La définition de Soupir du dictionnaire français. Signification du mot et son éthymologie - De nombreux exemples d'usage en français ainsi que des citations.

Soupir
Nature : s. m.
Prononciation : sou-pir
Etymologie : Bourguig. sôpir ; wallon, sospeur ; provenç. sospir, sospire ; catal. suspir ; esp. suspiro ; ital. sospiro ; du lat. suspirium (voy. ).

Voir les citations du mot SoupirSignification du mot Soupir


Notre dictionnaire de français vous présente les définitions de soupir de manière précise, avec des exemples pertinents pour aider à comprendre la signification du mot.

Notre dictionnaire de définitions comprend des informations complémentaires telles que la nature du mot, sa prononciation, des exemples d'expressions, l'étymologie, les synonymes, les homonymes, les antonymes mais également les rimes et anagrammes. Quand la définition du mot s'y prête nous vous proposons des citations littéraires en rapport avec soupir pour illustrer la compréhension du mot ou préciser le sens et de répondre à la question quelle est la signification de Soupir ?


La définition de Soupir

Respiration plus forte et plus prolongée qu'à l'ordinaire et qui est causée soit par quelque gêne physique, soit par quelque trouble moral ; le soupir est causé par une contraction lente et volontaire du diaphragme, tandis que le sanglot est dû à une contraction involontaire et spasmodique de ce muscle. Pousser des soupirs.


Toutes les définitions de « soupir »


Dictionnaire de l'Académie française, huitième édition

SOUPIR. n. m.
Expiration prolongée qu'on laisse échapper sous l'influence d'un sentiment de tristesse, d'une émotion, d'une souffrance. Long soupir. Profond soupir. Soupir amoureux. Ardents soupirs. Tendres soupirs. Pousser de grands soupirs. Etouffer ses soupirs. Dernier soupir, Dernier moment de la respiration, dernier souffle de la vie. Je vous servirai, j'aurai de la reconnaissance envers vous jusqu'à mon dernier soupir, jusqu'au dernier soupir. Rendre le dernier soupir, Mourir. Recevoir, recueillir le dernier soupir de quelqu'un, L'assister à ses derniers moments.

SOUPIR, en termes de Musique, se dit d'un Silence qui équivaut à une noire. Prenez garde en chantant à bien marquer, à bien observer ces soupirs. Il se dit aussi d'un Signe qui marque l'endroit où l'on doit observer un silence équivalent à une noire. Il y a un soupir marqué en cet endroit-là. Demi-soupir, quart de soupir, huitième de soupir, Silence qui a la valeur d'une croche, d'une double croche, d'une triple croche.

Littré

SOUPIR (sou-pir) s. m.
  • 1Respiration plus forte et plus prolongée qu'à l'ordinaire et qui est causée soit par quelque gêne physique, soit par quelque trouble moral?; le soupir est causé par une contraction lente et volontaire du diaphragme, tandis que le sanglot est dû à une contraction involontaire et spasmodique de ce muscle. Pousser des soupirs. Vous faisiez de grands soupirs dans cette église [de la Visitation, à Moulins]? j'en faisais de bien douloureux de mon côté, Sévigné, 17 mai 1676. Ici je fis un soupir, mais de ces soupirs qui nous échappent quand on nous dit quelque chose qui adoucit le chagrin où nous sommes, Marivaux, Marianne, 8 part.

    Par extension. Vous savez l'horreur qu'on a de recueillir ces soupirs contagieux, qui sortent du sein d'un mourant, pour faire mourir ceux qui vivent, Fléchier, Mme de Montaus. Et sur sa bouche encor, s'il erre un vain soupir, Que ma bouche du moins puisse le recueillir?! Delille, Én. IV.

    Familièrement. Tirer des soupirs de ses talons, soupirer profondément.

