La définition de G du dictionnaire français. Signification du mot et son éthymologie - De nombreux exemples d'usage en français ainsi que des citations.
G
Nature : s. m.
Prononciation : jé
Etymologie : G latin, gamma grec, qui vient du g phénicien, nommé gimel, proprement le cou du chameau ; ainsi dit de sa forme.
Notre dictionnaire de français vous présente les définitions de g de manière précise, avec des exemples pertinents pour aider à comprendre la signification du mot.
Notre dictionnaire de définitions comprend des informations complémentaires telles que la nature du mot, sa prononciation, des exemples d'expressions, l'étymologie, les synonymes, les homonymes, les antonymes mais également les rimes et anagrammes. Quand la définition du mot s'y prête nous vous proposons des citations littéraires en rapport avec g pour illustrer la compréhension du mot ou préciser le sens et de répondre à la question quelle est la signification de G ?
La définition de G
La septième lettre de l'alphabet et la cinquième consonne.
Toutes les définitions de « g »
Dictionnaire de l'Académie française, huitième édition
La septième lettre de l'alphabet. Elle représente une des consonnes. Un grand G. Un petit g. Il se prononce gue devant une consonne : Gros, Engloutir; devant a, o, u : Galant, Gosier, Auguste, et à la finale de quelques mots, tels que : Grog, zig-zag. Il se prononce j devant e, i, y : Geler, Agiter, Gymnastique. Il ne se prononce pas dans l'intérieur des mots : Doigt, Vingt; non plus qu'à la finale ng : Sang, Seing, Étang. Gn, dans l'intérieur des mots, représente une consonne mouillée : Digne, Signal, Agneau, sauf dans les mots dérivés du latin ou du grec où g garde le son gue : Stagnant, Diagnostic.
Littré
- La septième lettre de l'alphabet et la cinquième consonne.
Le son propre de cette lettre est guttural devant les voyelles fortes, a, o, u?: galerie, gosier, guttural, et il se conserve à la fin des mots quand on le prononce?: Agag, whig, et devant une autre consonne?: Bagdad, règle, aigrir. Outre ce son propre, le g a un son dérivé, chuintant, tel que celui du j devant les voyelles faibles e, i, y?: gîte, gésier, gynécée.
Quand il faut, devant l'e, l'i, l'y, que g ait le son qui lui est propre, on le fait suivre d'un u?: guider, guenon. Au contraire, quand on veut, devant a, o, u, lui donner le son chuintant, on le fait suivre d'un e muet?: geai, geôle, gageure, prononcés jai, jôle, gajure.
Gn a un son particulier qui ne peut-être figuré et qui doit être perçu par l'oreille?: magnanime, ignorant, etc.?; ce son est le même que pour le gn italien et le ñ espagnol?; bien qu'il soit figuré par deux caractères, c'est pourtant une articulation simple et qui pourrait être représentée par un seul caractère.
Gn, dans quelques mots venus du grec ou du latin, garde la prononciation qui appartient à chacune des deux lettres?: gnostique, igné.
G final, précédé d'une nasale, est muet?: long, rang?; mais, suivi d'un mot commençant par une voyelle ou une h muette, il devient sonore, et se prononce d'ordinaire comme un k?: de rang en rang, un long hiver?; non sans exception pourtant?; car g final est muet, même devant une voyelle, dans certains mots?: seing, étang.
G, en chimie, signifie glycinium.
Terme de musique. G-ré-sol, pour sol-si-ré-sol, indique le ton de sol, dans l'ancienne solmisation française. Il indique le sol dans la solmisation allemande et anglaise.
G, sur les anciennes monnaies de France, est la marque de la monnaie frappée à Poitiers.
HISTORIQUE
XIIIe s. Plus que nule letre que j'oie, Signifie G la goie [joie] Qui par feme revient au monde
, Senefiance de l'ABC, dans JUBINAL, t. II, p. 278.
SUPPLÉMENT AU DICTIONNAIRE
G. Ajoutez?:G est la marque des monnaies françaises frappées à Genève, de l'an VI à l'an XIII.
Encyclopédie, 1re édition
, s. m. (Gramm.) c'est la troisieme lettre de l'alphabet des Orientaux & des Grecs, & la septieme de l'alphabet latin que nous avons adopté.
