La définition de O du dictionnaire français. Signification du mot et son éthymologie - De nombreux exemples d'usage en français ainsi que des citations.
O
Nature : préposition
Prononciation :
Etymologie : O est une altération des formes romanes, ob, od, ab, qui proviennent du latin apud, chez ; apud avait, dans la basse latinité, le sens de avec.
Notre dictionnaire de français vous présente les définitions de o de manière précise, avec des exemples pertinents pour aider à comprendre la signification du mot.
Notre dictionnaire de définitions comprend des informations complémentaires telles que la nature du mot, sa prononciation, des exemples d'expressions, l'étymologie, les synonymes, les homonymes, les antonymes mais également les rimes et anagrammes. Quand la définition du mot s'y prête nous vous proposons des citations littéraires en rapport avec o pour illustrer la compréhension du mot ou préciser le sens et de répondre à la question quelle est la signification de O ?
La définition de O
Ancienne préposition qui signifie avec et qui est encore usitée dans quelques provinces. Viens o moi.
Toutes les définitions de « o »
Dictionnaire de l'Académie française, huitième édition
La quinzième lettre de l'alphabet. Elle représente une des voyelles. Un grand O. Un petit o. Former un o. O est marqué d'un accent circonflexe dans côte. O est ouvert dans bord. O est fermé dans rose. O se combine avec E dans Œuf. O est nasalisé dans bon. O ne se prononce pas dans faon, paon. Ô, avec l'accent circonflexe, est une interjection qui sert à marquer diverses passions, divers mouvements de l'âme, etc. Ô temps! ô mœurs! Ô douleur! ô regret! Ô le malheureux d'avoir fait une si méchante action! Ô le plaisant homme de prétendre que... Il marque aussi le vocatif, l'apostrophe. Ô mon fils! Ô mon Dieu! Les O de Noël, Neuf antiennes qui commencent chacune par la particule latine O et que l'Église chante successivement dans les neuf jours qui précèdent Noël.
Littré
-
1La quinzième lettre de l'alphabet et la quatrième voyelle. Un grand O. Un petit o.
Il est vrai qu'on a fort longtemps prononcé en France l'o simple comme s'il y eût eu un u, comme chouse pour chose, foussé pour fossé, arrouser pour arroser, et ainsi plusieurs autres?; mais, depuis dix ou douze ans, ceux qui parlent bien disent arroser, fossé, chose
, Vaugelas, Rem. t. II, p. 536, dans POUGENS.Comment voulez-vous qu'une nation puisse subsister avec honneur, quand on imprime je croyois, j'octroyois, et qu'on prononce je croyais, j'octroyais?? comment un étranger pourra-t-il deviner que le premier o se prononce comme un o, et le second comme un a??
Voltaire, Disc. Velches, Suppl.L'o bref, celui qui n'est marqué d'aucun signe et qui se prononce comme dans hotte?; l'ô long, celui qui est marqué d'un accent circonflexe et qui se prononce dans hôte.
-
2Dans les chiffres romains, lettre numérale qui signifiait onze.
Avec un tiret dessus, dans cette ferme, O signifiait onze mille.
- 3Sur les anciennes monnaies de France, O indique celles qui ont été frappées à Riom.
- 4Dans l'ancienne musique, signe qui marquait le temps parfait, c'est-à-dire la mesure en trois temps?; la moitié de ce signe, ou un C indiquait le temps imparfait?; cette dernière indication est seule restée en usage.
- 5Dans le calendrier républicain, O marque le 8e jour de la décade, octidi.
-
6O désignait l'alun dans l'ancienne chimie?; OO désignait l'huile.
O désigne maintenant l'oxygène.
- 7En géographie, astronomie et marine, O signifie ouest?; S. O., sud-ouest?; N. O., nord-ouest.
- 8 Terme de commerce. Abréviation du mot ouvert?: C/O, compte ouvert.
- 9Parmi les anciens, la lettre O était le symbole de l'éternité, à cause qu'elle figure un cercle qui n'a pas de fin.
-
10Se dit d'une ouverture ronde. Ainsi on appelle quelquefois O l'ouverture faite à la nef d'une église pour communiquer avec les combles.
