La définition de Cochon du dictionnaire français. Signification du mot et son éthymologie - De nombreux exemples d'usage en français ainsi que des citations.

Cochon
Nature : s. m.
Prononciation : ko-chon
Etymologie : Coche 3 ; bourguig. et Berry, couchon.

Voir les citations du mot CochonSignification du mot Cochon


Notre dictionnaire de français vous présente les définitions de cochon de manière précise, avec des exemples pertinents pour aider à comprendre la signification du mot.

Notre dictionnaire de définitions comprend des informations complémentaires telles que la nature du mot, sa prononciation, des exemples d'expressions, l'étymologie, les synonymes, les homonymes, les antonymes mais également les rimes et anagrammes. Quand la définition du mot s'y prête nous vous proposons des citations littéraires en rapport avec cochon pour illustrer la compréhension du mot ou préciser le sens et de répondre à la question quelle est la signification de Cochon ?


La définition de Cochon

Mammifère de la famille des pachydermes, qu'on engraisse pour l'alimentation.


Toutes les définitions de « cochon »


Trésor de la Langue Française informatisé


COCHON, ONNE, subst. et adj.

I.? Subst. masc.
A.? [Désigne un animal]
1. Mammifère omnivore domestique, de l'ordre des ongulés, de la famille des suidés. Un gros cochon; garder les cochons. Synon. porc.J'entends grogner, derrière les panneaux, des cochons qui attendent leur pitance (T'Serstevens, L'Itinéraire espagnol,1933, p. 200):
1. Au milieu de toutes ces bêtes se traîne (...) une énorme truie (...) Il faut être un fier cochon pour faire la cour à une pareille créature. Hugo, France et Belgique,1885, p. 144.
SYNT. Cochon gras; groin, hure, soies du cochon; auge, étable à cochons; élever, engraisser, tuer un cochon.
a) Spécialement
? Cet animal, en particulier le mâle châtré, élevé pour l'alimentation :
2. Voilà une mère! (...) Un verrat la suit, avec son énorme vessie au derrière. (...) Non loin d'eux, un autre cochon, ni truie, ni verrat. Il a dû tomber dans l'eau par mégarde, car il est propre, presque blanc, et gras comme un moine. Renard, Journal,1898, p. 478.
? Cochon de lait. Petit cochon qui tète encore.
? Cochon à l'engrais. Cochon en train d'être engraissé.
b) P. méton. Viande de cet animal. Synon. fam. de porc.Cochon salé. Des coquins qui ne croient pas en Notre Seigneur Jésus-Christ, qui adorent Mahomet, et ne veulent pas manger du cochon (Mérimée, La Jacquerie,1828, p. 78).
? Fromage de cochon. Sorte de pâté fait avec la chair de la tête du cochon. Synon. Fromage de tête.Un peu de fromage de cochon, car le père avait besoin de viande (Zola, Germinal,1885, p. 1209).
c) Loc. fig.
? Marchand de cochons (péj.). Nouveau riche. Tous ces marchands de cochons, ces cordonniers spéculateurs, ces anciens concierges archimillionnaires et ces bougnats richissimes (Aymé, Le Confort intellectuel,1949, p. 204).
? Ne pas savoir, se demander si c'est du lard ou du cochon. Ne pas savoir à quoi s'en tenir sur la signification de tels propos, de telle plaisanterie. Il n'est pas très convaincu. Il se demande si c'est du lard ou du cochon (Giono, Les Grands chemins,1951, p. 29).
? [Avec sans doute allusion à la parabole de l'Enfant prodigue (Luc, XV, 11-32) montrant un jeune fils de famille s'abaissant à garder les cochons d'un étranger, et bien reçu à son retour au scandale de son frère aîné] Nous n'avons pas gardé les cochons ensemble. Formule orgueilleuse destinée à rappeler à l'ordre un inférieur ou une personne que l'on connaît peu et qui se comporte avec une familiarité excessive. Où est-ce que j'ai gardé les cochons avec vous, pour me tutoyer? (Stendhal, Lamiel,1842, p. 158).
2. P. ext.
a) Cochon (sauvage). Sanglier. Le père tuait des cochons sauvages, des pluviers (Vercel, Capitaine Conan,1934, p. 195).
b) Cochon noir ou cochon d'Amérique. Pécari.
3. P. anal. [Pour désigner divers animaux ayant certains traits de ressemblance avec le cochon] Cochon + compl. prép. de
a) Cochons des blés. Hamster.
b) Cochon d'Inde ou cochon de Barbarie. Cobaye. Les cochons de Barbarie firent en hauteur un bond absolument extraordinaire (Gide, Si le grain ne meurt,1924, p. 441).Il me volait des animaux de laboratoire, des cochons d'Inde et surtout des lapins (G. Duhamel, Chronique des Pasquier,Le Combat contre les ombres, 1939, p. 116).
c) Cochon de mer. Marsouin. Sa grosse couenne invulnérable de cochon de mer (Morand, Magie noire,1930, p. 58).
B.? Gén. péj. [L'animal comme élément de compar., comme symbole, pour désigner un être hum. ou certaines de ses caractéristiques] Subst. + de (à, pour) cochon; verbe ou adj. + comme + (un ou autre déterminatif) cochon.
