Définition de « épaulé »


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NOM genre (m) de 3 syllabes
Une définition simple : (fr-verbe-flexion|pp=oui)

  • Participe passé masculin singulier du verbe épauler.


    Définitions de « épaule »


    Trésor de la Langue Française informatisé


    ÉPAULE, subst. fém.

    I.? Domaine humain
    A.? Partie supérieure du bras (articulation de l'humérus) se rattachant au thorax (ceinture scapulaire). Épaules carrées, larges. Au premier pansement, (...) je sus que j'avais l'os de l'épaule gauche cassé (Erckm.-Chatr., Conscrit 1813,1864, p. 139):
    1. Tout à coup, quand elle était fatiguée, elle avait une épaule plus haute que l'autre, un vague air de famille avec une mandragore, qui rappelait sa mère. Aragon, Les Beaux quartiers,1936, p. 18.
    SYNT. Épaules tombantes, voutées; épaules d'athlète, de boxeur, de nageur; balancer, rouler ses épaules; monter une charge à l'épaule; s'asseoir épaule contre épaule; objet placé à hauteur d'épaule; défaire sa veste d'un mouvement d'épaule; donner une tape sur l'épaule de qqn; cheveux qui retombent sur l'épaule; sangloter contre l'épaule de qqn; charger un sac sur ses épaules; avoir la tête enfoncée dans les épaules; Atlas fut condamné à porter le monde sur ses épaules.
    ? P. méton., COUT. Partie du vêtement qui recouvre l'épaule. C'est un très joli costume de page, (...) avec (...) manches légèrement bouffantes à l'épaule, col officier (Romains, Hommes bonne vol.,1939, p. 70).
    B.? Locutions
    1. Loc. verbales
    a) Hausser, lever, soulever et plus rarement hocher les épaules; avoir un haussement et plus rarement un soulèvement d'épaules. Avoir un mouvement d'épaules pour manifester son indifférence, son mépris ou quelque autre sentiment. L'autre répondit, haussant les épaules d'un air de lassitude : ? C'est le temps de la saison (Moselly, Terres lorr.,1907, p. 2).Jacques, sans se forcer à sourire, souleva les épaules avec indifférence (Martin du G., Thib.,Mort père, 1929, p. 1268).Il revint vers le guichet avec un haussement d'épaules découragé (Bernanos, Mauv. rêve,1948, p. 981).
    b) Avoir les épaules à + inf. ou subst. Être capable de, être à la hauteur de. Ce fut le succès, mais le succès comme il vient à Paris, c'est-à-dire fou, le succès à écraser les gens qui n'ont pas des épaules et des reins à le porter (Balzac, Cous. Bette,1846, p. 114).Évidemment, J. Tom Lévis n'est pas à la hauteur de son rôle, il n'a pas les solides épaules de l'emploi (A. Daudet, Rois en exil,1879, p. 333).
    c) [En termes de lutte] Faire toucher les épaules à qqn. Faire en sorte que l'adversaire touche des épaules contre le sol, et p. ext. le vaincre. Ce combat sans merci, où tour à tour les deux antagonistes, épuisés, furent sur le point de toucher des épaules (Tennis et Golf,16 juin 1935, p. 1 ds Grubb, Fr. sp. neol., 1937, p. 37).
    ? Au fig. Sortir vainqueur d'une situation. On s'installait dans la guerre (...) nous avions repris le dessus, nous lui avions fait toucher les épaules à cette femelle; on était à présent comme mariés avec elle, la lune de miel était finie (Vialar, Pt jour,1947, p. 288).
    d) Avoir la tête sur les épaules. Être réaliste, bien équilibré, plein de bon sens. J'en ai assez de vos devinettes et de vos symboles. J'ai ma tête sur mes épaules, moi, et les pieds par terre. Je vais donner des ordres (Cocteau, Machine infern.,1934, 4, p. 133).
    e) Changer son fusil d'épaule. Changer de méthode, de tactique. Après sa maladie, Gustave changea son fusil d'épaule et découvrit les longs effets de la ténacité (Drieu La Roch., Rêv. bourg.,1939, p. 205).
    f) Pousser le temps par l'épaule. ,,Se désennuyer comme on peut, en attendant le moment qu'on désire`` (Ac. 1835, 1878) :
    2. C... qui fait comme moi un cours ici, est un charmant compagnon dont l'amitié m'a bien souvent aidé à « pousser le temps par l'épaule » Green, Journal,1949, p. 127.
    g) Au fig. Peser aux (sur les) épaules (avec une idée de poids physique ou moral à supporter). Constituer une charge pénible à supporter. Il baissait la tête, comme si la honte du garçon avait pesé sur ses épaules (Moselly, Terres lorr.,1907, p. 152).La pauvreté de sa famille lui pèse aux épaules (Simenon, Vac. Maigret,1948, p. 139).
    ? Plier les épaules. Se résigner. Il lui fallut de longs mois pour plier les épaules et accepter ses souffrances d'homme laid (Zola, Ventre Paris,1873, p. 644).
