Définition de « mépriser »


Notre dictionnaire de français vous présente les définitions du mot mepriser de manière claire et concise, avec des exemples pertinents pour aider à comprendre le sens du mot.

Il comprend des informations supplémentaires telles que des exemples d'expressions, l'étymologie, les synonymes, les homonymes, les antonymes mais également les rimes et anagrammes et bien sûr des citations littéraires sur mépriser pour aider à enrichir la compréhension du mot Mépriser et répondre à la question quelle est la définition de mepriser ?

VER genre () de 3 syllabes
Une définition simple : mépriser (t) (1ergroupe)

  • Avoir du mépris pour une personne, pour une chose, n’en point faire de cas, n’en pas tenir compte. - C’est un homme qui méprise tout le monde, qui méprise tout ce qui n’est pas lui. - Il ne faut mépriser personne. - Mépriser les pauvres, les malheureux est indigne d’un cœur chrétien. - C’est un homme universellement méprisé. - Il méprise tous les conseils qu’on lui donne. - Cet avis n’est pas à mépriser. mépriser (t) (1ergroupe)

  • , par extension, S’élever au-dessus de l’amour qu’on a ordinairement pour une chose, ou de la crainte qu’elle inspire. - Mépriser les richesses, les honneurs, la vie, la mort, le danger, les injures, la calomnie.


    Définitions de « mépriser »


    Trésor de la Langue Française informatisé


    MÉPRISER, verbe trans.

