Définition de « c »


Notre dictionnaire de français vous présente les définitions du mot c de manière claire et concise, avec des exemples pertinents pour aider à comprendre le sens du mot.

Il comprend des informations supplémentaires telles que des exemples d'expressions, l'étymologie, les synonymes, les homonymes, les antonymes mais également les rimes et anagrammes et bien sûr des citations littéraires sur c pour aider à enrichir la compréhension du mot C et répondre à la question quelle est la définition de c ?

PRO:dem genre () de 1 syllabes
Une définition simple : c

  • Symbole de centime. (lettre|c|C|se) c (m) (inv)

  • Troisième lettre de l’alphabet. (-note-) (-paro-) c’est chez sait ses c. :(cf|c.|C|ç|Ç) Synonyme : ce, C




    Définitions de « c »


    Littré

    C (sé ou, suivant une épellation moderne, ke ou que, désignant le c par le son le plus ordinaire qui est que) s. m.
    • 1Troisième lettre de l'alphabet et deuxième consonne. C se prononce comme k devant a, o, u, et les consonnes, et à la fin des mots, et comme s devant e, i et y.

      Ç, ainsi marqué d'une cédille, se prononce s?: façade, maçon.

    • 2Signe de cent dans la numération romaine.
    • 3Figure de musique qui, représentant abréviativement le mot carré, indique une mesure à 4 temps, et, quand il est traversé d'une barre verticale, une mesure à 4 temps, mais battue à 2 temps.

      Hors de la portée il signifie canto, chant.

      C ou C-sol-ut, le ton d'ut.

      C, renversé et suivi de deux points l'un sur l'autre, est la clef de fa, laquelle indique que la note fa est placée sur la ligne qui passe entre les deux points.


    HISTORIQUE

    XIIIe s. Damné fussions, se c ne fust?; Li c senefie le fust De la croix, car le c le forme, Senefiance de l'ABC, JUBIN. II, 277.


    SUPPLÉMENT AU DICTIONNAIRE

    C. Ajoutez?:

    4Le C doré, noctua c aureum, le c blanc, papilio c album, espèces de papillons.
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    Encyclopédie, 1re édition


    C Le C, c, (Gram.) est la troisieme lettre de notre alphabet. La figure de cette lettre nous vient des Latins. Elle a aujourd'hui un son doux devant l'e & devant l'i ; on prononce alors le c comme un s, ce, ci, comme se, si ; ensorte qu'alors on pourroit regarder le c, comme le sigma des Grecs, tel qu'il se voit souvent, surtout dans les inscriptions, avec la figure de notre C capital, ???? ??????? (Gruter, tome I. pag. 70) c'est-à-dire, tais emerais ; & au tome II. pag. 1020. on lit une ancienne inscription qui se voit à Alexandrie sur une colonne, ?????????? ?????????? ??????????, Democrates periclitos architectos, Democrates illustre architecte. Il y a un très-grand nombre d'exemples du sigma ainsi écrit, sur-tout en lettres majeures ou capitales ; car en lettres communes le sigma s'écrit ainsi ? au commencement & au milieu des mots, & ainsi ? à la fin des mots. A l'égard de la troisieme figure du sigma, elle est précisement comme notre c dans les lettres capitales, & elle est en usage au commencement, au milieu, & à la fin des mots : mais dans l'écriture commune on recourbe la pointe inférieure du c, comme si on ajoûtoit une virgule au c : en voici la figure ?.

    Ainsi il paroît que le c doux n'est que le sigma des Grecs ; & il seroit à souhaiter que le c eût alors un caractere particulier qui le distinguât du c dur ; car lorsque le c est suivi d'un a, d'un o, ou d'un u, il a un son dur ou sec, comme dans canon, cabinet, cadenat, coffre, Cologne, colombe, copiste, curiosité, cuvette, &c. Alors le c n'est plus la même lettre que le c doux, quoiqu'il paroisse sous la même figure ; c'est le cappa des Grecs, K, ?, dont on a retranché la premiere partie ; c'est le q des Latins écrit sans u, ainsi qu'on le trouve en quelques anciens : pronunciandum q latinum sine u, quod hæ voces ostendunt, punicè qalam, ???????, calamus, qane, ?????, canna, (Angeli Caninii ??????????. Parisiis, 1578, pag. 31.

