Définition de « c »


Notre dictionnaire de français vous présente les définitions du mot c de manière claire et concise, avec des exemples pertinents pour aider à comprendre le sens du mot.

Il comprend des informations supplémentaires telles que des exemples d'expressions, l'étymologie, les synonymes, les homonymes, les antonymes mais également les rimes et anagrammes et bien sûr des citations littéraires sur c pour aider à enrichir la compréhension du mot C et répondre à la question quelle est la définition de c ?

PRO:dem genre () de 1 syllabes
Une définition simple : c

  • Symbole de centime. (lettre|c|C|se) c (m) (inv)

  • Troisième lettre de l’alphabet. (-note-) (-paro-) c’est chez sait ses c. :(cf|c.|C|ç|Ç) Synonyme : ce, C




    Définitions de « c »


    Littré

    C (sé ou, suivant une épellation moderne, ke ou que, désignant le c par le son le plus ordinaire qui est que) s. m.
    • 1Troisième lettre de l'alphabet et deuxième consonne. C se prononce comme k devant a, o, u, et les consonnes, et à la fin des mots, et comme s devant e, i et y.

      Ç, ainsi marqué d'une cédille, se prononce s?: façade, maçon.

    • 2Signe de cent dans la numération romaine.
    • 3Figure de musique qui, représentant abréviativement le mot carré, indique une mesure à 4 temps, et, quand il est traversé d'une barre verticale, une mesure à 4 temps, mais battue à 2 temps.

      Hors de la portée il signifie canto, chant.

      C ou C-sol-ut, le ton d'ut.

      C, renversé et suivi de deux points l'un sur l'autre, est la clef de fa, laquelle indique que la note fa est placée sur la ligne qui passe entre les deux points.


    HISTORIQUE

    XIIIe s. Damné fussions, se c ne fust?; Li c senefie le fust De la croix, car le c le forme, Senefiance de l'ABC, JUBIN. II, 277.


    SUPPLÉMENT AU DICTIONNAIRE

    C. Ajoutez?:

    4Le C doré, noctua c aureum, le c blanc, papilio c album, espèces de papillons.
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    Encyclopédie, 1re édition


    C Le C, c, (Gram.) est la troisieme lettre de notre alphabet. La figure de cette lettre nous vient des Latins. Elle a aujourd'hui un son doux devant l'e & devant l'i ; on prononce alors le c comme un s, ce, ci, comme se, si ; ensorte qu'alors on pourroit regarder le c, comme le sigma des Grecs, tel qu'il se voit souvent, surtout dans les inscriptions, avec la figure de notre C capital, ???? ??????? (Gruter, tome I. pag. 70) c'est-à-dire, tais emerais ; & au tome II. pag. 1020. on lit une ancienne inscription qui se voit à Alexandrie sur une colonne, ?????????? ?????????? ??????????, Democrates periclitos architectos, Democrates illustre architecte. Il y a un très-grand nombre d'exemples du sigma ainsi écrit, sur-tout en lettres majeures ou capitales ; car en lettres communes le sigma s'écrit ainsi ? au commencement & au milieu des mots, & ainsi ? à la fin des mots. A l'égard de la troisieme figure du sigma, elle est précisement comme notre c dans les lettres capitales, & elle est en usage au commencement, au milieu, & à la fin des mots : mais dans l'écriture commune on recourbe la pointe inférieure du c, comme si on ajoûtoit une virgule au c : en voici la figure ?.

    Ainsi il paroît que le c doux n'est que le sigma des Grecs ; & il seroit à souhaiter que le c eût alors un caractere particulier qui le distinguât du c dur ; car lorsque le c est suivi d'un a, d'un o, ou d'un u, il a un son dur ou sec, comme dans canon, cabinet, cadenat, coffre, Cologne, colombe, copiste, curiosité, cuvette, &c. Alors le c n'est plus la même lettre que le c doux, quoiqu'il paroisse sous la même figure ; c'est le cappa des Grecs, K, ?, dont on a retranché la premiere partie ; c'est le q des Latins écrit sans u, ainsi qu'on le trouve en quelques anciens : pronunciandum q latinum sine u, quod hæ voces ostendunt, punicè qalam, ???????, calamus, qane, ?????, canna, (Angeli Caninii ??????????. Parisiis, 1578, pag. 31.

