Définition de « emboucher »
Notre dictionnaire de français vous présente les définitions du mot emboucher de manière claire et concise, avec des exemples pertinents pour aider à comprendre le sens du mot.
Il comprend des informations supplémentaires telles que des exemples d'expressions, l'étymologie, les synonymes, les homonymes, les antonymes mais également les rimes et anagrammes et bien sûr des citations littéraires sur emboucher pour aider à enrichir la compréhension du mot Emboucher et répondre à la question quelle est la définition de emboucher ?
Une définition simple : emboucher (t) (1ergroupe)
Définitions de « emboucher »
Trésor de la Langue Française informatisé
EMBOUCHER1, verbe trans.
EMBOUCHER2, verbe trans.
,,Mettre un animal à l'herbage pour l'engraisser`` (St-Riquier-Delp. 1975).Wiktionnaire
Verbe - français
emboucher \??.bu.?e\ transitif 1er groupe (voir la conjugaison) (pronominal : s'emboucher)
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(Musique) Mettre à sa bouche un instrument à vent, afin d'en tirer des sons.
- Au centre, entre les Dômes, la Renommée embouchait sa trompette et lançait un grand jet vers le ciel, dans une cuve octogonale entourée d'une balustrade circulaire. ? (Jean de La Varende, Versailles, édition Henri Lefebvre, 1959, page 111)
- Ce même Blake avait parfois des accès de douceur assez inattendus ; il embouchait alors le pipeau dont il tirait des airs naïfs ; il avait le tempérament pastoral du Parisien qui soupire après la campagne d'Argenteuil. ? (Julien Green, William Blake, prophète, dans Suite anglaise, 1972, Le Livre de Poche, page 41)
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(Hippologie) Munir de quelque chose qu'on met dans la bouche, en particulier à propos d'un mors.
- Emboucher un cheval, lui mettre un mors dans la bouche.
- Avant de sortir le cheval, le piqueur ou le palefrenier le peigne, le lisse, et, en retirant la couverture, si on le lui ordonne, il en profite pour l'emboucher. ? (Gabriel Maury, Des ruses employées dans le commerce des solipèdes, Jules Pailhès, 1877)
- Vous l'avez récupéré pour discipliner à votre tour la population, pour l'assoupir dans le confort repu de la consommation et l'emboucher de plaisirs immédiats. ? (Alain Damasio, La Zone du dehors, éditions La Volte, 2007, Gallimard Folio SF, 2009, page 377)
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(Argot) Invectiver, faire passer un message pour expliquer quelque chose, faire la leçon.
- Exemple d'utilisation manquant. (Ajouter)
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(Pronominal) (Argot) S'engueuler.
- Exemple d'utilisation manquant. (Ajouter)
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(Marine) Entrer dans l'embouchure d'une rivière.
- Exemple d'utilisation manquant. (Ajouter)
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(Pronominal) Commencer à passer dans un endroit resserré, en parlant d'un bateau.
- Exemple d'utilisation manquant. (Ajouter)
Dictionnaire de l'Académie française, huitième édition
Mettre à sa bouche un instrument à vent, afin d'en tirer des sons. Emboucher une trompette, un cor. Fig., Emboucher la trompette, Prendre le ton élevé, sublime. Il est ironique. Fig. et pop., Être mal embouché, Avoir l'habitude de parler impertinemment, de dire ou des injures ou des paroles indécentes. Il signifie aussi Munir de quelque chose qu'on met dans la bouche. Il se dit spécialement à propos d'un Mors. Emboucher un cheval.
S'EMBOUCHER se dit d'un Bateau qui commence à passer dans quelque endroit resserré.
Littré
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1 Terme de musique. Appliquer sa bouche à un instrument à vent pour en tirer des sons. Emboucher un cor, une flûte.
Fig. et poétiquement. Emboucher la trompette, prendre un ton élevé, sublime.
Nous avons vu l'auteur [Bossuet] emboucher la trompette pendant une moitié de son récit
, Chateaubriand, Gén. III, IV, 4.Fig. et familièrement. Emboucher la trompette, dire à tout le monde, ébruiter.
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2 Terme de manége. Mettre les mors dans la bouche d'un cheval.
Choisir le mors qui convient le mieux à un cheval.
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3 Fig. Instruire d'avance de ce qu'il faut dire, faire le bec. Avant que de l'envoyer, il faut l'emboucher, de peur qu'il ne dise quelque sottise.