    ? Retomber sur les épaules de qqn. Être mis à la charge de quelqu'un en raison de l'incompétence de celui qui en était d'abord chargé. Vous passez votre vie à marier les uns et à mettre les autres en terre; c'est aimable de votre part, mais comme pendant ce temps-là, votre service qui ne se fait pas tout seul me retombe sur les épaules, je vous déclare que j'en ai assez (Courteline, Ronds-de-cuir,Plumeau, 1885, p. 188).
    ? Porter qqc. sur ses épaules. L'avoir à charge. Il y avait (...) le « pharisien fort d'épaules » (schikmi), qui marchait le dos voûté comme s'il portait sur ses épaules le fardeau entier de la Loi (Renan, Vie Jésus,1863, p. 341).
    h) ,,Mettre qqn dehors par les deux épaules. Le chasser honteusement`` (Ac.).
    i) Vieilli. ,,Il ne jette point les épaules de mouton par la fenêtre. Se dit d'un homme avare`` (Ac. 1835).
    2. Loc. nominale. Coup d'épaule. Coup donné à quelqu'un ou quelque chose avec l'épaule; mouvement des épaules pour faire ou désigner quelque chose. Négrel avait tâché vainement de l'enfoncer [la porte] à coups d'épaule (Zola, Germinal,1885, p. 1446).? On se mesure? proposa-t-il en désignant d'un coup d'épaule un appareil à billes (Queneau, Pierrot,1942, p. 79).
    ? Au fig. Effort efficace. N'oubliez pas ce que je vous ai dit; c'est un coup d'épaule qui sauvera mon hiver, et dont je vous serai profondément reconnaissant (Nerval, Corresp.1830-55, p. 185).
    ? Donner un coup d'épaule à qqn, prêter son épaule à qqn. L'aider de manière efficace. Paris a vu deux ou trois parvenus de ce genre, dont le succès est une honte et pour l'époque et pour ceux qui leur ont prêté leurs épaules (Balzac, Mmede La Chanterie,1850, p. 220).Camille. ? ... Soyez aimable avec lui [M. Grivet], n'est-ce pas? Il n'est que sous-chef, mais il peut, à l'occasion, me donner un bon coup d'épaule (Zola, Th. Raquin,1878, I, 6, p. 63).
    3. Loc. adv.
    a) Par-dessus l'épaule
    ? Avec dédain, mépris. Regarder qqn par dessus l'épaule; parler à qqn par dessus l'épaule. Il est aux pieds du fauteuil de Sacy, qui lui parle par-dessus l'épaule et dont le mépris enjoué a l'air de tomber de haut sur ce candidat romantique et bizarre (Goncourt, Journal,1868, p. 472).Et nous passâmes, pendant qu'ils nous saluaient, et que nous les regardions avec mépris, par-dessus l'épaule (Erckm.-Chatr., Hist. paysan,t. 1, 1870, p. 320).
    ? ,,Faire qqc. par-dessus l'épaule. Ne point le faire du tout. Pensez-vous qu'il veuille acquitter sa dette? Il vous payera par-dessus l'épaule`` (Ac. 1835, 1878).
    ? Fam. ,,Manger par-dessus l'épaule, jouer par-dessus l'épaule. Manger derrière les autres, jouer sans avoir de place à la table de jeu`` (Ac. 1835, 1878).
    b) (Être) sur les épaules. Être ruiné. [Jeannine]... je considérais Liebert comme définitivement sur les épaules Il allait être ruiné (Vialar, Bon Dieu,1953, p. 194).
    II.? [Chez les animaux] Partie supérieure du membre antérieur se rattachant au tronc et p. méton., en boucherie, morceau de viande correspondant au membre antérieur chez le mouton, le veau et le porc, et à l'ensemble du membre antérieur et du collier chez le b?uf. Je tirai de ma boîte un morceau de pain, une épaule d'agneau froid, et une gourde du petit vin que vous savez (About, Roi mont.,1857, p. 46).
    III.? Emplois techn.
    A.? FORTIF. ,,L'épaule d'un bastion. La partie saillante que forme la réunion des pans nommés Flanc et Face. On dit aussi l'angle d'épaule`` (Ac.).
    B.? MAR. ,,Partie arrondie de l'avant de la coque qui forme souvent un léger renflement destiné à permettre au bateau de bien aller à la lame`` (Barber. 1969).
    Rem. On rencontre ds la docum. le subst. masc. épaulon, région. Synon. épaule. Jourdan, à genoux, surveillait le rôtissement. Juste, la chair du chevreau venait de se fendre au pli de l'épaulon (Giono, Joie demeure, 1935, p. 155).
    Prononc. et Orth. : [epo:l]. Enq. : /epol, D/. Ds Ac. 1694-1932. Étymol. et Hist. Ca 1100 espalles (Roland, éd. J. Bédier, 647 et 1344). Du b. lat. spathula « spatule », « omoplate ». Fréq. abs. littér. : 11 713. Fréq. rel. littér. : xixes. : a) 7 674, b) 19 497; xxes. : a) 19 861, b) 20 876. Bbg. Ekblom (R.). Die Entwicklung der Wörter vom Typus spatulam > épaule. In : [Mél. Mélander (J.)]. Uppsala, 1943, pp. 129-139. ? Leumann (M.). Spatule Schulter. Vox. rom. 1937, t. 2, pp. 470-472.


