La définition de Frémir du dictionnaire français. Signification du mot et son éthymologie - De nombreux exemples d'usage en français ainsi que des citations.

Frémir
Nature : v. n.
Prononciation : fré-mir
Etymologie : Berry, vrombi, en parlant d'une toupie : ma toupie vrombit ; prov. fremir ; port. fremir ; ital. fremire ; du lat. Fremere ( le 2nd e prend un accent bref), par changement de conjugaison, fremire ( i avec un accent long), puis passage à une conjugaison inchoative en isco, fremisco ; comparez le grec et le sanscrit bhram, produire un bourdonnement. Mais l'ancienne langue avait aussi un dérivé direct de fremere ( le 2nd e avec un accent bref) qui était freindre, comme geindre, de gemere.

Voir les citations du mot FrémirSignification du mot Frémir


Notre dictionnaire de français vous présente les définitions de frémir de manière précise, avec des exemples pertinents pour aider à comprendre la signification du mot.

Notre dictionnaire de définitions comprend des informations complémentaires telles que la nature du mot, sa prononciation, des exemples d'expressions, l'étymologie, les synonymes, les homonymes, les antonymes mais également les rimes et anagrammes. Quand la définition du mot s'y prête nous vous proposons des citations littéraires en rapport avec frémir pour illustrer la compréhension du mot ou préciser le sens et de répondre à la question quelle est la signification de Frémir ?


La définition de Frémir

Produire un bruit par l'agitation de ce qui a beaucoup de parties. J'entends frémir les flots irrités. Le feuillage frémit.


Toutes les définitions de « frémir »


Dictionnaire de l'Académie française, huitième édition

FRÉMIR. v. intr.
Faire entendre une succession de petits bruits, de tremblements. Le vent frémit dans le feuillage. La mer frémit. En parlant d'un Liquide qui va bouillir, L'eau frémit dans la bouilloire. Il signifie aussi Faire entendre des vibrations. Une cloche qui frémit. Il signifie aussi Être pris d'une sorte de tremblement causé par la surprise, la peur. Un cheval qui frémit au bruit du canon. Il signifie figurément Être en proie à une vive agitation, sous l'effet de quelque sentiment, de quelque passion. Frémir de colère, d'indignation, d'horreur.

Littré

FRÉMIR (fré-mir) v. n.
  • 1Produire un bruit par l'agitation de ce qui a beaucoup de parties. J'entends frémir les flots irrités. Le feuillage frémit.

    Il se dit, par extension, de tout grand bruit. S'il querelle les vents, ils n'osent plus frémir, Rotrou, St Genest, III, 2. La discorde en fureur frémit de toutes parts, Racine, Esth. Prologue. Mais l'airain menaçant frémit de toutes parts, Racine, Athal. IV, 5. Dans les combats, ils [les phoques] rugissent et frémissent comme le lion, et enfin dans la joie et après la victoire ils font un petit cri aigu qu'ils réitèrent plusieurs fois de suite, Buffon, Quadrup. t. XI, p. 193, dans POUGENS. Comme un homme sauvé du naufrage sur un rocher, je contemple de ma solitude les orages qui frémissent dans le reste du monde, Bernardin de Saint-Pierre, Paul et Virg.

  • 2Éprouver un mouvement de vibration qui produit un frémissement léger, un faible murmure. Terre, frémis d'allégresse et de crainte, Racine, Esth. III, 9. On sait que, si dans le même instrument il y a plusieurs cordes à l'unisson ou qui fassent leurs vibrations dans le même temps, si l'on pince une de ces cordes, toutes celles qui seront à son ton frémiront à la fois, Bonnet, Ess. psychol. chap. 25.

    Il se dit aussi de l'eau qui murmure et s'agite avant de bouillir. L'eau ne tardera pas à bouillir, elle frémit déjà.

    La mer frémit, elle commence à s'agiter.

