La définition de O du dictionnaire français. Signification du mot et son éthymologie - De nombreux exemples d'usage en français ainsi que des citations.
O
Nature : s. m.
Prononciation :
Etymologie : Lat. o ; grec, o et oméga.
Notre dictionnaire de français vous présente les définitions de o de manière précise, avec des exemples pertinents pour aider à comprendre la signification du mot.
Notre dictionnaire de définitions comprend des informations complémentaires telles que la nature du mot, sa prononciation, des exemples d'expressions, l'étymologie, les synonymes, les homonymes, les antonymes mais également les rimes et anagrammes. Quand la définition du mot s'y prête nous vous proposons des citations littéraires en rapport avec o pour illustrer la compréhension du mot ou préciser le sens et de répondre à la question quelle est la signification de O ?
La définition de O
La quinzième lettre de l'alphabet et la quatrième voyelle. Un grand O. Un petit o.
Toutes les définitions de « o »
Dictionnaire de l'Académie française, huitième édition
La quinzième lettre de l'alphabet. Elle représente une des voyelles. Un grand O. Un petit o. Former un o. O est marqué d'un accent circonflexe dans côte. O est ouvert dans bord. O est fermé dans rose. O se combine avec E dans Œuf. O est nasalisé dans bon. O ne se prononce pas dans faon, paon. Ô, avec l'accent circonflexe, est une interjection qui sert à marquer diverses passions, divers mouvements de l'âme, etc. Ô temps! ô mœurs! Ô douleur! ô regret! Ô le malheureux d'avoir fait une si méchante action! Ô le plaisant homme de prétendre que... Il marque aussi le vocatif, l'apostrophe. Ô mon fils! Ô mon Dieu! Les O de Noël, Neuf antiennes qui commencent chacune par la particule latine O et que l'Église chante successivement dans les neuf jours qui précèdent Noël.
Littré
-
1La quinzième lettre de l'alphabet et la quatrième voyelle. Un grand O. Un petit o.
Il est vrai qu'on a fort longtemps prononcé en France l'o simple comme s'il y eût eu un u, comme chouse pour chose, foussé pour fossé, arrouser pour arroser, et ainsi plusieurs autres?; mais, depuis dix ou douze ans, ceux qui parlent bien disent arroser, fossé, chose
, Vaugelas, Rem. t. II, p. 536, dans POUGENS.Comment voulez-vous qu'une nation puisse subsister avec honneur, quand on imprime je croyois, j'octroyois, et qu'on prononce je croyais, j'octroyais?? comment un étranger pourra-t-il deviner que le premier o se prononce comme un o, et le second comme un a??
Voltaire, Disc. Velches, Suppl.L'o bref, celui qui n'est marqué d'aucun signe et qui se prononce comme dans hotte?; l'ô long, celui qui est marqué d'un accent circonflexe et qui se prononce dans hôte.
-
2Dans les chiffres romains, lettre numérale qui signifiait onze.
Avec un tiret dessus, dans cette ferme, O signifiait onze mille.
- 3Sur les anciennes monnaies de France, O indique celles qui ont été frappées à Riom.
- 4Dans l'ancienne musique, signe qui marquait le temps parfait, c'est-à-dire la mesure en trois temps?; la moitié de ce signe, ou un C indiquait le temps imparfait?; cette dernière indication est seule restée en usage.
- 5Dans le calendrier républicain, O marque le 8e jour de la décade, octidi.
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6O désignait l'alun dans l'ancienne chimie?; OO désignait l'huile.
O désigne maintenant l'oxygène.
- 7En géographie, astronomie et marine, O signifie ouest?; S. O., sud-ouest?; N. O., nord-ouest.
- 8 Terme de commerce. Abréviation du mot ouvert?: C/O, compte ouvert.
- 9Parmi les anciens, la lettre O était le symbole de l'éternité, à cause qu'elle figure un cercle qui n'a pas de fin.
-
10Se dit d'une ouverture ronde. Ainsi on appelle quelquefois O l'ouverture faite à la nef d'une église pour communiquer avec les combles.
