La définition de Questeur du dictionnaire français. Signification du mot et son éthymologie - De nombreux exemples d'usage en français ainsi que des citations.

Questeur
Nature : s. m.
Prononciation : kuè-steur
Etymologie : Lat. quaestorem, de quaestum ou quaesitum, de quaerere (voy. ).

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Notre dictionnaire de français vous présente les définitions de questeur de manière précise, avec des exemples pertinents pour aider à comprendre la signification du mot.

Notre dictionnaire de définitions comprend des informations complémentaires telles que la nature du mot, sa prononciation, des exemples d'expressions, l'étymologie, les synonymes, les homonymes, les antonymes mais également les rimes et anagrammes. Quand la définition du mot s'y prête nous vous proposons des citations littéraires en rapport avec questeur pour illustrer la compréhension du mot ou préciser le sens et de répondre à la question quelle est la signification de Questeur ?


La définition de Questeur

Terme d'antiquité romaine. Magistrat chargé de l'administration des finances.


Toutes les définitions de « questeur »


Dictionnaire de l'Académie française, huitième édition

QUESTEUR. (QUES se prononce CUES.) n. m.
T. d'Antiquité romaine. Magistrat romain chargé particulièrement, dans les armées ou dans les provinces, de l'administration des finances. Les questeurs donnaient au peuple les combats de gladiateurs et en faisaient les frais. La tente du questeur, dans les camps, était toujours voisine de celle du général. Un proconsul et son questeur. Cicéron fut questeur de Sicile. Il se dit, dans les Assemblées politiques, des Membres qui sont chargés de l'administration et de la police intérieure. Les questeurs de la Chambre des Députés.

Littré

QUESTEUR (kuè-steur) s. m.
  • 1 Terme d'antiquité romaine. Magistrat chargé de l'administration des finances.
  • 2Aujourd'hui, dans certains corps, membre chargé de surveiller les dépenses.

HISTORIQUE

XIVe s. Vous serés mout boins amparliers [avocat]? Car mout savés parler parfont Ensement que cil quester [avocats] font, Jean de Condé, p. 110.

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Encyclopédie, 1re édition

QUESTEUR, (Hist. rom.) Les questeurs chez les Romains, étoient des receveurs généraux des finances ; leur ministere étoit de veiller sur le recouvrement des deniers publics, & sur les malversations que les triumvirs, appellés capitales, furent obligés d'examiner dans la suite. Le nom de questeur étoit tiré de la fonction attachée à cette charge.

Il y avoit trois sortes de questeurs : les premiers s'appelloient questeurs de la ville, urbani, ou intendans des deniers publics, questores ærarii : les seconds étoient les questeurs des provinces, ou questeurs militaires ; les troisiemes enfin étoient les questeurs des parricides, & des autres crimes capitaux. Il ne s'agit point ici de ces derniers, qui n'avoient rien de commun avec les autres.

L'origine des questeurs paroît fort ancienne, ils furent peut-être établis dès le tems de Romulus, ou de Numa, ou au-moins sous Tullus Hostilius. C'étoit les rois mêmes qui les choisissoient. Tacite, ann. 11. c. xxij. dit que les consuls se réserverent le droit de créer des questeurs, jusqu'à l'an 307. D'autres prétendent, qu'aussi tôt après l'expulsion des rois, le peuple élut deux questeurs ou trésoriers, pour avoir l'intendance du trésor public. L'an de Rome 333, il fut permis de les tirer de l'ordre plébéien, & on en ajouta deux autres, pour suivre les consuls à la guerre, c'étoit des intendans d'armées. L'an 488 toute l'Italie étant soumise, on créa quatre questeurs pour recevoir les revenus de la république, dans les quatre régions d'Italie ; savoir, celles d'Ostie, de Calene, d'Umbrie & de Calabre.

Sylla en augmenta le nombre jusqu'à vingt, & Jules-César, jusqu'à quarante, afin de récompenser ses amis, c'est-à-dire, de les enrichir en appauvrissant les peuples. Une partie de ces questeurs étoit nommée par l'empereur, & l'autre partie par le peuple. Sous les autres empereurs leur nombre ne fut point fixé. De tous ces questeurs, il n'y en avoit que deux pour la ville, & pour la garde du trésor public, les autres étoient pour les provinces & les armées.

Le principal devoir des questeurs de la ville étoit de veiller sur le trésor public, qui étoit dans le temple de Saturne, parce que sous le regne de Saturne, dans l'âge d'or, on ne connoissoit ni l'avarice, ni la mauvaise foi, & de faire le compte de la recette & de la dépense des deniers publics. Ils avoient aussi sous leur garde les loix & les sénatus consulte. Jules-César, à qui les sacrileges ne coutoient rien, rompit les portes du temple de Saturne ; & malgré les efforts de Métellus, il prit dans le trésor public, tout l'argent qui y étoit déposé. Cet événement de la guerre civile des Romains est peint par Lucain avec les couleurs dignes du poëte, & qui n'ont pas été flétries par le traducteur.

