La définition de G du dictionnaire français. Signification du mot et son éthymologie - De nombreux exemples d'usage en français ainsi que des citations.

G
Nature : s. m.
Prononciation : jé
Etymologie : G latin, gamma grec, qui vient du g phénicien, nommé gimel, proprement le cou du chameau ; ainsi dit de sa forme.

Voir les citations du mot GSignification du mot G


Notre dictionnaire de français vous présente les définitions de g de manière précise, avec des exemples pertinents pour aider à comprendre la signification du mot.

Notre dictionnaire de définitions comprend des informations complémentaires telles que la nature du mot, sa prononciation, des exemples d'expressions, l'étymologie, les synonymes, les homonymes, les antonymes mais également les rimes et anagrammes. Quand la définition du mot s'y prête nous vous proposons des citations littéraires en rapport avec g pour illustrer la compréhension du mot ou préciser le sens et de répondre à la question quelle est la signification de G ?


La définition de G

La septième lettre de l'alphabet et la cinquième consonne.


Toutes les définitions de « g »


Dictionnaire de l'Académie française, huitième édition

G. n. m.
La septième lettre de l'alphabet. Elle représente une des consonnes. Un grand G. Un petit g. Il se prononce gue devant une consonne : Gros, Engloutir; devant a, o, u : Galant, Gosier, Auguste, et à la finale de quelques mots, tels que : Grog, zig-zag. Il se prononce j devant e, i, y : Geler, Agiter, Gymnastique. Il ne se prononce pas dans l'intérieur des mots : Doigt, Vingt; non plus qu'à la finale ng : Sang, Seing, Étang. Gn, dans l'intérieur des mots, représente une consonne mouillée : Digne, Signal, Agneau, sauf dans les mots dérivés du latin ou du grec où g garde le son gue : Stagnant, Diagnostic.

Littré

G (jé) s. m.
  • La septième lettre de l'alphabet et la cinquième consonne.

    Le son propre de cette lettre est guttural devant les voyelles fortes, a, o, u?: galerie, gosier, guttural, et il se conserve à la fin des mots quand on le prononce?: Agag, whig, et devant une autre consonne?: Bagdad, règle, aigrir. Outre ce son propre, le g a un son dérivé, chuintant, tel que celui du j devant les voyelles faibles e, i, y?: gîte, gésier, gynécée.

    Quand il faut, devant l'e, l'i, l'y, que g ait le son qui lui est propre, on le fait suivre d'un u?: guider, guenon. Au contraire, quand on veut, devant a, o, u, lui donner le son chuintant, on le fait suivre d'un e muet?: geai, geôle, gageure, prononcés jai, jôle, gajure.

    Gn a un son particulier qui ne peut-être figuré et qui doit être perçu par l'oreille?: magnanime, ignorant, etc.?; ce son est le même que pour le gn italien et le ñ espagnol?; bien qu'il soit figuré par deux caractères, c'est pourtant une articulation simple et qui pourrait être représentée par un seul caractère.

    Gn, dans quelques mots venus du grec ou du latin, garde la prononciation qui appartient à chacune des deux lettres?: gnostique, igné.

    G final, précédé d'une nasale, est muet?: long, rang?; mais, suivi d'un mot commençant par une voyelle ou une h muette, il devient sonore, et se prononce d'ordinaire comme un k?: de rang en rang, un long hiver?; non sans exception pourtant?; car g final est muet, même devant une voyelle, dans certains mots?: seing, étang.

    G, en chimie, signifie glycinium.

    Terme de musique. G-ré-sol, pour sol-si-ré-sol, indique le ton de sol, dans l'ancienne solmisation française. Il indique le sol dans la solmisation allemande et anglaise.

    G, sur les anciennes monnaies de France, est la marque de la monnaie frappée à Poitiers.


HISTORIQUE

XIIIe s. Plus que nule letre que j'oie, Signifie G la goie [joie] Qui par feme revient au monde, Senefiance de l'ABC, dans JUBINAL, t. II, p. 278.


SUPPLÉMENT AU DICTIONNAIRE

G. Ajoutez?:

G est la marque des monnaies françaises frappées à Genève, de l'an VI à l'an XIII.

2Dans les études de notaire, la cote G se dit des objets insignifiants qu'un clerc s'approprie pendant les inventaires?: il classe aux cotes A, B, etc. suivant leur nature les objets de valeur inventoriés, et ceux qu'il prend passent, comme on dit, à la cote G. C'est un calembour, g pour j'ai.
Version électronique créée par François Gannaz - http://www.littre.org - licence Creative Commons Attribution

Encyclopédie, 1re édition


G, s. m. (Gramm.) c'est la troisieme lettre de l'alphabet des Orientaux & des Grecs, & la septieme de l'alphabet latin que nous avons adopté.

Dans les langues orientales & dans la langue greque, elle représentoit uniquement l'articulation gue, telle que nous la faisons entendre à la fin de nos mots françois, digue, figue ; & c'est le nom qu'on auroit dû lui donner dans toutes ces langues : mais les anciens ont eu leurs irrégularités & leurs écarts comme les modernes. Cependant les divers noms que ce caractere a reçus dans les différentes langues anciennes, conservoient du-moins l'articulation dont il étoit le type : les Grecs l'appelloient gamma, les Hébreux & les Phéniciens gimel, prononcé comme guimauve ; les Syriens gomal, & les Arabes gum, prononcé de la même maniere.