  • 2 Fig. et poétiquement. Il se dit quelquefois de sons vagues qui se font entendre. Le christianisme a inventé l'orgue, et donné des soupirs à l'airain même, Chateaubriand, Génie, III, I, 1. La flûte dans les bois, et ces chants sur les mers Arrivaient jusqu'à nous sur les soupirs des airs, Lamartine, Socrate, 35.
  • 3 Fig. Gémissement, regret causé par quelque passion ou quelque chagrin. Un c?ur gros de soupirs. Mon c?ur est sans soupirs, mes yeux n'ont point de larmes, Corneille, Cinna, IV, 5. La grâce a déjà mis la princesse en défense?; ni la gloire ni la jeunesse n'auront d'elle un soupir, Bossuet, Duch. d'Orl. M. le Tellier a vu disparaître toute sa grandeur avec sa vie, sans qu'il lui en ait coûté un seul soupir, Bossuet, le Tellier. La mort, qui nous ravit les personnes chères, et qui nous fait pousser tant de soupirs et verser tant de larmes, Massillon, Avent, Jugem. univ. Les évêques jetèrent bien encore quelques soupirs dans leurs remontrances à Charles le Chauve, que l'on trouve dans le capitulaire de l'an 856, et dans la lettre qu'ils écrivirent à Louis le Germanique l'an 858, Montesquieu, Esp. XXXI, 23.
  • 4 Fig. Gémissement d'amour. Je suis au désespoir que l'amour me contraigne à pousser des soupirs pour ce que je dédaigne, Corneille, Cid, I, 3. Elle [l'Église] ne reconnaît ses enfants que par les soupirs qu'ils poussent sans cesse vers leur patrie, Massillon, Carême, Prière, 1. Hélas?! combien de fois la pauvre Chaillot m'a-t-elle prédit que le premier soupir de ton c?ur ferait le destin de ta vie?! Rousseau, Hél. I, 7. Tout cela [honnêteté, foi jurée] n'est-il pas un rêve, une bulle de savon que le premier soupir d'un cavalier à la mode doit évaporer dans les airs?? Musset, Capr. de Marian. II, 1.

    C'est l'objet de ses soupirs, se dit d'une fille, d'une femme dont quelqu'un est fort amoureux.

  • 5Dernier soupir, derniers soupirs, le dernier moment de la vie. Puissé-je? Voir le dernier Romain à son dernier soupir, Moi seule en être cause et mourir de plaisir?! Corneille, Hor. IV, 5. Et quel est notre aveuglement, si, toujours avançant vers notre fin, et plutôt mourants que vivants, nous attendons les derniers soupirs pour prendre les sentiments que la seule pensée de la mort nous devrait inspirer à tous les moments de notre vie?? Bossuet, Duch. d'Orl. Jusqu'au dernier soupir de malheurs poursuivie, Je rends dans les tourments une pénible vie, Racine, Phèdre, IV, 6.

    Recevoir, recueillir les derniers soupirs de quelqu'un, l'assister à ses derniers moments. C'est vous, divine Providence, qui m'avez conduit en ces lieux, pour recevoir les derniers gages de son amitié, et pour recueillir les derniers soupirs de sa pénitence, Fléchier, Duc de Montaus. Je croyais que tes mains fermeraient mes yeux, et que tu recueillerais mon dernier soupir, Fénelon, Tél. XVII. Vous veniez recevoir ses derniers soupirs, Massillon, Or. fun. Madame.

    Rendre le dernier soupir, les derniers soupirs, mourir. Une oppression à croire qu'il allait rendre le dernier soupir, Sévigné, 404. Cette douleur l'agitait, de sorte qu'il semblait à chaque moment qu'elle allait rendre les derniers soupirs, Bossuet, Panég. Ste Thérèse, 2.

  • 6 Populairement. Soupir d'ivrogne, éructation causée par les vapeurs du vin.
  • 7 Terme de musique. Silence qui équivaut à une noire.

    Signe ayant à peu près la forme d'une virgule et qui indique ce silence.

    Demi-soupir, signe de silence d'une durée égale à la valeur d'une croche.

    Quart de soupir, signe de silence représentant la valeur d'une double croche.

    Huitième de soupir, signe de silence représentant la valeur d'une triple croche. On dit quelquefois demi-quart de soupir.

    Seizième de soupir, signe de silence représentant la valeur d'une quadruple croche.


HISTORIQUE

XIIe s. Charles se dresse, si a fait un sospir, Ronc. p. 155. De mil souspirs que je li doi par dete, Couci, VI. Mais cil qui Deu cremirent et qui l'orent amé, En unt od [avec] grief suspir celéement pluré, Th. le mart. 46.

XIIIe s. Quant s'estoit relevée, moult grans souspirs [elle] jetoit, Berte, XXVIII.

XVIe s. Lors il [la Boétie mourant] se teut, et attendit que les soupirs et les sanglots eussent donné loysir à son oncle de lui respondre, Montaigne, Lett. v. Ils [les sauvages mis dans le cadre] ne cessent jusques au dernier soupir de les braver et desfier [leurs bourreaux] de parole et de contenance, Montaigne, I, 244. Il ne fallut qu'un souspir de probité pour lui faire oster [au chancelier l'Hospital] les seaux, D'Aubigné, Hist. I, 264. L'air exterieur est corrompu par certaines exhalations, fumées et souspirs des vapeurs pourries et infectées, Paré, XXIV, 3.

