Définition de « t »


Notre dictionnaire de français vous présente les définitions du mot t de manière claire et concise, avec des exemples pertinents pour aider à comprendre le sens du mot.

Il comprend des informations supplémentaires telles que des exemples d'expressions, l'étymologie, les synonymes, les homonymes, les antonymes mais également les rimes et anagrammes et bien sûr des citations littéraires sur t pour aider à enrichir la compréhension du mot T et répondre à la question quelle est la définition de t ?

NOM genre (m) de 1 syllabes
Une définition simple : (lettre|t|T|te) t (m) (inv)

  • Vingtième lettre et seizième consonne de l’alphabet (minuscule).

  • Lettre euphonique utilisée lorsque le temps d’un verbe terminé par une voyelle est immédiatement suivi des pronoms « il, elle, on », et lorsque l’adverbe « voilà » est immédiatement suivi du pronom « il », on intercale un « t ». - Dira-t-on ; joue-t-elle ; fera-t-il ; va-t-il ; aime-t-il ? - Ainsi, n’ayant au cœur nul dessein pour Clitandre, Que vous importe-t-il qu’on y puisse prétendre ? - (Molière, Les Femmes savantes) - Voilà-t-il pas monsieur qui ricane déjà ! - (Molière)


    Définitions de « t »


    Trésor de la Langue Française informatisé


    T, t, lettre

    La vingtième lettre de l'alphabet; un exemplaire de cette lettre.
    A. ? [La lettre en tant que telle]
    1. [L'attention porte sur le caractère; la barre, trait saillant du graphisme du caractère] Presque toutes les phrases semblaient soulignées, simplement parce que la barre des t étant tracée non au travers d'eux, mais au-dessus, mettait un trait sous le mot correspondant de la ligne supérieure (Proust, J. filles en fleurs,1918, p. 499).
    ? P. anal. (de forme). Objet dont la forme évoque un T (s'écrit aussi té, v. 1). [La réunion des deux divisions pulmonaires] à ce tronc représente une espèce de T (M.-F.-R. Buisson, Traité d'Anat. descriptive,t. 4, 1919, p. 62).Raidisseurs en double T (Romanovsky, Mer, source én., 1950, p. 51). Fers en T (Romanovsky, Mer, source én., 1950 p. 118).
    ? En partic. [Empr. à l'angl.; se prononcent [ti-], s'écrivent aussi tee-] T-bone. Os de la forme d'un T. Il existe maintenant, à Paris, une dizaine d'endroits où goûter (...) le T-bone steak (côte de b?uf dont l'os découpé spécialement a la forme d'un T, autour duquel on trouve un morceau de filet, une entrecôte, etc.) (L'Express,17 mai 1976, p. 48, col. 2).T-shirt*.
    2. [L'attention porte sur la valeur phonét.]
    ? [Sur l'articulation plus ou moins énergique] C'est quelqu'un de très mal, me dit Mmede Villeparisis avec l'accent vertueux des Guermantes même les plus dépravés. De très, très mal, reprit-elle en mettant trois t à très (Proust, Guermantes 2,1921, p. 218).
    Rem. L'énergie de l'articulation est représentée par la répét.; le procédé recoupe la représentation du bégaiement: Je sens la lettre et, d'y penser, j'en bégaye parfois. Et...t...t...torrida semper ab igni (Duhamel, Jard. bêtes sauv., 1934, p. 96).
    ? [Sur la coloration palatale d'articulations vélaires représentée par la substitution d'un t] Le t pour le c dur se trouve en latin: quinque, quintus, ce qui correspond à la déformation française [dans cintième, chartutier, pour cinquième, charcutier] (Gourmont, Esthét. lang. fr.,1899, p. 141).Vidame lui cria, la voix sifflante: ? Pas comme Boubouroche, quand même! C'est un roi, Hellouin! Un roi balourd, un roi malgré tout. Et puis, mon vieux, fais quand même un effort pour ne pas prononcer les C durs comme des T. Tu dis: tarattère. C'est navrant (Duhamel, Suzanne,1941, p. 14).
    ? [La momentanée t connote un caractère abrupt par rapport à la continue ch et à la voy. i, toutes articulations ant.] Sa façon de dire les terminaisons en i faisait croire à quelque chant d'oiseau; le ch prononcé par elle était comme une caresse, et la manière dont elle attaquait les t accusait le despotisme du c?ur. Elle étendait ainsi, sans le savoir, le sens des mots, et vous entraînait l'âme dans un monde surhumain (Balzac, Lys,1836, p. 40).
    3. [L'attention porte sur le caractère et la valeur phonét. du caractère, indistinctement, ou séparément]
    ? [Dans une liaison] :
    ... les parents de Gilberte, si l'un d'eux se trouvait passer au moment de mon arrivée, loin d'avoir l'air irrité, me serraient la main en souriant et me disaient: ? Comment allez-vous? (qu'ils prononçaient tous deux « commen allez-vous » sans faire la liaison du t, liaison qu'on pense bien qu'une fois rentré à la maison je me faisais un incessant et voluptueux exercice de supprimer). Proust, J. filles en fleurs, 1918, p. 504.
    Rem. 1. P. Delattre, Studies in French and Comparative Phonetics, 1966 et P. Encrevé, La Liaison avec et sans enchaînement, 1988: liaison des adv. interr. avec le mot suivant proscrite, sauf le groupe figé comment allez-vous. Dans comment avez-vous fait, non liaison de comment avec le mot suivant. 2. Cas remarquable de liaison en t, la liaison du -t de 3epers.: vient-il, prend-il, viennent-ils, et va-t-il, voire Malbrough s'en va-t-en guerre,t ne fait pas (ou plus) partie de la forme verbale ou, dans Malbrough s'en va-t-en guerre, n'est pas standard. Cas extrême, l'ext. aux autres pers., dans une lang. non standard, d'un amalgame t + pron. il réduit à i: Vous entrez-t'y, Docteur? (Céline, Voyage, 1932, p. 376).