1. [Cochon comme terme de compar.]
a) [Pour désigner une caractéristique physique] Avoir des yeux, de petits yeux de cochon. Le grand savant Jules Soury, avec ses yeux de cochon, sa graisse pâle, sa timidité de sulpicien (Blanche, Mes modèles,1928, p. 54).
? Gros, gras comme un cochon. Très gros, très gras.
b) [Pour désigner un type de comportement]
? [P. réf. à sa réputation de saleté, de manque de soin] Auge, toit à cochons. Maison, pièce très mal tenue. Elle souffre de la saleté quand elle reste au lit. C'est, sauf notre respect, comme un toit à cochons (Renard, Journal,1906, p. 1078).
? Sale comme un cochon. Très sale. Avec cela je suis sale comme un cochon; je m'en vais prendre un bain tout à l'heure (Claudel, Partage du midi, 1reversion, 1906, III, p. 1037).
? Manger comme un cochon. Manger de manière très malpropre.
? Écrire comme un cochon (cf. cochonner*). Je suis sûr que cela est écrit comme 36 cochons (Balzac, Correspondance,1831, p. 628)
? Loc. proverbiale. Un cochon n'y retrouverait pas ses petits. C'est un endroit où règne un désordre extrême. Un micmac de paperasses à défier un cochon d'y retrouver ses petits (Courteline, Messieurs-les-Ronds-de-cuir,1893, p. 47).
? [P. réf. à la grossièreté de ses m?urs ou de ses goûts, à son apparente inintelligence]
? Saoul comme un cochon. Je rentrais saoul comme un cochon (Sartre, Huis clos,1944, p. 142).
? Bête comme cochon. Bête comme cochon, voilà ce qu'on est (Camus, L'État de siège,1948, p. 191).
? [Avec allus. à l'Évangile, Matth. VII, 6 Ne jetez pas vos perles devant les cochons, de peur qu'ils les piétinent, puis se retournent contre vous pour vous déchirer] C'est de la confiture, des perles pour les cochons. C'est un présent, matériel ou moral, dont le bénéficiaire n'est pas capable d'apprécier la valeur. Quel genre de perles jetées aux cochons mes hommes épluchaient-ils au fond de leur âme avilie (Cendrars, L'Homme foudroyé,1945, p. 29).
? [P. réf. au caractère difficile qu'on lui attribue] Très mauvais.
? Caractère de cochon. Il l'a bien prouvé à l'Académie son caractère de cochon pendant les vingt années qu'il y passa (Céline, Voyage au bout de la nuit,1932, p. 353).
? Tête de cochon. Caractère dur et obstiné. Avec une tête de cochon comme la mienne, on pouvait craindre une résistance acharnée (H. Bazin, Vipère au poing,1948, p. 198).
? [En parlant du temps] Temps de cochon. Très mauvais temps. Il faisait un temps de cochon noir (Audiberti, Quoat-Quoat,1946, 2etabl., p. 67).
c) P. antiphrase, fam. Amis, camarades, copains comme cochons. Camarades très liés (dans les parties de plaisir, les sorties, le travail, etc.). Le rossignol n'avait qu'un ?il. L'anvot itou n'avait qu'un ?il. Et ils étaient copains comme cochons (Genevoix, Raboliot,1925, p. 130).
2. [Désignation métaph. ou fig.] Pop. ou fam.
a) Personne sale physiquement (cf. supra 1. b) :
3. Vous avez changé les draps du 28, Renée? Ils étaient sales... Le 28, c'est un grand cochon... Dabit, L'Hôtel du Nord,1929, p. 64.
b) Personne à la sensualité grossière. Ce bon vivant, ce goinfre, ce cochon d'Anthelme (Bernanos, Monsieur Ouine,1943, p. 1358):
4. Avouez-le! ... Que c'est du nouveau qu'il vous faut! ... De la partouze! ... Pourquoi pas de la pucelle? Bande de dépravés! Bande de cochon! ... Céline, Voyage au bout de la nuit,1932, p. 609.
? Le cochon qui sommeille. [P. allus. au vers attribué à l'écrivain Ch. Monselet (1825-1888). Tout homme a dans son c?ur un cochon qui sommeille] Vice latent en tout homme :
5. Ce cycle est tel. Là-dedans, il faut faire tenir mon petit univers, mes embardées secrètes, mon Protée, mon Napoléon, mon âme et mon cochon personnels. Valéry, Lettres à quelques-uns,1945, p. 73.
c) Personne au comportement très désagréable, qui use de procédés bas et malhonnêtes. Je ne serai pas un saint. Je ne serai même pas un brave homme. Un cochon, rien de plus qu'un cochon (G. Duhamel, Journal de Salavin,t. 3, 1927, p. 78).
? Tour de cochon. Méchant tour :
6. C'est trop salaud tout d'même de la part du bon Dieu de nous lâcher, comme il le fait, ses robinets et ses réservoirs sur la gueule tout exprès pour nous embêter! C'est un tour de cochon, mon vieux, voilà tout ce que j'ai à te dire! Courteline, Le Train de 8 h 47,1888, III, p. 128.
? Cochon qui s'en dédit! Formule plaisante pour appuyer le caractère irrévocable d'un serment. Trente pistoles, bonté! Cochon qui s'en dédit! (Colette, La Maison de Claudine,1922, p. 34).
d) [Par atténuation de sens, terme d'injure ou de mépris] Sale cochon; sacré cochon. Pour ce qu'ils payaient, ces cochons d'ouvriers (Aragon, Les Beaux quartiers,1936, p. 38).
