Définition de « chocolat »


Notre dictionnaire de français vous présente les définitions du mot chocolat de manière claire et concise, avec des exemples pertinents pour aider à comprendre le sens du mot.

Il comprend des informations supplémentaires telles que des exemples d'expressions, l'étymologie, les synonymes, les homonymes, les antonymes mais également les rimes et anagrammes et bien sûr des citations littéraires sur chocolat pour aider à enrichir la compréhension du mot Chocolat et répondre à la question quelle est la définition de chocolat ?

NOM genre (m) de 3 syllabes
Une définition simple : (fr-rég|??.k?.la) chocolat (m)Image:Chocolat.jpg|thumb|Morceaux de chocolat (1).Image:Bernd das Brot cup.jpg|thumb|Boisson de chocolat chaud (2).

  • Substance alimentaire à base de pâte de cacao (majoritaire), de sucre et souvent de beurre de cacao. - Manger du chocolat met de bonne humeur.

  • Boisson faite à partir ce cette substance. - Quand jai froid, je bois un chocolat chaud. chocolat ??.k?.la/ (inv)

  • Couleur brun-marron foncé moyennement saturé. (couleur|

  • 5A3A22) Synonyme : brun, marron


    Expression : chocolat au lait chocolat blanc chocolat noir

    Approchant : chocolatier, chocolater



    Définitions de « chocolat »


    Trésor de la Langue Française informatisé


    CHOCOLAT, subst. masc.