    Wiktionnaire


    Nom commun - français

    épaule \e.pol\ féminin

    1. (Anatomie) Partie du corps qui attache au cou l'articulation du bras chez l'être humain et du membre antérieur chez les quadrupèdes ; articulation qui relie l'arrière-bras au tronc.
      • Rien de gracieux comme ses mouvements d'épaules, lorsqu'elle attire le menton pour se cacher entièrement la figure, qui, par instants, se montre à la dérobée. (Flora Tristan; Les Femmes de Lima, dans Revue de Paris, tome 32, 1836)
      • Un long baiser rescella leur pacte. Aïssa, lourde de langueur, avait renversé sa tête sur l'épaule de son amant. (Victor Margueritte, Un c?ur farouche, Paris : Ernest Flammarion, 1921 p. 61)
      • Les cordelettes m'entraient dans la chair, les mains me faisaient mal et la position dans laquelle mes bras étaient maintenus me brisaient les épaules. (Henri Alleg, La Question, 1957)
      • Il tient volontiers sa tête courbée, les épaules un peu hautes, le dos rond, les bras ballants. (Victor Méric, Les Compagnons de l'Escopette, Éditions de l'Épi, Paris, 1930, page 208)
      • Son casse-pierres sur l'épaule, le carnier de toile, bourré d'un morceau de pain bis, sur le dos, il dévala la bruyère, prit la route, [?]. (Octave Mirbeau, Rabalan,)
      • [?]; et le maréchal, avec son tablier de cuir et ses manches de chemise retroussées jusqu'à l'épaule, tenait le cheval par la bride, parce que le cheval était un peu nerveux. (Gilbert Guisan, C.-F. Ramuz ou Le génie de la patience, page 43, E. Droz, 1958)
    2. (Par extension) (Au pluriel) Carrure.
      • C'est un bel homme bien en chair, élégant en effet, quoique de massive encolure, avec de larges épaules, des joues pleines, de beaux yeux noirs caressans, [?]. (Ernest Duvergier de Hauranne, Huit mois en Amérique, Revue des deux mondes, Vol.2005, 1866, p. 495)
      • C'était en somme, avec sa peau blanche, sa haute taille et ses larges épaules, un fort beau cavalier dans l'acception ordinaire du mot, [?]. (Alexandre Dumas, La Reine Margot, 1845, volume I, chapitre IV)
    3. (Familier) Symbole de la force de caractère.
      • Dès l'Ite Missa est, la sacristine s'agita. Longue, plate et noire comme un staphyllin, desséchée par cinquante ans de célibat concentré, elle semble porter sur ses épaules étroites tout le deuil de la terre, expier tous les péchés du monde. (Jean Rogissart, Passantes d'Octobre, Librairie Arthème Fayard, Paris, 1958)
      • Il n'a pas les épaules assez fortes, il a les épaules trop faibles pour un tel emploi, pour soutenir une telle charge, pour mener à bien cette entreprise : Il n'a point assez de talent, assez de bien, de ressources.
    4. (Fortification) Partie saillante que forme la réunion des pans nommés flanc et face d'un bastion.
      • Rieux réfléchissait. Par la fenêtre de son bureau, il regardait l'épaule de la falaise pierreuse qui se refermait au loin sur la baie. (Albert Camus, La Peste, 1947)
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    Dictionnaire de l'Académie française, huitième édition