    En bas-Breton on écrit aussi le q sans u, ê qever, envers ; qen, qer, tant, tellement. Le q sans u est le cappa des Grecs, qui a les mêmes regles & le même son. (Grammaire Françoise Celtique, à Vannes 1738.)

    S'il arrive que par la raison de l'étymologie on conserve le c dans l'écriture devant a, o, u ; que dans la prononciation on donne le son doux au c, comme quand on écrit il prononça, François, conçu, reçu, &c. à cause de prononcer, France, concevoir, recevoir, &c. alors on met sous le c une petite marque qu'on appelle cédille, ce qui pourroit bien être le même sigma dont nous avons déjà parlé, qui en lettre commune s'écrit ainsi ?, ??, , ensorte que la petite queue de ce sigma pourroit bien être notre cédille.

    Depuis que l'auteur du bureau typographique a mis en usage la méthode dont on parle au chapitre vj. de la Grammaire générale de P. R. les maîtres qui montrent aujourd'hui à lire, à Paris, donnent une double dénomination au c ; ils l'appellent ce devant e & devant i, ainsi en faisant épeler ils font dire ce, e, ce : ce, i, ci.

    A l'égard du c dur ou sec, ils l'appellent ke ou que ; ainsi pour faire épeler cabane, ils font dire ke, a, ca ; be, a, ba, caba ; ne, e, ne, ca-ba-ne ; car aujourd'hui on ne fait que joindre un e muet à toutes les consonnes ; ainsi on dit be, ce, de, fe, me, re, te, se, ve ; & jamais effe, emme, enne, erre, esse. Cette nouvelle dénomination des lettres facilite extrèmement la lecture, parce qu'elle fait assembler les lettres avec bien plus de facilité. On lit en vertu de la dénomination qu'on donne d'abord à la lettre.

    Il n'y a donc proprement que le c dur qui soit le kappa des Grecs ?, dont on a retranché la premiere partie. Le c garde ce son dur après une voyelle & devant une consonne ; dicter, effectif.

    Le c dur & le q sans u ne sont presque qu'une même lettre : il y a cependant une différence remarquable dans l'usage que les Latins ont fait de l'une & de l'autre de ces lettres, lorsqu'ils ont voulu que la voyelle qui suit le q accompagné de l'u, ne fît qu'une même syllabe ; ils se sont servis de qu ; ainsi ils ont écrit, aqua, qui, quiret, reliquum, &c. mais lorsqu'ils ont eu besoin de diviser cette syllabe, ils ont employé le c au lieu de notre trema ; ainsi on trouve dans Lucrece a-cu-a en trois syllabes, au lieu de aqua en deux syllabes ; de même ils ont écrit qui monosyllabe au nominatif, au lieu qu'ils écrivoient cu-i dissyllabe au datif. On trouve aussi dans Lucrece cui-ret, pour quiret ; relicu-um, pour reliquum.

    Il faut encore observer le rapport du c au g. Avant que le caractere g eût été inventé chez les Latins, le c avoit en plusieurs mots la pronociation du g, ce fut ce qui donna lieu à Sp. Carvilius, au rapport de Terentius Scaurus, d'inventer le g pour distinguer ces deux prononciations : c'est pourquoi Diomede, lib. II. cap. de litterâ, appelle le g lettre nouvelle.