  • 3 Fig. Éprouver un tremblement, une sorte de vibration intérieure par l'effet de la crainte, de l'horreur, de la colère. Nous fait frémir le c?ur, nous tire de nous-mêmes, Régnier, Sat. XVI. Je ne puis, sans frémir, parler des auteurs d'un si exécrable attentat, Vaugelas, Q. C. liv. VI, dans RICHELET. Et la seule pensée en fait frémir d'horreur, Corneille, Cinna, IV, 6. D'où vient que tu frémis et que ton c?ur soupire?? Corneille, Poly. II, 1. Même l'on dit que l'ouvrier [le statuaire] Eut à peine achevé l'image, Qu'on le vit frémir le premier Et redouter son propre ouvrage, La Fontaine, Fabl. IX, 6. Son nom seul fait frémir nos veuves et nos filles, Racine, Andr. I, 2. J'aime à vous voir frémir à ce funeste nom, Racine, Phèd. I, 3. Ah?! combien frémira son ombre épouvantée?! Racine, ib. IV, 6. Il faut des châtiments dont l'univers frémisse, Racine, Esth. II, 1. Qu'ils pleurent, ô mon Dieu, qu'ils frémissent de crainte, Ces malheureux qui de ta cité sainte Ne verront point l'éternelle splendeur, Racine, Athal. II, 9. Mais d'où vient que mon c?ur frémit d'un saint effroi?? Racine, ib. III, 7. ?trop au-dessus d'eux, je leur puis pardonner De frémir sous le joug que je veux leur donner, Voltaire, M. de Cés. I, 4. Plusieurs protestants étaient à table?; les uns se plaignaient amèrement [à la révocation de l'édit de Nantes], d'autres frémissaient de colère, Voltaire, l'Ingénu, 8. Les anciens ne s'étaient pas contentés de faire du cygne un chantre merveilleux?; seul entre tous les êtres qui frémissent à l'aspect de leur destruction, il chantait encore au moment de son agonie, et préludait par des sons harmonieux à son dernier soupir, Buffon, Ois. t. XVII, p. 39, dans POUGENS. Mon c?ur frémit de joie, Ducis, Macbeth, II, 3. Elle frémit de tous ses membres, et sûrement l'approche de l'échafaud ne lui aurait pas causé plus d'effroi, Staël, Corinne, XVI, 3.

    Il se dit avec de et un infinitif. Et déjà, tout confus, croyant midi sonné, En soi-même frémit de n'avoir pas dîné, Boileau, Lutr. IV. Honteux et frémissant de vous interroger, Voltaire, Tancr. III, 4.

    Fig. Je vois que sa vertu frémit de leur fureur, Racine, Brit. IV, 3. Bassesses dont votre orgueil frémit en secret, Massillon, Carême, Culte. Lorsqu'elle [la magistrature japonaise] a fait exposer les femmes nues, elle a fait frémir la pudeur, Montesquieu, Esp. XII, 14. On m'en a envoyé des morceaux indignement falsifiés qui font frémir le bon goût et la décence, Voltaire, Lett. Richelieu, 26 mai 1755.

    Cela fait frémir la nature, se dit de ce qui cause beaucoup d'horreur. Un spectacle à faire frémir la nature.


HISTORIQUE

XIIe s. Pur quei fremirent les genz, et li pople purpenserent vaines coses?? Liber psalm. p. 1. Paien fremissent, l'ost est espoentée, Ronc. p. 66. [Il] Voit toute l'ost à une voiz fremir, ib. p. 155. De la manace Deu puet altrement fremir Quiqu'unques?, Th. le mart. 91. Quant il l'oï, la char l'en prist tute à fremir, ib. 35. Nos savons ke les lenges [langues] des anceles fremissent quant la dame n'i est mie, Job, p. 496.

XIIIe s. Sachiés qu'il n'i ot si hardi à qui la char ne fremesist, Villehardouin, LXI. Quant l'entendi la vieille, de la paour fremist, Berte, XCI. Si te fremira tous li sans, Parole te faudra et sens, Quant tu cuideras commencier, la Rose, 2407. Mais li chevaler Jhesu Crist N'out poür, ne ne se fremist, Marie de France, Purgatoire, 379.

XIVe s. Le pueple fermisoit et se douloit de leur servitude, Bercheure, f. 12. Prenez de l'eau et mettez fremir [sur le feu jusqu'à ce qu'elle frémisse], Ménagier, II, 5.

XVe s. Qui donc vit fremir gens et appeler l'un l'autre, et querir piece de terre pour mieux loger? voir pust grand triboulement, Froissart, I, I, 162. Le roi qui tout fremissoit d'ire et de mautalent?, Froissart, I, I, 289.

XVIe s. Ils s'offensent de ceux [animaux] qui hurlent, ou qui buglent et fremissent, ou qui ont une hydeuse et triste mine à les voir, Amyot, De la tranq. d'âme, 40. Il faut qu'il [le philosophe] fremisse planté au bord d'un precipice, Montaigne, II, 20.

Version électronique créée par François Gannaz - http://www.littre.org - licence Creative Commons Attribution

Wiktionnaire


Verbe - français

frémir \f?e.mi?\ intransitif 2e groupe (voir la conjugaison)

