La définition de Tendon du dictionnaire français. Signification du mot et son éthymologie - De nombreux exemples d'usage en français ainsi que des citations.

Tendon
Nature : s. f.
Prononciation : tan-don
Etymologie : Ital. tendine, d'un latin fictif tendo, tendinis ou tendonis, dérivé de tendere, tendre (voy. ). D'Aubigné a dit tendons pour lisières : Les tendons de l'enfance, Hist. III, 545.

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Notre dictionnaire de français vous présente les définitions de tendon de manière précise, avec des exemples pertinents pour aider à comprendre la signification du mot.

Notre dictionnaire de définitions comprend des informations complémentaires telles que la nature du mot, sa prononciation, des exemples d'expressions, l'étymologie, les synonymes, les homonymes, les antonymes mais également les rimes et anagrammes. Quand la définition du mot s'y prête nous vous proposons des citations littéraires en rapport avec tendon pour illustrer la compréhension du mot ou préciser le sens et de répondre à la question quelle est la signification de Tendon ?


La définition de Tendon

Terme d'anatomie. Cordon ou faisceau fibreux plus ou moins long, quelquefois rond, plus ordinairement aplati, d'un blanc luisant, distinct du muscle par la nature de ses fibres et parce qu'il n'est pas contractile.


Toutes les définitions de « tendon »


Dictionnaire de l'Académie française, huitième édition

TENDON. n. m.
T. d'Anatomie. Partie fibreuse, blanchâtre, ronde ou aplatie, qui forme l'extrémité des muscles et qui sert à les attacher aux os ou à d'autres parties. Le tendon d'un gros muscle. Il y a des muscles à plusieurs tendons. Tendon d'Achille, Gros tendon aplati, situé à la partie postérieure et inférieure de la jambe.

TENDON, en termes d'Art vétérinaire, désigne la Partie postérieure des jambes des chevaux. Ce cheval a le tendon bien détaché, bien net. Il a le tendon engorgé.

Littré

TENDON (tan-don) s. f.
  • 1 Terme d'anatomie. Cordon ou faisceau fibreux plus ou moins long, quelquefois rond, plus ordinairement aplati, d'un blanc luisant, distinct du muscle par la nature de ses fibres et parce qu'il n'est pas contractile. Elle mourut d'une saignée qui lui fut faite, où on lui coupa le tendon, Saint-Simon, 329, 59. Le tendon est la corde immobile par elle-même qui, tirée par les muscles raccourcis, fait mouvoir les os les uns sur les autres, Fourcroy, Conn. chim. t. IX, p. 239.

    Tendon d'Achille, gros tendon aplati, formé, à la partie postérieure et inférieure de la jambe, par la réunion des tendons des muscles jumeaux et soléaires, et s'attachant à la partie inférieure de la face postérieure du calcanéum?; ainsi nommé parce que la fable raconte qu'à cet endroit Pâris blessa Achille.

  • 2 Terme de vétérinaire. Chez les chevaux, la corde formée, derrière le canon, par les tendons des muscles perforant et perforé. Le tendon doit être sec, net et dur.

    Tendon failli, c'est-à-dire manqué, celui qui, à sa naissance au genou, est trop rapproché de la colonne osseuse?; cette conformation est mauvaise, parce que la corde tendineuse doit toujours s'écarter, autant que possible, du levier osseux sur lequel elle agit.

    Tendon féru, celui qui est blessé.


HISTORIQUE

XVIe s. Les uns [muscles] produisent de leur ventre plusieurs tendons, comme ceux qui flechissent les doigts, Paré, I, 8.


SUPPLÉMENT AU DICTIONNAIRE

TENDON. Ajoutez?:
3Nom vulgaire de la bugrane épineuse.
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Encyclopédie, 1re édition

TENDON, tendo, en Anatomie ; c'est une partie blanche, la plus ferme & la plus tenace de celles qui composent les muscles dont il forme les extrémités. Voyez Muscle.

La plûpart des muscles ont au-moins deux tendons, un à chaque extrémité.

Celui qui est attaché à la partie vers laquelle se fait le mouvement, se nomme la tête du muscle. Celui qui est attaché à la partie qui est tirée vers une autre, se nomme la queue du muscle. Voyez Tête & Queue.

Lorsque les tendons s'épanouissent en forme de membranes : ces expansions sont appellées aponevroses. Voyez Aponevrose.

On a cru que les fibres qui composent le tendon, étoient nerveuses ; mais on trouve aujourd'hui qu'elles ne sont autre chose que des productions des mêmes fibres qui forment le ventre ou corps du muscle. Toute la différence est que dans le corps du muscle elles sont lâches & à une certaine distance l'une de l'autre ; au lieu que dans le tendon elles sont unies ensemble plus étroitement & plus fortement. Voyez Fibre.

