La définition de Dû du dictionnaire français. Signification du mot et son éthymologie - De nombreux exemples d'usage en français ainsi que des citations.


Nature : s. m.
Prononciation : du
Etymologie : Dû 1.

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Notre dictionnaire de français vous présente les définitions de dû de manière précise, avec des exemples pertinents pour aider à comprendre la signification du mot.

Notre dictionnaire de définitions comprend des informations complémentaires telles que la nature du mot, sa prononciation, des exemples d'expressions, l'étymologie, les synonymes, les homonymes, les antonymes mais également les rimes et anagrammes. Quand la définition du mot s'y prête nous vous proposons des citations littéraires en rapport avec dû pour illustrer la compréhension du mot ou préciser le sens et de répondre à la question quelle est la signification de Dû ?


La définition de Dû

Ce qui est dû à quelqu'un. Demander son dû. Je ne réclame que mon dû.


Toutes les définitions de « dû »


Trésor de la Langue Française informatisé


DE2, DU2, DE L', DE LA, DES2, art. partitif.

I.? [L'art. précède des noms désignant des choses qui ne sont pas nombrables, pour indiquer leur prise en considération en tant que telles, sans idée de quantité ni de distinction du déf. ou de l'indéf., étant seulement entendu que ces choses ne sont pas envisagées dans leur totalité]
A.? [L'art. précède un nom concr.]
1. [Le nom concr. au sing. désigne normalement une matière, une substance] Boire du vin, de l'eau; manger du pain, de la soupe. De la neige fondue tombait (A. France, Hist. comique,1903, p. 92).La peau des joues, mate, lisse et fine comme de la soie (Roy, Bonheur occas.,1945, p. 12):
1. Nos ancêtres gaulois, leurs meilleurs clients [des Angles et des Saxons] (comme nous le sommes encore aujourd'hui), leur achetaient, par l'intermédiaire des Romains, des métaux, de la laine et du bois, en échange des armes du Soissonnais, des toiles de Cahors, du vin d'Aquitaine. Morand, Londres,1933, p. 4.
? P. méton. [Le nom désigne un adj. substantivé] Regardez-moi qui me démène et qui mâche du grec et de l'hébreu (Claudel, Visages radieux,1947, p. 761).
? [Le subst. peut être accompagné d'un adj.] On lui apprit quelques chapitres du catéchisme, comme on enseigne aux merles à siffler « J'ai du bon tabac » (About, Nez notaire,1862, p. 106).
Rem. L'emploi est fréq. dans la tournure il y a. Tiens, tiens! Mais il y a donc du vent? (Sartre, Mots, 1964, p. 124) :
2. ? On va laisser le grand monde se régaler. Après, les jeunes mangeront en paix. Et je vous recommande le dessert : il y a des ?ufs à la neige, de la crème brûlée, de la tarte à Lafayette, de la tarte à la ferlouche, de la tarte aux noix longues. Guèvremont, Le Survenant,1945, p. 120.
2. [La valeur de l'art. est la même]
a) [Si le nom au sing., quoique désignant normalement un obj. nombrable, désigne p. méton. une matière ou une catégorie] Manger du b?uf, du poulet; voir du pays. On tend sa voile, et l'on fait de la route (A. Daudet, Rois en exil,1879, p. 434).
b) [Si le nom au plur., quoique désignant des choses nombrables, désigne, en vertu de son usage, une catégorie] Manger des ?ufs. Ils avaient plaisir à nommer tout haut les légumes : Tiens, des carottes! Ah! des choux! (Flaub., Bouvard,t. 1, 1880, p. 20).
Rem. Cet emploi est proche de l'emploi de l'art. indéf. plur. des. Il y avait des gâteaux sur la table, avec une bouteille et des verres (Zola, Germinal, 1885, p. 1469).
c) [Si le subst. est un nom propre (de pers. ou de chose) empl. p. méton. pour désigner une matière] Monsieur Octave vous conseille du xérès (Giraudoux, Lucrèce,1944, I, 1, p. 15).
d) [Si le nom au sing. désigne une pers. prise comme symbole d'une qualité ou d'un caractère] :
3. M. Gladstone m'a paru, sous quelques aspects, un homme de génie, sous d'autres un enfant. Il y a en lui de l'enfant, de l'homme d'État et du fou. Mérimée, Lettres à une inconnue,t. 2, 1870, p. 268.
? En partic. [Avec un nom propre de pers.] Il y avait du Napoléon en lui (A. France, Vie fleur,1922, p. 515).
B.? [L'art. précède un nom abstr.]
1. [Le subst. au sing. désigne normalement un type d'activité ou de production] Il y a du travail pour tous; il y aura de la musique. Aussi bien était-ce là de l'histoire ancienne. Il n'avait pas achevé de dire « taisez-vous » que déjà elles n'y pensaient plus (Courteline, Train 8 h 47,1888, 2epart., 7, p. 173).