Mon diable d'homme, qui avait son petit intérêt dans cette affaire, courut prévenir les aumôniers, et emboucha si bien les bons prêtres que?
, Rousseau, Conf. II. - 4 Terme de marine. Pénétrer dans une embouchure, en parlant d'un vaisseau.
- 5S'emboucher, v. réfl. Avoir son embouchure, en parlant des rivières. La Marne s'embouche dans la Seine à six kilomètres de Paris. La Seine s'embouche dans la mer auprès du Havre.
HISTORIQUE
XVe s. Se un voisin s'est approché De ce debat là sans faintise, Chascun en sera embouché
, Coquillart, les Droits nouv.
XVIe s. D'un parler sainct, plein de deception, Le faux parjure est tousjours embouché
, Marot, IV, 245. Ses fiers chevaux il attele, et embouche D'escumeux freins leur braveté farouche
, Du Bellay, J. IV, 38, verso. Et pour ce qu'il y avoit tous-jours quelque canon et arquebuserie qui embouchoient [battaient dans] les portes
, D'Aubigné, Hist. I, 312. Ce canon de son premier coup emboucha et creva un vertueil [sorte de canon] du fort
, D'Aubigné, ib. III, 21. Solon luy demanda incontinent s'il y avoit rien de nouveau, et l'estranger, que Thalès avoit embouché, respondit?
, Amyot, Solon, 9. Il envoya quelqu'un de ses familiers vers luy, l'ayant embouché de dire que?
, Amyot, Nicias, 46. Marsyas qui inventa la hanche [l'anche] pour emboucher le hautbois
, Amyot, Comment. refrén. la colère, 12.
Encyclopédie, 1re édition
EMBOUCHER, v. act. (Manége.) terme qui dans sa véritable acception signifie & désigne non-seulement l'action de donner un mors quelconque à un cheval, mais l'art de le fabriquer & de l'approprier parfaitement à l'animal auquel on le destine.
Il est aussi difficile de fixer avec précision le tems où les hommes ont imaginé de réduire le cheval & de le maîtriser, en profitant adroitement de la sensibilité de sa bouche & de la disposition de cet organe à subir les diverses impressions de la main du cavalier, qu'il le seroit de déterminer véritablement celui où nous avons commencé à triompher de cet animal, & à le faire servir à nos besoins & à notre usage. D'un côté ces points de fait sont ensevelis dans une nuit dont il ne nous est pas permis de percer l'obscurité ; & de l'autre, ce que la tradition nous en apprend, en la supposant même dépouillée de toute ambiguité, ne nous conduiroit point exactement au vrai n?ud de la difficulté que nous nous proposerions d'éclaircir & de resoudre. Nous ne pouvons douter que dans la langue des Grecs, une grande partie des termes consacrés à la navigation étoient adaptés à l'équitation. Nous trouvons dans Suidas celui de ????? ou de coureur, également employé pour désigner des vaisseaux legers & des chevaux de course. Nous voyons qu'Homere appelloit les vaisseaux, des chevaux de mer, ???? ????? : il nomme encore le pilote, le cocher d'un vaisseau. Pindare, le premier qui parmi les poëtes dont les ouvrages sont parvenus jusqu'à nous, ait donné Pégase pour monture à Bellérophon, & qui ait prétendu que Minerve surnommée par cette raison Chalinitis, lui a montré l'art de le dompter & de lui mettre un frein, appelle lui-même du nom de brides les ancres qui servent à fixer les vaisseaux ; tandis que Nonnus met en usage le mot ???????, qui signifie frein, pour désigner les gouvernails des vaisseaux de Cadmus. Or quand nous ne serions pas fondés à inférer de ces expressions avec M. Freret (Voyez le vol. XIII. des mém. de l'acad. des Inscript. & Belles-Lett.), que le Pégase de Pindare étoit constamment un vaisseau dont Bellérophon s'empara, & la bride prétendue que Minerve lui donna, un gouvernail qu'il construisit ; & que nous pourrions croire au contraire que ce Pégase étoit un cheval, & cette bride une sorte de mors, nous n'en serions pas plus satisfaits & plus instruits, relativement à l'époque certaine de l'invention des embouchures, & relativement encore à l'espece de celle à laquelle ce même Bellérophon auroit eu recours. Des recherches sur le genre de ce frein seroient d'autant plus infructueuses, qu'aucun auteur ne nous en offre le plus leger indice ; & peut-être aussi que si quelques-uns d'entre eux l'avoient caractérisé par quelques denominations particulieres, ce qu'ils nous en auroient dit ne seroit pas plus instructif que leur silence. Il est constant, par exemple, qu'au tems où vivoit Xénophon, on embouchoit les chevaux ; non-seulement il nous donne des préceptes sur la maniere de brider l'animal, infrenetur, mais il s'exprime en termes trop clairs & trop positifs, pour que nous puissions résister à l'évidence de ce fait, ferrum freni sive lupos. Sommes-nous néanmoins plus éclairés sur la forme de ces loups, ou de ces freins louvetés dont nous parlent encore Ovide, Silius, Horace, & Virgile ?
