La définition de O du dictionnaire français. Signification du mot et son éthymologie - De nombreux exemples d'usage en français ainsi que des citations.
O
Nature : s. m.
Prononciation :
Etymologie : O, zéro.
Notre dictionnaire de français vous présente les définitions de o de manière précise, avec des exemples pertinents pour aider à comprendre la signification du mot.
Notre dictionnaire de définitions comprend des informations complémentaires telles que la nature du mot, sa prononciation, des exemples d'expressions, l'étymologie, les synonymes, les homonymes, les antonymes mais également les rimes et anagrammes. Quand la définition du mot s'y prête nous vous proposons des citations littéraires en rapport avec o pour illustrer la compréhension du mot ou préciser le sens et de répondre à la question quelle est la signification de O ?
La définition de O
Caractère ou figure numérique qu'on appelle zéro. Il faut deux 0 [zéro] après 5 pour faire cinq cents.
Toutes les définitions de « o »
Dictionnaire de l'Académie française, huitième édition
La quinzième lettre de l'alphabet. Elle représente une des voyelles. Un grand O. Un petit o. Former un o. O est marqué d'un accent circonflexe dans côte. O est ouvert dans bord. O est fermé dans rose. O se combine avec E dans Œuf. O est nasalisé dans bon. O ne se prononce pas dans faon, paon. Ô, avec l'accent circonflexe, est une interjection qui sert à marquer diverses passions, divers mouvements de l'âme, etc. Ô temps! ô mœurs! Ô douleur! ô regret! Ô le malheureux d'avoir fait une si méchante action! Ô le plaisant homme de prétendre que... Il marque aussi le vocatif, l'apostrophe. Ô mon fils! Ô mon Dieu! Les O de Noël, Neuf antiennes qui commencent chacune par la particule latine O et que l'Église chante successivement dans les neuf jours qui précèdent Noël.
Littré
-
1La quinzième lettre de l'alphabet et la quatrième voyelle. Un grand O. Un petit o.
Il est vrai qu'on a fort longtemps prononcé en France l'o simple comme s'il y eût eu un u, comme chouse pour chose, foussé pour fossé, arrouser pour arroser, et ainsi plusieurs autres?; mais, depuis dix ou douze ans, ceux qui parlent bien disent arroser, fossé, chose
, Vaugelas, Rem. t. II, p. 536, dans POUGENS.Comment voulez-vous qu'une nation puisse subsister avec honneur, quand on imprime je croyois, j'octroyois, et qu'on prononce je croyais, j'octroyais?? comment un étranger pourra-t-il deviner que le premier o se prononce comme un o, et le second comme un a??
Voltaire, Disc. Velches, Suppl.L'o bref, celui qui n'est marqué d'aucun signe et qui se prononce comme dans hotte?; l'ô long, celui qui est marqué d'un accent circonflexe et qui se prononce dans hôte.
-
2Dans les chiffres romains, lettre numérale qui signifiait onze.
Avec un tiret dessus, dans cette ferme, O signifiait onze mille.
- 3Sur les anciennes monnaies de France, O indique celles qui ont été frappées à Riom.
- 4Dans l'ancienne musique, signe qui marquait le temps parfait, c'est-à-dire la mesure en trois temps?; la moitié de ce signe, ou un C indiquait le temps imparfait?; cette dernière indication est seule restée en usage.
- 5Dans le calendrier républicain, O marque le 8e jour de la décade, octidi.
-
6O désignait l'alun dans l'ancienne chimie?; OO désignait l'huile.
O désigne maintenant l'oxygène.
- 7En géographie, astronomie et marine, O signifie ouest?; S. O., sud-ouest?; N. O., nord-ouest.
- 8 Terme de commerce. Abréviation du mot ouvert?: C/O, compte ouvert.
- 9Parmi les anciens, la lettre O était le symbole de l'éternité, à cause qu'elle figure un cercle qui n'a pas de fin.
-
10Se dit d'une ouverture ronde. Ainsi on appelle quelquefois O l'ouverture faite à la nef d'une église pour communiquer avec les combles.
Il se dit plus fréquemment de la rose ou fenêtre circulaire qui se trouve au-dessus du portail des anciennes églises.