? [Le subst. au sing. ou au plur. peut être un nom d'artiste, d'écrivain, etc., empl. p. méton. pour désigner une production type, une ?uvre caractéristique de tel créateur] Jouer du Bach. J'aurais préféré réciter du Baudelaire (Gide, Geneviève,1936, p. 1356).
Rem. Si le nom est accompagné de (tout) pur, la tournure signifie la caractéristique ou la ressemblance par la manière, par le style :
4. ? N'écrivez pas, lui dit Eugène, enveloppez les billets, mettez l'adresse, et envoyez-les par votre femme de chambre. ? Mais vous êtes un amour d'homme, dit-elle. Ah! voilà, monsieur, ce que c'est que d'avoir été bien élevé! Ceci est du Beauséant tout pur, dit-elle en souriant. Balzac, Le Père Goriot,1835, p. 167.
2. [Le nom abstr. est un subst. sing. désignant normalement une qualité concr. ou abstr. ou son contraire, un sentiment] Faire de la vitesse; avoir du courage. C'est alors qu'il m'avait appris qu'il avait vécu à Paris et qu'il avait du mal à l'oublier (Camus, Étranger,1942, p. 1128).
? [La valeur de l'art. est la même]
a) [Si le subst., quoique nombrable, désigne p. méton. une qualité, un sentiment] Avez-vous du souci? (Moréas, Cantil.,1886, p. 168).
b) Cf. A 2 d.
c) [S'il s'agit d'un adj. substantivé désignant une qualité ou son contraire] Notre devise doit être en toute circonstance (ne l'oublions jamais!) celle-ci : ? Du calme! ? Du calme! ? Du calme (Villiers de L'I., A., Contes cruels,1883, p. 240).
d) [S'il s'agit d'un syntagme à valeur subst.] C'est une Peugeot... Du soixante à l'heure, mon bon (H. Bataille, Maman Colibri,1904, I, 2, p. 3).
Rem. 1. L'emploi de l'art. déf. soulignerait l'idée de totalité. De la soie « certains types de soie que je connais », opposé à la soie « toute soie ». 2. Constr. a) Lorsque l'art. introduit un subst. précédé d'un adj. ne formant pas loc. avec lui, il est, dans le style noble et archaïsant, remplacé par de. Et cette tunique était inusable (...). Rabiou était un honnête homme qui craignait Dieu et fournissait de bon drap (A. France, P. Nozière, 1899, p. 77). Cette constr. reste plus usuelle dans des expr. désignant des habitudes fam. Elle buvait, en ma présence et à mon insu, d' excellent vin avec son mari (Bloy, Journal, 1892, p. 35). b) Devant les loc. subst. où l'adj. est soudé au subst., cette substitution n'a pas lieu. Avoir du bon sens, de la bonne volonté. On lui aurait fait des gros yeux, on ne voulait pas se laisser commander par lui (Triolet, Prem. accroc, 1945, p. 386).
II.? Emploi partitif, littér. [Du, de la, etc. précède des noms de chose pour indiquer que les choses désignées sont prises dans une part. de leur quantité totale; il est remplacé par de à valeur partitive]
A.? [Devant un nom concr. déterminé, au sing. ou au plur., par un art. déf., un adj. dém. ou poss.] Vous feriez mieux de nous donner de votre vin de Bordeaux (Balzac, Goriot,1835, p. 200):
5. Je détournai les yeux vers les poiriers et les cerisiers du jardin d'en face pour qu'il crût que c'était leur beauté qui me touchait. Et elle me touchait un peu de la même façon, elle mettait aussi près de moi de ces choses qu'on ne voit pas qu'avec ses yeux, mais qu'on sent dans son c?ur. Proust, Le Côté de Guermantes 1,1920, p. 160.
B.? [Devant un nom abstr. déterminé] Elle tâchait de donner à Lazare de son courage (Zola, Joie de vivre,1884, p. 1000).
Rem. L'art. prend la forme de a) après une loc. adv. de quantité indéf. Peu de, un peu de, beaucoup de. Verse-moi un peu de sherry (H. Bataille, Maman Colibri, 1904, I, 2, p. 3); b) après une négation. Ne... pas de, point de, plus de, etc. Des étourdissements, comme on dirait des vapeurs, pas de sommeil, pas d' appétit (Bernanos, Imposture, 1927, p. 484).
Prononc. et Orth. : [d?], [dy], [de] ds les dict. récents : cf. Pt Rob., Pt Lar. 1968 et Lar. Lang. fr. Pourtant [?] ouvert [d?] ds Dub. et ds Warn. 1968 qui réserve cette prononc. au lang. soutenu. Passy 1914 admet [e] ou [?]. Les dict. plus anc. transcrivent [?]; cf. Fér. 1768, Land. 1834, Fél. 1851 et Littré. DG comme Warn. 1968 note [?] pour l'emphase. On fait la liaison quand le mot qui suit commence par une voyelle ou un h non aspiré : des arômes [deza?o:m]; des hommes [dez?m]. Ds Ac. 1694-1932. On rencontre la forme contractée du au masc. sing. devant consonne : du pain, alors que devant voyelle ou h aspiré il n'y a pas contraction : de l'alcool, de l'hydromel. Il y a également contraction dans tous les cas devant plur. : des rillettes, des ortolans. Étymol. et Hist. Cf. de1, prép. Stat. Voir des3, de3. Bbg. Gaatone (D.). Art. et négation. R. rom. 1971, t. 6, no1, p. 2, 12.

