La définition de O du dictionnaire français. Signification du mot et son éthymologie - De nombreux exemples d'usage en français ainsi que des citations.
O
Nature : s. m.
Prononciation :
Etymologie : Lat. o ; grec, o et oméga.
Notre dictionnaire de français vous présente les définitions de o de manière précise, avec des exemples pertinents pour aider à comprendre la signification du mot.
Notre dictionnaire de définitions comprend des informations complémentaires telles que la nature du mot, sa prononciation, des exemples d'expressions, l'étymologie, les synonymes, les homonymes, les antonymes mais également les rimes et anagrammes. Quand la définition du mot s'y prête nous vous proposons des citations littéraires en rapport avec o pour illustrer la compréhension du mot ou préciser le sens et de répondre à la question quelle est la signification de O ?
La définition de O
La quinzième lettre de l'alphabet et la quatrième voyelle. Un grand O. Un petit o.
Toutes les définitions de « o »
Dictionnaire de l'Académie française, huitième édition
La quinzième lettre de l'alphabet. Elle représente une des voyelles. Un grand O. Un petit o. Former un o. O est marqué d'un accent circonflexe dans côte. O est ouvert dans bord. O est fermé dans rose. O se combine avec E dans Œuf. O est nasalisé dans bon. O ne se prononce pas dans faon, paon. Ô, avec l'accent circonflexe, est une interjection qui sert à marquer diverses passions, divers mouvements de l'âme, etc. Ô temps! ô mœurs! Ô douleur! ô regret! Ô le malheureux d'avoir fait une si méchante action! Ô le plaisant homme de prétendre que... Il marque aussi le vocatif, l'apostrophe. Ô mon fils! Ô mon Dieu! Les O de Noël, Neuf antiennes qui commencent chacune par la particule latine O et que l'Église chante successivement dans les neuf jours qui précèdent Noël.
Littré
-
1La quinzième lettre de l'alphabet et la quatrième voyelle. Un grand O. Un petit o.
Il est vrai qu'on a fort longtemps prononcé en France l'o simple comme s'il y eût eu un u, comme chouse pour chose, foussé pour fossé, arrouser pour arroser, et ainsi plusieurs autres?; mais, depuis dix ou douze ans, ceux qui parlent bien disent arroser, fossé, chose
, Vaugelas, Rem. t. II, p. 536, dans POUGENS.Comment voulez-vous qu'une nation puisse subsister avec honneur, quand on imprime je croyois, j'octroyois, et qu'on prononce je croyais, j'octroyais?? comment un étranger pourra-t-il deviner que le premier o se prononce comme un o, et le second comme un a??
Voltaire, Disc. Velches, Suppl.L'o bref, celui qui n'est marqué d'aucun signe et qui se prononce comme dans hotte?; l'ô long, celui qui est marqué d'un accent circonflexe et qui se prononce dans hôte.
-
2Dans les chiffres romains, lettre numérale qui signifiait onze.
Avec un tiret dessus, dans cette ferme, O signifiait onze mille.
- 3Sur les anciennes monnaies de France, O indique celles qui ont été frappées à Riom.
- 4Dans l'ancienne musique, signe qui marquait le temps parfait, c'est-à-dire la mesure en trois temps?; la moitié de ce signe, ou un C indiquait le temps imparfait?; cette dernière indication est seule restée en usage.
- 5Dans le calendrier républicain, O marque le 8e jour de la décade, octidi.
-
6O désignait l'alun dans l'ancienne chimie?; OO désignait l'huile.
O désigne maintenant l'oxygène.
- 7En géographie, astronomie et marine, O signifie ouest?; S. O., sud-ouest?; N. O., nord-ouest.
- 8 Terme de commerce. Abréviation du mot ouvert?: C/O, compte ouvert.
- 9Parmi les anciens, la lettre O était le symbole de l'éternité, à cause qu'elle figure un cercle qui n'a pas de fin.
-
10Se dit d'une ouverture ronde. Ainsi on appelle quelquefois O l'ouverture faite à la nef d'une église pour communiquer avec les combles.
Il se dit plus fréquemment de la rose ou fenêtre circulaire qui se trouve au-dessus du portail des anciennes églises.
- 11L'O du Giotto, se dit d'une figure parfaitement ronde, tracée, dit-on, par le Giotto d'un seul coup de pinceau, pour donner au pape Benoît IX une preuve de son habileté?; c'est le pendant de l'histoire d'Apelle et de Protogène.
