La définition de Pénible du dictionnaire français. Signification du mot et son éthymologie - De nombreux exemples d'usage en français ainsi que des citations.

Pénible
Nature : adj.
Prononciation : pé-ni-bl'
Etymologie : Peine. On donne encore à pénible le sens de dur à la peine, dans le Midi. Le provençal disait penable dans le sens où nous disons pénible.

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Notre dictionnaire de français vous présente les définitions de pénible de manière précise, avec des exemples pertinents pour aider à comprendre la signification du mot.

Notre dictionnaire de définitions comprend des informations complémentaires telles que la nature du mot, sa prononciation, des exemples d'expressions, l'étymologie, les synonymes, les homonymes, les antonymes mais également les rimes et anagrammes. Quand la définition du mot s'y prête nous vous proposons des citations littéraires en rapport avec pénible pour illustrer la compréhension du mot ou préciser le sens et de répondre à la question quelle est la signification de Pénible ?


La définition de Pénible

Qui donne de la peine, de la fatigue. Travail, entreprise pénible.


Toutes les définitions de « pénible »


Dictionnaire de l'Académie française, huitième édition

PÉNIBLE. adj. des deux genres
. Qui se fait avec peine, qui donne de la peine, de la fatigue. Un travail ingrat et pénible. Une situation pénible. Un effort pénible. L'intrigue de cette pièce est pénible à suivre. Un style pénible, Un style qui manque de naturel et qui sent l'effort.

PÉNIBLE signifie encore Qui fait de la peine, qui affecte désagréablement l'âme, l'esprit. Situation pénible. Sentiment pénible. Doute pénible. Il est pénible d'avoir à punir de pareilles fautes. Une chose pénible à voir, à entendre. Un aveu pénible à faire.

Littré

PÉNIBLE (pé-ni-bl') adj.
  • 1Qui donne de la peine, de la fatigue. Travail, entreprise pénible. Et moi, sur ce sujet loin d'exercer ma plume, J'amasse de tes faits le pénible volume, Boileau, Épître VIII. Pensez-vous que ces c?urs, tremblants de leurs défaite, Fatigués d'une longue et pénible retraite?, Racine, Mithr. III, 1. J'ai su, par une longue et pénible industrie, Des plus mortels venins prévenir la furie, Racine, ib. IV, 5. Il n'y a point au monde un si pénible métier que de se faire un grand nom, La Bruyère, II.

    Style pénible, style où le naturel manque, défaut des auteurs qui traitent un sujet auquel la nature ne les a pas rendus propres. L'ennui d'un dialogue pénible, lâche et diffus, Grimm, Corresp. t. IV, p. 294.

  • 2Il se dit aussi de ce qui cause une peine morale. Si nos sens ne s'opposaient pas à la pénitence? il n'y aurait en cela rien de pénible pour nous, Pascal, Pens. XXIV, 61, éd. HAVET. Lorsqu'il faut souffrir une longue et pénible langueur, Fléchier, Dauphine. Tout doit tendre au bon sens?; mais, pour y parvenir, Le chemin est glissant et pénible à tenir, Boileau, Art p. I.

    Il régit quelquefois à devant un infinitif. Cela est pénible à dire. Un trône est plus pénible à quitter que la vie, Racine, Théb. III, 4.

    Avec le verbe être employé impersonnellement, il régit de?: Il est pénible de se quitter. Vous qui ne connaissez qu'une crainte servile, Ingrats, un Dieu si bon ne peut-il vous charmer?? Est-il donc à vos c?urs, est-il si difficile, Et si pénible de l'aimer?? Racine, Athal. I, 4.


HISTORIQUE

XIIIe s. Penible [dur à la peine], Partonop. v. 9356.

XIVe s. La quelle chose avoit esté hastivement faite par crainte de une loy et d'une ordonnance penible [qui inflige une peine], Bercheure, f° 21, verso.

XVe s. Preudons seras, poures, penibles [laborieux, qui se donne du mal], Deschamps, Poésies mss. f° 525.

XVIe s. Une occupation non penible ny ennuyeuse, Montaigne, I, 282. La conscience qui nous tourmente de plusieurs imaginations penibles, Montaigne, II, 45. Selon le naturel de toutes choses dont les plus precieuses sont les plus penibles à garder, De Serres, 227.