DE1, prép.
Étymol. et Hist. A. Temps, origine 842 d'[ist di] « à partir de » [ce jour] (Serments de Strasbourg, 2 ds Henry Chrestomathie t. 1); durée 1170 de treis jurz (Rois, éd. E. R. Curtius, 115, p. 58); moment de l'action 1174-76 de nuit (G. de Pont-Ste-Maxence, St Thomas, éd. E. Walberg, 2313 ds T.-L. 1207, 47). B. Lieu, origine 1. 842 de suo part (Serments de Strasbourg, 20 ds Henry Chrestomathie t. 1); 1remoitié xes. foers de la civitate (Fragment de Jonas, éd. Foerster et Koschwitz, Altfr. Übungsbuch, 6eéd., 6); 2emoitié xes. nez de medre (St Léger, éd. J. Linskill, 137); ca 1100 Gerart de Rossillon (Roland, éd. J. Bédier, 797); 2. après certains verbes signifiant « écarter, protéger, libérer » 1remoitié xes. liberi de cel peril (Jonas, 24); 2emoitié xes. De lor pechietz... Il los absols (St Léger, 225). C. Introduit un compl. de nom 1. introduit un compl. servant à déterminer 881 In figure de colomb volat a ciel (Séquence de Ste Eulalie, XIII ds Henry Chrestomathie t. 1); 2emoitié xes. De Hostedun evesque en fist (St Léger, 48); ca 1100 la citet de Galne (Roland, 662); 2. génitif objectif ca 1050 le doel de nostre ami (Alexis, éd. Chr. Storey, 154). D. Cause 1remoitié xes. [sis penteiet] de cel mel (Jonas, 25); ca 1050 del duel s'asist la medre (Alexis, 146). E. Rapport, propos 1. 2emoitié xes. de sant Lethgier « au sujet de » (St Léger, 6); 2. de introduisant un compl. de propos ca 1050 d'un son filz voil parler (Alexis, 15); 3. de + subst. tour exclamatif ca 1050 Filz Alexis, de ta dolenta medra! (Alexis, 396). F. Partie 1. introduit le compl. d'un pronom 2emoitié xes. nuls de sos piers (St Léger, 59); ca 1050 A un des porz (Alexis, 196); 2. introduit un compl. exprimant l'appartenance 2emoitié xes. Tuit li omne de ciel païs (St Léger, 211); 3. origine de l'art. partitif 2emoitié xes. Por quant il pot, tant fai de miel (St Léger, 135); ca 1050 De la viande ki del herberc li vint, Tant an retint dunt sun cors an sustint (Alexis, 251); ca 1100 trop ad perdut del sanc (Roland, 2230); ca 1150 La meillor feme qui onc beüst de vin (Le Charroi de Nîmes, éd. D. McMillan, 320); 4. de l'art. indéfini, v. des3, de3. G. Agent, moyen 1. agent ca 1050 De noz pechez sumes si ancumbrez (Alexis, 618); 2. moyen ca 1050 D'or e de gemmes fut li sarqueus parez (Alexis, 586); ca 1100 [il] fiert de l'espiet (Roland, 1322). H. Qualité, manière 1. qualité ca 1050 Rices hom fud, de grant nobilitet (Alexis, 14); 2. manière xiies. de tel manere (Lapidaire Marbode, éd. P. Studer et J. Evans, 63); 1160-74 de bonne volenté (Wace, Rou, éd. A. J. Holden, t. 1, 2498). I. Matière ca 1100 de marbre faiz (Roland, 2268). J. Introduit un inf. 1. précédé ? d'un adj. ca 1050 dignes d'entrer (Alexis, 173); ? d'un subst. ca 1100 cure de parler (Roland, 1170); ? d'un verbe ca 1100 purpensez De colps ferir (Roland, 1178); 2. introduisant un inf. suj. réel ca 1150 de lui retenir (Le Roman de Thèbes, éd. G. Raynaud de Lage, 384); 3. introduisant un inf. substantivé (emploi exclamatif