Il se dit plus fréquemment de la rose ou fenêtre circulaire qui se trouve au-dessus du portail des anciennes églises.
- 11L'O du Giotto, se dit d'une figure parfaitement ronde, tracée, dit-on, par le Giotto d'un seul coup de pinceau, pour donner au pape Benoît IX une preuve de son habileté?; c'est le pendant de l'histoire d'Apelle et de Protogène.
HISTORIQUE
XIIIe s. O est roons comme li mons [le monde]?; O est maniere d'arester, D'estanchier et de coi ester, Etde mal faire cesser rueve [demande]?; Lceste lettre bien le prueve, Senefiance de l'A B C
, Jubinal, t. II, p. 282.
Encyclopédie, 1re édition
, S. m. (Gram.) c'est la quinzieme lettre, &
la quatrieme voyelle de l'alphabet françois.
Ce caractere a été long-tems le seul
dont les Grecs fissent usage pour représenter
le même son, & ils l'appelloient du nom même
de ce son. Dans la suite on introduisit un second
caractere ?, afin d'exprimer par l'ancien l'o bref, &
par le nouveau, l'o long : l'ancienne lettre ? ou ?,
fut alors nommée ???????, o parvum ; & la nouvelle,
? ou ?, fut appellée ?????, O magnum.
Notre prononciation distingue également un o long & un o bref ; & nous prononçons diversement un hôte (hospes), & une hotte (sporta dossuaria) ; une côte (costa), & une cotte (habillement de femme) ; il saute (saltat), & une sotte (stulta) ; beauté (pulchritudo), & botté (ocreatus), &c. Cependant nous n'avons pas introduit deux caracteres pour désigner ces deux diverses prononciations du même son. Il nous faudroit doubler toutes nos voyelles, puisqu'elles sont toutes ou longues ou breves : a est long dans cadre, & bref dans ladre ; e est long dans tête, & bref dans il tette ; i est long dans gîte, & bref dans quitte ; u est long dans flûte, & bref dans culbute ; eu est long dans deux, bref dans feu, & plus bref encore dans me, te, de, & dans les syllabes extrèmes de fenêtre ; ou est long dans croûte, & bref dans déroute.
Je crois, comme je l'ai insinué ailleurs (voyez Lettres), que la multiplication des lettres pour désigner les différences prosodiques des sons n'est pas sans quelques inconvéniens. Le principal seroit d'induire à croire que ce n'est pas le même son qui est représenté par les deux lettres, parce qu'il est naturel de conclure que les choses signifiées sont entre elles comme les signes : de-là une plus grande obscurité sur les traces étymologiques des mots ; le primitif & le dérivé pourroient être écrits avec des lettres différentes, parce que le méchanisme des organes exige souvent que l'on change la quantité du radical dans le dérivé.
Ce n'est pas au reste que je ne loue les Grecs d'avoir voulu peindre exactement la prononciation dans leur orthographe : mais je pense que les modifications accessoires des sons doivent plutôt être indiquées par des notes particulieres ; parce que l'ensemble est mieux analysé, & conséquemment plus clair ; & que la même note peut s'adapter à toutes les voyelles, ce qui va à la diminution des caracteres & à la facilité de la lecture.
L'affinité méchanique du son o avec tous les autres, fait qu'il est commuable avec tous, mais plus ou moins, selon le degré d'affinité qui résulte de la disposition organique : ainsi o a plus d'affinité avec eu, u, & ou, qu'avec a, ê, é, i ; parce que les quatre premieres voyelles sont en quelque sorte labiales, puisque le son en est modifié par une disposition particuliere des levres ; au lieu que les quatre autres sont comme linguales, parce qu'elles sont différentiées entre elles par une disposition particuliere de la langue, les levres étant dans le même état pour chacune d'elles : l'abbé de Dangeau, opusc. pag. 62. avoit insinué cette distinction entre les voyelles.
Voici des exemples de permutations entre les voyelles labiales, & la voyelle o.