    Quoique nous ayons un caractere pour le c, & un autre pour le g, cependant lorsque la prononciation du c a été changée en celle du g, nous avons conservé le c dans notre orthographe, parce que les yeux s'étoient accoûtumés à voir le c en ces mots-là : ainsi nous écrivons toûjours Claude, Cicogne, second, secondement, seconder, secret, quoique nous prononçions Glaude, Cigogne, segond, segondement, segonder : mais on prononce secret, secretement, secrétaire.

    Les Latins écrivoient indifféremment vicesimus ou vigesimus ; Gaius ou Caius ; Gneius pour Cneius.

    Pour achever ce qu'il y a à dire sur ce rapport du c au g, je ne puis mieux faire que de transcrire ici ce que l'auteur de la méthode Latine de P. R. a recueilli à ce sujet, p. 647.

    « Le g n'est qu'une diminution du c, au rapport de Quintilien ; aussi ces deux lettres ont-elles grande affinité ensemble, puisque de ?????????? nous faisons gubernator ; de ?????, gloria ; de agere, actum ; de nec-otium, negotium : & Quintilien témoigne que dans Gaius, Gneius, on ne distinguoit pas si c'étoit un c ou un g : c'est de-là qu'est venu que de centum on a formé quadringenti, quingenti, septengenti, &c. de porricere qui est demeuré en usage dans les sacrifices, on a fait porrigere ; & semblables.

    On croit que le g n'a été inventé qu'après la premiere guerre de Carthage, parce qu'on trouve toûjours le c pour le g dans la colonne appellée rostrata, qui fut élevée alors en l'honneur de Duilius, consul, & qui se voit encore à Rome au capitole ; on y lit : macistratos leciones pucnando copias Cartaciniensis : ce que l'on ne peut bien entendre si l'on ne prend le c dans la prononciation du k. Aussi est-il à remarquer que Suidas parlant du croissant que les sénateurs portoient sur leurs souliers, l'appelle ?? ???????? ????? ; faisant assez voir par-là que le c & le k passoient pour une même chose, comme en effet ils n'étoient point différens dans la prononciation ; car au lieu qu'aujourd'hui nous adoucissons beaucoup le c devant l'e & devant l'i, ensorte que nous prononçons Cicero comme s'il y avoit Sisero ; eux au contraire prononçoient le c en ce mot & en tous les autres, de même que dans caput & dans corpus, kikero ».

    Cette remarque se confirme par la maniere dont on voit que les Grecs écrivoient les mots Latins où il y avoit un c, sur-tout les noms propres, Cæsar, ?????? ; Cicero, ???????, qu'ils auroient écrit ???????, s'ils avoient prononcé ce mot comme nous le prononçons aujourd'hui.

    Voici encore quelques remarques sur le c.

    Le c est quelquefois une lettre euphonique, c'est-à-dire mise entre deux voyelles pour empêcher le bâillement ou hiatus ; si-c-ubi, au lieu de si-ubi, si en quelque part, si en quelque endroit ; nun-c-ubi, pour num-ubi ? est-ce que jamais ? est-ce qu'en quelque endroit ?

    Quelques auteurs ont cru que le c venoit du chaph des Hébreux, à cause que la figure de cette lettre est une espece de quarré ouvert par un côté ; ce qui fait une sorte de c tourné à gauche à la maniere des Hébreux : mais le chaph est une lettre aspirée, qui a plus de rapport au ?, chi, des Grecs qu'à notre c.

    D'ailleurs, les Latins n'ont point imité les caracteres Hébreux. La lettre des Hébreux dont la prononciation répond davantage au ????? & à notre c, c'est le kouph dont la figure n'a aucun rapport au c.

    Le P. Mabillon a observé que Charlemagne a toûjours écrit son nom avec la lettre c ; au lieu que les autres rois de la seconde race qui portoient le nom de Charles, l'écrivoient avec un k ; ce qui se voit encore sur les monnoies de ces tems-là.