    En bas-Breton on écrit aussi le q sans u, ê qever, envers ; qen, qer, tant, tellement. Le q sans u est le cappa des Grecs, qui a les mêmes regles & le même son. (Grammaire Françoise Celtique, à Vannes 1738.)

    S'il arrive que par la raison de l'étymologie on conserve le c dans l'écriture devant a, o, u ; que dans la prononciation on donne le son doux au c, comme quand on écrit il prononça, François, conçu, reçu, &c. à cause de prononcer, France, concevoir, recevoir, &c. alors on met sous le c une petite marque qu'on appelle cédille, ce qui pourroit bien être le même sigma dont nous avons déjà parlé, qui en lettre commune s'écrit ainsi ?, ??, , ensorte que la petite queue de ce sigma pourroit bien être notre cédille.

    Depuis que l'auteur du bureau typographique a mis en usage la méthode dont on parle au chapitre vj. de la Grammaire générale de P. R. les maîtres qui montrent aujourd'hui à lire, à Paris, donnent une double dénomination au c ; ils l'appellent ce devant e & devant i, ainsi en faisant épeler ils font dire ce, e, ce : ce, i, ci.

    A l'égard du c dur ou sec, ils l'appellent ke ou que ; ainsi pour faire épeler cabane, ils font dire ke, a, ca ; be, a, ba, caba ; ne, e, ne, ca-ba-ne ; car aujourd'hui on ne fait que joindre un e muet à toutes les consonnes ; ainsi on dit be, ce, de, fe, me, re, te, se, ve ; & jamais effe, emme, enne, erre, esse. Cette nouvelle dénomination des lettres facilite extrèmement la lecture, parce qu'elle fait assembler les lettres avec bien plus de facilité. On lit en vertu de la dénomination qu'on donne d'abord à la lettre.

    Il n'y a donc proprement que le c dur qui soit le kappa des Grecs ?, dont on a retranché la premiere partie. Le c garde ce son dur après une voyelle & devant une consonne ; dicter, effectif.

    Le c dur & le q sans u ne sont presque qu'une même lettre : il y a cependant une différence remarquable dans l'usage que les Latins ont fait de l'une & de l'autre de ces lettres, lorsqu'ils ont voulu que la voyelle qui suit le q accompagné de l'u, ne fît qu'une même syllabe ; ils se sont servis de qu ; ainsi ils ont écrit, aqua, qui, quiret, reliquum, &c. mais lorsqu'ils ont eu besoin de diviser cette syllabe, ils ont employé le c au lieu de notre trema ; ainsi on trouve dans Lucrece a-cu-a en trois syllabes, au lieu de aqua en deux syllabes ; de même ils ont écrit qui monosyllabe au nominatif, au lieu qu'ils écrivoient cu-i dissyllabe au datif. On trouve aussi dans Lucrece cui-ret, pour quiret ; relicu-um, pour reliquum.

    Il faut encore observer le rapport du c au g. Avant que le caractere g eût été inventé chez les Latins, le c avoit en plusieurs mots la pronociation du g, ce fut ce qui donna lieu à Sp. Carvilius, au rapport de Terentius Scaurus, d'inventer le g pour distinguer ces deux prononciations : c'est pourquoi Diomede, lib. II. cap. de litterâ, appelle le g lettre nouvelle.

    Quoique nous ayons un caractere pour le c, & un autre pour le g, cependant lorsque la prononciation du c a été changée en celle du g, nous avons conservé le c dans notre orthographe, parce que les yeux s'étoient accoûtumés à voir le c en ces mots-là : ainsi nous écrivons toûjours Claude, Cicogne, second, secondement, seconder, secret, quoique nous prononçions Glaude, Cigogne, segond, segondement, segonder : mais on prononce secret, secretement, secrétaire.

    Les Latins écrivoient indifféremment vicesimus ou vigesimus ; Gaius ou Caius ; Gneius pour Cneius.

    Pour achever ce qu'il y a à dire sur ce rapport du c au g, je ne puis mieux faire que de transcrire ici ce que l'auteur de la méthode Latine de P. R. a recueilli à ce sujet, p. 647.

    « Le g n'est qu'une diminution du c, au rapport de Quintilien ; aussi ces deux lettres ont-elles grande affinité ensemble, puisque de ?????????? nous faisons gubernator ; de ?????, gloria ; de agere, actum ; de nec-otium, negotium : & Quintilien témoigne que dans Gaius, Gneius, on ne distinguoit pas si c'étoit un c ou un g : c'est de-là qu'est venu que de centum on a formé quadringenti, quingenti, septengenti, &c. de porricere qui est demeuré en usage dans les sacrifices, on a fait porrigere ; & semblables.