    ? [Addition ou soustraction d'un t] C'est ainsi que se sont formés, par l'adjonction d'un t ou d'un d, nombre de mots qui, dans l'original latin, n'ont aucune dentale (...): « Le peuple, toujours fidèle à l'instinct, continue cette transformation euphonique et dit castrole pour casserole. » (Gourmont, Esthét. lang. fr.,1899, p. 143).[À propos d'*iniation, pour initiation] C'est tout simplement la règle de la chute du t médial; avec encore un effort, on aurait un mot pareil à tant de vieux mots français (Gourmont, Esthét. lang. fr.,1899, p. 166).
    ? [T muet] Le t [d'accent] est une lettre sans valeur aucune, un simple signe d'étymologie (Destutt de Tr., Idéol. 2,1803, p. 363).Bien qu'il ne soit pas illettré, son orthographe est aussi capricieuse que son langage, ce qui le maintient dans les emplois subalternes. Il ne sait même pas au juste si son nom se termine par un d ou par un t (Duhamel, Journal Salav.,1927, p. 31).
    B. ? [La lettre désigne un référent autre qu'elle-même, directement, ou dans une abrév. d'un signe lex. corresp.]
    1. [Avec une réf. lex.]
    a) [Abrév. d'une lettre; à l'oral, le signe lex. corresp. est prononcé en entier]
    ? t. Tome. Hegel a fort bien expliqué ceci. (Cours d'esthétique, t. II, p. 108, trad. Bénard) (Renan, Avenir sc.,1890, p. 496).Je lis dans Rutherford (t. II, p. 113) un passage sur le diable et l'enfer qui vient admirablement en aide à ma pensée (Gide, Journal,1916, p. 531).
    ? t. Tonne. Une poêle produit ainsi environ 5 t de sel par vingt-quatre heures (Stocker, Sel,1949, p. 57).Un tonnage de 557 249 t (Wolkowitsch, Élev.,1966, p. 208).
    b) [Abrév. de plus d'une lettre et sigles constitués par les init. de mots, de morph., voire de syll. consécutives; à l'oral, épellation ou prononc. syllabique]
    ? TA. [Abrév. reconnue par l'Union internat. de la presse méd.] En cardiologie, tension artérielle (d'apr. J. P. Poinsotte, Dict. des signes méd., 1981).
    ? TAL. Traitement automatique des langues. (Ds Dict. de sigles, domaines écon. et soc., Paris, La Maison du dict., 1992).
    ? TBC. [Abrév. reconnue par l'Union internat. de la presse méd.] Tuberculose (d'apr. J.-P. Poinsotte, Dict. des signes méd., 1981).
    ? TD. Travaux dirigés. V. pointé ex. de Libération.
    ? TEC*.
    ? TEE. Trans european express. (Ds Dict. de sigles, domaines écon. et soc., Paris, La Maison du dict., 1992).
    ? TEM. [Abrév. reconnue par l'Union internat. de la presse méd.] Triéthylène-mélamine (d'apr. J. P. Poinsotte, Dict. des signes méd., 1981).
    ? TEP. Tonne d'équivalent pétrole. On va (...) faire pousser dans nos champs des T.E.P. (Le Nouvel Observateur, 21 janv. 1981, p. 47, col. 2).
    ? TGV. Train à grande vitesse. V. train II A 2.
    ? TIR. Transit international routier; Transports internationaux routiers. (Ds Dict. de sigles, domaines écon. et soc., Paris, La Maison du dict., 1992).
    ? TNP. Théâtre national populaire (Ds Dict. de sigles, domaines écon. et soc., Paris, La Maison du dict., 1992).
    ? TNT. Trinitrotoluène ((Ds Dict. de sigles, domaines écon. et soc., Paris, La Maison du dict., 1992).
    ? TP. Travaux pratiques (Ds Dict. de sigles, domaines écon. et soc., Paris, La Maison du dict., 1992).
    ? TP. Travaux publics (Ds Dict. de sigles, domaines écon. et soc., Paris, La Maison du dict., 1992).
    ? TPG. Trésorier payeur général (Ds Dict. de sigles, domaines écon. et soc., Paris, La Maison du dict., 1992).
    ? TSF*.
    ? TTC. Toutes taxes comprises. Très beau, parfaitement maniable et pas trop cher (3 700 francs, T.T.C.) (Le Nouvel Observateur, 22 août 1981, p. 53, col. 3).
    ? TUP. Titre universel de paiement. (Ds Dict. de sigles, domaines écon. et soc., Paris, La Maison du dict., 1992).
    ? TV ou tévé (rem. s.v. télé). [Respectivement init. des constituants primaires de télévision, et transpos. orth. du n. phon. de ces init.; prob. empr. ou calque de l'angl.; l'équivalent ordinaire télé résulte de la troncation (apocope) de télévision]
    ? TVA*.
    2. [Par attribution arbitraire de la lettre; oralement, épellation] La position de Jupiter à l'instant t (H. Poincaré, Valeur sc.,1905, p. 52).Son horloge [de la station] marque l'heure t (H. Poincaré, Valeur sc.,1905p. 187).
    ? [Avec une motivation interne] Temps t.
    Prononc. et Orth.: [te]. Ac. dep. 1694. Ac. 1835, 1878: ,,On la nomme Té, suivant l'appellation ancienne et usuelle; et Te, suivant la méthode moderne``, c.-à-d. à qqc. près, par la valeur. Fait partie des noms de lettre en [-e]: b, c, d, etc. auxquels on prête le genre masc. Les ex. supra notent les rapports du phonème avec ses voisins: d, son équivalent sonore, et c dur, c.-à-d. [k], qui le suit dans l'articulation palatale et avec lequel il est confondu dans des prononc. pop. Dans cintième, chartutier, parattère, v. Gourmont et Duhamel supra A 2, t représente l'articulation palatale, qui est bien une forme de [k] tirant sur [t]. Autres rapports de t, avec c doux, c'est-à-dire [s], qui résulte d'une palatalisation historique (p. ex. dans initiation, v. Gourmont supra), et avec lui-même, dans le renforcement (trois t, v. Proust supra). Fréq. abs. littér.: 39 082. Fréq. rel. littér.: xixes.: a) 54 747, b) 57 308; xxes.: a) 51 815, b) 57 629. Bbg. Quem. DDL t. 21.