  1. Faire entendre une succession de petits bruits, de tremblements.
    • Le vent frémit dans le feuillage. La mer frémit.
    • Tandis que le feuillage frémissait et que les joncs sifflaient. - Flaubert
  2. (Cuisine) En parlant d'un liquide, être presque en ébullition, et produire un son léger.
    • L'eau frémit dans la bouilloire.
  3. Faire entendre des vibrations.
    • Une cloche qui frémit.
  4. Être pris d'une sorte de tremblement causé par la surprise, la peur, le froid.
    • Un cheval qui frémit au bruit du canon.
    • Buckingham demeura une minute haletant. Pendant cette minute, on vit ses lèvres trembler, ses joues frémir, ses yeux vaciller, comme dans le délire. (Alexandre Dumas, Le Vicomte de Bragelonne, 1847, Michel Lévy frères, page 251)
  5. (Figuré) Être en proie à une vive agitation, sous l'effet de quelque sentiment, de quelque passion.
    • Ce n'est qu'en frémissant qu'il posait le pied dans un bateau, ce véhicule nautique fût-il assuré par une traille à roulettes. (Castil-Blaze, Étienne Nicolas Méhul, dans la Revue de Paris, 1834, vol.1, p.22)
    • J'ai frémi plus d'une fois en lisant dans un magazine féminin la version « métropolitaine » d'une recette créole. On croirait qu'il suffit de mêler lait de coco, tomates et piment pour obtenir un curry ! Il faut aussi du temps, beaucoup de temps. (Françoise Vergès, À vos mangues !, traduction de Dominique Malaquais, dans Politique africaine, 2005/4, n° 100, p. 321)
Wiktionnaire - licence Creative Commons attribution partage à l'identique 3.0

Trésor de la Langue Française informatisé


FRÉMIR, verbe intrans.