SUPPLÉMENT AU DICTIONNAIRE

PÉNIBLE. Ajoutez?:
3Des âmes pénibles, des âmes difficiles à gouverner par un directeur. Il est certain qu'il y a des âmes qui sont pénibles, St-Cyran, dans STE-BEUVE, Port-Royal, t. I, p. 461, 3e éd.
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Encyclopédie, 1re édition

PÉNIBLE, adj. (Gramm.) qui se fait avec peine. On croit que l'Algebre est une étude pénible. La route que nous avons à faire en ce monde, est courte, mais il y a des hommes pour qui elle aura été bien pénible. La connoissance des langues suppose un exercice de la mémoire long & pénible. Un plaisir qui n'a rien de penible, est communément insipide.

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Wiktionnaire


Nom commun - français

pénible \pe.nibl\ masculin et féminin identiques

  1. Personne pénible, usante.
    • T'es un pénible, toi !

Adjectif - français

pénible \pe.nibl\ masculin et féminin identiques

  1. Qui se fait avec peine, qui donne de la peine, de la fatigue.
    • Quelles fonctions plus pénibles et plus dispendieuses que celles de capitaine et de chef de bataillon de la garde nationale, dans une commune de campagne ? (François-Vincent Raspail, Organisation ruineuse ou féconde de la dépense, dans Le Réformateur, 5 fév. 1835)
    • La mer est dure et houleuse, le remorquage pénible. A midi, la remorque casse [?]. (Alain Gerbault, À la poursuite du soleil; tome 1 : De New-York à Tahiti, 1929)
    • Quoi qu'il en fût, ma naissance fut pénible. Je déchirai ma mère si cruellement que le contact de son mari lui devint un supplice. (Jean Rogissart, Hurtebise aux griottes, L'Amitié par le livre, Blainville-sur-Mer, 1954, p. 24)
    • Mais ce catéchisme est donné comme le résultat des méditations pénibles et consciencieuses et méritoires des hommes de bien qui fabriquent la Philosophie. (Paul Nizan, Les chiens de garde, 1932)
    • Il mange lentement, handicapé par une mastication pénible, ne dit pas un mot, rit niaisement de loin en loin. (Victor Méric, Les Compagnons de l'Escopette, Éditions de l'Épi, Paris, 1930, page 213)
  2. (Figuré) Qualifie un style qui manque de naturel et qui sent l'effort.
  3. Qui fait de la peine, qui affecte désagréablement l'âme, l'esprit.
    • Situation pénible.
    • Sentiment pénible.
    • Doute pénible.
    • Il est pénible d'avoir à punir de pareilles fautes.
    • Une chose pénible à voir, à entendre.
    • Un aveu pénible à faire.
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Trésor de la Langue Française informatisé


PÉNIBLE, adj.

