Définition de « g »
Notre dictionnaire de français vous présente les définitions du mot g de manière claire et concise, avec des exemples pertinents pour aider à comprendre le sens du mot.
Il comprend des informations supplémentaires telles que des exemples d'expressions, l'étymologie, les synonymes, les homonymes, les antonymes mais également les rimes et anagrammes et bien sûr des citations littéraires sur g pour aider à enrichir la compréhension du mot G et répondre à la question quelle est la définition de g ?
Une définition simple : (lettre|g|G|?e) g (m) (inv)
Définitions de « g »
Trésor de la Langue Française informatisé
G, g, subst. masc.
La septième lettre de l'alphabet. Un exemplaire de cette lettre. Le g ne se rencontre devant le g, le d et l'm que dans les mots de la langue savante; il se rencontre devant l'n, soit dans la langue vulgaire, soit dans la langue savante (ThurotPrononc. t. 2 1883, p. 344).G, g, subst. masc.
La septième lettre de l'alphabet. Un exemplaire de cette lettre. Le g ne se rencontre devant le g, le d et l'm que dans les mots de la langue savante; il se rencontre devant l'n, soit dans la langue vulgaire, soit dans la langue savante (ThurotPrononc. t. 2 1883, p. 344).Wiktionnaire
Nom commun - français
g \?e\ masculin invariable
- (Physique) (Métrologie) Unité de mesure de la gravité ou l'accélération, correspondant approximativement à la gravité terrestre moyenne, valant 9,80665 m/s².
- (Par extension) Accélération mesurée en cette unité.
-
(Métrologie, Sylviculture) Surface terrière d'un arbre.
- La surface terrière (notée g) d'un arbre correspond à la surface de la section transversale de cet arbre à hauteur d'homme. En clair, c'est la surface du tronc coupé à 1,30 m. ? (CRPF Lorraine-Alsace, La surface terrière : une mesure très terre à terre, in Floréal, n°100, mars 2015 ? lire en ligne)
Dictionnaire de l'Académie française, huitième édition
La septième lettre de l'alphabet. Elle représente une des consonnes. Un grand G. Un petit g. Il se prononce gue devant une consonne : Gros, Engloutir; devant a, o, u : Galant, Gosier, Auguste, et à la finale de quelques mots, tels que : Grog, zig-zag. Il se prononce j devant e, i, y : Geler, Agiter, Gymnastique. Il ne se prononce pas dans l'intérieur des mots : Doigt, Vingt; non plus qu'à la finale ng : Sang, Seing, Étang. Gn, dans l'intérieur des mots, représente une consonne mouillée : Digne, Signal, Agneau, sauf dans les mots dérivés du latin ou du grec où g garde le son gue : Stagnant, Diagnostic.
Littré
- La septième lettre de l'alphabet et la cinquième consonne.
Le son propre de cette lettre est guttural devant les voyelles fortes, a, o, u?: galerie, gosier, guttural, et il se conserve à la fin des mots quand on le prononce?: Agag, whig, et devant une autre consonne?: Bagdad, règle, aigrir. Outre ce son propre, le g a un son dérivé, chuintant, tel que celui du j devant les voyelles faibles e, i, y?: gîte, gésier, gynécée.
Quand il faut, devant l'e, l'i, l'y, que g ait le son qui lui est propre, on le fait suivre d'un u?: guider, guenon. Au contraire, quand on veut, devant a, o, u, lui donner le son chuintant, on le fait suivre d'un e muet?: geai, geôle, gageure, prononcés jai, jôle, gajure.
Gn a un son particulier qui ne peut-être figuré et qui doit être perçu par l'oreille?: magnanime, ignorant, etc.?; ce son est le même que pour le gn italien et le ñ espagnol?; bien qu'il soit figuré par deux caractères, c'est pourtant une articulation simple et qui pourrait être représentée par un seul caractère.
Gn, dans quelques mots venus du grec ou du latin, garde la prononciation qui appartient à chacune des deux lettres?: gnostique, igné.
G final, précédé d'une nasale, est muet?: long, rang?; mais, suivi d'un mot commençant par une voyelle ou une h muette, il devient sonore, et se prononce d'ordinaire comme un k?: de rang en rang, un long hiver?; non sans exception pourtant?; car g final est muet, même devant une voyelle, dans certains mots?: seing, étang.
