Définition de « c »


Notre dictionnaire de français vous présente les définitions du mot c de manière claire et concise, avec des exemples pertinents pour aider à comprendre le sens du mot.

Il comprend des informations supplémentaires telles que des exemples d'expressions, l'étymologie, les synonymes, les homonymes, les antonymes mais également les rimes et anagrammes et bien sûr des citations littéraires sur c pour aider à enrichir la compréhension du mot C et répondre à la question quelle est la définition de c ?

NOM genre (m) de 1 syllabes
Une définition simple : c

  • Symbole de centime. (lettre|c|C|se) c (m) (inv)

  • Troisième lettre de l’alphabet. (-note-) (-paro-) c’est chez sait ses c. :(cf|c.|C|ç|Ç) Synonyme : ce, C




    Définitions de « c »


    Littré

    C (sé ou, suivant une épellation moderne, ke ou que, désignant le c par le son le plus ordinaire qui est que) s. m.
    • 1Troisième lettre de l'alphabet et deuxième consonne. C se prononce comme k devant a, o, u, et les consonnes, et à la fin des mots, et comme s devant e, i et y.

      Ç, ainsi marqué d'une cédille, se prononce s?: façade, maçon.

    • 2Signe de cent dans la numération romaine.
    • 3Figure de musique qui, représentant abréviativement le mot carré, indique une mesure à 4 temps, et, quand il est traversé d'une barre verticale, une mesure à 4 temps, mais battue à 2 temps.

      Hors de la portée il signifie canto, chant.

      C ou C-sol-ut, le ton d'ut.

      C, renversé et suivi de deux points l'un sur l'autre, est la clef de fa, laquelle indique que la note fa est placée sur la ligne qui passe entre les deux points.


    HISTORIQUE

    XIIIe s. Damné fussions, se c ne fust?; Li c senefie le fust De la croix, car le c le forme, Senefiance de l'ABC, JUBIN. II, 277.


    SUPPLÉMENT AU DICTIONNAIRE

    C. Ajoutez?:

    4Le C doré, noctua c aureum, le c blanc, papilio c album, espèces de papillons.
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    Encyclopédie, 1re édition


    C Le C, c, (Gram.) est la troisieme lettre de notre alphabet. La figure de cette lettre nous vient des Latins. Elle a aujourd'hui un son doux devant l'e & devant l'i ; on prononce alors le c comme un s, ce, ci, comme se, si ; ensorte qu'alors on pourroit regarder le c, comme le sigma des Grecs, tel qu'il se voit souvent, surtout dans les inscriptions, avec la figure de notre C capital, ???? ??????? (Gruter, tome I. pag. 70) c'est-à-dire, tais emerais ; & au tome II. pag. 1020. on lit une ancienne inscription qui se voit à Alexandrie sur une colonne, ?????????? ?????????? ??????????, Democrates periclitos architectos, Democrates illustre architecte. Il y a un très-grand nombre d'exemples du sigma ainsi écrit, sur-tout en lettres majeures ou capitales ; car en lettres communes le sigma s'écrit ainsi ? au commencement & au milieu des mots, & ainsi ? à la fin des mots. A l'égard de la troisieme figure du sigma, elle est précisement comme notre c dans les lettres capitales, & elle est en usage au commencement, au milieu, & à la fin des mots : mais dans l'écriture commune on recourbe la pointe inférieure du c, comme si on ajoûtoit une virgule au c : en voici la figure ?.

    Ainsi il paroît que le c doux n'est que le sigma des Grecs ; & il seroit à souhaiter que le c eût alors un caractere particulier qui le distinguât du c dur ; car lorsque le c est suivi d'un a, d'un o, ou d'un u, il a un son dur ou sec, comme dans canon, cabinet, cadenat, coffre, Cologne, colombe, copiste, curiosité, cuvette, &c. Alors le c n'est plus la même lettre que le c doux, quoiqu'il paroisse sous la même figure ; c'est le cappa des Grecs, K, ?, dont on a retranché la premiere partie ; c'est le q des Latins écrit sans u, ainsi qu'on le trouve en quelques anciens : pronunciandum q latinum sine u, quod hæ voces ostendunt, punicè qalam, ???????, calamus, qane, ?????, canna, (Angeli Caninii ??????????. Parisiis, 1578, pag. 31.