Dans les langues orientales & dans la langue greque, elle représentoit uniquement l'articulation gue, telle que nous la faisons entendre à la fin de nos mots françois, digue, figue ; & c'est le nom qu'on auroit dû lui donner dans toutes ces langues : mais les anciens ont eu leurs irrégularités & leurs écarts comme les modernes. Cependant les divers noms que ce caractere a reçus dans les différentes langues anciennes, conservoient du-moins l'articulation dont il étoit le type : les Grecs l'appelloient gamma, les Hébreux & les Phéniciens gimel, prononcé comme guimauve ; les Syriens gomal, & les Arabes gum, prononcé de la même maniere.
On peut voir (article C & méth. de P. R.) l'origine du caractere g dans la langue latine ; & la preuve que les Latins ne lui donnoient que cette valeur, se tire du témoignage de Quintilien, qui dit que le g n'est qu'une diminution du c : or il est prouvé que le c se prononçoit en latin comme le kappa des Grecs, c'est-à-dire qu'il exprimoit l'articulation que, & conséquemment le g n'exprimoit que l'articulation gue. Ainsi les Latins prononçoient cette lettre dans la premiere syllabe de gygas comme dans la seconde ; & si nous prononçons autrement, c'est que nous avons transporté mal-à-propos aux mots latins les usages de la prononciation françoise.
Avant l'introduction de cette lettre dans l'alphabet romain, le c représentoit les deux articulations, la forte & la foible, que & gue ; & l'usage faisoit connoître à laquelle de ces deux valeurs il falloit s'en tenir : c'est à-peu-près ainsi que notre s exprime tantôt l'articulation forte, comme dans la premiere syllabe de Sion, & tantôt la foible, comme dans la seconde de vision. Sous ce point de vûe, la lettre qui désignoit l'articulation gue, étoit la troisieme de l'alphabet latin, comme de celui des Grecs & ces Orientaux. Mais les doutes que cette équivoque pouvoit jetter sur l'exacte prononciation, fit donner à chaque articulation un caractere particulier ; & comme ces deux articulations ont beaucoup d'affinité, on prit pour exprimer la foible le signe même de la forte C, en ajoûtant seulement sur sa pointe inférieure une petite ligne verticale G, pour avertir le lecteur d'en affoiblir l'expression.
Le rapport d'affinité qui est entre les deux articulations que & gue, est le principe de leur commutabilité, & de celle des deux lettres qui les représentent, du c & du g ; observation importante dans l'art étymologique, pour reconnoître les racines génératrices naturelles ou étrangeres de quantité de mots dérivés : ainsi notre mot françois Cadix vient du latin Gades, par le changement de l'articulation foible en forte ; & par le changement contraire de l'articulation forte en foible, nous avons tiré gras du latin crassus ; les Romains écrivoient & prononçoient indistinctement l'une ou l'autre articulation dans certains mots, vicesimus ou vigesimus, Cneius ou Gneius. Dans quelques mots de notre langue, nous retenons le caractere de l'articulation forte, pour conserver la trace de leur étymologie ; & nous prononçons la foible, pour obéir à notre usage, qui peut être a quelque conformité avec celui de la latine : ainsi nous écrivons Claude, cicogne, second, & nous prononçons Glaude, cigogne, segond. Quelquefois au contraire nous employons le caractere de l'articulation foible, & nous prononçons la forte ; ce qui arrive sur tout quand un mot finit par le caractere g, & qu'il est suivi d'un autre mot qui commence par une voyelle ou par un h non aspiré : nous écrivons sang épais, long hyver, & nous prononçons san-k-épais, lon-k-hyver.
Assez communément, la raison de ces irrégularités apparentes, de ces permutations, se tire de la conformation de l'organe ; on l'a vû au mot Fréquentatif, où nous avons montré comment ago & lego ont produit d'abord les supins agitum, legitum, & ensuite, à l'occasion de la syncope, actum, lectum.