G, en chimie, signifie glycinium.
Terme de musique. G-ré-sol, pour sol-si-ré-sol, indique le ton de sol, dans l'ancienne solmisation française. Il indique le sol dans la solmisation allemande et anglaise.
G, sur les anciennes monnaies de France, est la marque de la monnaie frappée à Poitiers.
HISTORIQUE
XIIIe s. Plus que nule letre que j'oie, Signifie G la goie [joie] Qui par feme revient au monde
, Senefiance de l'ABC, dans JUBINAL, t. II, p. 278.
SUPPLÉMENT AU DICTIONNAIRE
G. Ajoutez?:G est la marque des monnaies françaises frappées à Genève, de l'an VI à l'an XIII.
Encyclopédie, 1re édition
, s. m. (Gramm.) c'est la troisieme lettre de l'alphabet des Orientaux & des Grecs, & la septieme de l'alphabet latin que nous avons adopté.
Dans les langues orientales & dans la langue greque, elle représentoit uniquement l'articulation gue, telle que nous la faisons entendre à la fin de nos mots françois, digue, figue ; & c'est le nom qu'on auroit dû lui donner dans toutes ces langues : mais les anciens ont eu leurs irrégularités & leurs écarts comme les modernes. Cependant les divers noms que ce caractere a reçus dans les différentes langues anciennes, conservoient du-moins l'articulation dont il étoit le type : les Grecs l'appelloient gamma, les Hébreux & les Phéniciens gimel, prononcé comme guimauve ; les Syriens gomal, & les Arabes gum, prononcé de la même maniere.
On peut voir (article C & méth. de P. R.) l'origine du caractere g dans la langue latine ; & la preuve que les Latins ne lui donnoient que cette valeur, se tire du témoignage de Quintilien, qui dit que le g n'est qu'une diminution du c : or il est prouvé que le c se prononçoit en latin comme le kappa des Grecs, c'est-à-dire qu'il exprimoit l'articulation que, & conséquemment le g n'exprimoit que l'articulation gue. Ainsi les Latins prononçoient cette lettre dans la premiere syllabe de gygas comme dans la seconde ; & si nous prononçons autrement, c'est que nous avons transporté mal-à-propos aux mots latins les usages de la prononciation françoise.
Avant l'introduction de cette lettre dans l'alphabet romain, le c représentoit les deux articulations, la forte & la foible, que & gue ; & l'usage faisoit connoître à laquelle de ces deux valeurs il falloit s'en tenir : c'est à-peu-près ainsi que notre s exprime tantôt l'articulation forte, comme dans la premiere syllabe de Sion, & tantôt la foible, comme dans la seconde de vision. Sous ce point de vûe, la lettre qui désignoit l'articulation gue, étoit la troisieme de l'alphabet latin, comme de celui des Grecs & ces Orientaux. Mais les doutes que cette équivoque pouvoit jetter sur l'exacte prononciation, fit donner à chaque articulation un caractere particulier ; & comme ces deux articulations ont beaucoup d'affinité, on prit pour exprimer la foible le signe même de la forte C, en ajoûtant seulement sur sa pointe inférieure une petite ligne verticale G, pour avertir le lecteur d'en affoiblir l'expression.
Le rapport d'affinité qui est entre les deux articulations que & gue, est le principe de leur commutabilité, & de celle des deux lettres qui les représentent, du c & du g ; observation importante dans l'art étymologique, pour reconnoître les racines génératrices naturelles ou étrangeres de quantité de mots dérivés : ainsi notre mot françois Cadix vient du latin Gades, par le changement de l'articulation foible en forte ; & par le changement contraire de l'articulation forte en foible, nous avons tiré gras du latin crassus ; les Romains écrivoient & prononçoient indistinctement l'une ou l'autre articulation dans certains mots, vicesimus ou vigesimus, Cneius ou Gneius. Dans quelques mots de notre langue, nous retenons le caractere de l'articulation forte, pour conserver la trace de leur étymologie ; & nous prononçons la foible, pour obéir à notre usage, qui peut être a quelque conformité avec celui de la latine : ainsi nous écrivons Claude, cicogne, second, & nous prononçons Glaude, cigogne, segond. Quelquefois au contraire nous employons le caractere de l'articulation foible, & nous prononçons la forte ; ce qui arrive sur tout quand un mot finit par le caractere g, & qu'il est suivi d'un autre mot qui commence par une voyelle ou par un h non aspiré : nous écrivons sang épais, long hyver, & nous prononçons san-k-épais, lon-k-hyver.