    On croit que le g n'a été inventé qu'après la premiere guerre de Carthage, parce qu'on trouve toûjours le c pour le g dans la colonne appellée rostrata, qui fut élevée alors en l'honneur de Duilius, consul, & qui se voit encore à Rome au capitole ; on y lit : macistratos leciones pucnando copias Cartaciniensis : ce que l'on ne peut bien entendre si l'on ne prend le c dans la prononciation du k. Aussi est-il à remarquer que Suidas parlant du croissant que les sénateurs portoient sur leurs souliers, l'appelle ?? ???????? ????? ; faisant assez voir par-là que le c & le k passoient pour une même chose, comme en effet ils n'étoient point différens dans la prononciation ; car au lieu qu'aujourd'hui nous adoucissons beaucoup le c devant l'e & devant l'i, ensorte que nous prononçons Cicero comme s'il y avoit Sisero ; eux au contraire prononçoient le c en ce mot & en tous les autres, de même que dans caput & dans corpus, kikero ».

    Cette remarque se confirme par la maniere dont on voit que les Grecs écrivoient les mots Latins où il y avoit un c, sur-tout les noms propres, Cæsar, ?????? ; Cicero, ???????, qu'ils auroient écrit ???????, s'ils avoient prononcé ce mot comme nous le prononçons aujourd'hui.

    Voici encore quelques remarques sur le c.

    Le c est quelquefois une lettre euphonique, c'est-à-dire mise entre deux voyelles pour empêcher le bâillement ou hiatus ; si-c-ubi, au lieu de si-ubi, si en quelque part, si en quelque endroit ; nun-c-ubi, pour num-ubi ? est-ce que jamais ? est-ce qu'en quelque endroit ?

    Quelques auteurs ont cru que le c venoit du chaph des Hébreux, à cause que la figure de cette lettre est une espece de quarré ouvert par un côté ; ce qui fait une sorte de c tourné à gauche à la maniere des Hébreux : mais le chaph est une lettre aspirée, qui a plus de rapport au ?, chi, des Grecs qu'à notre c.

    D'ailleurs, les Latins n'ont point imité les caracteres Hébreux. La lettre des Hébreux dont la prononciation répond davantage au ????? & à notre c, c'est le kouph dont la figure n'a aucun rapport au c.

    Le P. Mabillon a observé que Charlemagne a toûjours écrit son nom avec la lettre c ; au lieu que les autres rois de la seconde race qui portoient le nom de Charles, l'écrivoient avec un k ; ce qui se voit encore sur les monnoies de ces tems-là.

    Le C qui est la premiere lettre du mot centum, étoit chez les Romains une lettre numérale qui signifioit cent. Nous en faisons le même usage quand nous nous servons du chiffre Romain, comme dans les comptes qu'on rend en justice, en finance, &c. Deux CC marquent deux cents, &c. Le C avec une barre au-dessus, comme on le voit ici, signifioit cent mille. Comme le C est la premiere lettre de condemno, on l'appelloit lettre funeste ou triste, parce que quand les juges condamnoient un criminel, ils jettoient dans l'urne une tablette sur quoi la lettre c étoit écrite ; au lieu qu'ils y écrivoient un A quand ils vouloient absoudre. Universi judices in cistam tabulas simul conjiciebant suas : easque inculptas litteras habebant, A, absolutionis ; C, condemnationis. (Asconius Pedianus in Divinat. Cic.)

    Dans les noms propres, le C écrit par abréviation signifie Caius : s'il est écrit de droite à gauche, il veut dire Caia. Voy. Valerius Probus, de notis Romanorum, qui se trouve dans le recueil des grammairiens Latins, Auctores linguæ Latinæ.

    Le C mis après un nom propre d'homme, ou doublé après deux noms propres, marquoit la dignité de consul. Ainsi Q. Fabio & T. Quintio CC, signifie sous le consulat de Quintus Fabius, & de Titus Quintius.

    En Italien, le c devant l'e ou devant l'i, a une sorte de son qui répond à notre tche, tchi, faisant entendre le t foiblement : au contraire si le c est suivi d'une h, on le prononce comme ou qué, ki ou qui : mais la prononciation particuliere de chaque consonne regarde la Grammaire particuliere de chaque langue.