    A.? Aliment composé essentiellement de cacao et de sucre. On est convenu d'appeler chocolat le mélange qui résulte de l'amande du cacao grillée avec le sucre et la cannelle (Brillat-Savarin, Physiol. du goût,1825, p. 114).
    1.
    a) Au sing. Pâte solidifiée composée de ce produit auquel sont incorporés parfois des aromates ou divers autres éléments. Un morceau (une tablette) de chocolat; du chocolat praliné (cf. Balzac, La Cousine Bette, 1846, p. 408); du chocolat purgatif (H. Bazin, Vipère au poing,1948, p. 53):
    1. Nous possédions les plus précieuses monnaies d'échange, chocolat et cigarettes. Contre ces richesses nous obtînmes des produits plus substantiels et qui nous faisaient défaut : ... Ambrière, Les Grandes vacances,1946, p. 316.
    ? Emploi à valeur adj., en PÂTISS. Au chocolat. Crème, éclair, soufflé au chocolat.
    b) Au sing. ou au plur. Bonbon au chocolat. Je lui ai envoyé ce sonnet au lieu de fleurs ou chocolats (Valéry, Correspondance[avec Gide], 1918, p. 461).Une demi-livre de chocolats mélangés (Guéhenno, Journal d'une « Révolution », 1937, p. 92).
    2. P. méton. Boisson préparée avec du chocolat en morceaux ou en poudre, dissout ou cuit dans de l'eau ou du lait. Une tasse de chocolat; prendre du (son) chocolat :
    2. Dès sept heures du matin, elle m'apportait elle-même une tasse de chocolat. Je n'en ai jamais bu de pareil. Un chocolat à s'en faire mourir, moelleux, velouté, parfumé, grisant. Je ne pouvais ôter ma bouche des bords délicieux de sa tasse. Maupassant, Contes et nouvelles,t. 1, Ce cochon de Morin, 1882, p. 853.
    B.? Invar. Couleur chocolat, et, p. ell. chocolat. Couleur brun rouge foncé. Un gilet chocolat (Sue, Atar Gull,1831, p. 5):
    3. ... le teint de ces jeunes personnes, vêtues à l'orientale, variait du bistre à l'olivâtre, et arrivait, chez la dernière, au chocolat le plus foncé. Nerval, Voyage en Orient,t. 1, 1851, p. 160.
    ? Arg. Boîte à chocolat. Cercueil couvert d'une toile brune (cf. Esn. 1966). Nous allons à la Charité. (...). Nous assistons à la visite et nous voyons mettre dans la boîte à chocolat un paquet noué aux deux bouts, qui est une morte (E. et J. de Goncourt, Journal,1860, p. 856).
    C.? Emploi adj. invar., pop. [Être] chocolat. Être attrapé, dupé, déçu. « Elle vient se faire régler une petite note, voilà tout. Et elle a peur de repartir chocolat » (P. Bourget, Nos actes nous suivent,1926, p. 159).
    ? Emploi subst. Faire le chocolat. Faire le naïf, le crédule (cf. Temps, 1886 ds G. Fustier, Suppl. au dict. de la lang. verte d'A. Delvau, 1889, p. 522).
    Rem. On rencontre ds la docum. a) L'adj. chocolateux, euse, péj. Ces éclairs vomitivement chocolateux (Colette, Claudine s'en va, 1903, p. 68). b) Le subst. fém. chocolatine. Bonbon au chocolat (cf. E. Brumpt, Précis de parasitologie, 1910, p. 72).
    Prononc. et Orth. : [? ?k?la] ou [-l?]. a) Timbre de l'initiale. [?] ouvert ds la majorité des dict. Barbeau-Rodhe 1930 note [o] fermé quand on prononce [?] post. à la finale. b) Timbre de la finale. [a] ant. ds DG, Dub., Pt Rob., Pt Lar. 1968 et Lar. Lang. fr.; cf. aussi ds Grammont Prononc. 1958, p. 138. [a] ou [?] post. ds Passy 1914 et ds Warn. 1968. [?] post. quand l'initiale se prononce [o] fermé ds Barbeau-Rodhe 1930. Fouché Prononc. 1959, p. 61 note que pour la finale -at on peut prononcer un [?] bref très légèrement post. dans chocolat et chocolats; cf. aussi Kamm. 1964, p. 92, Rouss.-Lacl. 1927, p. 138 et Mart. Comment prononce 1913, p. 18 : ,,Le mot chocolat, au moins à Paris [se prononce avec [?] post.]. C'est peut-être à cause de son étymologie espagnole chocolate, mot qui a l'accent sur l'a; mais cet a est destiné à s'ouvrir [= devenir ant.] comme dans les autres mots en -at, et on n'est nullement obligé de le fermer [= de le prononcer post.].`` Buben 1935, § 9 propose une autre explication : ,,Trois mots en -at ont subi l'influence des mots en -ât (dans lesquels on prononce [?] post.) et se prononcent avec les deux timbres ([a] ou [?]) : chocolat, climat, grabat.`` Fér. Crit. t. 1 1787 rappelle : ,,Trév. (en 1704) met chocolate. Richelet les met tous deux chocolat ou chocolate.`` On rencontre encore la var. chocolate ds Ac. 1694 à côté de la forme moderne. Puis de Ac. 1718-1932 uniquement chocolat. Étymol. et Hist. 1598 chocolate « breuvage fait avec des amandes de cacao » (Hist. nat. et mor. des Indes tant or. qu'occ. comp. en cast. par J. de Acosta et trad. en fr. par Rob. Regnault Cauxois, fol. 172b [à propos du Pérou] ds König, p. 66); 1640 chocolate (J. de Laet, L'Hist. du Nouv. Monde ou Descr. des Indes Occ., p. 127 [à propos du Mexique], ibid.) ? 1740 (Trév.); 1659 chocolat « substance alimentaire composée essentiellement de cacao et de sucre » (Lettres patentes données à Toulouse, citées ds un texte de 1666 ds Félibien, Hist. de la ville de Paris, 1725, t. 5, p. 204 d'apr. Arv., p. 178). Empr. à l'esp. chocolate « id. », attesté dep. ca 1580 (sous la forme chocollatl, Fr. Hernandez d'apr. Cor. et Fried.; cf. chocolate en 1590, Acosta, Hist. Nat. y Mor. de las Indias, original de la trad. citée supra, ds Fried.), lui-même empr. à un mot nahuatl dont la formation est difficilement analysable, à l'exception du suff. -atl « eau » (v. FEW t. 20, pp. 63-64; Cor.; R. Loewe ds Z. vergl. Sprachforsch., t. 61, pp. 94-95; König, pp. 66-68; Fried.). Fréq. abs. littér. : 701. Fréq. rel. littér. : xixes. : a) 602, b) 635; xxes. : a) 1 017, b) 1 514.
    DÉR. 1.
    Chocolaté, ée, adj.Qui contient du chocolat, qui est parfumé au chocolat. Bouillie, farine, poudre chocolatée. ? [? ?k?late]. ? 1reattest. 1771 (Trév., t. 2, p. 148b); de chocolat, suff. *. ? Fréq. abs. littér. : 2.
    2.
    Chocolaterie, subst. fém.a) Rare. Fabrication du chocolat. Une usine de chocolaterie (G. Brunerie, Les Industr. alim.,1949, p. 36).b) P. méton., usuel. Fabrique de chocolat. L'insubordination ouvrière pouvait mettre en péril les affaires de la chocolaterie (Aragon, Les Beaux quartiers,1936, p. 42).? [? ?k?lat?i]. Passy 1914 transcrit [-l?-] avec [?] post.; à ce sujet cf. chocolat. ? 1reattest. 1867 (Lar. 19e); de chocolat, suff. -erie*. ? Fréq. abs. littér. : 8.
    BBG. ? Arv. 1963, p. 178. ? Baudez (J.). Le Cirque et son lang. Vie Lang. 1962, p. 246. ? Escarpit (R.). Du Nahuatl au fr. Vie Lang. 1953, p. 250. ? Goug. Mots. t. 1. 1962, p. 29, 32. ? Guiraud (P.). Le Champ morpho-sém. du mot tromper. B. Soc. Ling. 1968, t. 63, no1, p. 101; Mél. d'étymol. arg. Cah. Lexicol. 1970, t. 16, no1, p. 69. ? L'Intermédiaire des linguistes curieux. Vie Lang. 1955, p. 37. ? Pohl (J.). Contribution à l'hist. de qq. mots. Arch. St. n. Spr. 1969, t. 205, no5, p. 362. ? Quem. 2es. t. 3, 1972. ? Spitzer (L.). Z. fr. Spr. Lit. 1917, t. 44, p. 220.