On peut voir (article C & méth. de P. R.) l'origine du caractere g dans la langue latine ; & la preuve que les Latins ne lui donnoient que cette valeur, se tire du témoignage de Quintilien, qui dit que le g n'est qu'une diminution du c : or il est prouvé que le c se prononçoit en latin comme le kappa des Grecs, c'est-à-dire qu'il exprimoit l'articulation que, & conséquemment le g n'exprimoit que l'articulation gue. Ainsi les Latins prononçoient cette lettre dans la premiere syllabe de gygas comme dans la seconde ; & si nous prononçons autrement, c'est que nous avons transporté mal-à-propos aux mots latins les usages de la prononciation françoise.

Avant l'introduction de cette lettre dans l'alphabet romain, le c représentoit les deux articulations, la forte & la foible, que & gue ; & l'usage faisoit connoître à laquelle de ces deux valeurs il falloit s'en tenir : c'est à-peu-près ainsi que notre s exprime tantôt l'articulation forte, comme dans la premiere syllabe de Sion, & tantôt la foible, comme dans la seconde de vision. Sous ce point de vûe, la lettre qui désignoit l'articulation gue, étoit la troisieme de l'alphabet latin, comme de celui des Grecs & ces Orientaux. Mais les doutes que cette équivoque pouvoit jetter sur l'exacte prononciation, fit donner à chaque articulation un caractere particulier ; & comme ces deux articulations ont beaucoup d'affinité, on prit pour exprimer la foible le signe même de la forte C, en ajoûtant seulement sur sa pointe inférieure une petite ligne verticale G, pour avertir le lecteur d'en affoiblir l'expression.

Le rapport d'affinité qui est entre les deux articulations que & gue, est le principe de leur commutabilité, & de celle des deux lettres qui les représentent, du c & du g ; observation importante dans l'art étymologique, pour reconnoître les racines génératrices naturelles ou étrangeres de quantité de mots dérivés : ainsi notre mot françois Cadix vient du latin Gades, par le changement de l'articulation foible en forte ; & par le changement contraire de l'articulation forte en foible, nous avons tiré gras du latin crassus ; les Romains écrivoient & prononçoient indistinctement l'une ou l'autre articulation dans certains mots, vicesimus ou vigesimus, Cneius ou Gneius. Dans quelques mots de notre langue, nous retenons le caractere de l'articulation forte, pour conserver la trace de leur étymologie ; & nous prononçons la foible, pour obéir à notre usage, qui peut être a quelque conformité avec celui de la latine : ainsi nous écrivons Claude, cicogne, second, & nous prononçons Glaude, cigogne, segond. Quelquefois au contraire nous employons le caractere de l'articulation foible, & nous prononçons la forte ; ce qui arrive sur tout quand un mot finit par le caractere g, & qu'il est suivi d'un autre mot qui commence par une voyelle ou par un h non aspiré : nous écrivons sang épais, long hyver, & nous prononçons san-k-épais, lon-k-hyver.

Assez communément, la raison de ces irrégularités apparentes, de ces permutations, se tire de la conformation de l'organe ; on l'a vû au mot Fréquentatif, où nous avons montré comment ago & lego ont produit d'abord les supins agitum, legitum, & ensuite, à l'occasion de la syncope, actum, lectum.

L'euphonie, qui ne s'occupe que de la satisfaction de l'oreille, en combinant avec facilité les sons & les articulations, décide souverainement de la prononciation, & souvent de l'ortographe, qui en est ou doit en être l'image ; elle change non-seulement g en c, ou c en g ; elle va jusqu'à mettre g à la place de toute autre consonne dans la composition des mots ; c'est ainsi que l'on dit en latin aggredi pour adgredi, suggerere pour sub gerere, ignoscere pour in-noscere ; & les Grecs écrivoient ???????; ??????, ???????, quoiqu'ils prononçassent comme les Latins ont prononcé les mots angelus, ancora, Anchises, qu'ils en avoient tirés, & dans lesquels ils avoient d'abord conservé l'ortographe greque, aggelus, agcora, Agchises : ils avoient même porté cette pratique, au rapport de Varron, jusque dans des mots purement latins, & ils écrivoient aggulus, agceps, iggero, avant que décrire angulus, anceps, ingero : ceci donne lieu de soupçonner que le g chez les Grecs & chez les Latins dans le commencement, étoit le signe de la nasalité, & que ceux-ci y substituerent la lettre n, ou pour faciliter les liaisons de l'écriture, ou parce qu'ils jugerent que l'articulation qu'elle exprime étoit effectivement plus nasale. Il semble qu'ils ayent aussi fait quelque attention à cette nasalité dans la composition des mots quadringenti, quingenti, où ils ont employé le signe g de l'articulation foible gue, tandis qu'ils ont conservé la lettre c, signe de l'articulation forte que, dans les mots ducenti, sexcenti, ou la syllabe précédente n'est point nasale.

Il ne paroît pas que dans la langue italienne, dans l'espagnole, & dans la françoise, on ait beaucoup raisonné pour nommer ni pour employer la lettre G & sa correspondante C ; & ce défaut pourroit bien, malgré toutes les conjectures contraires, leur venir de la langue latine, qui est leur source commune. Dans les trois langues modernes, on employe ces lettres pour représenter différentes articulations ; & cela à-peu-près dans les mêmes circonstances : c'est un premier vice. Par un autre écart aussi peu raisonnable, on a donné à l'une & à l'autre une dénomination prise d'ailleurs, que de leur destination naturelle & primitive. On peut consulter les Grammaires italienne & espagnole : nous ne sortirons point ici des usages de notre langue.