? Spéc., vocab. du théâtre.[P. oppos. aux bénéficiaires de billets gratuits] Cochon de payant. Le public qui paie sa place. Les gens des loges, les abonnés, les « cochons de payants » les salonnards protestaient (L. Daudet, Quand vivait mon père,1940, p. 111).
e) P. antiphrase, fam. Terme d'affection. Vous êtes de braves cochons (Dorgelès, Les Croix de bois,1919, p. 201).
II.? Emploi adj. (gén. fam.)
A.? [Appliqué à une pers. (cf. supra I B 2 b)] Qui est porté au vice, à la débauche, qui manque à la décence dans ses actes, ses écrits, ses propos. Des peintres cochons (Baudelaire, Pauvre Belgique,1867, p. 719):
7. Tu es, en effet, la pucelle cochonne et saturée de parfums, dont nos prêtres sont édifiés, qui communie régulièrement à sa paroisse, qu'aucun homme n'a contaminée et qui s'agenouille, avec élégance, pour recevoir le corps de son Dieu dans les latrines de son c?ur! ... Bloy, Journal,1894, p. 120.
B.? [Appliqué à un inanimé en relation avec une pers.]
1. Pénible. Superl. de sale. Un cochon de métier (Colette, La Vagabonde,1910, p. 47).
? P. ext. Mauvais. Par litote, fam. C'est pas cochon du tout. C'est très beau ou très bon. Du vin rosé qui est loin d'être cochon (Giono, Les Grands chemins,1951, p. 63).
2. Qui exprime, révèle le vice ou y incite. Gestes, yeux cochons; histoires cochonnes; c'est cochon! Les Journaux à femme, les chics petits journaux cochons (Barbusse, Le Feu,1916, p. 132).
? P. ext. Frivole. De petits relèvements cochons de jupes (E. et J. de Goncourt, Journal,1889, p. 970).
? Emploi substantivé (avec valeur de neutre abstr.). Il y a là des profils d'un cochon charmant (Flaubert, Correspondance,1850, p. 205).
Prononc. et Orth. : [k? ? ? ?], fém. [-? ?n]. Ds Ac. 1694-1932, uniquement en tant que subst. masc. Noter que dans ce mot qui peut être empl. comme une injure on observe souvent un déplacement d'accent de la 2esyll. sur la 1resyll., accent émotionnel (à ce sujet cf. Nyrop Phonét. 1951, g 141). Étymol. et Hist. A. Subst. [1091 n. propre (Cart. de Redon, 276 d'apr. Delboulle ds Quem.)]; 1. 1268-71 « jeune porc » (E. Boileau, Métiers, éd. de Lespinasse et Bonnardot, LXIX, VIII, p. 146); 2. 1611 « porc adulte » (Cotgr.); 3. fin xviies. « personnage grossier (physiquement ou moralement) » (Mme de Sévigné ds Lar. 19e). B. Adj. xviies. au propre une truye cochonne (Gaultier Garguille, ?uvres, éd. Fournier, 82 ds IGLF), attest. isolée; 1850 « indécent, osé » ici dans un emploi subst. qui suppose un usage habituel de l'adj. Orig. obsc.; peut-être issu, avec suff. -on1*, de l'onomatopée kos?-kos? exprimant le grognement du porc, d'où le cri d'appel de cet animal (Stangier, Die Bezeichnung des Schweines im Galloromanischen, Bonn, 1929; FEW t. 2, p. 1254 sqq.; G. Rohlfs ds Mélanges Wartburg, Tübingen, 1968, t. 2, pp. 205-206; cf. goret de formation analogue). L'étymon b. lat. cutio « cloporte » (Mén. 1694; EWFS2) fait difficulté des points de vue phonét. et sém., la dénomination du cloporte étant plus aisément issue de celle du porc (cf. cochon de St Antoine) que l'inverse. V. aussi coche3« truie ». Fréq. abs. littér. : 1 602. Fréq. rel. littér. : xixes. : a) 1 534, b) 1 770; xxes. : a) 4 594, b) 1 791.
DÉR. 1.
Cochonnée, subst. fém.,vieilli. Portée d'une truie. Elle a fait tant de petits cochons en une cochonnée (Ac.1798-1878).? [k? ? ?ne]. Ds Ac. 1694-1932. Fér. Crit. t. 1 1787 propose la graph. cochonée. ? 1reattest. 1642 (Oudin, Recherches italiennes et françoises, ou Dict. ital. et fr., 2epart.); de cochon, suff. -ée*.
2.
Cochonnément, adv.,rare. D'une manière cochonne, malpropre. Il ne fallait pas maintenant se cocarder cochonnément, si l'on voulait respecter les dames (Zola, L'Assommoir,1877, p. 457).? [k? ? ?nem? ?]. ? 1reattest. 1877 (id.); de cochon, cochonne, adj., prob. d'apr. l'infl. d'autres adv. à terminaison -ément (v. -ment2*). ? Fréq. abs. littér. : 1.
3.
Cochonnier, subst. masc.,rare. Celui qui fait des cochonneries, qui fait son travail grossièrement ou se livre à des actions grossières. Ta dégaine de tocard, ta gueule pas bien franche, tes airs de cochonnier sournois (Aymé, Clérambard,1950, IV, 1, p. 190).? [k? ? ?nje]. ? 1reattest. 1890 (J. Richepin, Le Cadet, p. 239); de cochon d'apr. cochonner* et cochonnerie*, suff. -ier*. ? Fréq. abs. littér. : 1.
BBG. ? Baist (G.). Vermischtes. Z. rom. Philol. 1923, t. 43, pp. 86-89. ? Behrens (D.). Etymologisches. Z. rom. Philol. 1889, t. 13, pp. 413-414. ? Mat. Louis-Philippe 1951, p. 60. ? Rog. 1965, p. 119, 177. ? Rohlfs (G.). Traditionalismus und Irrationalismus in der Etymologie. In : [Mél. Wartburg (W. von)]. Tübingen, 1968, t. 2, pp. 205-206. ? Stangier (M.M.). Die Bezeichnung des Schweines im Galloromanischen. Bonn, 1929.