    Le C qui est la premiere lettre du mot centum, étoit chez les Romains une lettre numérale qui signifioit cent. Nous en faisons le même usage quand nous nous servons du chiffre Romain, comme dans les comptes qu'on rend en justice, en finance, &c. Deux CC marquent deux cents, &c. Le C avec une barre au-dessus, comme on le voit ici, signifioit cent mille. Comme le C est la premiere lettre de condemno, on l'appelloit lettre funeste ou triste, parce que quand les juges condamnoient un criminel, ils jettoient dans l'urne une tablette sur quoi la lettre c étoit écrite ; au lieu qu'ils y écrivoient un A quand ils vouloient absoudre. Universi judices in cistam tabulas simul conjiciebant suas : easque inculptas litteras habebant, A, absolutionis ; C, condemnationis. (Asconius Pedianus in Divinat. Cic.)

    Dans les noms propres, le C écrit par abréviation signifie Caius : s'il est écrit de droite à gauche, il veut dire Caia. Voy. Valerius Probus, de notis Romanorum, qui se trouve dans le recueil des grammairiens Latins, Auctores linguæ Latinæ.

    Le C mis après un nom propre d'homme, ou doublé après deux noms propres, marquoit la dignité de consul. Ainsi Q. Fabio & T. Quintio CC, signifie sous le consulat de Quintus Fabius, & de Titus Quintius.

    En Italien, le c devant l'e ou devant l'i, a une sorte de son qui répond à notre tche, tchi, faisant entendre le t foiblement : au contraire si le c est suivi d'une h, on le prononce comme ou qué, ki ou qui : mais la prononciation particuliere de chaque consonne regarde la Grammaire particuliere de chaque langue.

    Parmi nous, le C sur les monnoies est la marque de la ville de Saint-Lô en Normandie. (F)

    C, dans le Commerce : cette lettre seule, ou suivie, ou précédée de quelques autres, sert aux marchands, négocians, banquiers & teneurs de livres, pour abréger certains termes qu'ils sont obligés de répéter souvent dans les écritures qu'ils portent sur leurs journaux ou registres. C. signifie compte. C. O. compte ouvert. C. C. compte courant. M. C. mon compte. S. C. son compte. L. C. leur compte. N. C. notre compte. Voy. Abréviation. (G)

    C est, en Musique, le signe de la mesure à quatre tems. Voyez Mesure.

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    Étymologie de « c »

    Notre c est le c latin, qui est le ? grec, qui est le kaf phénicien.