Les deux lettres C & G y suivent jusqu'à certain point le même système, malgré les irrégularités de l'usage.

1°. Elles y conservent leur valeur naturelle devant les voyelles a, o, u, & devant les consonnes l, r : on dit, galon, gosier, Gustave, gloire, grace, comme on dit, cabanne, colombe, cuvette, clameur, crédit,

2°. Elles perdent l'une & l'autre leur valeur originelle devant les voyelles e, i ; celle qu'elles y prennent leur est étrangere, & a d'ailleurs son caractere propre : C représente alors l'articulation se, dont le caractere propre est s ; & l'on prononce cité, céleste, comme si l'on écrivoit sité, séleste : de même G représente dans ce cas l'articulation je, dont le caractere propre est j ; & l'on prononce génie, gibier, comme s'il y avoit jénie, jibier.

3°. On a inséré un e absolument muet & oiseux après les consonnes C & G, quand on a voulu les dépouiller de leur valeur naturelle devant a, o, u, & leur donner celle qu'elles ont devant e, i. Ainsi on a écrit commencea, perceons, conceu, pour faire prononcer comme s'il y avoit commensa, persons, consu ; & de même on a écrit mangea, forgeons, & l'on prononce manja, forjons. Cette pratique cependant n'est plus d'usage aujourd'hui pour la lettre c ; on a substitué la cédille à l'e muet, & l'on écrit commença, perçons, conçu.

4°. Pour donner au contraire leur valeur naturelle aux deux lettres C & G devant e, i, & leur ôter celle que l'usage y a attachée dans ces circonstances, on met après ces consonnes un u muet : comme dans cueuillir, guérir, guider, où l'on n'entend aucunement la voyelle u.

5°. La lettre double x, si elle se prononce fortement, réunit la valeur naturelle de c & l'articulation forte s, comme dans axiome, Alexandre, que l'on prononce acsiome, Alecsandre ; si la lettre x se prononce foiblement, elle réunit la valeur naturelle de G & l'articulation de ze, foible de se, comme dans exil, exemple, que l'on prononce egzil, egzemple.

6°. Les deux lettres C & G deviennent auxiliaires pour exprimer des articulations auxquelles l'usage à refusé des caracteres propres. C suivi de la lettre h est le type de l'articulation forte, dont la foible est exprimée naturellement par j : ainsi les deux mots Japon, chapon, ne different que parce que l'articulation initiale est plus forte dans le second que dans le premier. G suivi de la lettre n est le symbole de l'articulation que l'on appelle communément n mouillé, & que l'on entend à la fin des mots cocagne, regne, signe.

Pour finir ce qui concerne la lette G, nous ajoûterons une observation. On l'appelle aujourd'hui , parce qu'en effet elle exprime souvent l'articulation jé : celle-ci aura été substituée dans la prononciation à l'articulation gue sans aucun changement dans l'ortographe ; on peut le conjecturer par les mots jambe, jardin, &c. que l'on ne prononce encore gambe, gardin dans quelques provinces septentrionales de la France, que parce que c'étoit la maniere universelle de prononcer ; gambade même & gambader n'ont point de racine plus raisonnable que gambe ; de-là l'abus de l'épellation & de l'emploi de cette consonne.

G dans les inscriptions romaines avoit diverses significations. Seule, cette lettre signifioit ou gratis, ou gens, ou gaudium, ou tel autre mot que le sens du reste de l'inscription pouvoit indiquer : accompagnée, elle étoit sujette aux mêmes variations.

G. V. genio urbis, G. P. R. gloria populi romani ; Voyez les antiquaires, & particulierement le traité d'Aldus Manucius de veter. not. explanatione.

G chez les anciens a signifié quatre cents suivant ce vers.

G. Quadringentos demonstrativa tenebit.


& même quarante mille, mais alors elle étoit chargée d'un tiret G.

G dans le comput ecclésiastique, est la septieme & la derniere lettre dominicale.

Dans les poids elle signifie un gros ; dans la Musique elle marque une des clés G-ré-sol ; & sur nos monnoies elle indique la ville de Poitiers. (E. R. M.)

* G, (Ecriture.) Le g dans l'écriture que nous nommons italienne, est un c ferme par un j consonne. Dans la coulée, c'est un composé de l'o & de l'j consonne. Le grand Encyclopedie-7-p408-G.PNG a la même formation que le petit ; il se fait par le mouvement mixte des doigts & du poignet.

Wikisource - licence Creative Commons attribution partage dans les mêmes conditions 3.0

Wiktionnaire


Nom commun - français

g \?e\ masculin invariable

  1. (Physique) (Métrologie) Unité de mesure de la gravité ou l'accélération, correspondant approximativement à la gravité terrestre moyenne, valant 9,80665 m/s².
  2. (Par extension) Accélération mesurée en cette unité.
  3. (Métrologie, Sylviculture) Surface terrière d'un arbre.
    • La surface terrière (notée g) d'un arbre correspond à la surface de la section transversale de cet arbre à hauteur d'homme. En clair, c'est la surface du tronc coupé à 1,30 m. (CRPF Lorraine-Alsace, La surface terrière : une mesure très terre à terre, in Floréal, n°100, mars 2015 ? lire en ligne)
Wiktionnaire - licence Creative Commons attribution partage à l'identique 3.0

Trésor de la Langue Française informatisé


G, g, subst. masc.