ou exhortatif; cf. E 3) ca 1130 Hé! Bertrans, sire, or del contraleier! (Couronnement de Louis, éd. E. Langlois, 1178); d'où prob. 4. l'emploi de l'inf. de narration construit avec de, ca 1213 (Fet des Romains d'apr. G. Moignet, Gramm. de l'a. fr., Paris, Klincksieck, 1973, p. 310); 1225-30 Cil pasent outre et il dou ceminer (Bueve de Hantone, éd. Stimming, I, 3781). K. Introduit un compl. du comparatif ca 1100 plus de vint milie humes (Roland, 13). De la prép. lat. de (proclitique); contracté en del > deu > du avec l'art. le, en dels > des avec les et réduit à d' devant voyelle. En plus de ses emplois réguliers (séparation, éloignement; origine; rapport, relation, propos; cause) de a servi dans la lang. fam. jusqu'à la fin de l'époque class. à renforcer certaines formes casuelles, notamment l'ablatif : ? ablatif de moyen (duos parietes de eadem fidelia dealbare, Cic., Epist., 7, 29, 2), ? ablatif compl. d'adj. (de via fessus, Cic., Ac., 1, 1), le tour prépositionnel étant de plus en plus utilisé à basse époque dans ces cas ainsi que pour renforcer l'ablatif compl. du compar. (plus facitis de nobis, Vitae Patrum, 5, 16, 16). Le même procédé est à l'orig. du recul du génitif : jusqu'à la fin de l'époque class., le tour prépositionnel concurrence le génitif partitif (dimidia pars virium ou dimidium de praeda) et le génitif de relation (conscientia culpae ou conscientia de culpa, cf. Vään., p. 121). À l'époque postclassique et à basse époque, la construction prépositionnelle progresse, se substituant notamment ? au génitif partitif, annonçant l'emploi de l'art. partitif et de l'art. indéfini en a. fr. : dicitur quidam fixisse morsum et furasse de sancto ligno (Per. Aether. 37, 2 ds E. Löfstedt, Syntactica, I, 118) et dederunt nobis presbyteri loci ipsius eulogias, id est de pomis, quae in ipso monte nascuntur (id., 3, 6, ibid., I, 119); v. aussi E. Löfstedt, Philologischer Kommentar zur ,,P. Aether.``, p. 106; ? au génitif de possession : in presentia de domino servi (Liutprant, 104, I ds Vään., pp. 121-122); cf. la construction prépositionnelle servi ipsi tradantur in manus de mundoald (ibid., p. 122) alternant avec la construction sans prép. (in manus ... mundoald) qui annonce la syntaxe de l'a. fr. où cohabitent le tour périphrastique (le doel de nostre ami, Alexis, 154) et le cas-régime en fonction de génitif (pur amur Alexis, Alexis, 152). De même le tour prépositionnel, de bonne heure en concurrence avec le qualificatif pour exprimer la matière, la substance (de materia trabes, Vitruve 3, 3, 5), se substitue de plus en plus à lui pour marquer la provenance (cerasium de Ponto, Tert., Nat., 2, 16), l'espèce (pedica de caballo, Lex. sal., 27, 3), la matière (stramentum de papyro, Vitae Patr., 5, 10, 76 ds Vään., p. 168). ? Les emplois de l'a. fr. J 2 (de + inf. suj.), J 3 (de + inf. substantivé), J 4 (de + inf. de narration) seraient d'apr. Moignet, op. cit., pp. 196, 200-201, 310, issus de l'emploi de de introduisant un compl. de propos (E 2).