    T, t, lettre

    La vingtième lettre de l'alphabet; un exemplaire de cette lettre.
    A. ? [La lettre en tant que telle]
    1. [L'attention porte sur le caractère; la barre, trait saillant du graphisme du caractère] Presque toutes les phrases semblaient soulignées, simplement parce que la barre des t étant tracée non au travers d'eux, mais au-dessus, mettait un trait sous le mot correspondant de la ligne supérieure (Proust, J. filles en fleurs,1918, p. 499).
    ? P. anal. (de forme). Objet dont la forme évoque un T (s'écrit aussi té, v. 1). [La réunion des deux divisions pulmonaires] à ce tronc représente une espèce de T (M.-F.-R. Buisson, Traité d'Anat. descriptive,t. 4, 1919, p. 62).Raidisseurs en double T (Romanovsky, Mer, source én., 1950, p. 51). Fers en T (Romanovsky, Mer, source én., 1950 p. 118).
    ? En partic. [Empr. à l'angl.; se prononcent [ti-], s'écrivent aussi tee-] T-bone. Os de la forme d'un T. Il existe maintenant, à Paris, une dizaine d'endroits où goûter (...) le T-bone steak (côte de b?uf dont l'os découpé spécialement a la forme d'un T, autour duquel on trouve un morceau de filet, une entrecôte, etc.) (L'Express,17 mai 1976, p. 48, col. 2).T-shirt*.
    2. [L'attention porte sur la valeur phonét.]
    ? [Sur l'articulation plus ou moins énergique] C'est quelqu'un de très mal, me dit Mmede Villeparisis avec l'accent vertueux des Guermantes même les plus dépravés. De très, très mal, reprit-elle en mettant trois t à très (Proust, Guermantes 2,1921, p. 218).
    Rem. L'énergie de l'articulation est représentée par la répét.; le procédé recoupe la représentation du bégaiement: Je sens la lettre et, d'y penser, j'en bégaye parfois. Et...t...t...torrida semper ab igni (Duhamel, Jard. bêtes sauv., 1934, p. 96).
    ? [Sur la coloration palatale d'articulations vélaires représentée par la substitution d'un t] Le t pour le c dur se trouve en latin: quinque, quintus, ce qui correspond à la déformation française [dans cintième, chartutier, pour cinquième, charcutier] (Gourmont, Esthét. lang. fr.,1899, p. 141).Vidame lui cria, la voix sifflante: ? Pas comme Boubouroche, quand même! C'est un roi, Hellouin! Un roi balourd, un roi malgré tout. Et puis, mon vieux, fais quand même un effort pour ne pas prononcer les C durs comme des T. Tu dis: tarattère. C'est navrant (Duhamel, Suzanne,1941, p. 14).
    ? [La momentanée t connote un caractère abrupt par rapport à la continue ch et à la voy. i, toutes articulations ant.] Sa façon de dire les terminaisons en i faisait croire à quelque chant d'oiseau; le ch prononcé par elle était comme une caresse, et la manière dont elle attaquait les t accusait le despotisme du c?ur. Elle étendait ainsi, sans le savoir, le sens des mots, et vous entraînait l'âme dans un monde surhumain (Balzac, Lys,1836, p. 40).
    3. [L'attention porte sur le caractère et la valeur phonét. du caractère, indistinctement, ou séparément]
    ? [Dans une liaison] :
    ... les parents de Gilberte, si l'un d'eux se trouvait passer au moment de mon arrivée, loin d'avoir l'air irrité, me serraient la main en souriant et me disaient: ? Comment allez-vous? (qu'ils prononçaient tous deux « commen allez-vous » sans faire la liaison du t, liaison qu'on pense bien qu'une fois rentré à la maison je me faisais un incessant et voluptueux exercice de supprimer). Proust, J. filles en fleurs, 1918, p. 504.
    Rem. 1. P. Delattre, Studies in French and Comparative Phonetics, 1966 et P. Encrevé, La Liaison avec et sans enchaînement, 1988: liaison des adv. interr. avec le mot suivant proscrite, sauf le groupe figé comment allez-vous. Dans comment avez-vous fait, non liaison de comment avec le mot suivant. 2. Cas remarquable de liaison en t, la liaison du -t de 3epers.: vient-il, prend-il, viennent-ils, et va-t-il, voire Malbrough s'en va-t-en guerre,t ne fait pas (ou plus) partie de la forme verbale ou, dans Malbrough s'en va-t-en guerre, n'est pas standard. Cas extrême, l'ext. aux autres pers., dans une lang. non standard, d'un amalgame t + pron. il réduit à i: Vous entrez-t'y, Docteur? (Céline, Voyage, 1932, p. 376).
    ? [Addition ou soustraction d'un t] C'est ainsi que se sont formés, par l'adjonction d'un t ou d'un d, nombre de mots qui, dans l'original latin, n'ont aucune dentale (...): « Le peuple, toujours fidèle à l'instinct, continue cette transformation euphonique et dit castrole pour casserole. » (Gourmont, Esthét. lang. fr.,1899, p. 143).[À propos d'*iniation, pour initiation] C'est tout simplement la règle de la chute du t médial; avec encore un effort, on aurait un mot pareil à tant de vieux mots français (Gourmont, Esthét. lang. fr.,1899, p. 166).