    Wiktionnaire


    Adjectif - français

    chocolat \??.k?.la\ ou \??.k?.l?\[1] invariable

    1. Couleur brun-marron foncé moyennement saturé. #5A3A22
    2. Déçu, embarrassé.
      • Être chocolat, se trouver chocolat [?] (François Déchelette, L'argot des Poilus, les éditions de Paris Max Chaleil, 1918 (édition 2004), page 71)

    Nom commun - français

    chocolat \??.k?.la\ ou \??.k?.l?\[1] masculin

    1. (Cuisine) Pâte solidifiée de cacao mélangée à du sucre et souvent du beurre de cacao (ainsi qu'à d'autres ingrédients, éventuellement), et consommée sous diverses formes (tablettes, boissons, bonbons, etc.).
      • Lorsque l'on ouvre une cabosse, les fèves qui s'y trouvent sont blanches et n'ont pas du tout le goût de chocolat. Ce sont les étapes de fermentation puis de torréfaction, comme pour le café, qui lui donneront ses arômes et sa couleur. (Stéphanie Maccioni, « Valeur calorique et intérêt nutritionnel du chocolat », France 3 le 3 avril 2017)
      • Après, nous avons, en vrac, les addicts au poker, aux jeux en ligne, au tchat, à Facebook. Et, pour finir, les addicts... au chocolat. Oui, au chocolat. (Didier Pourquery, Les mots de l'époque: 100 tics, trouvailles et autres extravagances du langage quotidien, Éditions Autrement, 2014)
    2. Petite friandise au chocolat.
      • À ce stade, cette fête semble à l'avantage des hommes, mais attention : le 14 mars, les choses se corsent. Dans un deuxième temps : les hommes qui ont reçu des chocolats le jour de la Saint-Valentin (don) doivent à leur tour, offrir un présent (contre-don) aux valentines. (Fanny Parise, « La Saint-Valentin des Japonais est longue et très codifiée » Slate.fr le 13 février 2017)
      • « La vie est une boîte de chocolats, on ne sait jamais sur quoi on va tomber », disait Forrest Gump. (Richard Martineau, Dans quel monde vont grandir nos enfants?, Le Journal de Québec, 14 décembre 2020)
    3. (Par métonymie) Boisson faite à partir de cette substance, mais aussi avec du cacao en poudre.
      • ? Votre chocolat, par exemple, moi je n'arrive pas à l'avaler. J'y mets du sel, du poivre, des oignons, et encore c'est-y pas bon !
        Il ne fut pas, du reste, celui des deux qui rit le moins quand le médecin lui apprit comment se doit préparer un bon chocolat.
        (Charles-Louis Philippe, Dans la petite ville, 1910, réédition Plein Chant, page 105)
      • Elle s'approcha de la petite table, posa une tasse de chocolat épais et brûlant, me reprit des mains la petite cuiller et me mit elle-même quatre cuillerées de sucre. (Zakhar Prilepine, Le singe noir, Actes Sud, 2012)
      • Je m'empiffrai de « pistolets », de « couques au chocolat », de « couques aux raisins » avec du fromage et des ?ufs brouillés. Le tout, accompagné d'un chocolat chaud. (Évelyne Dress, Les Chemins de Garwolin, Éditions Glyphe, 2016, chapitre 15)
    4. (Par ellipse) Couleur du chocolat, sorte de marron foncé.
    5. (Vieilli) (Péjoratif) (Argot poilu) (Vulgaire) Nègre.
      • Ce sont les chocolats qui attaquent. (François Déchelette, L'argot des Poilus, les éditions de Paris Max Chaleil, 1918 (édition 2004), page 71)
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    Dictionnaire de l'Académie française, huitième édition

    CHOCOLAT. n. m.
    Substance alimentaire composée de cacao, de sucre et souvent de quelques aromates. Un bâton, une tablette de chocolat. Des pastilles de chocolat. Chocolat à la vanille. Il se dit, par extension, de la Boisson faite avec cette pâte dissoute dans de l'eau ou dans du lait. Chocolat au lait. Prendre une tasse de chocolat. Faire bien mousser le chocolat. Une crème au chocolat. Une glace au chocolat. Par apposition, Couleur chocolat, Couleur semblable à celle du chocolat, c'est-à-dire brun-rouge foncé. Par extension, Robe chocolat.