L'euphonie, qui ne s'occupe que de la satisfaction de l'oreille, en combinant avec facilité les sons & les articulations, décide souverainement de la prononciation, & souvent de l'ortographe, qui en est ou doit en être l'image ; elle change non-seulement g en c, ou c en g ; elle va jusqu'à mettre g à la place de toute autre consonne dans la composition des mots ; c'est ainsi que l'on dit en latin aggredi pour adgredi, suggerere pour sub gerere, ignoscere pour in-noscere ; & les Grecs écrivoient ???????; ??????, ???????, quoiqu'ils prononçassent comme les Latins ont prononcé les mots angelus, ancora, Anchises, qu'ils en avoient tirés, & dans lesquels ils avoient d'abord conservé l'ortographe greque, aggelus, agcora, Agchises : ils avoient même porté cette pratique, au rapport de Varron, jusque dans des mots purement latins, & ils écrivoient aggulus, agceps, iggero, avant que décrire angulus, anceps, ingero : ceci donne lieu de soupçonner que le g chez les Grecs & chez les Latins dans le commencement, étoit le signe de la nasalité, & que ceux-ci y substituerent la lettre n, ou pour faciliter les liaisons de l'écriture, ou parce qu'ils jugerent que l'articulation qu'elle exprime étoit effectivement plus nasale. Il semble qu'ils ayent aussi fait quelque attention à cette nasalité dans la composition des mots quadringenti, quingenti, où ils ont employé le signe g de l'articulation foible gue, tandis qu'ils ont conservé la lettre c, signe de l'articulation forte que, dans les mots ducenti, sexcenti, ou la syllabe précédente n'est point nasale.
Il ne paroît pas que dans la langue italienne, dans l'espagnole, & dans la françoise, on ait beaucoup raisonné pour nommer ni pour employer la lettre G & sa correspondante C ; & ce défaut pourroit bien, malgré toutes les conjectures contraires, leur venir de la langue latine, qui est leur source commune. Dans les trois langues modernes, on employe ces lettres pour représenter différentes articulations ; & cela à-peu-près dans les mêmes circonstances : c'est un premier vice. Par un autre écart aussi peu raisonnable, on a donné à l'une & à l'autre une dénomination prise d'ailleurs, que de leur destination naturelle & primitive. On peut consulter les Grammaires italienne & espagnole : nous ne sortirons point ici des usages de notre langue.
Les deux lettres C & G y suivent jusqu'à certain point le même système, malgré les irrégularités de l'usage.
1°. Elles y conservent leur valeur naturelle devant les voyelles a, o, u, & devant les consonnes l, r : on dit, galon, gosier, Gustave, gloire, grace, comme on dit, cabanne, colombe, cuvette, clameur, crédit,
2°. Elles perdent l'une & l'autre leur valeur originelle devant les voyelles e, i ; celle qu'elles y prennent leur est étrangere, & a d'ailleurs son caractere propre : C représente alors l'articulation se, dont le caractere propre est s ; & l'on prononce cité, céleste, comme si l'on écrivoit sité, séleste : de même G représente dans ce cas l'articulation je, dont le caractere propre est j ; & l'on prononce génie, gibier, comme s'il y avoit jénie, jibier.
3°. On a inséré un e absolument muet & oiseux après les consonnes C & G, quand on a voulu les dépouiller de leur valeur naturelle devant a, o, u, & leur donner celle qu'elles ont devant e, i. Ainsi on a écrit commencea, perceons, conceu, pour faire prononcer comme s'il y avoit commensa, persons, consu ; & de même on a écrit mangea, forgeons, & l'on prononce manja, forjons. Cette pratique cependant n'est plus d'usage aujourd'hui pour la lettre c ; on a substitué la cédille à l'e muet, & l'on écrit commença, perçons, conçu.
4°. Pour donner au contraire leur valeur naturelle aux deux lettres C & G devant e, i, & leur ôter celle que l'usage y a attachée dans ces circonstances, on met après ces consonnes un u muet : comme dans cueuillir, guérir, guider, où l'on n'entend aucunement la voyelle u.
