Définition de « c »


Notre dictionnaire de français vous présente les définitions du mot c de manière claire et concise, avec des exemples pertinents pour aider à comprendre le sens du mot.

Il comprend des informations supplémentaires telles que des exemples d'expressions, l'étymologie, les synonymes, les homonymes, les antonymes mais également les rimes et anagrammes et bien sûr des citations littéraires sur c pour aider à enrichir la compréhension du mot C et répondre à la question quelle est la définition de c ?

ADJ:num genre () de 1 syllabes
Une définition simple : c

  • Symbole de centime. (lettre|c|C|se) c (m) (inv)

  • Troisième lettre de l’alphabet. (-note-) (-paro-) c’est chez sait ses c. :(cf|c.|C|ç|Ç) Synonyme : ce, C




    Définitions de « c »


    Littré

    C (sé ou, suivant une épellation moderne, ke ou que, désignant le c par le son le plus ordinaire qui est que) s. m.
    • 1Troisième lettre de l'alphabet et deuxième consonne. C se prononce comme k devant a, o, u, et les consonnes, et à la fin des mots, et comme s devant e, i et y.

      Ç, ainsi marqué d'une cédille, se prononce s?: façade, maçon.

    • 2Signe de cent dans la numération romaine.
    • 3Figure de musique qui, représentant abréviativement le mot carré, indique une mesure à 4 temps, et, quand il est traversé d'une barre verticale, une mesure à 4 temps, mais battue à 2 temps.

      Hors de la portée il signifie canto, chant.

      C ou C-sol-ut, le ton d'ut.

      C, renversé et suivi de deux points l'un sur l'autre, est la clef de fa, laquelle indique que la note fa est placée sur la ligne qui passe entre les deux points.


    HISTORIQUE

    XIIIe s. Damné fussions, se c ne fust?; Li c senefie le fust De la croix, car le c le forme, Senefiance de l'ABC, JUBIN. II, 277.


    SUPPLÉMENT AU DICTIONNAIRE

    C. Ajoutez?:

    4Le C doré, noctua c aureum, le c blanc, papilio c album, espèces de papillons.
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    Encyclopédie, 1re édition


    C Le C, c, (Gram.) est la troisieme lettre de notre alphabet. La figure de cette lettre nous vient des Latins. Elle a aujourd'hui un son doux devant l'e & devant l'i ; on prononce alors le c comme un s, ce, ci, comme se, si ; ensorte qu'alors on pourroit regarder le c, comme le sigma des Grecs, tel qu'il se voit souvent, surtout dans les inscriptions, avec la figure de notre C capital, ???? ??????? (Gruter, tome I. pag. 70) c'est-à-dire, tais emerais ; & au tome II. pag. 1020. on lit une ancienne inscription qui se voit à Alexandrie sur une colonne, ?????????? ?????????? ??????????, Democrates periclitos architectos, Democrates illustre architecte. Il y a un très-grand nombre d'exemples du sigma ainsi écrit, sur-tout en lettres majeures ou capitales ; car en lettres communes le sigma s'écrit ainsi ? au commencement & au milieu des mots, & ainsi ? à la fin des mots. A l'égard de la troisieme figure du sigma, elle est précisement comme notre c dans les lettres capitales, & elle est en usage au commencement, au milieu, & à la fin des mots : mais dans l'écriture commune on recourbe la pointe inférieure du c, comme si on ajoûtoit une virgule au c : en voici la figure ?.

    Ainsi il paroît que le c doux n'est que le sigma des Grecs ; & il seroit à souhaiter que le c eût alors un caractere particulier qui le distinguât du c dur ; car lorsque le c est suivi d'un a, d'un o, ou d'un u, il a un son dur ou sec, comme dans canon, cabinet, cadenat, coffre, Cologne, colombe, copiste, curiosité, cuvette, &c. Alors le c n'est plus la même lettre que le c doux, quoiqu'il paroisse sous la même figure ; c'est le cappa des Grecs, K, ?, dont on a retranché la premiere partie ; c'est le q des Latins écrit sans u, ainsi qu'on le trouve en quelques anciens : pronunciandum q latinum sine u, quod hæ voces ostendunt, punicè qalam, ???????, calamus, qane, ?????, canna, (Angeli Caninii ??????????. Parisiis, 1578, pag. 31.