    Littré

    CHOCOLAT (cho-ko-la?; le t ne se lie pas dans le parler ordinaire) s. m.
    • 1Pâte alimentaire préparée avec des amandes de cacao, du sucre ou du miel et souvent quelques aromates. Une tablette de chocolat. Du chocolat à la vanille.
    • 2Boisson préparée avec cette pâte, dissoute dans de l'eau ou du lait. Une tasse de chocolat. D'abord deux filles jolies et proprement mises servirent du chocolat, qu'elles firent très bien mousser, Voltaire, Cand. 25.
    • 3Adjectif invariable. Couleur chocolat. Teinte chocolat. Étoffe chocolat.
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    Encyclopédie, 1re édition

    * CHOCOLAT, s. m. (?con. domest. & Diete.) espece de gâteau ou tablette préparée de différens ingrédiens, dont la base est la noix de cacao. Voyez Cacao. La boisson qu'on fait avec cette tablette, retient le même nom ; elle est originairement Américaine : les Espagnols la trouverent fort en usage au Mexique, lorsqu'ils en firent la conquête vers l'an 1520.

    Les Indiens qui usoient de cette boisson de tems immémorial, la préparoient d'une maniere fort simple : ils rôtissoient leur cacao dans des pots de terre, & le broyoient entre deux pierres après l'avoir mondé, le délayoient dans de l'eau chaude, & l'assaisonnoient avec le piment, voyez Piment ; ceux qui y faisoient un peu plus de façon, y ajoûtoient l'achiote (voyez Roucou) pour lui donner de la couleur, & l'atolle pour en augmenter le volume. L'atolle est une bouillie de farine de may ou blé d'inde, assaisonnée de piment par les Mexicains, mais relevée de goût par les religieuses & dames Espagnoles, qui ont substitué au piment le sucre, la canelle, les eaux de senteur, l'ambre, le musc, &c. On fait dans ces pays le même usage de l'atolle, que de la creme de ris au Levant. Tout cela joint ensemble donnoit à cette composition un air si brute & un goût si sauvage, qu'un soldat Espagnol disoit qu'elle étoit plus propre à être jettée aux cochons, que d'être présentée à des hommes ; & qu'il n'auroit jamais pû s'y accoûtumer, si le manque de vin ne l'avoit contraint à se faire cette violence, pour n'être pas obligé à boire toûjours de l'eau pure.

    Les Espagnols instruits par les Mexicains, & convaincus par leur propre expérience que cette boisson rustique étoit un aliment salutaire, s'étudierent à en corriger les desagrémens par l'addition du sucre, de quelques aromates de l'Orient, & de plusieurs drogues du pays, dont il seroit inutile de faire ici le dénombrement, puisque nous n'en connoissons guere que le nom, & que de tant d'ingrédiens il n'y a presque que la seule vanille qui soit parvenue jusqu'à nous (de même que la canelle est le seul aromate qui ait eu l'approbation générale) & qui soit restée dans la composition du chocolat.

    La vanille est une gousse de couleur brune, & d'une odeur fort suave ; elle est plus plate & plus longue que nos haricots, & renferme une substance mielleuse, pleine de petites graines noires, & luisantes. On doit la choisir nouvelle, grasse, & bien nourrie, & prendre garde qu'elle n'ait été ni frottée de baume, ni mise en lieu humide. Voyez Vanille.

    L'odeur agréable & le goût relevé qu'elle communique au chocolat, l'ont rendue très-recommandable ; mais une longue expérience ayant appris qu'elle échauffe extrèmement, son usage est devenu moins fréquent ; & des personnes qui préferent le soin de leur santé au plaisir de leurs sens, s'en abstiennent même tout-à-fait. En Espagne & en Italie le chocolat préparé sans vanille, s'appelle présentement le chocolat de santé ; & dans nos îles Françoises de l'Amérique, où la vanille n'est ni rare ni chere, comme en Europe, on n'en use point du tout, quoiqu'on y fasse une consommation de chocolat aussi grande qu'en aucun autre endroit du monde.

    Cependant comme il y a encore bien des gens qui sont prévenus en faveur de la vanille, & qu'il est juste de déférer en quelque façon à leur sentiment, on va employer la vanille dans la composition du chocolat, qui paroît la meilleure & la mieux dosée. On dit seulement qu'elle paroît telle ; car comme il y a dans les goûts une diversité infinie d'opinions, chacun veut qu'on ait égard au sien, & l'un ajoûte ce que l'autre retranche ; quand même on conviendroit des choses à mélanger, il n'est pas possible de fixer entr'elles des proportions universellement approuvées ; & il suffira de les choisir telles qu'elles conviennent au plus grand nombre, & qu'elles forment par conséquent le goût le plus suivi.

    Lorsque la pâte du cacao est bien affinée sur la pierre (voyez l'article Cacao.), on y ajoûte le sucre en poudre passé au tamis de soie ; la véritable proportion du cacao & du sucre est de mettre le poids égal de l'un & de l'autre : on diminue pourtant d'un quart la dose du sucre, pour empêcher qu'il ne desseche trop la pâte, & ne la rende aussi trop susceptible des impressions de l'air, & plus sujette ensuite à être piquée de vers. Mais ce quart de sucre supprimé est remplacé quand il s'agit de préparer en boisson le chocolat.