Assez communément, la raison de ces irrégularités apparentes, de ces permutations, se tire de la conformation de l'organe ; on l'a vû au mot Fréquentatif, où nous avons montré comment ago & lego ont produit d'abord les supins agitum, legitum, & ensuite, à l'occasion de la syncope, actum, lectum.
L'euphonie, qui ne s'occupe que de la satisfaction de l'oreille, en combinant avec facilité les sons & les articulations, décide souverainement de la prononciation, & souvent de l'ortographe, qui en est ou doit en être l'image ; elle change non-seulement g en c, ou c en g ; elle va jusqu'à mettre g à la place de toute autre consonne dans la composition des mots ; c'est ainsi que l'on dit en latin aggredi pour adgredi, suggerere pour sub gerere, ignoscere pour in-noscere ; & les Grecs écrivoient ???????; ??????, ???????, quoiqu'ils prononçassent comme les Latins ont prononcé les mots angelus, ancora, Anchises, qu'ils en avoient tirés, & dans lesquels ils avoient d'abord conservé l'ortographe greque, aggelus, agcora, Agchises : ils avoient même porté cette pratique, au rapport de Varron, jusque dans des mots purement latins, & ils écrivoient aggulus, agceps, iggero, avant que décrire angulus, anceps, ingero : ceci donne lieu de soupçonner que le g chez les Grecs & chez les Latins dans le commencement, étoit le signe de la nasalité, & que ceux-ci y substituerent la lettre n, ou pour faciliter les liaisons de l'écriture, ou parce qu'ils jugerent que l'articulation qu'elle exprime étoit effectivement plus nasale. Il semble qu'ils ayent aussi fait quelque attention à cette nasalité dans la composition des mots quadringenti, quingenti, où ils ont employé le signe g de l'articulation foible gue, tandis qu'ils ont conservé la lettre c, signe de l'articulation forte que, dans les mots ducenti, sexcenti, ou la syllabe précédente n'est point nasale.
Il ne paroît pas que dans la langue italienne, dans l'espagnole, & dans la françoise, on ait beaucoup raisonné pour nommer ni pour employer la lettre G & sa correspondante C ; & ce défaut pourroit bien, malgré toutes les conjectures contraires, leur venir de la langue latine, qui est leur source commune. Dans les trois langues modernes, on employe ces lettres pour représenter différentes articulations ; & cela à-peu-près dans les mêmes circonstances : c'est un premier vice. Par un autre écart aussi peu raisonnable, on a donné à l'une & à l'autre une dénomination prise d'ailleurs, que de leur destination naturelle & primitive. On peut consulter les Grammaires italienne & espagnole : nous ne sortirons point ici des usages de notre langue.
Les deux lettres C & G y suivent jusqu'à certain point le même système, malgré les irrégularités de l'usage.
1°. Elles y conservent leur valeur naturelle devant les voyelles a, o, u, & devant les consonnes l, r : on dit, galon, gosier, Gustave, gloire, grace, comme on dit, cabanne, colombe, cuvette, clameur, crédit,
2°. Elles perdent l'une & l'autre leur valeur originelle devant les voyelles e, i ; celle qu'elles y prennent leur est étrangere, & a d'ailleurs son caractere propre : C représente alors l'articulation se, dont le caractere propre est s ; & l'on prononce cité, céleste, comme si l'on écrivoit sité, séleste : de même G représente dans ce cas l'articulation je, dont le caractere propre est j ; & l'on prononce génie, gibier, comme s'il y avoit jénie, jibier.
3°. On a inséré un e absolument muet & oiseux après les consonnes C & G, quand on a voulu les dépouiller de leur valeur naturelle devant a, o, u, & leur donner celle qu'elles ont devant e, i. Ainsi on a écrit commencea, perceons, conceu, pour faire prononcer comme s'il y avoit commensa, persons, consu ; & de même on a écrit mangea, forgeons, & l'on prononce manja, forjons. Cette pratique cependant n'est plus d'usage aujourd'hui pour la lettre c ; on a substitué la cédille à l'e muet, & l'on écrit commença, perçons, conçu.