5°. La lettre double x, si elle se prononce fortement, réunit la valeur naturelle de c & l'articulation forte s, comme dans axiome, Alexandre, que l'on prononce acsiome, Alecsandre ; si la lettre x se prononce foiblement, elle réunit la valeur naturelle de G & l'articulation de ze, foible de se, comme dans exil, exemple, que l'on prononce egzil, egzemple.
6°. Les deux lettres C & G deviennent auxiliaires pour exprimer des articulations auxquelles l'usage à refusé des caracteres propres. C suivi de la lettre h est le type de l'articulation forte, dont la foible est exprimée naturellement par j : ainsi les deux mots Japon, chapon, ne different que parce que l'articulation initiale est plus forte dans le second que dans le premier. G suivi de la lettre n est le symbole de l'articulation que l'on appelle communément n mouillé, & que l'on entend à la fin des mots cocagne, regne, signe.
Pour finir ce qui concerne la lette G, nous ajoûterons une observation. On l'appelle aujourd'hui gé, parce qu'en effet elle exprime souvent l'articulation jé : celle-ci aura été substituée dans la prononciation à l'articulation gue sans aucun changement dans l'ortographe ; on peut le conjecturer par les mots jambe, jardin, &c. que l'on ne prononce encore gambe, gardin dans quelques provinces septentrionales de la France, que parce que c'étoit la maniere universelle de prononcer ; gambade même & gambader n'ont point de racine plus raisonnable que gambe ; de-là l'abus de l'épellation & de l'emploi de cette consonne.
G dans les inscriptions romaines avoit diverses significations. Seule, cette lettre signifioit ou gratis, ou gens, ou gaudium, ou tel autre mot que le sens du reste de l'inscription pouvoit indiquer : accompagnée, elle étoit sujette aux mêmes variations.
G. V. genio urbis, G. P. R. gloria populi romani ; Voyez les antiquaires, & particulierement le traité d'Aldus Manucius de veter. not. explanatione.
G chez les anciens a signifié quatre cents suivant ce vers.
& même quarante mille, mais alors elle étoit chargée
d'un tiret G.
G dans le comput ecclésiastique, est la septieme & la derniere lettre dominicale.
Dans les poids elle signifie un gros ; dans la Musique elle marque une des clés G-ré-sol ; & sur nos monnoies elle indique la ville de Poitiers. (E. R. M.)
* G, (Ecriture.) Le g dans l'écriture que nous
nommons italienne, est un c ferme par un j consonne.
Dans la coulée, c'est un composé de l'o & de l'j
consonne. Le grand a la même formation que le
petit ; il se fait par le mouvement mixte des doigts
& du poignet.
Wiktionnaire
Nom commun - français
g \?e\ masculin invariable
- (Physique) (Métrologie) Unité de mesure de la gravité ou l'accélération, correspondant approximativement à la gravité terrestre moyenne, valant 9,80665 m/s².
- (Par extension) Accélération mesurée en cette unité.
-
(Métrologie, Sylviculture) Surface terrière d'un arbre.
- La surface terrière (notée g) d'un arbre correspond à la surface de la section transversale de cet arbre à hauteur d'homme. En clair, c'est la surface du tronc coupé à 1,30 m. ? (CRPF Lorraine-Alsace, La surface terrière : une mesure très terre à terre, in Floréal, n°100, mars 2015 ? lire en ligne)
Trésor de la Langue Française informatisé
G, g, subst. masc.
La septième lettre de l'alphabet. Un exemplaire de cette lettre. Le g ne se rencontre devant le g, le d et l'm que dans les mots de la langue savante; il se rencontre devant l'n, soit dans la langue vulgaire, soit dans la langue savante (ThurotPrononc. t. 2 1883, p. 344).G, g, subst. masc.
