La définition de B du dictionnaire français. Signification du mot et son éthymologie - De nombreux exemples d'usage en français ainsi que des citations.

B
Nature : s. m.
Prononciation : bé
Etymologie : Le b latin, grec bêta, du phénicien ou hébreu beth.

Voir les citations du mot BSignification du mot B


Notre dictionnaire de français vous présente les définitions de b de manière précise, avec des exemples pertinents pour aider à comprendre la signification du mot.

Notre dictionnaire de définitions comprend des informations complémentaires telles que la nature du mot, sa prononciation, des exemples d'expressions, l'étymologie, les synonymes, les homonymes, les antonymes mais également les rimes et anagrammes. Quand la définition du mot s'y prête nous vous proposons des citations littéraires en rapport avec b pour illustrer la compréhension du mot ou préciser le sens et de répondre à la question quelle est la signification de B ?


La définition de B

Seconde lettre de l'alphabet. Un B majuscule ; un petit B.


Toutes les définitions de « b »


Trésor de la Langue Française informatisé


B, subst. masc.

I.? Seconde lettre et première consonne de l'alphabet.
? Graphies. B majuscule ou grand B; b minuscule ou petit b :
1. La Grande Encyclopédie est loin d'être terminée ... elle a ... attaqué la lettre B, qui est ... une des plus riches de l'alphabet. A. France, La Vie littér.,t. 2, 1890, p. 95.
2. En dépit des altérations qu'elles ont subies en vingt-huit siècles d'usage ... les lettres qui sortent de votre plume ne me sont point étrangères. Je reconnais ce B qui, de mon temps, s'appelait beth, c'est-à-dire maison. A. France, Le Jardin d'Épicure,1895, p. 174.
? Expr. fam. ou pop. Ne savoir ni A ni B. Cf. art. A.Ne parler que par B et par F. User des jurons qui commencent par ces lettres. Le B.A.BA. Cf. B.A.BA.Être marqué au B (cf. J.-F. Rolland, Dict. du mauvais langage, 1813, p. 15).
II.? [Empl. comme symbole] Second terme d'une série.
A.? SC. EXACTES
1.? ASTRON. ,,B (type stellaire), étoiles chaudes (de 15 000 à 20 000 oC), où l'hélium n'est plus ionisé et où l'hydrogène apparaît avec des raies de plus en plus fortes quand on avance dans ce type vers le suivant (A)`` (Muller 1966).
2. MATH. ALG. b symbole désignant une quantité connue. GÉOM. Comme A, B ,,indique l'une des parties d'une figure qui sert à quelque démonstration (l'angle A, l'angle B d'un triangle, etc.)`` (Ac. Compl. 1842, s.v. A). Prouver, démontrer par A + B. Cf. A II A :
3. La vérité, c'est que nous vivons dans un pays d'où le bon sens a cavalé, au point que M. de La Palisse y passerait pour un énergumène, et qu'un homme de jugement rassis, d'esprit équilibré et sain, ne saurait prêcher l'évidence, la démontrer par A plus B, sans se voir taxé d'extravagance et menacé, à l'instant même de la camisole de force. Courteline, L'Article 330,1900, p. 262.
B.? SC. NAT.
1. CHIM. B, symbole du bore. b, l'une des constantes de l'équation de Van der Walls. Point d'ébullition. Constante de la loi de Wien (d'apr. Duval 1959).
2. MÉD. B, désigne l'un des quatre groupes sanguins.
3. MÉTROL. B, symbole de la bougie nouvelle, unité d'intensité lumineuse. B, symbole du bel, unité de puissance sonore.
4. PHYS. ,,B, symbole de la barye, unité C.G.S. de pression`` (Laitier 1969). ,,b, symbole du bar (106baryes)`` (Laitier 1969).
C.? LOG. ,,Lettre placée au commencement d'un nom de syllogisme qui marque qu'il peut être ramené à Barbara`` (Lal. 1968); cf. Barbara.
D.? MAR. B. Lettre du Code international des signaux. En signal flottant elle est constituée par un guidon rouge, en morse par les signes « ? ? - ? » hissé seul le pavillon « b », deuxième du Code international des signaux, signifie : « j'embarque » ou « je débarque des matières explosives » (d'apr. Le Clère 1960).
E.? MUS. [Dans la notation grégorienne] Synon. de si*.
III.? [Empl. comme sigle d'abrév.]
A.? TITRES. B ou Bonabréviation de baron.
B.? Autres sigles et abréviations
1. CHIM. En densimétrie, B, abréviation de degré de Baumé.
2. MUS. B, abréviation de bémol. ,,Abréviation par laquelle on indique la voix de Basse ou les instruments à cordes et en cuivre appelés Basse`` (Rougnon 1935).
3. PHYS. B, sur le cadran d'un baromètre, abréviation de Beau.
4. PYROTECHN. Poudre B. Sorte de poudre propulsive ainsi appelée du nom du général Boulanger.
IV.? Argot
A.? Arg. des bagnes. Cf. A IV.
B.? Autres emplois
1. ,,B.À.C. pour Boîtes À Curés``; (Esn. 1966) ,,groupe des élèves issus d'écoles religieuses`` (Esn. 1966).
