La définition de Cochon du dictionnaire français. Signification du mot et son éthymologie - De nombreux exemples d'usage en français ainsi que des citations.

Cochon
Nature : s. m.
Prononciation : ko-chon
Etymologie : Coche 3 ; bourguig. et Berry, couchon.

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Notre dictionnaire de français vous présente les définitions de cochon de manière précise, avec des exemples pertinents pour aider à comprendre la signification du mot.

Notre dictionnaire de définitions comprend des informations complémentaires telles que la nature du mot, sa prononciation, des exemples d'expressions, l'étymologie, les synonymes, les homonymes, les antonymes mais également les rimes et anagrammes. Quand la définition du mot s'y prête nous vous proposons des citations littéraires en rapport avec cochon pour illustrer la compréhension du mot ou préciser le sens et de répondre à la question quelle est la signification de Cochon ?


La définition de Cochon

Mammifère de la famille des pachydermes, qu'on engraisse pour l'alimentation.


Toutes les définitions de « cochon »


Trésor de la Langue Française informatisé


COCHON, ONNE, subst. et adj.

I.? Subst. masc.
A.? [Désigne un animal]
1. Mammifère omnivore domestique, de l'ordre des ongulés, de la famille des suidés. Un gros cochon; garder les cochons. Synon. porc.J'entends grogner, derrière les panneaux, des cochons qui attendent leur pitance (T'Serstevens, L'Itinéraire espagnol,1933, p. 200):
1. Au milieu de toutes ces bêtes se traîne (...) une énorme truie (...) Il faut être un fier cochon pour faire la cour à une pareille créature. Hugo, France et Belgique,1885, p. 144.
SYNT. Cochon gras; groin, hure, soies du cochon; auge, étable à cochons; élever, engraisser, tuer un cochon.
a) Spécialement
? Cet animal, en particulier le mâle châtré, élevé pour l'alimentation :
2. Voilà une mère! (...) Un verrat la suit, avec son énorme vessie au derrière. (...) Non loin d'eux, un autre cochon, ni truie, ni verrat. Il a dû tomber dans l'eau par mégarde, car il est propre, presque blanc, et gras comme un moine. Renard, Journal,1898, p. 478.
? Cochon de lait. Petit cochon qui tète encore.
? Cochon à l'engrais. Cochon en train d'être engraissé.
b) P. méton. Viande de cet animal. Synon. fam. de porc.Cochon salé. Des coquins qui ne croient pas en Notre Seigneur Jésus-Christ, qui adorent Mahomet, et ne veulent pas manger du cochon (Mérimée, La Jacquerie,1828, p. 78).
? Fromage de cochon. Sorte de pâté fait avec la chair de la tête du cochon. Synon. Fromage de tête.Un peu de fromage de cochon, car le père avait besoin de viande (Zola, Germinal,1885, p. 1209).
c) Loc. fig.
? Marchand de cochons (péj.). Nouveau riche. Tous ces marchands de cochons, ces cordonniers spéculateurs, ces anciens concierges archimillionnaires et ces bougnats richissimes (Aymé, Le Confort intellectuel,1949, p. 204).
? Ne pas savoir, se demander si c'est du lard ou du cochon. Ne pas savoir à quoi s'en tenir sur la signification de tels propos, de telle plaisanterie. Il n'est pas très convaincu. Il se demande si c'est du lard ou du cochon (Giono, Les Grands chemins,1951, p. 29).
? [Avec sans doute allusion à la parabole de l'Enfant prodigue (Luc, XV, 11-32) montrant un jeune fils de famille s'abaissant à garder les cochons d'un étranger, et bien reçu à son retour au scandale de son frère aîné] Nous n'avons pas gardé les cochons ensemble. Formule orgueilleuse destinée à rappeler à l'ordre un inférieur ou une personne que l'on connaît peu et qui se comporte avec une familiarité excessive. Où est-ce que j'ai gardé les cochons avec vous, pour me tutoyer? (Stendhal, Lamiel,1842, p. 158).
2. P. ext.
a) Cochon (sauvage). Sanglier. Le père tuait des cochons sauvages, des pluviers (Vercel, Capitaine Conan,1934, p. 195).
b) Cochon noir ou cochon d'Amérique. Pécari.
3. P. anal. [Pour désigner divers animaux ayant certains traits de ressemblance avec le cochon] Cochon + compl. prép. de
a) Cochons des blés. Hamster.
b) Cochon d'Inde ou cochon de Barbarie. Cobaye. Les cochons de Barbarie firent en hauteur un bond absolument extraordinaire (Gide, Si le grain ne meurt,1924, p. 441).Il me volait des animaux de laboratoire, des cochons d'Inde et surtout des lapins (G. Duhamel, Chronique des Pasquier,Le Combat contre les ombres, 1939, p. 116).
c) Cochon de mer. Marsouin. Sa grosse couenne invulnérable de cochon de mer (Morand, Magie noire,1930, p. 58).
B.? Gén. péj. [L'animal comme élément de compar., comme symbole, pour désigner un être hum. ou certaines de ses caractéristiques] Subst. + de (à, pour) cochon; verbe ou adj. + comme + (un ou autre déterminatif) cochon.