    ÉPAULE. n. f.
    Partie du corps qui attache au cou l'articulation du bras chez l'homme et du membre antérieur chez les quadrupèdes. Cet homme a une épaule plus haute que l'autre. Cette femme a de belles épaules. Au défaut de l'épaule. Il a l'épaule démise, rompue, fracassée. Il porte un fardeau sur l'épaule, le fusil sur l'épaule. Il a la tête dans les épaules. Avoir les épaules hautes. Pousser de l'épaule, avec l'épaule. Prêter l'épaule pour charger un fardeau. Il est plus haut que vous de toute l'épaule. Ce cheval est blessé à l'épaule. En termes de Lutte, Toucher des épaules, ses épaules ont touché se dit du Lutteur renversé et vaincu. Hausser les épaules, lever les épaules, Témoigner en haussant les épaules qu'une chose déplaît, qu'elle choque, et plus souvent qu'elle n'inspire que du mépris. Cela me fait hausser les épaules. C'est à faire lever les épaules. Il n'y a rien à répondre à cela, il n'y a qu'à hausser les épaules. Hausser les épaules de pitié, de mépris. Fam., Jouer par-dessus l'épaule, Jouer sans avoir de place à la table du jeu. Fig. et fam., Mettre quelqu'un dehors par les deux épaules, Le chasser honteusement. Fig. et fam., Regarder quelqu'un par-dessus l'épaule, Le regarder avec mépris. Fig. et fam., Je porte cet homme sur mes épaules, Cet homme me pèse, il m'est à charge par les choses qu'il fait, par les choses qu'il dit. Fig., Plier les épaules, baisser les épaules, Recevoir avec soumission une chose fâcheuse, désagréable. On lui fit de durs reproches, il s'en alla pliant, baissant les épaules. Fig. et fam., Il n'a pas les épaules assez fortes, il a les épaules trop faibles pour un tel emploi, pour soutenir une telle charge, pour mener à bien cette entreprise, Il n'a point assez de talent, assez de bien, de ressources. Fig. et fam., Prêter l'épaule à quelqu'un, L'aider, lui fournir des ressources. Il a des amis qui lui prêtent l'épaule, sans quoi il ne pourrait pas soutenir cette affaire, cette entreprise. Fig. et fam., Donner un coup d'épaule. Voyez COUP. Fig., Changer son fusil d'épaule, Changer d'opinion, de ligne de conduite suivant les circonstances. En termes de Fortification, L'épaule d'un bastion, La partie saillante que forme la réunion des pans nommés Flanc et Face. On dit aussi L'angle d'épaule.

    Littré

    ÉPAULE (é-pô-l') s. f.
    • 1Partie la plus élevée du bras chez l'homme. Déjà Despine était sur l'échafaud, Les cheveux retroussés et les épaules nues, Mairet, Solim. v, 2. Il ne me fallait point payer en coups de gaules, Et me faire un affront si sensible aux épaules, Molière, Ét. II, 9. Suis-je ce même Alcide?? ai-je de ces épaules Pour le secours d'Atlas soutenu les deux pôles?? Rotrou, Herc. mour. IV, 1. Je vous ai vu cent fois sous sa main bénissante Courber servilement une épaule tremblante, Boileau, Lutrin, IV. Il n'occupe point de lieu, il ne tient pas de place, il va les épaules serrées, le chapeau abaissé sur les yeux pour n'être pas vu, La Bruyère, VI. Platon fut d'abord appelé Aristocle, du nom de son grand-père?; son maître de palestre l'appela Platon à cause de ses épaules larges et carrées, Rollin, Hist. anc. XXVI, 1re partie, ch. 2, art. 4, § 1.

      Marcher des épaules, marcher pesamment en balançant les épaules et en se donnant un air d'importance. Vous voyez des gens qui entrent sans saluer que légèrement, qui marchent des épaules et qui se rengorgent comme une femme, La Bruyère, VIII.

      Terme de manége. Trotter des épaules, se dit d'un cheval qui trotte pesamment.

      Il est bien large, mais c'est par les épaules ou des épaules, se dit d'un avare, par un jeu de mots sur large, qui, outre l'acception propre, signifie généreux.

      Familièrement. Hausser, lever les épaules, témoigner en haussant les épaules, qu'une chose déplaît, choque. Vous avez un ridicule orgueil qui fait hausser les épaules, Molière, Mal. imag. II, 7. Il ne répondit qu'en haussant les épaules, Sévigné, 210. Le Jupiter d'Homère avec ses deux tonneaux me fait lever les épaules, Voltaire, Memmius, IX.

      Mettre quelqu'un à la porte par les deux épaules, le chasser honteusement. Thésée, après cent coups de gaules, Le mit dehors par les épaules, Scarron, Virg. VII.

      Porter sur les épaules, se dit d'un fardeau dont on a les épaules chargées.

      Fig. Je porte cet homme sur mes épaules, il m'est à charge, il me déplaît.

      Avoir quelque chose sur les épaules, avoir quelque embarras. Quand nous n'aurons plus Philisbourg sur nos épaules, Sévigné, 474. Je veux m'ôter sa charge de dessus les épaules, Sévigné, 410.

      Être sur les épaules, peser sur les épaules, être à charge, être un embarras.

      Plier les épaules, témoigner en pliant les épaules qu'on n'approuve pas. Et parlé de vos vers, en pliant les épaules, Piron, Métrom. III, 4.

      En un autre sens. Plier, baisser les épaules, subir un affront avec résignation.

      Avoir les épaules assez fortes, trop faibles pour ?, c'est-à-dire être capable, incapable d'exécuter une chose.

      Donner un coup d'épaule à quelqu'un, lui venir en aide dans un embarras, dans une difficulté.