2. ,,B.O.F. pour Beurre-?ufs-Fromage.`` (Esn. 1966) ,,Nouveau riche`` (Esn. 1966).
3. ,,L'école b.`` (Esn. 1966) ,,L'école « buissonnière »`` (Esn. 1966).
PRONONC. ET ORTH. : [be] lorsqu'il s'agit de la lettre b, [b?] lorsqu'il s'agit du phonème [b]. À ce sujet cf. également Fér. 1768 : ,,Prononcez bé, é fermé, (...) approche un peu par sa prononciation, du bêlement des moutons. On ferme tellement les lèvres, pour la prononcer [la lettre], qu'elle est toujours suivie d'une voyelle ou réelle ou sous-entendue.`` Cf. encore Fér. Crit. t. 1 1787 : ,,Prononcez be, en détachant légèrement les lèvres; cependant comme l'usage en enseignant a été pendant long-temps de faire dire bé, il en est résulté certaines locutions dans lesquelles il paraîtrait peut-être prétentieux de faire sonner le b, be : ainsi dans cette phrase, il ne sait ni a ni b, (...) dites ni a, ni bé.`` Cf. enfin Land. 1834 : ,,On prononce (...) L'E est fermé. Les Maîtres d'École font prononcer Be, e muet.`` Fél. 1851 et DG : ,,; selon la nouvelle épellation, be.`` La lettre b dans le mot. ? À l'initiale : cf. Fouché Prononc. 1959, p. 233 : ,,B = [b] : bas, bêche, bidon, bol, bouder, bureau, etc.`` ? Devant consonne : cf. ibid., p. 322 : 1o) Le b est muet dans Fabvier, Febvre et Lefebvre. 2o) Dans tous les autres cas, il se prononce. Mais il peut avoir la valeur de [b] ou [p]. On prononce [b] devant une consonne sonore non liquide, appartenant toujours à la syll. suivante : abdication, (...) abject, (...) abnégation, etc., (...) et devant une liquide (l, r) pouvant appartenir à la même syllabe (accabler, célébrer, etc.) ou à la syllabe suivante (subliminal, sublinéaire, obreptice etc.). On prononce [p] devant une consonne sourde, appartenant toujours à la syllabe suivante : abcès absolu, absorber, obtenir, obtus, abscisse.`` À ce sujet cf. aussi Kamm. 1964, p. 171, ainsi que Fér. 1768 et Land. 1834. Mais comme le dit très justement Landais t. 1 1834 : ,,De quelle lettre que B soit suivi, au commencement ou à la fin de chaque mot, il conserve toujours le son qui lui est propre; et il n'est pas vrai qu'il doive devant s et t se faire sentir comme un P : Absolu ne se prononce certainement pas ape-ço-lu, mais bien naturellement abe-ço-lu.`` En effet, pour [b] devant [s] il convient de parler d'un assourdissement que nous transcrivons par le signe [b] : ex. absurde [absy?d]. La phonét. exp. a prouvé que [b] ne devenait pas une sourde. ? B après consonne (ex. barbu), entre consonnes (ex. arbrisseau) et devant h (ex. abhorrable, abhorrer) se prononce toujours [b] (cf. Fouché Prononc. 1959, p. 322 et 323). ? B final : Fouché, p. 376, note : ,,Il est muet dans radoub [Fér. 1768, Fér. Crit. t. 1 1787 et Land. 1834 y ajoutent plomb, aplomb et rumb de vent] et il se prononce [b] dans tous les autres cas : baobab, cab, nabab, guib, naïb, rob, snob, club, tub, [les mots étrangers] : Achab, Assab, Joab (...), Jacob, Job, etc.`` ? Fér. 1768 (cf. aussi Land. 1834) signale : ,,Les Espagnols, et les Gascons à leur imitation, lui donnent le son de l'v consonne et prononcent Boire comme Voire. Les Allemands la font sonner [la lettre b] comme un p et disent Poire. Fér. 1768 signale : ,,B ne redouble que dans Abbé et ses dérivés, Abbesse, Abbaye, Abbatial. On écrit aujourd'hui Abaisser, Abatre, Abréger, Abreuver et leurs dérivés avec un seul b.`` Fér. Crit. t. 1 1787 écrit à ce sujet : ,,S'il arrive que cette consonne soit redoublée dans les mots sabbat, rabbin, abbé et ses dérivés, un seul b, et c'est le dernier, se fait entendre (cf. aussi Wailly 1808, p. 356). Enfin Fér. 1768 rappelle : ,,Le b ne s'écrit plus là où il ne se prononce pas. On écrivait autrefois debte, debvoir, doubte, pour conserver l'étymologie; mais le b a abandonné ces mots, et autres semblables, depuis long-temps.``
STAT. ? Fréq. abs. littér. : 1 618. Fréq. rel. littér. : xixes. : a) 2 008, b) 1 524; xxes. : a) 1 781, b) 3 280.
BBG. ? Bach.-Dez. 1882. ? Banque 1963. ? Barber. 1969. ? Bouillet 1859. ? Chesn. 1857. ? Duval 1959. ? Électron. 1963-64. ? Encyclop. méthod. Méd. t. 3 1790. ? Esn. 1966. ? France 1907. ? Franck 1875. ? Garnier-Del. 1961 [1958]. ? Gay t. 1 1967 [1887]. ? George 1970. ? Gottsch. Redens. 1930, p. 354, 435. ? Gramm. t. 1 1789. ? Grand. 1962. ? Gruss 1952. ? Laitier 1969. ? Lal. 1968. ? Le Clère 1960. ? Le Roux 1752. ? Méd. Biol. t. 1 1970. ? Muller 1966. ? Plais.-Caill. 1958. ? Rougnon 1935 (et p. 134, 163).