Leur blancheur vient uniquement de ce qu'à raison de leur tissu serré elles n'admettent pas la partie rouge du sang. En effet, il y a la même différence entre ces deux sortes de fibres qu'entre un écheveau de fil, & une corde faite du même fil.

Les fibres des tendons ne souffrent pas de contraction ou de dilatation, comme font celles du corps des muscles : elles agissent simplement comme des cordes pour tirer une partie vers l'autre.

Tendon d'Achille, (Anat.) tendon large & fort, qui sert à étendre le pié, & qui vient du milieu de la jambe au talon

C'est, je crois, le plus fort & le plus gros de tous les tendons. Il est formé par l'union intime des tendons de deux muscles différens, l'un appellé les jumeaux, & l'autre le solaire ; il va s'attacher à la partie postérieure du calcaneum, & produit par l'épanouissement de ses filets, l'aponévrose plantaire.

Un homme blessé au tendon d'Achille, ne peut se tenir droit, parce que quoique les muscles jambier & péronier postérieurs soient suffisans pour étendre le pié ; le point par où ces muscles passent de la jambe au pié est trop proche de l'appui.

Cette observation montre que l'éloignement du tendon d'Achille, fait toute la force du pié, & que plus ce tendon est éloigné de l'articulation, plus il a de force. Les animaux qui courent & sautent avec plus de facilité, sont ceux qui ont ce tendon plus éloigné ; les hommes qui ont le talon fort long, se fatiguent moins à marcher, & plus le pié est long, plus la longueur du talon est nécessaire.

Mais tout fort qu'est le tendon d'Achille, il peut se rompre completement ou incompletement. Voyez donc l'article qui suit. (D. J.)

Tendon d'Achille, blessure du, (Chirurgie.) parlons maintenant des blessures du tendon d'Achille, ce sont de cruels accidens fort délicats à traiter, & qui par conséquent ne doivent pas être inconnus aux maîtres de l'art.

Non-seulement le tendon d'Achille est exposé à la rupture, mais encore à différentes sortes de blessures. S'il est piqué, percé, ou coupé seulement en partie, le malade se trouve attaqué de symptomes très-dangereux, qui sont d'autant plus terribles, que ce tendon est plus gros que les autres. C'est sans doute pour cette raison que les anciens médecins ont regardé les blessures de ce tendon comme mortelles, ou du moins comme inguérissables. Les symptomes qu'éprouve le malade lorsque le tendon est considérablement blessé, sont moins cruels que quand la plaie est plus légere ; ensorte qu'alors il faut achever de le couper pour faire cesser la douleur & les convulsions ; cependant il n'est pas impossible de réunir sans suture le tendon d'Achille, aussi-bien que d'autres tendons offensés, si l'on peut bander le pié de maniere que les deux extrémités du tendon soient maintenues dans un état de contact.

Nos chirurgiens ont finalement hasardé de réunir le tendon par la voie de la suture, & Cowper nous en a laissé une description détaillée, que M. Heister a rendu encore plus intelligible que le fameux chirurgien de Londres ne l'a donnée lui-même.

Le blessé avoit 30 ans ; le tendon d'Achille de sa jambe gauche étoit entierement coupé à la distance de trois travers de doigts du calcaneum ; la partie supérieure étoit retirée en en-haut d'environ deux pouces. Cowper commença par découvrir, par la voie de l'incision, les tégumens, pour pouvoir parvenir aux extrémités du tendon. Il prit deux aiguilles droites & menues, & introduisit, au moyen de la premiere aiguille, un fil de soie ciré dans la partie supérieure du tendon, à un demi-pouce du bout. Avec une autre aiguille enfilée pareillement d'un fil de soie, il perça de même la partie supérieure du tendon, la faisant entrer un peu plus bas que la premiere ; ensuite il passa les deux aiguilles dans la partie inférieure du tendon. Il étendit le pié du malade, & fit approcher les deux extrémités du tendon au point qu'elles se touchassent, en tirant les deux bouts de fil l'un à l'autre, lesquels il lia de maniere que les extrémités du tendon fussent maintenues en état de contact, faisant toujours tenir au blessé son pié alongé ; puis il coupa les bouts des fils.

Cela fait, il pansa la plaie avec de la charpie qu'il trempa dans de l'huile de térébenthine, & y appliqua une compresse & un bandage. Mais afin que le pié fût toujours comme il le falloit, dans un état d'extension, & que les extrémités du tendon continuassent de se toucher, il fit une espece d'arc de carton fort & épais, qu'il appliqua tellement à la partie antérieure du pié & de la jambe, que le pié ne pût point avoir de mouvement ni la suture se rompre. Cowper observe que le blessé se plaignit de douleurs aiguës, lorsqu'il lui perça avec l'aiguille la partie supérieure du tendon, mais qu'il n'en sentit point lors de la perforation de la partie inférieure.