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    C, subst. masc.
    HIST. ? A.? Origine de C graphique 1. Qu latin. Représente [kw] de mots comme quarre > car; quomodo > comment. [kw] perd très tôt son élément labial devant les vélaires o, u. Évolution traduite dans la graphie par l'alternance qu/c attestée dès la fin du iiies. dans l'Appendix Probi, registre de Valérius Probus (cf. p. ex. lat. vulg. como pour lat. class. quomodo). P. ext. la perte de l'élément labial de [kw] se produit plus tard devant les autres voyelles. Elle n'atteint [kw] devant a que vers la fin du xiies. (cf. Bourc.-Bourc. 1967, § 137 Hist.). La graphie c pour qu lat. se rencontre dans les plus anc. textes comme la Cantilène de Ste Eulalie du ixes. (chi pour qui). À ce sujet, cf. Beaul. t. 1 1927, p. 39 et 40 ainsi que p. 66 et 178. 2. t + yod précédé d'une cons. donnant par palatalisation > [s] sourd écrit c en français, ex. : fortia > force; linteolu > linceul. Évolution anc. datant du mil. du iies. (L'Appendix Probi relève déjà : tersu pour tertiu). Cf. G. Straka, R. Ling. rom., 1956, p. 256. Cf. aussi Bourc.-Bourc. 1967, § 147. Pour l'emploi de la graphie c pour figurer [s] cf. Beaul. t. 1 1927, p. 64. 3. C lat. correspondant au phonème [k] a) C [k] lat. resté intact en français aussi bien pour la prononc. que pour la graphie. ? Dans les groupes cl, cr initiaux ou précédés d'une cons. Ex. : clave > clé; credere > croire; circulu > cercle (cf. Bourc.-Bourc. 1967, § 131 et 133). ? Lorsque c [k] lat. à l'initiale ou derrière cons. se trouve devant o, u. Ex. : cor > c?ur; rancore > ranc?ur (cf. Bourc.-Bourc. 1967, § 124 et 125). ? Lorsque c [k] lat. se retrouve à la finale de mots dont il avait disparu en a. fr. devant s de flexion. Ex. : be(c)cu > bec; sa(c)cu > sac; parc, arc, etc. Pour la restauration de la cons. finale, cf. Beaul. t. 1 1927, p. 328 et p. 336. Cf. aussi Bourc.-Bourc. 1967, § 128. b) C [k] lat. conservé dans la graphie mais effacé dans la prononc. à la finale de certains mots comme porc, jonc (cf. Bourc.-Bourc., ibid.). c) C [k] lat. transformé quant à la prononc. mais écrit c en fr. Phénomène de palatalisation. Pour ce phénomène et pour la chronol. relative des palatalisations, cf. G. Straka, R. Ling. rom., 1956, pp. 256-261, notamment le tableau en fin d'article. ? Palatalisation de c [k] lat. devant yod aboutissant à [s] sourd écrit c. Ex. facia face. Palatalisation du iies. Rem. Lorsque [s] sourd, écrit c, se trouve en contact avec o, la lettre c porte la cédille : ç (ex. : arcione > arçon) pour éviter la confusion avec c prononcé [k] devant o. La cédille employée pour la 1refois par Tory en 1530, adoptée par Montflory, reste peu employée jusqu'en 1542 où parut le Traicté du commun usage de l'escriture françoise de Loys Meigret dans lequel l'auteur déclare : ,,Pour nous oster doncques de ceste confusion du c, i'ay advisé que les Hespaignols ont un ç crochu ou à queue, dont nous pourrons user devant toutes voyelles devant lesquelles nous usurpons le c en s.`` La cédille s'emploie régulièrement devant a, o, u à partir du Dialogue de l'ortografe de 1550 de Jacques Peletier du Mans. Le mot de cédille est attesté pour la 1refois sous la forme cerille dans le Thrésor de la langue françoise de Nicot 1606 (s.v. C). Pour plus de détails sur la cédille cf. Beaul. t. 2 1927, pp. 25-43. ? Palatalisation de c [k] lat. initial ou précédé d'une cons. devant e, i aboutissant à [s] sourd écrit c. Ex. : centu > cent; mercede > merci. Phénomène datant du iiies. B.? Orig. de la graphie cc double. ? cc lat. vulg. [kk] résultant de l'assimilation d'une cons. implosive à la cons. explosive suivante [k]. Dans le cas, notamment de préf. tels que : ad > acc (ex. : accabler); ob > occ (ex. : occlure); sub > succ (ex. : succube). Les géminations expressives se multiplient dans le lat. vulg. Ainsi l'Appendix Probi corrige : draco non dracco. La simplification des cons. géminées [kk] > [k] se fait à partir du viies. Elles apparaissent simplifiées dans les textes du xiies. Mais à partir du xves. la tendance est à réintroduire partout les cons. doubles par réfection sav. (cf. Beaul. t. 1 1927, p. 188 et 317). cc double pose le problème épineux et non résolu de l'harmonisation dans l'emploi des cons. doubles. Pour la tentative de l'élaboration de certaines règles, cf. Thim. 1967. ? kk grec à travers cc du lat. d'Église dans des mots tels que : ecclésiastique (lat. ecclesiasticus < gr. ekklesiastikos). ? cc devant e, i (prononcé [ks]) dans des mots comme accident, occident, refaits à partir du xives. sur le lat. C.? Orig. de la graphie ch. ? ch [kh] lat. destiné à transcrire les mots grecs et dont l'aspiration tombe (kh > k) très tôt dans la prononc. pop. (cf. Bourc.-Bourc. 1967, § 110 rem.). Dès le lat. vulg. h peut disparaître dans la graphie. L'Appendix Probi relève coclia pour cochlea. On retrouve ch [k] en fr. dans les mots sav. d'orig. gr. Au xiiies. Guiot écrit crestien, cresme. Mais à partir de la fin du xves. h étymol. tend à se réintroduire partout et au xvies. R. Estienne écrit : ,,Cresme et mieulx chresme`` (cf. Beaul. t. 1 1927, p. 66, 180 et 303). La présence de h étymol. dans les mots venus du gr. est un autre problème épineux de l'orth. fr. (cf. N. Catach, J. Golfand, R. Denux, Orth. et lexicogr., Paris, Didier, t. 1, 1971, pp. 93-95). ? c [k] lat. initial ou précédé d'une cons. devant a, aboutissant par palatalisation à [?] écrit ch. Ex. : capra > chèvre; *vacca > vache. Palatalisation la plus récente, datant du ves. puisqu'elle n'a pas eu lieu en a. prov. Elle ne s'est pas produite non plus en Normandie.