    ? [T muet] Le t [d'accent] est une lettre sans valeur aucune, un simple signe d'étymologie (Destutt de Tr., Idéol. 2,1803, p. 363).Bien qu'il ne soit pas illettré, son orthographe est aussi capricieuse que son langage, ce qui le maintient dans les emplois subalternes. Il ne sait même pas au juste si son nom se termine par un d ou par un t (Duhamel, Journal Salav.,1927, p. 31).
    B. ? [La lettre désigne un référent autre qu'elle-même, directement, ou dans une abrév. d'un signe lex. corresp.]
    1. [Avec une réf. lex.]
    a) [Abrév. d'une lettre; à l'oral, le signe lex. corresp. est prononcé en entier]
    ? t. Tome. Hegel a fort bien expliqué ceci. (Cours d'esthétique, t. II, p. 108, trad. Bénard) (Renan, Avenir sc.,1890, p. 496).Je lis dans Rutherford (t. II, p. 113) un passage sur le diable et l'enfer qui vient admirablement en aide à ma pensée (Gide, Journal,1916, p. 531).
    ? t. Tonne. Une poêle produit ainsi environ 5 t de sel par vingt-quatre heures (Stocker, Sel,1949, p. 57).Un tonnage de 557 249 t (Wolkowitsch, Élev.,1966, p. 208).
    b) [Abrév. de plus d'une lettre et sigles constitués par les init. de mots, de morph., voire de syll. consécutives; à l'oral, épellation ou prononc. syllabique]
    ? TA. [Abrév. reconnue par l'Union internat. de la presse méd.] En cardiologie, tension artérielle (d'apr. J. P. Poinsotte, Dict. des signes méd., 1981).
    ? TAL. Traitement automatique des langues. (Ds Dict. de sigles, domaines écon. et soc., Paris, La Maison du dict., 1992).
    ? TBC. [Abrév. reconnue par l'Union internat. de la presse méd.] Tuberculose (d'apr. J.-P. Poinsotte, Dict. des signes méd., 1981).
    ? TD. Travaux dirigés. V. pointé ex. de Libération.
    ? TEC*.
    ? TEE. Trans european express. (Ds Dict. de sigles, domaines écon. et soc., Paris, La Maison du dict., 1992).
    ? TEM. [Abrév. reconnue par l'Union internat. de la presse méd.] Triéthylène-mélamine (d'apr. J. P. Poinsotte, Dict. des signes méd., 1981).
    ? TEP. Tonne d'équivalent pétrole. On va (...) faire pousser dans nos champs des T.E.P. (Le Nouvel Observateur, 21 janv. 1981, p. 47, col. 2).
    ? TGV. Train à grande vitesse. V. train II A 2.
    ? TIR. Transit international routier; Transports internationaux routiers. (Ds Dict. de sigles, domaines écon. et soc., Paris, La Maison du dict., 1992).
    ? TNP. Théâtre national populaire (Ds Dict. de sigles, domaines écon. et soc., Paris, La Maison du dict., 1992).
    ? TNT. Trinitrotoluène ((Ds Dict. de sigles, domaines écon. et soc., Paris, La Maison du dict., 1992).
    ? TP. Travaux pratiques (Ds Dict. de sigles, domaines écon. et soc., Paris, La Maison du dict., 1992).
    ? TP. Travaux publics (Ds Dict. de sigles, domaines écon. et soc., Paris, La Maison du dict., 1992).
    ? TPG. Trésorier payeur général (Ds Dict. de sigles, domaines écon. et soc., Paris, La Maison du dict., 1992).
    ? TSF*.
    ? TTC. Toutes taxes comprises. Très beau, parfaitement maniable et pas trop cher (3 700 francs, T.T.C.) (Le Nouvel Observateur, 22 août 1981, p. 53, col. 3).
    ? TUP. Titre universel de paiement. (Ds Dict. de sigles, domaines écon. et soc., Paris, La Maison du dict., 1992).
    ? TV ou tévé (rem. s.v. télé). [Respectivement init. des constituants primaires de télévision, et transpos. orth. du n. phon. de ces init.; prob. empr. ou calque de l'angl.; l'équivalent ordinaire télé résulte de la troncation (apocope) de télévision]
    ? TVA*.
    2. [Par attribution arbitraire de la lettre; oralement, épellation] La position de Jupiter à l'instant t (H. Poincaré, Valeur sc.,1905, p. 52).Son horloge [de la station] marque l'heure t (H. Poincaré, Valeur sc.,1905p. 187).
    ? [Avec une motivation interne] Temps t.
    Prononc. et Orth.: [te]. Ac. dep. 1694. Ac. 1835, 1878: ,,On la nomme Té, suivant l'appellation ancienne et usuelle; et Te, suivant la méthode moderne``, c.-à-d. à qqc. près, par la valeur. Fait partie des noms de lettre en [-e]: b, c, d, etc. auxquels on prête le genre masc. Les ex. supra notent les rapports du phonème avec ses voisins: d, son équivalent sonore, et c dur, c.-à-d. [k], qui le suit dans l'articulation palatale et avec lequel il est confondu dans des prononc. pop. Dans cintième, chartutier, parattère, v. Gourmont et Duhamel supra A 2, t représente l'articulation palatale, qui est bien une forme de [k] tirant sur [t]. Autres rapports de t, avec c doux, c'est-à-dire [s], qui résulte d'une palatalisation historique (p. ex. dans initiation, v. Gourmont supra), et avec lui-même, dans le renforcement (trois t, v. Proust supra). Fréq. abs. littér.: 39 082. Fréq. rel. littér.: xixes.: a) 54 747, b) 57 308; xxes.: a) 51 815, b) 57 629. Bbg. Quem. DDL t. 21.