HISTORIQUE
XIIIe s. O est roons comme li mons [le monde]?; O est maniere d'arester, D'estanchier et de coi ester, Etde mal faire cesser rueve [demande]?; Lceste lettre bien le prueve, Senefiance de l'A B C
, Jubinal, t. II, p. 282.
Encyclopédie, 1re édition
, S. m. (Gram.) c'est la quinzieme lettre, &
la quatrieme voyelle de l'alphabet françois.
Ce caractere a été long-tems le seul
dont les Grecs fissent usage pour représenter
le même son, & ils l'appelloient du nom même
de ce son. Dans la suite on introduisit un second
caractere ?, afin d'exprimer par l'ancien l'o bref, &
par le nouveau, l'o long : l'ancienne lettre ? ou ?,
fut alors nommée ???????, o parvum ; & la nouvelle,
? ou ?, fut appellée ?????, O magnum.
Notre prononciation distingue également un o long & un o bref ; & nous prononçons diversement un hôte (hospes), & une hotte (sporta dossuaria) ; une côte (costa), & une cotte (habillement de femme) ; il saute (saltat), & une sotte (stulta) ; beauté (pulchritudo), & botté (ocreatus), &c. Cependant nous n'avons pas introduit deux caracteres pour désigner ces deux diverses prononciations du même son. Il nous faudroit doubler toutes nos voyelles, puisqu'elles sont toutes ou longues ou breves : a est long dans cadre, & bref dans ladre ; e est long dans tête, & bref dans il tette ; i est long dans gîte, & bref dans quitte ; u est long dans flûte, & bref dans culbute ; eu est long dans deux, bref dans feu, & plus bref encore dans me, te, de, & dans les syllabes extrèmes de fenêtre ; ou est long dans croûte, & bref dans déroute.
Je crois, comme je l'ai insinué ailleurs (voyez Lettres), que la multiplication des lettres pour désigner les différences prosodiques des sons n'est pas sans quelques inconvéniens. Le principal seroit d'induire à croire que ce n'est pas le même son qui est représenté par les deux lettres, parce qu'il est naturel de conclure que les choses signifiées sont entre elles comme les signes : de-là une plus grande obscurité sur les traces étymologiques des mots ; le primitif & le dérivé pourroient être écrits avec des lettres différentes, parce que le méchanisme des organes exige souvent que l'on change la quantité du radical dans le dérivé.
Ce n'est pas au reste que je ne loue les Grecs d'avoir voulu peindre exactement la prononciation dans leur orthographe : mais je pense que les modifications accessoires des sons doivent plutôt être indiquées par des notes particulieres ; parce que l'ensemble est mieux analysé, & conséquemment plus clair ; & que la même note peut s'adapter à toutes les voyelles, ce qui va à la diminution des caracteres & à la facilité de la lecture.
L'affinité méchanique du son o avec tous les autres, fait qu'il est commuable avec tous, mais plus ou moins, selon le degré d'affinité qui résulte de la disposition organique : ainsi o a plus d'affinité avec eu, u, & ou, qu'avec a, ê, é, i ; parce que les quatre premieres voyelles sont en quelque sorte labiales, puisque le son en est modifié par une disposition particuliere des levres ; au lieu que les quatre autres sont comme linguales, parce qu'elles sont différentiées entre elles par une disposition particuliere de la langue, les levres étant dans le même état pour chacune d'elles : l'abbé de Dangeau, opusc. pag. 62. avoit insinué cette distinction entre les voyelles.
Voici des exemples de permutations entre les voyelles labiales, & la voyelle o.
O changé en eu : de mola vient meule ; de novus, neuf ; de soror, s?ur qui se prononce seur ; de populus, peuple ; de cor, c?ur.
O changé en u : c'est ainsi que l'on a dérivé humanus & humanitas de homo ; cuisse de coxa ; cuir de corium ; cuit de coctus ; que les Latins ont changé en us la plûpart des terminaisons des noms grecs en ?? ; qu'ils ont dit, au rapport de Quintilien & de Priscien, huminem pour hominem, frundes pour frondes, &c.
Au contraire u changé en o : c'est par cette métamorphose que nous avons tombeau de tumulus, combles de culmen, nombre de numerus ; que les Latins ont dit Hecoba pour Hecuba, colpa pour culpa ; que les Italiens disent indifféremment fosse ou fusse, facoltà ou facultà, popolo ou populo.