    c au Scrabble


    Le mot c vaut 3 points au Scrabble.

    c

    Informations sur le mot c - 1 lettres, 0 voyelles, 1 consonnes, 1 lettres uniques.

    Quel nombre de points fait le mot c au Scrabble ?


    Le calcul de points ne prend pas en compte lettre compte double, lettre compte triple, mot compte double et mot compte triple. Ces cases augmentent les valeurs des mots posés selon un coefficient indiqué par les règles du jeu de Scrabble.

    SCRABBLE © est une marque déposée. Tous les droits de propriété intellectuelle du jeu sont détenus aux Etats-Unis et au Canada par Hasbro Inc. et dans le reste du monde par J.W. Spear & Sons Limited de Maidenhead, Berkshire, Angleterre, une filiale de Mattel Inc. Mattel et Spear ne sont pas affiliés à Hasbro.

    c

    Les rimes de « c »


    On recherche une rime en SE .

    Les rimes de c peuvent aider les poètes et les paroliers à trouver des mots pour former des vers avec une structure rythmique cohérente, mais aussi pour jouer avec les mots et les sons, découvrir de nouvelles idées et perspectives ce qui peut être amusant et divertissant.

    Les rimes en se

    Rimes de anéantissez      Rimes de désamorcée      Rimes de intéressée      Rimes de juchai      Rimes de brossés      Rimes de prélassaient      Rimes de hochaient      Rimes de débarrassais      Rimes de attaché      Rimes de resucée      Rimes de dépecés      Rimes de rincée      Rimes de pétrissait      Rimes de enclenché      Rimes de languissais      Rimes de offensés      Rimes de tapissaient      Rimes de corsé      Rimes de dénichait      Rimes de émincé      Rimes de rebranché      Rimes de ressassée      Rimes de remâchées      Rimes de attendrissais      Rimes de divorcez      Rimes de déniché      Rimes de engrossées      Rimes de tabassais      Rimes de effaçait      Rimes de décriminaliser      Rimes de pinçait      Rimes de cucurbitacée      Rimes de cochait      Rimes de trépasser      Rimes de aplatissait      Rimes de intéresser      Rimes de passée      Rimes de éclipsai      Rimes de surcompenser      Rimes de menacée      Rimes de concassée      Rimes de tiédissaient      Rimes de vissés      Rimes de durcissait      Rimes de hachée      Rimes de jaunissaient      Rimes de hérissée      Rimes de pressais      Rimes de sébacées      Rimes de adossai     