L'opération faite, le malade fut mis au lit ; on lui tira du bras quatorze onces de sang, pour obvier, par cette grande saignée, aux accidens qui pouvoient survenir ; on lui donna sur le soir une once de syrop de diacode, pour lui procurer du repos.

Le lendemain le malade se trouva assez bien : il avoit dormi : seulement il se plaignit que pendant la nuit il avoit senti des douleurs lancinantes au gras de la jambe, lorsqu'il lui étoit arrivé de s'éveiller. Le troisieme jour Cowper pansa la plaie de même que le premier, y ajoutant seulement une fomentation d'absynthe, de sauge, de romarin & de feuilles de laurier. Le quatrieme jour la plaie parut humectée d'une humeur séreuse, appellée synovie ; le six cette matiere étoit épaissie ; le huit elle l'étoit encore davantage, après quoi elle disparut d'elle-même.

Pendant tout ce tems-là les deux extrémités du tendon ne s'écarterent point du tout ; mais il parut à l'endroit de leur conjonction une substance blanche, sur laquelle M. Cowper appliqua du baume de térébenthine & de la teinture de myrrhe. Bientôt après cette substance se dissipa, & alors les deux extrémités parurent couvertes d'une autre substance fongueuse & charnue. M. Cowper ne mit plus rien alors que de sec sur la plaie, tantôt de la charpie seche, & tantôt de la poudre de térébenthine. Le dixieme jour un des fils parut lâche, Cowper le coupa & le retira. Deux ou trois jours après l'autre fil étant lâche aussi, il le coupa & le retira de même. Pendant tout ce tems le pié étoit toujours étendu, au moyen du carton qui étoit attaché par dessus. Au bout de trente jours, le malade fut en état de marcher un peu, mais en boitant. Petit à petit il marcha plus aisément, & sur la fin du second mois, il recouvra entierement l'usage de son pié.

La destruction du tendon d'Achille emporte avec elle celle de la faculté qui produit le mouvement du pié ; ainsi, à moins que ce tendon ne soit bien repris, le blessé en demeure estropié pour toujours. (D. J.)

Voici une continuation sur le même accident, par M. Louis, chirurgien & secrétaire de l'Académie de chirurgie. Elle est tirée d'un mémoire de M. Petit, dont M. de Fontenelle a donné l'extrait qui suit, dans les recueils de l'Académie des Sciences.

Les tendons sont des especes de cordes qui par une de leurs extrémités partent d'un muscle, & par l'autre s'attachent à un os, de sorte que quand le muscle est en action, ou se contracte, le tendon tire à soi l'os auquel il est attaché, & lui fait faire le mouvement dont il est capable. Les tendons sont d'une nature à ne s'étendre pas, si ce n'est dans des contractions de leurs muscles extraordinaires & outrées : en ce cas-là, si l'os qu'ils doivent tirer ne peut leur obéir assez & les suivre, ou l'os casse par la traction du tendon trop forte, ou le tendon se rompt par son extension trop violente.

Il faut encore considérer que dans certaines actions, comme celle de sauter de bas en haut, tout le poids du corps est porté, & même surmonté par un nombre de muscles, qui ayant été mis dans une forte contraction, se débandent brusquement tout à la fois, & par-là causent le saut. Si dans l'instant où ces muscles étendent violemment leurs tendons, il arrive un accident qui fasse que ces tendons soient encore tirés en en-bas par tout le poids du corps, il ne sera pas étonnant qu'ils ne résistent pas à une extension si excessive. C'est ainsi que le sauteur de M. Petit se cassa le tendon d'Achille ; il vouloit sauter sur une table élevée de plus de trois piés, il n'en attrapa que le bord du bout de chaque pié, où le tendon d'Achille étoit alors fort étendu par l'effort nécessaire, il retomba droit, & dans cette chûte le tendon d'Achille fut encore étendu par le poids de tout le corps qui le tiroit. On peut ajouter que la force de ce poids fut augmentée par l'accélération d'une chûte de trois piés.

Le tendon d'Achille est formé par l'union intime des tendons de deux muscles différens, l'un appellé les jumeaux, l'autre le solaire. Si ces deux tendons, qui composent celui d'Achille, sont cassés, la rupture est complete ; elle est incomplete, s'il n'y a que l'un des deux. Dans l'incomplete que M. Petit a vue, c'étoit le tendon des jumeaux qui étoit cassé, l'autre restant entier. Il ne faut pas entendre que cette division des ruptures soit fondée sur un grand nombre d'expériences. M. Petit n'en a vu qu'une incomplete, qu'il n'a reconnue pour telle, & distinguée de la complete, que par une grande exactitude d'observations ; & il a jugé de plus que celle qu'Ambroise Paré a rapportée, étoit de la même espece. Pour l'autre incomplete, il ne fait guere que la conjecturer par une espece d'analogie. Il ne s'agira donc ici que de la premiere incomplete, qui sera en opposition avec la complete.