    A. ? Considérer quelqu'un comme indigne d'estime. Anton. priser, apprécier, considérer.Il ne faut mépriser personne (Ac.). Si vous vous lassez de suivre un pilote incertain de sa route, cherchez-en un meilleur, mais ne le méprisez pas pour n'avoir pas été un Dieu (Sand,Hist. vie, t. 4, 1855, p. 340).Il faut s'instruire partout, ne pas mépriser les adversaires, mais les regarder, comprendre les raisons de leur succès (Barrès,Cahiers, t.9, 1911, p. 141):
    1. J'avais des partisans, dont je jouissais d'être le chef, mais au fond je ne les méprisais pas moins que les bourgeois. Mauriac,Noeud vip., 1932, p. 37.
    ? Emploi pronom.
    ? réfl. En effet, n'est-ce pas se mépriser soi-même que de regarder des ouvrages pareils (Balzac,Corresp., 1822, p. 155):
    2. ... il n'aimait plus Madame de Chasteller. Penser à elle était ennuyeux. Cette dernière découverte acheva d'accabler Leuwen; il se méprisait soi-même... Stendhal,L. Leuwen, t. 2, 1836, p. 53.
    ? réciproque. Nous nous haïssons, nous nous méprisons, c'est-à-dire, nous nous ignorons (Michelet,Peuple, 1846, p. 174).
    ? [Avec un compl. introd. par de exprimant la cause du mépris] Vous devez me mépriser de ne pas savoir accepter l'occasion que vous m'offrez depuis six mois (Staël,Lettres L. de Narbonne, 1794, p. 235).Plus sa raison était choquée des ridicules du prince, plus il se méprisait de ne pas les admirer (Stendhal,Rouge et Noir, 1830, p. 392):
    3. Judith était définitivement déchue. Ouvertement, les Allemands allaient s'amuser chez elle. On l'en haïssait, on l'en méprisait, et pourtant on la craignait encore. Van der Meersch,Invas. 14, 1935, p. 378.
    ? Emploi abs. Être méprisant. Encore que je n'aime guère le temps où je vis, je reconnais en moi plus d'un trait de son caractère, et notamment celui que je condamne le plus: je méprise (Veuillot,Odeurs de Paris, 1866, p. xv).Le moraliste s'arrête dans ses réflexions dès qu'il obtient de soi la jouissance physique de louer ou de condamner, de mépriser, de maudire, de se réconcilier, de juger (Valéry,Suite, 1934, p. 81).
    B. ?
    1. Considérer quelque chose comme ne valant pas la peine qu'on lui porte attention ou intérêt parce qu'on la réprouve d'un point de vue moral. Synon. dédaigner; anton. faire cas* de.Cette grande noblesse (...) sera toujours imparfaitement jugée jusqu'à ce qu'un poète l'ait montrée (...) méprisant la guillotine de 89 comme une sale vengeance (Balzac,Langeais, 1834, p. 319).Monsieur l'abbé, dit le professeur, vous méprisez la science (A. France,Orme, 1897, p. 76):
    4. Autant les cheveux blonds à l'Argentine, les grandes mains fortes me semblaient dignes de nos caresses, autant je méprisais les cheveux noirs avec raie au milieu et les mains petites et souples. Giraudoux,Suzanne, 1921, p. 195.
    ? P. plaisant. [Le suj. désigne un inanimé] J'ai toujours préféré les appartements perchés haut (...) que le chauffage central atteint à peine, que le téléphone méprise (Arnoux,Paris, 1939, p.80).
    2. Faire peu de cas de quelque chose qui est ordinairement convoité ou qui a une grande importance. Synon. dédaigner, faire fi* de.Mépriser la célébrité, la gloire; il méprise la mort. Il méprise tous les conseils qu'on lui donne (Ac.1835).Il affecte de mépriser l'argent, dit Claudie. Pourtant, on en a bien besoin au prix où est le beurre (Beauvoir,Mandarins, 1954, p.392).
    REM.
    Méprisoter, verbe trans.,hapax. Le père Ducros aimait beaucoup mon grand-père, son médecin (...), mais il ne pouvait s'empêcher de méprisoter un peu la faiblesse de son caractère (Stendhal,H. Brulard, t.1, 1836, p. 221).
    Prononc. et Orth.: [mep?ize], (il) méprise [mep?i:z]. Ac. 1694: me- en vedette, mé- dans le texte; 1718: mes-; dep. 1740: mé-. Étymol. et Hist. Ca 1180 «mésestimer, dédaigner (personne ou chose)» (Thomas, Tristan, 1473 ds T.-L.); 1552 «dédaigner ce qui est recherché ou redouté par les hommes» (Ronsard, Les Amours, éd. P.Laumonier, t. 4, p. 116). Dér. de priser*; préf. -me(s)*. Fréq. abs. littér.: 3 761. Fréq. rel. littér.: xixes.: a) 5 570, b) 3 333; xxes.: a) 5 766, b) 5 985.
    DÉR. 1.
    Méprisamment, adv.D'une manière méprisante, avec mépris. Anton. admirativement, respectueusement.Son teint était celui d'un sang mêlé, que méprisamment vous appelez mulâtresse (Borel,Champavert, 1833, p. 45).Les gens nés sous une heureuse étoile, regardent un peu méprisamment les malchanceux (Goncourt,Journal, 1894, p. 521).Comme elle avait su éveiller en lui des voix inconnues! Voix dont il s'était méprisamment gardé jusqu'alors, mais qui lui semblaient, à présent, les seules importantes (Arland,Ordre, 1929, p. 468).? [mep?izam? ?]. ? 1reattest. 1671 (Pomey); de mépriser, suff. -(am)ment2*.
    2.
    Mépriseur, -euse, subst.Personne qui témoigne du mépris (envers quelqu'un ou quelque chose). Lorenzo: Tu ne veux voir en moi qu'un mépriseur d'hommes, c'est me faire injure (Musset,Lorenzaccio, 1834, III, 3, p.190).Ainsi nous faisons sans cesse, toujours en action et en réaction; nous nous chargeons volontiers d'être nos propres mépriseurs (Sainte-Beuve, Nouv. lundis, t.7, 1864, p. 185).? [mep?izoe:?], fém. [-ø:z]. ? 1reattest. 1547 mespriseur «celui qui méprise» (Amyot, Hist. Aethiop., L.VIII, 91rods Hug.); de mépriser, suff. -eur2*.
    BBG. ? Rem. lexicogr. R. Philol. fr. 1933, t. 45, p. 173.