    Le sucre étant bien mêlé avec la pâte de cacao, on y ajoûte une poudre très-fine, faite avec des gousses de vanille & des bâtons de canelle pilés & tamisés ensemble : on repasse encore ce mêlange sur la pierre ; & le tout bien incorporé, on met la pâte dans des moules de fer blanc, où elle prend la forme qu'on a voulu lui donner, & sa dureté naturelle. Quand on aime les odeurs, on y verse un peu d'essence d'ambre avant que de la mettre dans les moules.

    Lorsque le chocolat se fait sans vanille, la proportion de la canelle est de deux dragmes par livre de cacao ; mais lorsqu'on y employe la vanille, il faut diminuer au moins la moitié de cette dose de la canelle. A l'égard de la vanille, la dose en est arbitraire ; une, deux, ou trois gousses, & même davantage, par livre de cacao, suivant la fantaisie.

    Les ouvriers en chocolat pour faire paroître qu'ils y ont employé beaucoup de vanille, y mêlent le poivre, le gingembre, &c. Il y a même des gens accoûtumés aux choses de haut goût, qui ne le veulent point autrement ; mais ces épiceries n'étant capables que de mettre le feu dans le corps, les gens sages ne donneront pas dans ces excès, & seront attentifs à n'user jamais de chocolat qu'ils n'en sachent sûrement la composition.

    Le chocolat composé de cette maniere a cela de commode, que lorsqu'on est pressé de sortir du logis, ou qu'en voyage on n'a pas le tems de le mettre en boisson, on peut en manger une tablette d'une once, & boire un coup par dessus ; laissant agir l'estomac pour faire la dissolution de ce déjeûné à l'inpromptu.

    Aux Antilles on fait les pains de cacao pur & sans addition. V. Cacao. Et quand on veut prendre le chocolat réduit en boisson, voici comme on y procede.

    Préparation du chocolat à la maniere des îles Françoises de l'Amérique. On ratisse légerement les pains de cacao avec un couteau, ou plûtôt avec une rape plate, quand ils sont assez secs, pour ne pas l'engraisser ; quand on a ratissé la quantité qu'on souhaite, (par exemple quatre grandes cueillerées combles qui pesent environ une once) on y mêle deux ou trois pincées de canelle en poudre passée au tamis de soie, & environ deux grandes cueillerées du sucre en poudre.

    On met ce mêlange dans une chocolatiere avec un ?uf frais entier, c'est-à-dire jaune & blanc ; on mêle bien le tout avec le moulinet, on le réduit en consistance de miel liquide ; surquoi ensuite on se fait verser la liqueur bouillante (eau ou lait, suivant la fantaisie) pendant qu'on fait rouler soi-même le moulinet avec force, pour bien incorporer le tout ensemble.

    Enfin on met la chocolatiere sur le feu, ou au bain-marie dans un chauderon plein d'eau bouillante ; & dès que le chocolat monte, on en retire la chocolatiere ; & après avoir fortement agité le chocolat avec le moulinet, on le verse à diverses reprises & bien moussé dans les tasses. Pour en relever le goût on peut avant que de le verser y ajoûter une cueillerée d'eau de fleur d'orange, où on a fait dissoudre une goutte ou deux d'essence d'ambre.

    Cette maniere de faire le chocolat a plusieurs avantages qui lui sont propres, & qui la rendent préférable à toute autre.

    En premier lieu, on peut s'assûrer qu'étant bien exécutée, le chocolat est d'un parfum exquis & d'une grande délicatesse de goût ; il est d'ailleurs très-leger sur l'estomac, & ne laisse aucune résidence ni dans la chocolatiere, ni dans les tasses.

    En second lieu, on a l'agrément de le préparer soi-même & selon son goût, d'augmenter & de diminuer à sa volonté les doses du sucre & de la canelle, d'y ajoûter ou d'en retrancher l'eau de fleur d'orange, & l'essence d'ambre ; en un mot d'y faire tel autre changement qu'on aura pour agréable.

    En troisieme lieu, en n'y substituant rien qui puisse détruire les bonnes qualités du cacao, il est si tempéré qu'on le peut prendre à toute heure & à tout âge, en été comme en hyver, sans en craindre la moindre incommodité : au lieu que le chocolat assaisonné de vanille & d'autres ingrédiens acres & chauds, peut quelquefois être dangereux, sur-tout en été, aux jeunes gens & aux constitutions vives & seches. Le verre d'eau fraîche qu'on a coûtume de lui faire précéder ou succéder, ne fait que pallier pour un tems l'impression de feu qu'il laisse dans le sang & dans les visceres, après que l'eau s'est écoulée par les voies ordinaires.