    En bas-Breton on écrit aussi le q sans u, ê qever, envers ; qen, qer, tant, tellement. Le q sans u est le cappa des Grecs, qui a les mêmes regles & le même son. (Grammaire Françoise Celtique, à Vannes 1738.)

    S'il arrive que par la raison de l'étymologie on conserve le c dans l'écriture devant a, o, u ; que dans la prononciation on donne le son doux au c, comme quand on écrit il prononça, François, conçu, reçu, &c. à cause de prononcer, France, concevoir, recevoir, &c. alors on met sous le c une petite marque qu'on appelle cédille, ce qui pourroit bien être le même sigma dont nous avons déjà parlé, qui en lettre commune s'écrit ainsi ?, ??, , ensorte que la petite queue de ce sigma pourroit bien être notre cédille.

    Depuis que l'auteur du bureau typographique a mis en usage la méthode dont on parle au chapitre vj. de la Grammaire générale de P. R. les maîtres qui montrent aujourd'hui à lire, à Paris, donnent une double dénomination au c ; ils l'appellent ce devant e & devant i, ainsi en faisant épeler ils font dire ce, e, ce : ce, i, ci.

    A l'égard du c dur ou sec, ils l'appellent ke ou que ; ainsi pour faire épeler cabane, ils font dire ke, a, ca ; be, a, ba, caba ; ne, e, ne, ca-ba-ne ; car aujourd'hui on ne fait que joindre un e muet à toutes les consonnes ; ainsi on dit be, ce, de, fe, me, re, te, se, ve ; & jamais effe, emme, enne, erre, esse. Cette nouvelle dénomination des lettres facilite extrèmement la lecture, parce qu'elle fait assembler les lettres avec bien plus de facilité. On lit en vertu de la dénomination qu'on donne d'abord à la lettre.

    Il n'y a donc proprement que le c dur qui soit le kappa des Grecs ?, dont on a retranché la premiere partie. Le c garde ce son dur après une voyelle & devant une consonne ; dicter, effectif.

    Le c dur & le q sans u ne sont presque qu'une même lettre : il y a cependant une différence remarquable dans l'usage que les Latins ont fait de l'une & de l'autre de ces lettres, lorsqu'ils ont voulu que la voyelle qui suit le q accompagné de l'u, ne fît qu'une même syllabe ; ils se sont servis de qu ; ainsi ils ont écrit, aqua, qui, quiret, reliquum, &c. mais lorsqu'ils ont eu besoin de diviser cette syllabe, ils ont employé le c au lieu de notre trema ; ainsi on trouve dans Lucrece a-cu-a en trois syllabes, au lieu de aqua en deux syllabes ; de même ils ont écrit qui monosyllabe au nominatif, au lieu qu'ils écrivoient cu-i dissyllabe au datif. On trouve aussi dans Lucrece cui-ret, pour quiret ; relicu-um, pour reliquum.

    Il faut encore observer le rapport du c au g. Avant que le caractere g eût été inventé chez les Latins, le c avoit en plusieurs mots la pronociation du g, ce fut ce qui donna lieu à Sp. Carvilius, au rapport de Terentius Scaurus, d'inventer le g pour distinguer ces deux prononciations : c'est pourquoi Diomede, lib. II. cap. de litterâ, appelle le g lettre nouvelle.

    Quoique nous ayons un caractere pour le c, & un autre pour le g, cependant lorsque la prononciation du c a été changée en celle du g, nous avons conservé le c dans notre orthographe, parce que les yeux s'étoient accoûtumés à voir le c en ces mots-là : ainsi nous écrivons toûjours Claude, Cicogne, second, secondement, seconder, secret, quoique nous prononçions Glaude, Cigogne, segond, segondement, segonder : mais on prononce secret, secretement, secrétaire.