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Encyclopédie, 1re édition

SOUPIR, SANGLOT, GÉMISSEMENT, CRI PLAINTIF, (Synonymes.) tous ces mots peignent les accens de la douleur de l'ame ; en voici la différence selon l'explication physiologique donnée par l'auteur de l'histoire naturelle de l'homme.

Lorsqu'on vient à penser tout-à-coup à quelque chose qu'on desire ardemment, ou qu'on regrette vivement, on ressent un tressaillement ou serrement intérieur ; ce mouvement du diaphragme agit sur les poumons, les éleve, & y occasionne une inspiration vive & prompte qui forme le soupir ; lorsque l'ame a réfléchi sur la cause de son émotion, & qu'elle ne voit aucun moyen de remplir son desir, ou de faire cesser ses regrets, les soupirs se répetent, la tristesse qui est la douleur de l'ame, succede à ses premiers mouvemens.

Lorsque cette douleur de l'ame est profonde & subite, elle fait couler les pleurs ; si l'air entre dans la poitrine par secousses, il se fait plusieurs inspirations réitérées par une espece de secousse involontaire ; chaque inspiration fait un bruit plus fort que celui du soupir, c'est ce qu'on appelle sanglots. Les sanglots se succedent plus rapidement que les soupirs, & le son de la voix se fait entendre un peu dans le sanglot.

Les accens en sont encore plus marqués dans le gémissement. C'est une espece de sanglot continué, dont le son lent se fait entendre dans l'inspiration, & dans l'expiration ; son expression consiste dans la continuation & la durée d'un ton plaintif, formé par des sons inarticulés : ces sons du gémissement sont plus ou moins longs, suivant le degré de tristesse, d'affliction, & d'abattement qui les cause, mais ils sont toujours répétés plusieurs fois ; le tems de l'inspiration est celui de l'intervalle du silence, qui est entre les gémissemens, & ordinairement ces intervalles sont égaux pour la durée, & pour la distance.

Le cri plaintif est un gémissement exprimé avec force & à haute voix ; quelquefois ce cri se soutient dans toute son étendue sur le même ton, c'est sur-tout lorsqu'il est fort élevé & très-aigu ; quelquefois aussi il finit par un ton plus bas ; c'est ordinairement lorsque la force du cri est modérée. (D. J.)

Soupir, s. m. en Musique, est un caractere qui se fait ainsi soupir, & qui marque un silence, dont le tems doit être égal à celui d'une noire ou de la moitié d'une blanche. Voyez Silences, valeur des Notes, &c. (S)

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Wiktionnaire


Nom commun - français

soupir \su.pi?\ masculin

  1. Expiration prolongée qu'on laisse échapper sous l'influence d'un sentiment de tristesse, d'une émotion, d'une souffrance.
    • À mesure qu'il approchait de ses antagonistes, des craquements, des soupirs et des han ! l'aidaient à se diriger. (H. G. Wells, La Guerre dans les airs, 1908, traduction d'Henry-D. Davray et B. Kozakiewicz, Mercure de France, Paris, 1910, page 356 de l'édition de 1921)
    • Il secoua la tête, jeta un soupir puis essuya son front avec le revers de sa manche de chemise : [?]. (Franz-Olivier Giesbert, L'immortel : 22 balles pour un seul homme, Éditions Flammarion, 2011, chap. 44)
    • Je tremble toujours de n'avoir écrit qu'un soupir, quand je crois avoir noté une vérité. (Stendhal, De l'Amour, chap. 9, dans la collection ?uvres complètes de Stendhal), Paris : chez Michel Lévy frères, 1843, p. 21)
  2. (Musique) Signe qui marque l'endroit où l'on doit observer un silence équivalent à une noire.
    • Il y a un soupir marqué en cet endroit-là.
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Trésor de la Langue Française informatisé


SOUPIR, subst. masc.