Il se dit plus fréquemment de la rose ou fenêtre circulaire qui se trouve au-dessus du portail des anciennes églises.
- 11L'O du Giotto, se dit d'une figure parfaitement ronde, tracée, dit-on, par le Giotto d'un seul coup de pinceau, pour donner au pape Benoît IX une preuve de son habileté?; c'est le pendant de l'histoire d'Apelle et de Protogène.
HISTORIQUE
XIIIe s. O est roons comme li mons [le monde]?; O est maniere d'arester, D'estanchier et de coi ester, Etde mal faire cesser rueve [demande]?; Lceste lettre bien le prueve, Senefiance de l'A B C
, Jubinal, t. II, p. 282.
Encyclopédie, 1re édition
, S. m. (Gram.) c'est la quinzieme lettre, &
la quatrieme voyelle de l'alphabet françois.
Ce caractere a été long-tems le seul
dont les Grecs fissent usage pour représenter
le même son, & ils l'appelloient du nom même
de ce son. Dans la suite on introduisit un second
caractere ?, afin d'exprimer par l'ancien l'o bref, &
par le nouveau, l'o long : l'ancienne lettre ? ou ?,
fut alors nommée ???????, o parvum ; & la nouvelle,
? ou ?, fut appellée ?????, O magnum.
Notre prononciation distingue également un o long & un o bref ; & nous prononçons diversement un hôte (hospes), & une hotte (sporta dossuaria) ; une côte (costa), & une cotte (habillement de femme) ; il saute (saltat), & une sotte (stulta) ; beauté (pulchritudo), & botté (ocreatus), &c. Cependant nous n'avons pas introduit deux caracteres pour désigner ces deux diverses prononciations du même son. Il nous faudroit doubler toutes nos voyelles, puisqu'elles sont toutes ou longues ou breves : a est long dans cadre, & bref dans ladre ; e est long dans tête, & bref dans il tette ; i est long dans gîte, & bref dans quitte ; u est long dans flûte, & bref dans culbute ; eu est long dans deux, bref dans feu, & plus bref encore dans me, te, de, & dans les syllabes extrèmes de fenêtre ; ou est long dans croûte, & bref dans déroute.
Je crois, comme je l'ai insinué ailleurs (voyez Lettres), que la multiplication des lettres pour désigner les différences prosodiques des sons n'est pas sans quelques inconvéniens. Le principal seroit d'induire à croire que ce n'est pas le même son qui est représenté par les deux lettres, parce qu'il est naturel de conclure que les choses signifiées sont entre elles comme les signes : de-là une plus grande obscurité sur les traces étymologiques des mots ; le primitif & le dérivé pourroient être écrits avec des lettres différentes, parce que le méchanisme des organes exige souvent que l'on change la quantité du radical dans le dérivé.
Ce n'est pas au reste que je ne loue les Grecs d'avoir voulu peindre exactement la prononciation dans leur orthographe : mais je pense que les modifications accessoires des sons doivent plutôt être indiquées par des notes particulieres ; parce que l'ensemble est mieux analysé, & conséquemment plus clair ; & que la même note peut s'adapter à toutes les voyelles, ce qui va à la diminution des caracteres & à la facilité de la lecture.
L'affinité méchanique du son o avec tous les autres, fait qu'il est commuable avec tous, mais plus ou moins, selon le degré d'affinité qui résulte de la disposition organique : ainsi o a plus d'affinité avec eu, u, & ou, qu'avec a, ê, é, i ; parce que les quatre premieres voyelles sont en quelque sorte labiales, puisque le son en est modifié par une disposition particuliere des levres ; au lieu que les quatre autres sont comme linguales, parce qu'elles sont différentiées entre elles par une disposition particuliere de la langue, les levres étant dans le même état pour chacune d'elles : l'abbé de Dangeau, opusc. pag. 62. avoit insinué cette distinction entre les voyelles.
Voici des exemples de permutations entre les voyelles labiales, & la voyelle o.
O changé en eu : de mola vient meule ; de novus, neuf ; de soror, s?ur qui se prononce seur ; de populus, peuple ; de cor, c?ur.