O changé en eu : de mola vient meule ; de novus, neuf ; de soror, s?ur qui se prononce seur ; de populus, peuple ; de cor, c?ur.
O changé en u : c'est ainsi que l'on a dérivé humanus & humanitas de homo ; cuisse de coxa ; cuir de corium ; cuit de coctus ; que les Latins ont changé en us la plûpart des terminaisons des noms grecs en ?? ; qu'ils ont dit, au rapport de Quintilien & de Priscien, huminem pour hominem, frundes pour frondes, &c.
Au contraire u changé en o : c'est par cette métamorphose que nous avons tombeau de tumulus, combles de culmen, nombre de numerus ; que les Latins ont dit Hecoba pour Hecuba, colpa pour culpa ; que les Italiens disent indifféremment fosse ou fusse, facoltà ou facultà, popolo ou populo.
O changé en ou : ainsi mouvoir vient de movere, moulin de moletrina, pourceau de porcus, glousser de glocio, mourir de mori, &c.
Les permutations de l'o avec les voyelles linguales sont moins fréquentes ; mais elles sont possibles, parce que, comme je l'ai déja remarqué d'après M. le président de Brosses (art. Lettres), il n'y a proprement qu'un son diversement modifié par les diverses longueurs ou les divers diametres du tuyau : & l'on en trouve en effet quelques exemples. O est changé en a dans dame, dérivé de domina : en e dans adversùs, au lieu de quoi les anciens disoient advorsùs, comme on le trouve encore dans Térence ; en i dans imber, dérivé du grec ??????.
Nous représentons souvent le son o par la diphtongue oculaire au, comme dans aune, baudrier, cause, dauphin, fausseté, gaule, haut, jaune, laurier, maur, naufrage, pauvre, rauque, sauteur, taupe, vautour : d'autres fois nous représentons o par eau, comme dans eau, tombeau, cerceau, cadeau, chameau, fourneau, troupeau, fuseau, gâteau, veau. Cette irrégularité orthographique ne nous est pas propre : les Grecs ont dit ???? & ?????, sulcus (sillon) ; ????? & ??????, vulnus, (blessure) : & les Latins écrivoient indifféremment cauda & coda (queue) ; plaustrum & plostrum (char) ; lautum & lotum au supin du verbe lavare (laver).
La lettre o est quelquefois pseudonyme, en ce qu'elle est le signe d'un autre son que de celui pour lequel elle est instituée ; ce qui arrive par-tout où elle est prépositive dans une diphtongue réelle & auriculaire : elle représente alors le son ou ; comme dans bésoard, bois, soin, que l'on prononce en effet bésouard, bouas, souèn.
Elle est quelquefois auxiliaire, comme quand on l'associe avec la voyelle u pour représenter le son ou qui n'a pas de caractere propre en françois ; comme dans bouton, courage, douceur, foudre, goutte, houblon, jour, louange, moutarde, nous, poule, souper, tour, vous. Les Allemands, les Italiens, les Espagnols, & presque toutes les nations, représentent le son ou par la voyelle u, & ne connoissent pas le son u, ou le marquent par quelqu'autre caractere.
O est encore auxiliaire dans la diphtongue apparente oi, quand elle se prononce é ou è ; ce qui est moins raisonnable que dans le cas précédent, puisque ces sons ont d'autres caracteres propres. Or oi vaut ê : 1°. dans quelques adjectifs nationnaux, anglois, françois, bourbonnois, &c : 2°. aux premieres & secondes personnes du singulier, & aux troisiemes du pluriel, du présent antérieur simple de l'indicatif, & du présent du suppositif ; comme je lisois, tu lisois, ils lisoient ; je lirois, tu lirois, ils liroient : 3°. dans monnoie, & dans les dérivés des verbes connoître & paroître où l'oi radical fait la derniere syllabe, ou bien la pénultieme avec un e muet à la derniere ; comme je connois, tu reconnois, il reconnoît ; je comparois, tu disparois, il reparoît ; connoître, méconnoître, que je reconnoisse : comparoître, que je disparoisse, que tu reparoisses, qu'ils apparoissent. Oi vaut è : 1°. dans les troisiemes personnes singulieres du présent antérieur simple de l'indicatif, & du présent du suppositif ; comme il lisoit, il liroit : 2°. dans les dérivés des verbes connoître & paroître où l'oi radical est suivi d'une syllabe qui n'a point d'e muet ; comme connoisseur, reconnoissance, je méconnoitrai ; vous comparoitrez, nous reparoitrions, disparoissant.