A.? [Corresp. à peine II] Qui cause un sentiment de peine, un état affectif (plus ou moins durable) de douleur morale, de tristesse ou d'ennui. Synon. affligeant, cruel, douloureux, triste.
1. Absolument
a) [Le subst. qualifié désigne un état du suj.] Sentiment pénible. Cette disposition affective bonne ou mauvaise, agréable ou pénible, favorable ou contraire à notre développement moral (Maine de Biran, Journal,1818, p. 155).Excusez-moi d'avoir ravivé en vous de pénibles souvenirs (Queneau, Pierrot,1942, p. 87):
1. ... depuis que Mmede Kergaz avait trouvé et dévoré le journal manuscrit du vicomte Andrea, persuadée que ce misérable l'aimait, elle était tourmentée de cette pensée et en éprouvait de pénibles émotions. Chaque fois que ce prétendu repenti la regardait (...), la pauvre jeune femme (...) se sentait défaillir elle-même. Ponson du Terr., Rocambole,t. 3, 1859, p. 324.
b) [Le subst. qualifié désigne une circonstance soc.] Autant sont doux les entretiens où les âmes se parlent et se répondent, autant les autres sont fastidieux et pénibles (Lamennais, Lettres Cottu,1820, p. 96).Je partirai sans l'avertir, pour nous épargner de pénibles adieux (Borel, Champavert,1833, p. 17).Je ne suis pas, vous l'imaginez, dans toute cette pénible histoire, de ceux qui ne pensent qu'à vous accabler (Duhamel, Combat ombres,1939, p. 254):
2. À l'âge de Laurence, quand le c?ur n'a pas encore parlé, on ne voit la vie qu'en surface; on n'en soupçonne pas les dessous pénibles, douloureux ou mortifiants; aussi on prend légèrement des résolutions devant lesquelles plus tard on est étonné de ne pas avoir reculé avec terreur. Theuriet, Mais. deux barbeaux,1879, p. 62.
? En partic.
?) [Le subst. qualifié désigne un spectacle] Synon. affligeant, attristant, désolant, navrant.Le visage mal peint, les joues pendantes, la poitrine à demi nue, elle était d'une laideur pénible (Arland, Ordre,1929, p. 201).Le spectacle est pénible. La foule des malheureux est là, maintenue dans l'ordre et le silence par des sergents armés de verges et de matraques (Faral, Vie temps st Louis,1942, p. 259).
?) [Le subst. désigne un trait de caractère ou le comportement d'une pers.] Synon. agaçant, insupportable.Enfantillage pénible. Dès que je suis près de lui, je ne peux plus me sentir; cela me rend sa société assez pénible (Gide, Faux-monn.,1925, p. 1123).Le jeune homme en mande la nouvelle à Le Vasseur sur un ton pénible d'impertinence (Mauriac, Vie Racine,1928, p. 32).[P. méton. du subst. qualifié] Synon. insupportable.Quel enfant pénible que celui-là et combien on a de peine à l'aimer, même dans sa famille. Je souhaite (...) que cette sécheresse pointue et impertinente qui le caractérise, s'atténue et fasse place à quelque qualité aimable (Amiel, Journal,1866, p. 364).Je te demande pardon. Car je t'ai été une compagne pénible et douloureuse (Claudel, Échange,1894, iii, p. 710).
c) [Qualifie une prop. (ou un inf.)] Il est pénible d'être méprisé de celui-là même dont l'estime est jugée désirable (Alain, Propos,1929, p. 839).Léonard avait horreur des cabales; il lui était fort pénible qu'on le pressât dans ses ?uvres (Gilles de La Tourette, L. de Vinci,1932, p. 96):
3. On trouve (...) trop fatigant de quereller, trop dur de tuer, trop pénible de haïr, et la rude bataille de la vie vous fait l'effet dégoûtant d'un abattoir. Amiel, Journal,1866p. 40.
SYNT. a) Impression, pensée, sensation, rêve pénible; b) circonstances, conversation, épreuve, incident, moment(s), scène, silence pénible(s); c) agréable, doux, heureux ou pénible; amer, désagréable, douloureux, triste et pénible.
2. [Constr. avec un compl. prép.]
a) Pénible à, pour + subst. (désignant celui qui éprouve de la peine).Un événement bien pénible pour moi marqua ce retour : on me mit au collège! (Loti, Rom. enf.,1890, p. 204).Pourquoi cette page est-elle pénible à Antoine? Il se doutait bien que son petit avait vécu, qu'il s'était sali à beaucoup de rencontres (Martin du G., Thib.,Sorell., 1928, p. 1179).V. supra ex. de Gilles de La Tourette.