4°. Pour donner au contraire leur valeur naturelle aux deux lettres C & G devant e, i, & leur ôter celle que l'usage y a attachée dans ces circonstances, on met après ces consonnes un u muet : comme dans cueuillir, guérir, guider, où l'on n'entend aucunement la voyelle u.
5°. La lettre double x, si elle se prononce fortement, réunit la valeur naturelle de c & l'articulation forte s, comme dans axiome, Alexandre, que l'on prononce acsiome, Alecsandre ; si la lettre x se prononce foiblement, elle réunit la valeur naturelle de G & l'articulation de ze, foible de se, comme dans exil, exemple, que l'on prononce egzil, egzemple.
6°. Les deux lettres C & G deviennent auxiliaires pour exprimer des articulations auxquelles l'usage à refusé des caracteres propres. C suivi de la lettre h est le type de l'articulation forte, dont la foible est exprimée naturellement par j : ainsi les deux mots Japon, chapon, ne different que parce que l'articulation initiale est plus forte dans le second que dans le premier. G suivi de la lettre n est le symbole de l'articulation que l'on appelle communément n mouillé, & que l'on entend à la fin des mots cocagne, regne, signe.
Pour finir ce qui concerne la lette G, nous ajoûterons une observation. On l'appelle aujourd'hui gé, parce qu'en effet elle exprime souvent l'articulation jé : celle-ci aura été substituée dans la prononciation à l'articulation gue sans aucun changement dans l'ortographe ; on peut le conjecturer par les mots jambe, jardin, &c. que l'on ne prononce encore gambe, gardin dans quelques provinces septentrionales de la France, que parce que c'étoit la maniere universelle de prononcer ; gambade même & gambader n'ont point de racine plus raisonnable que gambe ; de-là l'abus de l'épellation & de l'emploi de cette consonne.
G dans les inscriptions romaines avoit diverses significations. Seule, cette lettre signifioit ou gratis, ou gens, ou gaudium, ou tel autre mot que le sens du reste de l'inscription pouvoit indiquer : accompagnée, elle étoit sujette aux mêmes variations.
G. V. genio urbis, G. P. R. gloria populi romani ; Voyez les antiquaires, & particulierement le traité d'Aldus Manucius de veter. not. explanatione.
G chez les anciens a signifié quatre cents suivant ce vers.
& même quarante mille, mais alors elle étoit chargée
d'un tiret G.
G dans le comput ecclésiastique, est la septieme & la derniere lettre dominicale.
Dans les poids elle signifie un gros ; dans la Musique elle marque une des clés G-ré-sol ; & sur nos monnoies elle indique la ville de Poitiers. (E. R. M.)
* G, (Ecriture.) Le g dans l'écriture que nous
nommons italienne, est un c ferme par un j consonne.
Dans la coulée, c'est un composé de l'o & de l'j
consonne. Le grand a la même formation que le
petit ; il se fait par le mouvement mixte des doigts
& du poignet.
Étymologie de « g »
G latin, ?, gamma grec, qui vient du g phénicien, nommé gimel, proprement le cou du chameau?; ainsi dit de sa forme.
g au Scrabble
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Les rimes de « g »
On recherche une rime en ZE .
Les rimes de g peuvent aider les poètes et les paroliers à trouver des mots pour former des vers avec une structure rythmique cohérente, mais aussi pour jouer avec les mots et les sons, découvrir de nouvelles idées et perspectives ce qui peut être amusant et divertissant.