    Les Latins écrivoient indifféremment vicesimus ou vigesimus ; Gaius ou Caius ; Gneius pour Cneius.

    Pour achever ce qu'il y a à dire sur ce rapport du c au g, je ne puis mieux faire que de transcrire ici ce que l'auteur de la méthode Latine de P. R. a recueilli à ce sujet, p. 647.

    « Le g n'est qu'une diminution du c, au rapport de Quintilien ; aussi ces deux lettres ont-elles grande affinité ensemble, puisque de ?????????? nous faisons gubernator ; de ?????, gloria ; de agere, actum ; de nec-otium, negotium : & Quintilien témoigne que dans Gaius, Gneius, on ne distinguoit pas si c'étoit un c ou un g : c'est de-là qu'est venu que de centum on a formé quadringenti, quingenti, septengenti, &c. de porricere qui est demeuré en usage dans les sacrifices, on a fait porrigere ; & semblables.

    On croit que le g n'a été inventé qu'après la premiere guerre de Carthage, parce qu'on trouve toûjours le c pour le g dans la colonne appellée rostrata, qui fut élevée alors en l'honneur de Duilius, consul, & qui se voit encore à Rome au capitole ; on y lit : macistratos leciones pucnando copias Cartaciniensis : ce que l'on ne peut bien entendre si l'on ne prend le c dans la prononciation du k. Aussi est-il à remarquer que Suidas parlant du croissant que les sénateurs portoient sur leurs souliers, l'appelle ?? ???????? ????? ; faisant assez voir par-là que le c & le k passoient pour une même chose, comme en effet ils n'étoient point différens dans la prononciation ; car au lieu qu'aujourd'hui nous adoucissons beaucoup le c devant l'e & devant l'i, ensorte que nous prononçons Cicero comme s'il y avoit Sisero ; eux au contraire prononçoient le c en ce mot & en tous les autres, de même que dans caput & dans corpus, kikero ».

    Cette remarque se confirme par la maniere dont on voit que les Grecs écrivoient les mots Latins où il y avoit un c, sur-tout les noms propres, Cæsar, ?????? ; Cicero, ???????, qu'ils auroient écrit ???????, s'ils avoient prononcé ce mot comme nous le prononçons aujourd'hui.

    Voici encore quelques remarques sur le c.

    Le c est quelquefois une lettre euphonique, c'est-à-dire mise entre deux voyelles pour empêcher le bâillement ou hiatus ; si-c-ubi, au lieu de si-ubi, si en quelque part, si en quelque endroit ; nun-c-ubi, pour num-ubi ? est-ce que jamais ? est-ce qu'en quelque endroit ?

    Quelques auteurs ont cru que le c venoit du chaph des Hébreux, à cause que la figure de cette lettre est une espece de quarré ouvert par un côté ; ce qui fait une sorte de c tourné à gauche à la maniere des Hébreux : mais le chaph est une lettre aspirée, qui a plus de rapport au ?, chi, des Grecs qu'à notre c.

    D'ailleurs, les Latins n'ont point imité les caracteres Hébreux. La lettre des Hébreux dont la prononciation répond davantage au ????? & à notre c, c'est le kouph dont la figure n'a aucun rapport au c.

    Le P. Mabillon a observé que Charlemagne a toûjours écrit son nom avec la lettre c ; au lieu que les autres rois de la seconde race qui portoient le nom de Charles, l'écrivoient avec un k ; ce qui se voit encore sur les monnoies de ces tems-là.