    Wiktionnaire


    Locution-phrase - français

    t

    1. (Argot Internet) (Langage SMS) T'es, tu es.
    Wiktionnaire - licence Creative Commons attribution partage à l'identique 3.0

    Dictionnaire de l'Académie française, huitième édition

    T. n. m.
    La vingtième lettre de l'alphabet. Elle représente une des consonnes. Elle se prononce Té. Un petit t. Un T majuscule. Devant un i suivi d'une autre voyelle, il se prononce souvent comme un c. Action. Ambitionner. Captieux. Patience. Rétiaire. À la fin des mots, il ne se prononce ordinairement que lorsqu'il est suivi d'un mot commençant par une voyelle ou par une h muette. Cependant on le fait sentir, même devant une consonne, dans un certain nombre de mots, pour la plupart d'origine savante, comme Accessit, Brut, Chut, Contact, Correct, Dot, Déficit, Granit, Indult, Lest, Net, Rapt, Subit, Transit, Vivat. Il s'ajoute à un verbe terminé par une voyelle lorsque celui-ci, dans la forme interrogative, est suivi des pronoms Il, Elle, On. Où va-t-il? Joue-t-elle? Qu'en dira-t-on? Th se prononce comme un T ordinaire. Éther. Théâtre. Athlète. Il se fait ordinairement sentir à la fin des mots. Bismuth. Luth. Zénith.

    Littré

    T (té, ou, dans la nouvelle épellation, te) s. m.
    • 1La vingtième lettre de l'alphabet et la seizième des consonnes. Un T majuscule. Un petit t.
    • 2T final ne se prononce ordinairement que devant les mots commençant par une voyelle ou par une h muette.

      Cependant on le fait sentir même devant une consonne, à la fin de certains mots tels que?: accessit, brut, chut, dot, déficit, indult, etc.

      Richelet dit qu'à la fin du sens il faut faire sentir le t de quelque mot que ce soit?: allumer un fagot, obliger un ingrat, etc. Cette prononciation, recommandée aussi par Régnier-Desmarais, n'est plus usitée.

    • 3Ti se prononce si, dans certains mots, tels que inertie, prophétie, etc.
    • 4Tien se prononce sien, dans les noms propres terminés en tien?: Gratien, Dioclétien, et dans ceux qui désignent de quel pays on est?: Vénitien, Vénitienne.
    • 5Le t garde sa valeur propre devant y?: Amphictyon, ptyalisme, Titye, etc. Le th, quelles que soient les lettres dont ce digramme est précédé ou suivi, se prononce t?: antipathie, Pythie, Scythie, sympathie, Thyeste.
    • 6T euphonique?: lorsque le temps d'un verbe terminé par une voyelle est immédiatement suivi des pronoms il, elle, on, et lorsque l'adverbe voilà est immédiatement suivi du pronom il, on intercale un t?: Dira-t-on, joue-t-elle, fera-t-il, va-t-il. Ainsi, n'ayant au c?ur nul dessein pour Clitandre, Que vous importe-t-il qu'on y puisse prétendre?? Molière, F. sav. I, 1. Voilà-t-il pas monsieur qui ricane déjà?! Molière, ib. I, 1.

      Ce t est étranger à l'ancienne langue, du moins quant à la prononciation. Dans les très hauts temps, il s'écrivait, mais ne se prononçait pas le plus souvent. À la fin du XIIe et au XIIIe siècle, il ne s'écrivait ni ne se prononçait?: les vers montrent que l'on disait aime il en deux syllabes, et non, comme nous, en trois syllabes, aime-t-il. Mais la prononciation actuelle était en vigueur dès le XVIe siècle au moins?; car les grammairiens de ce siècle nous apprennent que, bien qu'on écrive aime il, on prononce aime-t-il.

    • 7Dans l'imprimerie et la reliure, T indique la 20e feuille d'un volume.
    • 8 Terme de musique. T sur une partie de chant signifie taille.