Lorsque les consuls partoient pour quelque expédition militaire, les questeurs leur envoyoient les enseignes qu'ils tiroient du trésor public. Le butin pris sur les ennemis, & les biens des citoyens condamnés pour quelque crime leur étoit remis, pour les faire vendre à l'encan. C'étoient eux qui recevoient d'abord les ambassadeurs des nations étrangeres, qui les conduisoient à l'audience, & leur assignoient un logement.

Outre cela, les généraux en revenant de l'armée juroient devant eux, qu'ils avoient mandé au sénat, le nombre véritable des ennemis & des citoyens tués, afin qu'on pût juger s'ils méritoient les honneurs du triomphe, ils avoient aussi sous eux des greffiers sur lesquels ils avoient jurisdiction.

Les questeurs des provinces étoient obligés d'accompagner les consuls & les préteurs dans les provinces, afin de fournir des vivres & de l'argent aux troupes, ils devoient aussi faire payer la capitation & les impôts ; les impôts étoient invariables, mais la capitation n'étoit pas fixe. Ils avoient soin du recouvrement des blés dûs à la république, & de faire vendre les dépouilles des ennemis, ils ne manquoient pas d'envoyer un compte exact de tout cela au trésor public. Ils examinoient aussi, s'ils n'étoit rien dû à l'état. Enfin, ils gardoient en dépôt auprès des enseignes, l'argent des soldats, & ils exerçoient la jurisdiction que les généraux d'armées & les gouverneurs des provinces vouloient bien leur donner. S'il arrivoit que les gouverneurs partissent avant d'être remplacés, les questeurs faisoient leurs fonctions jusqu'à l'arrivée du successeur. Il y avoit ordinairement une si étroite liaison entre le questeur & le gouverneur, que celui-ci servoit en quelque façon de pere à l'autre : si le questeur venoit à mourir, le gouverneur, en attendant la nomination de Rome, faisoit exercer l'emploi par quelqu'un : celui-ci s'appelloit proquesteur.

Le questeur de la ville n'avoit ni licteur, ni messager, viatorem, parce qu'il n'avoit pas droit de citer en jugement, ni faire arrêter qui que ce fût, quoiqu'il eût celui d'assembler le peuple pour le haranguer. Les questeurs des provinces, au contraire, paroissent avoir eu leurs licteurs, au-moins dans l'absence du préteur. La questure étoit le premier degré pour parvenir aux honneurs ; la fidelité de la questure, la magnificence de l'édilité, l'exactitude & l'intégrité de la préture, frayoient un chemin sûr au consulat.

On ne pouvoit être questeur qu'à l'âge de vingt-cinq ans, & lorsqu'on avoit exercé cette charge, on pouvoit venir dans le sénat, quoique l'on ne fût pas encore sénateur. Elle fut abolie & rétablie plusieurs fois sous les empereurs. Auguste créa deux préteurs pour avoir soin du trésor public, mais l'empereur Claude rendit cette fonction aux questeurs, qui l'étoient pendant trois ans. Dans la suite, ou établit une autre espece de questeurs, qu'on appella candidats du prince. Leur fonction étoit de lire les ordres de l'empereur dans le sénat. Après eux vinrent les questeurs du palais, charge qui se rapporte à celle de chancelier parmi nous, & à celle de grand logothete sous les empereurs de Constantinople. (D. J.)

Questeur nocturne, (Hist. nat.) les questeurs nocturnes étoient à Rome de petits magistrats inférieurs ordinaires, chargés de prendre garde aux incendies, & qui, durant la nuit faisoient la ronde dans tous les quartiers.

Questeur du parricide, (Hist. rom.) magistrat particulier que le peuple nommoit, & auquel il donnoit la puissance de connoître du parricide & autres crimes qui seroient commis dans Rome ; parce qu'auparavant, il étoit défendu aux consuls de juger de leur chef aucun citoyen romain ; cependant, comme les m?urs multiplioient journellement les crimes, le peuple vit de lui-même la nécessité de remédier, en revétant un magistrat de cette autorité ; la même chose s'exécuta pour les provinces, & l'on appella quæsitores, inquisiteurs, les prêteurs qui furent chargés de cette commission. La loi premiere, §. 23. de origine juris, nous apprend l'origine de ce commissaire, qu'on appella questeur du parricide. Mais il faut savoir que ce questeur nommoit un juge de la question, c'est-à-dire du crime, lequel tiroit au sort d'autres juges, formoit le tribunal, & présidoit sous lui au jugement.