La lettre o est quelquefois muette : 1°. dans les trois mots paon, faon, Laon (ville), que l'on prononce pan, fan, Lan ; & dans les dérivés, comme paonneau (petit paon) qui differe ainsi de panneau (terme de Menuiserie), laonnois (qui est de la ville ou du pays de Laon) : 2°. dans les sept mots ?uf, b?uf, m?uf, ch?ur, c?ur, m?urs & s?ur, que l'on prononce euf, beuf, meuf, keur, keur, meurs & seur : 3°. dans les trois mots ?il, ?illet & ?illade, soit que l'on prononce par è comme à la fin de soleil, ou par eu comme à la fin de cercueil. On écrit aujourd'hui économe, économie, écuménique, sans o ; & le nom ?dippe est étranger dans notre langue.
O' apostrophé devant les noms de famille, est en Irlande un signe de grande distinction, & il n'y a en effet que les maisons les plus qualifiées qui le prennent : o'Briem, o'Carrol, o'Cannor, o'Néal.
En termes de Marine, O veut dire ouest ; S. O. sud-ouest ; S. S. O. sud-sud-ouest ; O. S. O. ouest-sud-ouest. Voyez N & Rhumb.
Sur nos monnoies, la lettre o désigne celles qui sont fabriquées à Riom.
Chez les anciens, c'étoit une lettre numérale qui valoit 11 ; & surmontée d'une barre, O valoit 11000, selon la regle ordinaire :
O numerum gestat qui nunc undecimus extat.
(B. E. R. M.)
O, s. m. (Théol.) nom qu'on a donné aux sept ou neuf antiennes qu'on chante dans l'Avent pendant sept ou neuf jours auparavant la fête de Noël, & qui précedent le cantique Magnificat. On les appelle encore ainsi parce que chacune d'elles commence par cette exclamation : comme O rex gentium. O Emmanuel, &c. Voyez Antienne.
O, o, o, (Ecriture.) considéré dans sa forme, c'est une ligne courbe continue, dont tous les points supérieurs & inférieurs sont plus éloignés du centre que ceux des flancs ; elle est presque racine de toutes les mineures ; elle se forme sans interruption du mouvement mixte des doigts & du poignet : dans l'italienne les angles de l'o sont beaucoup plus obtus que ceux de l'o coulé ; ce qui fait que celui-ci est moins ouvert que celui-là. A l'égard de l'o rond, il est ainsi appellé, parce qu'il approche du cercle, que ses points supérieurs & inférieurs sont à un point près aussi proche du centre que ceux des flancs. Voyez le volume des Planches à la table de l'Ecriture des figures radicales mineures.
O, (Comm.) dans les livres des marchands, banquiers, ou négocians, joint à quelques autres lettres, marque différentes abréviations : ainsi C. O. est l'abbréviation de compte ouvert ; O N C. ou O N. signifient onces. Dictionn. de Comm. (G)
O, majuscule (Musique.) qui est proprement un cercle, ou double C, est dans nos musiques anciennes ; la marque de ce qu'ils appelloient tems parfait, c'est-à-dire, de la mesure triple ou à trois, à la différence du tems imparfait ou de la mesure double, qu'ils marquoient par un C simple, ou par un O tronqué à droite ou à gauche C, ou ?
Le tems parfait se marquoit par un O simple, ou
pointé en-dedans, ou barré.
Voyez Tems.
(S)
Wiktionnaire
Préposition - ancien français
o \Prononciation ?\
- Variante de od (« avec »).
