Définition de « affadir »


Notre dictionnaire de français vous présente les définitions du mot affadir de manière claire et concise, avec des exemples pertinents pour aider à comprendre le sens du mot.

Il comprend des informations supplémentaires telles que des exemples d'expressions, l'étymologie, les synonymes, les homonymes, les antonymes mais également les rimes et anagrammes et bien sûr des citations littéraires sur affadir pour aider à enrichir la compréhension du mot Affadir et répondre à la question quelle est la définition de affadir ?

VER genre () de 3 syllabes
Une définition simple : affadir (t) (2egroupe)

  • Dégoûter par une sensation de fadeur. - Une sauce qui affadit. - (fig) Des louanges outrées affadissent le cœur.

  • Rendre fade. - Affadir une sauce, un ragoût, en y mêlant quelque chose de trop doux.

  • Se dit figurément en parlant des ouvrages d’esprit. - Affadir un discours par des pensées et par des expressions affectées et doucereuses.

  • se Rendre fade. (-réf-)


    Définitions de « affadir »


    Trésor de la Langue Française informatisé


    AFFADIR, verbe trans.

    I.? Emploi trans.
    A.? Affecter d'une sensation désagréable, éc?urer.
    1. [L'obj. désigne les organes affectés par la nausée : « c?ur », estomac, bouche...] :
    1. Ce fut la faim qui me réveilla avant le jour, une faim qui tiraillait l'estomac et m'affadissait le c?ur. H. Malot, Romain Kalbris,1869, p. 89.
    2. ... chacune de ces créatures, tassées sur leur chaise comme des paquets de linge sale, s'acharne à raconter une vilenie, un scandale, un crime... Lâchement, j'essaie de sourire avec elles, d'applaudir avec elles, mais j'éprouve quelque chose d'insurmontable, quelque chose comme un affreux dégoût... Une nausée me retourne le c?ur, me monte à la gorge impérieusement, m'affadit la bouche, me serre les tempes... Je voudrais m'en aller... O. Mirbeau, Le Journal d'une femme de chambre,1900, p. 67.
    3. ... rien que de voir cet escalier, cela m'affadit l'estomac, me coupe les jambes, et je suis prise d'un désir fou de me sauver... O. Mirbeau, Le Journal d'une femme de chambre,1900p. 287.
    4. Ses nerfs [de Mario, résolu à venger l'assassinat de sa maîtresse] vibraient. Un goût de meurtre lui affadissait la bouche. A. Le Breton, Du Rififi chez les hommes,1953, p. 154.
    Rem. De toutes les expr. employées dans ces ex., seul affadir la bouche semble demeurer vivant.
    2. Au fig., rare. Éc?urer (cf. affadi ex. 4).
    B.? Rendre fade, affaiblir la vigueur.
    1. Rare. [L'obj. du verbe désigne un mets, une sauce...] Rendre fade par un excès de douceur :
    5. Affadir une sauce, un ragoût, en y mêlant quelque chose de trop doux. Ac.1798-1932.
    ? P. anal. :
    6. ... les airs italiens l'emportaient de beaucoup en nombre, dans la collection du grand-père. Ils avaient été le pain musical du petit Olivier. Nourriture peu substantielle, et un peu analogue aux sucreries de province, dont on bourre les enfants : elles affadissent le goût, démolissent l'estomac, et risquent d'enlever pour toujours l'appétit pour des aliments plus sérieux. R. Rolland, Jean-Christophe,Antoinette, 1908, pp. 842-843.
    2. Au fig. [L'obj. du verbe désigne une fac. ou une attitude hum.; un sentiment, un produit de l'esprit hum.; la vie de l'homme en gén.] Rendre fade (une chose), en affaiblir la vigueur originelle :
    7. À la droite de sa mère s'assit le jeune duc d'Orléans. (...) La régularité froide et féminine de ses traits ne s'éveillait jamais du demi-rêve d'ennui et de fatigue qui affadissait tout dans son aspect et son langage incertain. A. de Vigny, Mémoires inédits,1863, p. 102.