La septième lettre de l'alphabet. Un exemplaire de cette lettre. Le g ne se rencontre devant le g, le d et l'm que dans les mots de la langue savante; il se rencontre devant l'n, soit dans la langue vulgaire, soit dans la langue savante (ThurotPrononc. t. 2 1883, p. 344).G au Scrabble
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Les mots proches de G
G Gabaï Gabare Gabarier Gabarieur Gabarit Gabatine Gabattage Gabbro Gabegie Gabelant Gabelé, ée Gabeler Gabeleur Gabelle Gabelou Gaber Gabeur Gabion Gabionnade ou gabionnage Gabionner Gable Gabord Gâche Gâche Gachenet Gâcher Gachette Gâchette Gadille Gaffe Gage Gagé, ée Gager Gagerie Gageur, euse Gageure Gagiste Gagnable Gagnage Gagné, ée Gagne-denier Gagne-pain Gagne-petit Gagner Gagneur Gai, gaie Gaïac Gaiement ou gaîment Gaieté ou gaîté g G?rlingen G?rsdorf G?ulzin Gaas Gaasbeek gaba gabardine gabardines gabare gabariers gabarit gabarits Gabarnac gabarres Gabarret Gabaston Gabat gabbro gabe gabegie gabelle gabelou Gabian gabier gabiers Gabillou gabion gabions gable gables Gabon gabonais gabonais gabonaise Gabre Gabriac Gabriac Gabrias gabriel gabrielle Gacé gâcha gâchage gâchaient gâchais gâchait gâchant gâchât gâcheMots du jour
Arduité Dignifier Courroucé, ée Redondant ou rédondant Rassade Écharper Arrière-cadet Épouffer (s') Splendidement Beau-frère
Les citations avec le mot G
- Cet homme qui avant de peindre se faisait ignorant, oubliait tout par probité (car ce qu'on sait n'est pas à soi) avait justement une intelligence exceptionnellement cultivée.Auteur : Marcel Proust - Source : A la recherche du temps perdu (1918)
- Mais de tous ceux qui entourent un enfant, les parents sont les plus aveugles.Auteur : André Gide - Source : Journal 1887-1925
- Une veuve ne doit pas faire de son mariage une affaire d'amourette. Une souris s'attrape-t-elle deux fois au même piège ?Auteur : Honoré de Balzac - Source : La Paix du ménage (1830)
- Pendant des semaines, j'ai rêvé qu'un jour il appuierait sur l'accélérateur, pied au plancher, et nous projetterait tous les trois dans le mur du parking, unis pour toujours.Auteur : Delphine de Vigan - Source : No et moi (2007)
- De violon, l'homme en vieillissant devient violoncelle, puis contrebasse: un corps épais, une voix grave et pas grand-chose à dire.Auteur : Gilbert Cesbron - Source : Sans référence
- Vous resterez jeune tant que vous resterez réceptif. Réceptif à ce qui est beau, bon et grand. Réceptif aux messages de la nature, de l'homme et de l'infini.Auteur : Douglas MacArthur - Source : Normal Instructor & Primary Plan ,1945. Traduction de Youth de Samuel Ulman (1840-1924)
- Il avait brigué le titre de roi, qu'ils ambitionnaient comme lui.Auteur : Gustave Flaubert - Source : Hérodias (1877)
- Grâce à l'ennemi, ce sinistre accident qu'est la vie devient une épopée.Auteur : Amélie Nothomb - Source : Le Sabotage amoureux (1993)
- Qui se fait miel, les mouches le mangent.Auteur : Proverbes espagnols - Source : Proverbe
- Les grands hommes sont comme les plus belles fleurs. Ils croissent sous le fumier et à travers le fumier que jettent sur eux les envieux et les imbéciles.Auteur : Jules Amédée Barbey d'Aurevilly - Source : Disjecta membra
- Vous avez su que les Calas ont pleinement gagné leur procès; c'est à vous qu'ils en ont l'obligation.Auteur : Jean le Rond d'Alembert - Source : Lettre à Voltaire, 26 mars 1765
- Douze pâtés de maisons seulement les séparaient de la rue où logeait Sean, mais celle-ci se trouvait au nord de cette même avenue, en plein dans la zone du Point or ceux du Point et deux des Flats ne se mélangeaient pas beaucoup.Auteur : Dennis Lehane - Source : Mystic River (2002)