    En bas-Breton on écrit aussi le q sans u, ê qever, envers ; qen, qer, tant, tellement. Le q sans u est le cappa des Grecs, qui a les mêmes regles & le même son. (Grammaire Françoise Celtique, à Vannes 1738.)

    S'il arrive que par la raison de l'étymologie on conserve le c dans l'écriture devant a, o, u ; que dans la prononciation on donne le son doux au c, comme quand on écrit il prononça, François, conçu, reçu, &c. à cause de prononcer, France, concevoir, recevoir, &c. alors on met sous le c une petite marque qu'on appelle cédille, ce qui pourroit bien être le même sigma dont nous avons déjà parlé, qui en lettre commune s'écrit ainsi ?, ??, , ensorte que la petite queue de ce sigma pourroit bien être notre cédille.

    Depuis que l'auteur du bureau typographique a mis en usage la méthode dont on parle au chapitre vj. de la Grammaire générale de P. R. les maîtres qui montrent aujourd'hui à lire, à Paris, donnent une double dénomination au c ; ils l'appellent ce devant e & devant i, ainsi en faisant épeler ils font dire ce, e, ce : ce, i, ci.

    A l'égard du c dur ou sec, ils l'appellent ke ou que ; ainsi pour faire épeler cabane, ils font dire ke, a, ca ; be, a, ba, caba ; ne, e, ne, ca-ba-ne ; car aujourd'hui on ne fait que joindre un e muet à toutes les consonnes ; ainsi on dit be, ce, de, fe, me, re, te, se, ve ; & jamais effe, emme, enne, erre, esse. Cette nouvelle dénomination des lettres facilite extrèmement la lecture, parce qu'elle fait assembler les lettres avec bien plus de facilité. On lit en vertu de la dénomination qu'on donne d'abord à la lettre.

    Il n'y a donc proprement que le c dur qui soit le kappa des Grecs ?, dont on a retranché la premiere partie. Le c garde ce son dur après une voyelle & devant une consonne ; dicter, effectif.

    Le c dur & le q sans u ne sont presque qu'une même lettre : il y a cependant une différence remarquable dans l'usage que les Latins ont fait de l'une & de l'autre de ces lettres, lorsqu'ils ont voulu que la voyelle qui suit le q accompagné de l'u, ne fît qu'une même syllabe ; ils se sont servis de qu ; ainsi ils ont écrit, aqua, qui, quiret, reliquum, &c. mais lorsqu'ils ont eu besoin de diviser cette syllabe, ils ont employé le c au lieu de notre trema ; ainsi on trouve dans Lucrece a-cu-a en trois syllabes, au lieu de aqua en deux syllabes ; de même ils ont écrit qui monosyllabe au nominatif, au lieu qu'ils écrivoient cu-i dissyllabe au datif. On trouve aussi dans Lucrece cui-ret, pour quiret ; relicu-um, pour reliquum.

    Il faut encore observer le rapport du c au g. Avant que le caractere g eût été inventé chez les Latins, le c avoit en plusieurs mots la pronociation du g, ce fut ce qui donna lieu à Sp. Carvilius, au rapport de Terentius Scaurus, d'inventer le g pour distinguer ces deux prononciations : c'est pourquoi Diomede, lib. II. cap. de litterâ, appelle le g lettre nouvelle.

    Quoique nous ayons un caractere pour le c, & un autre pour le g, cependant lorsque la prononciation du c a été changée en celle du g, nous avons conservé le c dans notre orthographe, parce que les yeux s'étoient accoûtumés à voir le c en ces mots-là : ainsi nous écrivons toûjours Claude, Cicogne, second, secondement, seconder, secret, quoique nous prononçions Glaude, Cigogne, segond, segondement, segonder : mais on prononce secret, secretement, secrétaire.

    Les Latins écrivoient indifféremment vicesimus ou vigesimus ; Gaius ou Caius ; Gneius pour Cneius.

    Pour achever ce qu'il y a à dire sur ce rapport du c au g, je ne puis mieux faire que de transcrire ici ce que l'auteur de la méthode Latine de P. R. a recueilli à ce sujet, p. 647.

    « Le g n'est qu'une diminution du c, au rapport de Quintilien ; aussi ces deux lettres ont-elles grande affinité ensemble, puisque de ?????????? nous faisons gubernator ; de ?????, gloria ; de agere, actum ; de nec-otium, negotium : & Quintilien témoigne que dans Gaius, Gneius, on ne distinguoit pas si c'étoit un c ou un g : c'est de-là qu'est venu que de centum on a formé quadringenti, quingenti, septengenti, &c. de porricere qui est demeuré en usage dans les sacrifices, on a fait porrigere ; & semblables.