- 11L'O du Giotto, se dit d'une figure parfaitement ronde, tracée, dit-on, par le Giotto d'un seul coup de pinceau, pour donner au pape Benoît IX une preuve de son habileté?; c'est le pendant de l'histoire d'Apelle et de Protogène.
HISTORIQUE
XIIIe s. O est roons comme li mons [le monde]?; O est maniere d'arester, D'estanchier et de coi ester, Etde mal faire cesser rueve [demande]?; Lceste lettre bien le prueve, Senefiance de l'A B C
, Jubinal, t. II, p. 282.
Encyclopédie, 1re édition
, S. m. (Gram.) c'est la quinzieme lettre, &
la quatrieme voyelle de l'alphabet françois.
Ce caractere a été long-tems le seul
dont les Grecs fissent usage pour représenter
le même son, & ils l'appelloient du nom même
de ce son. Dans la suite on introduisit un second
caractere ?, afin d'exprimer par l'ancien l'o bref, &
par le nouveau, l'o long : l'ancienne lettre ? ou ?,
fut alors nommée ???????, o parvum ; & la nouvelle,
? ou ?, fut appellée ?????, O magnum.
Notre prononciation distingue également un o long & un o bref ; & nous prononçons diversement un hôte (hospes), & une hotte (sporta dossuaria) ; une côte (costa), & une cotte (habillement de femme) ; il saute (saltat), & une sotte (stulta) ; beauté (pulchritudo), & botté (ocreatus), &c. Cependant nous n'avons pas introduit deux caracteres pour désigner ces deux diverses prononciations du même son. Il nous faudroit doubler toutes nos voyelles, puisqu'elles sont toutes ou longues ou breves : a est long dans cadre, & bref dans ladre ; e est long dans tête, & bref dans il tette ; i est long dans gîte, & bref dans quitte ; u est long dans flûte, & bref dans culbute ; eu est long dans deux, bref dans feu, & plus bref encore dans me, te, de, & dans les syllabes extrèmes de fenêtre ; ou est long dans croûte, & bref dans déroute.
Je crois, comme je l'ai insinué ailleurs (voyez Lettres), que la multiplication des lettres pour désigner les différences prosodiques des sons n'est pas sans quelques inconvéniens. Le principal seroit d'induire à croire que ce n'est pas le même son qui est représenté par les deux lettres, parce qu'il est naturel de conclure que les choses signifiées sont entre elles comme les signes : de-là une plus grande obscurité sur les traces étymologiques des mots ; le primitif & le dérivé pourroient être écrits avec des lettres différentes, parce que le méchanisme des organes exige souvent que l'on change la quantité du radical dans le dérivé.
Ce n'est pas au reste que je ne loue les Grecs d'avoir voulu peindre exactement la prononciation dans leur orthographe : mais je pense que les modifications accessoires des sons doivent plutôt être indiquées par des notes particulieres ; parce que l'ensemble est mieux analysé, & conséquemment plus clair ; & que la même note peut s'adapter à toutes les voyelles, ce qui va à la diminution des caracteres & à la facilité de la lecture.
L'affinité méchanique du son o avec tous les autres, fait qu'il est commuable avec tous, mais plus ou moins, selon le degré d'affinité qui résulte de la disposition organique : ainsi o a plus d'affinité avec eu, u, & ou, qu'avec a, ê, é, i ; parce que les quatre premieres voyelles sont en quelque sorte labiales, puisque le son en est modifié par une disposition particuliere des levres ; au lieu que les quatre autres sont comme linguales, parce qu'elles sont différentiées entre elles par une disposition particuliere de la langue, les levres étant dans le même état pour chacune d'elles : l'abbé de Dangeau, opusc. pag. 62. avoit insinué cette distinction entre les voyelles.
Voici des exemples de permutations entre les voyelles labiales, & la voyelle o.
O changé en eu : de mola vient meule ; de novus, neuf ; de soror, s?ur qui se prononce seur ; de populus, peuple ; de cor, c?ur.