? [P. méton. du compl. prép.] La lueur d'un incendie (...) répandit sur toute cette scène une teinte fausse et blafarde, (...) heure pénible à l'?il et à la pensée, lutte de deux principes contraires dont la nature offre quelquefois l'image affligeante (Lamart., Voy. Orient,t. 1, 1835, p. 220).Il eut l'impression qu'il était resté un gamin, tandis qu'ils étaient devenus des hommes; et ce fut si pénible à sa vanité, que son ancienne affection pour eux s'en ressentit (Martin du G., Devenir,1909, p. 152).
b) Pénible à + inf.Les soirées devenaient pénibles à passer ensemble, bien qu'aucun désaccord grave n'eût surgi (Maupass., Contes et nouv.,t. 1, Hérit., 1884, p. 525).Cette gaieté sur sa face décharnée (...) avait quelque chose de funèbre et de si pénible à voir, que, plusieurs fois, je dus sortir de la chambre (Mirbeau, Journal femme ch.,1900, p. 148).
B.? [Corresp. à peine III]
1. Vx. Qui requiert un dur travail physique. Quel pays, que celui où le travail fait déroger, où il est honorable de consommer et humiliant de produire, où les professions pénibles sont dites viles (Sieyès, Tiers état,1789, p. 57).
2. Usuel. [Le subst. qualifié désigne une action, une activité] Qui coûte de la peine.
a) Qui requiert ou cause beaucoup de fatigue, d'effort ou de souffrance physique. Synon. épuisant, harassant, laborieux.
?) Absol. Top fermait la marche, et faisait encore entendre de singuliers grognements. L'ascension fut assez pénible (Verne, Île myst.,1874, p. 170).Les Italiens se disposaient à hiverner, l'armée serbe entreprenait une pénible retraite vers l'Adriatique (Joffre, Mém.,t. 2, 1931, p. 161).V. déjeté II B ex. de Moselly :
4. [La mère abbesse] doit (...) dans ces moments, surveiller de très près sa fille, s'efforcer de détourner le cours de ses idées, en la brisant par de pénibles travaux et en lui occupant l'esprit... Huysmans, En route,t. 1, 1895, p. 190.
? [P. méton. du subst. qualifié] Chemin, route pénible. J'étais redescendu du Liban (...) dans le désert nu et stérile d'Héliopolis, à la fin d'une journée pénible et longue (Lamart., Voy. Orient,t. 2, 1835, p. 183).Le terrain était si pénible que la file tendait à se disloquer (Romains, Copains,1913, p. 272).
? En partic. [En parlant d'un processus physiol.] Enfantement, indigestion, respiration, torpeur, toux pénible. Elle ne sécrète que très peu de bile; de là ses pénibles digestions (Michelet, Journal,1858, p. 391).La nuit, il avait des sommeils pénibles, des rêves fatigants (Rolland, J.-Chr.,Foire, 1908, p. 802).
?) Rare. [Constr. avec un compl. prép.]
? Pénible à, pour qqn.Il lui devint si pénible de marcher, qu'il ne s'écarta guère du village (Zola, Terre,1887, p. 431).
? Pénible à + inf.Les trois cents mètres furent très pénibles à franchir : dans la tranchée surtout, on enfonçait jusqu'aux hanches (Zola, Bête hum.,1890, p. 156).
SYNT. Besogne, labeur, ouvrage, tâche pénible; effort, exercice, marche pénible; dur, fastidieux, fatigant, ingrat, laborieux, lent, lourd, rude et pénible.
b) Qui requiert ou cause beaucoup de fatigue, de souffrance ou d'effort, intellectuel ou moral. Synon. épuisant.Les esprits vulgaires, incapables en général d'une attention très-soutenue, ou peu propres à soutenir une attention pénible (Joubert, Pensées,t. 1, 1824, p. 411).Ce catéchisme est donné comme le résultat des méditations pénibles et consciencieuses et méritoires des hommes de bien qui fabriquent la philosophie (Nizan, Chiens garde,1932, p. 153).
3. P. ext.
a) [Le subst. qualifié désigne un état] Difficile à supporter, à endurer. Synon. éprouvant.Climat, état pénible. Centupler ses besoins, faire tout pour l'ostentation (...); c'est s'embarrasser dans les chaînes d'une pénurie plus pénible et plus soucieuse que la première (Senancour, Obermann,t. 1, 1840, p. 130).Le séjour de la dunette est pénible le jour, impossible le soir (Fromentin, Voy. Égypte,1869, p. 44).
? En partic. [Le subst. qualifié désigne un état phys.] Maladie pénible. Une sueur pénible inondait mon front, un nuage passait sur mes yeux (Sand, Lélia,1833, p. 181).La soif surtout est pénible. Les biscuits sont recherchés... etc. (Bordeaux, Fort de Vaux,1916, p. 181).V. gorge I B 1 ex. de Staël.
b) [Le subst. qualifié désigne (l'obj. d') une perception] Difficile à supporter, (très) désagréable. Tantôt il est fatigué de sons discordans, de tintemens pénibles, ou croit entendre une douce mélodie et des chants très-harmonieux (Cabanis, Rapp. phys. et mor.,t. 2, 1808, p. 359).La pièce était mal aérée; il y régnait une pénible odeur (Gide, Faux-monn.,1925, p. 1158).