La septième lettre de l'alphabet. Un exemplaire de cette lettre. Le g ne se rencontre devant le g, le d et l'm que dans les mots de la langue savante; il se rencontre devant l'n, soit dans la langue vulgaire, soit dans la langue savante (ThurotPrononc. t. 2 1883, p. 344).
A. ? [L'attention porte plus partic. sur la valeur de la lettre, ou plus partic. sur le signe graphique] :
1. Le g, qui ne fut jamais senti dans Magdeleine [l'attention porte sur la valeur], a fini par disparaître même de l'écriture [l'attention porte sur le caractère]. Beaul. t. 1 1927, p. 331.
B. ? [L'attention porte plus partic. sur la silhouette du caractère] Les lettres qui sortent de votre plume ne me sont point étrangères (...). Ce G vient de notre gimel, au cou de chameau [allus. à un caractère de l'alphabet phénicien, ancêtre présumé de notre c et, par là même, de notre g] (A. France, Jard. Épicure,1895, p. 174).
C. ? [La lettre, désignée en tant que telle, renvoie à des mots (ou à des noms propres) dont elle est l'initiale] Gros, Guérin, Girodet, Gérard, les quatre G, comme on disait alors (Gautier, Guide Louvre,1872, p. 4).
D. ? [La lettre, désignée en tant que telle, se trouve investie d'un sens hermétique dont elle offre en même temps la clef : la soustraction du g de cogites, sans autre changement, révèle coït] :
2. Mgr Pou, mauvais époux, Tu cogites sans cesse. Pas tant de g pour la Princesse : Fais-lui des petits Pous. Toulet, Contrerimes,1920, p. 20.
E. ? [Épellation des lettres d'un mot, d'un signe abréviatif ou d'un signe d'ordre]
1. [L'épellation est l'exception : dans le mot, la lettre a naturellement sa valeur] Un gage : gé, a, gé, e.
2. [L'épellation est la règle]
a) [Signes abréviatifs (la lettre renvoie au terme en cause, dont elle constitue l'initiale)]
? G.Q.G. : gé, ku, gé, ou, par substitution des termes en cause, grand quartier général :
3. À cette première lettre, j'en joignais une autre manuscrite, ainsi conçue : « Au G.Q.G., le 4 septembre 1914. « Mon cher camarade, (...) » Joffre, Mém., t. 1, 1931, p. 377.
? [Lorsque la succession des lettres s'y prête, la prononc. par la valeur des lettres l'emporte] GRECO, gé, erre, e, sé, o, ou, par substitution, des termes en cause, groupement de recherches coordonnées, ou, plus fréquemment, selon la valeur des lettres, [g?eko] (le sigle est constitué, à cet effet, des deux premières lettres de chaque mot, avec le télescopage de deux r mitoyens).
? g, ,,le nombre qui exprime l'accélération due à la pesanteur en un lieu considéré. À Paris, g = 981 cm/s2`` (Quillet 1965), gé, sans substitution possible du terme en cause, gravitation (g, unité de masse, à l'égard duquel la substitution est obligatoire, gramme, ne s'épelle pas ordinairement : 50 g se dit 50 grammes).
b) [Signes d'ordre (la lettre a une signification analogique, en tant qu'élément d'un ensemble ordonné linéairement, l'alphabet, sans que le sens : e, f, g plutôt que g, f, e, ni l'ordre lui-même comptent nécessairement)]
? (La cote) G, gé. ,,On inventorie les choses, selon leur valeur décroissante, de A à F; la cote G va au bibelot qu'on empoche, non sans penser j'ai `` (Esn. 1966). Un lourd commissaire-priseur qui avec la cote G jeta les fondements d'une grande fortune (Fournier-Verneuil, 1826ds Larchey, Dict. hist. arg., 1878, p. 119) :
4. ... gens incompris qui vivent dans une admirable insouciance du luxe et du monde, restant des journées entières à fumer un cigare éteint, ou venant dans un salon sans avoir toujours bien exactement marié les boutons de leurs vêtements avec les boutonnières. Un jour, après avoir longtemps mesuré le vide, ou entassé des X sous des Aa-Gg, ils ont analysé quelque loi naturelle et décomposé le plus simple des principes... Balzac, Peau chagr.,1831, p. 235.
Rem. 1. Sans article en fonction de sujet, G est la lettre se désignant elle-même, graphiquement sinon phoniquement, dans : G, de même que C, garde ses deux valeurs (Beaul. t. 1 1927, p. 301). 2. Les fonctions des signes abréviatifs et des signes d'ordre en tant que tels ne sont pas celles du substantif qui est le nom de la lettre servant à l'épellation.
Prononc. et Orth. : [?e]. ,,[On le] nomme Gé, suivant l'appellation ancienne et usuelle, et Ge, suivant la méthode moderne`` (Ac. 1835, 1878). L'appellation ,,moderne`` (v. aussi Gattel 1841, Lar. 19e-20e, Guérin 1892, DG, Rob., Quillet 1965) est en réalité la désignation, au point vocalique près, de la lettre par la valeur, dont la tradition remonte à Lancelot. ? On trouve, pour la transcr. conventionnelle du nom, [?e] : gé, ou (Gattel 1841, Littré, DG, Lar.); pour l'appellation ,,moderne`` : [? ?], ge, ou je (Gattel, DG), et [g?], ghe (Lar. 19e, Lar. 20e), gheu (Nouv. Lar. ill.), et gue (Rob.). ? La valeur est pour mémoire [g] et [?], sans compter les cas où g est muet : sang, ou vaut [k] : sang et eau (bien que cette liaison ne soit plus gén. considérée comme actuelle). Les valeurs [g] et [?] sont respectivement le ,,son propre`` et le ,,son dérivé`` (Littré; v. aussi Land. 1834), en dépit du nom, gé, jé, ou même ge, je, dans lequel g a tout simplement sa valeur devant e. Voir cependant les hypothèses ghe, gheu, gue. ? Fér. 1768 et Fér.. Crit. t. 2 1787 tentent de rendre la valeur du gn de règne en transcrivant reigne, avec une valeur de -ign- comme dans oignon. ,,Mais cet i ajouté n'exprime pas encore tout le son de ce g mouillé.`` Land. 1834 mobilise d'autres ressources en transcrivant rè-gnie, avec pour -gnie une valeur analogue à la valeur de -glie dans Broglie [b? ?j]. Amorce de la réduction en cours de [? ? ?] à [? ?nj]? Dans Ac. dep. 1694. Fréq. abs. littér. : 371. Fréq. rel. littér. : xixes. : a) 269, b) 47; xxes. : a) 353, b) 1 110.