    Le C qui est la premiere lettre du mot centum, étoit chez les Romains une lettre numérale qui signifioit cent. Nous en faisons le même usage quand nous nous servons du chiffre Romain, comme dans les comptes qu'on rend en justice, en finance, &c. Deux CC marquent deux cents, &c. Le C avec une barre au-dessus, comme on le voit ici, signifioit cent mille. Comme le C est la premiere lettre de condemno, on l'appelloit lettre funeste ou triste, parce que quand les juges condamnoient un criminel, ils jettoient dans l'urne une tablette sur quoi la lettre c étoit écrite ; au lieu qu'ils y écrivoient un A quand ils vouloient absoudre. Universi judices in cistam tabulas simul conjiciebant suas : easque inculptas litteras habebant, A, absolutionis ; C, condemnationis. (Asconius Pedianus in Divinat. Cic.)

    Dans les noms propres, le C écrit par abréviation signifie Caius : s'il est écrit de droite à gauche, il veut dire Caia. Voy. Valerius Probus, de notis Romanorum, qui se trouve dans le recueil des grammairiens Latins, Auctores linguæ Latinæ.

    Le C mis après un nom propre d'homme, ou doublé après deux noms propres, marquoit la dignité de consul. Ainsi Q. Fabio & T. Quintio CC, signifie sous le consulat de Quintus Fabius, & de Titus Quintius.

    En Italien, le c devant l'e ou devant l'i, a une sorte de son qui répond à notre tche, tchi, faisant entendre le t foiblement : au contraire si le c est suivi d'une h, on le prononce comme ou qué, ki ou qui : mais la prononciation particuliere de chaque consonne regarde la Grammaire particuliere de chaque langue.

    Parmi nous, le C sur les monnoies est la marque de la ville de Saint-Lô en Normandie. (F)

    C, dans le Commerce : cette lettre seule, ou suivie, ou précédée de quelques autres, sert aux marchands, négocians, banquiers & teneurs de livres, pour abréger certains termes qu'ils sont obligés de répéter souvent dans les écritures qu'ils portent sur leurs journaux ou registres. C. signifie compte. C. O. compte ouvert. C. C. compte courant. M. C. mon compte. S. C. son compte. L. C. leur compte. N. C. notre compte. Voy. Abréviation. (G)

    C est, en Musique, le signe de la mesure à quatre tems. Voyez Mesure.

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    Étymologie de « c »

    Notre c est le c latin, qui est le ? grec, qui est le kaf phénicien.