Pronom - ancien français
o \Prononciation ?\
-
Cela.
- in o quid il mi altresi fazet ? (Serments de Strasbourg)
-
« di nos, prophete, chi t'o fedre ? » ? (Passion du Christ de Clermont, édition de G. Paris)
- « dis nous, prophète, qui te fit cela ? »
Trésor de la Langue Française informatisé
O, o, lettre
La quinzième lettre de l'alphabet; un spécimen de cette lettre. La gamme implacable a e i o u (Gourmont,Esthét. lang. fr., 1899, p.129).Ils mangent et, après un moment de silence, Z demande à Y ce qu'est devenu un autre de leurs amis: ?Et O? ?Pets! Cure, air: aise... [P, Q, R, S] (P. Couratin, G.Kolebka, Au restaurant, Histoire de parler la bouche pleine ds Okapi, 1erjanv. 1983, no267, p.25):O, o, lettre
La quinzième lettre de l'alphabet; un spécimen de cette lettre. La gamme implacable a e i o u (Gourmont,Esthét. lang. fr., 1899, p.129).Ils mangent et, après un moment de silence, Z demande à Y ce qu'est devenu un autre de leurs amis: ?Et O? ?Pets! Cure, air: aise... [P, Q, R, S] (P. Couratin, G.Kolebka, Au restaurant, Histoire de parler la bouche pleine ds Okapi, 1erjanv. 1983, no267, p.25):O au Scrabble
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Les mots proches de O
O O O Ô Oasis Obédience Obédientiel, elle Obéi, ie Obéir Obéissamment Obéissance Obéissant, ante Obélisque Obéré, ée Obérer Obier Obit Objecter Objecteur Objectif, ive Objection Objectionnable Objectivation Objectivement Objet Objurgation Oblat Oblation Obligation Obligatoire Obligé, ée Obligeamment Obligeance Obligeant, ante, Obliger Oblique Obliquement Obliquité Oblitéré, ée Oblitérer Oblivieux, euse Oblong, ongue Obnoxiation Obole Obombration Obombrer Obreptice Obreption Obscène Obscénité o o ô oaristys oasis ob Obaix obédience obédiences obéi obéie obéîmes obéir obéira obéirai obéiraient obéirais obéirait obéiras obéirent obéirez obéiriez obéirons obéiront obéis obéissaient obéissais obéissait obéissance obéissant obéissant obéissante obéissantes obéissants obéisse obéissent obéisses obéissez obéissiez obéissions obéissons obéit obélisque obélisques Obenheim obérant Oberbronn Oberbruck Oberdorf Oberdorf-SpachbachMots du jour
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matinalement fanti rhéteurs morganatique jaillissante mouchardera irréligieuse barbotière tromperiez carillonne
Les citations avec le mot O
- Les grandes personnes mentent souvent. Le truc, c’est qu’on ne peut pas savoir quand.Auteur : Patricia Hespel - Source : La fille derrière la porte (2018)
- Si tu supportes la fumée, tu te réchaufferas avec la braise.Auteur : Ahmadou Kourouma - Source : En attendant le vote des bêtes sauvages (1994)
- Quand la pierre, opprimant ta poitrine peureuse
Et tes flancs qu'assouplit un charmant nonchaloir,
Empêchera ton coeur de battre et de vouloir,
Et tes pieds de courir leur course aventureuse.Auteur : Charles Baudelaire - Source : Spleen et idéal - L'observation est l'investigation d'un phénomène naturel, et l'expérience est l'investigation d'un phénomène modifié par l'investigateur.Auteur : Claude Bernard - Source : Introduction à l'étude de la médecine expérimentale (1865)
- Qui entre dans l'étuve, sortira en sueur.Auteur : Proverbes turcs - Source : Proverbe
- La puissance n’est, en fin de compte, que la capacité d’infliger de la souffrance à autrui. Auteur : Theodore Sturgeon - Source : Cristal qui songe (1952)
- Ce monde, songeai-je, est un miracle si fantastique qu'on ne sait pas trop s'il faut en rire ou en pleurer. Sans doute les deux à la fois...Auteur : Jostein Gaarder - Source : Le mystère de la patience
- Il y a des femmes dont on ne supporte ni la présence ni l'absence... c'est sans solution.Auteur : Pierre-Jean Vaillard - Source : Le Hérisson vert (1970)