Les rimes en Ze
Rimes de nicotinisé Rimes de insensibilisé Rimes de supposaient Rimes de contextualiser Rimes de margeait Rimes de gambergé Rimes de anisée Rimes de rétrofusées Rimes de déguisés Rimes de couperosé Rimes de rengagez Rimes de monopolisez Rimes de dévaloriser Rimes de fidéliser Rimes de superposées Rimes de gargarisaient Rimes de protéger Rimes de globalisé Rimes de mitigées Rimes de mobilisaient Rimes de réorganisées Rimes de nageai Rimes de mangeait Rimes de opposait Rimes de phrasé Rimes de synthétisé Rimes de attisé Rimes de loger Rimes de subtilisés Rimes de économisée Rimes de mythologisé Rimes de désolidarisaient Rimes de éclusait Rimes de carbonisés Rimes de figé Rimes de limoger Rimes de magnétisées Rimes de transistorisés Rimes de pressurisés Rimes de allongé Rimes de sonoriser Rimes de fustigez Rimes de névrosée Rimes de incisait Rimes de préconisait Rimes de radicalisé Rimes de défiscalisé Rimes de canaliser Rimes de figées Rimes de baisaisMots du jour
nicotinisé insensibilisé supposaient contextualiser margeait gambergé anisée rétrofusées déguisés couperosé rengagez monopolisez dévaloriser fidéliser superposées gargarisaient protéger globalisé mitigées mobilisaient réorganisées nageai mangeait opposait phrasé synthétisé attisé loger subtilisés économisée mythologisé désolidarisaient éclusait carbonisés figé limoger magnétisées transistorisés pressurisés allongé sonoriser fustigez névrosée incisait préconisait radicalisé défiscalisé canaliser figées baisais
Les citations sur « g »
- Si je me soignais, je mourais. Ce qui me soutient, c'est la vie fiévreuse que je mène. Puis, se soigner, c'est bon pour les femmes du monde qui ont une famille et des amis.Auteur : Alexandre Dumas fils - Source : La Dame aux Camélias (1848)
- À Stamps, la ségrégation était si totale que la plupart des enfants noirs ne savaient pas, en vérité, à quoi ressemblaient exactement les Blancs. Excepté qu'ils étaient différents, et qu'il fallait avoir peur d'eux, et cette peur traduisait aussi l'hostilité des faibles contre les puissants, des pauvres contre les riches, des travailleurs contre les patrons et des mal habillés contre les bien vêtus. Auteur : Maya Angelou - Source : Je sais pourquoi chante l'oiseau en cage (2008)
- Le mariage et surtout la province vieillissent étonnamment un homme, l'esprit devient paresseux et un mouvement du cerveau à force d'être rare dévient pénible et bientôt impossible.Auteur : Henri Beyle, dit Stendhal - Source : Souvenirs d'égotisme (1892)
- Que Dieu serait cruel s'il n'était pas si grand!Auteur : Alphonse de Lamartine - Source : Méditations poétiques (1820), les Oiseaux
- Aussi ne se rattache t-elle (la poésie) a aucune forme d'art, à l'exclusion des autres, mais elle est un art en général, capable de façonner et d'exprimer sous n'importe qu'elle forme tout contenu susceptible de trouver accès dans l'imagination.Auteur : Georg Wilhelm Friedrich Hegel - Source : Esthétique (1832)
- De toutes les écoles de la patience et de la lucidité, la création est la plus efficace. Elle est aussi le bouleversant témoignage de la seule dignité de l'homme: la révolte tenace contre sa condition, la persévérance dans un effort tenu pour stérile.Auteur : Albert Camus - Source : Le mythe de Sisyphe (1942)
- L'habitude! aménageuse habile mais bien lente, et qui commence par laisser souffrir notre esprit pendant des semaines dans une installation provisoire ...Auteur : Marcel Proust - Source : A la recherche du temps perdu, Du côté de chez Swann (1913)
- Nos échanges ressemblent beaucoup, je trouve, toutes proportions gardées, aux échanges entre Rousseau et Voltaire.Auteur : Eric Naulleau - Source : Dialogues désaccordés (2013)
- Dougaiev se rappelait parfaitement le dicton du Nord, les trois commandements des prisonniers : « Ne crois rien, ne crains rien, ne demande rien.»
