inus.`` dans Guérin 1892, ,,vieilli`` dans Nouv. Lar. ill., ,,vx`` dans Lar. 20eet sans mention partic. dans Quillet 1965.
PRONONC. ET ORTH. : [buf? ?], fém. [-?n]. Enq. : /bufõ/. Fér. Crit. t. 1 1787 propose la graph. boufon avec un seul f.
ÉTYMOL. ET HIST. ? 1. Subst. « personnage dont le rôle est de faire rire » a) 1530 buffon au théâtre (C. Marot, Coll. d'Erasme, l'abbé et la femme sçavantes, fo6 vo, éd. s.d. dans Gdf. Compl.); av. 1560 bouffon (Du Bellay, VI, 40 vodans Littré); b) 1549 à la cour (H. Estienne, Dial. I, 84 dans Sar., p. 11); av. 1614 bouffon du roy (Brantôme, XII, 56, ibid.); 2. id. 1611 « celui qui cherche à faire rire » (Cotgr.); p. ext. 1694 « celui qui fait rire à ses dépens » servir de bouffon (Ac.); 3. 1680 adj. « gaillard, plaisant » (Rich.); emploi subst. « le genre bouffon » (Boil., Art Poét. I, 93). Empr. à l'ital. buffone attesté dans Batt. au sens 1 b dep. la 2emoitié du xiiies.; au sens 1 a dans T. Campanella [1568-1639]; au sens 2 dep. 1483; emploi adj. dep. 1659, ibid. L'ital. buffone est dér. de la racine onomatopéique buff- qui exprime le gonflement des joues, v. bouffer; cf. lat. médiév. bufo « railleur, diseur de bons mots », 2emoitié xiiies. Bertholdus Ratisbonensis dans Mittellat. W. s.v., 1605, 60.
STAT. ? Fréq. abs. littér. : 503. Fréq. rel. littér. : xixes. : a) 931, b) 936; xxes. : a) 600, b) 480.
BBG. ? Hagnauer 1968, p. 130. ? Hope 1971, p. 166, 169. ? Sar. 1920, p. 11. ? Wind 1928, p. 122, 183, 206.


Bouffon, Onne au Scrabble


Le mot bouffon, onne vaut 19 points au Scrabble.

bouffon--onne

Informations sur le mot bouffon--onne - 11 lettres, 5 voyelles, 6 consonnes, 6 lettres uniques.

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