1. [Cochon comme terme de compar.]
a) [Pour désigner une caractéristique physique] Avoir des yeux, de petits yeux de cochon. Le grand savant Jules Soury, avec ses yeux de cochon, sa graisse pâle, sa timidité de sulpicien (Blanche, Mes modèles,1928, p. 54).
? Gros, gras comme un cochon. Très gros, très gras.
b) [Pour désigner un type de comportement]
? [P. réf. à sa réputation de saleté, de manque de soin] Auge, toit à cochons. Maison, pièce très mal tenue. Elle souffre de la saleté quand elle reste au lit. C'est, sauf notre respect, comme un toit à cochons (Renard, Journal,1906, p. 1078).
? Sale comme un cochon. Très sale. Avec cela je suis sale comme un cochon; je m'en vais prendre un bain tout à l'heure (Claudel, Partage du midi, 1reversion, 1906, III, p. 1037).
? Manger comme un cochon. Manger de manière très malpropre.
? Écrire comme un cochon (cf. cochonner*). Je suis sûr que cela est écrit comme 36 cochons (Balzac, Correspondance,1831, p. 628)
? Loc. proverbiale. Un cochon n'y retrouverait pas ses petits. C'est un endroit où règne un désordre extrême. Un micmac de paperasses à défier un cochon d'y retrouver ses petits (Courteline, Messieurs-les-Ronds-de-cuir,1893, p. 47).
? [P. réf. à la grossièreté de ses m?urs ou de ses goûts, à son apparente inintelligence]
? Saoul comme un cochon. Je rentrais saoul comme un cochon (Sartre, Huis clos,1944, p. 142).
? Bête comme cochon. Bête comme cochon, voilà ce qu'on est (Camus, L'État de siège,1948, p. 191).
? [Avec allus. à l'Évangile, Matth. VII, 6 Ne jetez pas vos perles devant les cochons, de peur qu'ils les piétinent, puis se retournent contre vous pour vous déchirer] C'est de la confiture, des perles pour les cochons. C'est un présent, matériel ou moral, dont le bénéficiaire n'est pas capable d'apprécier la valeur. Quel genre de perles jetées aux cochons mes hommes épluchaient-ils au fond de leur âme avilie (Cendrars, L'Homme foudroyé,1945, p. 29).
? [P. réf. au caractère difficile qu'on lui attribue] Très mauvais.
? Caractère de cochon. Il l'a bien prouvé à l'Académie son caractère de cochon pendant les vingt années qu'il y passa (Céline, Voyage au bout de la nuit,1932, p. 353).
? Tête de cochon. Caractère dur et obstiné. Avec une tête de cochon comme la mienne, on pouvait craindre une résistance acharnée (H. Bazin, Vipère au poing,1948, p. 198).
? [En parlant du temps] Temps de cochon. Très mauvais temps. Il faisait un temps de cochon noir (Audiberti, Quoat-Quoat,1946, 2etabl., p. 67).
c) P. antiphrase, fam. Amis, camarades, copains comme cochons. Camarades très liés (dans les parties de plaisir, les sorties, le travail, etc.). Le rossignol n'avait qu'un ?il. L'anvot itou n'avait qu'un ?il. Et ils étaient copains comme cochons (Genevoix, Raboliot,1925, p. 130).
2. [Désignation métaph. ou fig.] Pop. ou fam.
a) Personne sale physiquement (cf. supra 1. b) :
3. Vous avez changé les draps du 28, Renée? Ils étaient sales... Le 28, c'est un grand cochon... Dabit, L'Hôtel du Nord,1929, p. 64.
b) Personne à la sensualité grossière. Ce bon vivant, ce goinfre, ce cochon d'Anthelme (Bernanos, Monsieur Ouine,1943, p. 1358):
4. Avouez-le! ... Que c'est du nouveau qu'il vous faut! ... De la partouze! ... Pourquoi pas de la pucelle? Bande de dépravés! Bande de cochon! ... Céline, Voyage au bout de la nuit,1932, p. 609.
? Le cochon qui sommeille. [P. allus. au vers attribué à l'écrivain Ch. Monselet (1825-1888). Tout homme a dans son c?ur un cochon qui sommeille] Vice latent en tout homme :
5. Ce cycle est tel. Là-dedans, il faut faire tenir mon petit univers, mes embardées secrètes, mon Protée, mon Napoléon, mon âme et mon cochon personnels. Valéry, Lettres à quelques-uns,1945, p. 73.
c) Personne au comportement très désagréable, qui use de procédés bas et malhonnêtes. Je ne serai pas un saint. Je ne serai même pas un brave homme. Un cochon, rien de plus qu'un cochon (G. Duhamel, Journal de Salavin,t. 3, 1927, p. 78).
? Tour de cochon. Méchant tour :
6. C'est trop salaud tout d'même de la part du bon Dieu de nous lâcher, comme il le fait, ses robinets et ses réservoirs sur la gueule tout exprès pour nous embêter! C'est un tour de cochon, mon vieux, voilà tout ce que j'ai à te dire! Courteline, Le Train de 8 h 47,1888, III, p. 128.
? Cochon qui s'en dédit! Formule plaisante pour appuyer le caractère irrévocable d'un serment. Trente pistoles, bonté! Cochon qui s'en dédit! (Colette, La Maison de Claudine,1922, p. 34).
d) [Par atténuation de sens, terme d'injure ou de mépris] Sale cochon; sacré cochon. Pour ce qu'ils payaient, ces cochons d'ouvriers (Aragon, Les Beaux quartiers,1936, p. 38).