A.? [Le suj. désigne une chose]
1. Être agité d'un léger mouvement, généralement d'oscillation ou de vibration, qui produit un son faible, confus ou vibrant. La brise commençait de faire frémir les palmiers dans les jardins, leurs feuilles se froissaient avec un bruit d'acier (Tharaud, Fête arabe,1912, p. 63).On abandonnait tout d'un coup cette sonorité sourde du névé qui frémissait toujours un peu sous les pieds (Giono, Batailles ds mont.,1937, p. 290):
1. ... Canivet allait administrer de la thériaque, lorsqu'on entendit le claquement d'un fouet; toutes les vitres frémirent, et, une berline de poste qu'enlevaient à plein poitrail trois chevaux crottés jusqu'aux oreilles, débusqua d'un bond au coin des halles. Flaub., MmeBovary,t. 2, 1857, p. 175.
? Spécialement
a) [En parlant d'un liquide] Être agité d'un léger frissonnement à l'approche de l'ébullition. Le thé, le café (...) Frémissent dans les bouilloires (Rimbaud, Dern. vers,1872, p. 152).
b) [En parlant de la mer] Commencer à s'agiter. J'ai vu le ciel se couvrir, la mer frémir et gronder, l'orage naître dans un coin du ciel (Dumas père, Comte Monte-Cristo,t. 1, 1846, p. 166).
2. P. ext.
a) [L'accent est mis sur le mouvement et/ou l'impression visuelle] Être agité d'un léger mouvement d'oscillation ou de vibration. Dans le marronnier rose, c'est un laisser-aller bourdonnant (...). L'ombre et le soleil s'y mêlent, des taches bleues, des taches dorées, qui ne cessent de bouger, de frémir, comme frémissent les feuilles innombrables (Genevoix, Rroû, 1931, p. 35). ? ... Votre corps est comme de l'ambre; et je vois sur vos hanches frémir des reflets pareils à ceux de la soie (Giono, Poids du ciel,1938, p. 10):
2. ... comme c'est étrange, tout tremble. L'horizon tremble. Les voiles de l'estrade frémissent. Un frisson ? regardez ? court dans la peau de Cantaor. Mon Galgo ? regardez ? a un spasme qui ne s'arrête jamais, même quand il dort, dans le muscle de la cuisse postérieure droite : on croirait le clignotement éternel de la mer. Et à cette heure, vous le savez, les taureaux frissonnent du flanc contre les mouches. Montherl., Bestiaires,1926, p. 419.
? [Le suj. désigne une lumière] Scintiller faiblement, vaciller. [Les] flammes des cierges (...) frémissent et pâlissent autour du catafalque en plein jour (Barrès, Cahiers,t. 9, 1912, p. 418).
PARAD. Onduler, palpiter, plier, trembler, tressauter, vibrer et frémir.
b) [L'accent est mis sur la vibration sonore et/ou l'impression auditive]
? [Le suj. désigne le son, la source du son; gén. suivi d'un compl. de lieu] Retentir en produisant un son faible, confus ou d'une sonorité vibrante. Une cloche, une corde frémit. Les cymbales frémissent, le trombonne mugit (Gautier, Italia,1852, p. 8).Dans les arbres, dans les fleurs, frémissaient les mélodies (Châteaubriant, Lourdines,1911, p. 68).
? [Constr. avec un compl. prép. de désignant le son, la source du son; le suj. désigne un lieu] Retentir de. Ils partent [les bergers] : l'air frémit de sons mélodieux, L'hymne de la naissance est chanté par les cieux (Delille, Paradis perdu,1804, p. 343).
PARAD. Bruire, murmurer et frémir.
3. Littér. [Le suj. désigne une réalité non perceptible] S'animer, être animé d'une vie secrète. Le granit cherche à voir son maître, le rocher sent la statue en lui frémir et s'ébaucher (Hugo, Légende,t. 4, 1877, p. 497).Nous sentions frémir en nous des extases, des désirs, des aspirations étranges (Maupass., Contes et nouv.,t. 2, Modèle, 1883, p. 424).Une sensibilité obscure frémit dans ce que nous appelons les choses, et cette sensibilité ne diffère de la nôtre que par le degré (Bourget, Ét. angl.,1888p. 227).
B.? [Le suj. désigne un être animé, un ensemble d'êtres animés ou une partie du corps]
1. Frémir de qqc.
a) [Le compl. prép. de désigne une sensation ou un sentiment] Trembler de, éprouver vivement. Au bruit de tes ailes de flamme Je frémis d'une sainte horreur... (Lamart., Médit.,1820, p. 121).Il [le coureur de bronze] palpite, il frémit d'espérance et de fièvre, Son flanc halète... (Heredia, Trophées,1893, p. 52).« La mobilisation n'est pas la guerre... » ? « Vous entendez, Jacques », souffla Jenny, d'une voix qui frémissait d'espoir (Martin du G., Thib.,Été 14, 1936, p. 611):
3. À force de lui presser le bouton, de la persécuter d'horribles prières et d'extravagantes menaces, j'arrachais à ma toute chère des aveux qui me faisaient frémir de rage, de honte et de volupté : je me faisais initier aux affreux mystères de ses amours anciennes... Milosz, Amour. initiation,1910, p. 106.
SYNT. Frémir d'aise, d'angoisse, de désir, d'émotion, d'épouvante, d'impatience, d'indignation, de joie, de peur, de plaisir.
Rem. Le subst. introd. par de n'est pas précédé de l'art. ou est précédé de l'art. indéf. un/une et suivi d'un adj. Ce compl. ne peut être remplacé par un pronom.
b) [Le compl. prép. de (ou plus rarement à, devant ou sur (vieilli), infra rem.) est un subst. ou un inf. désignant un fait réel ou possible] Ressentir vivement (avec indignation, peur, plaisir, etc.). Tout l'auditoire a frémi de son intrépidité, et une rumeur sourde a couru parmi les pairs et dans les tribunes (M. de Guérin, Corresp.,1830, p. 37).Mais à peine avais-je parlé que je frémis de ma bêtise. (Erckm.-Chatr., Hist. paysan,t. 1, 1870, p. 461):
4. En rentrant, j'ai senti un grand besoin de manger d'un pâté de venaison et de boire du vin blanc; mes lèvres en frémissaient et mon gosier séchait. Oui, j'en étais malade. Flaub., Corresp.,1856, p. 114.
? [Avec un infinitif] Ressentir vivement le fait, la pensée de, que. Vous eussiez frémi de voir ces faces humaines, aux yeux caves et cernés qui semblaient ne rien voir (Balzac, Peau chagr.,1831, p. 190).Un instant suspendue entre le ciel et les abîmes, j'ai frémi d'être forcée de me retourner pour revenir sur mes pas (Sand, Lélia,1839, p. 491).
Rem. 1. Autres constr. prép. a) Frémir à. Il frémissait aux dénoûments nocturnes interrompus par la froide épée d'un mari (Balzac, op. cit., p. 20). Je frémis à songer que, plus tard, quelque Taine jugera notre société d'après les pièces de Bernstein et de Bataille (Gide, Journal, 1918, p. 658). b) Frémir devant. Je frémis devant le degré où je puis être impitoyable (Du Bos, Journal, 1927, p. 292). c) Frémir sur (vieilli). Je gagnai mon gîte à pas redoublés, frémissant sur le danger que je venais de courir (Las Cases, Mémor. Ste-Hélène, t. 1, 1823, p. 280). 2. Le compl. est gén. déf. et peut être pronominalisé.
c) [Constr. avec les 2 compl. prép. (supra)] Comment l'homme peut-il les manger impitoyablement ces charmants animaux qui le caressent jusqu'au moment où il leur plonge le couteau dans la gorge? de grands philosophes en ont frémi d'horreur (Dusaulx, Voy. Barège,t. 1, 1796, p. 163).J'en frémis de joie, de ton amour (Flaub., Corresp.,1846, p. 396).
2. [P. ell. des compl. prép.]
a) [Le suj. désigne une partie du corps] Être agité d'un léger tremblement (provoqué par une sensation ou un sentiment). (Quasi-)synon. palpiter.Les naseaux [du taureau] frémissaient, pleins d'une eau opaline comme les trous qu'on fait dans les plages (Montherl., Bestiaires,1926, p. 526).Ses yeux s'ouvrirent, démesurés. Sa bouche frémit. Et soudain elle poussa un grand cri (Roy, Bonheur occas.,1945, p. 459):
5. ... Jenny se mit à trembler. Elle regardait fixement le tapis. Les coins de sa bouche frémissaient imperceptiblement. Jacques retenait son souffle, en proie à un bouleversement que, une minute plus tôt, il n'eût pas cru possible. Ils relevèrent les yeux en même temps. Leurs regards se heurtèrent; une même stupeur, une même angoisse, dilataient leurs prunelles. Martin du G., Thib.,Été 14, 1936p. 168.
Rem. Frémir de + subst. désignant et qualifiant le frémissement. La baigneuse bougeait, le ventre avait frémi d'une onde légère (Zola, ?uvre, 1886, p. 244).
b) [Le suj. désigne un être animé; avec ou sans idée de tremblement physique] Ressentir vivement un trouble physique et/ou émotif. Pâlir et frémir; frémir de tout son corps, de tous ses membres. Quasi-synon. frissonner.Les derniers grondements des basses (...) firent frémir les auditeurs jusque dans leurs cheveux (Balzac, Langeais,1834, p. 203).Le cheval frémissait, hennissait, piétinait, s'impatientait, levait le pied... (Ponson du Terr., Rocambole,t. 5, 1859, p. 250).J'ai frémi pour vous en voyant la position dans laquelle vous vous êtes trouvé (Tocqueville, Corresp.[avec Gobineau], 1859, p. 299).
? Loc. (marquant le haut degré de l'indignation, la peur). C'est à faire frémir, [subst.] + à faire frémir. Une princesse Palatine, duchesse d'Orléans, nous écrivant de Versailles des crudités à faire frémir (Sainte-Beuve, Nouv. lundis,t. 2, 1862, p. 361).L'état de délabrement physique, et surtout moral, dans lequel a pu tomber ce pauvre petit, sans qu'il y paraisse à vos yeux, mais c'est à faire frémir! (Martin du G., Thib.,Pénitenc., 1922, p. 730).
Prononc. et Orth. : [f?emi:?], (il) frémit [f?emi]. Ds Ac. dep. 1694. Étymol. et Hist. Ca 1100 « s'agiter, vibrer, retentir (vent, arbres, armes) » (Roland, éd. J. Bédier, 3484); 1remoitié xiies. en parlant d'une pers. (Psautier de Cambridge, 34, 17 ds T.-L. : fremisseient encuntre mei ot lur denz [frendebant contra me deatibus suis]); ca 1160 id. « s'agiter convulsivement sous l'empire d'une émotion, de la peur » (Eneas, 1233, ibid.). Du lat. vulg. *fremi?re, class. freme?re « faire entendre un bruit sourd, retentir, murmurer, frémir ». Fréq. abs. littér. : 2 391. Fréq. rel. littér. : xixes. : a) 4 439, b) 3 484; xxes. : a) 3 682, b) 2 296. Bbg. Quem. DDL t. 2.