    8. ? Vulgariser une science, mon mignon, c'est la délayer, l'affadir autant que possible... É. Zola, Contes à Ninon,1864, p. 292.
    9. (10 h. m.) Achevé la lettre à Madrina, avec mélancolie. ? Toute cette sentimentalité musicale qui nous affadit l'âme m'a paru une sorte de vampirisme, dont il nous faut nous défendre par le travail énergique. La musicolâtrie rend esclave, elle nous livre à l'ennemi, par l'énervement de la pensée et du vouloir. (...) Et l'âme qu'elle enchaîne, oubliant tout effort, De sons voluptueux avec amour bercée, S'abandonne elle-même et lâchement s'endort. H.-F. Amiel, Journal intime,9 févr. 1866, p. 123.
    Rem. Énervement « action d'ôter le nerf », vx.
    10. « À quoi bon par des promesses d'éternité affadir la vie dont la plus grande beauté est qu'elle est brève et qu'elle ne se recommence jamais. » M. Barrès, Mes cahiers,t. 4, 6 juill. 1905-6 mai 1906, p. 154.
    11. Presque tous les maîtres de l'École française ont un je ne sais quoi de rude et de tendu, plusieurs même une certaine rusticité. Sans affadir leur doctrine, ce jésuite [Bérulle] l'humanise. H. Bremond, Hist. littéraire du sentiment religieux en France,t. 3, 1921, p. 275.
    12. Sévèrement, la critique de l'écran dénonce la guimauve qu'étirent les scenarii américains, leur infantilisme, leur application à affadir, en le répétant, un gag applaudi. Colette, La Jumelle noire,1938, p. 257.
    13. ... la Storia do Mogor, (...) n'eut pas moins de six éditions en France et à La Haye entre 1705 et 1715 sous le titre de Histoire générale de l'Empire du Mogol, dont le Père François Catrou, de la Compagnie de Jésus, (...) prétend être l'auteur, mentionnant tout juste le nom du Vénitien (...), lui qui a (...) expurgé son vocabulaire; lui qui a affadi avec emphase un style primesautier, cru, direct, ce style qu'ils employaient tous à la grande époque les voyageurs, les marins, les hommes d'armes, les découvreurs, ... B. Cendrars, Bourlinguer,1948, p. 15.
    ? P. méton. [L'obj. désigne une pers.] (Cf. affadi A 3).
    ? Emploi abs. :
    14. Humour : (...) Je me fais une haute idée morale et littéraire de l'humour. L'imagination égare. La sensibilité affadit. L'humour, c'est, en somme, la raison. L'homme régularisé. Aucune définition ne m'a suffi. D'ailleurs, il y a de tout dans l'humour. J. Renard, Journal,1910, p. 1266.
    II.? Emploi pronom. S'affadir.
    A.? [Le suj. désigne une substance phys.] Perdre sa saveur, devenir insipide. Une sauce qui s'est affadie.
    ? Par métaph., au fig. :
    15. Tout poète se moque de nous, mais en se moquant d'abord de lui-même. Suavement, d'ordinaire, et sans qu'il y paraisse trop. Aussi, pour que ne s'affadisse pas, au moins dans l'âme des poètes, le sel indispensable de l'humour, paraissent à point nommé les enfants terribles de la poésie : La Fontaine, après le trop solennel Malherbe; Musset, après les mages romantiques; ... H. Bremond, La Poésie pure,1926, pp. 86-87.
    Rem. Sous cette image, ainsi que sous l'ensemble des emplois fig. du verbe pronom., agit, plus ou moins directement, l'image biblique bien connue : Matthieu, V, 13 ,,[Jésus à ses disciples] Vous êtes le sel de la terre. Si le sel s'affadit, avec quoi le salera-t-on? il n'est plus bon qu'à être jeté dehors et piétiné par les hommes.``
    B.? Au fig. Devenir fade, perdre toute vigueur, toute originalité.
    1. [Le suj. désigne une réalité phys., création de l'esprit hum., notamment dans le domaine des B.-A., de la mus.] :
    16. L'orchestre jouait toujours la valse. Cette musique molle, dont le rythme monotone s'affadissait à la longue, redoublait l'exaspération de la jeune femme. É. Zola, La Curée,1872, p. 567.