- Mon ami et moi sommes un. C'est pourquoi - O douce illusion - elle n'aime que moi.Auteur : William Shakespeare - Source : Sonnets, XLII
- Ils étaient simplement la reconnaissance d'une dette de l'Etat et une assignation donnée aux créanciers sur ce gage précis: les biens d'Eglise.Auteur : Jean Jaurès - Source : Histoire socialiste de la Révolution française (1924)
- Un père s'impose, un papa se fait aimer.Auteur : Jean Gastaldi - Source : Le Petit Livre de Papa (2004)
- Le désir si vif et si inutile de connaître l'avenir donna naissance aux oracles des païens.Auteur : Jean le Rond d'Alembert - Source : Eloges, Dumarsais
- L'honneur de la maison est aux mains de la femme.Auteur : Proverbes allemands - Source : Proverbe
- Elle était triste, si triste, qu'à la voir sur le seuil de sa maison, elle vous faisait l'effet d'un drap d'enterrement tendu devant la porte.Auteur : Gustave Flaubert - Source : Madame Bovary (1857)
- Le sage est tourné vers lui-même et il trouve en lui toutes choses.Auteur : Plotin - Source : Ennéades, III, 8, 6
- Il n'y avait rien à comprendre. Certains faits sont incompréhensibles et aussi durs qu'une pierre tombale et le concept d'éternité. Il faut se contenter d'en prendre acte.Auteur : Jens Christian Grøndahl - Source : Bruits du Coeur (1999)
- Si un jour les Japonais fabriquent du camembert et du vin rouge, il faudra fermer la France.Auteur : Coluche - Source : Coluche les inoubliables : Tous ses sketches, toutes ses chansons
- Comprendre la vie c'est nous comprendre nous-mêmes, et voilà le commencement et la fin de l'éducation.Auteur : Jiddu Krishnamurti - Source : De l'éducation (1955)
- Cinquante ans, c'est long quand on regarde devant soi, pourtant quand on regarde en arrière, on a l'impression que c'était hier. C'est à se demander ce qu'on a fabriqué pendant tout ce temps là. Auteur : Rosamunde Pilcher - Source : September (2004)
- Le déni et la colère sont les premiers pas du processus du deuil. Il en est certainement à ce stade pour l’instant.
– Et quelle est l’étape suivante ?
– La dépression. Et enfin, l’acceptation.Auteur : Mary Higgins Clark - Source : La boîte à musique (2015) - Il vaut mieux être seul que mal accompagné.Auteur : Anonyme - Source : Écrit anonyme
- S'il pleut à la Saint-Vincent, - Le vin monte au sarment.Auteur : Dictons - Source : 22 janvier
- Je suis ainsi fait qu'il me faut des racines non pas seulement à l'endroit où naturellement l'homme les a, mais sur toute la surface de mon corps. Pour vivre, il faut que je sois tout poilu de racines ; comme une sorte de fleur de mer, mais qui flotterait au milieu de la chair durcie des montagnes et des hommes. Auteur : Jean Giono - Source : Les Vraies Richesses (1936)
- Tout ce qui flatte le plus notre vanité n'est fondé que sur la culture, que nous méprisons.Auteur : Luc de Clapiers, marquis de Vauvenargues - Source : Réflexions et Maximes (1746)
- Elle s'imaginait parfaitement badigeonnée d'autobrozant, dans son nouveau bikini ..., tandis que des mecs sexy en short de surf lui apporteraient des cocktails exotiques.Auteur : Cecily von Ziegesar - Source : Je veux tout, tout de suite (2004)
Les citations du Littré sur O
- De toutes les basses de la musique d'harmonie, l'ophicléide est la plus puissanteAuteur : FÉTIS - Source : Manuel des compositeurs, II, 14
- Si s'avisa bon jacobin de venir voir sa dame et qu'à l'aventure il pourroit estre si heureux que de la trouver en belleAuteur : LOUIS XI - Source : ib. XLVI
- La benoite vierge Marie dont tout confort et avancement viennentAuteur : Jean Froissard - Source : Prol.