Auteur : Varlam Chalamov - Source : Récits de la Kolyma (1978)
- Il faut faire l'amour comme le pinceau traverse l'espace, il faut vivre comme les livres se font, dans la lenteur de l'urgence d'aimer.Auteur : Hafid Aggoune - Source : Les Avenirs (2004)
- Ici gît suit - Ici gît reste.Auteur : Roland Bacri - Source : Epitaphe
- Les limitations des droits fondamentaux dictés par les justes exigences de l'ordre public et du bien-être dans une société démocratique peuvent se trouver en fait plus rigoureuses vis-à-vis de l'étranger que du national. On ne saurait donc considérer que le progrès vers l'universalité dont témoigne la Déclaration, conduise à l'uniformité du régime de l'étranger et du national.Auteur : René Cassin - Source : Déclaration universelle des Droits de l'Homme
- Ne fatiguons pas la seule bouche que nous avons pour en parler.Auteur : Proverbes inuits - Source : Proverbe
- Bien que chacun estime avoir droit au bonheur, la plupart des gens entrent inconsciemment dans le malheur comme on entre en religion.Auteur : Pierre Dac - Source : L'Os à moelle
- Trois choses mènent le monde:
La loi, la religion et la bienfaisance.Auteur : Proverbes juifs - Source : Proverbe - Et qu'est-ce que tu veux faire d'autre, ballot? attendre les gendarmes? Te faire fusiller, comme un imbécile?Auteur : Roger Martin du Gard - Source : Les Thibault
- Mme Henningsen tenait son face-à-main plié, les deux verres l'un sur l'autre, et le portrait à son oeil droit en fronçant fort le sourcil.Auteur : Georges Duhamel - Source : Chronique des Pasquier: III. Vue de la Terre promise (1933-1945)
- Par sa morphologie, Sim semble être le fruit des amours d'un étourneau et d'une pointe Bic.Auteur : Michel Audiard - Source : Sans référence
- Il est facile de reconnaître un n'oeuf belge: quand vous le multipliez par 10, ça fait nonante au lieu de 90!Auteur : Laurent Ruquier - Source : Je ne vais pas me gêner (2000)
- La mort à trois âges différents. La jeune fille, la mère de famille, la grand-mère. Aucun âge ne vaut donc d'être vécu.Auteur : David Foenkinos - Source : Charlotte (2014)
- Prête à qui la réclame une main généreuse
Donne sans exiger aucun retour de lui:
Aux yeux de l'âme vertueuse,
C'est travailler pour toi que d'obliger autrui.Auteur : Denys Caton - Source : Distiques de Caton, Livre quatrième, VIII - Nous n'avions, ni les uns ni les autres, les revenus d'un roi du pétrole, mais pas ceux d'un « cantonnier du pétrole » ; nous n'avions pas de revenus du tout. Nous n'en faisions pas une histoire. Il ne serait venu à l'idée d'aucun d'entre nous de réclamer du bonheur au social, de charger le social de faire notre bonheur : nous nous occupions nous-mêmes de cette affaire de première importance. On voit que les moyens du bord y suffisaient amplement. Auteur : Jean Giono - Source : Les Terrasses de l'Ile d'Elbe (1976)
- Comme aux accoutrements, c'est pusillanimité de se vouloir marquer par quelque façon particulière et inusitée; de même, au langage, la recherche des phrases nouvelles et de mots peu connus vient d'une ambition puérile et pédantesque.Auteur : Michel de Montaigne - Source : Essais, I, 26
- Non, ne faites pas la fin
Mon amie a du chagrin
Elle attend le prince charmant
Elle attend le prince de sang
Qui viendra un jour la délivrer, la sauver.Auteur : Philippe Chatel - Source : Le roman d’Émilie Jolie (2004) - Les théories et les écoles, comme les microbes et les globules, s'entre-dévorent et assurent, par leur lutte, la continuité de la vie.Auteur : Marcel Proust - Source : A la recherche du temps perdu, Sodome et Gomorrhe (1922-1923)
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g G?rlingen G?rsdorf G?ulzin Gaas Gaasbeek gaba gabardine gabardines gabare gabariers gabarit gabarits Gabarnac gabarres Gabarret Gabaston Gabat gabbro gabe gabegie gabelle gabelou Gabian gabier gabiers Gabillou gabion gabions gable gables Gabon gabonais gabonais gabonaise Gabre Gabriac Gabriac Gabrias gabriel gabrielle Gacé gâcha gâchage gâchaient gâchais gâchait gâchant gâchât gâche
Les synonymes de « g»
Aucun synonyme.Fréquence et usage du mot g dans le temps
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Citations g Citation sur g Poèmes g Proverbes g Rime avec g Définition de g
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