    Wiktionnaire


    Verbe - français

    mépriser \me.p?i.ze\ transitif 1er groupe (voir la conjugaison)

    1. Considérer quelqu'un comme indigne d'estime.
      • Si les esprits les plus distingués sont accessibles à la vanité, comment ne pas absoudre l'enfant qui pleure de se voir méprisé, goguenardé ? (Honoré de Balzac, Le Lys dans la vallée, 1836)
      • Elle se dit qu'il fallait montrer aujourd'hui tout son courage, être comme ces femmes de la ville, ces grandes dames qui savent mépriser les hommes peu fidèles et regarder avec hauteur leur légèreté oublieuse. (Out-el-Kouloub, « Zaheira », dans Trois Contes de l'Amour et de la Mort, 1940)
    2. (Par extension) Dédaigner.
      • Il a toujours méprisé les vanteries ridicules dont il arrive assez ordinairement que la noblesse étourdit le monde. (Jacques-Bénigne Bossuet, Gornay)
      • Mépriser les richesses, les honneurs, la vie, la mort, le danger, les injures, la calomnie.
    Wiktionnaire - licence Creative Commons attribution partage à l'identique 3.0

    Dictionnaire de l'Académie française, huitième édition

    MÉPRISER. v. tr.
    Avoir du mépris pour une personne, pour une chose, n'en point faire de cas, n'en pas tenir compte. C'est un homme qui méprise tout le monde, qui méprise tout ce qui n'est pas lui. Il ne faut mépriser personne. Mépriser les pauvres, les malheureux est indigne d'un cœur chrétien. C'est un homme universellement méprisé. Il méprise tous les conseils qu'on lui donne. Cet avis n'est pas à mépriser.

    MÉPRISER signifie aussi, par extension, S'élever au-dessus de l'amour qu'on a ordinairement pour une chose, ou de la crainte qu'elle inspire. Mépriser les richesses, les honneurs, la vie, la mort, le danger, les injures, la calomnie.

    Littré

    MÉPRISER (mé-pri-zé) v. a.
    • 1Tenir en mépris. Vous méprisez trop Rome, et vous devriez faire Plus d'estime d'un roi qui vous tient lieu de père, Corneille, Nicom. III, 1. Michol, fille de Saül, regardant par la fenêtre, vit le roi David qui sautait et qui dansait?; et elle le méprisa dans son c?ur, Sacy, Bible, Paralip. I, XV, 29. On a bien de l'obligation à ceux qui avertissent des défauts?; car ils mortifient?: ils apprennent qu'on a été méprisé, Pascal, Pens. XXV, 38. Ne vous étonnez pas si le même Ecclésiaste méprise tout en nous, jusqu'à la sagesse, et ne trouve rien de meilleur que de goûter en repos le fruit de son travail, Bossuet, Duch. d'Orl. Les chrétiens ne connaissent plus la sainte frayeur dont on était saisi autrefois à la vue du sacrifice? loin de trembler devant les autels, on y méprise Jésus-Christ présent, Bossuet, Louis de Bourbon. C'est dans ce même esprit qu'il méprisa souvent les bruits du vulgaire, Fléchier, Lamoignon. Vous méprisez mes pleurs?! mes cris sont superflus?! Quinault, Pers. II, 6. Qui méprise Cotin n'estime point son roi, Boileau, Sat. IX. Ses mains ne méprisent point le travail, Fénelon, Tél. XXII. Il est encore assez ordinaire de mépriser qui nous méprise, La Bruyère, XI. J'ai assez d'orgueil pour mépriser d'un mépris souverain les discours de ceux qui ne me connaissent pas, Voltaire, Lett. Thieriot, 28 janv. 1739. Les sots jugements et les folles opinions du vulgaire ne rendront point malheureux un homme qui a appris à supporter des malheurs réels?; et qui méprise les grands peut bien mépriser les sots, Voltaire, ib. 4 août 1728.

      Fig. et par plaisanterie. Je suis si bien aujourd'hui, que je crois que je prendrai le parti qu'ils me conseillent, qui est de mépriser ma jambe [malade], et de ne la point questionner à tout moment, Sévigné, 1er juill. 1685.