O changé en u : c'est ainsi que l'on a dérivé humanus & humanitas de homo ; cuisse de coxa ; cuir de corium ; cuit de coctus ; que les Latins ont changé en us la plûpart des terminaisons des noms grecs en ?? ; qu'ils ont dit, au rapport de Quintilien & de Priscien, huminem pour hominem, frundes pour frondes, &c.
Au contraire u changé en o : c'est par cette métamorphose que nous avons tombeau de tumulus, combles de culmen, nombre de numerus ; que les Latins ont dit Hecoba pour Hecuba, colpa pour culpa ; que les Italiens disent indifféremment fosse ou fusse, facoltà ou facultà, popolo ou populo.
O changé en ou : ainsi mouvoir vient de movere, moulin de moletrina, pourceau de porcus, glousser de glocio, mourir de mori, &c.
Les permutations de l'o avec les voyelles linguales sont moins fréquentes ; mais elles sont possibles, parce que, comme je l'ai déja remarqué d'après M. le président de Brosses (art. Lettres), il n'y a proprement qu'un son diversement modifié par les diverses longueurs ou les divers diametres du tuyau : & l'on en trouve en effet quelques exemples. O est changé en a dans dame, dérivé de domina : en e dans adversùs, au lieu de quoi les anciens disoient advorsùs, comme on le trouve encore dans Térence ; en i dans imber, dérivé du grec ??????.
Nous représentons souvent le son o par la diphtongue oculaire au, comme dans aune, baudrier, cause, dauphin, fausseté, gaule, haut, jaune, laurier, maur, naufrage, pauvre, rauque, sauteur, taupe, vautour : d'autres fois nous représentons o par eau, comme dans eau, tombeau, cerceau, cadeau, chameau, fourneau, troupeau, fuseau, gâteau, veau. Cette irrégularité orthographique ne nous est pas propre : les Grecs ont dit ???? & ?????, sulcus (sillon) ; ????? & ??????, vulnus, (blessure) : & les Latins écrivoient indifféremment cauda & coda (queue) ; plaustrum & plostrum (char) ; lautum & lotum au supin du verbe lavare (laver).
La lettre o est quelquefois pseudonyme, en ce qu'elle est le signe d'un autre son que de celui pour lequel elle est instituée ; ce qui arrive par-tout où elle est prépositive dans une diphtongue réelle & auriculaire : elle représente alors le son ou ; comme dans bésoard, bois, soin, que l'on prononce en effet bésouard, bouas, souèn.
Elle est quelquefois auxiliaire, comme quand on l'associe avec la voyelle u pour représenter le son ou qui n'a pas de caractere propre en françois ; comme dans bouton, courage, douceur, foudre, goutte, houblon, jour, louange, moutarde, nous, poule, souper, tour, vous. Les Allemands, les Italiens, les Espagnols, & presque toutes les nations, représentent le son ou par la voyelle u, & ne connoissent pas le son u, ou le marquent par quelqu'autre caractere.
O est encore auxiliaire dans la diphtongue apparente oi, quand elle se prononce é ou è ; ce qui est moins raisonnable que dans le cas précédent, puisque ces sons ont d'autres caracteres propres. Or oi vaut ê : 1°. dans quelques adjectifs nationnaux, anglois, françois, bourbonnois, &c : 2°. aux premieres & secondes personnes du singulier, & aux troisiemes du pluriel, du présent antérieur simple de l'indicatif, & du présent du suppositif ; comme je lisois, tu lisois, ils lisoient ; je lirois, tu lirois, ils liroient : 3°. dans monnoie, & dans les dérivés des verbes connoître & paroître où l'oi radical fait la derniere syllabe, ou bien la pénultieme avec un e muet à la derniere ; comme je connois, tu reconnois, il reconnoît ; je comparois, tu disparois, il reparoît ; connoître, méconnoître, que je reconnoisse : comparoître, que je disparoisse, que tu reparoisses, qu'ils apparoissent. Oi vaut è : 1°. dans les troisiemes personnes singulieres du présent antérieur simple de l'indicatif, & du présent du suppositif ; comme il lisoit, il liroit : 2°. dans les dérivés des verbes connoître & paroître où l'oi radical est suivi d'une syllabe qui n'a point d'e muet ; comme connoisseur, reconnoissance, je méconnoitrai ; vous comparoitrez, nous reparoitrions, disparoissant.