? Spéc., vocab. du théâtre.[P. oppos. aux bénéficiaires de billets gratuits] Cochon de payant. Le public qui paie sa place. Les gens des loges, les abonnés, les « cochons de payants » les salonnards protestaient (L. Daudet, Quand vivait mon père,1940, p. 111).
e) P. antiphrase, fam. Terme d'affection. Vous êtes de braves cochons (Dorgelès, Les Croix de bois,1919, p. 201).
II.? Emploi adj. (gén. fam.)
A.? [Appliqué à une pers. (cf. supra I B 2 b)] Qui est porté au vice, à la débauche, qui manque à la décence dans ses actes, ses écrits, ses propos. Des peintres cochons (Baudelaire, Pauvre Belgique,1867, p. 719):
7. Tu es, en effet, la pucelle cochonne et saturée de parfums, dont nos prêtres sont édifiés, qui communie régulièrement à sa paroisse, qu'aucun homme n'a contaminée et qui s'agenouille, avec élégance, pour recevoir le corps de son Dieu dans les latrines de son c?ur! ... Bloy, Journal,1894, p. 120.
B.? [Appliqué à un inanimé en relation avec une pers.]
1. Pénible. Superl. de sale. Un cochon de métier (Colette, La Vagabonde,1910, p. 47).
? P. ext. Mauvais. Par litote, fam. C'est pas cochon du tout. C'est très beau ou très bon. Du vin rosé qui est loin d'être cochon (Giono, Les Grands chemins,1951, p. 63).
2. Qui exprime, révèle le vice ou y incite. Gestes, yeux cochons; histoires cochonnes; c'est cochon! Les Journaux à femme, les chics petits journaux cochons (Barbusse, Le Feu,1916, p. 132).
? P. ext. Frivole. De petits relèvements cochons de jupes (E. et J. de Goncourt, Journal,1889, p. 970).
? Emploi substantivé (avec valeur de neutre abstr.). Il y a là des profils d'un cochon charmant (Flaubert, Correspondance,1850, p. 205).
Prononc. et Orth. : [k? ? ? ?], fém. [-? ?n]. Ds Ac. 1694-1932, uniquement en tant que subst. masc. Noter que dans ce mot qui peut être empl. comme une injure on observe souvent un déplacement d'accent de la 2esyll. sur la 1resyll., accent émotionnel (à ce sujet cf. Nyrop Phonét. 1951, g 141). Étymol. et Hist. A. Subst. [1091 n. propre (Cart. de Redon, 276 d'apr. Delboulle ds Quem.)]; 1. 1268-71 « jeune porc » (E. Boileau, Métiers, éd. de Lespinasse et Bonnardot, LXIX, VIII, p. 146); 2. 1611 « porc adulte » (Cotgr.); 3. fin xviies. « personnage grossier (physiquement ou moralement) » (Mme de Sévigné ds Lar. 19e). B. Adj. xviies. au propre une truye cochonne (Gaultier Garguille, ?uvres, éd. Fournier, 82 ds IGLF), attest. isolée; 1850 « indécent, osé » ici dans un emploi subst. qui suppose un usage habituel de l'adj. Orig. obsc.; peut-être issu, avec suff. -on1*, de l'onomatopée kos?-kos? exprimant le grognement du porc, d'où le cri d'appel de cet animal (Stangier, Die Bezeichnung des Schweines im Galloromanischen, Bonn, 1929; FEW t. 2, p. 1254 sqq.; G. Rohlfs ds Mélanges Wartburg, Tübingen, 1968, t. 2, pp. 205-206; cf. goret de formation analogue). L'étymon b. lat. cutio « cloporte » (Mén. 1694; EWFS2) fait difficulté des points de vue phonét. et sém., la dénomination du cloporte étant plus aisément issue de celle du porc (cf. cochon de St Antoine) que l'inverse. V. aussi coche3« truie ». Fréq. abs. littér. : 1 602. Fréq. rel. littér. : xixes. : a) 1 534, b) 1 770; xxes. : a) 4 594, b) 1 791.
DÉR. 1.
Cochonnée, subst. fém.,vieilli. Portée d'une truie. Elle a fait tant de petits cochons en une cochonnée (Ac.1798-1878).? [k? ? ?ne]. Ds Ac. 1694-1932. Fér. Crit. t. 1 1787 propose la graph. cochonée. ? 1reattest. 1642 (Oudin, Recherches italiennes et françoises, ou Dict. ital. et fr., 2epart.); de cochon, suff. -ée*.
2.
Cochonnément, adv.,rare. D'une manière cochonne, malpropre. Il ne fallait pas maintenant se cocarder cochonnément, si l'on voulait respecter les dames (Zola, L'Assommoir,1877, p. 457).? [k? ? ?nem? ?]. ? 1reattest. 1877 (id.); de cochon, cochonne, adj., prob. d'apr. l'infl. d'autres adv. à terminaison -ément (v. -ment2*). ? Fréq. abs. littér. : 1.
3.
Cochonnier, subst. masc.,rare. Celui qui fait des cochonneries, qui fait son travail grossièrement ou se livre à des actions grossières. Ta dégaine de tocard, ta gueule pas bien franche, tes airs de cochonnier sournois (Aymé, Clérambard,1950, IV, 1, p. 190).? [k? ? ?nje]. ? 1reattest. 1890 (J. Richepin, Le Cadet, p. 239); de cochon d'apr. cochonner* et cochonnerie*, suff. -ier*. ? Fréq. abs. littér. : 1.
BBG. ? Baist (G.). Vermischtes. Z. rom. Philol. 1923, t. 43, pp. 86-89. ? Behrens (D.). Etymologisches. Z. rom. Philol. 1889, t. 13, pp. 413-414. ? Mat. Louis-Philippe 1951, p. 60. ? Rog. 1965, p. 119, 177. ? Rohlfs (G.). Traditionalismus und Irrationalismus in der Etymologie. In : [Mél. Wartburg (W. von)]. Tübingen, 1968, t. 2, pp. 205-206. ? Stangier (M.M.). Die Bezeichnung des Schweines im Galloromanischen. Bonn, 1929.