    Mots du jour

    anéantissez     désamorcée     intéressée     juchai     brossés     prélassaient     hochaient     débarrassais     attaché     resucée     dépecés     rincée     pétrissait     enclenché     languissais     offensés     tapissaient     corsé     dénichait     émincé     rebranché     ressassée     remâchées     attendrissais     divorcez     déniché     engrossées     tabassais     effaçait     décriminaliser     pinçait     cucurbitacée     cochait     trépasser     aplatissait     intéresser     passée     éclipsai     surcompenser     menacée     concassée     tiédissaient     vissés     durcissait     hachée     jaunissaient     hérissée     pressais     sébacées     adossai     


    Les citations sur « c »

    1. Elle passait de longs moments à le contempler dans son berceau, à le chérir sur son sein, à lui murmurer ces mille petits mots divins et caressants que la maternité inspire. Quelle douce et délicate chose que l'amour d'une mère!

      Auteur : Hector Carbonneau - Source : Gabriel et Geneviève (1974)


    2. Un roi soupire-t-il, c'est tout un peuple aussitôt qui gémit.

      Auteur : William Shakespeare - Source : Hamlet (1601), III, 3, Rosencrantz


    3. Quand on sait le nombre de coups de hache qu'il faut pour abattre un chêne, on se dit que l'oiseau le plus optimiste c'est le pivert.

      Auteur : Patrick Sébastien - Source : Carnet de notes (2001)


    4. Ainsi, pour lui apprendre l'anglais, l'allemand, l'italien et l'espagnol, je mis successivement autour de lui des gens de ces divers pays, chargés de lui faire contracter, dès son enfance, la prononciation de leur langue.

      Auteur : Honoré de Balzac - Source : Le Médecin de campagne (1833)


    5. Lorsque le nénuphar, à force de grossir, a occupé la surface de l'étang, il finit par étouffer et crever. C'est donc la transformation du monde en vaste zone de misère qui est l'avenir de l'humanité.

      Auteur : Bernard Maris - Source : Houellebecq économiste (2014)


    6. Les Anglais, c'est drôle quand même comme dégaine, c'est mi-curé, mi-garçonnet.

      Auteur : Louis-Ferdinand Destouches, dit Céline - Source : Mort à crédit (1936)


    7. Quand un homme devient amoureux, il est comme une semelle qu'on met tremper dans l'eau pour la plier ensuite comme on veut.

      Auteur : Nikolaï Gogol - Source : Tarass Boulba (1839)


    8. Y a des tas de choses que les gens pensent pas pouvoir faire et puis soudain ils découvrent qu'il peuvent...

      Auteur : Stephen King - Source : Histoire de Lisey (2006)


    9. Les pêches, les poires, les pommes, demandent du bon vin.

      Auteur : Proverbes latins - Source : Persica, pira, poma, requirent vina bona.


    10. Je n'avance qu'en tournant le dos au but, je ne fais qu'en défaisant.

      Auteur : Alberto Giacometti - Source : Notes sur les copies, L'Ephémère n° 1


    11. Dans l'éternité, la postérité n'existe pas; tout est contemporain.

      Auteur : Hermann Hesse - Source : Le loup des steppes (1927)


    12. Adage latin de Paracelse « Dosis sola facit venenum » : Seule la dose fait le poison.

      Auteur : Amélie Nothomb - Source : Barbe bleue (2012)


    13. Un homme ne fait rien d'illustre, qui devant trente ans met sa vie en danger, parce qu'il expose ce qu'il ne connaît pas; mais lorsqu'il la hasarde depuis cet âge-là, je soutiens qu'il est enragé de la risquer, l'ayant connue.

      Auteur : Savinien de Cyrano de Bergerac - Source : Le Poltron


    14. Son regard est pareil au regard des statues,
      Et, pour sa voix, lointaine, et calme, et grave, elle à
      L'inflexion des voix chères qui se sont tues.