? [Constr. avec un compl. prép.] L'intervalle de la septième mineure, et, partant, celui de la seconde majeure (...) dut tout d'abord et longtemps paraître pénible à l'oreille (Gide, Journal,1928, p. 874).Chacun connaît des suites de mots presque impossibles à dire, et pénibles à entendre, comme « chasseurs sachez chasser » (Alain, Propos,1927, p. 706).
C.? En partic. [Corresp. à supra A et B]
1. CRIT. ART. [Le subst. qualifié désigne (un élément d') une ?uvre artist.] Qui donne l'impression désagréable d'avoir été trop travaillé, qui est trop recherché, qui manque de simplicité, de naturel. Dessin, versification, imitation, style pénible. La couleur est chaude, mais la manière est pénible; le dessin habile, mais non pas original (Baudel., Salon,1845, p. 22).Ce second discours [de Bossuet] est pénible, quelque peu subtil, et sent l'appareil théologique (Sainte-Beuve, Caus. lundi,t. 10, 1854, p. 200):
5. Jamais peinture plus pénible, plus suée, n'était encore sortie de la lourde truelle de ce fabricant de hourdages, qui a nom Bonnat. Cela est peint, rides à rides, verrues à verrues, sur l'éternel fond noirâtre qui repousse le blafard des tristes chairs éclairées par les bougies d'un gaz violacé. Huysmans, Art mod.,1883, p. 158.
? [P. méton. du subst. qualifié] La misère de coloris du pénible peintre, du pauvre prix de Rome [Garnotelle], faisait trouver et imprimer qu'il avait des « couleurs gravement chastes » (Goncourt, Man. Salomon,1867, p. 161).
2. [Le subst. qualifié désigne un comportement] Qui donne l'impression attristante d'être effectué avec beaucoup d'effort et de difficulté. Synon. douloureux.Elle parla d'une voix pénible, la bouche amère. Quand elle était jeune, elle aurait voulu habiter au fond des bois (Zola, Pot-Bouille,1882, p. 71).Devinant que je la regardais, ma mère fit un sourire pénible et qui lui brouilla les traits (Duhamel, Jard. bêtes sauv.,1934, p. 37):
6. Il en est ainsi des lignes : certaines sont anguleuses, chaotiques; elles correspondraient, si on les exécutait musculairement, à des gestes pénibles, heurtés, qui, répétés, ne seraient qu'une suite de contractions et de détentes mal organisées. Huyghe, Dialog. avec visible,1955, p. 167.
D.? [Corresp. à peine IV; le subst. qualifié désigne un processus] Vieilli. Qui rencontre des difficultés, des obstacles dans son déroulement. Un lent et pénible développement social (Comte, Philos. posit.,t. 4, 1839-42, p. 537).Les débuts de la nouvelle monarchie furent pénibles. L'émeute, d'où elle était née, pesait sur elle et demandait son salaire (Bainville, Hist. Fr.,t. 2, 1924, p. 168):
7. La circulation [des marchandises et de la monnaie] est pénible là où une industrie imparfaite ne sait créer que des produits de peu d'usage ou trop chers, là où des impôts lourds et nombreux renchérissent les produits et obligent la plupart des consommateurs à s'en passer. Say, Écon. pol.,1832, p. 151.
Prononc. et Orth. : [penibl?]. Ac. 1694 et 1718 : penible; 1740 : penible mais ,,c'est un travail pénible``; dep. 1762 : pénible. Étymol. et Hist. 1. Déb. xiies. peinible « qui donne de la fatigue, qui se fait avec peine » (Benedeit, St Brendan, éd. I. Short et Br. Merrilees, 790); 2. ca 1165 penible « qui fait du mal, difficile à supporter » (Benoît de Ste-Maure, Troie, éd. L. Constans, 28932). Dér. de peine*; suff. -ible*. Fréq. abs. littér. : 3 453. Fréq. rel. littér. : xixes. : a) 5 775, b) 4 135; xxes. : a) 4 848, b) 4 624.
DÉR.
Pénibilité, subst. fém.Caractère pénible (d'une activité, d'un travail). La pénibilité de la résistance aux inclinations naturelles du corps (Jankél., Je-ne-sais-quoi,1957, p. 256).Si l'on désire rapprocher du produit national le nombre d'hommes-journées de travail qu'il a fallu pour l'obtenir, on ne compare pas un produit à un coût correctement calculé puisque l'on ne tient pas compte de la pénibilité et de l'intensité du travail (Univers écon. et soc.,1960, p. 4-14).? [penibilite]. ? 1reattest. 1952 (A. Dauzat ds Le Monde, 10 déc., p. 9, col. 1); dér. sav. de pénible, suff. -(i)té*. Cf. le m. fr. penibleté, peniblité, 2emoitié xives. ds Roques t. 1, B.N. lat. 7692 et conches 1, 6218 : penalitas, penibleté, penibilité.
BBG. ? Quem. DDL t. 4 (s.v. pénibilité).