COCHON, ONNE, subst. et adj.
Étymol. et Hist. A. Subst. [1091 n. propre (Cart. de Redon, 276 d'apr. Delboulle ds Quem.)]; 1. 1268-71 « jeune porc » (E. Boileau, Métiers, éd. de Lespinasse et Bonnardot, LXIX, VIII, p. 146); 2. 1611 « porc adulte » (Cotgr.); 3. fin xviies. « personnage grossier (physiquement ou moralement) » (Mme de Sévigné ds Lar. 19e). B. Adj. xviies. au propre une truye cochonne (Gaultier Garguille, ?uvres, éd. Fournier, 82 ds IGLF), attest. isolée; 1850 « indécent, osé » ici dans un emploi subst. qui suppose un usage habituel de l'adj. Orig. obsc.; peut-être issu, avec suff. -on1*, de l'onomatopée kos?-kos? exprimant le grognement du porc, d'où le cri d'appel de cet animal (Stangier, Die Bezeichnung des Schweines im Galloromanischen, Bonn, 1929; FEW t. 2, p. 1254 sqq.; G. Rohlfs ds Mélanges Wartburg, Tübingen, 1968, t. 2, pp. 205-206; cf. goret de formation analogue). L'étymon b. lat. cutio « cloporte » (Mén. 1694; EWFS2) fait difficulté des points de vue phonét. et sém., la dénomination du cloporte étant plus aisément issue de celle du porc (cf. cochon de St Antoine) que l'inverse. V. aussi coche3« truie ».