      Absolument. Cliton?: Dirons-nous rien nous deux?? - Lise. Non. - Cliton?: Comme tu méprises?! - Lise?: Je n'ai pas le loisir d'entendre tes sottises, Corneille, Suite du Ment. II, 6.

    • 2Fouler aux pieds, transgresser. Hélas?! ce peuple ingrat a méprisé ta loi, Racine, Esth. I, 4. Cruel, si, de mes pleurs méprisant le pouvoir, Vous consentez sans peine à ne me plus revoir, Racine, Phèdre, V, 1. Je puis vous paraître à présent indigne de votre affection?; mais votre promesse, pourquoi la méprisez-vous?? Staël, Corinne, XV, I.
    • 3Ne pas donner une suffisante attention. Ceux qui veulent qu'on méprise tout, veulent en même temps laisser tout courir, Bossuet, États d'oraison, I, 10. Il ne faut pas mépriser de tels détails, qui sont la source cachée de la ruine des États, comme des familles, Voltaire, M?urs, 79.
    • 4Repousser un amant, un prétendant. [toi] Pour qui j'ai méprisé Ce mortel qu'aujourd'hui le sort a fait ton maître, Voltaire, Orph. II, 3.
    • 5S'élever au-dessus de l'amour ou de la crainte qu'on a ordinairement pour une chose. Qui méprise la vie est maître de la sienne [d'Auguste], Corneille, Cinna, I, 2. Laissons-lui donc mépriser tous les états de cette vie, puisqu'enfin, de quelque côté qu'on s'y tourne, on voit toujours la mort en face, qui couvre de ténèbres tous nos plus beaux jours, Bossuet, Duch. d'Orl. Mais, parce qu'en refusant les présents du monde, on encourt infailliblement ses disgrâces, non-seulement mépriser ses biens, mais encore mépriser sa haine, et ne pas craindre de lui déplaire, voilà la seconde maxime, Bossuet, 2e sermon, Pentec. 1. Quand on peut mépriser le charme de l'amour, Quels enchantements peut-on craindre?? Quinault, Armide, II, 1. La franchise qui règne en cet heureux séjour Fait mépriser les fers et l'orgueil de la cour, Voltaire, Scythes, I, 3. Voulons-nous avoir le droit de mépriser les riches?? commençons par mépriser les richesses?; changeons nos m?urs, Duclos, Consid. m?urs, 10.
    • 6Mépriser de, avec un infinitif. Vous, hommes, enfants de Dieu? si, plus stupides et plus insensibles que les créatures inanimées, vous méprisez de suivre les lois que Dieu même vous a données, Bossuet, 2e sermon, Quinquagésime, 2.
    • 7Se mépriser, v. réfl. Avoir du mépris pour soi-même. Il ne faut pas permettre à l'homme de se mépriser tout entier, de peur que, croyant avec les impies que notre vie n'est qu'un jeu où règne le hasard, il ne marche sans règle et sans conduite au gré de ses aveugles désirs, Bossuet, Duch. d'Orl. C'est se mépriser soi-même que de n'oser paraître ce qu'on est, Massillon, Madame.

      Se mépriser, avoir un mépris réciproque l'un pour l'autre. Ces deux hommes se méprisent, et ils ont raison tous les deux.


    REMARQUE

    Mme de Sévigné a accordé, suivant l'ancienne règle, le participe présent?: Je vous trouve si pleine de réflexions, si stoïcienne, si méprisante les choses de ce monde et la vie même, 3 avr. 1680.


    HISTORIQUE

    XVIe s. Mespriser les offenses receues, Montaigne, II, 115. Nostre appetit mesprise ce qui luy est en main, Montaigne, III, 3. Les opinions que l'ancienneté a eues de l'homme, sont celles qui nous mesprisent, avilissent et aneantissent le plus, Montaigne, III, 32. Pour ceste premiere fois s'en alla mesprisé et mocqué d'eulx, Amyot, Lys. 10.