O changé en u : c'est ainsi que l'on a dérivé humanus & humanitas de homo ; cuisse de coxa ; cuir de corium ; cuit de coctus ; que les Latins ont changé en us la plûpart des terminaisons des noms grecs en ?? ; qu'ils ont dit, au rapport de Quintilien & de Priscien, huminem pour hominem, frundes pour frondes, &c.
Au contraire u changé en o : c'est par cette métamorphose que nous avons tombeau de tumulus, combles de culmen, nombre de numerus ; que les Latins ont dit Hecoba pour Hecuba, colpa pour culpa ; que les Italiens disent indifféremment fosse ou fusse, facoltà ou facultà, popolo ou populo.
O changé en ou : ainsi mouvoir vient de movere, moulin de moletrina, pourceau de porcus, glousser de glocio, mourir de mori, &c.
Les permutations de l'o avec les voyelles linguales sont moins fréquentes ; mais elles sont possibles, parce que, comme je l'ai déja remarqué d'après M. le président de Brosses (art. Lettres), il n'y a proprement qu'un son diversement modifié par les diverses longueurs ou les divers diametres du tuyau : & l'on en trouve en effet quelques exemples. O est changé en a dans dame, dérivé de domina : en e dans adversùs, au lieu de quoi les anciens disoient advorsùs, comme on le trouve encore dans Térence ; en i dans imber, dérivé du grec ??????.
Nous représentons souvent le son o par la diphtongue oculaire au, comme dans aune, baudrier, cause, dauphin, fausseté, gaule, haut, jaune, laurier, maur, naufrage, pauvre, rauque, sauteur, taupe, vautour : d'autres fois nous représentons o par eau, comme dans eau, tombeau, cerceau, cadeau, chameau, fourneau, troupeau, fuseau, gâteau, veau. Cette irrégularité orthographique ne nous est pas propre : les Grecs ont dit ???? & ?????, sulcus (sillon) ; ????? & ??????, vulnus, (blessure) : & les Latins écrivoient indifféremment cauda & coda (queue) ; plaustrum & plostrum (char) ; lautum & lotum au supin du verbe lavare (laver).
La lettre o est quelquefois pseudonyme, en ce qu'elle est le signe d'un autre son que de celui pour lequel elle est instituée ; ce qui arrive par-tout où elle est prépositive dans une diphtongue réelle & auriculaire : elle représente alors le son ou ; comme dans bésoard, bois, soin, que l'on prononce en effet bésouard, bouas, souèn.
Elle est quelquefois auxiliaire, comme quand on l'associe avec la voyelle u pour représenter le son ou qui n'a pas de caractere propre en françois ; comme dans bouton, courage, douceur, foudre, goutte, houblon, jour, louange, moutarde, nous, poule, souper, tour, vous. Les Allemands, les Italiens, les Espagnols, & presque toutes les nations, représentent le son ou par la voyelle u, & ne connoissent pas le son u, ou le marquent par quelqu'autre caractere.
O est encore auxiliaire dans la diphtongue apparente oi, quand elle se prononce é ou è ; ce qui est moins raisonnable que dans le cas précédent, puisque ces sons ont d'autres caracteres propres. Or oi vaut ê : 1°. dans quelques adjectifs nationnaux, anglois, françois, bourbonnois, &c : 2°. aux premieres & secondes personnes du singulier, & aux troisiemes du pluriel, du présent antérieur simple de l'indicatif, & du présent du suppositif ; comme je lisois, tu lisois, ils lisoient ; je lirois, tu lirois, ils liroient : 3°. dans monnoie, & dans les dérivés des verbes connoître & paroître où l'oi radical fait la derniere syllabe, ou bien la pénultieme avec un e muet à la derniere ; comme je connois, tu reconnois, il reconnoît ; je comparois, tu disparois, il reparoît ; connoître, méconnoître, que je reconnoisse : comparoître, que je disparoisse, que tu reparoisses, qu'ils apparoissent. Oi vaut è : 1°. dans les troisiemes personnes singulieres du présent antérieur simple de l'indicatif, & du présent du suppositif ; comme il lisoit, il liroit : 2°. dans les dérivés des verbes connoître & paroître où l'oi radical est suivi d'une syllabe qui n'a point d'e muet ; comme connoisseur, reconnoissance, je méconnoitrai ; vous comparoitrez, nous reparoitrions, disparoissant.