    En quatrieme lieu, ce chocolat est à si bon marché que la tasse ne revient presqu'à un sou. Si les artisans en étoient une fois instruits, il y en a peu qui ne missent à profit un moyen si aisé & si gracieux de déjeûner à peu de frais, & de se soûtenir avec vigueur jusqu'au dîner sans autre aliment solide ni liquide. Hist. nat. du cacao. Voyez Cacao.

    Chocolat. (Diete.) L'usage du chocolat ne mérite ni tout le bien ni tout le mal qu'on en a dit : cette espece d'aliment devient à-peu-près indifférent par l'habitude, comme tant d'autres. Une nation entiere en vit presque : manquer de chocolat chez les Espagnols, c'est être réduit au même point de misere que manquer de pain parmi nous ; & l'on ne voit pas que ce peuple tire de grandes utilités de cet usage, ni qu'il en éprouve des maux sensibles.

    Il y a long-tems qu'on a appellé le chocolat le lait des vieillards : on le regarde comme très-nourrissant, & comme très-propre à réveiller les forces languissantes de l'estomac. Ces prétentions s'accordent assez avec ce qu'on connoît de la nature des différens ingrédiens de notre chocolat, & elles sont confirmées par l'expérience. Effectivement le cacao contient une substance farineuse, & une quantité considérable d'une matiere huileuse ou butyreuse, qui peuvent fournir abondamment l'une & l'autre une substance propre à la réparation de nos humeurs ou à la nutrition. Le sucre qui entre dans la composition du chocolat, & le jaune d'?uf ou le lait avec lequel on le prend ordinairement, sont encore des matieres très-nourrissantes.

    La vanille, la canelle, & les autres aromates dont on l'anime, sont capables d'exciter l'appétit, fortifier l'estomac, &c.

    Le chocolat de santé même, c'est-à-dire celui qui est préparé sans aromate, n'est pas absolument privé de cette propriété tonique & stomachique : on observe assez communément qu'après en avoir pris le matin, on attend le dîner avec plus d'impatience que si on étoit resté à jeûn. Mais ce sont les gens peu habitués à son usage chez qui il produit cet effet ; il soûtient assez bien au contraire ceux qui en prennent journellement le matin, pour ne manger ensuite que le soir. C'est encore ici, comme on voit, une affaire d'habitude. (b)

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    Étymologie de « chocolat »

    Espagn. chocolate?; ital. cioccolata?; du mexicain calahuatl, chocolatl, chocolat.

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    De l'espagnol chocolate, traditionnellement supposé tiré du nahuatl xocol?tl (« eau amère »). Toutefois, la formation du mot (xocolia (« rendre amer ») + ?tl (« eau »)) et l'existence précolombienne de l'étymon xocol?tl (« chocolat à boire ») sont discutées, le mot xocol?tl n'étant attesté nulle part. Après d'autres ? K. Dakin, S. Wichmann, T. Kaufman, J. Justeson ?, Magnus Pharao Hansen propose l'étymologie nahuatl chicol?tl (« boisson de cacao »), peut-être à relier au mot nahuatl chihc?lli (« crochet (pour battre la boisson) »).
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    CHOCOLAT, subst. masc.
    Étymol. et Hist. 1598 chocolate « breuvage fait avec des amandes de cacao » (Hist. nat. et mor. des Indes tant or. qu'occ. comp. en cast. par J. de Acosta et trad. en fr. par Rob. Regnault Cauxois, fol. 172b [à propos du Pérou] ds König, p. 66); 1640 chocolate (J. de Laet, L'Hist. du Nouv. Monde ou Descr. des Indes Occ., p. 127 [à propos du Mexique], ibid.) ? 1740 (Trév.); 1659 chocolat « substance alimentaire composée essentiellement de cacao et de sucre » (Lettres patentes données à Toulouse, citées ds un texte de 1666 ds Félibien, Hist. de la ville de Paris, 1725, t. 5, p. 204 d'apr. Arv., p. 178). Empr. à l'esp. chocolate « id. », attesté dep. ca 1580 (sous la forme chocollatl, Fr. Hernandez d'apr. Cor. et Fried.; cf. chocolate en 1590, Acosta, Hist. Nat. y Mor. de las Indias, original de la trad. citée supra, ds Fried.), lui-même empr. à un mot nahuatl dont la formation est difficilement analysable, à l'exception du suff. -atl « eau » (v. FEW t. 20, pp. 63-64; Cor.; R. Loewe ds Z. vergl. Sprachforsch., t. 61, pp. 94-95; König, pp. 66-68; Fried.).

    chocolat au Scrabble


    Le mot chocolat vaut 15 points au Scrabble.

    chocolat

    Informations sur le mot chocolat - 8 lettres, 3 voyelles, 5 consonnes, 6 lettres uniques.

    Quel nombre de points fait le mot chocolat au Scrabble ?


    Le calcul de points ne prend pas en compte lettre compte double, lettre compte triple, mot compte double et mot compte triple. Ces cases augmentent les valeurs des mots posés selon un coefficient indiqué par les règles du jeu de Scrabble.

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    chocolat

    Les rimes de « chocolat »


    On recherche une rime en LA .