    Version électronique créée par François Gannaz - http://www.littre.org - licence Creative Commons Attribution

    Étymologie de « mépriser »

    Mes? préfixe, et priser, estimer?; prov. mesprezar, mensprezar, menesprezar?; catal. menyspresar?; esp. menospreciar?; port. menosprezar.

    Version électronique créée par François Gannaz - http://www.littre.org - licence Creative Commons Attribution

    (Date à préciser)[1] En ancien français mespriser (« moins priser, ne pas accorder de prix à »), dérivé de priser, avec le préfixe més-[1][2], apparenté[2] à menospreciar en espagnol, menosprezar en portugais, mespresar en occitan.
    Wiktionnaire - licence Creative Commons attribution partage à l'identique 3.0

    MÉPRISER, verbe trans.
    Étymol. et Hist. Ca 1180 «mésestimer, dédaigner (personne ou chose)» (Thomas, Tristan, 1473 ds T.-L.); 1552 «dédaigner ce qui est recherché ou redouté par les hommes» (Ronsard, Les Amours, éd. P.Laumonier, t. 4, p. 116). Dér. de priser*; préf. -me(s)*.

    mépriser au Scrabble


    Le mot mépriser vaut 11 points au Scrabble.

    mepriser

    Informations sur le mot mepriser - 8 lettres, 3 voyelles, 5 consonnes, 6 lettres uniques.

    Quel nombre de points fait le mot mépriser au Scrabble ?


    Le calcul de points ne prend pas en compte lettre compte double, lettre compte triple, mot compte double et mot compte triple. Ces cases augmentent les valeurs des mots posés selon un coefficient indiqué par les règles du jeu de Scrabble.

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    mepriser

    Les rimes de « mépriser »


    On recherche une rime en ZE .

    Les rimes de mépriser peuvent aider les poètes et les paroliers à trouver des mots pour former des vers avec une structure rythmique cohérente, mais aussi pour jouer avec les mots et les sons, découvrir de nouvelles idées et perspectives ce qui peut être amusant et divertissant.

    Les rimes en ze

    Rimes de climatisés      Rimes de refusées      Rimes de immergés      Rimes de égorgeait      Rimes de corriger      Rimes de dialyser      Rimes de bougez      Rimes de prolongés      Rimes de posée      Rimes de exposée      Rimes de jugeait      Rimes de proroger      Rimes de symbolisaient      Rimes de encourager      Rimes de parfaisais      Rimes de excusée      Rimes de chargés      Rimes de dématérialiser      Rimes de analyser      Rimes de initialisé      Rimes de déranger      Rimes de traumatisée      Rimes de osé      Rimes de atomisez      Rimes de aiguiser      Rimes de stabilisés      Rimes de étagées      Rimes de dosés      Rimes de réinterroger      Rimes de dévalisés      Rimes de usager      Rimes de mitigées      Rimes de indemnisé      Rimes de cicatrisez      Rimes de inutilisées      Rimes de refusée      Rimes de télévisées      Rimes de stérilisée      Rimes de contre-plongée      Rimes de osait      Rimes de rengagés      Rimes de neutralisées      Rimes de gorger      Rimes de terrorisé      Rimes de disait      Rimes de pacsés      Rimes de songeait      Rimes de irisée      Rimes de osée      Rimes de budget     

    Mots du jour

    climatisés     refusées     immergés     égorgeait     corriger     dialyser     bougez     prolongés     posée     exposée     jugeait     proroger     symbolisaient     encourager     parfaisais     excusée     chargés     dématérialiser     analyser     initialisé     déranger     traumatisée     osé     atomisez     aiguiser     stabilisés     étagées     dosés     réinterroger     dévalisés     usager     mitigées     indemnisé     cicatrisez     inutilisées     refusée     télévisées     stérilisée     contre-plongée     osait     rengagés     neutralisées     gorger     terrorisé     disait     pacsés     songeait     irisée     osée     budget     


    Les citations sur « mépriser »