FRÉMIR, verbe intrans.
Étymol. et Hist. Ca 1100 « s'agiter, vibrer, retentir (vent, arbres, armes) » (Roland, éd. J. Bédier, 3484); 1remoitié xiies. en parlant d'une pers. (Psautier de Cambridge, 34, 17 ds T.-L. : fremisseient encuntre mei ot lur denz [frendebant contra me deatibus suis]); ca 1160 id. « s'agiter convulsivement sous l'empire d'une émotion, de la peur » (Eneas, 1233, ibid.). Du lat. vulg. *fremi?re, class. freme?re « faire entendre un bruit sourd, retentir, murmurer, frémir ».

Frémir au Scrabble


Le mot frémir vaut 10 points au Scrabble.

fremir

Informations sur le mot fremir - 6 lettres, 2 voyelles, 4 consonnes, 5 lettres uniques.

Quel nombre de points fait le mot frémir au Scrabble ?


Le calcul de points ne prend pas en compte lettre compte double, lettre compte triple, mot compte double et mot compte triple. Ces cases augmentent les valeurs des mots posés selon un coefficient indiqué par les règles du jeu de Scrabble.

SCRABBLE © est une marque déposée. Tous les droits de propriété intellectuelle du jeu sont détenus aux Etats-Unis et au Canada par Hasbro Inc. et dans le reste du monde par J.W. Spear & Sons Limited de Maidenhead, Berkshire, Angleterre, une filiale de Mattel Inc. Mattel et Spear ne sont pas affiliés à Hasbro.

fremir

Les mots proches de Frémir

FredaineFredonFredonné, éeFredonnerFrégateFreinFreinFreinteFrelampierFrelatationFrelatementFrelaterFrêleFrelonFrelonFrelucheFreluquetFrémirFrémissant, anteFrémissementFrênaieFrénateur, triceFrêneFrénésieFrénétiqueFréquemmentFréquenceFréquent, enteFréquentableFréquentationFréquenté, éeFréquenterFrèreFréronailleFrérotFresaieFresqueFressureFretFrété, éeFrêteFréterFrétillageFrétillant, anteFrétillard, ardeFrétillementFrétillerFrétillonFretinFrettefreakfreaksFréauvilleFrebécourtFrébuansFrêcheFréchèdeFréchencourtFréchendetsFréchetFréchet-AureFréchouFréchou-FréchetFrécourtfredainesfrédéricFrédéric-FontainefrédériqueFrédièreFrédillefredonnafredonnaientfredonnaisfredonnaitfredonnâmesfredonnantfredonnefredonnéfredonnéefredonnéesfredonnementfredonnentfredonnerfredonnerafredonneraifredonneraitfredonnerasfredonnèrentfredonnésfredonnezfredonnonsfree jazzfree-jazzfree-lancefree-lancefreelancefreesiafreesiasfreezerfrégate


Mots du jour


Bulletin     Époux, ouse     Texte     Décanter     Gavotte     Rencontreur     Prononcé, ée     Réérection     Commercialité     Console     

Les citations avec le mot Frémir


  1. Le Rêve est une seconde vie. Je n'ai pu percer sans frémir ces portes d'ivoire ou de corne qui nous séparent du monde invisible.