G, g, subst. masc.

La septième lettre de l'alphabet. Un exemplaire de cette lettre. Le g ne se rencontre devant le g, le d et l'm que dans les mots de la langue savante; il se rencontre devant l'n, soit dans la langue vulgaire, soit dans la langue savante (ThurotPrononc. t. 2 1883, p. 344).
A. ? [L'attention porte plus partic. sur la valeur de la lettre, ou plus partic. sur le signe graphique] :
1. Le g, qui ne fut jamais senti dans Magdeleine [l'attention porte sur la valeur], a fini par disparaître même de l'écriture [l'attention porte sur le caractère]. Beaul. t. 1 1927, p. 331.
B. ? [L'attention porte plus partic. sur la silhouette du caractère] Les lettres qui sortent de votre plume ne me sont point étrangères (...). Ce G vient de notre gimel, au cou de chameau [allus. à un caractère de l'alphabet phénicien, ancêtre présumé de notre c et, par là même, de notre g] (A. France, Jard. Épicure,1895, p. 174).
C. ? [La lettre, désignée en tant que telle, renvoie à des mots (ou à des noms propres) dont elle est l'initiale] Gros, Guérin, Girodet, Gérard, les quatre G, comme on disait alors (Gautier, Guide Louvre,1872, p. 4).
D. ? [La lettre, désignée en tant que telle, se trouve investie d'un sens hermétique dont elle offre en même temps la clef : la soustraction du g de cogites, sans autre changement, révèle coït] :
2. Mgr Pou, mauvais époux, Tu cogites sans cesse. Pas tant de g pour la Princesse : Fais-lui des petits Pous. Toulet, Contrerimes,1920, p. 20.
E. ? [Épellation des lettres d'un mot, d'un signe abréviatif ou d'un signe d'ordre]
1. [L'épellation est l'exception : dans le mot, la lettre a naturellement sa valeur] Un gage : gé, a, gé, e.
2. [L'épellation est la règle]
a) [Signes abréviatifs (la lettre renvoie au terme en cause, dont elle constitue l'initiale)]
? G.Q.G. : gé, ku, gé, ou, par substitution des termes en cause, grand quartier général :
3. À cette première lettre, j'en joignais une autre manuscrite, ainsi conçue : « Au G.Q.G., le 4 septembre 1914. « Mon cher camarade, (...) » Joffre, Mém., t. 1, 1931, p. 377.
? [Lorsque la succession des lettres s'y prête, la prononc. par la valeur des lettres l'emporte] GRECO, gé, erre, e, sé, o, ou, par substitution, des termes en cause, groupement de recherches coordonnées, ou, plus fréquemment, selon la valeur des lettres, [g?eko] (le sigle est constitué, à cet effet, des deux premières lettres de chaque mot, avec le télescopage de deux r mitoyens).
? g, ,,le nombre qui exprime l'accélération due à la pesanteur en un lieu considéré. À Paris, g = 981 cm/s2`` (Quillet 1965), gé, sans substitution possible du terme en cause, gravitation (g, unité de masse, à l'égard duquel la substitution est obligatoire, gramme, ne s'épelle pas ordinairement : 50 g se dit 50 grammes).
b) [Signes d'ordre (la lettre a une signification analogique, en tant qu'élément d'un ensemble ordonné linéairement, l'alphabet, sans que le sens : e, f, g plutôt que g, f, e, ni l'ordre lui-même comptent nécessairement)]
? (La cote) G, gé. ,,On inventorie les choses, selon leur valeur décroissante, de A à F; la cote G va au bibelot qu'on empoche, non sans penser j'ai `` (Esn. 1966). Un lourd commissaire-priseur qui avec la cote G jeta les fondements d'une grande fortune (Fournier-Verneuil, 1826ds Larchey, Dict. hist. arg., 1878, p. 119) :
4. ... gens incompris qui vivent dans une admirable insouciance du luxe et du monde, restant des journées entières à fumer un cigare éteint, ou venant dans un salon sans avoir toujours bien exactement marié les boutons de leurs vêtements avec les boutonnières. Un jour, après avoir longtemps mesuré le vide, ou entassé des X sous des Aa-Gg, ils ont analysé quelque loi naturelle et décomposé le plus simple des principes... Balzac, Peau chagr.,1831, p. 235.
Rem. 1. Sans article en fonction de sujet, G est la lettre se désignant elle-même, graphiquement sinon phoniquement, dans : G, de même que C, garde ses deux valeurs (Beaul. t. 1 1927, p. 301). 2. Les fonctions des signes abréviatifs et des signes d'ordre en tant que tels ne sont pas celles du substantif qui est le nom de la lettre servant à l'épellation.
Prononc. et Orth. : [?e]. ,,[On le] nomme Gé, suivant l'appellation ancienne et usuelle, et Ge, suivant la méthode moderne`` (Ac. 1835, 1878). L'appellation ,,moderne`` (v. aussi Gattel 1841, Lar. 19e-20e, Guérin 1892, DG, Rob., Quillet 1965) est en réalité la désignation, au point vocalique près, de la lettre par la valeur, dont la tradition remonte à Lancelot. ? On trouve, pour la transcr. conventionnelle du nom, [?e] : gé, ou (Gattel 1841, Littré, DG, Lar.); pour l'appellation ,,moderne`` : [? ?], ge, ou je (Gattel, DG), et [g?], ghe (Lar. 19e, Lar. 20e), gheu (Nouv. Lar. ill.), et gue (Rob.). ? La valeur est pour mémoire [g] et [?], sans compter les cas où g est muet : sang, ou vaut [k] : sang et eau (bien que cette liaison ne soit plus gén. considérée comme actuelle). Les valeurs [g] et [?] sont respectivement le ,,son propre`` et le ,,son dérivé`` (Littré; v. aussi Land. 1834), en dépit du nom, gé, jé, ou même ge, je, dans lequel g a tout simplement sa valeur devant e. Voir cependant les hypothèses ghe, gheu, gue. ? Fér. 1768 et Fér.. Crit. t. 2 1787 tentent de rendre la valeur du gn de règne en transcrivant reigne, avec une valeur de -ign- comme dans oignon. ,,Mais cet i ajouté n'exprime pas encore tout le son de ce g mouillé.`` Land. 1834 mobilise d'autres ressources en transcrivant rè-gnie, avec pour -gnie une valeur analogue à la valeur de -glie dans Broglie [b? ?j]. Amorce de la réduction en cours de [? ? ?] à [? ?nj]? Dans Ac. dep. 1694. Fréq. abs. littér. : 371. Fréq. rel. littér. : xixes. : a) 269, b) 47; xxes. : a) 353, b) 1 110.