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    C, subst. masc.
    HIST. ? A.? Origine de C graphique 1. Qu latin. Représente [kw] de mots comme quarre > car; quomodo > comment. [kw] perd très tôt son élément labial devant les vélaires o, u. Évolution traduite dans la graphie par l'alternance qu/c attestée dès la fin du iiies. dans l'Appendix Probi, registre de Valérius Probus (cf. p. ex. lat. vulg. como pour lat. class. quomodo). P. ext. la perte de l'élément labial de [kw] se produit plus tard devant les autres voyelles. Elle n'atteint [kw] devant a que vers la fin du xiies. (cf. Bourc.-Bourc. 1967, § 137 Hist.). La graphie c pour qu lat. se rencontre dans les plus anc. textes comme la Cantilène de Ste Eulalie du ixes. (chi pour qui). À ce sujet, cf. Beaul. t. 1 1927, p. 39 et 40 ainsi que p. 66 et 178. 2. t + yod précédé d'une cons. donnant par palatalisation > [s] sourd écrit c en français, ex. : fortia > force; linteolu > linceul. Évolution anc. datant du mil. du iies. (L'Appendix Probi relève déjà : tersu pour tertiu). Cf. G. Straka, R. Ling. rom., 1956, p. 256. Cf. aussi Bourc.-Bourc. 1967, § 147. Pour l'emploi de la graphie c pour figurer [s] cf. Beaul. t. 1 1927, p. 64. 3. C lat. correspondant au phonème [k] a) C [k] lat. resté intact en français aussi bien pour la prononc. que pour la graphie. ? Dans les groupes cl, cr initiaux ou précédés d'une cons. Ex. : clave > clé; credere > croire; circulu > cercle (cf. Bourc.-Bourc. 1967, § 131 et 133). ? Lorsque c [k] lat. à l'initiale ou derrière cons. se trouve devant o, u. Ex. : cor > c?ur; rancore > ranc?ur (cf. Bourc.-Bourc. 1967, § 124 et 125). ? Lorsque c [k] lat. se retrouve à la finale de mots dont il avait disparu en a. fr. devant s de flexion. Ex. : be(c)cu > bec; sa(c)cu > sac; parc, arc, etc. Pour la restauration de la cons. finale, cf. Beaul. t. 1 1927, p. 328 et p. 336. Cf. aussi Bourc.-Bourc. 1967, § 128. b) C [k] lat. conservé dans la graphie mais effacé dans la prononc. à la finale de certains mots comme porc, jonc (cf. Bourc.-Bourc., ibid.). c) C [k] lat. transformé quant à la prononc. mais écrit c en fr. Phénomène de palatalisation. Pour ce phénomène et pour la chronol. relative des palatalisations, cf. G. Straka, R. Ling. rom., 1956, pp. 256-261, notamment le tableau en fin d'article. ? Palatalisation de c [k] lat. devant yod aboutissant à [s] sourd écrit c. Ex. facia face. Palatalisation du iies. Rem. Lorsque [s] sourd, écrit c, se trouve en contact avec o, la lettre c porte la cédille : ç (ex. : arcione > arçon) pour éviter la confusion avec c prononcé [k] devant o. La cédille employée pour la 1refois par Tory en 1530, adoptée par Montflory, reste peu employée jusqu'en 1542 où parut le Traicté du commun usage de l'escriture françoise de Loys Meigret dans lequel l'auteur déclare : ,,Pour nous oster doncques de ceste confusion du c, i'ay advisé que les Hespaignols ont un ç crochu ou à queue, dont nous pourrons user devant toutes voyelles devant lesquelles nous usurpons le c en s.`` La cédille s'emploie régulièrement devant a, o, u à partir du Dialogue de l'ortografe de 1550 de Jacques Peletier du Mans. Le mot de cédille est attesté pour la 1refois sous la forme cerille dans le Thrésor de la langue françoise de Nicot 1606 (s.v. C). Pour plus de détails sur la cédille cf. Beaul. t. 2 1927, pp. 25-43. ? Palatalisation de c [k] lat. initial ou précédé d'une cons. devant e, i aboutissant à [s] sourd écrit c. Ex. : centu > cent; mercede > merci. Phénomène datant du iiies. B.? Orig. de la graphie cc double. ? cc lat. vulg. [kk] résultant de l'assimilation d'une cons. implosive à la cons. explosive suivante [k]. Dans le cas, notamment de préf. tels que : ad > acc (ex. : accabler); ob > occ (ex. : occlure); sub > succ (ex. : succube). Les géminations expressives se multiplient dans le lat. vulg. Ainsi l'Appendix Probi corrige : draco non dracco. La simplification des cons. géminées [kk] > [k] se fait à partir du viies. Elles apparaissent simplifiées dans les textes du xiies. Mais à partir du xves. la tendance est à réintroduire partout les cons. doubles par réfection sav. (cf. Beaul. t. 1 1927, p. 188 et 317). cc double pose le problème épineux et non résolu de l'harmonisation dans l'emploi des cons. doubles. Pour la tentative de l'élaboration de certaines règles, cf. Thim. 1967. ? kk grec à travers cc du lat. d'Église dans des mots tels que : ecclésiastique (lat. ecclesiasticus < gr. ekklesiastikos). ? cc devant e, i (prononcé [ks]) dans des mots comme accident, occident, refaits à partir du xives. sur le lat. C.? Orig. de la graphie ch. ? ch [kh] lat. destiné à transcrire les mots grecs et dont l'aspiration tombe (kh > k) très tôt dans la prononc. pop. (cf. Bourc.-Bourc. 1967, § 110 rem.). Dès le lat. vulg. h peut disparaître dans la graphie. L'Appendix Probi relève coclia pour cochlea. On retrouve ch [k] en fr. dans les mots sav. d'orig. gr. Au xiiies. Guiot écrit crestien, cresme. Mais à partir de la fin du xves. h étymol. tend à se réintroduire partout et au xvies. R. Estienne écrit : ,,Cresme et mieulx chresme`` (cf. Beaul. t. 1 1927, p. 66, 180 et 303). La présence de h étymol. dans les mots venus du gr. est un autre problème épineux de l'orth. fr. (cf. N. Catach, J. Golfand, R. Denux, Orth. et lexicogr., Paris, Didier, t. 1, 1971, pp. 93-95). ? c [k] lat. initial ou précédé d'une cons. devant a, aboutissant par palatalisation à [?] écrit ch. Ex. : capra > chèvre; *vacca > vache. Palatalisation la plus récente, datant du ves. puisqu'elle n'a pas eu lieu en a. prov. Elle ne s'est pas produite non plus en Normandie.