    Auteur : Gérard de Nerval - Source : Aurélia ou Le rêve et la vie (1855)


  2. Tu ne persuaderas jamais à mon coeur qu'il a tort de frémir; à mes entrailles qu'elles ont tort de s'émouvoir.

    Auteur : Denis Diderot - Source : Essais sur la peinture (1766)


  3. En Orient, la parole est faite pour chanter sur ses rêves et frémir à ses cauchemars, pas pour informer !

    Auteur : Tobie Nathan - Source : Ce pays qui te ressemble


  4. Quand la chanson disait Tu reverras Paname
    Ceux qu'un oeillet de sang allait fleurir tantôt
    Quelque part devant Saint-Mihiel ou Neufchâteau
    Entourant le chanteur comme des mains la flamme
    Sentaient frémir en eux la pointe du couteau


    Auteur : Louis Aragon - Source : Le Paysan de Paris chante


  5. Parfois en flânant dans la rue, il lui semblait reconnaître ... un collaborationniste à la lueur perverse d'un regard et il sentait à son poing frémir le glaive d'un archange.

    Auteur : Marcel Aymé - Source : Le Vin de Paris (1947)


  6. La lettre de M. de Grignan m'a fait frémir, moi, ma chère enfant, qui ne puis pas souffrir la vue ni l'imagination d'un précipice; quelle horreur de passer par-dessus, et d'être toujours à deux doigts de la mort affreuse!

    Auteur : Marie de Rabutin-Chantal, marquise de Sévigné - Source : Lettres (1646-1696), 9 mars 1689


  7. Guzman, du sang des miens ta main déjà rougie - Frémira moins qu'une autre à m'arracher la vie.

    Auteur : Voltaire - Source : Alzire, ou Les américains (1736), III, 5


  8. Ta bien-aimée, Hâfiz, sur ta tombe scellée - Peut-être passera comme passe le vent: - Tu frémiras alors dans ta prison étroite, - Et tu déchireras ton suaire en lambeaux.

    Auteur : Chams al-Din Muhammad Hafiz - Source : Odes


  9. Oui, la mer est tout. Je l'aime! Elle couvre les sept dixièmes du globe terrestre. Son souffle est pur et sain. C'est l'immense désert où l'homme n'est jamais seul, car il sent frémir la vie à ses côtés.

    Auteur : Jules Verne - Source : Vingt mille lieues sous les mers (1869), Capitaine Némo


  10. La sainteté me fait frémir: cette ingérence dans les malheurs d'autrui, cette barbarie de la charité, cette pitié sans scrupules...

    Auteur : Emil Cioran - Source : Syllogismes de l'amertume (1952), Religion


  11. En somme, le public est composé de groupes nombreux qui nous crient :
    — Consolez-moi. — Amusez-moi. — Attristez-moi. — Attendrissez-moi. — Faites-moi rêver. — Faites-moi rire. — Faites-moi frémir. — Faites-moi pleurer. — Faites-moi penser.


    Auteur : Guy de Maupassant - Source : Préface de Pierre et Jean, La Guillette, Etretat, septembre 1887


  12. Qui peut, sans frémir, - Juger sur la terre?

    Auteur : Paul Verlaine - Source : Sagesse (1874), III, 2


  13. Tant que l'amour inondera mes matins - Tant que mon corps frémira sous tes mains - Peu m'importent les problèmes - Mon amour, puisque tu m'aimes.

    Auteur : Édith Piaf - Source : L'Hymne à l'amour


  14. On crache sur un petit filou, mais on ne peut refuser une sorte de considération à un grand criminel: son courage vous étonne, son atrocité vous fait frémir.

    Auteur : Denis Diderot - Source : Le Neveu de Rameau (1762)


  15. La sainteté me fait frémir, cette ingérence dans les malheurs d'autrui, cette barbarie de la charité, cette pitié sans scrupules.

    Auteur : Emil Cioran - Source : Syllogismes de l'amertume (1952)


  16. Jamais les deux amants ne s'entendirent mieux qu'en ce moment; et plus d'une fois ils sentirent le bout de leurs doigts frémir et trembler lorsque les lois de la contredanse les mariaient.