    17. ... son timbre [le timbre du Cornet] peut-il se comparer à celui de la Trompette, surtout dans le registre aigu, où il s'affadit et se décolore? Ch.-M. Widor, Technique de l'orchestre moderne,1904, p. 62.
    ? P. méton. [Le suj. désigne un artiste] :
    18. L'Angleterre de Shakespeare et des s?urs Brontë, peuplée de fantômes et traversée de sombres ardeurs, n'a jamais eu les peintres qu'elle méritait, même parmi ceux qui, venus de loin comme Van Dyck, munis d'un tempérament fougueux, eussent pu, tels Le Gréco à Tolède, refléter ses vertus et ses vices profonds. Ce Van Dyck qui, jeune, eut des audaces extraordinaires, s'affadit en ce pays respectueux des « apparences » et ne nous laisse aucune page dépassant en intensité les ?uvres de ceux qu'il influença. Cette absorption, par un climat spécial, des facultés héroïques des artistes les plus doués, m'apparaît comme un phénomène inexplicable dont l'actuelle exposition, au Louvre, souligne l'étrangeté. A. Lhote, Peinture d'abord,1942, p. 95.
    2. [Le suj. désigne une fac. hum. ou une de ses manifestations] :
    19. Sa colère peu à peu s'affadissait, et sa trouble rancune lui envoyait au visage des bouffées de sang de plus en plus faibles. J. Richepin, La Glu,1881, p. 79.
    ? P. méton. [Le suj. désigne une pers.] :
    20. Reste le mal de gorge et reste la toux; mais ce sont mes moindres soucis; pourvu que je rattrape un peu de forces et que je puisse vivre sans me traîner, je suis content. Il n'y a rien de pis que de s'affadir et de se fondre dans un lit. Sans être empereur, je voudrais mourir debout. M. de Guérin, Correspondance,1839, p. 372.
    21. Pour les salons, je n'en suis sorti jamais sans trouver mon c?ur diminué et refroidi. L'impression qui me reste en sortant d'un salon, c'est le désespoir de la civilisation. Si la civilisation devait fatalement aboutir à cet avortement, si le peuple à son tour, devait s'user de la sorte, et, au bout de quelques siècles, s'affadir au sein de la vanité et du plaisir, Caton aurait raison, il faudrait envisager comme des instruments de mollesse et briser sagement tout ce qui est à nos yeux instrument de culture et de perfectionnement, (...) Rien n'égale, en province surtout, la nullité de la vie bourgeoise, et, je ne vois jamais sans tristesse et sans une sorte d'effroi l'affaiblissement physique et moral de la génération qui s'élève; ... E. Renan, L'Avenir de la science,1890, pp. 466-467.
    Prononc. ET ORTH. ? 1. Forme phon. : [afadi:?], j'affadis [?afadi]. Enq. : /afadi, afadis/. Conjug. agir. 2. Dér. et composés : affadissant, affadissement. Cf. fade. ? Rem. Fér. Crit. t. 1 1787 propose la graph. afadir avec un seul f.
    Étymol. ET HIST. ? 1. 1226 « affaiblir, rendre languissant » emploi fig., part. passé (Histoire de Guillaume Le Maréchal, éd. Meyer, 8990, Romania XI, 64 ds T.-L. : forment est amaladiz, Si li est li cuirs [cuers] afadiz K'il ne puet ester ne seier [seeir], Gesir l'estuet par estouver), en ce sens au Moy. Âge seulement; 2. 1558, « rendre fade, sans saveur » (Bonaventure des Periers, Nouv. recreat., du bon yvrogne Janicot Milieu ds Gdf. Compl. : Sa femme bien souvent... luy beuvoit le vin de sa bouteille, laquelle elle remplissoit d'eau, que le povre Janicot beuvoit en dormant : et bien souvent se resveilloit a ce goust aquactique, qui luy affadissoit toute la bouche); 3. 1611 « causer du dégoût, éc?urer » (Cotgr. : Affadir. To make or grow tastlesse, wallowish, waterish; weake; unsauorie; witlesse). Dér. de fade*; préf. a-*, dés. -ir.
    STAT. ? Fréq. abs. litt. : 32.
    BBG. ? Bél. 1957. ? Bénac 1956. ? Boiss.8. ? Dup. 1961. ? Fér. 1768.