    On croit que le g n'a été inventé qu'après la premiere guerre de Carthage, parce qu'on trouve toûjours le c pour le g dans la colonne appellée rostrata, qui fut élevée alors en l'honneur de Duilius, consul, & qui se voit encore à Rome au capitole ; on y lit : macistratos leciones pucnando copias Cartaciniensis : ce que l'on ne peut bien entendre si l'on ne prend le c dans la prononciation du k. Aussi est-il à remarquer que Suidas parlant du croissant que les sénateurs portoient sur leurs souliers, l'appelle ?? ???????? ????? ; faisant assez voir par-là que le c & le k passoient pour une même chose, comme en effet ils n'étoient point différens dans la prononciation ; car au lieu qu'aujourd'hui nous adoucissons beaucoup le c devant l'e & devant l'i, ensorte que nous prononçons Cicero comme s'il y avoit Sisero ; eux au contraire prononçoient le c en ce mot & en tous les autres, de même que dans caput & dans corpus, kikero ».

    Cette remarque se confirme par la maniere dont on voit que les Grecs écrivoient les mots Latins où il y avoit un c, sur-tout les noms propres, Cæsar, ?????? ; Cicero, ???????, qu'ils auroient écrit ???????, s'ils avoient prononcé ce mot comme nous le prononçons aujourd'hui.

    Voici encore quelques remarques sur le c.

    Le c est quelquefois une lettre euphonique, c'est-à-dire mise entre deux voyelles pour empêcher le bâillement ou hiatus ; si-c-ubi, au lieu de si-ubi, si en quelque part, si en quelque endroit ; nun-c-ubi, pour num-ubi ? est-ce que jamais ? est-ce qu'en quelque endroit ?

    Quelques auteurs ont cru que le c venoit du chaph des Hébreux, à cause que la figure de cette lettre est une espece de quarré ouvert par un côté ; ce qui fait une sorte de c tourné à gauche à la maniere des Hébreux : mais le chaph est une lettre aspirée, qui a plus de rapport au ?, chi, des Grecs qu'à notre c.

    D'ailleurs, les Latins n'ont point imité les caracteres Hébreux. La lettre des Hébreux dont la prononciation répond davantage au ????? & à notre c, c'est le kouph dont la figure n'a aucun rapport au c.

    Le P. Mabillon a observé que Charlemagne a toûjours écrit son nom avec la lettre c ; au lieu que les autres rois de la seconde race qui portoient le nom de Charles, l'écrivoient avec un k ; ce qui se voit encore sur les monnoies de ces tems-là.

    Le C qui est la premiere lettre du mot centum, étoit chez les Romains une lettre numérale qui signifioit cent. Nous en faisons le même usage quand nous nous servons du chiffre Romain, comme dans les comptes qu'on rend en justice, en finance, &c. Deux CC marquent deux cents, &c. Le C avec une barre au-dessus, comme on le voit ici, signifioit cent mille. Comme le C est la premiere lettre de condemno, on l'appelloit lettre funeste ou triste, parce que quand les juges condamnoient un criminel, ils jettoient dans l'urne une tablette sur quoi la lettre c étoit écrite ; au lieu qu'ils y écrivoient un A quand ils vouloient absoudre. Universi judices in cistam tabulas simul conjiciebant suas : easque inculptas litteras habebant, A, absolutionis ; C, condemnationis. (Asconius Pedianus in Divinat. Cic.)

    Dans les noms propres, le C écrit par abréviation signifie Caius : s'il est écrit de droite à gauche, il veut dire Caia. Voy. Valerius Probus, de notis Romanorum, qui se trouve dans le recueil des grammairiens Latins, Auctores linguæ Latinæ.

    Le C mis après un nom propre d'homme, ou doublé après deux noms propres, marquoit la dignité de consul. Ainsi Q. Fabio & T. Quintio CC, signifie sous le consulat de Quintus Fabius, & de Titus Quintius.

    En Italien, le c devant l'e ou devant l'i, a une sorte de son qui répond à notre tche, tchi, faisant entendre le t foiblement : au contraire si le c est suivi d'une h, on le prononce comme ou qué, ki ou qui : mais la prononciation particuliere de chaque consonne regarde la Grammaire particuliere de chaque langue.