G, g, subst. masc.

G au Scrabble


Le mot g vaut 2 points au Scrabble.

g

Informations sur le mot g - 1 lettres, 0 voyelles, 1 consonnes, 1 lettres uniques.

Quel nombre de points fait le mot g au Scrabble ?


Le calcul de points ne prend pas en compte lettre compte double, lettre compte triple, mot compte double et mot compte triple. Ces cases augmentent les valeurs des mots posés selon un coefficient indiqué par les règles du jeu de Scrabble.

SCRABBLE © est une marque déposée. Tous les droits de propriété intellectuelle du jeu sont détenus aux Etats-Unis et au Canada par Hasbro Inc. et dans le reste du monde par J.W. Spear & Sons Limited de Maidenhead, Berkshire, Angleterre, une filiale de Mattel Inc. Mattel et Spear ne sont pas affiliés à Hasbro.

g

Les mots proches de G

GGabaïGabareGabarierGabarieurGabaritGabatineGabattageGabbroGabegieGabelantGabelé, éeGabelerGabeleurGabelleGabelouGaberGabeurGabionGabionnade ou gabionnageGabionnerGableGabordGâcheGâcheGachenetGâcherGachetteGâchetteGadilleGaffeGageGagé, éeGagerGagerieGageur, euseGageureGagisteGagnableGagnageGagné, éeGagne-denierGagne-painGagne-petitGagnerGagneurGai, gaieGaïacGaiement ou gaîmentGaieté ou gaîtégG?rlingenG?rsdorfG?ulzinGaasGaasbeekgabagabardinegabardinesgabaregabariersgabaritgabaritsGabarnacgabarresGabarretGabastonGabatgabbrogabegabegiegabellegabelouGabiangabiergabiersGabillougabiongabionsgablegablesGabongabonaisgabonaisgabonaiseGabreGabriacGabriacGabriasgabrielgabrielleGacégâchagâchagegâchaientgâchaisgâchaitgâchantgâchâtgâche


Mots du jour


Arduité     Dignifier     Courroucé, ée     Redondant ou rédondant     Rassade     Écharper     Arrière-cadet     Épouffer (s')     Splendidement     Beau-frère     

Les citations avec le mot G


  1. Cet homme qui avant de peindre se faisait ignorant, oubliait tout par probité (car ce qu'on sait n'est pas à soi) avait justement une intelligence exceptionnellement cultivée.

    Auteur : Marcel Proust - Source : A la recherche du temps perdu (1918)


  2. Mais de tous ceux qui entourent un enfant, les parents sont les plus aveugles.

    Auteur : André Gide - Source : Journal 1887-1925


  3. Une veuve ne doit pas faire de son mariage une affaire d'amourette. Une souris s'attrape-t-elle deux fois au même piège ?

    Auteur : Honoré de Balzac - Source : La Paix du ménage (1830)


  4. Pendant des semaines, j'ai rêvé qu'un jour il appuierait sur l'accélérateur, pied au plancher, et nous projetterait tous les trois dans le mur du parking, unis pour toujours.

    Auteur : Delphine de Vigan - Source : No et moi (2007)


  5. De violon, l'homme en vieillissant devient violoncelle, puis contrebasse: un corps épais, une voix grave et pas grand-chose à dire.

    Auteur : Gilbert Cesbron - Source : Sans référence


  6. Vous resterez jeune tant que vous resterez réceptif. Réceptif à ce qui est beau, bon et grand. Réceptif aux messages de la nature, de l'homme et de l'infini.