COCHON, ONNE, subst. et adj.
Étymol. et Hist. A. Subst. [1091 n. propre (Cart. de Redon, 276 d'apr. Delboulle ds Quem.)]; 1. 1268-71 « jeune porc » (E. Boileau, Métiers, éd. de Lespinasse et Bonnardot, LXIX, VIII, p. 146); 2. 1611 « porc adulte » (Cotgr.); 3. fin xviies. « personnage grossier (physiquement ou moralement) » (Mme de Sévigné ds Lar. 19e). B. Adj. xviies. au propre une truye cochonne (Gaultier Garguille, ?uvres, éd. Fournier, 82 ds IGLF), attest. isolée; 1850 « indécent, osé » ici dans un emploi subst. qui suppose un usage habituel de l'adj. Orig. obsc.; peut-être issu, avec suff. -on1*, de l'onomatopée kos?-kos? exprimant le grognement du porc, d'où le cri d'appel de cet animal (Stangier, Die Bezeichnung des Schweines im Galloromanischen, Bonn, 1929; FEW t. 2, p. 1254 sqq.; G. Rohlfs ds Mélanges Wartburg, Tübingen, 1968, t. 2, pp. 205-206; cf. goret de formation analogue). L'étymon b. lat. cutio « cloporte » (Mén. 1694; EWFS2) fait difficulté des points de vue phonét. et sém., la dénomination du cloporte étant plus aisément issue de celle du porc (cf. cochon de St Antoine) que l'inverse. V. aussi coche3« truie ».