      Prêter l'épaule à quelqu'un, lui fournir les ressources dont il a besoin.

      Prêter l'épaule à quelque chose, y être favorable. Et dans son désespoir à la fin se mêlant, Pourra prêter l'épaule au monde chancelant, Corneille, Pompée, I, 1. Perfides, vous prêtez épaule à leur retraite, Corneille, la Veuve, IV, 2.

      Un tour d'épaule, un coup d'épaule, un effort pour quelque chose. Ces messieurs [du parlement] sont l'image de la justice?; les images portées ou menées en procession précèdent le roi?; encore un tour d'épaule et ils prétendront le précéder, Saint-Simon, 445, 209.

      Lire par-dessus l'épaule, lire par derrière une personne ce qu'elle tient dans la main. Et vous croyez bien que je me rends maîtresse de la lettre, pour qu'on ne lise pas sur mon épaule ce que je ne veux pas qui soit vu, Sévigné, 278. Un jour qu'en ayant ouvert une [lettre] et s'étant mis à lire, Éphestion s'approcha et lisait avec lui par-dessus son épaule, Rollin, Hist. anc. t. VI, p. 385, dans POUGENS.

      Manger par-dessus l'épaule, jouer par-dessus l'épaule, manger derrière les autres, jouer sans avoir de place à la table du jeu.

      Regarder quelqu'un par-dessus l'épaule, le regarder avec mépris.

      Faire quelque chose par-dessus l'épaule, ne point le faire du tout. Ne comptez pas être remboursé par cet homme?; il vous payera par-dessus l'épaule.

      Pousser le temps à l'épaule, vivre petitement en attendant un meilleur temps, gagner du temps. En attendant, je vais pousser, comme je pourrai, le temps avec l'épaule jusqu'au printemps, où j'irai revoir?, D'Alembert, Lett. à Voltaire, 15 oct. 1776.

    • 2Partie la plus élevée de la jambe de devant chez les quadrupèdes. Le sanglier a été blessé à l'épaule. Une épaule de mouton, de veau.

      Il sent l'épaule de mouton, se dit de quelqu'un qui sent mauvais.

      Il ne jette pas les épaules de mouton par les fenêtres, il est avare.

      Épaule de mouton, cognée à l'usage des charpentiers.

      Terme d'entomologie. Chez les hexapodes, épaule se dit du second article des pattes antérieures.

    • 3 Terme d'escrime. Avoir de l'épaule, faire tous les mouvements avec cette partie du corps?; ce qui est un défaut.
    • 4 Terme de manége. L'épaule en dedans, se dit de la man?uvre par laquelle on amène les épaules du cheval dans le manége, en conservant toujours les jambes de derrière sur la piste. Épaule gagnée, se dit du cavalier qui est parvenu à diriger les épaules d'un cheval.

      Un cheval qui ne s'assied point sur les hanches, et qui ne plie pas les jarrets, s'abandonne trop sur les épaules.

    • 5 Terme de fortification. L'épaule d'un bastion, le terrain à l'endroit où la face et le flanc se joignent.

      L'angle de l'épaule, l'angle formé par ces deux lignes.

    • 6 Terme de marine. Partie de l'avant du navire sur laquelle il s'appuie, comme par l'arrière il s'assied sur ses fesses.

      Épaule de mouton, espèce de voile triangulaire.


    HISTORIQUE

    XIe s. Li reis Marsiles tint Guene par l'espalle, Ch. de Rol. LI.

    XIIe s. Desor s'espaule li a son doi assis?; Tant le bouta que li cuens [le comte] le senti, li Coronemens Looys, v. 1675. Le pastre deit? l'oeille malede sur l'espaule porter?; Ne la deit pas lessier al larrun estrangler, Th. le mart. 29. Sur tut le pople plus fut halt de l'espalde en avant, Rois, p. 29.

    XIIIe s. Et li atachierent, de par Dieu, la crois en l'espaule, Villehardouin, XXVII. Si traist au roi à descouvert au tournant de la drete espaule, et le navra durement, Chr. de Rains, p. 79.

    XVe s. Et lors ledit duc d'Aquitaine? tout esmu d'ire prit son chancelier par les espaules et le bouta hors de le chambre, Monstrelet, I, 107. Mandoit le roy à messire Jean Jacques de Tremont, qu'il fist espaule audit messire Baptiste de Campefourgouse, Commines, VIII, 15.

    XVIe s. Haste-toy donq' et n'attend pas Que la grand' espaule chenue Des Alpes deçoive tes pas, Du Bellay, J. III, 18, verso. Elle leur feit espaule à succeder aux estats de leur pere, Montaigne, I, 245. Hausser les espaules à l'italienne, Lanoue, 342. Leur ayant toutesfois fait tourner les espaules [prendre la fuite], Lanoue, 429. Ceux du dedans eurent loisir de se couvrir de deux espaules et d'un bon retranchement qui les fermoit toutes deux, D'Aubigné, Hist. I, 58. C'est pourquoy l'on dit qu'ils sentent le bouquin ou l'espaule du mouton, Paré, XVI, 39.