Il y a entre elles des différences, dont quelques-unes pourroient surprendre. L'incomplete est très douloureuse, & la complete ne l'est point. Lorsqu'un tendon est absolument rompu, ses deux parties séparées se retirent naturellement, comme feroient celles d'une corde à boyau, l'une d'un côté, l'autre du côté opposé. Si elles tiennent à des parties voisines, elles ne pourront se retirer, sans les tirailler, les agiter, les irriter, & cela avec d'autant plus de force, & par conséquent d'autant plus douloureusement, que leur adhésion sera plus grande. Cela peut aisément aller au point de causer des inflammations, qui s'étendront ensuite ; la fievre, des insomnies, des délires. Mais hors de ce cas-là, deux parties du tendon séparées se retirent paisiblement chacune de son côté, & il n'y a nul autre mal, que le tendon cassé, devenu inutile. Cela est si vrai, que pour prévenir les douleurs & les accidens qui naîtroient d'un tendon à demi rompu, on le coupe tout-à-fait. Le tendon d'Achille est enfermé dans une gaîne où il coule librement, il n'a point d'attache aux parties voisines, & par-là, sa rupture complete est sans douleur.

Mais il n'en va pas de même de l'incomplete. Le seul tendon des jumeaux étant rompu, il se retire en en-haut & en en-bas, tandis que le tendon du solaire ne se retire point. On voit assez là un principe de déchirement d'autant plus violent, que l'adhérence & l'union de ces deux tendons qui forment celui d'Achille, est effectivement très-grande.

Ce principe général veut pourtant être considéré plus particulierement. Il n'y a de douleur qu'à l'endroit de la portion supérieure du tendon rompu, & non à l'inférieure. Quand la portion supérieure du tendon des jumeaux va en en-haut, parce qu'elle y est tirée par la partie charnue de ce muscle auquel elle tient, elle est en même tems tirée en en-bas par le solaire resté sain en son entier ; & cette contrariété d'actions fait un déchirement douloureux dans les fibres qui résistent ; mais la portion inférieure du même tendon ne tenant plus du tout au muscle des jumeaux, mais seulement au solaire, elle obéit sans résistance aux mouvemens du solaire, qui ne sont point combattus par l'autre. Ce n'est que dans les premiers tems que cette différence entre les deux portions du tendon rompu subsiste en son entier : dans la suite la douleur de la portion supérieure peut avoir été si vive, qu'elle aura causé de l'inflammation aux parties voisines ; mais quoique la portion inférieure s'en ressente, elle est encore la moins douloureuse, ce que l'on reconnoît sensiblement au toucher.

Dans la rupture complete, on fléchit le pié du malade sans lui causer aucune douleur ; on augmente seulement une espece de vuide où de creux que laissent nécessairement entre elles les deux portions du tendon d'Achille entierement séparées l'une de l'autre. Dans la rupture incomplette, cette même flexion du pié ne peut se faire sans beaucoup de douleur, parce que ce creux qu'on tend à augmenter, ne se peut augmenter sans un déchirement, ou tiraillement de parties imparfaitement séparées.

Dans la rupture incomplete on peut marcher, mais en souffrant ; dans la complete on ne peut marcher, quoiqu'on ne souffre point. A chaque pas que l'on fait, la jambe qui demeure en arriere, soutient seule tout le poids du corps, & il faut que la ligne de direction de ce poids tombe vers le milieu du pié de cette jambe posé sur le plan ; or M. Petit fait voir que c'est le tendon d'Achille, qui par son action porte cette ligne de direction sur le pié où elle doit être, qu'il fait en quelque sorte la fonction de gouvernail, & que par conséquent lorsqu'il ne peut plus absolument la faire, on ne marche plus.

Il est très-important en chirurgie de connoître toutes les différences des deux ruptures ; on sçaura les discerner dans l'occasion, & on se conduira plus surement. Quand on ne les discerneroit que par leurs effets, ce seroit toujours beaucoup ; mais il vaut sans comparaison mieux que les effets soient accompagnés de la connoissance des causes.

M. Petit ne traite point de la deuxieme rupture incomplete, qui seroit celle du seul tendon du muscle solaire, il ne l'a point vûe, & il y a plus de sagesse à ne point prévenir les faits par des conjectures hasardées. Il croit seulement que cette rupture doit être plus rare que la premiere incomplete, & il en donne les raisons tirées de la différence des deux tendons qui composent celui d'Achille. Hist. de l'acad. des Sciences, années 1725 & 1728. (D. J.)