O changé en ou : ainsi mouvoir vient de movere, moulin de moletrina, pourceau de porcus, glousser de glocio, mourir de mori, &c.
Les permutations de l'o avec les voyelles linguales sont moins fréquentes ; mais elles sont possibles, parce que, comme je l'ai déja remarqué d'après M. le président de Brosses (art. Lettres), il n'y a proprement qu'un son diversement modifié par les diverses longueurs ou les divers diametres du tuyau : & l'on en trouve en effet quelques exemples. O est changé en a dans dame, dérivé de domina : en e dans adversùs, au lieu de quoi les anciens disoient advorsùs, comme on le trouve encore dans Térence ; en i dans imber, dérivé du grec ??????.
Nous représentons souvent le son o par la diphtongue oculaire au, comme dans aune, baudrier, cause, dauphin, fausseté, gaule, haut, jaune, laurier, maur, naufrage, pauvre, rauque, sauteur, taupe, vautour : d'autres fois nous représentons o par eau, comme dans eau, tombeau, cerceau, cadeau, chameau, fourneau, troupeau, fuseau, gâteau, veau. Cette irrégularité orthographique ne nous est pas propre : les Grecs ont dit ???? & ?????, sulcus (sillon) ; ????? & ??????, vulnus, (blessure) : & les Latins écrivoient indifféremment cauda & coda (queue) ; plaustrum & plostrum (char) ; lautum & lotum au supin du verbe lavare (laver).
La lettre o est quelquefois pseudonyme, en ce qu'elle est le signe d'un autre son que de celui pour lequel elle est instituée ; ce qui arrive par-tout où elle est prépositive dans une diphtongue réelle & auriculaire : elle représente alors le son ou ; comme dans bésoard, bois, soin, que l'on prononce en effet bésouard, bouas, souèn.
Elle est quelquefois auxiliaire, comme quand on l'associe avec la voyelle u pour représenter le son ou qui n'a pas de caractere propre en françois ; comme dans bouton, courage, douceur, foudre, goutte, houblon, jour, louange, moutarde, nous, poule, souper, tour, vous. Les Allemands, les Italiens, les Espagnols, & presque toutes les nations, représentent le son ou par la voyelle u, & ne connoissent pas le son u, ou le marquent par quelqu'autre caractere.
O est encore auxiliaire dans la diphtongue apparente oi, quand elle se prononce é ou è ; ce qui est moins raisonnable que dans le cas précédent, puisque ces sons ont d'autres caracteres propres. Or oi vaut ê : 1°. dans quelques adjectifs nationnaux, anglois, françois, bourbonnois, &c : 2°. aux premieres & secondes personnes du singulier, & aux troisiemes du pluriel, du présent antérieur simple de l'indicatif, & du présent du suppositif ; comme je lisois, tu lisois, ils lisoient ; je lirois, tu lirois, ils liroient : 3°. dans monnoie, & dans les dérivés des verbes connoître & paroître où l'oi radical fait la derniere syllabe, ou bien la pénultieme avec un e muet à la derniere ; comme je connois, tu reconnois, il reconnoît ; je comparois, tu disparois, il reparoît ; connoître, méconnoître, que je reconnoisse : comparoître, que je disparoisse, que tu reparoisses, qu'ils apparoissent. Oi vaut è : 1°. dans les troisiemes personnes singulieres du présent antérieur simple de l'indicatif, & du présent du suppositif ; comme il lisoit, il liroit : 2°. dans les dérivés des verbes connoître & paroître où l'oi radical est suivi d'une syllabe qui n'a point d'e muet ; comme connoisseur, reconnoissance, je méconnoitrai ; vous comparoitrez, nous reparoitrions, disparoissant.
La lettre o est quelquefois muette : 1°. dans les trois mots paon, faon, Laon (ville), que l'on prononce pan, fan, Lan ; & dans les dérivés, comme paonneau (petit paon) qui differe ainsi de panneau (terme de Menuiserie), laonnois (qui est de la ville ou du pays de Laon) : 2°. dans les sept mots ?uf, b?uf, m?uf, ch?ur, c?ur, m?urs & s?ur, que l'on prononce euf, beuf, meuf, keur, keur, meurs & seur : 3°. dans les trois mots ?il, ?illet & ?illade, soit que l'on prononce par è comme à la fin de soleil, ou par eu comme à la fin de cercueil. On écrit aujourd'hui économe, économie, écuménique, sans o ; & le nom ?dippe est étranger dans notre langue.