Cochon au Scrabble


Le mot cochon vaut 13 points au Scrabble.

cochon

Informations sur le mot cochon - 6 lettres, 2 voyelles, 4 consonnes, 4 lettres uniques.

Quel nombre de points fait le mot cochon au Scrabble ?


Le calcul de points ne prend pas en compte lettre compte double, lettre compte triple, mot compte double et mot compte triple. Ces cases augmentent les valeurs des mots posés selon un coefficient indiqué par les règles du jeu de Scrabble.

SCRABBLE © est une marque déposée. Tous les droits de propriété intellectuelle du jeu sont détenus aux Etats-Unis et au Canada par Hasbro Inc. et dans le reste du monde par J.W. Spear & Sons Limited de Maidenhead, Berkshire, Angleterre, une filiale de Mattel Inc. Mattel et Spear ne sont pas affiliés à Hasbro.

cochon

Les mots proches de Cochon

CocagneCocagneCocardeCocardeauCocarderieCocasseCocasseCocatrixCocautionCoccéiensCoccyxCocheCocheCocheCocheCocheCocheCoché, éeCochéeCocheletCochenilleCocherCôcherCochèreCocherelleCochetCochevisCochonCochonnerCochonnetCocoCocoCoconCoconnièreCocontractant, anteCocoteCocoterieCocotierCoctionCocuCocuageCocufiercocacoca-colacocagnecocagnescocaïnecocaïnomanecocardcocardassecocardecocardercocardescocardéscocardiercocardièrecocardièrescocardierscocardscocascocassecocassementcocasseriecocassescoccinellecoccinellescoccyxcochacochaitcochantcochâtcochecochecochécochéecochéescocheletcochenillecochenillescochercochercocherascochèreCochèreCocherelCocherencochèrescocherscochescochescochéscochez