Tendon, les Maréchaux appellent improprement ainsi dans le cheval une espece de cartilage qui entoure une partie du pié, & qui est située entre la corne & le petit pié. On est souvent obligé de couper ce tendon. Dans le javart encorné, la matiere qui se forme entre le petit pié & la corne, gâte ce tendon, le noircit, & l'on est obligé de l'extirper pour guérir le javart. Voyez Javart.

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Wiktionnaire


Nom commun - français

tendon \t??.d??\ masculin

  1. (Anatomie) Partie fibreuse, blanchâtre, ronde ou aplatie, qui forme l'extrémité des muscles et qui sert à les attacher aux os ou à d'autres parties.
    • Le tendon d'un gros muscle.
    • Il y a des muscles à plusieurs tendons.
    • Avec son menton saillant et les tendons de son cou décharné, qui tirent sa peau, comme les cordes tirent les toiles d'une tente, elle ressemble aux sorcières qui jettent des sorts. (Germaine Acremant, Ces dames aux chapeaux verts, Plon, 1922, réédition Le Livre de Poche, page 124)
    • Il avait été impressionné par cette tête d'une maigreur de bête sauvage et surtout par les tendons du cou, si apparents qu'ils semblaient des cordes attachant cette tête à ce froc. (Jean Giono, Le hussard sur le toit, 1951, réédition Folio Plus, page 19)
  2. (Médecine vétérinaire) Partie postérieure des jambes des chevaux.
    • Ce cheval a le tendon bien détaché, bien net.
    • Il a le tendon engorgé.
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Trésor de la Langue Française informatisé


TENDON, subst. masc.

ANATOMIE
A. ?
1. Partie amincie d'un muscle par laquelle celui-ci prend insertion sur un os. Déchirure, douleur, inflammation d'un tendon. Il disparut dans son ombre entre son casque et son veston. On lui voyait bien distinctement les cordes des tendons du cou, derrière, arquées comme deux doigts contre sa tête (Céline, Voyage, 1932, p. 164).Le muscle long est un muscle à tendon court et le muscle court, un muscle à tendon long. Le muscle court coïncide avec des attaches plus fines et le muscle long avec des attaches plus grosses (Arts et litt., 1935, p. 44-4).
? Tendon d'Achille. ,,Volumineux tendon terminal du muscle triceps sural, résultant de la réunion des tendons de terminaison du muscle soléaire et des deux muscles jumeaux`` (Méd. Biol. t. 3 1972). On dirait une espièglerie (...) d'un malin génie, me coupant le tendon d'Achille, précisément quand j'aurais besoin de danser (Amiel, Journal, 1866, p. 121).Tendon intermédiaire. ,,Segment tendineux interposé entre les deux ventres d'un muscle digastrique`` (Méd. Biol. t. 3 1972). Tendon d'origine. ,,Tendon d'insertion proximale d'un muscle long`` (Méd. Biol. t. 3 1972). Tendon terminal. ,,Tendon d'insertion distale d'un muscle long`` (Méd. Biol. t. 3 1972).
2. Partie dure, tendineuse de la viande de boucherie. (Ds Rob. 1985).
B. ? MÉD. VÉTÉR. Partie postérieure de la patte du cheval entre le genou et le boulet dans le membre antérieur, entre la pointe du jarret et le boulet dans le membre postérieur. La netteté, la largeur, la dureté du tendon, son isolement, sa direction sont les conditions qui (...) révèlent l'énergie d'un cheval (Pearson1872).
Prononc. et Orth.: [t? ?d? ?]. Att. ds Ac. dep. 1694. Étymol. et Hist. 1. Fin xives. « bugrane, plante dont la racine arrête la charrue » (E. Deschamps, ?uvres, éd. Queux de St Hilaire et G. Raynaud, t. 1, 107, 3); 2. 1536 anat. (G. Chrestien, Philalèthes sur les erreurs anatomiques de certaines parties du corps humain, foB 4 vo); 1765 tendon d'Achille (Encyclop.); 3. 1680 « partie postérieure de la jambe du cheval » (Rich.). Dér. de tendre1*; suff. -on1*. On trouve en a. prov. tendon « tendon d'Achille » (1213, Montauban ds FEW t. 13, 1, p. 198a), le sens anatomique vient peut-être du gr. ? ? ? ? ? ?, -? ? ? ? ? « tendon », modifié sous l'infl. du verbe tendre1*. Fréq. abs. littér.: 368. Fréq. rel. littér.: xixes.: a) 1 514, b) 166; xxes.: a) 127, b) 106.