    Wiktionnaire


    Verbe - français

    affadir transitif 2e groupe (voir la conjugaison) (pronominal : s'affadir)

    1. Dégoûter par une sensation de fadeur.
      • Une sauce qui affadit.
      • (Figuré) Des louanges outrées affadissent le c?ur.
    2. Rendre fade.
      • Affadir une sauce, un ragoût, en y mêlant quelque chose de trop doux.
      • Le feu continuait à embraser le ciel au-dessus du château, affadissant les étoiles, mais il faiblissait lentement. (Glen Cook, Le Château noir, 1984)
    3. Se dit figurément en parlant des ouvrages d'esprit.
      • Affadir un discours par des pensées et par des expressions affectées et doucereuses.
      • Comment traduire le texte sans en affadir les ressources inventives ? (Marcelle Saindon, Le Pitrikalpa du Harivamsha: traduction, analyse, interprétation, 1998)
    4. (Pronominal) Se rendre fade.
    Wiktionnaire - licence Creative Commons attribution partage à l'identique 3.0

    Dictionnaire de l'Académie française, huitième édition

    AFFADIR. v. tr.
    Dégoûter par une sensation de fadeur. Une sauce qui affadit. Fig., Des louanges outrées affadissent le cœur. Il signifie aussi Rendre fade. Affadir une sauce, un ragoût, en y mêlant quelque chose de trop doux. Il se dit figurément en parlant des Ouvrages d'esprit. Affadir un discours par des pensées et par des expressions affectées et doucereuses.

    Littré

    AFFADIR (a-fa-dir) v. a.
    • 1Rendre fade. Affadir une sauce.
    • 2 Fig. Ôter le sel, le piquant. Affadir une épigramme. Vous avez fardé la peinture?; Vous affadissez l'opéra, Béranger, Pauvres am.
    • 3Causer une sensation désagréable au palais, à l'estomac, par quelque chose de fade. Le miel affadit le c?ur. Comme il y a de bonnes viandes qui affadissent le c?ur, il y a un mérite fade et des personnes qui dégoûtent avec des qualités bonnes et estimables, La Rochefoucauld, Pensées, 48.
    • 4 Fig. Ces gens? l'affadissaient, L'endormaient en contant leur flamme, La Fontaine, Petit Ch.
    • 5S'affadir, v. réfl. Devenir fade. De Molière oublié le sel s'est affadi, Voltaire, Ép. CI. [Dans le monde] Il faut se prêter, s'accommoder, s'affadir avec les enfants de la terre, nous qui devions en être le sel, Massillon, Conf. Fuite. L'éloquence, toujours flatteuse dans les monarchies, s'est affadie par des adulations dangereuses aux meilleurs princes, Massillon, Louis le Grand.

    HISTORIQUE

    XVIe s. Comme le vin se perd et affadist par l'eau, et toute la farine s'aigrit par le levain, Calvin, Inst. 1 63. Cettui-ci, receu avec honneurs et caresses, fut renvoyé si plein de douceurs qu'il en affadit ses compagnons au retour, D'Aubigné, Hist. I, 252. Je suis si affady aprez la liberté, que qui me deffendroit l'accez de quelque coing des Indes, j'en vivrois aulcunement plus mal à mon ayse, Montaigne, IV, 242. Au lieu de m'aiguiser l'appetit par ces preparations et avantjeux, on me lasse et affadit, Montaigne, II, 107. C'est le goust d'une molle fortune, qui s'affadit aux choses ordinaires et accoustumées, Montaigne, IV, 283.

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    Étymologie de « affadir »

    À et fade.

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    (1226) Dérivé de fade.
    Wiktionnaire - licence Creative Commons attribution partage à l'identique 3.0

    AFFADIR, verbe trans.
    Étymol. ET HIST. ? 1. 1226 « affaiblir, rendre languissant » emploi fig., part. passé (Histoire de Guillaume Le Maréchal, éd. Meyer, 8990, Romania XI, 64 ds T.-L. : forment est amaladiz, Si li est li cuirs [cuers] afadiz K'il ne puet ester ne seier [seeir], Gesir l'estuet par estouver), en ce sens au Moy. Âge seulement; 2. 1558, « rendre fade, sans saveur » (Bonaventure des Periers, Nouv. recreat., du bon yvrogne Janicot Milieu ds Gdf. Compl. : Sa femme bien souvent... luy beuvoit le vin de sa bouteille, laquelle elle remplissoit d'eau, que le povre Janicot beuvoit en dormant : et bien souvent se resveilloit a ce goust aquactique, qui luy affadissoit toute la bouche); 3. 1611 « causer du dégoût, éc?urer » (Cotgr. : Affadir. To make or grow tastlesse, wallowish, waterish; weake; unsauorie; witlesse). Dér. de fade*; préf. a-*, dés. -ir.

    affadir au Scrabble


    Le mot affadir vaut 14 points au Scrabble.