Dû au Scrabble


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Les mots proches de Dû

DuDû, dueDualineDualismeDualitéDubitateurDubitatif, iveDubitationDucDucDucal, aleDucasseDucassierDucatDucatonDucénaire ou ducentaireDuchéDuchesseDucroireDuctileDuctilitéDuègneDuelDuelDuellisteDugazonDugongDuireDuit, duiteDuitageDuité, éeDulcifiant, anteDulcifié, éeDulcinéeDulciteDulciterDulieDûmentDuneDunetteDunkerqueDuoDuodenumDupeDupé, éeDuperDuperieDuplicataDuplicationdudualdualismedualistedualitéDuaultdubitatifdubitatifsdubitationdubitationsdubitativedubitativementdubitativesducducalducaleducalesducasseducassesducatducatonducatsducauxduceducesDuceyduchéduchesseduchessesduchnoqueDuclairduconDucosducsducs-d'albeductileDucy-Sainte-MargueriteduditDudzeleduedueduègneduelduellisteduellistesduelsDuerne


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Les citations avec le mot Dû


  1. Quand une guerre éclate, les gens disent : « Ça ne durera pas, c’est trop bête. » Et sans doute une guerre est certainement trop bête, mais cela ne l’empêche pas de durer.

    Auteur : Albert Camus - Source : La Peste (1947)


  2. L'homme est capable de tout admettre. Sauf qu'il est un mauvais conducteur.

    Auteur : Niki Lauda - Source : AFP le 21 mai 2019, Niki Lauda en dix citations


  3. L'avantage du col sans cravate d'Alain Madelin, c'est que ça détourne notre attention de son brushing ridicule.

    Auteur : Laurent Ruquier - Source : Vu à la radio (2001)


  4. Jamais à l'aise dans l'immédiat, ne me séduit que ce qui me précède, que ce qui m'éloigne d'ici, les instants sans nombre où je ne fus pas: le non-né.

    Auteur : Emil Cioran - Source : De l'inconvénient d'être né (1973)


  5. La crainte de la justice est la base de la sécurité. Car s’en référer à la justice c’est demander aux autres de s’occuper de ses affaires. C’est le moyen le plus certain de les embrouiller et de multiplier ses ennuis et même d’en faire naître de tout à fait inattendus.

    Auteur : Maurice Duwez, dit Max Deauville - Source : Dernières Fumées (1937)


  6. Soixante-six saucisses en sachet. C'est difficile à prononcer. Et encore plus à digérer. Sauf quand on s'appelle Madame Dodue.

    Auteur : Charles Roger Hargreaves - Source : Madame Dodue


  7. Sauvage est la proximité du sacré.

    Auteur : Friedrich Hölderlin - Source : Oeuvres


  8. Exploit peu ordinaire d'un baigneur unijambiste du Pas-de-Calais, il a mis un pied dans la Manche!

    Auteur : Jean Gouyé, dit Jean Yanne - Source : Je suis un être exquis (2001)


  9. La vieillesse devrait brûler et se déchaîner à la tombée du jour; - Rager, rager contre la lumière qui meurt.

    Auteur : Dylan Marlais Thomas - Source : Poésies complètes


  10. Tomber amoureux, c'est toujours magique. On a l'impression d'éprouver des sentiments éternels, un amour qui durera toujours. À cela s'ajoute la certitude aussi naïve qu'inexplicable d'être à l'abri des problèmes des autres couples ou de nos parents. Notre amour à nous ne risque pas de s'éteindre.

    Auteur : John Gray - Source : Les hommes viennent de Mars, les femmes viennent de Vénus (1992)


  11. Je n'ai pas envie du tout de jouer les poètes maudits. S'il faut être fauché pour plaire aux intellectuels, je les emmerde, les intellectuels.

    Auteur : Serge Gainsbourg - Source : Pensées, provocs et autres volutes (2006)


  12. Sur la liste des vertus républicaines, la patience devance désormais le courage, puisque si les citoyens sont tondus le jour même, ils doivent toujours attendre le lendemain pour être rasés gratis.