TENDON, subst. masc.
Étymol. et Hist. 1. Fin xives. « bugrane, plante dont la racine arrête la charrue » (E. Deschamps, ?uvres, éd. Queux de St Hilaire et G. Raynaud, t. 1, 107, 3); 2. 1536 anat. (G. Chrestien, Philalèthes sur les erreurs anatomiques de certaines parties du corps humain, foB 4 vo); 1765 tendon d'Achille (Encyclop.); 3. 1680 « partie postérieure de la jambe du cheval » (Rich.). Dér. de tendre1*; suff. -on1*. On trouve en a. prov. tendon « tendon d'Achille » (1213, Montauban ds FEW t. 13, 1, p. 198a), le sens anatomique vient peut-être du gr. ? ? ? ? ? ?, -? ? ? ? ? « tendon », modifié sous l'infl. du verbe tendre1*.

Tendon au Scrabble


Le mot tendon vaut 7 points au Scrabble.

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Informations sur le mot tendon - 6 lettres, 2 voyelles, 4 consonnes, 5 lettres uniques.

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Mordeur     Écorner     Levron     Ouvert, erte     Rapiécer     Thétis     Annate     Turpe     Acharné, ée     Mois     

Les citations avec le mot Tendon


  1. Souvent nous avons en nous les remèdes que nous attendons du ciel.

    Auteur : William Shakespeare - Source : Tout est bien qui finit bien (1608)


  2. La clarinette n'était pas (en 1745) l'instrument aux sons doux et mélancoliques que nous entendons aujourd'hui.

    Auteur : Adolphe Charles Adam - Source : Derniers souvenirs d'un musicien, notice sur Gossec


  3. Les voitures, c'est pour les ministres et les députés.
    Les femmes, c'est pour les députés et les ministres.
    Le père noël, c'est pour les nègres à monocle.
    Que le père noël soit pour tous!
    Voilà comme nous l'entendons, nous, l'indépendance du congo!


    Auteur : Aimé Césaire - Source : Une saison au Congo (1966)


  4. Ce n'est pas de la bienveillance du boucher, du brasseur ou du boulanger que nous attendons notre dîner, mais plutôt du soin qu'ils apportent à la recherche de leur propre intérêt. Nous ne nous en remettons pas à leur humanité, mais à leur égoïsme.

    Auteur : Adam Smith - Source : Recherche sur la nature et les causes de la richesse des nations (1776)


  5. Quand nous écoutons les guides, nous entendons tout de même toujours le bavardage sur l'art qui nous tape sur les nerfs, l'insupportable bavardage sur l'art des historiens d'art ...

    Auteur : Thomas Bernhard - Source : Maîtres anciens (1985)


  6. Ah, le pouvoir ! L'homme qui le détient est nanti d'un sabre à double tranchant. S'il le baisse plus qu'il ne faut, il se coupe le tendon. S'il le lève plus que de raison, il se fend le crâne et devient fou.

    Auteur : Massa Makan Diabaté - Source : Une hyène à jeun


  7. La mort nous égale tous c'est où nous attendons les gens heureux : elle rabat leur joie et leur orgueil, et console par là ceux qui ne sont pas fortunés.

    Auteur : Marie de Rabutin-Chantal, marquise de Sévigné - Source : Lettres (1646-1696)


  8. Ma femme et moi, nous nous entendons parfaitement; je n'essaie pas de diriger sa vie et je n'essaie pas de diriger la mienne.

    Auteur : Pythagore - Source : Fragments


  9. Nous entendons dire des choses estranges de nous; car on dit que nous avons esté engendrez miraculeusement, et nourris et allaictez plus estrangement.

    Auteur : Jacques Amyot - Source : Romulus, 9


  10. Vous avez mis le pied gauche sur la rainure de cuivre, et de votre épaule droite vous essayez en vain de pousser un peu plus le panneau coulissant. Vous vous introduisez par l'étroite ouverture en vous frottant contre ses bords, puis, votre valise couverte de granuleux cuir sombre couleur d'épaisse bouteille, votre valise assez petite d'homme habitué aux longs voyages, vous l'arrachez par sa poignée collante, avec vos doigts qui se sont échauffés, si peu lourde qu'elle soit, de l'avoir portée jusqu'ici, vous la soulevez et vous sentez vos muscles et vos tendons se dessiner non seulement dans vos phalanges, dans votre paume, votre poignet et votre bras, mais dans votre épaule aussi, dans toute la moitié du dos et dans vos vertèbres depuis votre cou jusqu'aux reins.

    Auteur : Michel Butor - Source : La Modification (1957)


  11. Entendons-nous bien, s'il y avait vraiment une Sicile qu'il aimait regarder, c'était bien cette Sicile faite de terres arides, brûlées et marron, où un peu de vert testard se retrouvait comme tiré au canon, où les dés blancs des bicoques en haut des collines semblaient devoir glisser en bas à un coup plus fort de vent, où, à la contre-heure, même les lézards et les serpents, il leur manquait l'envie de se glisser dans un buisson de sorgho ou de se cacher sous une pierre, résignés,inertes, à leur destin, quel qu'il fût.