    c au Scrabble


    Le mot c vaut 3 points au Scrabble.

    c

    Informations sur le mot c - 1 lettres, 0 voyelles, 1 consonnes, 1 lettres uniques.

    Quel nombre de points fait le mot c au Scrabble ?


    Le calcul de points ne prend pas en compte lettre compte double, lettre compte triple, mot compte double et mot compte triple. Ces cases augmentent les valeurs des mots posés selon un coefficient indiqué par les règles du jeu de Scrabble.

    SCRABBLE © est une marque déposée. Tous les droits de propriété intellectuelle du jeu sont détenus aux Etats-Unis et au Canada par Hasbro Inc. et dans le reste du monde par J.W. Spear & Sons Limited de Maidenhead, Berkshire, Angleterre, une filiale de Mattel Inc. Mattel et Spear ne sont pas affiliés à Hasbro.

    c

    Les rimes de « c »


    On recherche une rime en SE .

    Les rimes de c peuvent aider les poètes et les paroliers à trouver des mots pour former des vers avec une structure rythmique cohérente, mais aussi pour jouer avec les mots et les sons, découvrir de nouvelles idées et perspectives ce qui peut être amusant et divertissant.

    Les rimes en se

    Rimes de lâcher      Rimes de dépecé      Rimes de aboucher      Rimes de torchait      Rimes de transparaissaient      Rimes de hachait      Rimes de ébauchée      Rimes de fracassé      Rimes de tapissaient      Rimes de épicée      Rimes de empanachées      Rimes de désobéissez      Rimes de engraissaient      Rimes de baissez      Rimes de coasser      Rimes de attachées      Rimes de raidissaient      Rimes de dédicaçait      Rimes de agacé      Rimes de lambrissée      Rimes de décoincé      Rimes de relâchée      Rimes de décrochaient      Rimes de enfourchez      Rimes de blanchet      Rimes de embrochez      Rimes de évanouissais      Rimes de accouchait      Rimes de panaché      Rimes de étanchée      Rimes de assortissais      Rimes de dansé      Rimes de papilionacées      Rimes de essaies      Rimes de farcissez      Rimes de penchai      Rimes de vieillissez      Rimes de plancher      Rimes de lissé      Rimes de rapprochai      Rimes de recensé      Rimes de crissaient      Rimes de caresser      Rimes de ressasser      Rimes de retapisser      Rimes de remplissez      Rimes de louché      Rimes de blondissait      Rimes de entrelacée      Rimes de embauchaient     

    Mots du jour

    lâcher     dépecé     aboucher     torchait     transparaissaient     hachait     ébauchée     fracassé     tapissaient     épicée     empanachées     désobéissez     engraissaient     baissez     coasser     attachées     raidissaient     dédicaçait     agacé     lambrissée     décoincé     relâchée     décrochaient     enfourchez     blanchet     embrochez     évanouissais     accouchait     panaché     étanchée     assortissais     dansé     papilionacées     essaies     farcissez     penchai     vieillissez     plancher     lissé     rapprochai     recensé     crissaient     caresser     ressasser     retapisser     remplissez     louché     blondissait     entrelacée     embauchaient     