    Auteur : Philippe Bouvard - Source : Mille et une pensées (2005)


  13. L'histoire géologique nous montre que la vie n'est qu'un court épisode entre deux éternités de mort, et que, dans cet épisode même, la pensée consciente n'a duré et ne durera qu'un moment.

    Auteur : Henri Poincaré - Source : La valeur de la science (1905)


  14. Il soupa d'un cochon de lait, se déshabilla, se glissa sous la couverture et s'endormit aussitôt d'un profond sommeil, du merveilleux sommeil, apanage des heureux mortels qui ignorent les puces, les hémorroïdes et l'excès d'intelligence.

    Auteur : Nikolaï Gogol - Source : Les Ames mortes (1842)


  15. La honte du sang qui coule dans les veines est le pire des poisons.

    Auteur : Valérie Jeanneret, dite Anaïs Jeanneret - Source : La Solitude des soirs d'été (2013)


  16. Nos vies n'ont pas d'importance, elles coulent au fond du temps, pourtant nous avons existé et rien ne l'empêchera : bien que liquides, nos joies ne s'évaporent jamais.

    Auteur : Frédéric Beigbeder - Source : Oona & Salinger (2014)


  17. L'état de l'animal que la mort naturelle va anéantir se rapproche de celui où il se trouvait dans le sein de sa mère, et même celui du végétal, qui ne vit qu'au-dedans, et pour qui toute la nature est en silence.

    Auteur : Marie François Xavier Bichat - Source : Recherche physiologiques sur la vie et la mort (1800)


  18. Qui peu endure,
    Bien peu dure.


    Auteur : Proverbes français - Source : Proverbe


  19. J'aime les fleurs et les jardiniers. Les fleurs évoquent l'amour, et les jardiniers, je l'ai souvent remarqué, ont les plus beaux enfants du monde.

    Auteur : Jacques Ferron - Source : Le Don Juan Chrétien


  20. Mon bonheur est d'augmenter celui des autres. J'ai besoin du bonheur de tous pour être heureux.

    Auteur : André Gide - Source : Les Nouvelles Nourritures (1935)


  21. Le monde se trouve de nouveau en face de folles tentations et de folles séductions. Ayez peur de ceux qui vous séduisent car les séducteurs trompent toujours !

    Auteur : Alexandre Zinoviev - Source : Les confessions d'un homme en trop (1990)


  22. La pratique du sport en général, et du sport de compétition en particulier, n'a jamais prédisposé aux langueurs de l'amour.

    Auteur : Pierre Daninos - Source : Les Carnets du major W. Marmaduke Thompson (1954)


  23. Si l'argent ne faisait pas le bonheur, il y a longtemps que des riches malheureux auraient rendu l'argent.

    Auteur : Jean-François Kahn - Source : Dictionnaire incorrect (2005)


  24. Quand vous serez bien vieille, au soir, à la chandelle,
    Assise auprès du feu, dévidant et filant ...


    Auteur : Pierre de Ronsard - Source : Sonnets pour Hélène, livre II


  25. Il est dur pour l'infortuné de rappeler sa félicité passée. Plus on fut élevé, plus la chute en devient affreuse.

    Auteur : Caius Cornelius Gallus - Source : Elégies, I


Les citations du Littré sur Dû


  1. Avec une facilité trop crédule

    Auteur : Blaise Pascal - Source : dans COUSIN


  2. Les pattes toutes brûlées et toutes retirées du pauvre Raton embrassent les mains des heureux Bertrands

    Auteur : Voltaire - Source : Lett. d'Alembert, 7 nov. 1774


  3. Les perturbations de l'ame produisent de merveilleux effets en nos corps, par la refraction et condensation, retraction et effusion des humeurs et des esprits

    Auteur : PARÉ - Source : Introd. 25


  4. Une telle vertu séduirait plus nos coeurs Que tout l'or de ces lieux n'éblouit nos vainqueurs

    Auteur : Voltaire - Source : Alz. IV, 2


  5. Mes chenilles tapissèrent de soie toutes les parois du poudrier, ce qui leur donnait plus de facilité pour se cramponner contre le verre

    Auteur : BONNET - Source : Insectes, observ. 4


  6. Les députés [aux diètes de Pologne] y décident souvent leurs affaires le sabre à la main, comme les anciens Sarmates, dont ils sont descendus