La lettre o est quelquefois muette : 1°. dans les trois mots paon, faon, Laon (ville), que l'on prononce pan, fan, Lan ; & dans les dérivés, comme paonneau (petit paon) qui differe ainsi de panneau (terme de Menuiserie), laonnois (qui est de la ville ou du pays de Laon) : 2°. dans les sept mots ?uf, b?uf, m?uf, ch?ur, c?ur, m?urs & s?ur, que l'on prononce euf, beuf, meuf, keur, keur, meurs & seur : 3°. dans les trois mots ?il, ?illet & ?illade, soit que l'on prononce par è comme à la fin de soleil, ou par eu comme à la fin de cercueil. On écrit aujourd'hui économe, économie, écuménique, sans o ; & le nom ?dippe est étranger dans notre langue.
O' apostrophé devant les noms de famille, est en Irlande un signe de grande distinction, & il n'y a en effet que les maisons les plus qualifiées qui le prennent : o'Briem, o'Carrol, o'Cannor, o'Néal.
En termes de Marine, O veut dire ouest ; S. O. sud-ouest ; S. S. O. sud-sud-ouest ; O. S. O. ouest-sud-ouest. Voyez N & Rhumb.
Sur nos monnoies, la lettre o désigne celles qui sont fabriquées à Riom.
Chez les anciens, c'étoit une lettre numérale qui valoit 11 ; & surmontée d'une barre, O valoit 11000, selon la regle ordinaire :
O numerum gestat qui nunc undecimus extat.
(B. E. R. M.)
O, s. m. (Théol.) nom qu'on a donné aux sept ou neuf antiennes qu'on chante dans l'Avent pendant sept ou neuf jours auparavant la fête de Noël, & qui précedent le cantique Magnificat. On les appelle encore ainsi parce que chacune d'elles commence par cette exclamation : comme O rex gentium. O Emmanuel, &c. Voyez Antienne.
O, o, o, (Ecriture.) considéré dans sa forme, c'est une ligne courbe continue, dont tous les points supérieurs & inférieurs sont plus éloignés du centre que ceux des flancs ; elle est presque racine de toutes les mineures ; elle se forme sans interruption du mouvement mixte des doigts & du poignet : dans l'italienne les angles de l'o sont beaucoup plus obtus que ceux de l'o coulé ; ce qui fait que celui-ci est moins ouvert que celui-là. A l'égard de l'o rond, il est ainsi appellé, parce qu'il approche du cercle, que ses points supérieurs & inférieurs sont à un point près aussi proche du centre que ceux des flancs. Voyez le volume des Planches à la table de l'Ecriture des figures radicales mineures.
O, (Comm.) dans les livres des marchands, banquiers, ou négocians, joint à quelques autres lettres, marque différentes abréviations : ainsi C. O. est l'abbréviation de compte ouvert ; O N C. ou O N. signifient onces. Dictionn. de Comm. (G)
O, majuscule (Musique.) qui est proprement un cercle, ou double C, est dans nos musiques anciennes ; la marque de ce qu'ils appelloient tems parfait, c'est-à-dire, de la mesure triple ou à trois, à la différence du tems imparfait ou de la mesure double, qu'ils marquoient par un C simple, ou par un O tronqué à droite ou à gauche C, ou ?
Le tems parfait se marquoit par un O simple, ou
pointé en-dedans, ou barré.
Voyez Tems.
(S)
Wiktionnaire
Préposition - ancien français
o \Prononciation ?\
- Variante de od (« avec »).
Pronom - ancien français
o \Prononciation ?\
-
Cela.