    Auteur : Douglas MacArthur - Source : Normal Instructor & Primary Plan ,1945. Traduction de Youth de Samuel Ulman (1840-1924)


  7. Il avait brigué le titre de roi, qu'ils ambitionnaient comme lui.

    Auteur : Gustave Flaubert - Source : Hérodias (1877)


  8. Grâce à l'ennemi, ce sinistre accident qu'est la vie devient une épopée.

    Auteur : Amélie Nothomb - Source : Le Sabotage amoureux (1993)


  9. Qui se fait miel, les mouches le mangent.

    Auteur : Proverbes espagnols - Source : Proverbe


  10. Les grands hommes sont comme les plus belles fleurs. Ils croissent sous le fumier et à travers le fumier que jettent sur eux les envieux et les imbéciles.

    Auteur : Jules Amédée Barbey d'Aurevilly - Source : Disjecta membra


  11. Vous avez su que les Calas ont pleinement gagné leur procès; c'est à vous qu'ils en ont l'obligation.

    Auteur : Jean le Rond d'Alembert - Source : Lettre à Voltaire, 26 mars 1765


  12. Douze pâtés de maisons seulement les séparaient de la rue où logeait Sean, mais celle-ci se trouvait au nord de cette même avenue, en plein dans la zone du Point or ceux du Point et deux des Flats ne se mélangeaient pas beaucoup.

    Auteur : Dennis Lehane - Source : Mystic River (2002)


  13. Je crois, juridiquement parlant, qu'il y aurait des motifs sérieux pour inculper chaque président des Etats-Unis depuis la seconde guerre mondiale. Il ont tous été soit de véritables criminels de guerre, soit impliqués dans de graves crimes de guerre.

    Auteur : Noam Chomsky - Source : Sans référence


  14. La maison Kessel est une auberge ouverte sur le monde, que les vents traversent en une lancinante complainte, celle de l'appel au voyage.

    Auteur : Olivier Weber - Source : Kessel, le nomade éternel (2006)


  15. Tel croit être un bon père de famille, et n'est qu'un vigilant économe; le lien peut prospérer, et la maison aller fort mal.

    Auteur : Jean-Jacques Rousseau - Source : Julie, ou la Nouvelle Héloïse (1761)


  16. Les gens qui s'aiment trouvent toujours une solution pour s'aimer davantage.

    Auteur : Joël Dicker - Source : La Vérité sur l'affaire Harry Quebert (2012)


  17. L'amour est un philtre qui rapproche ce qui est lointain et rend possible l'impossible. Un philtre qui, en une seule prise, nous fait adorer ce que nous avons abhorré, nous rappelle une par une nos bravades et nous fait ravaler nos grandes théories, qui nous ébranle dès qu'il nous saisit au poignet et ne lâche plus prise dès lors qu'il nous tient.

    Auteur : Elif Shafak - Source : Lait noir (2009)


  18. Opprimer le pauvre, c'est outrager celui qui l'a fait, mais avoir pitié de l'indigent c'est l'honorer.

    Auteur : Anonyme - Source : Écrit anonyme


  19. Rien n'empêche de supposer que le sorcier de la préhistoire, devant l'image d'un bison percé de flèches, a ressenti à de certains moments la même angoisse et la même ferveur que tel chrétien devant l'Agneau sacrifié.

    Auteur : Marguerite Yourcenar - Source : Archives du Nord (1977)


  20. Nous nous sommes imaginés seuls au monde (je note aujourd'hui que je me sens plus seul à deux que tout seul ; tout seul je peux profiter de ma propre compagnie, là où ta présence m'en empêchait).

    Auteur : Yann Moix - Source : Une simple lettre d'amour (2015)


  21. Ma femme et moi avons été heureux vingt-cinq ans. C'est à cet âge-là que nous nous sommes rencontrés.

    Auteur : Sacha Guitry - Source : Sans référence


  22. Le bonheur est un maître exigeant - surtout le bonheur d'autrui.

    Auteur : Aldous Huxley - Source : Le meilleur des mondes (1932), 16


  23. Devant les livres, la nature ou l'amour, vous êtes comme à vingt ans: au tout début du monde et de vous.

    Auteur : Christian Bobin - Source : Une petite robe de fête


  24. Ce qu'il y a de réconfortant dans le cancer, c'est qu'un imbécile peut attraper une tumeur maligne.

    Auteur : Pierre Desproges - Source : Textes de scènes (1988)


  25. Les grands artistes ne sont pas les transcripteurs du monde, ils en sont les rivaux.

    Auteur : André Malraux - Source : Les Voix du silence (1951)


Les citations du Littré sur G


  1. Il y a des philosophes qui ont pensé que les noms de la langue primitive exprimaient la nature même des choses ; ils raisonnaient sans doute d'après des principes semblables à ceux que je viens d'exposer, et ils se trompaient

    Auteur : CONDIL. - Source : Gramm. I, 2


  2. Au milieu de tant de périls [à Senef], il [le fils de Condé] voit ce grand prince renversé dans un fossé sous un cheval tout en sang ; pendant qu'il lui offre le sien....

    Auteur : BOSSUET - Source : Louis de Bourbon.


  3. Ce petit combat livra de chance, et resveilla les uns et les autres à la guerre, de laquelle on doutoit auparavant

    Auteur : D'AUB. - Source : ib. II, 433


  4. Ayant une fois posé Sabine pour femme d'Horace, il est nécessaire que tous les incidents de ce poëme lui donnent les sentiments qu'elle en témoigne avoir

    Auteur : Corneille - Source : Hor. Examen.