Cochon au Scrabble


Le mot cochon vaut 13 points au Scrabble.

cochon

Informations sur le mot cochon - 6 lettres, 2 voyelles, 4 consonnes, 4 lettres uniques.

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cochon

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Les citations avec le mot Cochon


  1. Ces petits cochons, il faut bien l'avouer, étaient des merveilles de petits cochons; petite queue en trompette, petites pattes et joli petit groin spirituellement troussé.

    Auteur : Alphonse Allais - Source : A se tordre (1891), Les petits cochons


  2. Selon la rumeur, j'aurais couché avec plus de mille femmes. Mais, à ce jour, ma plus longue liaison, c'est avec Max, mon cochon.

    Auteur : George Clooney - Source : Choc Hebdo, 21 juin 2007.


  3. Le cochon offre de nombreux points de comparaison avec un autre mammifère sans poils passé expert dans l'art de semer la merde et de se vautrer dedans.

    Auteur : Pierre Desproges - Source : Fonds de tiroir (1990)


  4. Ah ! Si c'était un tremblement de terre ! Une bonne secousse et on n'en parle plus... on compte les morts, les vivants, et le tour est joué. Mais cette cochonnerie de maladie ! Même ceux qui ne l'ont pas la portent dans leur coeur.

    Auteur : Albert Camus - Source : La Peste (1947)


  5. Dehors, les yeux des animaux allaient du cochon à l'homme et de l'homme au cochon, et de nouveau du cochon à l'homme mais déjà il était impossible de distinguer l'un de l'autre.

    Auteur : George Orwell - Source : La Ferme des animaux (1945)


  6. Ces péquenots, ils vont voter la corde aussi vite qu'un cochon vide son auge. Regardez leurs yeux. J'veux bien être pendu si je suis le seul tueur dans la salle d'audience.

    Auteur : Truman Capote - Source : De sang-froid (1965)


  7. L'avare et le cochon ne sont bons qu'à leur mort.

    Auteur : Proverbes français - Source : Proverbe


  8. Qatar : tirelire de la France, mais sans le cochon.

    Auteur : Régis Mailhot - Source : Reprise des hostilités (2016)


  9. L'Européen veut pouvoir toucher. L'air de ses tableaux est épais. Ses nus sont presque toujours cochons, même dans les sujets tirés de la Bible. La chaleur, le désir, les mains les tripotent.

    Auteur : Henri Michaux - Source : Un barbare en Asie (1933)


  10. Toute l'écriture est de la cochonnerie. Les gens qui sortent du vague pour essayer de préciser quoi que ce soit de ce qui se passe dans leur pensée, sont des cochons. Toute la gent littéraire est cochonne, et spécialement celle de ce temps-ci.