La lettre o est quelquefois muette : 1°. dans les trois mots paon, faon, Laon (ville), que l'on prononce pan, fan, Lan ; & dans les dérivés, comme paonneau (petit paon) qui differe ainsi de panneau (terme de Menuiserie), laonnois (qui est de la ville ou du pays de Laon) : 2°. dans les sept mots ?uf, b?uf, m?uf, ch?ur, c?ur, m?urs & s?ur, que l'on prononce euf, beuf, meuf, keur, keur, meurs & seur : 3°. dans les trois mots ?il, ?illet & ?illade, soit que l'on prononce par è comme à la fin de soleil, ou par eu comme à la fin de cercueil. On écrit aujourd'hui économe, économie, écuménique, sans o ; & le nom ?dippe est étranger dans notre langue.
O' apostrophé devant les noms de famille, est en Irlande un signe de grande distinction, & il n'y a en effet que les maisons les plus qualifiées qui le prennent : o'Briem, o'Carrol, o'Cannor, o'Néal.
En termes de Marine, O veut dire ouest ; S. O. sud-ouest ; S. S. O. sud-sud-ouest ; O. S. O. ouest-sud-ouest. Voyez N & Rhumb.
Sur nos monnoies, la lettre o désigne celles qui sont fabriquées à Riom.
Chez les anciens, c'étoit une lettre numérale qui valoit 11 ; & surmontée d'une barre, O valoit 11000, selon la regle ordinaire :
O numerum gestat qui nunc undecimus extat.
(B. E. R. M.)
O, s. m. (Théol.) nom qu'on a donné aux sept ou neuf antiennes qu'on chante dans l'Avent pendant sept ou neuf jours auparavant la fête de Noël, & qui précedent le cantique Magnificat. On les appelle encore ainsi parce que chacune d'elles commence par cette exclamation : comme O rex gentium. O Emmanuel, &c. Voyez Antienne.
O, o, o, (Ecriture.) considéré dans sa forme, c'est une ligne courbe continue, dont tous les points supérieurs & inférieurs sont plus éloignés du centre que ceux des flancs ; elle est presque racine de toutes les mineures ; elle se forme sans interruption du mouvement mixte des doigts & du poignet : dans l'italienne les angles de l'o sont beaucoup plus obtus que ceux de l'o coulé ; ce qui fait que celui-ci est moins ouvert que celui-là. A l'égard de l'o rond, il est ainsi appellé, parce qu'il approche du cercle, que ses points supérieurs & inférieurs sont à un point près aussi proche du centre que ceux des flancs. Voyez le volume des Planches à la table de l'Ecriture des figures radicales mineures.
O, (Comm.) dans les livres des marchands, banquiers, ou négocians, joint à quelques autres lettres, marque différentes abréviations : ainsi C. O. est l'abbréviation de compte ouvert ; O N C. ou O N. signifient onces. Dictionn. de Comm. (G)
O, majuscule (Musique.) qui est proprement un cercle, ou double C, est dans nos musiques anciennes ; la marque de ce qu'ils appelloient tems parfait, c'est-à-dire, de la mesure triple ou à trois, à la différence du tems imparfait ou de la mesure double, qu'ils marquoient par un C simple, ou par un O tronqué à droite ou à gauche C, ou ?
Le tems parfait se marquoit par un O simple, ou
pointé en-dedans, ou barré.
Voyez Tems.
(S)
Wiktionnaire
Préposition - ancien français
o \Prononciation ?\
- Variante de od (« avec »).
Pronom - ancien français
o \Prononciation ?\
-
Cela.