B, subst. masc.

B au Scrabble


Le mot b vaut 3 points au Scrabble.

b

Informations sur le mot b - 1 lettres, 0 voyelles, 1 consonnes, 1 lettres uniques.

Quel nombre de points fait le mot b au Scrabble ?


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b

Les mots proches de B

BBaalBabBabéliqueBaberiBabiche ou babichonBabilBabillard, ardeBabillerBabillerieBabine ou babouineBabioleBablahBâbordBâbordaisBaboucheBabouinBabyBabyBabysmeBacBacchanalBacchanaleBacchanteBacchusBachaBacheletteBachelierBâcheurBachiqueBachlick ou bachelickBâclerBacologiqueBactériqueBadamierBadaud, audeBadaudageBadauderieBadelaireBadianeBadin, ineBadinageBadinementBadinerBadinerieBafoué, éeBafouerBâfréeBâfrerBagagebB?rschB?senbiesenB?urs-en-OtheBaaigemBaalBaâlonBaâlonsBaardegemBaarle-HertogBaasrodeBab?ufbabababababallebabasbabasseBabeau-Bouldouxbabelbabéliennebabeurrebabibabilbabillagebabillagesbabillaientbabillaitbabillantbabillardbabillardbabillardebabillebabillébabillentbabillerbabillesbabilsbabinebabinesbabiolebabiolesbabiroussabâbordbabouchebabouchesbabouchkababouchkasbabouinbabouinebabouines