      Sur les partitions d'une symphonie il se met quelquefois pour tutti (tous).

    • 9Dans les marques qu'on gravait autrefois sur l'épaule des condamnés, T signifiait travaux?; T. F. travaux forcés.
    • 10Sur les monnaies de France, il indique qu'elles ont été frappées à Nantes.
    • 11Il valait 160 dans les lettres numérales employées chez les Romains, et, surmonté d'un trait, 160 000.
    • 12Se dit de tout ce qui a la forme de cette lettre, voy. TÉ.
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    Encyclopédie, 1re édition


    T, Subst. masc. (Gramm.) c'est la vingtieme lettre, & la seizieme consonne de notre alphabet. Nous la nommons par un é fermé ; il vaudroit mieux la nommer te par l'e muet. La consonne correspondante chez les Grecs est ? ou Encyc Tau Grec.svg, & ils la nomment tau : si elle est jointe à une aspiration ; ce qui est l'équivalent de th, c'est ? ou ?, & ils l'appellent thêta, expression abrégée de tau hêta, parce qu'anciennement ils exprimoient la même chose par ??. Voyez H. Les Hébreux expriment la même articulation par ?, qu'ils nomment teth ; le t aspiré par ?, qu'ils appellent thau ; & le t accompagné d'un sifflement, c'est-à-dire, ts par ?, à quoi ils donnent le nom de tsade.

    La lettre t représente une articulation linguale, dentale, & forte, dont la foible est de. Voyez Linguale. Comme linguale, elle est commuable avec toutes les autres articulations de même organe : comme dentale, elle se change plus aisément & plus fréquemment avec les autres articulations linguales produites par le même méchanisme ; mais elle a avec sa foible la plus grande affinité possible. De-là vient qu'on la trouve souvent employée pour d chez les anciens, qui ont dit set, aput, quot, haut, pour sed, apud, quod, haud ; & au contraire adque pour atque.

    Cette derniere propriété est la cause de la maniere dont nous prononçons le d final, quand le mot suivant commence par une voyelle ou par un h aspiré ; nous changeons d en t, & nous prononçons grand exemple, grand homme, comme s'il y avoit grant exemple, grant homme. Ce n'est pas absolument la nécessité du méchanisme qui nous conduit à ce changement ; c'est le besoin de la netteté : si l'on prononçoit foiblement le d de grand écuyer, comme celui de grande écurie, la distinction des genres ne seroit plus marquée par la prononciation.

    Une permutation remarquable du t, c'est celle par laquelle nous le prononçons comme une s, comme dans objection, patient. Voyez S. Scioppius, dans son traité de Orthopoeiâ, qui est à la fin de sa Grammaire philosophique, nous trouve ridicules en cela : Maximè tamen, dit-il, in eâ efferendâ ridiculi sunt Galli, quos cùm intentio dicentes audias, intentio an intensio illa sit, discernere haud quaquam possis. Il ajoute un peu plus bas : Non potest vocalis post i posita eam habere vim, ut sonum illum qui T litteræ suus ac proprius est immutet : nam ut ait Fabius, hic est usus litterarum ut custodiant voces, & velut depositum reddant legentibus : itaque si in justi, sonus litteræ T est affinis sono D, ac sine ullo sibiio, non potest ille alius atque alius esse in justitia.

    Il abuse, comme presque tous les néographes, de la maxime de Quintilien : les lettres sont véritablement destinées à conserver les sons ; mais elles ne peuvent le faire qu'au moyen de la signification arbitraire qu'elles ont reçue de l'autorité de l'usage, puisqu'elles n'ont aucune signification propre & naturelle. Que l'on reproche à notre usage, j'y consens, de n'avoir pas toute la simplicité possible : c'est un défaut qui lui est commun avec les usages de toutes les langues, & qui par conséquent, ne nous rend pas plus ridicules en ce point, que ne le sont en d'autres les autres nations.

    La lettre & l'articulation t sont euphoniques chez nous, lorsque, par inversion, nous mettons après la troisieme personne singuliere les mots il, elle, & on, & que cette troisieme personne finit par une voyelle ; comme a-t-il reçu, aime-t-elle, y alla-ton : & dans ce cas, la lettre t se place, comme on voit, entre deux tirets. La lettre euphonique & les tirets désignent l'union intime & indissoluble du sujet, il, elle, ou on, avec le verbe ; & le choix du t par préférence vient de ce qu'il est la marque ordinaire de la troisieme personne. Voyez N.

    T dans les anciens monumens signifie assez souvent Titus ou Tullius.

    C'étoit aussi une note numérale qui valoit 160 ; & avec une barre horisontale au-dessus, T vaut 160000. Le T' avec une sorte d'accent aigu par en-haut, valoit chez les Grecs 300 ; & si l'accent étoit en-bas, il valoit 1000 fois 300, T, = 300000. Le ? des Hébreux vaut 9 ; & avec deux points disposés au-dessus horisontalement, ?? vaut 9000.

    Nos monnoies marquées d'un T, ont été frappées à Nantes. (E. R. M. B.)

    T t t t, ces trois premiers t, dans leur figure sont de vrais i en ôtant le point & barrant la partie supérieure. Le quatrieme a de plus une ligne mixte renversée à sa partie inférieure. Ils se forment dans leur premiere partie du mouvement simple du poignet, & dans la seconde le poignet agit de concert avec les doigts. Voyez les Planch de l'Ecriture.