PÉNIBLE, adj.
Étymol. et Hist. 1. Déb. xiies. peinible « qui donne de la fatigue, qui se fait avec peine » (Benedeit, St Brendan, éd. I. Short et Br. Merrilees, 790); 2. ca 1165 penible « qui fait du mal, difficile à supporter » (Benoît de Ste-Maure, Troie, éd. L. Constans, 28932). Dér. de peine*; suff. -ible*.

Pénible au Scrabble


Le mot pénible vaut 11 points au Scrabble.

penible

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Les citations avec le mot Pénible


  1. La conquête est pénible, et la perte facile.

    Auteur : Pierre Corneille - Source : L'Imitation de Jésus-Christ


  2. C'est très pénible de peigner la girafe. Surtout sans échelle.

    Auteur : Yvan Francis Le Louarn, dit Chaval - Source : Dans Entretiens avec Chaval (1976) de Pierre Ajame.


  3. Partons du principe que l'artiste ne doit rien à personne. Néanmoins, il est pénible de voir comment, en se retirant dans sa tour d'ivoire ou dans le monde de ses fantasmes, il risque d'abandonner le monde réel aux mains de mercenaires.

    Auteur : Alexandre Issaïevitch Soljenitsyne - Source : Le Cri. Le discours du prix Nobel - L'Express, septembre 1972.


  4. L'adaptation rapide est toujours pénible parce que, si l'homme transforme avec peine ses manières de vivre, il change plus difficilement encore ses façons de penser.

    Auteur : Gustave Le Bon - Source : Hier et demain. Pensées brèves (1918)


  5. Nous sommes tous esclaves de nos affections, esclaves des préjugés de ceux que nous aimons ; nous devons aussi gagner notre vie, et par cela devenir un rouage de machine. Le plus pénible, ce sont les concessions qu'il faut faire aux préjugés de la société qui nous entoure ; on en fait plus ou moins selon qu'on se sent plus faible ou plus fort. Si l'on n'en fait pas assez, on est écrasé. Si l'on en fait trop, on est vil et l'on prend le dégoût de soi-même. Me voilà loin des principes que j'avais il y a dix ans. Je croyais à cette époque qu'il fallait être excessif en tout, et ne faire aucune concession au milieu qui nous entoure. Je croyais qu'il fallait exagérer ses défauts comme ses qualités.

    Auteur : Pierre Curie - Source : Pierre Curie par Marie Curie


  6. Chaque fois qu'un des pieds touche le sol, le buste s'incline en avant tandis que l'air sort des poumons en produisant un sourd ahan, qui semble accompagner quelque travail pénible de bûcheron avec sa cognée ou de laboureur avec sa houe à bras.

    Auteur : Alain Robbe-Grillet - Source : Projet pour une révolution à New York (1970)


  7. Certaines choses sont trop pénibles pour être appréhendées sur le coup. Ce n'est que plus tard, dans la solitude, le souvenir, que pointe la compréhension; quand les cendres sont froides, qu'on regarde autour de soi pour se retrouver dans un monde entièrement différent.

    Auteur : Valentin Musso - Source : Les cendres froides (2011)


  8. Certes, il est pénible de vieillir, mais il est important de vieillir bien, c'est-à-dire sans déranger les jeunes.

    Auteur : Pierre Desproges - Source : Manuel du savoir-vivre à l'usage des rustres et des malpolis (1998)


  9. Quelle différence entre un soldat et un chartreux, quant à l'obéissance? car ils sont également obéissants et dépendants, et dans des exercices également pénibles.

    Auteur : Blaise Pascal - Source : Pensées (1670)


  10. Lorsque la vie devient trop pénible, l'individu choisit de régler le problème en ne réglant rien du tout, en s'évadant.

    Auteur : Joy Tepperman, dite Joy Fielding - Source : Qu'est-ce qui fait courir Jane? (1991)


  11. Vous portez votre honneur comme on porte une armure, Stark. Vous vous figurez à l'abri, dedans, alors qu'il ne sert qu'à vous alourdir et à rendre pénible chacun de vos gestes.