Mots du jour


Plinthe     Réducteur     Difformation     Verbalement     Breste     Séité     Branche     Réfugier (se)     Publiquement     Renamourer     

Les citations avec le mot B


  1. L'homme éveillé choisit ses rêves. Celui qui dort les subit.

    Auteur : Augusta Amiel-Lapeyre - Source : Pensées sauvages (1923)


  2. Mathieu ne le savait pas mais cette phrase, dite par hasard, était une phrase magique. Elle donne aussitôt la parole aux poux et les rend domestiques, fidèles et obéissants.

    Auteur : Pierre Elie Ferrier, dit Pef - Source : Rendez-moi mes poux ! (1984)


  3. Les bons mouvements ne sont rien s'ils ne deviennent de bonnes actions.

    Auteur : Joseph Joubert - Source : Pensées (1774-1824), Des passions


  4. Je ne suis pas bibliophile, mais humanophile: c'est en fait d'êtres que je cherche les exemplaires rares.

    Auteur : Natalie Clifford Barney - Source : Pensées d'une Amazone (1920)


  5. Il s'agissait simplement de moi, moi qui ne me voulait peut-être pas du bien, moi contre moi, moi toute seule contre moi.

    Auteur : Véronique Ovaldé - Source : Déloger l'animal (2005)


  6. A table comme en amour, le changement donne du goût.

    Auteur : Proverbe provençal - Source : Proverbes


  7. Quoique jeune sur la terre,
    Je suis déjà solitaire
    Parmi ceux de ma saison.


    Auteur : Alphonse de Lamartine - Source : Harmonies poétiques et religieuses (1830), II, 1, Pensée des morts


  8. Un mariage heureux est une longue conversation qui semble toujours trop brève.

    Auteur : André Maurois - Source : Mémoires


  9. L'homme succombera tué par l'excès de ce qu'il appelle la civilisation.

    Auteur : Jean Henri Fabre - Source : Souvenirs entomologiques (1870-1889)


  10. François Hollande : Au Maroc, le président de la République n'a pas visité de souk, ça lui rappelait trop le gouvernement.

    Auteur : Laurent Ruquier - Source : On préfère encore en rire (2013)


  11. Comment penser librement à l'ombre d'une chapelle?

    Auteur : Slogan de mai 68 - Source : Inscription sur la chapelle de la Sorbonne.


  12. « Je me sens solitaire », lui disait-elle quand elle était toute petite, et ne réussit jamais à deviner où elle avait attrapé ce mot. Solitaire. Comment imaginer un mot plus triste dans la bouche d'une enfant de deux ans ? mais elle savait dire tant de choses si jeune, elle avait appris à parler si facilement, au début, si intelligemment – peut-être était-ce la cause de son bégaiement, tous ces mots qu'elle connaissait mystérieusement avant que les autres enfants en soient capables d'articuler leur propre nom, peut-être était-ce la charge émotive trop lourde d'un vocabulaire qui comporte la phrase « je me sens solitaire ».

    Auteur : Philip Roth - Source : Pastorale américaine (1997)


  13. Tout observateur du genre humain sait combien il est difficile de raconter une expérience de telle sorte qu'aucun jugement n'interfère dans la narration.

    Auteur : Georg Christoph Lichtenberg - Source : Le miroir de l'âme


  14. Le bon juge est pitoyable et impayable.

    Auteur : Charles Dumercy - Source : Blasphèmes judiciaires (1908)


  15. Il n'y a rien d'autre à apprendre que soi dans la vie. Il n'y a rien d'autre à connaître. On n'apprend pas tout seul, bien sûr. Il faut passer par quelqu'un pour atteindre au plus secret de soi. Par un amour, par une parole ou un visage.