    Auteur : Voltaire - Source : Charles XII, 2


  7. Que les assistants se taisent et escoutent le reducteur [renoueur]

    Auteur : PARÉ - Source : XIII, 4


  8. À une très forte chaleur, la raréfaction de l'air est si grande, qu'il occupe alors un espace treize fois plus étendu que celui de son volume ordinaire

    Auteur : BUFF. - Source : Hist. min. introd. 1re part. Oeuv. t. VI, p. 62


  9. Enivrez d'eau ses sillons [de la terre] ; multipliez ses productions, et elle semblera se réjouir de l'abondance de ses rosées par les fruits qu'elle produira

    Auteur : SACI - Source : Bible, Psaum. LXIV, 11


  10. Périsse le coeur dur, de soi-même idolâtre

    Auteur : Voltaire - Source : Mérope, I, 1


  11. Quant jeunesse tient gens en seigneurie, Les jeux d'amours sont grandement prisez ; Mais fortune, qui m'a en sa baillie, Les a du tout de mon cueur deboutez

    Auteur : CH. D'ORL. - Source : 117


  12. Nous avons conservé les noms de mois du calendrier romain ; septembre, octobre, novembre et décembre prouvent que l'on comptait mars pour le premier mois ; juin et juillet, qui s'appelaient anciennement quintile et sextile, prouvent la même chose

    Auteur : DELAMBRE - Source : Abrégé d'astron. p. 643, dans POUGENS


  13. Elle a loué la plus jolie maison du monde ; elle n'en veut plus

    Auteur : Madame de Sévigné - Source : 22 mars 1680


  14. Le vautour de Titye est la peine où je dure

    Auteur : DESPORTES - Source : Diane, II, 53


  15. De Volgesie enfin, cette aimable héritière.... Qui m'a vu renverser, sacrilége et blasphème, L'image du soleil qu'elle adore elle-même

    Auteur : PEYRAUD DE BEAUSSOL - Source : Arsacides, III, 3


  16. Ces restrictions [à l'usage du vin], en partie empruntées des Carthaginois....

    Auteur : MONT. - Source : II, 19


  17. Les intendants pourraient, si vous le trouviez à propos, faire des échelles dans chaque paroisse, après avoir entendu les habitants ; ce travail serait grand, mais fort utile, parce que, outre que les plus riches seraient porte-bourses, les intendants connaîtraient la force des paroisses, et pourraient faire des taxes d'offices (22 août 1684)

    Auteur : BOISLISLE - Source : Corresp. contrôl. génér. des finances, p. 27


  18. On avait tendu de tous côtés des tapisseries de fin lin, de couleur de bleu céleste et d'hyacinthe, qui étaient soutenues par des cordes de fin lin teintes en écarlate

    Auteur : SACI - Source : Bible, Esth. I, 6


  19. Comme il retournait à son camp, il reçut un coup de carabine qui lui perça la botte et lui fracassa l'os du talon

    Auteur : Voltaire - Source : Charles XII, 4


  20. Il fallait relever tous les mécomptes dont cet ouvrage fourmille [le Testament politique du cardinal de Richelieu]

    Auteur : Voltaire - Source : Mél. hist. Mensonges impr. XVIII


  21. L'escuyer, qui estoit moult puissant, rabatoit et se defendoit de l'emprise de son compaignon, et d'un rabat rompit la dague de la hache dudit messire Jaques

    Auteur : O. DE LA MARCHE - Source : Mém. liv. I, p. 325, dans LACURNE


  22. Il signa, comme il aurait signé la cédule du sabbat, s'il avait eu peur d'y être surpris par son bon ange

    Auteur : RETZ - Source : III, 154


  23. En chele chevauchie estoit Quesnes de Biethune, qui moult maudissoit durement cels qui l'avoient là mené

    Auteur : H. DE VALENC. - Source : XXVIII


  24. ....Alizon qui retordant du fil....

    Auteur : RÉGNIER - Source : Sat. X.


  25. L'eau qui aura servi dans la turbine [servant à épuiser les caves inondées] sera éconduite, bien entendu, par l'égout

    Auteur : H. DE PARVILLE - Source : Journ. offic. 11 mai 1876, p. 3208, 1re col.




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Mise à jour le dimanche 9 novembre 2025 à 18h13








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