- Et puis quant Mont-Aguillon fut rendu, le conte de Salsebri le fist abatre et du tout desolerAuteur : FENIN - Source : 1423
- Vous, dès que cette reine, ivre d'un fol orgueil, De la porte du temple aura passé le seuilAuteur : Jean Racine - Source : Athal. v, 3
- Quelcun possible dira que je n'ay pas encore amené raison, pour refrener ceste excuse blasphematoire que je condamneAuteur : CALV. - Source : Instit. 765
- Je trouvay que les glaçons du salpestre estoient formez par quadratures et pointes fort plaisantesAuteur : PALISSY - Source : 45
- Mes exemples un jour ayant fait place aux vôtresAuteur : Corneille - Source : Sertor. III, 2
- Car mon recours J'ai en espoir, en qui me fie, Et en vous, belle, seulement, Car jamais je ne vous oublieAuteur : CH. D'ORL. - Source : Bal. 14
- Le sondage ne doit porter que dans la partie saine du sucre ; les couches ou avaries de mouille sont réfactionnées sur estimation d'arbitres choisis par les deux partiesAuteur : CH. BIVORT - Source : Annuaire du sucre, p. 84
- S'entre-favoriserAuteur : LANOUE - Source : 318
- Je m'en vais m'établir et me ranger dans mon petit logis, en attendant le plaisir de vous y voir avec moiAuteur : Madame de Sévigné - Source : 20 avr. 1672
- Mais pour ici, c'est un miracle quand une fille écoute sur un autre ton que celui du sacrementAuteur : HAMILT. - Source : Gramm. 6
- Je veux l'ouïr ; mon choix s'arrête à ce témoinAuteur : Jean Racine - Source : Mithr. III, 4
- Allez, allez, ô jeunes filles, Cueillir des bluets dans les blésAuteur : Victor Hugo - Source : Orient. 31
- Si vous n'avez le courage de vous retrancher.... vous rendrez inutile le secours que la Providence vous adresseAuteur : Madame de Sévigné - Source : 19 janv. 1689
- Cet oiseau [le friquet], lorsqu'il est posé, ne cesse de se remuer, de se tourner, de frétillerAuteur : BUFF. - Source : Ois. t. VI, p. 231
- Au seul son de sa voix [de Dieu], la mer fuit, le ciel trembleAuteur : Jean Racine - Source : Esth. I, 3
- Solsequium, soucicleAuteur : DU CANGE - Source : solsequium.
- Après avoir aspergé et purifié son corps d'eau netteAuteur : AMYOT - Source : Arist. 50
- Ce Talbot était un de ces vrais Anglais qui dédaignent les superstitions, et qui n'ont pas le fanatisme de punir les fanatiquesAuteur : Voltaire - Source : Incurs. sur Nonotte.
- Tu qui vues avoir mon cheval, Je te di qu'amont et aval, Sans faillir, au tiers pas s'arresteAuteur : MACHAULT - Source : p. 80
- C'est celui qu'aujourd'hui mesmes les papistes nomment penitentier en leurs eglises cathedrales, lequel a quelque reserve des crimes les plus enormesAuteur : CALV. - Source : Inst. 491
- Jaçoit ce que par les ordinations royalles et par les sermens que font les receveurs, vicomtes, tresoriers et autres officiers....Auteur : MONSTREL. - Source : t. I, ch. 99, p. 160, dans LACURNE
- La belle et douce et debonnaire sa femme, la face toute rosée, se print à tremblerAuteur : LOUIS XI - Source : Nouv. c.
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Mise à jour le samedi 8 novembre 2025 à 18h12

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