    Auteur : Christian Bobin - Source : Une petite robe de fête (1991)


  16. Il avait des assoupissements agités de songes, des somnolences épuisantes qui le baignaient de sueur.

    Auteur : Louis Marie Julien Viaud, dit Pierre Loti - Source : Le Matelot (1893)


  17. Est-ce qu'on pense aux petits, aux obscurs, aux sans-grades, comme disait Hugo?

    Auteur : François Bayrou - Source : Ce n'est pas de Victor Hugo mais d'Edmond Rostand (L'Aiglon, III, 9).


  18. Il semble que mon mauvais génie ait lâché prise, et je vis depuis trois mois sous la baguette de la fée bienfaisante.

    Auteur : Sébastien-Roch Nicolas de Chamfort - Source : Histoire


  19. Il se peut que tout ce que nous faisons soit déterminé par une grande théorie unifiée. Si cette théorie a déterminé que nous mourrons par pendaison, alors nous ne nous noierons pas. Mais il faudrait être bigrement sûr d'être voué à la potence pour prendre la mer sur une coquille de noix au milieu d'une tempête.

    Auteur : Stephen Hawking - Source : Trous noirs et Bébés univers


  20. Le bonheur est un maître exigeant, surtout le bonheur d'autrui.

    Auteur : Aldous Huxley - Source : Sans référence


  21. C'est le mois d'août - Qui donne bon goût.

    Auteur : Dictons - Source : Dicton


  22. L'amour, une question de lubrifiants.

    Auteur : Roque Dalton - Source : Taberna y otros lugares (1969)


  23. D'aussi loin que je me souvienne, j'ai toujours vécu en exil (je ris, bien entendu, comme vous, de la grandiloquence de l'expression, de son petit côté hugolien : on s'exagère si facilement sa misère quand il pleut).

    Auteur : Guy Goffette - Source : L'Ami du jars (1997)


  24. Respirer, dormir, boire, manger, travailler, rêver, tout ce que nous faisons, c'est mourir. Vivre enfin, c'est mourir!

    Auteur : Guy de Maupassant - Source : Bel-Ami (1885)


  25. Je connus tout ce que vous savez : le printemps, l’odeur de la terre, la floraison des herbes dans les champs, les brumes du matin sur la rivière, et la vapeur du soir sur les prairies. Je traversai des villes, et ne voulus m’arrêter nulle part. Heureux, pensais-je, qui ne s’attache à rien sur la terre et promène une éternelle ferveur à travers les constantes mobilités. — Je haïssais les foyers, les familles, tous lieux où l’homme pense trouver un repos — et les affections continues, et les fidélités amoureuses, et les attachements aux idées — tout ce qui compromet la justice ; je disais que chaque nouveauté doit nous trouver toujours tout entiers disponibles.

    Auteur : André Gide - Source : Les Nourritures terrestres (1897)


Les citations du Littré sur B


  1. Qui a mis Hercules en bruit et renommée sempiternelle ?

    Auteur : François Rabelais - Source : Pant. V, 15


  2. Le mot de targe, dans les anciens écrivains, semble appliqué indifféremment à tous les boucliers ; dans le XVe siècle, il paraît désigner plus spécialement celui que portaient les hommes d'armes et les archers ; la targe variait de forme suivant les pays ; la targe allemande était généralement carrée, à surface concave, portant quelquefois à l'un de ses angles une échancrure pour passer la lance

    Auteur : M. O. PENGUILLY - Source : L'HARIDON, Catal. du Musée d'artill.


  3. Absous et clamés quittes d'une grand somme de florins dont ils estoient de jadis obligés et liés au roi de France

    Auteur : Jean Froissard - Source : I, I, 106


  4. Celuy qui se treuve en ce danger ne doibt pas beaucoup esperer ny de sa force ny de sa vigilance

    Auteur : MONT. - Source : I, 33


  5. Que, sans parler phébus, je ferai le discours De mon gîte....

    Auteur : RÉGNIER - Source : Sat. X.