- in o quid il mi altresi fazet ? (Serments de Strasbourg)
-
« di nos, prophete, chi t'o fedre ? » ? (Passion du Christ de Clermont, édition de G. Paris)
- « dis nous, prophète, qui te fit cela ? »
Trésor de la Langue Française informatisé
O, o, lettre
La quinzième lettre de l'alphabet; un spécimen de cette lettre. La gamme implacable a e i o u (Gourmont,Esthét. lang. fr., 1899, p.129).Ils mangent et, après un moment de silence, Z demande à Y ce qu'est devenu un autre de leurs amis: ?Et O? ?Pets! Cure, air: aise... [P, Q, R, S] (P. Couratin, G.Kolebka, Au restaurant, Histoire de parler la bouche pleine ds Okapi, 1erjanv. 1983, no267, p.25):O, o, lettre
La quinzième lettre de l'alphabet; un spécimen de cette lettre. La gamme implacable a e i o u (Gourmont,Esthét. lang. fr., 1899, p.129).Ils mangent et, après un moment de silence, Z demande à Y ce qu'est devenu un autre de leurs amis: ?Et O? ?Pets! Cure, air: aise... [P, Q, R, S] (P. Couratin, G.Kolebka, Au restaurant, Histoire de parler la bouche pleine ds Okapi, 1erjanv. 1983, no267, p.25):O au Scrabble
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Les mots proches de O
O O O Ô Oasis Obédience Obédientiel, elle Obéi, ie Obéir Obéissamment Obéissance Obéissant, ante Obélisque Obéré, ée Obérer Obier Obit Objecter Objecteur Objectif, ive Objection Objectionnable Objectivation Objectivement Objet Objurgation Oblat Oblation Obligation Obligatoire Obligé, ée Obligeamment Obligeance Obligeant, ante, Obliger Oblique Obliquement Obliquité Oblitéré, ée Oblitérer Oblivieux, euse Oblong, ongue Obnoxiation Obole Obombration Obombrer Obreptice Obreption Obscène Obscénité o o ô oaristys oasis ob Obaix obédience obédiences obéi obéie obéîmes obéir obéira obéirai obéiraient obéirais obéirait obéiras obéirent obéirez obéiriez obéirons obéiront obéis obéissaient obéissais obéissait obéissance obéissant obéissant obéissante obéissantes obéissants obéisse obéissent obéisses obéissez obéissiez obéissions obéissons obéit obélisque obélisques Obenheim obérant Oberbronn Oberbruck Oberdorf Oberdorf-SpachbachMots du jour
Hydrothérapeutique ou hydrothé Volksting Avenamment Négrillon, onne Courroux Falsifiable Ocellure Besant Coupé, ée Épancher
Les citations avec le mot O
- Celui qui se sent prédestiné à la contemplation, et non pas à la foi, trouve tout les croyants bruyants et importuns : il les évite.Auteur : Friedrich Wilhelm Nietzsche - Source : Par-delà le bien et le mal (1886)
- Quand la tragédie vous frappe, quelque chose se passe à l’intérieur de vous. Soit vous êtes totalement détruit, soit vous vous murez dans un autre monde. Un endroit où personne ne vous fera souffrir. Auteur : Patrick Bauwen - Source : Seul à savoir (2010)
- Vous êtes issue du seul miroitement de ce qui fut assez tard pour moi l'aboutissement de la poésie à laquelle je m'étais voué dans ma jeunesse, de la poesie que j'ai continué à servir, au mépris de tout ce qui n'est pas elle.Auteur : André Breton - Source : L'Amour fou (1937)
- Il n'y a que deux grands courants dans l'histoire de l'humanité: la bassesse qui fait les conservateurs et l'envie qui fait les révolutionnaires.Auteur : Les frères Goncourt - Source : Journal tome 2, 12 juillet 1867
- Il fut l'un des principaux instruments de moyenner, que les Romains et les Sabins se conjoignissent en un mesme peuple.Auteur : Jacques Amyot - Source : Publicola, 1
- A force de me planter je vais bien finir par pousser.Auteur : Grégoire Lacroix - Source : Les euphorismes de Grégoire (2007)
- Nul ne sait mieux que lui soigner un cheval, désenfler d'un coup de trocart la bête bourrée de trèfle frais.Auteur : Georges Bernanos - Source : Monsieur Ouine (1943)
- Nous ne pensons qu'à l'argent. Celui qui en a pense au sien, celui qui n'en a pas pense à celui des autres.Auteur : Sacha Guitry - Source : Sans référence
- Mais qui donc a créé Dieu?Auteur : Anonyme - Source : Écrit anonyme
- Gardez-vous, dira l'un, de cet esprit critique