    Auteur : Antonin Artaud - Source : L'Ombilic des limbes (1925)


  11. Cochon: Animal (Porcus omnivorus) Étonnamment proche de la race humaine par la vivacité et la splendeur de son appétit, qui néanmoins lui est inférieur dans sa portée, car il n'inclut pas le cochon.

    Auteur : Ambrose Bierce - Source : Le Dictionnaire du Diable (1911)


  12. Quand les cochons sont soûls,
    ils renversent le baquet.


    Auteur : Proverbes français - Source : Proverbe


  13. Où il y a beau cochon, il y a bonne soupe.

    Auteur : Dictons - Source : Dicton


  14. Je ne vois nulle honte à être un «vieux cochon», mais je trouve beaucoup de ridicule à être un vieil imbécile.

    Auteur : Georges Courteline - Source : La Philosophie de Georges Courteline (1917-1922)


  15. La beauté d'une femme sotte est aussi ridicule qu'un anneau d'or au nez d'un cochon.

    Auteur : La Bible - Source : Sans référence


  16. Consensus mou: Quelle autre langue peut exprimer tant de cochonneries en deux mots?

    Auteur : Bruno Masure - Source : Débloc Notes (1999)


  17. Tel donne les pieds du cochon en aumône, qui a dérobé la bête.

    Auteur : Proverbes espagnols - Source : Proverbe


  18. A quoi ça sert la frite si t'as pas les moules - Ca sert à quoi l'cochonnet si t'as pas les boules.

    Auteur : Boris Bergman - Source : Gaby oh Gaby (Interprété par Alain Bashung)


  19. Le chien lève vers vous des yeux implorants, le chat vous regarde de haut. Mais parlez-moi du cochon! Le cochon, lui, vous regarde droit dans les yeux, d'égal à égal.

    Auteur : Winston Churchill - Source : Sans référence


  20. J'aime les porcs. Les chiens nous regardent avec vénération. Les chats nous toisent avec dédain. Les cochons nous considèrent comme des égaux.

    Auteur : Winston Churchill - Source : Sans référence


  21. Les mots amour, délice et orgue étant masculins au singulier et féminins au pluriel, on doit dire, en bonne logique: «Cet orgue est le plus beau des plus belles», si on ne veut encourir le reproche d'écrire sa langue comme un cochon.

    Auteur : Georges Courteline - Source : La Philosophie de Georges Courteline (1917-1922)


  22. Tout homme a dans son coeur un cochon qui sommeille.

    Auteur : Antoine-Auguste Preault - Source : L'esprit de Préault


  23. On n'engraisse pas les cochons avec de l'eau claire.

    Auteur : Proverbes français - Source : Proverbe


  24. John Kennedy est allé se fourvoyer dans la Baie des Cochons, l'ayant prise de loin pour une BD cochonne

    Auteur : Marc Escayrol - Source : Mots et Grumots (2003)


  25. Les animaux sont moins intolérants que nous : un cochon affamé mangera du musulman.

    Auteur : Pierre Desproges - Source : Chroniques de la haine ordinaire (2004)


Les citations du Littré sur Cochon


  1. La grossièreté de ses appétits [du cochon] dépend de l'hébétation des sens du goût et du toucher

    Auteur : BUFF. - Source : Cochon.


  2. Le petit monstre [le fils de la fée Dentue].... se mit à grogner comme un cochon de ce qu'elle [Fleur d'Épine] avait la hardiesse de rebuter ses familiarités

    Auteur : HAMILTON - Source : Hist. de Fleur d'épine.