    Parmi nous, le C sur les monnoies est la marque de la ville de Saint-Lô en Normandie. (F)

    C, dans le Commerce : cette lettre seule, ou suivie, ou précédée de quelques autres, sert aux marchands, négocians, banquiers & teneurs de livres, pour abréger certains termes qu'ils sont obligés de répéter souvent dans les écritures qu'ils portent sur leurs journaux ou registres. C. signifie compte. C. O. compte ouvert. C. C. compte courant. M. C. mon compte. S. C. son compte. L. C. leur compte. N. C. notre compte. Voy. Abréviation. (G)

    C est, en Musique, le signe de la mesure à quatre tems. Voyez Mesure.

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    Étymologie de « c »

    Notre c est le c latin, qui est le ? grec, qui est le kaf phénicien.

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    C, subst. masc.
    HIST. ? A.? Origine de C graphique 1. Qu latin. Représente [kw] de mots comme quarre > car; quomodo > comment. [kw] perd très tôt son élément labial devant les vélaires o, u. Évolution traduite dans la graphie par l'alternance qu/c attestée dès la fin du iiies. dans l'Appendix Probi, registre de Valérius Probus (cf. p. ex. lat. vulg. como pour lat. class. quomodo). P. ext. la perte de l'élément labial de [kw] se produit plus tard devant les autres voyelles. Elle n'atteint [kw] devant a que vers la fin du xiies. (cf. Bourc.-Bourc. 1967, § 137 Hist.). La graphie c pour qu lat. se rencontre dans les plus anc. textes comme la Cantilène de Ste Eulalie du ixes. (chi pour qui). À ce sujet, cf. Beaul. t. 1 1927, p. 39 et 40 ainsi que p. 66 et 178. 2. t + yod précédé d'une cons. donnant par palatalisation > [s] sourd écrit c en français, ex. : fortia > force; linteolu > linceul. Évolution anc. datant du mil. du iies. (L'Appendix Probi relève déjà : tersu pour tertiu). Cf. G. Straka, R. Ling. rom., 1956, p. 256. Cf. aussi Bourc.-Bourc. 1967, § 147. Pour l'emploi de la graphie c pour figurer [s] cf. Beaul. t. 1 1927, p. 64. 3. C lat. correspondant au phonème [k] a) C [k] lat. resté intact en français aussi bien pour la prononc. que pour la graphie. ? Dans les groupes cl, cr initiaux ou précédés d'une cons. Ex. : clave > clé; credere > croire; circulu > cercle (cf. Bourc.-Bourc. 1967, § 131 et 133). ? Lorsque c [k] lat. à l'initiale ou derrière cons. se trouve devant o, u. Ex. : cor > c?ur; rancore > ranc?ur (cf. Bourc.-Bourc. 1967, § 124 et 125). ? Lorsque c [k] lat. se retrouve à la finale de mots dont il avait disparu en a. fr. devant s de flexion. Ex. : be(c)cu > bec; sa(c)cu > sac; parc, arc, etc. Pour la restauration de la cons. finale, cf. Beaul. t. 1 1927, p. 328 et p. 336. Cf. aussi Bourc.-Bourc. 1967, § 128. b) C [k] lat. conservé dans la graphie mais effacé dans la prononc. à la finale de certains mots comme porc, jonc (cf. Bourc.