    Auteur : Andrea Camilleri - Source : La première enquête de Montalbano (2004)


  12. Nous attendons toujours, pour nous exécuter, l'instant où nous sommes forcés par les circonstances.

    Auteur : Mirabeau - Source : Collection, IV


  13. Comment prétendons-nous qu'un autre garde notre secret si nous ne pouvons le garder nous-mêmes?

    Auteur : François de La Rochefoucauld - Source : Réflexions ou Sentences et Maximes morales (1664)


  14. Il faut que je dise comment nous attendons des années pour qu'enfin il se passe quelque chose, qu'enfin la roue tourne, qu'enfin nous soyons boutés hors de la torpeur du quotidien et soudain, au détour d'un regard, dans la chimère d'une journée semblable à une autre, c'est là, maintenant, ici, ce que nous espérons depuis toujours : une autre vie à portée de main. Mais, bien souvent, à force de remplir nos vies, de jouer à être Dieu, de faire les cons, ce moment-là nous échappe et nous continuons sans nous douter une seconde que nous avons laissé, là, maintenant, ici, la chance de notre vie, l'homme de notre vie, la femme de notre vie.

    Auteur : Nathacha Appanah - Source : La Noce d'Anna (2005)


  15. On comprendra alors le double sens du terme «camp d'extermination» et ce que nous entendons par l'expression «toucher le fond».

    Auteur : Primo Levi - Source : Si c'est un homme (1947)


  16. Nous ne prétendons donc pas montrer comment les hommes pensent dans les mythes, mais comment les mythes se pensent dans les hommes, et à leur insu.

    Auteur : Claude Lévi-Strauss - Source : Le Cru et le Cuit (1964)


  17. Nous tendons la main aux Européens et espérons qu'ils nous la tendrons en retour.

    Auteur : Colin Powell - Source : Sans référence


  18. Le racisme dans le police, c’était Charonne, en 1962. Le racisme dans la police c’était il y a 30 ans l’assassinat, parce que c'en était un, de Malik Oussekine (...) La famille de Malik Oussekine et tous ceux qui ont pleuré la mort de Malik Oussekine attendent toujours aujourd'hui les excuses de la police française pour cet assassinat. La violence et le racisme dans la police, c’était, il y a 15 ans, Zyed et Bouna, pour lesquels nous attendons encore les excuses de la police. Le racisme dans la police, c’est évidemment aujourd’hui Théo, c’est évidemment Adama.

    Auteur : Audrey Pulvar - Source : Vidéo de juin 2020, exhumée le 22 mai 2021 sur Twitter par Pierre Liscia


  19. Avec cinq faibles sens, nous prétendons appréhender le cosmos complexe et sans limite, alors que d'autres êtres, qui possèdent un éventail de sens plus large, plus fort, ou différent, peuvent percevoir des univers entiers de matière, d'énergie et de vie, qui sont à portée de notre main, et qui ne peuvent pourtant jamais être détectés par nos organes sensitifs. J'ai toujours pensé que de tels mondes inaccessibles existent, près de nous.

    Auteur : Howard Phillips Lovecraft - Source : Dagon (Dagon and Other Macabre Tales) - (1965)


  20. Nous nous attendons toujours à une contrepartie pour nos sentiments, et quand elle ne nous est pas accordée nous nous considérons trahis.

    Auteur : Donato Carrisi - Source : L'Ecorchée (2013)


  21. Toujours assez ingénieux pour ne pas découvrir ce que nous prétendons chercher.

    Auteur : Jean-Paul Hameury - Source : Fragments (1994)


  22. Par ce mot, entendement pur, nous ne prétendons désigner que la faculté qu'a l'esprit de connaître les objets du dehors sans en former d'images corporelles dans le cerveau pour se les représenter.

    Auteur : Nicolas Malebranche - Source : De la recherche de la vérité (1674)


  23. Nous entendons dans les rêves ce que dit la matière.

    Auteur : Ernst Jünger - Source : Ombres perdues dans La Délirante n° 6, 1976.


  24. Comment prétendons-nous qu'un autre puisse garder notre secret, si nous ne pouvons le garder nous-mêmes.

    Auteur : François de La Rochefoucauld - Source : Réflexions ou Sentences et Maximes morales (1664)