  3. Elles ont usé, depuis que nous sommes ici, le lard d'une douzaine de cochons [pour faire des pommades]

    Auteur : Molière - Source : Préc. 4


  4. Nous ne sommes de fer ni vous ni moi ; mais, avec du régime, nous existons ; et je vois mourir à droite et à gauche de gros cochons à face large et rubiconde

    Auteur : Voltaire - Source : Lett. Mme de Fontaine, 18 mars 1752


  5. Les truyes pleines, et les layes qui ont cochonné, veulent chacune avoir son tect à part

    Auteur : O. DE SERRES - Source : 333


  6. Une truye cochonna un cochon ayant huict jambes, quatre oreilles....

    Auteur : PARÉ - Source : XIX, 4


  7. Mammifère du pays des Hottentots, dit aussi cochon de terre (voy. COCHON n° 4 au Dictionnaire), qui se nourrit de fourmis et de termites

    Auteur : CORTAMBERT - Source : Cours de géographie, 10e éd. 1873, p. 624


  8. Il jouoit à cochonnet va devant

    Auteur : François Rabelais - Source : Garg. I, 22


  9. Nous sommes juifs comme vous, ne mangeant point de cochon, point de boudin

    Auteur : VOLTAIRE - Source : Phil. III, 174


  10. Perrette [qui avait un pot au lait sur sa tête] là-dessus saute aussi transportée ; Le lait tombe ; adieu, veau, vache, cochon, couvée

    Auteur : Jean de La Fontaine - Source : Fabl. VII, 10


  11. Elle [Mme de Montespan] avait des cochons et des chèvres dans des lambris peints et dorés

    Auteur : MAINTENON - Source : Lett. à Mme de Caylus, 24 janv. 1718


  12. On a vu des souris se loger sur leur dos [des cochons], et leur manger le lard et la peau sans qu'ils parussent le sentir

    Auteur : BUFF. - Source : Quadrup. t. I, p. 291


  13. Et qui m'empêchera de mettre en notre étable, Vu le prix dont il est [le cochon vendu], une vache et son veau ?

    Auteur : Jean de La Fontaine - Source : Fabl. VII, 10


  14. Les Indiens haïssent les mahométans parce qu'ils mangent de la vache ; les mahométans détestent les Indiens parce qu'ils mangent du cochon

    Auteur : Montesquieu - Source : Esp. XXIV, 22


  15. Les cochons recherchent les truffes avec passion, lorsqu'ils en ont une fois goûté ; ils les indiquent donc en fouillant la terre

    Auteur : GENLIS - Source : Maison rust. t. III, p. 252, dans POUGENS


  16. Messieurs, leur dit le notaire équitable, Vous pouvez prendre un milieu ; l'on mettra Qu'au sieur bailleur le preneur donnera, Bon an, mal an, un cochon raisonnable

    Auteur : DU CANGE - Source : rationabilis.


  17. Jakemart le cochon [nom propre]

    Auteur : H. CAFFIAUX - Source : Nicole de Drury, p. 135


  18. Il [le cabiai] ne ressemble au cochon que par de petits rapports, et en diffère par de grands caractères

    Auteur : BUFF. - Source : Quadrup. t. V, p. 470


  19. Le sanglier, dont la hure est plus longue et plus forte que celle du cochon, fouille plus profondément ; il fouille aussi presque toujours en ligne droite dans le même sillon

    Auteur : BUFF. - Source : Quadrup. t. I, p. 299


  20. Il ne perd point son aumosne Qui à son cochon la donne

    Auteur : LEROUX DE LINCY - Source : ib.


  21. Assurément [Grillus, métamorphosé en cochon] vous n'avez pas la taille belle ; un gros corps couché vers la terre ; de petits yeux à peine entr'ouverts, un groin horrible, une physionomie très désavantageuse

    Auteur : FÉN. - Source : Dial. des morts anc. Dial. 6


  22. Plus de cochons [jeunes porcs] porte et nourrit une truye, plustost envieillit

    Auteur : Voltaire - Source : 333


  23. Il est bien aysé à une truye foible de bien nourrir beaucoup de cochons, mesmes [surtout] quand ils sont grandelets

    Auteur : LA BOÉTIE - Source : 235


  24. J'espère que la postérité m'en remerciera ; car pour mon siècle, je n'en attends que des vessies de cochon par le nez

    Auteur : Voltaire - Source : Lett. d'Argental, 28 août 1749


  25. Il m'est, disait-elle, facile D'élever des poulets autour de ma maison ; Le renard sera bien habile, S'il ne m'en laisse assez pour avoir un cochon

    Auteur : Jean de La Fontaine - Source : ib. VII, 10




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Mise à jour le mercredi 24 septembre 2025 à 15h39








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