- Je crois, juridiquement parlant, qu'il y aurait des motifs sérieux pour inculper chaque président des Etats-Unis depuis la seconde guerre mondiale. Il ont tous été soit de véritables criminels de guerre, soit impliqués dans de graves crimes de guerre.Auteur : Noam Chomsky - Source : Sans référence
- La maison Kessel est une auberge ouverte sur le monde, que les vents traversent en une lancinante complainte, celle de l'appel au voyage.Auteur : Olivier Weber - Source : Kessel, le nomade éternel (2006)
- Tel croit être un bon père de famille, et n'est qu'un vigilant économe; le lien peut prospérer, et la maison aller fort mal.Auteur : Jean-Jacques Rousseau - Source : Julie, ou la Nouvelle Héloïse (1761)
- Les gens qui s'aiment trouvent toujours une solution pour s'aimer davantage.Auteur : Joël Dicker - Source : La Vérité sur l'affaire Harry Quebert (2012)
- L'amour est un philtre qui rapproche ce qui est lointain et rend possible l'impossible. Un philtre qui, en une seule prise, nous fait adorer ce que nous avons abhorré, nous rappelle une par une nos bravades et nous fait ravaler nos grandes théories, qui nous ébranle dès qu'il nous saisit au poignet et ne lâche plus prise dès lors qu'il nous tient. Auteur : Elif Shafak - Source : Lait noir (2009)
- Opprimer le pauvre, c'est outrager celui qui l'a fait, mais avoir pitié de l'indigent c'est l'honorer.Auteur : Anonyme - Source : Écrit anonyme
- Rien n'empêche de supposer que le sorcier de la préhistoire, devant l'image d'un bison percé de flèches, a ressenti à de certains moments la même angoisse et la même ferveur que tel chrétien devant l'Agneau sacrifié.Auteur : Marguerite Yourcenar - Source : Archives du Nord (1977)
- Nous nous sommes imaginés seuls au monde (je note aujourd'hui que je me sens plus seul à deux que tout seul ; tout seul je peux profiter de ma propre compagnie, là où ta présence m'en empêchait).Auteur : Yann Moix - Source : Une simple lettre d'amour (2015)
- Ma femme et moi avons été heureux vingt-cinq ans. C'est à cet âge-là que nous nous sommes rencontrés.Auteur : Sacha Guitry - Source : Sans référence
- Le bonheur est un maître exigeant - surtout le bonheur d'autrui.Auteur : Aldous Huxley - Source : Le meilleur des mondes (1932), 16
- Devant les livres, la nature ou l'amour, vous êtes comme à vingt ans: au tout début du monde et de vous.Auteur : Christian Bobin - Source : Une petite robe de fête
- Ce qu'il y a de réconfortant dans le cancer, c'est qu'un imbécile peut attraper une tumeur maligne.Auteur : Pierre Desproges - Source : Textes de scènes (1988)
- Les grands artistes ne sont pas les transcripteurs du monde, ils en sont les rivaux.Auteur : André Malraux - Source : Les Voix du silence (1951)
Les citations du Littré sur G
- Il y a des philosophes qui ont pensé que les noms de la langue primitive exprimaient la nature même des choses ; ils raisonnaient sans doute d'après des principes semblables à ceux que je viens d'exposer, et ils se trompaientAuteur : CONDIL. - Source : Gramm. I, 2
- Au milieu de tant de périls [à Senef], il [le fils de Condé] voit ce grand prince renversé dans un fossé sous un cheval tout en sang ; pendant qu'il lui offre le sien....Auteur : BOSSUET - Source : Louis de Bourbon.
- Ce petit combat livra de chance, et resveilla les uns et les autres à la guerre, de laquelle on doutoit auparavantAuteur : D'AUB. - Source : ib. II, 433
- Ayant une fois posé Sabine pour femme d'Horace, il est nécessaire que tous les incidents de ce poëme lui donnent les sentiments qu'elle en témoigne avoirAuteur : Corneille - Source : Hor. Examen.