    SUPPLÉMENT AU DICTIONNAIRE

    ÉPAULE. Ajoutez?:
    7 Terme de tisserand, en Belgique. Synonyme de canette, c'est-à-dire petit tuyau de bois ou de roseau qu'on charge de fil pour faire la trame d'une étoffe. En Belgique, il n'y a pas d'ouvriers en ateliers?; tout le travail se fait dans les chaumières?; le mari tisse la toile?; la femme fait ce qu'on appelle les épaules, les canettes?; elle bobine le fil, Enquête, Traité de comm. avec l'Anglet. t. V, p. 322.

    REMARQUE

    1. Outre?: pousser le temps à l'épaule, qui est dans le Dictionnaire, on dit aussi?: pousser le temps par l'épaule, avec l'épaule. Elle [la reine Elisabeth d'Angleterre] poussait le temps avec l'épaule, La Pise, Hist. des princes de la maison de Nassau, IVe part. p. 426. Ecrivez-moi souvent?; vos lettres me donnent courage, et m'aident à pousser le temps par l'épaule, comme on dit dans ce pays-ci, Racine, Lett. 26, à Vitart.

    2. Cette locution a aussi le sens de?: hâter dans son impatience la marche du temps. Voici un temps, ma chère enfant, où je n'entends plus rien?: quand il me déplaît, comme à présent, et que j'en désire un meilleur, et que je l'espère, je le pousse à l'épaule comme vous?; et puis, quand je pense à ce que je pousse, et à ce qu'il m'en coûte quand il passe, et sur quoi cela roule, et où cela me pousse moi-même, je n'en puis plus, et je n'ose plus rien pousser, Sévigné, 28 mars 1689.

    Dans le même sens que Mme de Sévigné, Beaumarchais a dit pousser de l'épaule?: " Souvent aux pièces qui m'attachent le plus, je me surprends à pousser de l'épaule, à dire tout bas avec humeur?: Eh?! va donc, musique?; pourquoi toujours répéter?? n'es-tu pas assez lente?? " Lettre sur la critique du Barbier de Séville.

    Version électronique créée par François Gannaz - http://www.littre.org - licence Creative Commons Attribution

    Étymologie de « épaule »

    Wallon spal, s. f.?; provenç. espatla, espalla?; catal. espatlla?; esp. espalda?; portug. espalda?; ital. spalla?; du latin spathula, omoplate, diminutif de spatha, spatule (voy. SPATULE et ÉPÉE), ainsi dite à cause de la forme large de cet os. L'étymologie montre que l'ancienne forme espalde est la plus conforme à l'origine, et que dans les autres il y a eu assimilation du d à l'l?: espalle, espaule.

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    Du moyen français espaule, de l'ancien français espale, du bas latin spathula (« petite épée large », « spatule », « omoplate »), du latin spatha (« épée droite »).
    Wiktionnaire - licence Creative Commons attribution partage à l'identique 3.0

    ÉPAULE, subst. fém.
    Étymol. et Hist. Ca 1100 espalles (Roland, éd. J. Bédier, 647 et 1344). Du b. lat. spathula « spatule », « omoplate ».

    épaulé au Scrabble


    Le mot épaulé vaut 8 points au Scrabble.

    epaule

    Informations sur le mot epaule - 6 lettres, 4 voyelles, 2 consonnes, 5 lettres uniques.

    Quel nombre de points fait le mot épaulé au Scrabble ?


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    epaule

    Les rimes de « épaulé »


    On recherche une rime en LE .

    Les rimes de épaulé peuvent aider les poètes et les paroliers à trouver des mots pour former des vers avec une structure rythmique cohérente, mais aussi pour jouer avec les mots et les sons, découvrir de nouvelles idées et perspectives ce qui peut être amusant et divertissant.

    Les rimes en le

    Rimes de raclais      Rimes de défilés      Rimes de articulé      Rimes de voler      Rimes de rappeler      Rimes de dégringolaient      Rimes de délai      Rimes de consolé      Rimes de calculais      Rimes de dépoilées      Rimes de inarticulées      Rimes de déballez      Rimes de faufilait      Rimes de moulez      Rimes de chevalet      Rimes de grêlées      Rimes de rafistolés      Rimes de emperlait      Rimes de congratulaient      Rimes de renâclait      Rimes de accoler      Rimes de rassemblez      Rimes de reculés      Rimes de défoulais      Rimes de rappelai      Rimes de dépuceler      Rimes de fêlées      Rimes de ressemblait      Rimes de reficelai      Rimes de dégonflées      Rimes de ruisselait      Rimes de doublés      Rimes de Auvelais      Rimes de scellés      Rimes de baller      Rimes de maculée      Rimes de câblé      Rimes de pédonculé      Rimes de exilés      Rimes de oscillé      Rimes de triplées      Rimes de refoulée      Rimes de intercalait      Rimes de défoulaient      Rimes de branlée      Rimes de cannelées      Rimes de intituler      Rimes de coagulé      Rimes de assimilé      Rimes de gueulais     