    Auteur : George Raymond Richard Martin - Source : Le Trône de fer, L'Intégrale 1 (2008)


  12. La solidarité nait de la douleur et non de la joie. On se sent plus proche de quelqu'un qui a subi avec vous une épreuve pénible que de quelqu'un qui a partagé avec vous un moment heureux.

    Auteur : Bernard Werber - Source : Encyclopédie du savoir relatif et absolu


  13. Le repos et l'indépendance dont jouissait notre littérateur philosophe, lui parurent préférables au pénible honneur d'élever un prince.

    Auteur : Jean le Rond d'Alembert - Source : Eloges, Segrais


  14. La parole émancipe. C'est curieux n'est-ce pas ? - Dans certains cas, c'est le contraire. Il y a des gens qui vous envahissent avec leur logorrhée : on a la pénible impression d'être prisonnière de leurs mots.

    Auteur : Amélie Nothomb - Source : Mercure (1998)


  15. Le travail: il y a des gens qui aspirent au travail, n'importe quelle sorte de travail, si pénible ou répugnant qu'il soit, pour chasser l'âpreté de leur vie et bannir de leur esprit les pensées qui tuent.

    Auteur : Philip Roth - Source : Indignation (2008)


  16. - Il devrait y avoir plus de femmes en politique... - - - Elles ne viennent pas en politique parce qu'il est trop pénible d'avoir deux faces à maquiller chaque matin.

    Auteur : Maureen Murphy - Source : Sans référence


  17. Le refus n'a rien de pénible pour celui qui s'y attend.

    Auteur : Félix Guillaume Marie Bogaerts - Source : Pensées et Maximes


  18. Il est doux de voir ses amis par goût et par estime; il est pénible de les cultiver par intérêt; c'est solliciter.

    Auteur : Jean de La Bruyère - Source : Les Caractères (1696), 57, IV, Du coeur


  19. La jeunesse est peut-être une splendeur - elle n'en est pas moins pénible à endurer. De plus, ce que l'on appelle jeunesse n'est pas la jeunesse, à mon avis; cela ressemble plutôt à une vieillesse précoce.

    Auteur : Henry Miller - Source : Virage à 80° (1973)


  20. Ce qui rend si pénible aux femmes la marche du temps, c'est leur miroir ; peu savent l'envisager de sang-froid.

    Auteur : Goswin Joseph Augustin, baron de Stassart - Source : Pensées, maximes, réflexions, observations (1855)


  21. Par la fenêtre, le jardin se réveille péniblement. Les arbres sont fatigués, les fauteuils boitent sur la terrasse, les oiseaux piaillent (c'est le nom de leur cri, je l'ai appris hier).

    Auteur : Sébastien Joanniez - Source : Vampires, cartable et poésie (2013)


  22. Doux hiver, printemps desséché - Pénible hiver, printemps mouillé.

    Auteur : Dictons - Source : Dicton


  23. Les idées s'offraient presque toujours à l'état brut: il fallait les dégager péniblement de la gangue.

    Auteur : Romain Rolland - Source : Jean-Christophe (1904-1912)


  24. Une croix, c'est déjà pénible, mais en avoir tout un tombereau à trimbaler sur les reins, c'est pas une vie !

    Auteur : Jim Thompson - Source : 1275 âmes (1966)


  25. Quoi? Des plus chères mains craignant les trahisons, j'ai pris soin de m'armer contre tous les poisons; j'ai su, par une longue et pénible industrie, des plus mortels venins prévenir la furie.

    Auteur : Jean Racine - Source : Mithridate (1673), IV, 5, Mithridate


Les citations du Littré sur Pénible


  1. Des phrases emphatiques et ronflantes, laborieusement et péniblement construites

    Auteur : GENLIS - Source : Mères riv. t. II, p. 161, dans POUGENS


  2. Fuir choses penibles et laborieuses

    Auteur : ORESME - Source : Eth. 83


  3. Dans cette partie du nouveau monde, l'extraction de l'or n'est ni dangereuse ni fort pénible ; quelquefois il se trouve à la superficie du sol

    Auteur : RAYNAL - Source : Hist. phil. IX, 21


  4. Si nous rêvions toutes les nuits que nous sommes poursuivis par des ennemis et agités par ces fantômes pénibles

    Auteur : Blaise Pascal - Source : Pens. III, 14, éd. HAVET.