      Auteur : Paul Verlaine - Source : Poèmes saturniens (1866), Mon rêve familier


    15. A barbe rousse et noirs cheveux,
      Ne te fie si tu ne veux.


      Auteur : Proverbes français - Source : Proverbe


    16. Toi, mon camarade, toi que j'ignorais derriêre les turbulences, toi jugulé, apeuré, asphyxié, viens, parle nous.

      Auteur : Slogan de mai 68 - Source : Slogan de mai 1968.


    17. Les vieillards aiment à donner de bons préceptes, pour se consoler de n'être plus en état de donner de mauvais exemples.

      Auteur : François de La Rochefoucauld - Source : Réflexions ou Sentences et Maximes morales (1664), 93


    18. Le crime est oeuvre humaine, spécifiquement humaine. Les bêtes féroces ne commettent pas de monstruosités; seul l'homme est capable du pire et en a toujours la possibilité.

      Auteur : Wolfgang Sofsky - Source : Traité de la violence (1998)


    19. Surtout, ne pas confondre tristesse et ennui.

      Auteur : Jules Renard - Source : Journal


    20. Quand on a la chance d'avoir été pauvre et de gagner beaucoup d'argent après, on n'est pas emmerdé pour le dépenser.

      Auteur : Coluche - Source : Coluche les inoubliables : Tous ses sketches, toutes ses chansons


    21. Si j'ai bien compris, les gens, quand ils le regardent, voient la personne qu'ils ont envie de voir.

      Auteur : Stanley Péan - Source : Bizango (2011)


    22. « On m’a injurié, on m’a frappé, on m’a terrassé, on m’a dépouillé ! »
      — Ceux qui ne se laissent pas aller à parler ainsi, cessent de haïr.


      Auteur : Bouddha - Source : Le Dhammapada


    23. Je suis rouge avec les rouges, blanc avec les blancs, bleu avec les bleus, c'est-à-dire tricolore. En d'autres termes, je suis pour le peuple, pour l'ordre, et pour la liberté.

      Auteur : Victor Hugo - Source : Choses vues (1849-1869), 1849


    24. Si nous n'avions point de prétentions, celles des autres ne nous choqueraient pas tant.

      Auteur : Marie-Geneviève-Charlotte Darlus, Thiroux d' Arconville - Source : Pensées et réflexions morales sur divers sujets (1760)


    25. Aussi ne connaîtrait-il pas de but plus élevé, plus saint, plus auguste, que celui-là: concourir à l'abolition de la peine de mort.

      Auteur : Victor Hugo - Source : Le Dernier Jour d'un condamné (1829)


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    Les mots proches de « c »

    CÇaÇàCabalant, anteCabaleCabalerCabaleurCabaliserCabalismeCabalisteCabalistiqueCabanCabaneCabané, éeCabanerCabarerCabaretCabaretCabaretier, ièreCabasCabasserCabassetCabestanCabillaud ou cabliauCabinetCabiresCâblageCâbleCâblé, éeCabliauCabocheCabochonCabotCabotierCabotinageCaboulotCabrementCabrer (se)CabriCabrioleCabriolerCabrioletCabrouetCabusCabussièreCacaCacaberCacadeCachalotierCache

    Les mots débutant par c  Les mots débutant par c

    cccc'est-à-direc'est-à-direC?uvres-et-ValseryçàçaçacabcabalecabalescabalistecabalistescabalistiquecabalistiquescaballerocabancabanaCabanacCabanac-CazauxCabanac-et-VillagrainsCabanac-SéguenvilleCabanassecabanecabanesCabanèsCabanèscabanettesCabanialCabannesCabannesCabannescabanoncabanonscabansCabaracabaretcabaretiercabaretièrecabaretierscabaretsCabariotcabasCabas-LoumassèsCabassecabèchecabèchescabécouscaberlot

    Les synonymes de « c»

    Aucun synonyme.

    Fréquence et usage du mot c dans le temps


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