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    Les rimes de « affadir »


    On recherche une rime en IR .

    Les rimes de affadir peuvent aider les poètes et les paroliers à trouver des mots pour former des vers avec une structure rythmique cohérente, mais aussi pour jouer avec les mots et les sons, découvrir de nouvelles idées et perspectives ce qui peut être amusant et divertissant.

    Les rimes en iR

    Rimes de dirent      Rimes de rugir      Rimes de rétrécirent      Rimes de pâlir      Rimes de rejoignirent      Rimes de fou-rire      Rimes de rabattirent      Rimes de rompirent      Rimes de suffire      Rimes de approfondir      Rimes de surenchérir      Rimes de attires      Rimes de zéphyrs      Rimes de abrutir      Rimes de agonirent      Rimes de embellir      Rimes de convenir      Rimes de meurtrir      Rimes de souffrirent      Rimes de resurgirent      Rimes de repentirs      Rimes de rétablirent      Rimes de coproduire      Rimes de désunirent      Rimes de mentir      Rimes de permirent      Rimes de épanouir      Rimes de asservir      Rimes de assombrir      Rimes de remplirent      Rimes de établir      Rimes de étirent      Rimes de couvrirent      Rimes de tapirs      Rimes de désapprirent      Rimes de accueillir      Rimes de mire      Rimes de gravirent      Rimes de adoucirent      Rimes de jaunir      Rimes de vieillir      Rimes de rire      Rimes de vires      Rimes de bire      Rimes de assouvirent      Rimes de découvrir      Rimes de survire      Rimes de anti-navire      Rimes de détruisirent      Rimes de requérir     

    Mots du jour

    dirent     rugir     rétrécirent     pâlir     rejoignirent     fou-rire     rabattirent     rompirent     suffire     approfondir     surenchérir     attires     zéphyrs     abrutir     agonirent     embellir     convenir     meurtrir     souffrirent     resurgirent     repentirs     rétablirent     coproduire     désunirent     mentir     permirent     épanouir     asservir     assombrir     remplirent     établir     étirent     couvrirent     tapirs     désapprirent     accueillir     mire     gravirent     adoucirent     jaunir     vieillir     rire     vires     bire     assouvirent     découvrir     survire     anti-navire     détruisirent     requérir     


    Les citations sur « affadir »

    1. Le savoir-faire de son amie en matière de métamorphose est impressionnant. Il lui suffit d'une trousse de maquillage et de quelques accessoires pour transformer, mettre en valeur ou affadir, rajeunir ou vieillir, innocenter ou sexualiser.

      Auteur : Patricia Hespel - Source : La fille derrière la porte (2018)


    2. Baiser qui au coeur ne touche
      Ne fait rien qu'affadir la bouche.


      Auteur : Adrien de Monluc-Montesquiou - Source : La Comedie des proverbes


    3. Vous êtes le sel de la terre. Or si le sel vient à s'affadir, avec quoi le salera-t-on ? Il n'est plus bon qu'à être jeté dehors et foulé aux pieds par les gens.

      Auteur : La Bible - Source : Matthieu, V, 13


    4. Toute chose tend à s'affadir. Le choc amoureux devient ennui conjugal, l'énergie révolutionnaire se mue en parti politique institutionnel, le dynamisme juvénile des commencements s'inverse en répétitivité monotone.

      Auteur : Michel Maffesoli - Source : La Part du diable (2002)


    Les citations sur affadir renforcent la crédibilité et la pertinence de la définition du mot affadir en fournissant des exemples concrets et en montrant l'utilisation d'un terme par des personnes célèbres. Elles peuvent également renforçer la compréhension du sens d'un terme et en ajoutant une dimension historique.

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    Les synonymes de « affadir»

    Les synonymes de affadir :

      1. ádoucir
      2. dégoûter

    synonymes de affadir

    Fréquence et usage du mot affadir dans le temps


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