    Parmi nous, le C sur les monnoies est la marque de la ville de Saint-Lô en Normandie. (F)

    C, dans le Commerce : cette lettre seule, ou suivie, ou précédée de quelques autres, sert aux marchands, négocians, banquiers & teneurs de livres, pour abréger certains termes qu'ils sont obligés de répéter souvent dans les écritures qu'ils portent sur leurs journaux ou registres. C. signifie compte. C. O. compte ouvert. C. C. compte courant. M. C. mon compte. S. C. son compte. L. C. leur compte. N. C. notre compte. Voy. Abréviation. (G)

    C est, en Musique, le signe de la mesure à quatre tems. Voyez Mesure.

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    Étymologie de « c »

    Notre c est le c latin, qui est le ? grec, qui est le kaf phénicien.

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    C, subst. masc.
    HIST. ? A.? Origine de C graphique 1. Qu latin. Représente [kw] de mots comme quarre > car; quomodo > comment. [kw] perd très tôt son élément labial devant les vélaires o, u. Évolution traduite dans la graphie par l'alternance qu/c attestée dès la fin du iiies. dans l'Appendix Probi, registre de Valérius Probus (cf. p. ex. lat. vulg. como pour lat. class. quomodo). P. ext. la perte de l'élément labial de [kw] se produit plus tard devant les autres voyelles. Elle n'atteint [kw] devant a que vers la fin du xiies. (cf. Bourc.-Bourc. 1967, § 137 Hist.). La graphie c pour qu lat. se rencontre dans les plus anc. textes comme la Cantilène de Ste Eulalie du ixes. (chi pour qui). À ce sujet, cf. Beaul. t. 1 1927, p. 39 et 40 ainsi que p. 66 et 178. 2. t + yod précédé d'une cons. donnant par palatalisation > [s] sourd écrit c en français, ex. : fortia > force; linteolu > linceul. Évolution anc. datant du mil. du iies. (L'Appendix Probi relève déjà : tersu pour tertiu). Cf. G. Straka, R. Ling. rom., 1956, p. 256. Cf. aussi Bourc.-Bourc. 1967, § 147. Pour l'emploi de la graphie c pour figurer [s] cf. Beaul. t. 1 1927, p. 64. 3. C lat. correspondant au phonème [k] a) C [k] lat. resté intact en français aussi bien pour la prononc. que pour la graphie. ? Dans les groupes cl, cr initiaux ou précédés d'une cons. Ex. : clave > clé; credere > croire; circulu > cercle (cf. Bourc.-Bourc. 1967, § 131 et 133). ? Lorsque c [k] lat. à l'initiale ou derrière cons. se trouve devant o, u. Ex. : cor > c?ur; rancore > ranc?ur (cf. Bourc.-Bourc. 1967, § 124 et 125). ? Lorsque c [k] lat. se retrouve à la finale de mots dont il avait disparu en a. fr. devant s de flexion. Ex. : be(c)cu > bec; sa(c)cu > sac; parc, arc, etc. Pour la restauration de la cons. finale, cf. Beaul. t. 1 1927, p. 328 et p. 336. Cf. aussi Bourc.-Bourc. 1967, § 128. b) C [k] lat. conservé dans la graphie mais effacé dans la prononc. à la finale de certains mots comme porc, jonc (cf. Bourc.