    Auteur : Honoré de Balzac - Source : Le Bal de Sceaux (1830)


  17. Vous les voyez, Monsieur ? Tous les onze, de gauche à droite : Billaud, Carnot, Prieur, Prieur, Couthon, Robespierre, Collot, Barère, Lindet, Saint-Just, Saint-André. Invariables et droits. Les commissaires. Le grand comité de la grande Terreur. Quatre mètres virgule trente sur trois, un peu moins de trois. Le tableau de ventôse. Le tableau si improbable, qui avait tout pour ne pas être, qui aurait si bien pu, dû ne pas être, que planté devant on se prend à frémir qu'il n'eût pas été, on mesure la chance extraordinaire de l'Histoire et celle de Corentin. On frémit comme si on était soi-même dans la poche de la chance. Le tableau – peint de la main de la Providence, ainsi qu'on aurait dit cent ans plus tôt, ainsi que Robespierre le disait encore chez la mère Duplay comme s'il eût été dans Port-Royal.

    Auteur : Pierre Michon - Source : Les Onze (2009)


  18. Puisse une société basée uniquement sur le pouvoir de l’argent frémir en apercevant l’impuissance de la justice sur les combinaisons d’un système qui déifie le succès en en graciant tous les moyens !

    Auteur : Honoré de Balzac - Source : La Rabouilleuse (1842)


  19. Les choses terribles et sanglantes sont parfois les plus belles. C’est une idée très grecque, et très profonde. La beauté c’est la terreur. Ce que nous appelons beau nous fait frémir. Et que pouvait-il y avoir de plus terrifiant et de plus beau, pour des âmes comme celles des Grecs ou les nôtres, que de perdre tout contrôle ? Rejeter un instant les chaînes de l’existence, briser l’accident de notre être mortel ?

    Auteur : Donna Tartt - Source : Le Maître des illusions (1991)


  20. D'abord ils se sont dressés et battus avec acharnement qui me faisait frémir pour ces messieurs, mais vraiment admirable por la peinture. J'ai vu là, j'en suis certain, tout ce que Gros et Rubens ont pu imaginer de fantastique et de plus léger.

    Auteur : Eugène Delacroix - Source : Journal, 1832


  21. Ah! je t'en conjure, garde-toi de frémir à la vue des épreuves que nous envoient les dieux comme pour aiguillonner nos âmes. L'adversité est l'occasion de la vertu.

    Auteur : Sénèque - Source : De la providence


  22. Envolez-vous, mes tourterelles
    Partez, voyagez au long cours!
    Puisque ni nos yeux, ni nos discours
    Ne vous font plus frémir d'amour
    Envolez-vous, mes toutes belles
    Bon voyage et belles amours!


    Auteur : Jacques Demy - Source : Les Demoiselles de Rochefort (1967)


  23. Un frisson de vent, rien qu'un frisson, caresse la mer, fait à peine frémir, en la chatouillant, sa peau bleue et moirée.

    Auteur : Guy de Maupassant - Source : La Vie errante (1890)


  24. Puisse une société basée uniquement sur le pouvoir de l'argent frémir en apercevant l'impuissance de la justice sur les combinaisons d'un système qui déifie le succès en en graciant tous les moyens !

    Auteur : Honoré de Balzac - Source : La Rabouilleuse (1842)


  25. Mais l'homme indifférent au rêve des aïeux - Ecoute sans frémir au fond des nuits sereines - La mer qui se lamente en pleurant les sirènes.

    Auteur : José Maria de Heredia - Source : Les Trophées (1893)


Les citations du Littré sur Frémir


  1. Qui donc vit fremir gens et appeler l'un l'autre, et querir piece de terre pour mieux loger.... voir pust grand triboulement

    Auteur : Jean Froissard - Source : I, I, 162


  2. Il est vrai que ces deux bouts de la terre où nous sommes plantées est une chose qui fait frémir

    Auteur : Madame de Sévigné - Source : 17 mars 1680


  3. ....trop au-dessus d'eux, je leur puis pardonner De frémir sous le joug que je veux leur donner

    Auteur : Voltaire - Source : M. de Cés. I, 4


  4. Au jour que tu viendras en ta majesté sainte Pour juger ce grand tout, qui fremira de crainte....

    Auteur : DESPORTES - Source : Oeuv. chrestiennes, Paraphrase du Libera me.


  5. Son aspect, ses accents Ont fait trembler mon bras, ont fait frémir mes sens

    Auteur : Voltaire - Source : Oreste, IV, 5


  6. Même l'on dit que l'ouvrier [le statuaire] Eut à peine achevé l'image, Qu'on le vit frémir le premier Et redouter son propre ouvrage

    Auteur : Jean de La Fontaine - Source : Fabl. IX, 6


  7. La mort le faict fremir, pallir, Le col enfler, la chair mollir, Joinctes et nerfs croistre et estendre

    Auteur : VILLON - Source : Grand Testam.