A. ?
1. Expiration ou inspiration plus ou moins forte et prolongée qui rétablit un équilibre respiratoire perturbé le plus souvent par une vive émotion. Soupir de contentement, de délivrance, de douleur, de gratitude, de regret, de soulagement; exhaler, pousser un soupir; énormes, longs, profonds soupirs. J'abandonne au lecteur le soin de se représenter ma douloureuse surprise. Pour peu qu'il ait l'âme sensible, ce lui sera sans doute chose des plus aisées; car les soupirs auxquels je donnai cours en cette occasion ressemblent de tout point aux plaintes qu'il n'eût pas manqué d'exhaler lui-même en une occurrence analogue (Milosz,Amour. init., 1910, p. 25):
Après un assez long moment, il m'a renseigné sans me regarder: « Elle était très liée avec madame votre mère. Elle dit que c'était sa seule amie ici et que maintenant elle n'a plus personne. » Nous sommes restés un long moment ainsi. Les soupirs et les sanglots de la femme se faisaient plus rares. Elle reniflait beaucoup. Elle s'est tue enfin. Camus,Étranger, 1942, p. 1130.
? En partic. Le dernier soupir, les derniers soupirs. Celui, ceux du mourant. Rendre (soi-même) le dernier soupir; recueillir, recevoir le dernier soupir (de qqn). L'indigent de l'évangile, en exhalant son dernier soupir, devient soudain (chose sublime) un être auguste et sacré (Chateaubr.,Génie, t. 2, 1803, p. 325).Aussitôt que quelqu'un a poussé le dernier soupir, on l'emmène très vite, en Packard, chez l'embaumeur qui le farde et l'arrange. De sorte que si vous voyez enfin un visage très reposé et très rose, à New-York, c'est un mort (Morand,New-York, 1930, p. 275).
? [À propos d'un animal] Le soupir long et grave des b?ufs qu'atteint le coup de masse du boucher (Courteline,Train 8 h. 47, 1888, p. 196).
? P. anal. [À propos d'un objet] Je l'avais soulevé sans le plus petit bruit, sans le moindre grincement de pène, le moindre soupir de la boiserie, ce loquet criard! (Fabre,Oncle Célestin, 1881, p. 407).La voiture se plaint doucement de la fatigue de la route, les vis et les écrous, la roue et le brancard poussent chacun leur petit soupir aigu ou grave (Hugo,Fr. et Belg., 1885, p. 157).
2. Au fig., littér.
a) Expression généralement douloureuse d'un amour le plus souvent insatisfait. Nous aimions l'amour, et quelques-unes d'entre nous l'ont pratiqué avec une sombre sauvagerie. Les soupirs de la pauvre Lespinasse font encore trembler sur la terre les mains qui tournent les pages de son livre (Noailles,Nouv. espér., 1903, p. 60).Rodrigue et Prouhèze, en dépit des océans qui s'étendent entre eux, ne poussent pas un soupir qui n'ait son écho dans l'âme bien-aimée: d'une rive de l'Atlantique à l'autre, écoutez-les qui se parlent à voix basse (Mauriac,Journal occup., 1944, p. 358).
? P. méton. L'amour lui-même. Saqueville: (...) mais un amour et une candidature sur les bras tout à la fois (...) comment fais-tu pour mener tout cela de front? Louis: L'intrigue électorale le matin (...) les soupirs le soir (Mérimée,Deux hérit., 1853, p. 53).
b) Chant ou son plaintif, mélancolique, lyrique. On croit entendre les soupirs du vent dans la tige du jeune olivier (Chateaubr.,Génie, t. 1, 1803, p. 556).Adieu donc, chants du cuivre et soupirs de la flûte! Plaisirs ne tentez plus un c?ur sombre et boudeur! (Baudel.,Fl. du Mal, 1859, p. 120).
B. ? MUS. Silence qui a valeur d'une noire; le signe qui, sur la portée traduit ce silence. Demi-soupir (v. demi- I A 1), quart* de soupir, huitième, seizième de soupir. Le quart de pause ou soupir a la forme d'un sept retourné (...) et s'écrit sur la portée entre la troisième et la quatrième ligne (Kastner,Gramm. mus., 1837, p. 58).Le soupir, suivant J. de Garlande, était une pause plus apparente que réelle (Coussemaker,Hist. harm. Moy. Âge, 1852, p. 202).
Prononc. et Orth.: [supi:?]. Att. ds Ac. dep. 1694. Étymol. et Hist. A. 1. 1erquart xiies. « hoquet, rot » (Lapidaire de Marbode, 320 ds Studer-Evans, p. 40: sospir et rut); 1640 souspir d'Alleman (Oudin Curiositez); 2. ca 1150 « respiration profonde qu'on laisse échapper sous le coup d'une émotion, de la douleur » (Wace, St Nicolas, 1026 ds T.-L.); 1470-75 jusques au derrenier soupir (Perceforest, éd. G. Roussineau, 3epartie, t. I, p. 252, 432); 1671 rendre le dernier soûpir (Pomey); 3. fig. a) ca 1160 « expression douloureuse de l'amour » (Eneas, 1813 ds T.-L.: Onc nel porent [Enée] flechier mes lermes [de Didon] Ne mi sospir; 7963: Granz lëece vient de sospir [en amour]); b) 1640 « regret, douleur causés par une déception » (Corneille, Cinna, IV, 5: Mon c?ur est sans soupirs, mes yeux n'ont point de larmes); c) 1823 « plainte lyrique, expression de la mélancolie » (Lamartine, Nouv. Méditations, XIII ds ?uvres poét., éd. M.-Fr. Guyard, p. 147: l'ardent soupir qui vers le ciel s'élance, L'extase de la lyre; XXVI, p. 190: De Philomèle et du poète Les plus doux chants sont des soupirs). B. En parlant d'un animal ou d'un inanimé 1. 1560 « exhalaison, émanation » (Paré, ?uvres, XXIV, 3, éd. J.-Fr. Malgaigne, t. 3, p. 357b: exhailaisons, fumées et souspirs des vapeurs pourries et infectées); 2. 1616 « souffle » froids souspirs de bize (D'Aubigné, Tragiques, II ds ?uvres, éd. E. Réaume et F. de Caussade, t. 4, p. 102); 3. a) 1803 « son, bruit mélancolique » soupirs à l'airain [des cloches] (Chateaubr., Génie, t. 2, p. 4); 1830 soupir [de la mer] (Lamart., Harm., p. 327); b) 1846 « chant plaintif » soupirs du rossignol (Chateaubr., Mém., t. 1, p. 128). C. 1611 mus. souspir; demy-souspir (Cotgr.). Déverbal de soupirer*. Fréq. abs. littér.: 2 997. Fréq. rel. littér.: xixes.: a) 5 436, b) 5 128; xxes.: a) 4 042, b) 2 926.