-Bourc., ibid.). c) C [k] lat. transformé quant à la prononc. mais écrit c en fr. Phénomène de palatalisation. Pour ce phénomène et pour la chronol. relative des palatalisations, cf. G. Straka, R. Ling. rom., 1956, pp. 256-261, notamment le tableau en fin d'article. ? Palatalisation de c [k] lat. devant yod aboutissant à [s] sourd écrit c. Ex. facia face. Palatalisation du iies. Rem. Lorsque [s] sourd, écrit c, se trouve en contact avec o, la lettre c porte la cédille : ç (ex. : arcione > arçon) pour éviter la confusion avec c prononcé [k] devant o. La cédille employée pour la 1refois par Tory en 1530, adoptée par Montflory, reste peu employée jusqu'en 1542 où parut le Traicté du commun usage de l'escriture françoise de Loys Meigret dans lequel l'auteur déclare : ,,Pour nous oster doncques de ceste confusion du c, i'ay advisé que les Hespaignols ont un ç crochu ou à queue, dont nous pourrons user devant toutes voyelles devant lesquelles nous usurpons le c en s.`` La cédille s'emploie régulièrement devant a, o, u à partir du Dialogue de l'ortografe de 1550 de Jacques Peletier du Mans. Le mot de cédille est attesté pour la 1refois sous la forme cerille dans le Thrésor de la langue françoise de Nicot 1606 (s.v. C). Pour plus de détails sur la cédille cf. Beaul. t. 2 1927, pp. 25-43. ? Palatalisation de c [k] lat. initial ou précédé d'une cons. devant e, i aboutissant à [s] sourd écrit c. Ex. : centu > cent; mercede > merci. Phénomène datant du iiies. B.? Orig. de la graphie cc double. ? cc lat. vulg. [kk] résultant de l'assimilation d'une cons. implosive à la cons. explosive suivante [k]. Dans le cas, notamment de préf. tels que : ad > acc (ex. : accabler); ob > occ (ex. : occlure); sub > succ (ex. : succube). Les géminations expressives se multiplient dans le lat. vulg. Ainsi l'Appendix Probi corrige : draco non dracco. La simplification des cons. géminées [kk] > [k] se fait à partir du viies. Elles apparaissent simplifiées dans les textes du xiies. Mais à partir du xves. la tendance est à réintroduire partout les cons. doubles par réfection sav. (cf. Beaul. t. 1 1927, p. 188 et 317). cc double pose le problème épineux et non résolu de l'harmonisation dans l'emploi des cons. doubles. Pour la tentative de l'élaboration de certaines règles, cf. Thim. 1967. ? kk grec à travers cc du lat. d'Église dans des mots tels que : ecclésiastique (lat. ecclesiasticus < gr. ekklesiastikos). ? cc devant e, i (prononcé [ks]) dans des mots comme accident, occident, refaits à partir du xives. sur le lat. C.? Orig. de la graphie ch. ? ch [kh] lat. destiné à transcrire les mots grecs et dont l'aspiration tombe (kh > k) très tôt dans la prononc. pop. (cf. Bourc.-Bourc. 1967, § 110 rem.). Dès le lat. vulg. h peut disparaître dans la graphie. L'Appendix Probi relève coclia pour cochlea. On retrouve ch [k] en fr. dans les mots sav. d'orig. gr. Au xiiies. Guiot écrit crestien, cresme. Mais à partir de la fin du xves. h étymol. tend à se réintroduire partout et au xvies. R. Estienne écrit : ,,Cresme et mieulx chresme`` (cf. Beaul. t. 1 1927, p. 66, 180 et 303). La présence de h étymol. dans les mots venus du gr. est un autre problème épineux de l'orth. fr. (cf. N. Catach, J. Golfand, R. Denux, Orth. et lexicogr., Paris, Didier, t. 1, 1971, pp. 93-95). ? c [k] lat. initial ou précédé d'une cons. devant a, aboutissant par palatalisation à [?] écrit ch. Ex. : capra > chèvre; *vacca > vache. Palatalisation la plus récente, datant du ves. puisqu'elle n'a pas eu lieu en a. prov. Elle ne s'est pas produite non plus en Normandie.