-Bourc., ibid.). c) C [k] lat. transformé quant à la prononc. mais écrit c en fr. Phénomène de palatalisation. Pour ce phénomène et pour la chronol. relative des palatalisations, cf. G. Straka, R. Ling. rom., 1956, pp. 256-261, notamment le tableau en fin d'article. ? Palatalisation de c [k] lat. devant yod aboutissant à [s] sourd écrit c. Ex. facia face. Palatalisation du iies. Rem. Lorsque [s] sourd, écrit c, se trouve en contact avec o, la lettre c porte la cédille : ç (ex. : arcione > arçon) pour éviter la confusion avec c prononcé [k] devant o. La cédille employée pour la 1refois par Tory en 1530, adoptée par Montflory, reste peu employée jusqu'en 1542 où parut le Traicté du commun usage de l'escriture françoise de Loys Meigret dans lequel l'auteur déclare : ,,Pour nous oster doncques de ceste confusion du c, i'ay advisé que les Hespaignols ont un ç crochu ou à queue, dont nous pourrons user devant toutes voyelles devant lesquelles nous usurpons le c en s.`` La cédille s'emploie régulièrement devant a, o, u à partir du Dialogue de l'ortografe de 1550 de Jacques Peletier du Mans. Le mot de cédille est attesté pour la 1refois sous la forme cerille dans le Thrésor de la langue françoise de Nicot 1606 (s.v. C). Pour plus de détails sur la cédille cf. Beaul. t. 2 1927, pp. 25-43. ? Palatalisation de c [k] lat. initial ou précédé d'une cons. devant e, i aboutissant à [s] sourd écrit c. Ex. : centu > cent; mercede > merci. Phénomène datant du iiies. B.? Orig. de la graphie cc double. ? cc lat. vulg. [kk] résultant de l'assimilation d'une cons. implosive à la cons. explosive suivante [k]. Dans le cas, notamment de préf. tels que : ad > acc (ex. : accabler); ob > occ (ex. : occlure); sub > succ (ex. : succube). Les géminations expressives se multiplient dans le lat. vulg. Ainsi l'Appendix Probi corrige : draco non dracco. La simplification des cons. géminées [kk] > [k] se fait à partir du viies. Elles apparaissent simplifiées dans les textes du xiies. Mais à partir du xves. la tendance est à réintroduire partout les cons. doubles par réfection sav. (cf. Beaul. t. 1 1927, p. 188 et 317). cc double pose le problème épineux et non résolu de l'harmonisation dans l'emploi des cons. doubles. Pour la tentative de l'élaboration de certaines règles, cf. Thim. 1967. ? kk grec à travers cc du lat. d'Église dans des mots tels que : ecclésiastique (lat. ecclesiasticus < gr. ekklesiastikos). ? cc devant e, i (prononcé [ks]) dans des mots comme accident, occident, refaits à partir du xives. sur le lat. C.? Orig. de la graphie ch. ? ch [kh] lat. destiné à transcrire les mots grecs et dont l'aspiration tombe (kh > k) très tôt dans la prononc. pop. (cf. Bourc.-Bourc. 1967, § 110 rem.). Dès le lat. vulg. h peut disparaître dans la graphie. L'Appendix Probi relève coclia pour cochlea. On retrouve ch [k] en fr. dans les mots sav. d'orig. gr. Au xiiies. Guiot écrit crestien, cresme. Mais à partir de la fin du xves. h étymol. tend à se réintroduire partout et au xvies. R. Estienne écrit : ,,Cresme et mieulx chresme`` (cf. Beaul. t. 1 1927, p. 66, 180 et 303). La présence de h étymol. dans les mots venus du gr. est un autre problème épineux de l'orth. fr. (cf. N. Catach, J. Golfand, R. Denux, Orth. et lexicogr., Paris, Didier, t. 1, 1971, pp. 93-95). ? c [k] lat. initial ou précédé d'une cons. devant a, aboutissant par palatalisation à [?] écrit ch. Ex. : capra > chèvre; *vacca > vache. Palatalisation la plus récente, datant du ves. puisqu'elle n'a pas eu lieu en a. prov. Elle ne s'est pas produite non plus en Normandie.