O' apostrophé devant les noms de famille, est en Irlande un signe de grande distinction, & il n'y a en effet que les maisons les plus qualifiées qui le prennent : o'Briem, o'Carrol, o'Cannor, o'Néal.
En termes de Marine, O veut dire ouest ; S. O. sud-ouest ; S. S. O. sud-sud-ouest ; O. S. O. ouest-sud-ouest. Voyez N & Rhumb.
Sur nos monnoies, la lettre o désigne celles qui sont fabriquées à Riom.
Chez les anciens, c'étoit une lettre numérale qui valoit 11 ; & surmontée d'une barre, O valoit 11000, selon la regle ordinaire :
O numerum gestat qui nunc undecimus extat.
(B. E. R. M.)
O, s. m. (Théol.) nom qu'on a donné aux sept ou neuf antiennes qu'on chante dans l'Avent pendant sept ou neuf jours auparavant la fête de Noël, & qui précedent le cantique Magnificat. On les appelle encore ainsi parce que chacune d'elles commence par cette exclamation : comme O rex gentium. O Emmanuel, &c. Voyez Antienne.
O, o, o, (Ecriture.) considéré dans sa forme, c'est une ligne courbe continue, dont tous les points supérieurs & inférieurs sont plus éloignés du centre que ceux des flancs ; elle est presque racine de toutes les mineures ; elle se forme sans interruption du mouvement mixte des doigts & du poignet : dans l'italienne les angles de l'o sont beaucoup plus obtus que ceux de l'o coulé ; ce qui fait que celui-ci est moins ouvert que celui-là. A l'égard de l'o rond, il est ainsi appellé, parce qu'il approche du cercle, que ses points supérieurs & inférieurs sont à un point près aussi proche du centre que ceux des flancs. Voyez le volume des Planches à la table de l'Ecriture des figures radicales mineures.
O, (Comm.) dans les livres des marchands, banquiers, ou négocians, joint à quelques autres lettres, marque différentes abréviations : ainsi C. O. est l'abbréviation de compte ouvert ; O N C. ou O N. signifient onces. Dictionn. de Comm. (G)
O, majuscule (Musique.) qui est proprement un cercle, ou double C, est dans nos musiques anciennes ; la marque de ce qu'ils appelloient tems parfait, c'est-à-dire, de la mesure triple ou à trois, à la différence du tems imparfait ou de la mesure double, qu'ils marquoient par un C simple, ou par un O tronqué à droite ou à gauche C, ou ?
Le tems parfait se marquoit par un O simple, ou
pointé en-dedans, ou barré.
Voyez Tems.
(S)
Wiktionnaire
Préposition - ancien français
o \Prononciation ?\
- Variante de od (« avec »).
Pronom - ancien français
o \Prononciation ?\
-
Cela.
- in o quid il mi altresi fazet ? (Serments de Strasbourg)
-
« di nos, prophete, chi t'o fedre ? » ? (Passion du Christ de Clermont, édition de G. Paris)
- « dis nous, prophète, qui te fit cela ? »
Trésor de la Langue Française informatisé
O, o, lettre
La quinzième lettre de l'alphabet; un spécimen de cette lettre. La gamme implacable a e i o u (Gourmont,Esthét. lang. fr., 1899, p.129).Ils mangent et, après un moment de silence, Z demande à Y ce qu'est devenu un autre de leurs amis: ?Et O? ?Pets! Cure, air: aise... [P, Q, R, S] (P. Couratin, G.Kolebka, Au restaurant, Histoire de parler la bouche pleine ds Okapi, 1erjanv. 1983, no267, p.25):O, o, lettre
La quinzième lettre de l'alphabet; un spécimen de cette lettre. La gamme implacable a e i o u (Gourmont,Esthét. lang. fr., 1899, p.129).Ils mangent et, après un moment de silence, Z demande à Y ce qu'est devenu un autre de leurs amis: ?Et O? ?Pets! Cure, air: aise... [P, Q, R, S] (P. Couratin, G.Kolebka, Au restaurant, Histoire de parler la bouche pleine ds Okapi, 1erjanv. 1983, no267, p.25):O au Scrabble
Le mot o vaut 1 points au Scrabble.