    c au Scrabble


    Le mot c vaut 3 points au Scrabble.

    c

    Informations sur le mot c - 1 lettres, 0 voyelles, 1 consonnes, 1 lettres uniques.

    Quel nombre de points fait le mot c au Scrabble ?


    Le calcul de points ne prend pas en compte lettre compte double, lettre compte triple, mot compte double et mot compte triple. Ces cases augmentent les valeurs des mots posés selon un coefficient indiqué par les règles du jeu de Scrabble.

    SCRABBLE © est une marque déposée. Tous les droits de propriété intellectuelle du jeu sont détenus aux Etats-Unis et au Canada par Hasbro Inc. et dans le reste du monde par J.W. Spear & Sons Limited de Maidenhead, Berkshire, Angleterre, une filiale de Mattel Inc. Mattel et Spear ne sont pas affiliés à Hasbro.

    c

    Les rimes de « c »


    On recherche une rime en SE .

    Les rimes de c peuvent aider les poètes et les paroliers à trouver des mots pour former des vers avec une structure rythmique cohérente, mais aussi pour jouer avec les mots et les sons, découvrir de nouvelles idées et perspectives ce qui peut être amusant et divertissant.

    Les rimes en se

    Rimes de blessaient      Rimes de froisser      Rimes de accès      Rimes de terrassée      Rimes de débranché      Rimes de empêchées      Rimes de masser      Rimes de retroussait      Rimes de terrassait      Rimes de trépassée      Rimes de poussait      Rimes de vrombissaient      Rimes de louchait      Rimes de retouchait      Rimes de policée      Rimes de placées      Rimes de touchées      Rimes de ses      Rimes de affaiblissais      Rimes de écorcer      Rimes de rapetissé      Rimes de balancer      Rimes de embaucher      Rimes de accouché      Rimes de rapprochais      Rimes de progresser      Rimes de intéressais      Rimes de empoissés      Rimes de arrière-pensées      Rimes de écorché      Rimes de glissaient      Rimes de cachais      Rimes de retentissaient      Rimes de reparaissaient      Rimes de toussais      Rimes de relancée      Rimes de aplanissait      Rimes de fracassés      Rimes de intéressait      Rimes de éblouissez      Rimes de repenser      Rimes de anéantissez      Rimes de vexé      Rimes de empressés      Rimes de déplacés      Rimes de coincée      Rimes de efforcés      Rimes de bondissez      Rimes de bûcher      Rimes de chausser     

    Mots du jour

    blessaient     froisser     accès     terrassée     débranché     empêchées     masser     retroussait     terrassait     trépassée     poussait     vrombissaient     louchait     retouchait     policée     placées     touchées     ses     affaiblissais     écorcer     rapetissé     balancer     embaucher     accouché     rapprochais     progresser     intéressais     empoissés     arrière-pensées     écorché     glissaient     cachais     retentissaient     reparaissaient     toussais     relancée     aplanissait     fracassés     intéressait     éblouissez     repenser     anéantissez     vexé     empressés     déplacés     coincée     efforcés     bondissez     bûcher     chausser     


    Les citations sur « c »

    1. Parmi ceux qui refusent la vie et ne peuvent l'aimer, tous l'ont aimée un jour ou ont voulu l'aimer.

      Auteur : Emil Cioran - Source : Le livre des leurres (1936)


    2. J'ai peine à croire qu'en perdant ceux qu'on aime on conserve son âme entière.

      Auteur : George Sand - Source : Lettres d'un voyageur, à V. Hugo


    3. Je vous conduis au temple où son hymen s'apprête; je vous ceins du bandeau préparé pour sa tête.

      Auteur : Jean Racine - Source : Andromaque (1667), III, 7, Pyrrhus


    4. Ne plus rêver, c'est être à demi mort, c'est faire de la réalité sa seule loi.

      Auteur : Jean-Bertrand Pontalis - Source : L'amour des commencements (1986)


    5. C'est long une nuit à assassiner.

      Auteur : Jules Vallès - Source : L'Enfant (1879)


    6. Il vaut mieux être à poil dans un chef-d'oeuvre qu'habillée dans un navet.

      Auteur : Victoria Abril - Source : Sans référence


    7. Le théâtre doit être une lumière pour l'intelligence.

      Auteur : Romain Rolland - Source : Le Théâtre du peuple (1903)


    8. Soyons en sympathie avec nos amis non en gémissant, mais en méditant.

      Auteur : Epicure - Source : Sentences vaticanes, 66


    9. La torture, à elle seule, a engendré les trouvailles mécaniques les plus ingénieuses, dont la production procure de l'ouvrage à une foule d'honnêtes artisans.

      Auteur : Karl Marx - Source : Le Capital (1867)


    10. La loi doit être l’expression de la volonté générale : toutes les citoyennes et citoyens doivent concourir personnellement ou par leurs représentants à sa formation ; elle doit être la même pour tous ; toutes les citoyennes et citoyens étant égaux à ses yeux doivent être également admissibles à toutes dignités, places et emplois publics, selon leurs capacités, et sans autres distinctions que celles de leurs vertus et de leurs talents.

      Auteur : Olympe de Gouges - Source : Déclaration des droits de la femme et de la citoyenne (1791)


    11. Bien sûr, quand on aime quelqu'un qui ne va pas bien, on n'arrête pas de se demander : C'est elle que j'aime ou sa maladie ? Je suis son amant ou son médecin ?

      Auteur : Hanif Kureishi - Source : Quelque chose à te dire (2008)


    12. Ce n'est pas l'intelligence qui fait la valeur d'un homme, c'est la façon dont il l'emploie.

      Auteur : Gilles Legardinier - Source : Complètement cramé ! (2012)


    13. L'avantage d'être célibataire, c'est que, lorsqu'on se trouve devant une très jolie femme, on n'a pas à se chagriner d'en avoir une laide chez soi.