Il est encore bon de faire remarquer ici la part que prenoit le sénat dans la nomination de ce questeur du parricide, afin que l'on voie comment les puissances étoient à cet égard balancées. Quelquefois le sénat faisoit élire un dictateur, pour faire la fonction de questeur, quelquefois il ordonnoit que le peuple seroit convoqué par un tribun, pour qu'il nommât le questeur ; enfin, le peuple nommoit quelquefois un magistrat, pour faire son rapport au sénateur sur certain crime, & lui demander qu'il donnât le questeur, comme on voit dans le jugement de Lucius Scipion, dans Tite-Live. Lib. VIII. (D. J.)

Questeur du sacré palais, (Hist. du bas-Emp.) l'une des premieres dignités sous les empereurs de Constantinople. C'étoit le questeur qui souscrivoit les rescripts de l'empereur & les réponses aux requêtes & aux suppliques qu'on lui présentoit. Il dressoit aussi les lois, & les constitutions que l'empereur trouvoit à-propos de publier. Quelques-uns comparent les fonctions de cet emploi à celles de nos chanceliers : c'étoit ordinairement un jurisconsulte qu'on honoroit de cette charge, parce qu'il devoit connoître les lois de l'empire, les dicter, les faire exécuter, & juger des causes qu'on portoit par appel devant l'empereur. Constantin est le premier qui ait fait un questeur du sacré palais. (D. J.)

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Wiktionnaire


Nom commun - français

questeur \k?s.t??\ ou \k??s.t??\ masculin (pour une femme, on peut dire : questeuse, questeure, questrice)

  1. (Antiquité) Magistrat romain chargé, dans les armées ou dans les provinces, de l'administration des finances.
    • Les questeurs donnaient au peuple les combats de gladiateurs et en faisaient les frais. Un proconsul et son questeur.
    • La tente du questeur, dans les camps, était toujours voisine de celle du général. Cicéron fut questeur de Sicile.
  2. (Politique) Dans les assemblées politiques, membres qui sont chargés de l'administration et de la police intérieure.
    • Les questeurs de la Chambre des députés.
    • Chaque assemblée élit en début de législature trois questeurs. Ils sont notamment chargés de régir le budget de l'Assemblée nationale ou du Sénat au moyen d'un document gardé secret : le règlement budgétaire, comptable et financier. (Alexandre Loukil, Transparence ? L'Assemblée nationale suggère à Regards Citoyens de suspendre son site ! sur capital.fr, Prisma Media. Mis en ligne le 9 août 2017, consulté le 20 août 2017)
Wiktionnaire - licence Creative Commons attribution partage à l'identique 3.0

Trésor de la Langue Française informatisé


QUESTEUR, subst. masc.

A. ? HIST. ROMAINE. Magistrat dont les attributions, à l'époque classique, étaient essentiellement d'ordre financier. Questeurs urbains; questeurs consulaires; questeurs militaires; questeurs de la flotte; questeurs provinciaux. Cicéron fut questeur de Sicile (Ac.).M. Terentius Varron, sorti d'un métier servile, était devenu par son éloquence, questeur, édile et préteur. Fils d'un boucher, employé d'abord par son père à détailler et colporter la viande, il était l'objet du mépris des patriciens (Michelet, Hist. romaine, t. 2, 1831, p. 22).Sous la République, les questeurs urbains administraient l'aerarium Saturni, et à ce titre encaissaient les impôts, les amendes et les contributions militaires, vendaient le butin, payaient les fournisseurs (Pell.1972).
? Questeurs du parricide (Quaestores parricidii). Magistrats chargés des affaires criminelles. J'ai soutenu une thèse en latin sur la manière dont on donnait la torture à Rome au temps où Munatius Demens était questeur du parricide (Hugo, Misér., t. 1, 1862, p. 172).
B. ? P. anal.
1. DR. CONSTIT. Membre du bureau d'une assemblée parlementaire, chargé de la gestion du budget et de l'organisation administrative et matérielle de cette assemblée. Le bureau de l'Assemblée Nationale se compose du Président, de six Vice-Présidents, de six Secrétaires, et de trois Questeurs (Règlement Ass. nat., 1849, p. 8).L'administration des dépenses approuvées par l'Assemblée est assurée par les questeurs, et aucune dépense nouvelle ne peut être engagée sans leur consentement préalable. Ils vérifient aussi les comptes de l'Assemblée (Lidderdale, Parlement fr., 1954, p. 116).
2. [Dans un collège relig.] Élève chargé de diverses responsabilités matérielles et financières. Même durant les récréations, il restait seul. On l'avait nommé questeur, charge enviée. Grâce à elle, il pouvait monter à l'étude, sous prétexte d'éclairage à surveiller ou de papier à distribuer (Estaunié, Empreinte, 1896, p. 41).Comme dans la Rome antique, c'est le préposé aux finances. Cet élève collecte les offrandes, cotisations autorisées, amendes ou participation à un spectacle, une sortie, etc... Son travail n'est pas considérable, mais il est délicat, car le questeur est responsable personnellement des pertes d'argent (M. Federds B. intérieur et extérieur de l'École second. libre de Longwy, déc. 1972, n o27).
Prononc. et Orth.: [k?st?:?], [k? ?st?:?]. Littré, Passy 1914, Barbeau-Rodhe 1930 [k? ?s-]; Warn. 1968 [k? ?s-], [k?s-]. Voir Mart. Comment prononce 1913: [k?s-] ,,on est loin d'être rare``. Rob. 1985 [k?s-]. Voir G. Straka ds Trav. Ling. Litt. Strasbourg t. 19 n o1 1981, p. 230: ,,une modification (...) de [k?] en [k] a commencé à se produire vers la fin du siècle dernier dans des mots savants contenant un qu suivi d'un i ou e: (...) questeur, quintuple, -er, -és, quiétisme, quiétude, etc.``. Étymol. et Hist. 1. 1213 hist. romaine (Faits des Romains, éd. L.-F. Flutre et K. Sneyders de Vogel, p. 6, 8); 2. 1775 [éd.] dr. constit. (Sur les Finances: Ouvrage posthume de Pierre André***, Londres, p. 85 r o). Empr. au lat.quaestor « magistrat romain chargé de gérer les deniers publics et de diriger les enquêtes sur les homicides » et sous la république « magistrat chargé de la garde du trésor public »; de quaesitum, supin de quaerere, v. quérir. Fréq. abs. littér.: 36.