SOUPIR, subst. masc.
Étymol. et Hist. A. 1. 1erquart xiies. « hoquet, rot » (Lapidaire de Marbode, 320 ds Studer-Evans, p. 40: sospir et rut); 1640 souspir d'Alleman (Oudin Curiositez); 2. ca 1150 « respiration profonde qu'on laisse échapper sous le coup d'une émotion, de la douleur » (Wace, St Nicolas, 1026 ds T.-L.); 1470-75 jusques au derrenier soupir (Perceforest, éd. G. Roussineau, 3epartie, t. I, p. 252, 432); 1671 rendre le dernier soûpir (Pomey); 3. fig. a) ca 1160 « expression douloureuse de l'amour » (Eneas, 1813 ds T.-L.: Onc nel porent [Enée] flechier mes lermes [de Didon] Ne mi sospir; 7963: Granz lëece vient de sospir [en amour]); b) 1640 « regret, douleur causés par une déception » (Corneille, Cinna, IV, 5: Mon c?ur est sans soupirs, mes yeux n'ont point de larmes); c) 1823 « plainte lyrique, expression de la mélancolie » (Lamartine, Nouv. Méditations, XIII ds ?uvres poét., éd. M.-Fr. Guyard, p. 147: l'ardent soupir qui vers le ciel s'élance, L'extase de la lyre; XXVI, p. 190: De Philomèle et du poète Les plus doux chants sont des soupirs). B. En parlant d'un animal ou d'un inanimé 1. 1560 « exhalaison, émanation » (Paré, ?uvres, XXIV, 3, éd. J.-Fr. Malgaigne, t. 3, p. 357b: exhailaisons, fumées et souspirs des vapeurs pourries et infectées); 2. 1616 « souffle » froids souspirs de bize (D'Aubigné, Tragiques, II ds ?uvres, éd. E. Réaume et F. de Caussade, t. 4, p. 102); 3. a) 1803 « son, bruit mélancolique » soupirs à l'airain [des cloches] (Chateaubr., Génie, t. 2, p. 4); 1830 soupir [de la mer] (Lamart., Harm., p. 327); b) 1846 « chant plaintif » soupirs du rossignol (Chateaubr., Mém., t. 1, p. 128). C. 1611 mus. souspir; demy-souspir (Cotgr.). Déverbal de soupirer*.

Soupir au Scrabble


Le mot soupir vaut 8 points au Scrabble.

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Informations sur le mot soupir - 6 lettres, 3 voyelles, 3 consonnes, 6 lettres uniques.

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Les citations avec le mot Soupir


  1. Dieu ! soupire à part soi la plaintive Chimène,
    Qu'il est joli garçon l'assassin de papa.


    Auteur : Georges Fourest - Source : La Négresse blonde (1909)


  2. Aujourd'hui ces voix, ces musiques, ces cris, ces appels, ces rires, ces soupirs radiophoniques font partie de nos sons et même de nos bruits quotidiens. La fée sonore est devenue un fond sonore.