    c au Scrabble


    Le mot c vaut 3 points au Scrabble.

    c

    Informations sur le mot c - 1 lettres, 0 voyelles, 1 consonnes, 1 lettres uniques.

    Quel nombre de points fait le mot c au Scrabble ?


    Le calcul de points ne prend pas en compte lettre compte double, lettre compte triple, mot compte double et mot compte triple. Ces cases augmentent les valeurs des mots posés selon un coefficient indiqué par les règles du jeu de Scrabble.

    SCRABBLE © est une marque déposée. Tous les droits de propriété intellectuelle du jeu sont détenus aux Etats-Unis et au Canada par Hasbro Inc. et dans le reste du monde par J.W. Spear & Sons Limited de Maidenhead, Berkshire, Angleterre, une filiale de Mattel Inc. Mattel et Spear ne sont pas affiliés à Hasbro.

    c

    Les rimes de « c »


    On recherche une rime en SE .

    Les rimes de c peuvent aider les poètes et les paroliers à trouver des mots pour former des vers avec une structure rythmique cohérente, mais aussi pour jouer avec les mots et les sons, découvrir de nouvelles idées et perspectives ce qui peut être amusant et divertissant.

    Les rimes en se

    Rimes de classés      Rimes de devancée      Rimes de eussé      Rimes de effacée      Rimes de soutachés      Rimes de tabassaient      Rimes de pêchez      Rimes de lycées      Rimes de amassés      Rimes de grincer      Rimes de emmanchée      Rimes de boulochait      Rimes de réussissez      Rimes de rebranchez      Rimes de coacher      Rimes de jonchée      Rimes de rajeunissais      Rimes de penchés      Rimes de avancées      Rimes de décrassés      Rimes de forcées      Rimes de retroussais      Rimes de dépassés      Rimes de ébauché      Rimes de déclassées      Rimes de trépassé      Rimes de jonchées      Rimes de trochée      Rimes de subissaient      Rimes de couchées      Rimes de jonchet      Rimes de rossée      Rimes de marchai      Rimes de dressés      Rimes de blessé      Rimes de bêchait      Rimes de confessée      Rimes de ébauché      Rimes de balancé      Rimes de crétacé      Rimes de tassés      Rimes de noircissez      Rimes de repoussés      Rimes de rebroussés      Rimes de disperser      Rimes de caresser      Rimes de passez      Rimes de penchées      Rimes de malaxé      Rimes de ensemençait     

    Mots du jour

    classés     devancée     eussé     effacée     soutachés     tabassaient     pêchez     lycées     amassés     grincer     emmanchée     boulochait     réussissez     rebranchez     coacher     jonchée     rajeunissais     penchés     avancées     décrassés     forcées     retroussais     dépassés     ébauché     déclassées     trépassé     jonchées     trochée     subissaient     couchées     jonchet     rossée     marchai     dressés     blessé     bêchait     confessée     ébauché     balancé     crétacé     tassés     noircissez     repoussés     rebroussés     disperser     caresser     passez     penchées     malaxé     ensemençait     


    Les citations sur « c »

    1. Si tu sais aimer les bonnes choses de la vie, tu sais aussi aimer la vertu.

      Auteur : Confucius - Source : Sentences


    2. Je ne rêve pas de mes morts, ils flottent dans le néant que je deviens, dans ces moments-là, à mes propres yeux. Je les vois en arrière de mes yeux. Et moi, je ne sais pas dans quel lieu je me trouve quand ça arrive, parce que j'ai disparu. C'est comme si j'avais perdu la ligne de mon existence, mes organes, ou que j'étais déjà morte, ou plutôt que je l'avais toujours été et que le passé arrivait depuis le futur.

      Auteur : Sarah Chiche - Source : Les Enténébrés (2019)


    3. J'aime, donc je suis.

      Auteur : Vincent Cespedes - Source : J'aime, donc je suis. A la découverte de votre philosophie amoureuse (2009)


    4. Un bonheur qui a passé par la jalousie est comme un joli visage qui a passé par la petite vérole. Il reste grêlé.

      Auteur : Paul Bourget - Source : Physiologie de l'amour moderne (1883)


    5. La part de comédie qui entre dans l'amour est pour le coeur comme les parfums, les fards et les parures pour le corps.

      Auteur : Maurice Chapelan - Source : Amours, amour (1967)


    6. Compétence: Incapacité de s'adapter au savoir-faire de la moyenne des travailleurs.

      Auteur : Albert Brie - Source : Le mot du silencieux, Dictionnaire du marginal


    7. Mentir, c'est diviniser autrui.

      Auteur : Georges Perros - Source : Papiers collés 1 (1973)


    8. Il n'est pas nécessaire d'aller vite, le tout est de ne pas s'arrêter.

      Auteur : Confucius - Source : Sentences


    9. Il n'existe personne au monde qui n'ait quelques péchés sur la conscience. Les voltairiens ont beau dire, c'est Dieu lui-même qui a voulu cela.

      Auteur : Nikolaï Gogol - Source : Le Revizor (1836), I, 1, Le gouverneur


    10. Peut-être la grande oeuvre d'art a moins d'importance en elle-même que dans l'épreuve qu'elle exige de l'homme.

      Auteur : Albert Camus - Source : Le mythe de Sisyphe (1942)


    11. Unissons par l'hymen et nos mains et nos coeurs.

      Auteur : Marie-Joseph de Chénier - Source : Le Chant du Retour (1797)


    12. Je crois que la rigueur de Descartes était apparente ou fictive. Il est parti d'une pensée rigoureuse pour aboutir à quelque chose d'aussi extraordinaire que la foi catholique. Il part de la rigueur et il arrive... au Vatican.