Tempore paret equus lentis animosus habenis
Et placido duros accipit ore lupos. Ovid.
Quadrupedem flectit non cedens virga lupatis. Sil.
Lupatis temperet ora frenis. Hor.
Asper equus duris contunditur ora lupatis. Virg.
Les commentateurs se sont long-tems exercés sur ce point. Si nous nous en rapportons à eux, & principalement à Servius, nous devons penser que ces freins hérissés de pointes, ou armés & garnis de dents de loup inégales entre elles, étoient destinés aux chevaux dont la bouche étoit en quelque façon dépourvûe de sentiment. Mais comment, avec quelque connoissance de la conformation de cet organe, se persuader qu'une embouchure de cette sorte n'étoit pas plûtôt capable de desespérer l'animal, que de l'assujettir ? D'un autre côté, nous voyons dans le t. IV. du suppl. au liv. de l'antiq. du P. de Montfaucon, un mors de bride antique ; le fer, qui traversoit la bouche du cheval, est terminé d'une part par la tête d'un cheval : or ne pourroit-on pas présumer avec plus de raison, que ces mots lupata frena doivent s'entendre d'un frein qui avoit non une tête de cheval, mais une tête de loup à l'une de ses extrémités, ou à chacune d'elles ? Il est vrai que l'on peut objecter que ce mors prétendu n'en est point un, d'autant plus que sa configuration est très-extraordinaire, & dès-lors nous retomberons dans l'incertitude & dans les ténebres.
Tous les pas que nous pourrions faire, nous menant donc au doute & non à des découvertes sûres & avantageuses, je crois qu'il seroit plus simple & plus naturel de penser que les premiers peuples, qui inspirés par leurs besoins, ont cherché dans le cheval des ressources favorables aux commodités de la vie & du commerce, après l'avoir adouci & rendu familier, le conduisirent d'abord au son de la voix, & dirigerent ensuite sa marche à la maniere des Numides & des Gétules, appellés par tous les auteurs, ainsi qu'Appien appelle en général les Africains, gens inscia freni, c'est-à-dire qu'ils guiderent leurs chevaux avec un bâton, à-peu-près comme les Maures le pratiquerent ensuite, & comme quelques-uns le pratiquent encore aujourd'hui. La nécessité où l'on fut d'attacher le cheval pour le fixer en un lieu quelconque, suggéra l'idée de lui passer une corde autour de l'encolure ; telle est celle que l'on observe au-bas du cou du cheval de chaque Maure dans la colonne Trajane. Cette corde servit sans doute insensiblement de frein ; Strabon même nous assûre que plusieurs Maures employoient des freins de corde : or quoique celle qui entoure l'encolure ne paroisse point captiver la tête de l'animal, il est vraissemblable qu'elle pouvoit faciliter les moyens d'arrêter & de faire tourner le cheval, puisque nous sommes chaque jour convaincus par nos propres yeux, que des paysans grossiers maîtrisent & soûmettent par cette voie leurs chevaux. Le hasard ayant peut-être encore démontré le plus grand empire de l'homme sur cet animal, lorsqu'il est assujetti & maintenu par la tête, engagea à transporter à cette partie les liens placés au cou ; peu-à-peu & à mesure que l'occasion détermina à le retenir, on s'apperçut du pouvoir qu'on acquéroit sur lui, soit en le saisissant par les nasaux, soit en contournant cette corde en forme de muserolle ; enfin on parvint à reconnoître vaguement le sentiment dont sa bouche est doüée ; delà les brides & les licous dont parle Xénophon, & qui sont représentés sur les monumens romains. J'avoüe qu'en considérant les mors que nous offrent & que nous peignent la colonne Trajane, la colonne Antonine, & les autres marbres qui nous restent, nous ne voyons que des mors sans renes, mais ceux que nous remarquons sur la colonne de Théodose en sont garnis. Je conviendrai de plus, que les unes & les autres de ces embouchures de métal ou d'une matiere quelconque, ne sont nullement assemblées à des branches, & que nous ne trouvons pas le plus leger vestige de cette chaîne que nous nommons gourmette ; d'où je concluds que toutes ces additions sont postérieures, & que nous sommes parvenus au point où nous sommes à cet égard par la même route, c'est-à-dire par la voie toûjours lente du tâtonnement.