    Auteur : Jacques Lacarrière - Source : Ce bel aujourd'hui (1989)


  3. Le premier soupir de l'enfance est pour la liberté.

    Auteur : Luc de Clapiers, marquis de Vauvenargues - Source : Réflexions et Maximes (1746)


  4. Comme deux rayons de l'aurore,
    Comme deux soupirs confondus,
    Nos deux âmes ne forment plus
    Qu'une âme, et je soupire encore !


    Auteur : Alphonse de Lamartine - Source : Méditations poétiques (1820), Souvenir


  5. Moins on a de souffle, plus on a de bougies à souffler. Soupire le centenaire.

    Auteur : Jean-Louis Fournier - Source : Mon dernier cheveu noir (2006)


  6. L'homme blanc ne semble pas remarquer l'air qu'il respire. Comme un homme qui met plusieurs jours à expirer, il est insensible à la puanteur. Mais si nous vous vendons notre terre, vous devez vous rappeler que l'air nous est précieux, que l'air partage son esprit avec tout ce qu'il fait vivre. Le vent qui a donné à notre grand-père son premier souffle a aussi reçu son dernier soupir

    Auteur : Chef Seattle - Source : Discours prononcé en 1854 par Seattle (v. 1786-1866), chef des tribus Duwamish et Suquamish, devant le gouverneur Isaac Stevens


  7. Un seul soupir du chat défait tous les noeuds invisibles de l'air. Ce soupir plus léger que la pensée est tout ce que j'attends des livres.

    Auteur : Christian Bobin - Source : Un assassin blanc comme neige (2011)


  8. Les gens s'imaginent toujours que le crime est un jeu, ajouta Poirot en soupirant. Mais c'est tout le contraire d'un jeu.

    Auteur : Agatha Christie - Source : Mrs McGinty est morte (1952)


  9. Et il poussa un de ces soupirs qui n'appartiennent qu'à ceux dont le génie se heurte aux âpres nécessités de la vie.

    Auteur : Pierre Alexis, vicomte Ponson du Terrail - Source : Rocambole, les Drames de Paris


  10. Réfugie-toi dans l'étude, tu échapperas à tous les dégoûts de l'existence. L'ennui du jour ne te fera pas soupirer après la nuit et tu ne seras pas à charge de toi-même et inutile aux autres.

    Auteur : Sénèque - Source : Sans référence


  11. La vie est une succession d'ambiguïtés et de bravades. On y apprend tous les jours, et tous les jours on efface son ardoise pour un nouvel exercice. En réalité, il n'y a pas de vérité irréfutable, il n'y a que des certitudes. Lorsque l'une s'avère être infondée, on s'en forge une autre et on s'y verrouille contre vents et marées. La survivance est un naufrage dont le salut repose sur l'entêtement et non sur la providence. Il y a ceux qui abandonnent, et ceux-là sont morts, et d'autres qui revoient leur copie... Me vient à l'esprit l'image du marabout-guerrier agonisant sur son lit de camp, le faciès taillé dans un parchemin. Sa voix chevrotante m'atteint dans un soupir d'outre-tombe. Que me disait-il ? Ça me revient ; il disait : « Pour qu'un coeur continue de battre la mesure des défis, il lui faut pomper dans l'échec la sève de sa survivance ».

    Auteur : Mohammed Moulessehoul, dit Yasmina Khadra - Source : L'Equation africaine (2011)


  12. Dans mille ans, l'homme soupirera comme maintenant : «Ah ! que la vie est dure !» et comme maintenant il aura peur et ne voudra pas mourir.

    Auteur : Anton Tchekhov - Source : Les Trois Soeurs (1901), II


  13. La constitution de notre nature est telle que notre esprit a besoin de beaucoup de relâche afin qu'il puisse employer utilement quelques moments en la recherche de la vérité, et qu'il s'assoupirait au lieu de se polir s'il s'appliquait trop à l'étude.

    Auteur : René Descartes - Source : Correspondance, à Elisabeth, 6 octobre 1645


  14. Coeur qui soupire n'a pas ce qu'il désire.

    Auteur : Proverbes français - Source : Proverbe


  15. L'amour se nourrit de miettes, de bribes, de soupirs, l'amour n'a pas besoin de preuves, l'amour fait feu de tout bois et se gave d'illusions.