    Mots du jour

    raclais     défilés     articulé     voler     rappeler     dégringolaient     délai     consolé     calculais     dépoilées     inarticulées     déballez     faufilait     moulez     chevalet     grêlées     rafistolés     emperlait     congratulaient     renâclait     accoler     rassemblez     reculés     défoulais     rappelai     dépuceler     fêlées     ressemblait     reficelai     dégonflées     ruisselait     doublés     Auvelais     scellés     baller     maculée     câblé     pédonculé     exilés     oscillé     triplées     refoulée     intercalait     défoulaient     branlée     cannelées     intituler     coagulé     assimilé     gueulais     


    Les citations sur « épaulé »

    1. J'y consens, repartit-il: je vais à mon rendez-vous, et nous nous épaulerons s'il en est besoin.

      Auteur : Alain René Lesage - Source : Histoire de Gil Blas de Santillane (1724)


    2. Au-dessous de la tête, des épaules et de la poitrine commence l'animal, ou cette partie du corps où l'âme ne doit pas se plaire.

      Auteur : Joseph Joubert - Source : Pensées


    3. Si je haussais les épaules en déclarant qu'aucun de ces jeux physiques ne tirait à conséquence, j'infligeais à son amour-propre la blessure la plus acérée, sous prétexte de calmer ses remords.

      Auteur : Marguerite Yourcenar - Source : Le Coup de grâce (1939)


    4. Les maisons s'épaulent l'une l'autre.

      Auteur : Proverbes arabes - Source : Proverbe


    5. Je t'admire, dit le petit prince, en haussant un peu les épaules, mais en quoi cela peut-il bien t'intéresser?

      Auteur : Antoine de Saint-Exupéry - Source : Le Petit Prince (1943)


    6. Elle vient et se livre à mes bras, toute fraîche - D'avoir senti passer l'air solennel du soir - Sur son corps opulent, sous les plis du peignoir. - A bas peignoir! le lit embaume. O fleur de pêche - Des épaules, des seins frissonnants et peureux!...

      Auteur : Charles Cros - Source : Sans référence


    7. Aujourd'hui, revêtu de la facile armure de la proche maturité, les minuscules piqures quotidiennes vous effleurent superficiellement et sont vite oubliées, mais quel poids avait à cette époque une parole insouciante, et comme elle s'imprimait avec des lettres de feu, et comme un regard par-dessus l'épaule s'incrustait en vous pour l'éternité !

      Auteur : Daphne du Maurier - Source : Rebecca (1938)


    8. La faillite de l'Europe: j'attends toujours qu'un Scandinave ou qu'un Espagnol me prenne affectueusement par les épaules pour sceller une fraternité complice.

      Auteur : Philippe Bouvard - Source : Mille et une pensées (2005)


    9. On désire le bonheur du couple: lui a fait son devoir, elle est plutôt jolie, et tous deux ont la tête sur les épaules.

      Auteur : Anatole Bisk, dit Alain Bosquet - Source : Les Bonnes intentions (1975)


    10. Être lecteur compulsif, qui plus est écrivain, exige une forme physique exemplaire et des épaules de déménageur.

      Auteur : Michel Le Bris - Source : Pour l'amour des livres (2019)


    11. Il secoua les épaules, comme un animal au filet, que chaque soubresaut empêtre davantage.

      Auteur : Roger Martin du Gard - Source : Les Thibault


    12. C'est un lourd fardeau d'être raisonnable et j'aurais volontiers secoué les épaules pour m'en débarrasser.

      Auteur : Jacqueline Harpman - Source : La Plage d'Ostende (1991)


    13. Anjou, feu, feu de cheminée, nez de canard, canard à mare, j'en ai marre, marabout, boue des tranchées dont il s'extirpait, tête baissée tanguant d'une épaule à l'autre, pour aller plus loin vers les reflets du soir, il en avait marre.

      Auteur : Jean-Baptiste Rossi, dit Sébastien Japrisot - Source : Un long dimanche de fiançailles (1991)


    14. Gilliatt s'arc-bouta des pieds, des genoux et des poings à l'escarpement et s'adossa des deux épaules au levier énorme.

      Auteur : Victor Hugo - Source : Les travailleurs de la mer (1866)


    15. Cette femme était jeune, blanche comme une Européenne. Sa tête, son cou, ses épaules, ses oreilles, ses bras, ses mains, ses orteils étaient surchargés de bijoux, colliers, bracelets, boucles et bagues.