- in o quid il mi altresi fazet ? (Serments de Strasbourg)
-
« di nos, prophete, chi t'o fedre ? » ? (Passion du Christ de Clermont, édition de G. Paris)
- « dis nous, prophète, qui te fit cela ? »
Trésor de la Langue Française informatisé
O, o, lettre
La quinzième lettre de l'alphabet; un spécimen de cette lettre. La gamme implacable a e i o u (Gourmont,Esthét. lang. fr., 1899, p.129).Ils mangent et, après un moment de silence, Z demande à Y ce qu'est devenu un autre de leurs amis: ?Et O? ?Pets! Cure, air: aise... [P, Q, R, S] (P. Couratin, G.Kolebka, Au restaurant, Histoire de parler la bouche pleine ds Okapi, 1erjanv. 1983, no267, p.25):O, o, lettre
La quinzième lettre de l'alphabet; un spécimen de cette lettre. La gamme implacable a e i o u (Gourmont,Esthét. lang. fr., 1899, p.129).Ils mangent et, après un moment de silence, Z demande à Y ce qu'est devenu un autre de leurs amis: ?Et O? ?Pets! Cure, air: aise... [P, Q, R, S] (P. Couratin, G.Kolebka, Au restaurant, Histoire de parler la bouche pleine ds Okapi, 1erjanv. 1983, no267, p.25):O au Scrabble
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Les mots proches de O
O O O Ô Oasis Obédience Obédientiel, elle Obéi, ie Obéir Obéissamment Obéissance Obéissant, ante Obélisque Obéré, ée Obérer Obier Obit Objecter Objecteur Objectif, ive Objection Objectionnable Objectivation Objectivement Objet Objurgation Oblat Oblation Obligation Obligatoire Obligé, ée Obligeamment Obligeance Obligeant, ante, Obliger Oblique Obliquement Obliquité Oblitéré, ée Oblitérer Oblivieux, euse Oblong, ongue Obnoxiation Obole Obombration Obombrer Obreptice Obreption Obscène Obscénité o o ô oaristys oasis ob Obaix obédience obédiences obéi obéie obéîmes obéir obéira obéirai obéiraient obéirais obéirait obéiras obéirent obéirez obéiriez obéirons obéiront obéis obéissaient obéissais obéissait obéissance obéissant obéissant obéissante obéissantes obéissants obéisse obéissent obéisses obéissez obéissiez obéissions obéissons obéit obélisque obélisques Obenheim obérant Oberbronn Oberbruck Oberdorf Oberdorf-SpachbachMots du jour
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tassez baluchonnage dressons soutiendra solitairement précisait coiffure raidie retracent sarcoïdose
Les citations avec le mot O
- Il y a beaucoup de façons de parler de la télévision. Mais dans une perspective «business», soyons réaliste: à la base, le métier de TF1, c'est d'aider Coca-Cola, par exemple, à vendre son produit.Auteur : Patrick Le Lay - Source : Les Dirigeants français et le changement, juillet 2004.
- C'est souvent gagner un procès que de ne le plus poursuivre.Auteur : Stanislas Leszczynski - Source : Pensées diverses in Oeuvres choisies de Stanislas I, Roi de Pologne
- De même que l'on trouve de l'eau quand on creuse, de même l'homme trouve-t-il partout, tôt ou tard, l'incompréhensible.Auteur : Georg Christoph Lichtenberg - Source : Le miroir de l'âme
- Je me lève en prenant soin de traîner mes pieds enchâssés dans des chaussons si conformes que seule la coalition de la baguette de pain et du béret peut leur lancer le défi des clichés consensuels.Auteur : Muriel Barbery - Source : L'élégance du hérisson (2006)
- Bataille: Toujours sanglante. Il y a toujours deux vainqueurs, le battant et le battu.Auteur : Gustave Flaubert - Source : Dictionnaire des idées reçues (1913)
- L'excès de la douleur, comme l'excès de la joie, est une chose violente qui dure peu. Le coeur de l'homme ne peut rester longtemps dans une extrémité.Auteur : Victor Hugo - Source : Notre-Dame de Paris (1831)
- Une maladie, un deuil, on en parle. ... mais un chagrin d'amour scelle les mots au bord des lèvres comme si une incompréhensible pudeur devait les retenir nous empêchant de les communiquer aux autres.Auteur : Eve Belisle - Source : Pension de famille (1984)