QUESTEUR, subst. masc.
Étymol. et Hist. 1. 1213 hist. romaine (Faits des Romains, éd. L.-F. Flutre et K. Sneyders de Vogel, p. 6, 8); 2. 1775 [éd.] dr. constit. (Sur les Finances: Ouvrage posthume de Pierre André***, Londres, p. 85 r o). Empr. au lat.quaestor « magistrat romain chargé de gérer les deniers publics et de diriger les enquêtes sur les homicides » et sous la république « magistrat chargé de la garde du trésor public »; de quaesitum, supin de quaerere, v. quérir.

Questeur au Scrabble


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Informations sur le mot questeur - 8 lettres, 4 voyelles, 4 consonnes, 6 lettres uniques.

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Les citations avec le mot Questeur


  1. Il ne voulut pas seulement voir l'or et l'argent, ains les feit seulement livrer par compte et consigner entre les mains des questeurs et tresoriers.

    Auteur : Jacques Amyot - Source : Paul-Aemile, 48


Les citations du Littré sur Questeur


  1. Oultre deux questeurs urbains, qui y estoient d'ancienneté

    Auteur : BERCHEURE - Source : f° 89, verso.


  2. Et de l'office as auditeurs est-il parlé au chapitre qui parole des auditeurs et enquesteurs

    Auteur : BEAUMANOIR - Source : VI, 15


  3. Li enquesteur, ne li auditeur, ne li juge, ne li arbitre ne sunt pas loial, qui se penchent plus d'une partie que d'autre

    Auteur : BEAUMANOIR - Source : XL, 22


  4. Comme il feust venu un questeur ou porteur de pardons

    Auteur : DU CANGE - Source : pardonantia.


  5. Verdiers, maistres et enquesteurs des eaux et forestz

    Auteur : DU CANGE - Source : viride.


  6. Il est juge enquesteur et tesmoin tout ensemble

    Auteur : DU BARTAS - Source : p. 318, dans RAYNOUARD


  7. Il ne voulut pas seulement voir l'or et l'argent, ains les feit seulement livrer par compte et consigner entre les mains des questeurs et tresoriers

    Auteur : AMYOT - Source : P. Aem. 48


  8. Sylla son questeur lui amena un puissant corps de cavalerie, qu'il avait levé chez les Latins

    Auteur : VERTOT - Source : Rév. rom. IX, 403


  9. Vous serés mout boins amparliers [avocat], Pour parole monstrer en court ; Vos mot sont ataignant et court ; Et se vous un fieltre [chapeau] euïssiez, Mout bien siermonner seuïssiez Ensement que cil questeur font

    Auteur : J. DE CONDET - Source : p. 110


  10. Et peu de temps après vint et arriva à Paris Monsieur de Chastillon, grant maistre enquesteur et general reformateur des eaux et forests

    Auteur : J. DE TROYES - Source : Chr. 1469




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Mise à jour le mercredi 24 septembre 2025 à 14h08










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