    Auteur : Delphine de Vigan - Source : Les Jolis Garçons (2005)


  16. L'amour est une fumée formée des vapeurs de soupirs :
    Purifié, c'est un feu dans les yeux des amants,
    Agité, une mer nourrie des larmes des amants ;
    Et quoi encor ? La folie la plus sage
    Le fiel qui nous étouffe, la douceur qui nous sauve.


    Auteur : William Shakespeare - Source : Roméo et Juliette (1594)


  17. Notre coeur est un instrument incomplet, une lyre où il manque des cordes et où nous sommes forcés de rendre les accents de la joie sur le ton consacré aux soupirs.

    Auteur : François-René de Chateaubriand - Source : Atala, ou Les Amours de deux sauvages dans le désert (1801)


  18. Il y a de la musique dans les soupirs d'un roseau ; il y a de la musique dans le murmure d'un ruisseau ; il y a de la musique en tout, il ne nous manque que de l'oreille : notre terre n'est qu'un écho des sphères.

    Auteur : George Gordon, lord Byron - Source : Don Juan (1819)


  19. Tout lecteur remarque que dans les dialogues convenus, à l'ancienne, tiret, à la ligne et ponctués par "dit-il", l'auteur a pour unique souci de ne pas se répéter, s'avisant alors de terminer chaque réplique par maugréa-t-il, marmonna-t-il, soupira-t-il, vociféra-t-il et on sait bien que son personnage ni ne maugrée, ni ne soupire, ni ne vocifère, on se dit surtout qu'il n'a rien d'essentiel à nous dire, sinon qu'il faut en passer par là, et on a l'impression de voir à chaque fin de phrase les gouttes de sueur tomber du front de l'auteur de la page.

    Auteur : Jean Rouaud - Source : Kiosque (2019)


  20. Un instant, le puits exhale l'odeur rassurante d'un foyer imprenable. Un geyser de quiétude jaillit, apaisant, rampe jusqu'en haut du puits, s'étend ensuite par-delà les bords escarpés et fait taire les bêtes;le temps d'un soupir, la forêt tout entière repose dans une implosion de paix.

    Auteur : Ivan Repila - Source : Le Puits (2013)


  21. Vos soupirs étouffés semblent me faire injure:
    La bouche obéit mal lorsque le coeur murmure.


    Auteur : Voltaire - Source : Tancrède (1760), I, 4, Argire


  22. Tambours de fumée, foudre de soupirs. On avale toujours la boule aux mille pointes de souffrances. Quand cela finira-t-il?

    Auteur : Henri Michaux - Source : Face aux verrous (1954)


  23. C'est toi qui fait soupirer,
    L'innocente fillette :
    C'est toi qui fais délirer
    Le doux prix d'amourette :
    Joli mois de Mai,
    Que tu nous rends le coeur gai !


    Auteur : Charles Simon Favart - Source : Raton et Rosette (1753)


  24. Je l'aime tant ma fille, je ne voudrais pas qu'elle s'en aille, je voudrais qu'elle soit là, à mes côtés, je voudrais qu'elle pleure à ma mort, qu'elle souffre, qu'elle parle de moi les larmes aux yeux, même des années après ma mort, qu'elle me regrette et qu'elle ouvre mes livres en soupirant de peine. Je suis l'incarnation de l'égoïsme et je m'en fiche. Je suis sa mère, bon sang. Elle me doit de me regretter. Sinon quoi ? Elle serait soulagée, indifférente comme moi j'ai été ? J'aurais donc vraiment tout raté ?

    Auteur : Nathacha Appanah - Source : La Noce d'Anna (2005)


  25. Tu es dans mes pensées et dans tous mes soupirs
    Au sein de mes rêves et de tous mes désirs.


    Auteur : Patrick Huet - Source : Déclarations d'amour (2009)


Les citations du Littré sur Soupir


  1. Vous poussez des soupirs, vos visages pâlissent

    Auteur : Corneille - Source : Hor. II, 6


  2. M. le Tellier a vu disparaître toute sa grandeur avec sa vie, sans qu'il lui en ait coûté un seul soupir

    Auteur : BOSSUET - Source : le Tellier.