- Le problème central pour l'Occident n'est pas le fondamentalisme islamique. C'est l'islam, civilisation différente dont les représentants sont convaincus de la supériorité de leur culture et obsédés par l'infériorité de leur puissance.Auteur : Samuel Phillips Huntington - Source : Le Choc des civilisations (1997)
- N'investissez jamais dans quelque chose qui mange ou qui doit être entretenu.Auteur : Billy Rose - Source : Sans référence
- La vie ne va pas sans de grands oublis!Auteur : Honoré de Balzac - Source : La Cousine Bette (1846)
- Chez l'artisan on s'amuse d'une autre manière: pour se délasser de ses travaux journaliers, un ébéniste, un doreur, un tourneur, enfin un homme qui travaille toute la semaine depuis sept heures du matin jusqu'à huit heures du soir ...Auteur : Paul de Kock - Source : La Grande Ville ou Paris il y a vingt-cinq ans
- Chose étrange, après dix-huit siècles de progrès la liberté de l'esprit est proclamée; la liberté du coeur ne l'est pas. Et pourtant aimer n'est pas un moins grand droit de l'homme que penser.Auteur : Victor Hugo - Source : Choses vues (1887-1900)
- L'amour n'entre pas chez les personnes inhabitées. Ou alors il entre et ne trouve rien.Auteur : Andrés Neuman - Source : Parler seul (2014)
- La bienfaisance est bien plutôt un vice de l'orgueil qu'une véritable vertu de l'âme.Auteur : Donatien Alphonse François, marquis de Sade - Source : La Philosophie dans le boudoir (1795)
- Et dites-vous bien que dans la vie, ne pas reconnaître son talent, c'est faciliter la réussite des médiocres.Auteur : Michel Audiard - Source : Le Cave se rebiffe (1962) de Gilles Grangier
- Qu'est-ce que c'est que cette façon obsessionnelle de vouloir toujours être collé à des gens ? La solitude, c'est le plus grand luxe.Auteur : Karl Lagerfeld - Source : Le monde selon Karl. Citations choisies de Karl Lagerfeld (2013)
- ... quand deux feux violents se rencontrent, ils consument l'objet qui alimente leur furie.Auteur : William Shakespeare - Source : La Mégère apprivoisée
- il n’y a ni bonheur ni malheur en ce monde, il y a la comparaison d’un état à un autre, voilà tout. Celui-là seul qui a éprouvé l’extrême infortune est apte à ressentir l’extrême félicité. Auteur : Alexandre Dumas - Source : Le comte de Monte-Cristo (1845-1846)
- Dans le siècle où nous sommes,
Que l'art de réussir est de flatter les hommes.Auteur : Charles-Guillaume Etienne - Source : Bruis et Palaprat (1807) - Je demande à ces gens de qui la passion est d'entasser toujours, de mettre somme sur somme, - Quels avantages ils ont que n'ait un autre homme.Auteur : Jean de La Fontaine - Source : Sans référence
- Je suis fou de musique, j'avais très envie d'écrire sur le musique classique. C'était un vaste sujet, j'y ai plongé tête baissée. Auteur : Jean-Baptiste Andrea - Source : France Culture, 25/01/2021 - Le Réveil culturel par Tewfik Hakem
- Le plus clair de mon temps, dit Colin, je le passe à l'obscurcir.
Pourquoi ? demanda, plus bas, le directeur.
Parce que la lumière me gêne ... dit Colin.Auteur : Boris Vian - Source : L'Ecume des jours (1947) - Je reconnais que beaucoup d'hommes musulmans justifient encore leur domination et leur soi-disant supériorité en interprétant de façon sélective et machiste certains passages du Coran.Auteur : Tareq Oubrou - Source : Un imam en colère, entretien avec Samuel Lieven (2012)
- Le genre humain s'améliore, il n'y a plus de goujat, plus d'égoïste, plus de lâche, il n'y a plus que des timides...Auteur : Patrick Timsit - Source : Extrait de sketchs de Patrick Timsit
- Mais au bout d'un certain temps, mon souvenir d'elle cessa de m'accompagner. Elle resta en arrière comme une ville quand le train repart. Auteur : Bernhard Schlink - Source : Le Liseur (1996)
Les citations du Littré sur O
- Elle pleure au pied de la croix l'endurcissement de ses fillesAuteur : PATRU - Source : Plaid. 16, dans RICHELET
- Rien ne m'est bon ; n'autre bien n'assaveure, Fors seulement l'attente que je meureAuteur : AL. CHARTIER - Source : Compl. contre la mort.