Informations sur le mot o - 1 lettres, 1 voyelles, 0 consonnes, 1 lettres uniques.
Quel nombre de points fait le mot o au Scrabble ?
Le calcul de points ne prend pas en compte lettre compte double, lettre compte triple, mot compte double et mot compte triple. Ces cases augmentent les valeurs des mots posés selon un coefficient indiqué par les règles du jeu de Scrabble.
SCRABBLE © est une marque déposée. Tous les droits de propriété intellectuelle du jeu sont détenus aux Etats-Unis et au Canada par Hasbro Inc. et dans le reste du monde par J.W. Spear & Sons Limited de Maidenhead, Berkshire, Angleterre, une filiale de Mattel Inc. Mattel et Spear ne sont pas affiliés à Hasbro.
Les mots proches de O
O O O Ô Oasis Obédience Obédientiel, elle Obéi, ie Obéir Obéissamment Obéissance Obéissant, ante Obélisque Obéré, ée Obérer Obier Obit Objecter Objecteur Objectif, ive Objection Objectionnable Objectivation Objectivement Objet Objurgation Oblat Oblation Obligation Obligatoire Obligé, ée Obligeamment Obligeance Obligeant, ante, Obliger Oblique Obliquement Obliquité Oblitéré, ée Oblitérer Oblivieux, euse Oblong, ongue Obnoxiation Obole Obombration Obombrer Obreptice Obreption Obscène Obscénité o o ô oaristys oasis ob Obaix obédience obédiences obéi obéie obéîmes obéir obéira obéirai obéiraient obéirais obéirait obéiras obéirent obéirez obéiriez obéirons obéiront obéis obéissaient obéissais obéissait obéissance obéissant obéissant obéissante obéissantes obéissants obéisse obéissent obéisses obéissez obéissiez obéissions obéissons obéit obélisque obélisques Obenheim obérant Oberbronn Oberbruck Oberdorf Oberdorf-SpachbachMots du jour
Juste Sémination Teindre Promotion Haje Garantir Dilayer Employer Matriciel, elle Rationalisme
Les citations avec le mot O
- Il n'a pas une grande facilité pour écrire, il a une grande difficulté à ne pas écrire.Auteur : Louis Scutenaire - Source : Mes inscriptions (1943-1944)
- L'approche est toujours plus belle que l'arrivée, le désir que la possession.Auteur : Henri Alban-Fournier, dit Alain-Fournier - Source : Correspondance avec Jacques Rivière (1914)
- Contre la pauvreté le plus sûr des remèdes
Est d'user sobrement du bien qu'on t'a laissé.
Pour garder ce que tu possèdes,
Pense à tous les besoins dont l'homme est menacé.Auteur : Denys Caton - Source : Distiques de Caton, Livre premier, XXIV - Prends le temps de fêter ta victoire, mais n'invite pas ton adversaire à partager ta gloire.Auteur : Daniel Desbiens - Source : Maximes d'Aujourd'hui
- Les joies du monde sont notre seule nourriture. La dernière petite goutte nous fait encore vivre.Auteur : Jean Giono - Source : Que ma joie demeure
- Prépare, pour Saint-Marcel, - Tes graines nouvelles.Auteur : Dictons - Source : 16 janvier
- Les alluvions des mangroves roulent leurs ventres effervescents, bulbeux, cloqués de pépites gluantes et jaunes.Auteur : Patrick Grainville - Source : Les Flamboyants (1976)
- Les flocons d'écume, volant de toutes parts, ressemblaient à de la laine.Auteur : Victor Hugo - Source : Les travailleurs de la mer (1866)
- J'ai toujours pensé que l'histoire demande le même art que la tragédie, une exposition, un noeud, un dénouement.Auteur : Voltaire - Source : Lettre à Schouvalof, 1758