      Auteur : Jules Verne - Source : Le Tour du monde en quatre-vingts jours (1873)


    16. Les renards préfèrent la campagne à la ville, ils n'ont besoin des épaules de personne pour traverser la rue.

      Auteur : Patrick Sébastien - Source : Carnet de notes (2001)


    17. La première condition préparatoire pour écrire, c'est de se connaître et pour cela, de s'examiner, de s'étudier, de savoir, comme le dit Horace, de quel fardeau vous pouvez charger vos épaules.

      Auteur : Antoine Albalat - Source : L'art d'écrire enseigné en vingt leçons (1900)


    18. A treize ans, bientôt quatorze, elle en paraissait dix-huit avec ce corps déjà mûr, cette bouche sanguine, ces yeux bleus en amande, et ces longs cheveux vermeils comme un feu sur les épaules.

      Auteur : Yann Queffélec - Source : Les Noces barbares (1985)


    19. Solange : Tout va parler, Claire. Tout nous accusera. Les rideaux marqués par tes épaules, les miroirs par mon visage, la lumière qui avait l'habitude de nos folies, la lumière va tout avouer.

      Auteur : Jean Genet - Source : Les Bonnes (1947)


    20. Je feins l'adulte, mais, secrètement, je guette toujours le scarabée d'or, et j'attends qu'un oiseau se pose sur mon épaule, pour me parler d'une voix humaine et me révéler enfin le pourquoi du comment.

      Auteur : Romain Gary - Source : La Promesse de l'aube (1960)


    21. Pour qu'un amour soit inoubliable, il faut que les hasards s'y rejoignent dès le premier instant comme les oiseaux sur les épaules de saint François d'Assise.

      Auteur : Milan Kundera - Source : L'insoutenable légèreté de l'être (1984)


    22. C'est ça la consolation. Prendre une partie du fardeau de l'autre et le mettre sur ses propres épaules, comme on décharge une mule.

      Auteur : Metin Arditi - Source : La Fille des Louganis (2007)


    23. Toutes les singeries de sensibilité qu'une femme fait abusent toujours un amant ; et là où un mari hausse nécessairement les épaules, un amant est en extase.

      Auteur : Honoré de Balzac - Source : La Comédie humaine (1842-1852)


    24. Quand elle vous prenait contre elle, on ne savait plus ce qui était bras, épaules, seins ou ventre. Tout se confondait dans une douce chaleur et on avait envie d'y rester toujours.

      Auteur : Jean-Claude Mourlevat - Source : Le Combat d'hiver (2006)


    25. Les réputations de coterie portées à dos d'hommes tombent avec la génération d'épaules qui les soutenait.

      Auteur : Jean Antoine Petit, dit John Petit-Senn - Source : Bluettes et boutades (1846)


    Les citations sur épaulé renforcent la crédibilité et la pertinence de la définition du mot epaule en fournissant des exemples concrets et en montrant l'utilisation d'un terme par des personnes célèbres. Elles peuvent également renforçer la compréhension du sens d'un terme et en ajoutant une dimension historique.

    Les mots proches de « epaule »

    ÉpacmastiqueÉpacteÉpagneul, euleÉpaillageÉpais, aisseÉpaissementÉpaisseurÉpaissi, ieÉpaissirÉpalementÉpalerÉpamprementÉpamprerÉpanadiploseÉpanché, éeÉpanchementÉpancherÉpanchoirÉpandageÉpandreÉpandu, ueÉpanoui, ieÉpanouirÉpanouissementÉpargnant, anteÉpargneÉpargné, éeÉpargnerÉparpillé, éeÉparpillementÉparpillerÉpars, arseÉparsÉparsementÉparserÉpartir (s')Éparvin ou épervinÉpatementÉpaterÉpaufrureÉpaulardÉpauleÉpauléeÉpaulerÉpauletteÉpaulièreÉpaulu, ueÉpaveÉpavité

    Les mots débutant par epa  Les mots débutant par ep

    ÉpagneÉpagne-ÉpagnetteépagneulépagneuleÉpagnyÉpagnyÉpagnyépagomènesÉpaignesépaisépaisépaisseépaissementépaissesépaisseurépaisseursépaissiépaissieépaissiesépaissirépaissiraisépaissirentépaissisépaississaientépaississaitépaississantépaississeépaississementépaississentépaissitépanchaépanchaientépanchaisépanchaitépanchantépancheépanchéépanchementépanchementsépanchentépancherépancheraitépandépandageépandagesépandaientépandaitépandantépandentépandeur

    Les synonymes de « epaule»

    Les synonymes de épaulé :

      1. silhouette
      2. envergure
      3. stature
      4. carrure
      5. appuie
      6. aide

    synonymes de épaulé

    Fréquence et usage du mot épaulé dans le temps


    Évolution historique de l’usage du mot « epaule » avec Google Books Ngram Viewer qui permet de suivre l’évolution historique de l'usage du mot épaulé dans les textes publiés.



    Classement par ordre alphabétique des définitions des mots français.


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