    1. Ce qui est même méprisable n'est pas toujours à mépriser.

      Auteur : Jean-François Paul de Gondi, cardinal de Retz - Source : Mémoires (1717)


    2. Noblesse: La mépriser et l'envier.

      Auteur : Gustave Flaubert - Source : Dictionnaire des idées reçues (1913)


    3. Mépriser les bourreaux c'est se rendre invincible.

      Auteur : Louis Jean Népomucène Lemercier - Source : Clovis (1820), III, 1


    4. Le général De Gaulle... jouait de toutes les séductions quand il le jugeait utile, façon de mépriser, la pire.

      Auteur : François Mitterrand - Source : La Paille et le Grain (1975)


    5. Tu vas me mépriser encore, mais de découvrir cela, tu verras, c'est la consolation dérisoire de vieillir, la vie, ce n'est peut-être tout de même que le bonheur.

      Auteur : Jean Anouilh - Source : Antigone (1942)


    6. Peu de philosophie mène à mépriser l'érudition; beaucoup de philosophie mène à l'estimer.

      Auteur : Sébastien-Roch Nicolas de Chamfort - Source : Maximes et Pensées, Caractères et Anecdotes (1795), 434


    7. Le malheur, ma fille, n'est pas d'être méprisée, mais seulement de se mépriser soi-même.

      Auteur : Georges Bernanos - Source : Dialogues des Carmélites (1948)


    8. Tu te disais que l'amour doit mépriser l'argent pour être vrai.

      Auteur : André Gorz - Source : Lettre à D. Histoire d'un amour (2006)


    9. Il y a dans les hommes plus de choses à admirer que de choses à mépriser.

      Auteur : Albert Camus - Source : La Peste (1947)


    10. Et dans un dernier souffle, je comprends tout: que le temps n'existe pas, que la vie est notre seul bien, qu'il ne faut pas la mépriser, que nous sommes tous liés, et que l'essentiel nous échappera toujours.

      Auteur : Guillaume Musso - Source : Je reviens te chercher (2009)


    11. Non, Jem, moi je pense qu'il y a qu'une sorte de gens, les gens. […]
      – C'était ce que je pensais moi aussi, […] quand j'avais ton âge. S'il y a qu'une sorte de gens, pourquoi n'arrivent-ils pas à s'entendre ? S'ils se ressemblent, pourquoi passent-ils leur temps à se mépriser les uns les autres ?


      Auteur : Harper Lee - Source : Ne tirez pas sur l'oiseau moqueur (2005)


    12. Mépriser son adversaire même petit et frêle est toujours une faute stratégique dans un combat.

      Auteur : Ahmadou Kourouma - Source : En attendant le vote des bêtes sauvages


    13. Ceux qui prétendent que les femmes doivent être femmes et rien d'autre, seraient embarrassés de définir les objets de leur choix, ils veulent mépriser ce qu'ils désirent et désirer ce qu'ils méprisent.

      Auteur : Albert Caraco - Source : Le Galant Homme (1979)


    14. Que chacun suive en tout, partout et toujours l'impulsion de sa nature bornée ou géniale, quelle qu'elle soit. Alors, seulement, l'homme saura ce que c'est que vivre, au lieu de mépriser la vie sans jama

      Auteur : Alexandra David-Neel - Source : Pour la vie


    15. Mazarinades: Les mépriser. Inutile d'en connaître une seule.

      Auteur : Gustave Flaubert - Source : Dictionnaire des idées reçues (1913)


    16. Mais, enfin, pourquoi donc mépriser un homme qui a de l'égoïsme plutôt qu'un homme qui a du coeur?

      Auteur : Jules Renard - Source : Journal, 27 février 1890


    17. Il ne faut pas mépriser les petites choses.

      Auteur : Proverbes français - Source : Proverbe


    18. Comme disait ma grand-mère, il faut mépriser les hauts et repriser les bas.

      Auteur : Jacques Chirac - Source : en campagne législative, à Saint-Étienne, 15 janvier 1986