    Les rimes de chocolat peuvent aider les poètes et les paroliers à trouver des mots pour former des vers avec une structure rythmique cohérente, mais aussi pour jouer avec les mots et les sons, découvrir de nouvelles idées et perspectives ce qui peut être amusant et divertissant.

    Les rimes en la

    Rimes de installât      Rimes de panatella      Rimes de pasteurella      Rimes de exila      Rimes de meugla      Rimes de râla      Rimes de salat      Rimes de hurla      Rimes de isola      Rimes de avala      Rimes de intitula      Rimes de échalas      Rimes de jubila      Rimes de gueula      Rimes de morcela      Rimes de ressembla      Rimes de salas      Rimes de régalât      Rimes de interpella      Rimes de chancela      Rimes de bascula      Rimes de renouvelât      Rimes de insula      Rimes de blabla      Rimes de fignola      Rimes de manipula      Rimes de flageola      Rimes de la      Rimes de acculât      Rimes de ficela      Rimes de rebellât      Rimes de câbla      Rimes de pantela      Rimes de basculât      Rimes de calla      Rimes de la      Rimes de encercla      Rimes de houlà      Rimes de jugula      Rimes de bla-bla      Rimes de fila      Rimes de postulat      Rimes de souffla      Rimes de recula      Rimes de siffla      Rimes de frôla      Rimes de mollah      Rimes de déboucla      Rimes de refila      Rimes de cola     

    Mots du jour

    installât     panatella     pasteurella     exila     meugla     râla     salat     hurla     isola     avala     intitula     échalas     jubila     gueula     morcela     ressembla     salas     régalât     interpella     chancela     bascula     renouvelât     insula     blabla     fignola     manipula     flageola     la     acculât     ficela     rebellât     câbla     pantela     basculât     calla     la     encercla     houlà     jugula     bla-bla     fila     postulat     souffla     recula     siffla     frôla     mollah     déboucla     refila     cola     


    Les citations sur « chocolat »

    1. La vie, c'est comme une boîte de chocolats : on ne sait jamais sur quoi on va tomber
      Forrest Gump : Mama always said life was like a box of chocolates, you never know what you're gonna get
      Tom Hanks, Forrest Gump (1994), écrit par Robert Zemeckis


      Auteur : Robert Zemeckis - Source : Forrest Gump, dans le film Forrest Gump.


    2. Il avait fait de la salle d'armes pendant des années, et il avait des fleurets et des épées. Il imagina de créer pour les jeunes ouvriers de la chocolaterie un cours d'escrime.

      Auteur : Louis Aragon - Source : Les Beaux Quartiers (1936)


    3. Tenez! mon oncle, ou je me trompe, ou vous n'avez pas déjeuné. Vous êtes resté le coeur à jeun sur cette maudite lettre de change; avalons-la de compagnie! Je vais demander le chocolat.

      Auteur : Alfred de Musset - Source : Il ne faut jurer de rien (1836)


    4. Qu'importe, si la petite barre de chocolat au lait ne plaît pas aux papilles adultes amères, sa suavité d'enfance en est multipliée. C'est un goûter de luxe.

      Auteur : Philippe Delerm - Source : Dickens, barbe à papa et autres nourritures délectables (2005)


    5. Pas d'bras, pas d'chocolat.

      Auteur : Olivier Nakache - Source : Intouchables (2011)


    6. Maman disait toujours, « la vie, c'est comme une boîte de chocolats : on ne sait jamais sur quoi on va tomber »

      Auteur : Robert Zemeckis - Source : Forrest Gump, dans le film Forrest Gump.


    7. La culture, ce n'est pas comme la confiture mais comme le chocolat : une gourmandise qui se déguste par plaisir et se partage entre amis !

      Auteur : Didier Hallépée - Source : La culture générale par les citations


    8. Qui sait si l'abus de chocolat n'est pas entré pour quelque chose dans l'avilissement de la nation espagnole qui, au moment de la découverte du chocolat, allait recommencer l'Empire romain ?

      Auteur : Honoré de Balzac - Source : Pathologie de la vie sociale (1833-1839), Traité des excitants modernes


    9. Quand on a envie de crever, le chocolat a encore meilleur goût que d'habitude.

      Auteur : Romain Gary - Source : La vie devant soi (1975) (sous le pseudonyme d'Emile Ajar)


    10. On nous donne à déjeuner, entre neuf et dix heures, toujours une volaille au riz, des fruits crus, ou des compotes, du thé, du café ou du chocolat; à une heure on sert le dîner.

      Auteur : Donatien Alphonse François, marquis de Sade - Source : Justine ou les Malheurs de la vertu (1791)


    11. Est-ce que la maman d'un oeuf de Pâques c'est une poule en chocolat ?

      Auteur : Mots d'enfants - Source : Mots d’enfants : leurs phrases rigolotes


    12. Le mieux serait que je me transforme en tablette de chocolat, là maintenant, le temps passerait plus vite et je m'inquiéterais moins dans mon papier aluminium.