  5. Et moi, sur ce sujet loin d'exercer ma plume, J'amasse de tes faits le pénible volume

    Auteur : BOILEAU - Source : Épître VIII


  6. Les symptômes du dehors venaient aggraver pour lui [Napoléon, en 1815] cette impression pénible de ses luttes intérieures avec les conseillers nouveaux

    Auteur : VILLEMAIN - Source : Souv. contemp. Cent-Jours, x.


  7. Mais, mon père, jugez-vous qu'un homme soit digne de recevoir l'absolution quand il ne veut rien faire de pénible pour expier ses offenses ?

    Auteur : Blaise Pascal - Source : Prov. X.


  8. Et nous saura grand gré de ce que si franchement nous nous serons tenus [ils supportaient un siége très pénible]

    Auteur : Jean Froissard - Source : I, I, 115


  9. J'entends encor sa voix pénible et déchirante

    Auteur : M. J. CHÉN. - Source : Calas, V, 6


  10. Il était comme un homme qui, dans un songe, est oppressé jusqu'à perdre la respiration, et qui, par l'agitation pénible de ses lèvres, ne peut former aucune voix

    Auteur : FÉN. - Source : ib. XXIV


  11. Il ne faut pas guinder l'esprit ; les manières [de raisonner] tendues et pénibles le remplissent d'une sotte présomption

    Auteur : Blaise Pascal - Source : Espr géom. 2


  12. .... C'est un pénible ouvrage D'arrêter un combat qu'autorise l'usage, Que les lois ont réglé, que les rois vos aïeux Daignaient assez souvent honorer de leurs yeux

    Auteur : Corneille - Source : D. Sanche, II, 1


  13. Il est indubitable que plus un état est distingué selon le monde, plus il est onéreux et pénible selon Dieu

    Auteur : BOURDAL. - Source : Dim. de la Septuagés. Dominic. t. I, p. 371


  14. La vertu politique est un renoncement à soi-même, qui est toujours une chose très pénible

    Auteur : Montesquieu - Source : Esp. IV, 5


  15. Cette traduction [des Géorgiques, par Lefranc de Pompignan], si péniblement travaillée, en vers durs, raboteux, martelés, sans couleur et sans harmonie

    Auteur : MARMONTEL - Source : Mém. VII


  16. La plus penible assictte pour moy, c'est estre suspens ez choses qui pressent

    Auteur : MONT. - Source : III, 47


  17. Plusieurs mesprisent ce mesnage, comme fantasque, penible, despensier [coûteux]

    Auteur : O. DE SERRES - Source : 460


  18. Les nourritures les plus dures ne sont pas trop pénibles pour le robuste laboureur

    Auteur : TISSOT - Source : Santé des gens de lettres, p. 184, édit. TECHENER, § 57


  19. Le blé pour se donner, sans peine ouvrant la terre, N'attendait point qu'un boeuf pressé de l'aiguillon Tracât à pas tardifs un pénible sillon

    Auteur : BOILEAU - Source : Ép. III


  20. Il n'y a point au monde un si pénible métier que celui de se faire un grand nom : la vie s'achève que l'on a à peine commencé son ouvrage

    Auteur : LA BRUY. - Source : II


  21. Dieu luy ordonnoit un aultre corps à habiter, plus ou moins penible et rapportant à sa condition

    Auteur : MONT. - Source : II, 132


  22. Il n'y a point au monde un si pénible métier que de se faire un grand nom

    Auteur : LA BRUY. - Source : II


  23. J'ai su, par une longue et pénible industrie, Des plus mortels venins prévenir la furie

    Auteur : Jean Racine - Source : ib. IV, 5


  24. Tout doit tendre au bon sens ; mais, pour y parvenir, Le chemin est glissant et pénible à tenir ; Pour peu qu'on s'en écarte, aussitôt on se noie

    Auteur : BOILEAU - Source : Art p. I


  25. Le bon vieillard très inutile Que vous nommez Anacréon.... Achève sa pénible vie Auprès d'un poêle et d'un glaçon Sur les montagnes d'Helvétie

    Auteur : Voltaire - Source : Épît. 108




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Mise à jour le mercredi 12 novembre 2025 à 10h01











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