      Auteur : Jorge Luis Borges - Source : Cité par Mario Paoletti et Pilar Bravo dans Borges verbal (1999).


    13. C'est si facile de dire la vérité. C'est un luxe de paresseux.

      Auteur : Jean Cocteau - Source : Le menteur de Cocteau


    14. Mystérieuse splendeur des choses vitales. Beauté inimitable, inintelligible, impossédable. Aimer, c'est ne pas pouvoir posséder.

      Auteur : Jean Rostand - Source : Carnet d'un biologiste (1959)


    15. L'électeur ne comprend pas. Il croit à de la compromission et à du confusionnisme.

      Auteur : Louis Farigoule, dit Jules Romains - Source : Les Hommes de bonne volonté (1932-1946)


    16. Tel fait métier de conseiller autrui,
      Qui ne voit goutte en ses propres affaires.


      Auteur : Jean de La Fontaine - Source : Le Calendrier des Vieillards


    17. Dieu a fait l'homme à son image, c'est rassurant, ça veut dire qu'il aime le foot.

      Auteur : Patrick Timsit - Source : Extrait de sketchs de Patrick Timsit


    18. Le vrai secret de la foi, ce n'est pas de pardonner, mais de demander pardon - au monde tel qu'il est, parce que nous n'avons pas su le changer.

      Auteur : Jean-Christophe Grangé - Source : Le Serment des limbes (2007)


    19. L'amour chez l'homme n'est rien d'autre que la reconnaissance pour le plaisir donné.

      Auteur : Michel Houellebecq - Source : Soumission (2015)


    20. Savez-vous bien que c'est le train de cette vie? - La fuite de la Vie, et la course à la Mort.

      Auteur : Jean de Sponde - Source : Sonnets d'amour, Sur la mort, IV


    21. Certaines femmes comprennent cela. Que mourir est leur seul moyen de se faire aimer.

      Auteur : Camille Laurens - Source : Ni toi ni moi (2006)


    22. Le temps vole et m'emporte malgré moi, j'ai beau vouloir le retenir, c'est lui qui m'entraîne; et cette pensée me fait grand'peur.

      Auteur : Marie de Rabutin-Chantal, marquise de Sévigné - Source : Lettres (1646-1696), au comte de Bussy, 12 juillet 1691


    23. L'épi de blé que la grêle du doute a courbé ne peut plus se relever et s'agiter au souffle de la vie.

      Auteur : Henrik Ibsen - Source : La Comédie de l'amour (1862)


    24. Contre un jour d'abondance, mille de souffrance.

      Auteur : Proverbes italiens - Source : Proverbe


    25. Jamais le fossé entre les générations n'était aussi cruel que pour des parents qui ont peiné pour procurer l'aisance et la sécurité à leurs enfants, lesquels n'ont pas conscience du sort auquel ils ont échappé.

      Auteur : Doris Lessing - Source : Victoria et les Staveney (2010)


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    Les mots proches de « c »

    CÇaÇàCabalant, anteCabaleCabalerCabaleurCabaliserCabalismeCabalisteCabalistiqueCabanCabaneCabané, éeCabanerCabarerCabaretCabaretCabaretier, ièreCabasCabasserCabassetCabestanCabillaud ou cabliauCabinetCabiresCâblageCâbleCâblé, éeCabliauCabocheCabochonCabotCabotierCabotinageCaboulotCabrementCabrer (se)CabriCabrioleCabriolerCabrioletCabrouetCabusCabussièreCacaCacaberCacadeCachalotierCache

    Les mots débutant par c  Les mots débutant par c

    cccc'est-à-direc'est-à-direC?uvres-et-ValseryçàçaçacabcabalecabalescabalistecabalistescabalistiquecabalistiquescaballerocabancabanaCabanacCabanac-CazauxCabanac-et-VillagrainsCabanac-SéguenvilleCabanassecabanecabanesCabanèsCabanèscabanettesCabanialCabannesCabannesCabannescabanoncabanonscabansCabaracabaretcabaretiercabaretièrecabaretierscabaretsCabariotcabasCabas-LoumassèsCabassecabèchecabèchescabécouscaberlot

    Les synonymes de « c»

    Aucun synonyme.

    Fréquence et usage du mot c dans le temps


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