Quoi qu'il en soit de ces différentes conjectures, notre unique objet dans cet ouvrage est d'être utiles, & non de paroître & de nous montrer érudits. Je dirai donc que la science d'emboucher les chevaux, est de toutes les parties que renferme la science de l'Eperonnier, la plus délicate & la plus épineuse : les autres ouvrages auxquels il se livre demandent l'élégance dans les formes, la solidité dans la construction, la propreté, le fini dans l'exécution ; mais, eu égard à celui-ci, ces conditions ne sont pas suffisantes Les principes d'après lesquels l'Eperonnier doit agir, doivent être nécessairement fondés sur la connoissance parfaite, 1°. de la conformation de quelques parties du cheval : 2°. des situations respectives que la nature leur a assigné dans chaque individu : 3°. des rapports de force, de sensibilité, & de mouvemens qu'elle a mis entr'elles & les autres portions du corps : 4°. des effets méchaniques de cette machine simple, destinée à entretenir comme milieu, l'intime réciprocité du sentiment de la bouche de l'animal & de la main du cavalier ; effets qu'il est indispensable d'apprécier, pour fixer avec précision les mesures des parties du mors, mais dont cependant la théorie générale des leviers ne nous donne pas toutes les solutions que nous desirerions, parce qu'il entre dans les calculs auxquels nous nous abandonnons, en la consultant, une multitude d'élémens purement physiques, dont il est presque impossible de fixer la valeur. Aussi me suis-je défendu, dans une telle complication, la desunion de ces différens objets. J'ai pensé qu'en ne les séparant pas, & en les présentant sous un seul & unique point de vûe, je deviendrois plus intelligible. Voyez Mors. Vous trouverez à cet article tout ce qui peut, relativement à cette matiere, regarder l'art & le travail de l'Eperonnier. (e)
* Emboucher, v. act. (Luth.) il se dit en général des instrumens à vent ; les emboucher, c'est les appliquer à sa bouche de la maniere dont il convient, pour en tirer avec facilité tous les sons harmoniques qu'ils peuvent rendre.
Étymologie de « emboucher »
En 1, et bouche.
emboucher au Scrabble
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Informations sur le mot emboucher - 9 lettres, 4 voyelles, 5 consonnes, 8 lettres uniques.
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Les rimes de « emboucher »
On recherche une rime en SE .
Les rimes de emboucher peuvent aider les poètes et les paroliers à trouver des mots pour former des vers avec une structure rythmique cohérente, mais aussi pour jouer avec les mots et les sons, découvrir de nouvelles idées et perspectives ce qui peut être amusant et divertissant.
Les rimes en Se
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glacez compensez talochait penser éclipser foncées déchaussaient taxés engloutissaient ébauché sensées re-potassé amincissait malaxées connaissait éblouissez aplanissait percher récompensées déclenchait redressez soutachés ratissaient décarcassée baissé renaissait dressai énonçaient baisser agrandissez tassaient émincés juchait noircissez violacé presser pêcher essaient amassez marmouset nourrissaient cuirassée rattacher mussée sachez décrochées policés mixé crécher reconnaissez
Les citations sur « emboucher »
- Pourquoi dit-on embrasser quand il faudrait dire emboucher?Auteur : Pierre Peuchmaurd - Source : L'immaculée déception (2004)
- Bouche riant, plaisante bouche, - Qui baille devant qu'on la touche. - Bouche voudrois-tu emboucher - Celui qui voudrois te boucher?Auteur : Victor Brodeau - Source : Sans référence
- Marsyas qui inventa la hanche pour emboucher le hautbois.Auteur : Jacques Amyot - Source : Comment refréner la colère, 12
Les mots proches de « emboucher »
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Les synonymes de « emboucher»
Les synonymes de emboucher :- 1. embouquer
synonymes de emboucher
Fréquence et usage du mot emboucher dans le temps
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