- En même temps, je me demande, et je commençais déjà à me demander à l'époque ce que devait, ce que doit faire en vérité ma génération, celle de gens vivant à une époque ultérieure, des informations sur les atrocités de l'extermination des juifs. Nous ne devons pas nous imaginer comprendre ce qui est inconcevable ; nous n'avons pas le droit de comparer ce qui échappe à toute comparaison ; nous n'avons pas le droit de questionner, car celui qui le fait, même s'il ne met pas les atrocités en doute, en fait néanmoins un objet de communication, au lieu de les prendre comme une chose devant laquelle on ne peut qu'imposer le silence de l'horreur, de la honte et de la culpabilité. Auteur : Bernhard Schlink - Source : Le Liseur (1996)
- L'été et notre vie étions d'un seul tenant
La campagne mangeait la couleur de ta jupe odorante.Auteur : René Char - Source : Seuls demeurent (1945) - Dépouillons-nous donc des oeuvres des ténèbres, et revêtons les armes de lumière.Auteur : La Bible - Source : Epîtres de saint Paul, aux Romains, XIII, 12
- Il estoit contraint de conseiller beaucoup de choses desrogeantes à la dignité de sa ville.Auteur : Jacques Amyot - Source : Phocion, 1
- Les poètes sont les gens qui parlent en poésie et quelquefois vivent en poésie... Ils sont distraits. Dans la rue, ils marchent sans rien voir parce qu'ils doivent compter leurs pieds...Auteur : Claude Schnerb - Source : L'Humour vert (sous le pseudonyme de Claude Sergent), Éditions Buchet-Chastel, (1964)
- En fait d'éloges, l'amour-propre, comme l'avare, prend de toutes mains.Auteur : Jean Antoine Petit, dit John Petit-Senn - Source : Bluettes et boutades (1846)
- Il ne suffit pas d'être pacifiste, même si c'est du fond du coeur et dans une farouche sincérité; il faut que ce pacifisme soit la philosophie directrice de tous les actes de votre vie. Toute autre conduite n'est que méprisable lâcheté.Auteur : Jean Giono - Source : Ecrits pacifistes, Lettre aux paysans sur la pauvreté et la paix (1938)
- Votre front est semblable au lis de la vallée;
De vos lèvres toujours la rose est exhalée.
Que votre voix est douce et douces vos amours!
Oh quittez ces colliers et ces brillants atours!Auteur : Alfred de Vigny - Source : Poèmes antiques et modernes (1826) - La télévision abrutit les gens cultivés et cultive les gens qui mènent une vie abrutissante.Auteur : Umberto Eco - Source : Sans référence
- La sénilité ne m'inquiète pas: le jour où j'en souffrirai, je ne m'en rendrai pas compte!Auteur : Michel Galabru - Source : Pensées, répliques et anecdotes (2006)
- Il y a une manière laborieuse de n'être rien, c'est d'être tout; de ne rien vouloir, c'est de tout vouloir.Auteur : Henri-Frédéric Amiel - Source : Fragments d'un journal intime (1884, 1887, 1923, 1927), 3 mars 1857
- Pour être hanté, nul besoin de chambre, nul besoin de maison, le cerveau regorge de corridors plus tortueux les uns que les autres.Auteur : Emily Dickinson - Source : Cahiers de poèmes 1861-1863, Une âme en incandescence
- - Sire, je souffre comme un damné. - - Déjà!Auteur : roi des français Louis-Philippe Ier - Source : Réponse faites à Talleyrand.
- Si une seule fois tu fus triste sans motif, tu l'as été toute ta vie sans le savoir.Auteur : Emil Cioran - Source : Syllogismes de l'amertume (1952)
- La jeunesse montre l'homme comme le matin montre le jour.Auteur : John Milton - Source : Paradis retrouvé, IV
- Dès le premier effort sa colère s'abat.Auteur : Jean de Mairet - Source : La mort d'Asdrubal, IV, 1
Les citations du Littré sur O
- Pourtant quiconque de vous aultres aura à se pendre, s'en depesche promptementAuteur : François Rabelais - Source : ib. 4
- Les injures du temps ont détruit les cratères, et ont réduit en terreau, avec l'industrie des hommes, les laves scoriacées et poreuses qu'on y avait trouvéesAuteur : SENNEBIER - Source : Ess. art. d'obs. t. I, p. 342, dans POUGENS
- Si commença li feus si grant à esprendre que....Auteur : VILLEH. - Source : LXXX.