    Les citations sur « c »

    1. Il est certain que beaucoup d’entre nous aimeraient vivre dans le passé immuable de nos souvenirs.

      Auteur : Antonio Muñoz Molina - Source : Séfarade (2005)


    2. Si une mouche est morte dans une plaie, elle est morte là où elle devait mourir.

      Auteur : Ahmadou Kourouma - Source : En attendant le vote des bêtes sauvages (1994)


    3. C'est si bon de donner aux bons que, cet acte n'étant guère accompagné de mérite, Dieu nous oblige aussi à donner aux méchants.

      Auteur : Augusta Amiel-Lapeyre - Source : Pensées sauvages (1909)


    4. Réussir à marcher souplement sur la corde raide de l'existence.

      Auteur : Sylvain Tesson - Source : Aphorismes sous la lune et autres pensées sauvages (2008)


    5. Je suis l'ombre qui cause. Je suis celle qui s'est volontairement clôturée pour tenter d'exister. Je suis la vierge des Murmures. A toi qui peux entendre, je veux parler la première, dire mon siècle, dire mes rêves, dire l'espoir des emmurées.

      Auteur : Carole Martinez - Source : Du domaine des Murmures (2011)


    6. Il ne convient pas d'aimer celle qu'on aurait honte de désirer en mariage.

      Auteur : André le Chapelain - Source : Le Traité de l'Amour courtois, Code de l'amour, XI


    7. Il existe des femmes dont le mystère s'évente d'un seul coup lorsqu'elles se mettent à rire. Comme si quelqu'un allumait des néons de salle de bains au milieu d'une forêt de conte de fées.

      Auteur : Mathias Malzieu - Source : Le Plus Petit Baiser jamais recensé (2013)


    8. De la manière dont nous sommes faits, il est certain que notre félicité consiste dans notre plaisir ; je défie qu’on s’en forme une autre idée ; or le cœur n’a pas besoin de se consuter longtemps pour sentir que de tous les plaisirs, les plus doux sont ceux de l’amour.

      Auteur : Abbé Prévost - Source : Manon Lescaut


    9. L'apocalypse est au commencement de soi puisque la fin précède toute naissance.

      Auteur : Victor-Lévy Beaulieu - Source : Sagamo Job J (1977)


    10. Nous ne courons pas vers la mort, nous fuyons la catastrophe de la naissance, nous nous démenons, rescapés qui essaient de l'oublier. La peur de la mort n'est que la projection dans l'avenir d'une peur qui remonte à notre premier instant.

      Auteur : Emil Cioran - Source : De l'inconvénient d'être né (1973)


    11. Je ne pense pas d’ailleurs que la politique soit un métier ; c’est plutôt une vocation. Moi, je ne sais pas si j’ai ou non cette vocation – l’avenir le dira. Mais en réalité, je ne peux pas dire que ce soit une véritable passion.

      Auteur : Jacques Chirac - Source : Panorama, ORTF, 26 juin 1970


    12. Pour sûr qu'elle était d'Antibes
      C'est plus près que les Caraïbes
      C'est plus près que Caracas
      Est-ce plus loin que Pézenas ?
      Je ne sais pas


      Auteur : Boby Lapointe - Source : Avanie et Framboise


    13. Plus léger qu'une ombre de bouchon.

      Auteur : Strabon - Source : Géographie, I


    14. Le patriotisme n'est pas seulement le dernier refuge des coquins; c'est aussi le premier piédestal des naïfs et le reposoir favori des imbéciles.