On ne sait bien souvent quelle mouche le pique.Auteur : Nicolas Boileau-Despréaux - Source : Satires (1660-1711) - J'ai besoin de quelques petits diamants qui en ornent la boîte; je l'ai prise pour les envoyer démonter à Paris.Auteur : Pierre Carlet de Chamblain de Marivaux - Source : La Surprise de l'amour
- Si deux êtres qui s'aiment laissent une seule minute se loger entre eux, elle devient des mois, des années, des siècles.Auteur : Jean Giraudoux - Source : La Folle de Chaillot (1945)
- La tempérance - comme la prudence, et comme toutes les vertus peut-être - relève donc de l'art de jouir: c'est un travail du désir sur lui-même, du vivant sur lui-même. Elle ne vise pas à dépasser nos limites, mais à les respecter.Auteur : André Comte-Sponville - Source : Petit traité des grandes vertus (1995)
- Il découvre enfin quelques choses à la hauteur de la rage qui bat en lui : le monde radical des hackers, dernier repaire de pirates. Le XXIeme siècle s'invente là, dans cet espace sans limites. Auteur : Pierre Ducrozet - Source : L'invention des corps (2017)
- Il n'y avait dans Blanqui rien du peuple, tout de la populace. Avec cela lettré, presque érudit.Auteur : Victor Hugo - Source : Choses vues (1887-1900)
- Il n'y a qu'un premier dépit en amour, comme la première faute dans l'amitié, dont on puisse faire un bon usage.Auteur : Jean de La Bruyère - Source : Les Caractères (1696), 28, I, Du coeur
- L'homme atteint de cataracte
Croit voir des mouches volantes
Pareilles à ces mouches, toutes choses
Sont des fictions conçues par des sots.Auteur : Bouddha - Source : Sutra de l'entrée dans lanka - J'appelle vice une disposition habituelle à ce que le nombre considère comme anormal et mauvais ; c'est-à-dire la morale individuelle, la vertu individuelle, la beauté, la puissance, le génie.Auteur : Anatole France - Source : Les Sept Femmes de Barbe bleue et autres contes merveilleux (1909)
- Le touriste est un vagabond qui a de l'argent.Auteur : Michel Chrestien - Source : Sans référence
- Le poison est destiné à ma femme... Quant au pourquoi, 10 ans de vie commune vous aident à prendre de telles décisions...Auteur : Christophe Chabouté - Source : Sorcières (1998)
- La France est souvent trompée mais comme une femme l'est, par des idées généreuses, par des sentiments chaleureux dont la portée échappe d'abord au calcul.Auteur : Honoré de Balzac - Source : Histoire des Treize, La Duchesse de Langeais (1834)
- Il y a un emprunt direct quand Hugo décide de transplanter sur la scène française le drame shakespearien; indirect quand des épigones de Hugo reprennent la formule. Plus on s'éloigne du premier emprunteur, moins l'emprunt est vérifiable.Auteur : Marius-François Guyard - Source : La Littérature comparée (1951)
- Il en est, pour les races humaines, de même que pour les animaux que leur instinct pousse à vivre en société; ils sont plus propres au progrès s'ils obéissent à un chef.Auteur : Charles Robert Darwin - Source : Voyage d'un naturaliste autour du monde (1875)
- Je suis un gaucher contrariant. C'est plus fort que moi. Il faut que j'emmerde les droitiers.Auteur : Pierre Desproges - Source : Textes de scènes (1988)
- C'est avec les pacifistes qu'on fait les meilleurs collabos.Auteur : Maurice Georges Dantec - Source : American Black Box. Le Théâtre des opérations 3 (2006)
Les citations du Littré sur O
- Les hommes de bien et vertueux de cette avant-garde se tindrent ensembleAuteur : COMM. - Source : II, 10
- Il y a tel homme dont la simple signature, mise au bas d'une pancarte mal écrite, fait plus de mal à une province que tous les livres des philosophes n'en pourront jamais causerAuteur : Voltaire - Source : Lett. Thiriot, 18 oct. 1758
- Le pilore ou orifice inferieur de l'estomachAuteur : PARÉ - Source : XX, 23
- La destruction de Carthage était le refrain de tous les discours de Caton au sénatAuteur : D'ALEMB. - Source : Lett. à Voltaire, 8 sept. 1762
- Une très grande partie des bénéficescures était à la disposition des patrons ou collateurs laïcs, et ces laïcs en disposaientAuteur : MIRABEAU - Source : Collection, t. V, p. 290
- Il ne vous reste que le déplaisir de sa perte et la mémoire de ses vertusAuteur : FLÉCH. - Source : Mme de Mont.