  3. Vers les dangereuses langueurs Vous avez une douce pente ; Vous soupirerez des malheurs Dont vous paraissez ignorante

    Auteur : DESHOUL. - Source : Poés. t. II, p. 23


  4. Puissé-je.... Voir le dernier Romain à son dernier soupir !

    Auteur : Corneille - Source : Hor. IV, 5


  5. Vos yeux, vos tristes yeux Avec de longs soupirs se tournent vers les cieux

    Auteur : Jean Racine - Source : Brit. V, 1


  6. L'amour, comme tu sais, est un enfant gourmand ; Et, pour rassasier sa faim trop convoiteuse, Je trouve des soupirs une viande creuse

    Auteur : TH. CORN. - Source : l'Amour à la mode, IV, 7


  7. Madame demande le crucifix sur lequel elle avait vu expirer la reine, sa belle-mère, comme pour recueillir les impressions de constance que cette âme vraiment chrétienne y avait laissées avec les derniers soupirs

    Auteur : BOSSUET - Source : Duch. d'Orl.


  8. Hélas ! à quels soupirs suis-je donc condamnée ! Moi qui de mes parents toujours abandonnée, Étrangère partout, n'ai pas, même en naissant, Peut-être reçu d'eux un regard caressant

    Auteur : Jean Racine - Source : Iphig. II, 3


  9. Las ! tu te tais, et aux miennes demandes Tu ne rens point responses reciproques ; Tant seulement aigres soupirs evoques Du coeur profond

    Auteur : MAROT - Source : IV, 48


  10. Ton sexe faible est oublieux des crimes ; Mais, dans ces murs ouverts à tant de peurs, N'entends-tu pas des ombres de victimes Mêler leurs cris à tes soupirs trompeurs ?

    Auteur : BÉRANG. - Source : Octavie.


  11. Le mulet, en se défendant, Se sent percé de coups, il gémit, il soupire

    Auteur : Jean de La Fontaine - Source : Fabl. I, 4


  12. Ah ! qu'un seul des soupirs que mon coeur vous envoie, S'il s'échappait vers elle, y porterait de joie !

    Auteur : Jean Racine - Source : Andr. I, 4


  13. Se plaindre est une honte et soupirer un crime

    Auteur : Corneille - Source : Hor. IV, 4


  14. Seconde mes soupirs, donne force à mes pleurs

    Auteur : Jean Racine - Source : Théb. I, 6


  15. Laisse aller tes soupirs, laisse couler tes larmes

    Auteur : Corneille - Source : Héracl. III, 3


  16. Souvenez-vous de ne rien précipiter, d'animer tout, de mêler des soupirs à votre déclamation, de mettre de grands temps

    Auteur : Voltaire - Source : Lett. Mlle Gaussin, décembre 1730


  17. Eh ! que me veulent dire et ces soupirs poussés Et ces sombres regards que sur moi vous lancez ?

    Auteur : Molière - Source : Mis. IV, 3


  18. Brinon, mon ami, lui dis-je avec un grand soupir, fermez le rideau [du lit], je suis indigne de voir le jour

    Auteur : HAMILT. - Source : Gramm. III


  19. Ainsi [flatteuses voluptés] n'espérez pas qu'après vous je soupire ; Vous étalez en vain vos charmes impuissants

    Auteur : Corneille - Source : Poly. IV, 2


  20. Hélas ! combien de fois la pauvre Chaillot m'a-t-elle prédit que le premier soupir de ton coeur ferait le destin de ta vie !

    Auteur : Jean-Jacques Rousseau - Source : Hél. I, 7


  21. Ce pauvre roi [d'Espagne] qui apprenait la prise de Mons par Louis XIV, et, ignorant que cette ville était à lui, disait en soupirant : voilà une grande perte pour le roi d'Angleterre !

    Auteur : D'ALEMB. - Source : Éloges, l'Abbé de Chois. note 2


  22. Terre, élève ta voix ; cieux, répondez ; abîmes, Noir séjour où la mort entasse ses victimes, Ne formez qu'un soupir

    Auteur : LAMART. - Source : Médit. I, 7


  23. Toi.... qui, d'un même joug souffrant l'oppression, M'aidais à soupirer les malheurs de Sion

    Auteur : Jean Racine - Source : Esth. I, 1


  24. Que l'artisan ne puisse transmettre à ses enfants la cabane qu'il a bâtie et où ils sont nés, le champ qu'il a acquis et payé du produit de son travail, le lit même où ses enfants recueilleront ses derniers soupirs, s'ils n'ont pas vécu avec lui sous le même toit, au même feu et à la même table

    Auteur : Voltaire - Source : Mél. littér. autre lettre d'un bénédictin.


  25. Je soupirais pour vous en combattant pour elle [Albe] ; Et, s'il fallait encor que l'on en vînt aux coups, Je combattrais pour elle en soupirant pour vous

    Auteur : Corneille - Source : Hor. I, 4




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Mise à jour le mercredi 24 septembre 2025 à 17h47










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