  8. Nature ayant voulu se reserver ces legieres marques de son autorité [frémir à la vue d'un précipice], inexpugnables à notre raison et à la vertu stoïque, pour luy apprendre sa mortalité et nostre fadeze

    Auteur : MONT. - Source : II, 20


  9. La légèreté française danse sur le tombeau des malheureux ; pour moi, je n'ai jamais mis ma légèreté à oublier ce qui fait frémir la nature

    Auteur : Voltaire - Source : Lett. Mme du Deffant, 1er juin 1771


  10. Je ne puis, sans frémir, parler des auteurs d'un si exécrable attentat

    Auteur : VAUGEL. - Source : Q. C. liv. VI, dans RICHELET


  11. Nous fait frémir le coeur, nous tire de nous-mêmes

    Auteur : RÉGNIER - Source : Sat. XVI


  12. Ces oiseaux de carnage frappent tous les autres oiseaux d'une frayeur si vive qu'on les voit frémir à leur aspect

    Auteur : BUFF. - Source : Ois. t. XI, p. 109, dans POUGENS


  13. Et la seule pensée en fait frémir d'horreur

    Auteur : Corneille - Source : Cinna, IV, 6


  14. La douleur qui fait frémir ses bourreaux ne fait que la [la vertu] chatouiller

    Auteur : BALZ. - Source : le Prince, ch. XI


  15. Comme les trombes qui sont complètes descendent depuis le nuage jusqu'à la surface de la mer, l'eau frémira, bouillonnera, tourbillonnera à l'endroit vers lequel le bout de la trombe sera dirigé

    Auteur : BUFF. - Source : Add. et corr. th. terr. Oeuv. t. XIII, p. 40


  16. Ce tribun [Ateius], s'étant inutilement opposé au départ de Crassus, courut à la porte de la ville par où il devait sortir, mit à terre un brasier plein de feu, et, dès que Crassus fut arrivé vis-à-vis, il jeta dans ce brasier des parfums, y versa des libations, et prononça dessus des imprécations terribles qu'on ne put entendre sans frémir d'horreur

    Auteur : ROLLIN - Source : Hist. anc. Oeuvres, t. IX, p. 487, dans POUGENS


  17. J'aime à vous voir frémir à ce funeste nom

    Auteur : Jean Racine - Source : Phèd. I, 3


  18. J'entends déjà frémir les deux mers étonnées De voir leurs flots unis au pied des Pyrénées

    Auteur : BOILEAU - Source : Ép. I


  19. Ah ! combien frémira son ombre épouvantée !

    Auteur : Jean Racine - Source : ib. IV, 6


  20. Quand la discorde encor toute noire de crimes.... Avec cet air affreux qui fait frémir la Paix

    Auteur : BOILEAU - Source : Lutr. I


  21. Guzman, du sang des miens ta main déjà rougie Frémira moins qu'une autre à m'arracher la vie

    Auteur : Voltaire - Source : Alz. III, 5


  22. Cet aspect la fit frémir ; je vis ses traits s'altérer, ses regards s'en détourner avec une espèce d'horreur, et ses bras en contraction se roidir pour le repousser

    Auteur : Jean-Jacques Rousseau - Source : Hél. VI, 11


  23. Sur ses pas au barreau la troupe s'achemine, Et bientôt, dans le temple, entend, non sans frémir, De l'antre redouté les soupiraux gémir

    Auteur : BOILEAU - Source : Lutr. v.


  24. Son nom seul fait frémir nos veuves et nos filles

    Auteur : Jean Racine - Source : Andr. I, 2


  25. Même l'on dit que l'ouvrier Eut à peine achevé l'image Qu'on le vit frémir le premier Et redouter son propre ouvrage

    Auteur : Jean de La Fontaine - Source : ib. IX. 6




Les mots débutant par Fre  Les mots débutant par Fr

Une suggestion ou précision pour la définition de Frémir ? -


Mise à jour le mercredi 24 septembre 2025 à 14h02










.$char.
 -  Facilite  -  Faible  -  Faiblesse  -  Faim  -  Faire  -  Fait  -  Famille  -  Fanatique  -  Fatalite  -  Fatigue  -  Faute  -  Faveur  -  Felicitations  -  Femme  -  Femme_homme  -  Ferocite  -  Fete  -  Fête des mamans  -  Fête des papas  -  Fête des mères  -  Fête des pères  -  Fidele  -  Fidèle  -  Fidelite  -  Fidélité  -  Fierte  -  Fille  -  Fils  -  Finalite  -  Finance  -  Flamme  -  Flatter  -  Flatterie  -  Fleur  -  Foi  -  Folie  -  Fonctionnaire  -  Foot  -  Football  -  Force  -  Fortune  -  Fou  -  Foule  -  Français  -  Française  -  France  -  Franchise  -  Fraternite  -  Frustation  -  Fuir  -  Futur

Liste des mots et définitions commençant par


Etendez votre recherche :   Citation sur frémirPoèmes frémirProverbes frémir

La définition du mot Frémir est issue du Dictionnaire français - La définition et la signification du mot Frémir sont données à titre indicatif. Les réponses à votre question sur la signification Frémir présentées sur ce site peuvent être complétées par vos commentaires.