- L'oeuvre de Dieu a été suivie, et ce qu'il avait commencé par les humiliations de Jésus-Christ, il l'a consommé par les humiliations de ses disciplesAuteur : BOSSUET - Source : Hist. II, 11
- On y fait si bonne chère qu'on veutAuteur : HAMILT. - Source : Gramm. 10
- C'est maulvays signe qu'il vomyt ou gomyt ainsyAuteur : PALSGR. - Source : p. 652
- Des marcassites quarrées naturellement, formées à quatre quarres, ou faces polies et egales en grandeurAuteur : PALISSY - Source : 282
- Plus de la moitié de ma vie est écoulée ; je n'ai plus que le temps qu'il faut pour en mettre à profit le reste, et pour effacer mes erreurs par mes vertusAuteur : Jean-Jacques Rousseau - Source : Ém. IV
- Il [Voltaire] badinait sur le théâtre, et s'avisa de porter la queue du grand prêtre dans une scène [d'Oedipe] où ce même grand prêtre faisait un effet tragiqueAuteur : Voltaire - Source : Comm. Oeuv. aut. Henr.
- Il ne rougit pas de leur raconter quand et de quelle manière il a tiré cet homme des ennemis, et l'a apporté dans sa tenteAuteur : LA BRUY. - Source : Théophr. XXV
- Rapprochez les partis ; unissez-vous à moi Pour calmer votre frère, et fléchir votre roiAuteur : Voltaire - Source : Adél. du Guesclin. III, 5
- Aussi ne fut-ce que par occasion que les Juifs négocièrent dans la mer RougeAuteur : Montesquieu - Source : Espr. XXI, 6
- On avait fait un adverbe, endiablement : Ils combattirent plus endiablement pour venger sa mortAuteur : BRANT. - Source : Cap. estr. t. I, p. 212, dans LACURNE
- Pauvres enfants [Auvergnats] qui dévalent bien tristes de leurs montagnesAuteur : Chateaubriand - Source : Clermont, 122
- Assés est ajornés qui se part de cort pour continuation de jorAuteur : BEAUMANOIR - Source : XXX, 33
- Je me doubte que ne croyez asseurement ceste estrange nativetéAuteur : François Rabelais - Source : Garg. I, 6
- Nous avons ici notre maître Guénaut fort malade d'une rétention d'urine, qui ne lui est venue que d'avoir fait la débauche et d'avoir bu du vin d'Espagne qui lui a picoté la vessieAuteur : GUI PATIN - Source : Lettres, t. II, p. 344
- La forme la plus ancienne de la résistance locale des patrons, c'est le lock-out collectif ; les patrons répondent à la grève partielle par la suspension générale du travailAuteur : H. DENIS - Source : la Philos. positive, 1er mai 1872, p. 389
- Les sots jugements et les folles opinions du vulgaire ne rendront point malheureux un homme qui a appris à supporter des malheurs réels ; et qui méprise les grands peut bien mépriser les sotsAuteur : Voltaire - Source : ib. 4 août 1728
- Bérénice a longtemps balancé la victoireAuteur : Jean Racine - Source : Bér. II, 2
- Elle espéra que Léonce retrouverait à la guerre un genre d'intérêt qui pourrait le rattacher à la vieAuteur : STAËL - Source : Delph. 5e part. conclusion.
- L'incrédule, qui a secoué le joug de la foi, se désaccoutume bientôt du joug de l'obéissanceAuteur : MASS. - Source : Or. fun. Dauphin.
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Mise à jour le samedi 8 novembre 2025 à 15h07

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