    T, terme de Chirurgie, c'est le nom d'un bandage ainsi dit à raison de sa figure. Il est destiné à contenir l'appareil convenable à l'opération de la fistule à l'anus, aux maladies du périnée & du fondement. On le fait avec deux bandes longues d'une aune, & plus ou moins larges, suivant le besoin. La bande transversale sert à entourer le corps sur les hanches ; la perpendiculaire est cousue au milieu de celle-ci ; elle est fendue jusqu'à six ou huit travers de doigt de la ceinture. Le plein de cette bande passe entre les fesses, & s'appuie sur le périnée ; les deux chefs sont conduits à droite & à gauche entre la cuisse & les parties naturelles, pour venir s'attacher à la ceinture par un n?ud en boucle de chaque côté. Voyez ce que nous avons dit de ce bandage à l'article Fistule à l'anus, au mot Fistule. La figure 14. Planche XXVI. représente un T simple ; & la figure 13. montre un double T. Dans celui-ci il y a deux branches perpendiculaires, cousues à quatre travers de doigt de distance l'une de l'autre. Le double T convient plus particulierement pour l'opération de la taille & pour les maladies du périnée ; parce qu'on croise les deux branches sur le lieu malade, & qu'on laisse l'anus libre & à découvert : avantage que n'a point le T simple. Sur les conditions du linge propre à faire le bandage en T, voyez le mot Bande. (Y)

    t, en terme de mines ou d'Artillerie, se dit d'une figure qui a beaucoup de rapport à celle d'un T, & qui se forme par la disposition & l'arrangement des fourneaux, chambres, ou logemens, qui se font sous une piece de fortification pour la faire sauter. Voyez Mine. (Q)

    T, en Musique ; cette lettre se trouve quelquefois dans les partitions, pour désigner la partie de la taille, lorsque cette taille prend la place de la basse, & qu'elle est écrite sur la même portée, la basse gardant le tacet. Voyez Taille.

    Quelquefois dans les parties de symphonie le T signifie tous ou tutti, & est opposé à la lettre S, ou au mot seul ou solo, qui alors doit nécessairement avoir été écrit auparavant dans la même partie.

    Enfin, le T ou tr, sur une note, marque dans la musique italienne, ce qu'ils appellent trillo, & nous, tremblement ou cadence. Ce T, dans la musique françoise, a pris la forme d'une petite croix. (S)

    T, dans le Commerce, est d'usage dans quelques abréviations ; ainsi TRs, abregent traits ou traites, & pour livres sterlings, on met L. ST. Voyez Abréviation. Dictionnaire de Commerce.

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    Étymologie de « t »

    Lat. t?; grec, ???, qui est le tau phénicien.

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    (Locution-phrase) (Abréviation) de t'es (« tu es »).
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    T, t, lettre

    t au Scrabble


    Le mot t vaut 1 points au Scrabble.

    t

    Informations sur le mot t - 1 lettres, 0 voyelles, 1 consonnes, 1 lettres uniques.

    Quel nombre de points fait le mot t au Scrabble ?


    Le calcul de points ne prend pas en compte lettre compte double, lettre compte triple, mot compte double et mot compte triple. Ces cases augmentent les valeurs des mots posés selon un coefficient indiqué par les règles du jeu de Scrabble.

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    t

    Les rimes de « t »


    On recherche une rime en TE .

    Les rimes de t peuvent aider les poètes et les paroliers à trouver des mots pour former des vers avec une structure rythmique cohérente, mais aussi pour jouer avec les mots et les sons, découvrir de nouvelles idées et perspectives ce qui peut être amusant et divertissant.

    Les rimes en te

    Rimes de agilité      Rimes de tourmentaient      Rimes de hoquetait      Rimes de squattait      Rimes de dératés      Rimes de lamentaient      Rimes de complétée      Rimes de inspectai      Rimes de embêter      Rimes de crapahutait      Rimes de écarter      Rimes de papoté      Rimes de évitait      Rimes de grignotais      Rimes de bouter      Rimes de décapotée      Rimes de décontractée      Rimes de feuilletée      Rimes de pelletées      Rimes de joyeusetés      Rimes de racketté      Rimes de démentait      Rimes de captez      Rimes de inséparabilité      Rimes de frottés      Rimes de timothée      Rimes de synthé      Rimes de ajustaient      Rimes de injectés      Rimes de soubresautaient      Rimes de alertés      Rimes de arpentés      Rimes de négativité      Rimes de ôter      Rimes de traficotez      Rimes de crypté      Rimes de impatientais      Rimes de invitée      Rimes de doigtait      Rimes de invitez      Rimes de décontractées      Rimes de inhabité      Rimes de daté      Rimes de assiettées      Rimes de dansotait      Rimes de sollicitait      Rimes de popularités      Rimes de contristées      Rimes de cliquetaient      Rimes de comportez     

    Mots du jour

    agilité     tourmentaient     hoquetait     squattait     dératés     lamentaient     complétée     inspectai     embêter     crapahutait     écarter     papoté     évitait     grignotais     bouter     décapotée     décontractée     feuilletée     pelletées     joyeusetés     racketté     démentait     captez     inséparabilité     frottés     timothée     synthé     ajustaient     injectés     soubresautaient     alertés     arpentés     négativité     ôter     traficotez     crypté     impatientais     invitée     doigtait     invitez     décontractées     inhabité     daté     assiettées     dansotait     sollicitait     popularités     contristées     cliquetaient     comportez     


    Les citations sur « t »

    1. Piscine couverte pour servir de parking.

      Auteur : Pierre Dac - Source : L'Os à moelle, Fausse petite annonce comique


    2. La terrine du chef: Spécialité culinaire que l'on trouve dans de nombreux restaurants, à ne pas confondre avec les toilettes réservées à la direction.