    19. Pour des personnes comme toi et moi, le plus important, c’est la rage. Sans rage, nous serions incapables de trouver la force pour ôter la vie. Certains sont différents : ils obéissent à d’autres instincts ou ont grandi dans une violence inouïe ; ces gens-là te regardent depuis des cavernes inconnues. Pour eux, la vie c’est le puits. Tu ne peux pas les tuer et ils t’achèveraient si tu t’élevais contre eux. Nous, nous ne sommes pas comme ça, nous avons besoin d’elle, de cette rage effrénée qui ne laisse aucun répit. Tes muscles s’agitent, toute ta peau papillonne, tu noircis de l’intérieur tandis qu’à l’extérieur ton corps rougeoie : elle fera de toi un homme meurtri à la quête désespérée de sa place dans le monde. Tu devras alors te chercher tous les motifs de haine, mépriser ce qui t’entoure et, plus important encore, te convaincre que cette rage est nécessaire .

      Auteur : Ivan Repila - Source : Le Puits (2013)


    20. Il faut se dire que les malentendus sont féconds. Il ne faut pas les mépriser.

      Auteur : Elias Canetti - Source : Le coeur secret de l'horloge


    21. On finit toujours par mépriser ceux qui sont trop facilement de notre avis.

      Auteur : Jules Renard - Source : Journal, 1 juin 1906


    22. Le travestisseur d'Homère, ennemi déclaré et blasphémateur intrépide de l'Iliade, pouvait être comparé à ces incrédules endurcis, qui, en attaquant le culte public, outragent avec audace ce qu'ils ont le malheur de mépriser.

      Auteur : Jean le Rond d'Alembert - Source : Eloges, Marivaux


    23. Il faut mépriser l'argent, surtout la petite monnaie.

      Auteur : François Cavanna - Source : Les Pensées de Cavanna


    24. Il y a dans le monde des gens assez modestes pour estimer ne valoir quelque chose que par la société qu'ils voient, et assez vains pour mépriser quiconque n'est pas admis dans cette société.

      Auteur : Cécile Brucy, dite Cécile Fée - Source : Pensées (1832)


    25. Epicure: Le mépriser.

      Auteur : Gustave Flaubert - Source : Dictionnaire des idées reçues (1913)


    Les citations sur mépriser renforcent la crédibilité et la pertinence de la définition du mot mepriser en fournissant des exemples concrets et en montrant l'utilisation d'un terme par des personnes célèbres. Elles peuvent également renforçer la compréhension du sens d'un terme et en ajoutant une dimension historique.

    Les mots proches de « mepriser »

    MéphistophélèsMéphistophélétiqueMéphistophéliqueMéplatMéprendre (se)MéprisMéprisableMéprisablementMéprisant, anteMépriseMéprisé, éeMépriserMépriseur

    Les mots débutant par mep  Les mots débutant par me

    méphistophéliqueméphistophéliquesméphitiqueméphitiquesMépieuméplatméplatsméplatsméprenaisméprenaitméprenantméprendméprendreméprendriezméprendsméprenezmépreniezméprenneméprennentméprisméprisméprisaméprisableméprisablesméprisaiméprisaientméprisaisméprisaitméprisammentméprisantméprisantméprisanteméprisantesméprisantsméprisemépriseméprisémépriséemépriséesméprisentméprisermépriseramépriseraimépriseraientmépriseraismépriseraitmépriserasmépriseriezméprisesméprises

    Les synonymes de « mepriser»

    Les synonymes de mépriser :

      1. abhorrer
      2. abominer
      3. détester
      4. exécrer
      5. haïr
      6. honnir
      7. braver
      8. affronter
      9. défier
      10. provoquer
      11. narguer
      12. oser
      13. offenser
      14. violer
      15. répudier
      16. vilipender
      17. vomir
      18. dédaigner
      19. négliger
      20. mésestimer
      21. méconnaître
      22. déconsidérer
      23. moquer
      24. plaisanter
      25. blaguer
      26. berner
      27. duper
      28. bafouer
      29. se

    synonymes de mépriser

    Fréquence et usage du mot mépriser dans le temps


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