Mots du jour


Mercenarité     Bêler     Improuver     Compasseur     Crier     Glaiseux, euse     Maudit, ite     Répudié, ée     Contradette     Poêle ou poile     

Les citations avec le mot Cochon


  1. Chez moi, quand on tue le cochon, tout le monde rit! Sauf le cochon.

    Auteur : Edgar Faure - Source : Sans référence


  2. Les mots amour, délice et orgue étant masculins au singulier et féminins au pluriel, on doit dire, en bonne logique: «Cet orgue est le plus beau des plus belles», si on ne veut encourir le reproche d'écrire sa langue comme un cochon.

    Auteur : Georges Courteline - Source : La Philosophie de Georges Courteline (1917-1922)


  3. Faire de la publicité, c'est agiter un bâton dans l'auge à cochons.

    Auteur : George Orwell - Source : Essais, articles, lettres (Collected Essays, Journalism And Letters)


  4. On eut dit qu'en quelque façon la ferme s'était enrichie sans rendre les animaux plus riches hormis, assurément les cochons et les chiens.

    Auteur : George Orwell - Source : La Ferme des animaux (1945)


  5. A l'extrémité du camp, les cochons, noirs comme des sangliers, grognaient rageusement en donnant de la tête contre la porte des soues, car l'heure de leur souper approchait.

    Auteur : Pierre Dumarchey, dit Pierre Mac Orlan - Source : La Bandera (1931)


  6. A quoi ça sert la frite si t'as pas les moules - Ca sert à quoi l'cochonnet si t'as pas les boules.

    Auteur : Boris Bergman - Source : Gaby oh Gaby (Interprété par Alain Bashung)


  7. Si le cochon a de la graisse, quelle quantité de graisse peut avoir un éléphant ?

    Auteur : Ferdinand Oyono - Source : Le vieux nègre et la médaille (1956)


  8. Quel admirable animal que le cochon! Il ne lui manque que de savoir faire lui-même son boudin.

    Auteur : Jules Renard - Source : Journal, 1899


  9. Dans le coeur du notable, un cupide sommeille souvent en compagnie du cochon dont il refuse de financer les frasques.

    Auteur : Philippe Bouvard - Source : Mille et une pensées (2005)


  10. Les animaux sont moins intolérants que nous : un cochon affamé mangera du musulman.

    Auteur : Pierre Desproges - Source : Chroniques de la haine ordinaire (2004)


  11. Pour cette raison, je laissai notre chirurgien-barbier à ses occupations astrologiques et je m'en fus vers l'avant, où les hommes de Merry, mes compagnons, faisaient rôtir un cochon sur une broche à la mode des frères de la côte.

    Auteur : Pierre Dumarchey, dit Pierre Mac Orlan - Source : A bord de l'Etoile Matutine (1920)


  12. Un homme ivre est agneau, cochon, singe ou lion.

    Auteur : Proverbes danois - Source : Proverbe


  13. Si dans chaque homme, il y a un cochon qui sommeille, le mien doit souffrir d'insomnie.

    Auteur : Simon Berryer, dit Sim - Source : Sans référence


  14. Les boeufs ? Les flics, si vous préférez. Oui, car si chez nous le flic est un poulet, au Québec c'est un boeuf. Et en Angleterre, c'est un pig, un cochon. C'est comme ça. Nous n'avons pas la même lecture zoomorphique du représentant de l'ordre.

    Auteur : Barry Gifford - Source : No steak (2013)


  15. Qatar : tirelire de la France, mais sans le cochon.

    Auteur : Régis Mailhot - Source : Reprise des hostilités (2016)


  16. Ces petits cochons, il faut bien l'avouer, étaient des merveilles de petits cochons; petite queue en trompette, petites pattes et joli petit groin spirituellement troussé.