      Auteur : Georges Darien - Source : La Belle France (1900)


    15. Je lui dirai, comme les gens du peuple: j'en retiens part, tant ses satires me paraissent redoutables.

      Auteur : Jean le Rond d'Alembert - Source : Lettre à Voltaire, 4 décembre 1770


    16. Vous pourriez transformer mère Térésa en gangster de South Dallas si vous l'habilliez en survêtement de l'administration pénitentiaire du Texas avec ceinture de cuir et chaines. Impossible de paraître innocent dans cet attirail. Si vous souriez, vous avez l'air diabolique. Si vous froncez les sourcils, vous avez l'air d'un pervers.

      Auteur : Iain Levison - Source : Arrêtez-moi là ! (2011)


    17. Quant à Paris, c'est une Ville lumière sans lumière. Sa beauté l'éloigne de l'immigrant.

      Auteur : Philippe Lançon - Source : Le lambeau (2018)


    18. Toutes les histoires d'amour sont des projections. A travers l'autre on est amoureux d'une partie de soi qu'on n'a pas exploitée, la partie perdue de soi-même.

      Auteur : Etienne Daho - Source : Magazine Biba, juin 2000.


    19. Pour pêcher certains gros poissons, il faut les attirer en se servant d’un autre poisson comme appât.

      Auteur : Alexis Aubenque - Source : Charité bien ordonnée (2011)


    20. Ma proposition gîte à ce point de l'acte, par quoi s'avère qu'il ne réussit jamais si bien qu'à rater, ce qui n'implique pas que le ratage soit son équivalent, autrement dit puisse être tenu pour une réussite.

      Auteur : Jacques Lacan - Source : Discours à l'Ecole Française de Psychanalyse, décembre 1967.


    21. Un chat tenait avec circonspection entre ses dents aigües un morceau de poisson parsemé d'arêtes: l'avaler lui faisait peur, le cracher lui donnerait des regrets.

      Auteur : Irène Némirovsky - Source : Suite française (2004)


    22. Je me moquais un peu du contenu des livres. Ce que je recherchais surtout, c'est le pouvoir qu'ils m'accordaient. J'arrivais grâce à eux à m'absoudre de ma vie.

      Auteur : Blandine Le Callet - Source : La Ballade de Lila K (2010)


    23. Connaissance : personne que l'on connaît assez pour lui emprunter de l'argent, mais pas assez pour lui en prêter.

      Auteur : Ambrose Bierce - Source : Le Dictionnaire du Diable (1911)


    24. Seul un étranger va s'abreuver dans un étang où est mort un chien.

      Auteur : Proverbes congolais - Source : Proverbe


    25. L'âge vous fait voir certaines choses, par exemple je sais maintenant que la vie de l'homme se divise fondamentalement en trois périodes.

      Auteur : Carlos Ruiz Zafón - Source : Le Prince de la brume (2011)


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    Les mots proches de « c »

    CÇaÇàCabalant, anteCabaleCabalerCabaleurCabaliserCabalismeCabalisteCabalistiqueCabanCabaneCabané, éeCabanerCabarerCabaretCabaretCabaretier, ièreCabasCabasserCabassetCabestanCabillaud ou cabliauCabinetCabiresCâblageCâbleCâblé, éeCabliauCabocheCabochonCabotCabotierCabotinageCaboulotCabrementCabrer (se)CabriCabrioleCabriolerCabrioletCabrouetCabusCabussièreCacaCacaberCacadeCachalotierCache

    Les mots débutant par c  Les mots débutant par c

    cccc'est-à-direc'est-à-direC?uvres-et-ValseryçàçaçacabcabalecabalescabalistecabalistescabalistiquecabalistiquescaballerocabancabanaCabanacCabanac-CazauxCabanac-et-VillagrainsCabanac-SéguenvilleCabanassecabanecabanesCabanèsCabanèscabanettesCabanialCabannesCabannesCabannescabanoncabanonscabansCabaracabaretcabaretiercabaretièrecabaretierscabaretsCabariotcabasCabas-LoumassèsCabassecabèchecabèchescabécouscaberlot

    Les synonymes de « c»

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