- En un lieu glissant et coulant, suspendons nostre creanceAuteur : MONT. - Source : II, 241
- Voilà vos craintes dissipées.... je vous défie avec toute votre industrie de trouver à regratter là-dessusAuteur : Madame de Sévigné - Source : 20 nov. 1689
- Pour lors, je passerai sans trouble et sans affaire La nuit à bien dormir, le jour à ne rien faireAuteur : BARON - Source : Andrienne, III, 7
- C'est une belle chose et louable que le contentement de peuAuteur : AMYOT - Source : Arist. et Cat. 9
- La douleur s'enorgueillist à nous veoir trembler soubs elleAuteur : MONT. - Source : I, 305
- La nouvelle mariéeAuteur : AMYOT - Source : ib. 37
- La jeunesse qui est si ardante en ses affections....Auteur : LANOUE - Source : 120
- Il avait dans la terre une somme enfouie, Son coeur avec, n'ayant autre déduit Que d'y ruminer jour et nuitAuteur : Jean de La Fontaine - Source : Fabl. IV, 20
- Charles Gustave parut à la Pologne surprise et trahie comme un lion qui tient sa proie dans ses onglesAuteur : BOSSUET - Source : Anne de Gonz.
- Le curé de campagne qui, ayant été outrageusement volé par ses ouailles....Auteur : Voltaire - Source : Dict. phil. Enfer.
- Alors se rompirent nos liens avec la Russie ; aussitôt Napoléon s'adresse au prince de Suède [Bernadotte] ; ses notes furent d'un suzerain qui croit parler dans l'intérêt de son vassal, qui sent ses droits à sa reconnaissance ou à sa soumission, et qui y compteAuteur : SÉGUR - Source : Histoire de Napoléon, I, 4
- Comme la colombe qui revient à l'arche, ne sachant où poser son piedAuteur : BOSSUET - Source : Exp. doct. cath. Avertiss.
- Sitôt qu'il me vit, il vint se jeter à mes pieds ; il était plus pâle que la mortAuteur : LESAGE - Source : Guzm. d'Alf. IV, 3
- M. Coudereau range les phonèmes : 1° d'après l'organe mobile qui les produit ; 2° d'après le point où cet organe s'appliqueAuteur : L. HAVET - Source : Rev. crit. 1 avr. 1876, p. 249
- L'Église ne peut subsister sans la profession de la véritéAuteur : BOSSUET - Source : 3e avert. 19
- Mien, tien : c'est là ma place ou soleil ; voilà le commencement et l'image de l'usurpation de toute la terreAuteur : Blaise Pascal - Source : Pens. VI, 50, éd. HAVET.
- Pour ne pas laisser cette hardiesse impunie dans un auteur de nom [Mézerai], d'abord on supprima une moitié de sa pension ; et, comme il en murmura, peu de temps après on supprima l'autreAuteur : D'OLIVET - Source : Hist. Acad. t. II, p. 200, dans POUGENS
- Se fussent gasquieres desqueles il n'eust encore riens levéAuteur : BEAUMANOIR - Source : XLIV, 53
- Et bientôt vous verrez mille auteurs pointilleux.... Huer la métaphore et la métonymieAuteur : BOILEAU - Source : Ép. X.
- Non pour y [à Paris] voir la cour, le palais ou la Seine, Ny de tant d'habitants le reflus nompareilAuteur : DESPORTES - Source : Élégies, II, 5
- Il me semble que je vous avais conseillé de vivre, uniquement pour faire enrager ceux qui vous payent des rentes viagères ; pour moi, c'est presque le seul plaisir qui me resteAuteur : Voltaire - Source : Lett. Mme du Deffant, 23 avr. 1754
- Comme une aigle.... aussi vifs étaient les regards, aussi vite et impétueuse était l'attaque, aussi fortes et inévitables étaient les mains du prince de CondéAuteur : BOSSUET - Source : Louis de Bourbon.
Les mots débutant par O Les mots débutant par O
Une suggestion ou précision pour la définition de O ? -
Mise à jour le mercredi 24 décembre 2025 à 00h53

- Oasis - Obéir - Obeissance - Obligation - Obscurite - Occasion - Occident - Odeur - Oeuvre - Offenser - Oil - Oisivete - Olympique - Ombre - Opinion - Opportuniste - Optimisme - Ordinateur - Ordre - Organisation - Orgasme - Orgueil - Orgueil - Originalite - Origine - Orthographe - Oubli - Oublier - Ouvrage
Liste des mots et définitions commençant par
Etendez votre recherche : Citation sur o
Poèmes o
Proverbes o
La définition du mot O est issue du Dictionnaire français - La définition et la signification du mot O sont données à titre indicatif. Les réponses à votre question sur la signification O présentées sur ce site peuvent être complétées par vos commentaires.