    Auteur : Alphonse Allais - Source : A se tordre (1891), Les petits cochons


  17. On n'engraisse pas les cochons avec de l'eau claire.

    Auteur : Proverbes français - Source : Proverbe


  18. Pourvu que l'on ait une auge, on trouvera les cochons.

    Auteur : Alexandre Pouchkine - Source : Lettre à sa femme, 30 novembre 1833.


  19. Je ne vois nulle honte à être un «vieux cochon», mais je trouve beaucoup de ridicule à être un vieil imbécile.

    Auteur : Georges Courteline - Source : La Philosophie de Georges Courteline (1917-1922)


  20. Selon la rumeur, j'aurais couché avec plus de mille femmes. Mais, à ce jour, ma plus longue liaison, c'est avec Max, mon cochon.

    Auteur : George Clooney - Source : Choc Hebdo, 21 juin 2007.


  21. Comestible: Susceptible d'être mangé et digéré, comme un ver pour un crapaud, un crapaud pour un serpent, un serpent pour un cochon, un cochon pour l'homme et l'homme pour le ver.

    Auteur : Ambrose Bierce - Source : Le Dictionnaire du Diable (1911)


  22. Rendez-vous chez Naf-Naf, cochon qui s'en dédie.

    Auteur : Lionel Chrzanowski - Source : Petit dictionnaire à mourir de rire de Philippe Héraclès et Lionel Chrzanowski


  23. Le lait tombe; adieu veau, vache, cochon, couvée; - La dame de ces biens, quittant d'un oeil marri - Sa fortune ainsi répandue, - Va s'excuser à son mari - En grand danger d'être battue.

    Auteur : Jean de La Fontaine - Source : Fables (1668 à 1694), Livre septième, IX, la Laitière et le Pot au lait


  24. Même les cochons aveugles trouvent de temps en temps un gland.

    Auteur : Stephen Baxter - Source : Poussière de Lune (1998)


  25. C'est comme les cochonneries, les histoires de bravoure, elles plaisent toujours à tous les militaires de tous les pays.

    Auteur : Louis-Ferdinand Destouches, dit Céline - Source : Sans référence


Les citations du Littré sur Cochon


  1. Dans les festins d'Homère, on tue un boeuf pour régaler ses hôtes, comme on tuerait de nos jours un cochon de lait ; en lisant qu'Abraham servit un veau à trois personnes, qu'Eumée fit rôtir deux chevreaux pour le dîner d'Ulysse, et qu'autant en fit Rébecca pour celui de son mari, on peut juger quels terribles dévoreurs de viande étaient les hommes de ce temps-là

    Auteur : Jean-Jacques Rousseau - Source : dans LAVEAUX


  2. Plus de cochons [jeunes porcs] porte et nourrit une truye, plustost envieillit

    Auteur : Voltaire - Source : 333


  3. Nous ne sommes de fer ni vous ni moi ; mais, avec du régime, nous existons ; et je vois mourir à droite et à gauche de gros cochons à face large et rubiconde

    Auteur : Voltaire - Source : Lett. Mme de Fontaine, 18 mars 1752


  4. Les truyes pleines, et les layes qui ont cochonné veulent avoir chacune son tect à part

    Auteur : O. DE SERRES - Source : 333


  5. Les truyes pleines, et les layes qui ont cochonné, veulent chacune avoir son tect à part

    Auteur : O. DE SERRES - Source : 333


  6. Elle [Mme de Montespan] avait des cochons et des chèvres dans des lambris peints et dorés

    Auteur : MAINTENON - Source : Lett. à Mme de Caylus, 24 janv. 1718


  7. On a vu des souris se loger sur leur dos [des cochons], et leur manger le lard et la peau sans qu'ils parussent le sentir

    Auteur : BUFF. - Source : Quadrup. t. I, p. 291


  8. Nous ne sommes que l'abbé et moi dans ce joli cabinet, sur de bons coussins, bien à l'air, bien à notre aise, tout le reste comme des cochons sur la paille

    Auteur : Madame de Sévigné - Source : 425


  9. Il est bien aysé à une truye foible de bien nourrir beaucoup de cochons, mesmes [surtout] quand ils sont grandelets

    Auteur : LA BOÉTIE - Source : 235


  10. Le petit monstre [le fils de la fée Dentue].... se mit à grogner comme un cochon de ce qu'elle [Fleur d'Épine] avait la hardiesse de rebuter ses familiarités

    Auteur : HAMILTON - Source : Hist. de Fleur d'épine.