      Auteur : Marc Escayrol - Source : Mots et Grumots (2003)


    3. Je suis perpétuellement dans les limbes. Peut-être que je veux trop de choses à la fois mais aucune avec la passion nécessaire.

      Auteur : Elif Shafak - Source : Trois filles d’Eve, Elif Shafak, éd. Flammarion, coll. « J’ai lu », 2018


    4. De tout temps la beauté a été ressentie par certains comme une secrète insulte.

      Auteur : Claude Debussy - Source : Monsieur Croche, antidilettante


    5. Les aveugles ont l'ouïe très développée. Un aveugle peut reconnaître si un billet de banque est faux rien qu'au bruit des menottes se refermant sur ses poignets.

      Auteur : François Cavanna - Source : Les Pensées de Cavanna


    6. Le pourboire se donne aux salariés insuffisamment rémunérés : les postiers, les garçons de café et d'hôtel, les chauffeurs de taxi, et (à l'étranger) les hommes politiques.

      Auteur : Auguste Detoeuf - Source : Propos d'O.L. Barenton, confiseur (1951)


    7. Quand on est roi, que peut-il manquer? D'être Dieu.

      Auteur : Henri Beyle, dit Stendhal - Source : Sans référence


    8. Le danseur n'a-t-il pas ses oreilles dans ses orteils!

      Auteur : Friedrich Wilhelm Nietzsche - Source : Sans référence


    9. Ne te permets rien, tant que tu seras irrité : pourquoi ? Parce que tu voudrais tout te permettre. Combats-toi, toi-même. Si tu ne peux vaincre la colère, elle commence à te vaincre.

      Auteur : Sénèque - Source : De la colère


    10. Je t'écris cette lettre et je vais la brûler pour que tu la reçoives à travers les distances et les murailles.

      Auteur : René Barjavel - Source : Le Grand Secret (1973)


    11. La pleine santé
      Ne connaît point sa limite. Mais la maladie
      Derrière le mur est sa voisine pressante.
      Et la fortune d'un homme dans sa course directe
      A heurté le roc caché.


      Auteur : Eschyle - Source : L'Orestie (458 av. J.-C.), Agamemnon, 1001-1007


    12. Le piège pour les hommes politiques est de se sentir invulnérables, intouchables. Cela conduit à négliger des choses que l’on juge à tort subalternes.

      Auteur : Roland Dumas - Source : Politiquement incorrect (2015)


    13. Trop de parenté, ça rend parfois orphelin.

      Auteur : Jacques Ferron - Source : Les Roses sauvages


    14. Les hommes regardent les femmes et ils en perdent la vue. Les femmes regardent les mots d'amour et elles y trouvent leur âme.

      Auteur : Christian Bobin - Source : La Grande Vie (2014)


    15. L'appétit vient en mangeant, disait Hangest du Mans; la soif s'en va en buvant.

      Auteur : François Rabelais - Source : Gargantua (1542), 5


    16. L'essence de toute intelligence est de connaître et d'aimer.

      Auteur : Joseph de Maistre - Source : Les Soirées de Saint-Pétersbourg (1821)


    17. Encore qu'il soit de la probité d'un prince d'observer indispensablement ses paroles, il n'est pas de sa prudence de se fier absolument à celle d'autrui.

      Auteur : Louis XIV - Source : Mémoires


    18. Le peintre donne une âme à une figure, et le poète prête une figure à un sentiment et à une idée.

      Auteur : Sébastien-Roch Nicolas de Chamfort - Source : Maximes et Pensées, Caractères et Anecdotes (1795)


    19. Un soir, au moment des questions, une sorte d'agité lui demanda d'une façon abrupte s'il connaissait la température de fusion de l'or. Il ne fallait s'étonner de rien; un député doit tout savoir.

      Auteur : Georges Soulès, dit Raymond Abellio - Source : Ma dernière mémoire, II. Les militants 1927-1939 (1975)


    20. Nous sommes tous résignés à la mort; c'est à la vie que nous n'arrivons pas à nous résigner.

      Auteur : Graham Greene - Source : Le Fond du problème (1948)


    21. Les femmes en sont encore à écrire pour exister et de ce fait ont besoin de plus de mots.

      Auteur : Elfriede Jelinek - Source : Entretien avec Yasmin Hoffmann.


    22. L'opinion publique est celle de ceux qui n'ont pas d'idées.

      Auteur : Oscar Wilde - Source : Dans le Pall Mall Gazette, 1886.


    23. Il en peut être aucun de ma complexion, qui m'instruis mieux par contrariété que par similitude: et par fuite que par suite.

      Auteur : Michel de Montaigne - Source : Essais, III, 8


    24. Toute magie se multiplie quasiment à l'infini par la retransmission orale. Les monuments des dieux se sont bâtis avec la langue.

      Auteur : Serge Rezvani - Source : Le Testament amoureux (1981)


    25. La façon la plus habile de s'approprier une partie du mérite d'un gagnant consiste à se montrer bon perdant.

      Auteur : Albert Brie - Source : Le mot du silencieux, Tu dures, hiver dur!


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    Les synonymes de « t»

    Les synonymes de t :

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    Fréquence et usage du mot t dans le temps


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