- Elle [la dame de la Trémoille] avait fait orner son livre d'heures, non pas par un des artistes que la province comptait alors en grand nombre, mais par un historieur ou miniaturiste de ParisAuteur : MARCHEGAY - Source : Lettres missives originales du chartrier de Thouars, p. 139
- Aussi bons politiques que les Romains, ils [les Iroquois] avaient adopté quelques-uns de ces peuples vaincus, et leur avaient, pour ainsi dire, donné sur leur natte le droit de bourgeoisie iroquoiseAuteur : BOUGAINVILLE - Source : Instit. Mém. scienc. mor. et pol. t. III, p. 325
- Des mains, nous interrogeons, nombrons, confessons, repentons....Auteur : MONT. - Source : II, 159
- Habitez, par l'essor d'un grand et beau génie, Les hautes régions de la philosophieAuteur : Molière - Source : Fem. sav. I, 1
- Qu'à son gré désormais la fortune me joue ; On me verra dormir au branle de sa roueAuteur : BOILEAU - Source : Ép. V
- Les palafittes peuvent être regardés comme caractérisant, dans l'Europe occidentale, la dernière phase de l'âge de pierre, l'époque de la pierre polie ; c'est ce qui explique la présence des métaux dans quelques-unes de des habitations sur pilotisAuteur : A. MAURY - Source : l'Homme primitif, dans Revue des Deux-Mondes, 1er avril 1867, p. 654
- Je suis père, seigneur, et faible comme un autreAuteur : Jean Racine - Source : Iph. I, 5
- Les esprits délicats, si ingénieux pour les plaisirs des autres, ont trop de goût pour eux-mêmes être ingénieux à faire quelque choseAuteur : ST-ÉVREM. - Source : II, 424
- Apprenez que Cicéron dit qu'entre l'arbre et le doigt il ne faut pas mettre l'écorceAuteur : Molière - Source : Méd. m. lui, I, 1
- Il [Alcibiade] lui fit couper la queue [à son chien], qui était justement ce qu'il avait de plus beau ; ses amis lui en firent de grands reproches, et lui dirent que toute la ville murmurait contre luiAuteur : ROLLIN - Source : Hist. anc. Oeuv. t. III, p. 601
- En vain, tout fier d'un sang que vous déshonorezAuteur : BOILEAU - Source : Sat. V
- Il y a des hommes qui se méprennent en raisonnant, même touchant les plus simples matières de géométrie, et y font des paralogismesAuteur : DESC. - Source : Méth. IV, 1
- Pegase se tarist, et n'y a plus de trasse Qui nous puisse conduire au sommet du ParnasseAuteur : RONS. - Source : 703
- Plusieurs seigneurs par nature sont enclins à leur profitAuteur : ORESME - Source : II, II, 52
- C'est par une telle foi que le nom de Dieu est gravé profondément dans nos coeursAuteur : BOSSUET - Source : Mar.-Thér.
- Tous ces travaux [reboisement, barrages, rigoles] réduiront considérablement le cube des matières aujourd'hui sujettes à être entraînées par les eaux, et de là résultera un creusement naturel et général du lit [du fleuve]Auteur : DAUSSE - Source : Acad. des sc. Comptes rendus, t. LIII, p. 1250
- On en voit quelquefois [des enfants] qui dépérissent d'une langueur secrète, parce que d'autres sont plus aimés et plus caressés qu'euxAuteur : FÉN. - Source : Éduc. des filles, ch. 5
- L'épontage ramène la pyrale à son état normal ; les pontes étaient, tout simplement, écrasées entre les doigts.... l'épontage devra être appliqué quelques jours après la naissance du papillonAuteur : PELLET - Source : dans Trav. de la comm. dép. contre le phylloxéra, Perpignan, 1874, p. 89 et 90
- Petits plaisirs, longues clamours, Or taschons à trouver la chose Que je cherche au temple d'AmoursAuteur : MAROT - Source : I, 191
- [Qui] D'un songe équivoque envoyé par les dieux Lira d'un oeil plus sûr l'avis mystérieuxAuteur : C. DELAV. - Source : Paria, II, 2
- Quand femme est condamnée à perdre le cors par jugement, et elle dit qu'elle est grosse.... quant la grossesse apert à luiAuteur : BEAUMANOIR - Source : VII, 12
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Mise à jour le mercredi 24 décembre 2025 à 01h40

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