  6. Sa femme Zénobie ... se rendit célèbre par toute la terre pour avoir joint la chasteté avec la beauté et le savoir avec la valeur

    Auteur : BOSSUET - Source : Hist. I, 10


  7. Percé, jusques au fond du coeur, D'une atteinte imprévue aussi bien que mortelle

    Auteur : Corneille - Source : Cid, I, 9


  8. Le vice qui est en defaillant en ire est nommé inirascibilité

    Auteur : ORESME - Source : Thèse de MEUNIER.


  9. Celui qui souffre beaucoup s'apprête à beaucoup souffrir

    Auteur : LETOURNEUR - Source : Trad. de C. Harlowe, Lett. 120


  10. Se li serjans l'abbé estoit en defaut de venir terchier [lever le droit dit tierce]

    Auteur : DU CANGE - Source : tertia.


  11. Sa pudeur s'alarma d'abord, mais elle céda à l'utilité publique

    Auteur : Montesquieu - Source : Esp. VIII, 11


  12. Et qu'au dû de ma charge on ne me trouble en rien

    Auteur : Molière - Source : Tart. V, 4


  13. Le jurement par lequel le gendarme se promet et s'oblige à son capitaine

    Auteur : CALV. - Source : Instit. 1036


  14. Tous les siècles ne sont pas si heureux que celui d'Auguste, et l'homme dont le monde a besoin n'est pas quelquefois encore né

    Auteur : BALZAC - Source : Des ministres et du ministère


  15. Je trouve que la puissance de l'homme s'étend beaucoup plus loin en méfaits qu'en bienfaits

    Auteur : BERN. DE ST-P. - Source : Harm. liv. VII, De l'amitié


  16. Loin du commerce des affaires et de la société des hommes, ces âmes sans force aussi bien que sans foi, qui ne savent pas retenir leur langue indiscrète

    Auteur : BOSSUET - Source : Duch. d'Orl.


  17. Vous vous êtes mis dans le filet par votre bouche, et vous vous trouvez pris par vos paroles

    Auteur : SACI - Source : Bible, Prov. de Salom. VI, 2


  18. Enfin, sans toutes ces causes de haine, la position de la Prusse entre la France et la Russie obligeait Napoléon à y être le maître, il ne pouvait y régner que par la force ; il ne pouvait y être fort qu'en l'affaiblissant

    Auteur : SÉGUR - Source : Hist. de Nap. I, 2


  19. Il y en eut beaucoup affolez, et beaucoup de leurs vaisseaux conquassez et froissez

    Auteur : AMYOT - Source : Marcel. 25


  20. On n'a point encore séparé ce régiment de noblesse

    Auteur : Madame de Sévigné - Source : 24 juill. 1689


  21. La veue d'un object agreable respandant imperceptiblement en nous la flamme d'une emotion fiebvreuse

    Auteur : MONT. - Source : I, 98


  22. L'historien ne doit avoir pour but que l'utilité qui se tire d'une narration véritable, et, s'il mêle quelque agrément dans son ouvrage, il ne faut pas que ce soit pour en corrompre la vérité, mais pour la faire mieux recevoir

    Auteur : D'ABLANCOURT, Lucien - Source : Comment écrire l'histoire


  23. [Des fanatiques dans l'Inde] se prosternants emmy la place, ils se font mouldre et briser sous les roues

    Auteur : MONT. - Source : II, 39


  24. Il n'a pas l'Italie en poste traversé Sur un cheval poussif, suant et harassé, Qui a cent fois tombé son maistre par la course

    Auteur : RONS. - Source : 667


  25. Au passer que le Sarrazin fist, Mons. Jehan li dona ariere main d'une espée parmi les bras

    Auteur : JOINV. - Source : 277




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Mise à jour le samedi 8 novembre 2025 à 20h42








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