      Auteur : Marc Lévy - Source : Et si c'était vrai... (2000)


    13. le capitaine Armand leur a dit : « Vous les Chocolats d'Afrique noire, vous êtes naturellement les plus courageux parmi les courageux. La France reconnaissante vous admire. Les journaux ne parlent que de vos exploits ! »

      Auteur : David Diop - Source : Frère d’âme


    14. D'autres aliments ne sont que nourriture. Mais le chocolat est chocolat.

      Auteur : Patrick Skene Catling - Source : Sans référence


    15. Les boys bands ont leur chemise ouverte pour qu'on puisse voir leur tablette de chocolat et un pantalon moulant pour qu'on puisse voir les noisettes!

      Auteur : Laurent Ruquier - Source : Il faut savoir changer de certitudes (1999)


    16. Comment apprécier une taille de guêpe lorsque l'on a goûté au parfum d'une reine ? Imelda possède un corps de chocolat, double crème, à s'en empiffrer. Des formes qui débordent, floues, changeantes, un nuage de sensualité à pétrir de ses désirs

      Auteur : Michel Bussi - Source : Ne lâche pas ma main (2013)


    17. L'ontueuse mousse au chocolat accompagnée de craquettes à l'anis.

      Auteur : Robert Sabatier - Source : Les Enfants de l'été (1978)


    18. Ils se firent un ennemi de l'épicier, en lui soutenant qu'il adultérait ses chocolats.

      Auteur : Gustave Flaubert - Source : Bouvard et Pécuchet (1881)


    19. Romantisme, Périgord et chocolat, je les préfère en noir.

      Auteur : Marie-Josée Christien - Source : Petites notes d'amertume (2014)


    20. Aimez le chocolat à fond, sans complexe ni fausse honte, car rappelez-vous: «sans un grain de folie, il n'est point d'homme raisonnable».

      Auteur : François de La Rochefoucauld - Source : Sans référence


    21. J'avais besoin de mon assassinat quotidien comme d'autres de leur tablette de chocolat noir.

      Auteur : Amélie Nothomb - Source : Journal d'Hirondelle (2006)


    22. La force c'est de pouvoir casser une barre de chocolat en quatre et de n'en manger qu'un carré.

      Auteur : Judith Viorst - Source : Sans référence


    23. A quoi servent les cartouches dans une bataille? Moi, à la place, j'emporte toujours du chocolat.

      Auteur : George Bernard Shaw - Source : Sans référence


    24. Heureux chocolat, qui après avoir couru le monde, à travers le sourire des femmes, trouve la mort dans un baiser savoureux et fondant de leur bouche.

      Auteur : Anthelme Brillat-Savarin - Source : Sans référence


    25. Le chocolat plonge des êtres par ailleurs normaux dans d'étranges états extatiques.

      Auteur : John West - Source : Sans référence


    Les citations sur chocolat renforcent la crédibilité et la pertinence de la définition du mot chocolat en fournissant des exemples concrets et en montrant l'utilisation d'un terme par des personnes célèbres. Elles peuvent également renforçer la compréhension du sens d'un terme et en ajoutant une dimension historique.

    Les mots proches de « chocolat »

    ChocChocolatChoeurChogounChoineChoirChoiselChoisi, ieChoisirChoisissableChoisisseurChoixCholagogueCholédoqueCholériqueChômableChômageChômerChômeurChopeChopéeChopineChopinerChopperChoqué, éeChoquementChoquerChoragiqueChorégeChorionChoristeChorographieChoroïdeChorusChoseChosetteChottChouChouanChouanismeChouannerChouannerieChoucasChoueChouetteChoulerChouquetChoyé, éeChoyer

    Les mots débutant par cho  Les mots débutant par ch

    choaneschocchocchocardchochottechochottechochotteschochotteschocolatchocolatchocolatéchocolatéechocolatéeschocolateriechocolaterieschocolatéschocolatierchocolatièrechocolatschocottesChocqueschocschocschoeurchoeurschoiechoientchoierontChoilley-DardenaychoirchoiraschoisChoiselChoiseulChoiseychoisichoisichoisiechoisiechoisieschoisiesChoisieschoisîmeschoisirchoisirachoisiraichoisiraientchoisiraischoisiraitchoisiras

    Les synonymes de « chocolat»

    Les synonymes de chocolat :

      1. brun
      2. sombre
      3. châtain
      4. brunâtre
      5. bistre
      6. marron
      7. tabac
      8. terreux
      9. bronzé
      10. hâlé
      11. cacao
      12. bonbon

    synonymes de chocolat

    Fréquence et usage du mot chocolat dans le temps


    Évolution historique de l’usage du mot « chocolat » avec Google Books Ngram Viewer qui permet de suivre l’évolution historique de l'usage du mot chocolat dans les textes publiés.



    Classement par ordre alphabétique des définitions des mots français.


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