  11. Elles ont usé, depuis que nous sommes ici, le lard d'une douzaine de cochons [pour faire des pommades]

    Auteur : Molière - Source : Préc. 4


  12. Les Indiens haïssent les mahométans parce qu'ils mangent de la vache ; les mahométans détestent les Indiens parce qu'ils mangent du cochon

    Auteur : Montesquieu - Source : Esp. XXIV, 22


  13. Les cochons recherchent les truffes avec passion, lorsqu'ils en ont une fois goûté ; ils les indiquent donc en fouillant la terre

    Auteur : GENLIS - Source : Maison rust. t. III, p. 252, dans POUGENS


  14. Il ne perd point son aumosne Qui à son cochon la donne

    Auteur : LEROUX DE LINCY - Source : ib.


  15. Il jouoit à cochonnet va devant

    Auteur : François Rabelais - Source : Garg. I, 22


  16. Nous sommes juifs comme vous, ne mangeant point de cochon, point de boudin

    Auteur : VOLTAIRE - Source : Phil. III, 174


  17. Il [l'éléphant] a une horreur si grande pour le cochon, que le seul cri de cet animal l'émeut et le fait fuir

    Auteur : BUFF. - Source : Quadrup. t. XIV, p. 291


  18. Et qui m'empêchera de mettre en notre étable, Vu le prix dont il est [le cochon vendu], une vache et son veau ?

    Auteur : Jean de La Fontaine - Source : Fabl. VII, 10


  19. Il [le cabiai] ne ressemble au cochon que par de petits rapports, et en diffère par de grands caractères

    Auteur : BUFF. - Source : Quadrup. t. V, p. 470


  20. Assurément [Grillus, métamorphosé en cochon] vous n'avez pas la taille belle ; un gros corps couché vers la terre ; de petits yeux à peine entr'ouverts, un groin horrible, une physionomie très désavantageuse

    Auteur : FÉN. - Source : Dial. des morts anc. Dial. 6


  21. Jakemart le cochon [nom propre]

    Auteur : H. CAFFIAUX - Source : Nicole de Drury, p. 135


  22. Il m'est, disait-elle, facile D'élever des poulets autour de ma maison ; Le renard sera bien habile, S'il ne m'en laisse assez pour avoir un cochon

    Auteur : Jean de La Fontaine - Source : ib. VII, 10


  23. Mammifère du pays des Hottentots, dit aussi cochon de terre (voy. COCHON n° 4 au Dictionnaire), qui se nourrit de fourmis et de termites

    Auteur : CORTAMBERT - Source : Cours de géographie, 10e éd. 1873, p. 624


  24. Presque tous les animaux libres et sauvages ont les oreilles droites ; le sanglier les a droites et roides, le cochon domestique les a inclinées et demi-pendantes

    Auteur : BUFF. - Source : Quadrup. t. I, p. 392


  25. Le lait tombe ; adieu veau, vache, cochon, couvée ; La dame de ces biens, quittant d'un oeil marri Sa fortune ainsi répandue....

    Auteur : Jean de La Fontaine - Source : ib. VII, 10




Les mots débutant par Coc  Les mots débutant par Co

Une suggestion ou précision pour la définition de Cochon ? -


Mise à jour le samedi 8 novembre 2025 à 16h43








Dictionnaire des citations en C +


Liste des mots et définitions commençant par


Etendez votre recherche :   Citation sur cochonPoèmes cochonProverbes cochon

La définition du mot Cochon est issue du Dictionnaire français - La définition et la signification du mot Cochon sont données à titre indicatif. Les réponses à votre question sur la signification Cochon présentées sur ce site peuvent être complétées par vos commentaires.