      Auteur : Paul Léautaud - Source : Propos d'un jour


    14. Il faut croire que, tant qu'on n'a pas goûté à mieux que ce qu'on a sous la main, on se trouve des raisons d'apprécier sa pitance, peut-être même de ne pas du tout en chercher d'autre.

      Auteur : Franck Bouysse - Source : Grossir le Ciel (2014)


    15. Elle ne parlait jamais que de ce qu'elle savait parfaitement, de ce qu'elle ressentais sincèrement, et c'est pourquoi elle se taisait souvent.

      Auteur : Simone de Beauvoir - Source : Mémoires d'une jeune fille rangée (1958)


    16. Assez écorche, qui le pied tient.

      Auteur : Proverbes français - Source : Proverbe


    17. Raton n'a rien à craindre pour ses pattes, et il n'y a pas de quoi fouetter un chat dans la petite espièglerie qu'il vient de faire.

      Auteur : Jean le Rond d'Alembert - Source : Lettre à Voltaire, 4 février 1773


    18. Si l'on ne faisait en ce monde que ce qui est nécessaire, des millions d'hommes mourraient de faim.

      Auteur : Georg Christoph Lichtenberg - Source : Le miroir de l'âme


    19. Praticien passe loi et logicien.

      Auteur : Proverbes français - Source : Proverbe


    20. Si on ne voulait être qu'heureux, cela seroit bientôt fait. Mais on veut être plus heureux que les autres, et cela est presque toujours difficile, parce que nous croyons les autres plus heureux qu'ils ne sont.

      Auteur : Charles de Secondat, baron de Montesquieu - Source : Mes Pensées, 1003


    21. L'ivresse ne s'improvise pas. Elle relève de l'art, qui exige don et souci. Boire au hasard ne mène nulle part. Si la première cuite est miraculeuse, c'est uniquement grâce à la fameuse chance du débutant : par définition, elle ne se reproduira pas.

      Auteur : Amélie Nothomb - Source : Pétronille (2014)


    22. Pour questionner les machines, il faut parler leur langage à elles. Et suivre leur logique.

      Auteur : Jean-Christophe Grangé - Source : Miserere (2008)


    23. On achète ton bonheur, vole-le!

      Auteur : Slogan de mai 68 - Source : Slogan de mai 1968.


    24. L'Ecluse, celui qui a été à la tête des Variétés amusantes, racontait que, tout jeune et sans fortune, il arriva à Lunéville, où il obtint la place de dentiste du roi Stanislas, précisément le jour où le roi perdit sa dernière dent.

      Auteur : Sébastien-Roch Nicolas de Chamfort - Source : Maximes et Pensées, Caractères et Anecdotes (1795), 751


    25. Mauvaise mémoire: L'avantage de la mauvaise mémoire est qu'on jouit plusieurs fois des mêmes choses pour la première fois.

      Auteur : Friedrich Wilhelm Nietzsche - Source : Humain, trop humain (1878-1879), 580


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    Les mots proches de « c »

    CÇaÇàCabalant, anteCabaleCabalerCabaleurCabaliserCabalismeCabalisteCabalistiqueCabanCabaneCabané, éeCabanerCabarerCabaretCabaretCabaretier, ièreCabasCabasserCabassetCabestanCabillaud ou cabliauCabinetCabiresCâblageCâbleCâblé, éeCabliauCabocheCabochonCabotCabotierCabotinageCaboulotCabrementCabrer (se)CabriCabrioleCabriolerCabrioletCabrouetCabusCabussièreCacaCacaberCacadeCachalotierCache

    Les mots débutant par c  Les mots débutant par c

    cccc'est-à-direc'est-à-direC?uvres-et-ValseryçàçaçacabcabalecabalescabalistecabalistescabalistiquecabalistiquescaballerocabancabanaCabanacCabanac-CazauxCabanac-et-VillagrainsCabanac-SéguenvilleCabanassecabanecabanesCabanèsCabanèscabanettesCabanialCabannesCabannesCabannescabanoncabanonscabansCabaracabaretcabaretiercabaretièrecabaretierscabaretsCabariotcabasCabas-LoumassèsCabassecabèchecabèchescabécouscaberlot

    Les synonymes de « c»

    Aucun synonyme.

    Fréquence et usage du mot c dans le temps


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