- C'est un homme dont les lumières sont petites, qui parle à tort et à travers de toutes chosesAuteur : Molière - Source : Bourg. gent. I, 1
- Pénitent d'autant plus timoré qu'il était ignorantAuteur : Voltaire - Source : Éduc. d'un prince.
- Malgré le dégoût naturel et réfléchi que m'inspirent les productions que l'on ne peut désigner que par des mots qui me répugnent autant qu'elles, la nécessité m'oblige d'entrer dans quelques détails au sujet des tartouillades, des pochades, de toutes ces peintures indigestes enfin, dont le voisinage importun obscurcit l'éclat des ouvrages de choix que renferme l'expositionAuteur : DELÉCLUZE - Source : Expos. des artistes vivants, 1850, p. 99
- [Antiochus] Un peu trop lent peut-être à servir ma colèreAuteur : Corneille - Source : Rodog. IV, 3
- Neanmoins, lui [au duc Amé de Savoye élu pape] estans faites plusieurs remonstrances par les ambassadeurs du concile [de Bâle], se condescendit à l'advis de toute la chrestienté, tousjours avec protestations de son incapacité et impuissanceAuteur : PARADIN - Source : Chron. de Savoye, p. 329
- La licence a ravagé toutes ces diguesAuteur : PATRU - Source : Plaidoyer 9, dans LACURNE
- Je suppose que la direction du verbe n'est efficace que comme la grâce congrueAuteur : FÉNEL. - Source : III, 190
- Quelques motifs particuliers acéraient encore les calomnies et les haines qui doivent préparer les dissensions de MarseilleAuteur : MIRAB. - Source : Collection, t. III, p. 107
- Mais pourquoi m'entraîner vers ces scènes passées ? Laissons le vent gémir et le flot murmurer ; Revenez, revenez, ô mes tristes pensées ; Je veux rêver et non pleurerAuteur : LAMART. - Source : Harm. IV, 10
- Sachant bien que c'est pure faveur que vous m'avez faiteAuteur : BALZ. - Source : liv. I, lett. 4
- Il donna audit homme deux souffletz bien assisAuteur : DU CANGE - Source : sylvaticus.
- [Je] Vous vueil descouvrir mon corage, Que ne sai autre laborage [travail]Auteur : RUTEB. - Source : 101
- Plein d'une juste horreur pour un Amalécite, Race que notre Dieu de sa bouche a mauditeAuteur : Jean Racine - Source : Esth. III, 4
- Nous n'avons jamais été riches en numéraire ; pourquoi ? c'est qu'un gouvernement vampirique a, depuis plus d'un siècle, sucé le sang des peuplesAuteur : MIRAB. - Source : Collect. t. IV, p. 131
- Il ferma la bouche aux semi-pélagiensAuteur : BOSSUET - Source : Hist. I, 11
- Je vous prie luy presenter mes plus que très humbles recommandacionsAuteur : MARG. - Source : ib. 52
- D'un home pereceus je dirai : ce est une tortueAuteur : BRUN. LATINI - Source : Trésor, p. 487
- Baïf, qui, comme moy, prouves l'adversité, Il n'est pas tousjours bon de combattre l'orageAuteur : DU BELLAY - Source : VI, 18, recto.
- Un gueux qui, quand il vint, n'avait pas de souliers, Et dont l'habit entier valait bien six deniersAuteur : Molière - Source : Tart. I, 1
- Par autant que les monts Rhiphées avoient eu celle année grande sterilité de happelourdes, moyennant une sedition de ballivernes meue entre les Barragouins et les AccoursiersAuteur : François Rabelais - Source : Pant. II, 11
- Télémaque s'abandonnait à une douleur amèreAuteur : FÉN. - Source : Tél. XVI
- Je choquerai le maître qui m'emploie ; j'aliénerai de moi le protecteur qui m'a placéAuteur : BOURD. - Source : Pensées, t. I, p. 18
- Si quelquefois les femmes sortaient des bornes de cette modestie, le cri public montrait que c'était une exceptionAuteur : Jean-Jacques Rousseau - Source : Lettre à d'Alemb.
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Mise à jour le mardi 23 décembre 2025 à 20h51

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