  5. Elle [la dame de la Trémoille] avait fait orner son livre d'heures, non pas par un des artistes que la province comptait alors en grand nombre, mais par un historieur ou miniaturiste de Paris

    Auteur : MARCHEGAY - Source : Lettres missives originales du chartrier de Thouars, p. 139


  6. Aussi bons politiques que les Romains, ils [les Iroquois] avaient adopté quelques-uns de ces peuples vaincus, et leur avaient, pour ainsi dire, donné sur leur natte le droit de bourgeoisie iroquoise

    Auteur : BOUGAINVILLE - Source : Instit. Mém. scienc. mor. et pol. t. III, p. 325


  7. Des mains, nous interrogeons, nombrons, confessons, repentons....

    Auteur : MONT. - Source : II, 159


  8. Habitez, par l'essor d'un grand et beau génie, Les hautes régions de la philosophie

    Auteur : Molière - Source : Fem. sav. I, 1


  9. Qu'à son gré désormais la fortune me joue ; On me verra dormir au branle de sa roue

    Auteur : BOILEAU - Source : Ép. V


  10. Les palafittes peuvent être regardés comme caractérisant, dans l'Europe occidentale, la dernière phase de l'âge de pierre, l'époque de la pierre polie ; c'est ce qui explique la présence des métaux dans quelques-unes de des habitations sur pilotis

    Auteur : A. MAURY - Source : l'Homme primitif, dans Revue des Deux-Mondes, 1er avril 1867, p. 654


  11. Je suis père, seigneur, et faible comme un autre

    Auteur : Jean Racine - Source : Iph. I, 5


  12. Les esprits délicats, si ingénieux pour les plaisirs des autres, ont trop de goût pour eux-mêmes être ingénieux à faire quelque chose

    Auteur : ST-ÉVREM. - Source : II, 424


  13. Apprenez que Cicéron dit qu'entre l'arbre et le doigt il ne faut pas mettre l'écorce

    Auteur : Molière - Source : Méd. m. lui, I, 1


  14. Il [Alcibiade] lui fit couper la queue [à son chien], qui était justement ce qu'il avait de plus beau ; ses amis lui en firent de grands reproches, et lui dirent que toute la ville murmurait contre lui

    Auteur : ROLLIN - Source : Hist. anc. Oeuv. t. III, p. 601


  15. En vain, tout fier d'un sang que vous déshonorez

    Auteur : BOILEAU - Source : Sat. V


  16. Il y a des hommes qui se méprennent en raisonnant, même touchant les plus simples matières de géométrie, et y font des paralogismes

    Auteur : DESC. - Source : Méth. IV, 1


  17. Pegase se tarist, et n'y a plus de trasse Qui nous puisse conduire au sommet du Parnasse

    Auteur : RONS. - Source : 703


  18. Plusieurs seigneurs par nature sont enclins à leur profit

    Auteur : ORESME - Source : II, II, 52


  19. C'est par une telle foi que le nom de Dieu est gravé profondément dans nos coeurs

    Auteur : BOSSUET - Source : Mar.-Thér.


  20. Tous ces travaux [reboisement, barrages, rigoles] réduiront considérablement le cube des matières aujourd'hui sujettes à être entraînées par les eaux, et de là résultera un creusement naturel et général du lit [du fleuve]

    Auteur : DAUSSE - Source : Acad. des sc. Comptes rendus, t. LIII, p. 1250


  21. On en voit quelquefois [des enfants] qui dépérissent d'une langueur secrète, parce que d'autres sont plus aimés et plus caressés qu'eux

    Auteur : FÉN. - Source : Éduc. des filles, ch. 5


  22. L'épontage ramène la pyrale à son état normal ; les pontes étaient, tout simplement, écrasées entre les doigts.... l'épontage devra être appliqué quelques jours après la naissance du papillon

    Auteur : PELLET - Source : dans Trav. de la comm. dép. contre le phylloxéra, Perpignan, 1874, p. 89 et 90


  23. Petits plaisirs, longues clamours, Or taschons à trouver la chose Que je cherche au temple d'Amours

    Auteur : MAROT - Source : I, 191


  24. [Qui] D'un songe équivoque envoyé par les dieux Lira d'un oeil plus sûr l'avis mystérieux

    Auteur : C. DELAV. - Source : Paria, II, 2


  25. Quand femme est condamnée à perdre le cors par jugement, et elle dit qu'elle est grosse.... quant la grossesse apert à lui

    Auteur : BEAUMANOIR - Source : VII, 12




Les mots débutant par G  Les mots débutant par G

Une suggestion ou précision pour la définition de G ? -


Mise à jour le mercredi 24 décembre 2025 à 01h40










.$char.
 -  Gendarme  -  Generosite  -  Genie  -  Génie  -  Gentillesse  -  Gentleman  -  Geographie  -  Gloire  -  Golf  -  Goût  -  Gout  -  Gouvernement  -  Grâce  -  Grammaire  -  Grandeur  -  Grandir  -  Gratitude  -  Gratuit  -  Gravite  -  Gregaire  -  Guerre

Liste des mots et définitions commençant par


Etendez votre recherche :   Citation sur gPoèmes gProverbes g

La définition du mot G est issue du Dictionnaire français - La définition et la signification du mot G sont données à titre indicatif. Les réponses à votre question sur la signification G présentées sur ce site peuvent être complétées par vos commentaires.