  25. Ce que nous prévoyons se produit parfois. Ce que nous attendons le moins se produit toujours.

    Auteur : Benjamin Disraeli - Source : Sans référence


Les citations du Littré sur Tendon


  1. Lorsque tel excès se fait [rupture du tendon d'Achille], on oit un bruit en ceste partie, comme d'un coup de fouet

    Auteur : PARÉ - Source : VIII, 37


  2. Les autres muscles ont les tendons longs, comme le palmaire et plantaire

    Auteur : PARÉ - Source : I, 8


  3. Douleur provenante de ponction ou d'un nerf ou d'un tendon

    Auteur : PARÉ - Source : VII, 11


  4. Touchant rien, presque tous s'abusent à l'usage d'icelui mot, estimans ne signifier nulle chose que ce soit ; mais c'est tout le contraire ; car avec ce mot nous mettons toujours une négation ; ou nous l'entendons, comme si je demande, que fais-tu ? tu responds : rien ; mais la negation s'entend : je ne fay rien

    Auteur : ROB. - Source : EST. Gramm. franç. p. 127, dans LACURNE


  5. Pour la langue, on verra dans peu nos règlements, Et nous y prétendons faire des remuements

    Auteur : Molière - Source : Femm. sav. III, 2


  6. Noz entendons que marciés est fes si tost comme il est creantés à tenir par l'acort des parties, entre gens qui poent fere marciés, ou si tost que denier Dieu en est donés

    Auteur : BEAUMANOIR - Source : XXXIV, 60


  7. Tu accomoderas proportionnellement la predite curation aux tendons et membranes

    Auteur : PARÉ - Source : VIII, 40


  8. Mars pour le fer, et pour l'estain Entendons Jupiter le sain

    Auteur : Jean de La Fontaine - Source : 417


  9. Des mystères sacrés que nous n'entendons pas

    Auteur : Corneille - Source : Poly. IV, 6


  10. Si nous entendons du Messie ce grand passage où Isaïe nous représente si vivement l'homme de douleurs frappé pour nos péchés et défiguré comme un lépreux

    Auteur : BOSSUET - Source : Hist. II, 10


  11. Quand nous nous mettons à raisonner, nous devons d'abord poser comme indubitable que nous pouvons connaître très certainement beaucoup de choses dont toutefois nous n'entendons pas toutes les dépendances ni toutes les suites

    Auteur : BOSSUET - Source : Libre arbitre, 4


  12. Il y a toujours quelque chose de grêle dans notre architecture, quand nous visons à l'élégance, ou de pesant quand nous prétendons à la majesté

    Auteur : CHATEAUBR. - Source : Itin. 1re part.


  13. Les crotaphites, qui du milieu de leur ventre produisent leurs tendons

    Auteur : PARÉ - Source : I, 8


  14. N'attendons pas leur ordre et montrons-nous jaloux De l'honneur qu'ils auraient à disposer de nous

    Auteur : Corneille - Source : Nicom. V, 9


  15. Attendons-nous que Dieu ressuscite des morts pour nous instruire ? il n'est point nécessaire que les morts reviennent ni que quelqu'un sorte du tombeau ; ce qui entre aujourd'hui dans le tombeau doit suffire pour nous convertir

    Auteur : BOSSUET - Source : Duch. d'Orl.


  16. Ce tendon, pour bien legiere occasion, comme pour quelque petit sault, pour une mal-marcheure, se rompt et dilacere

    Auteur : PARÉ - Source : VIII, 37


  17. On les tient [les chrétiens] pour sorciers dont l'enfer est le maître ; Et sur cette croyance on punit du trépas Des mystères secrets que nous n'entendons pas

    Auteur : Corneille - Source : Pol. IV, 6


  18. On les tient [les chrétiens] pour sorciers dont l'enfer est le maître, Et, sur cette croyance, on punit du trépas Des mystères secrets que nous n'entendons pas

    Auteur : Corneille - Source : Poly. IV, 6


  19. Quand il n'y aura plus de bâtiments cuirassés qu'en Angleterre, je voterai le décuirassement ; jusque-là, attendons

    Auteur : E. JURIEN DE LA GRAVIÈRE - Source : Rev. des Deux-Mondes, 1er sept. 1874, p. 126


  20. Les autres muscles ont les tendons longs comme le palmaire et le plantaire

    Auteur : PARÉ - Source : I, 8


  21. Pour la langue on verra dans peu nos règlements, Et nous y prétendons faire des remuements

    Auteur : Molière - Source : F. sav. III, 2


  22. Nous attendons toujours, pour nous exécuter, l'instant où nous sommes forcés par les circonstances

    Auteur : MIRABEAU - Source : Collection, t. IV, p. 70


  23. Qu'attendons-nous à nous soumettre ?

    Auteur : BOSSUET - Source : Hist. II, 13


  24. Et aussi n'entendons noz pas que le baillix doie estre trop soufrans en cose qui porte damace ne despit à son seigneur ne à soi

    Auteur : BEAUMANOIR - Source : 19


  25. Et aussi entendons noz de cix [ceux] qui abatent les fourques et qui despendent les pendus

    Auteur : BEAUMANOIR - Source : XXXI, 17




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Mise à jour le mercredi 24 septembre 2025 à 15h15










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