Définition de « aboie »


Notre dictionnaire de français vous présente les définitions du mot aboie de manière claire et concise, avec des exemples pertinents pour aider à comprendre le sens du mot.

Il comprend des informations supplémentaires telles que des exemples d'expressions, l'étymologie, les synonymes, les homonymes, les antonymes mais également les rimes et anagrammes et bien sûr des citations littéraires sur aboie pour aider à enrichir la compréhension du mot Aboie et répondre à la question quelle est la définition de aboie ?

VER genre () de 2 syllabes
Une définition simple : (fr-verbe-flexion|=oui |imp.p.2s=oui |ind.p.1s=oui |ind.p.3s=oui)

  • Du verbe aboyer.

    Pas de définition complémentaire
    ABOYER, verbe intrans.
    Étymol. ? Corresp. rom. : n. prov. abaia; ital. abbaiare. 1. Intrans., mil. xiies. « (des hommes) donner de la voix comme un chien qui aboie » (Ps. de Cambridge, éd. F. Michel, 58, 6 ds T.-L. : abaient cume chiens = latrent ut canis); 1160-1170 « id. » (Rou, éd. Andresen III, 8094 ds T.-L. : Normant dient qu'Engleis abaient), emploi fig. de : fin xiie, début xiiies. « donner de la voix (d'un chien) » (Renart, éd. Méon, 22 784 ds T.-L. : deux brachez vinrent, si abaient); 2. abaier + dat. ca 1180 « poursuivre qqn de ses aboiements (d'un chien) » (Marie de France, Fables, éd. Warnke, 20, 28, var. C : dunc li comence a abaier). Emploi fig. 1224, trans. « poursuivre qqn de ses cris, le harceler » (G. de Coincy, Mir. de N. Dame, éd. Poquet, 377, 111 : S'aucun[s] mastin[s] [emploi fig.] por ce m'a baie [l. m'abaie], Je ne dourroie [l. donrroie] un grain de baie). Dér. du rad. bai- forme apophonique du rad. onomat. bau-exprimant l'aboiement du chien. Bau est à la base de plusieurs formations de même sens : gr. ? ? ? ? ? ?, lat. baubare (baubari) (> Nice baubá), lat. baubu?lare (> piémont. baolè, Val Sesia baulè, bagolè, campidan, baulài, roum. dial. bau?na), fr. de l'est type baouer et abaouer. Forme bai- attestée par ital. abbaiare qui, indissociable du fr. et ne pouvant être empr. (cri d'animal) rend impossible étymon lat. batare (Lebel ds Fr. mod. XII, 1944, 305-306 et XIV, 1946, 125 à la suite de Förster ds Z. rom. Philol., V, 95) (batare serait seulement acceptable pour le fr. du point de vue phonét.; c'est l'étymon du verbe homon. aboyer « aspirer à », voir FEW s.v. batare; plus difficilement du point de vue sém., Dauzat ds Fr. mod., XIV, 1946, 126). L'a. fr. abaüer rend impossible étymon lat. baubari (Diez5). À l'orig. aire gallo-rom. ? de abaier : Normandie à Wallonie, (+ ital. abbaiare), ? du type latrare : sud-ouest (+ cat. lladrar, esp. port. ladrar, ital. latrare, sarde lardái, roum. la?tra), ? de japer : Occitanie et fr.-prov. HIST. ? Si le fr. mod. paraît avoir un seul verbe, il faut distinguer originellement d'une part abaier/aboyer 1 « crier en parlant du chien » et d'autre part abaier/aboyer 2 « aspirer à », le 1ervenant de l'onomatopée bau, le 2edu lat. batare (> béer « être ouvert, avoir la bouche ouverte » dont abaier/aboyer est un composé). ? Rem. Seul des dict. de la lang. mod., le DG fait 2 art. distincts, Hug. ayant fait de même à plus juste titre pour la lang. du xvies. Quant à Fur. 1690, ? s'il se trompe en faisant reposer la distinction fondamentale des 2 verbes sur la distinction phonét. abayer/aboyer qui est accidentelle et secondaire ?, il a le mérite (cf. Brunot, IV, p. 587) de porter témoignage tout à la fois de l'existence de 2 verbes différents et de la confusion qui, au xviies., s'était établie entre eux dans la conscience des locuteurs : ,,Je tiens qu'originairement abboyer et abbayer sont deux mots différents et qu'abboyer s'est dit seulement au propre du cri des chiens ou de ce qui luy ressemble; et qu'abbayer s'est dit au second sens figuré et est composé de bayer ou béer qui signifie regarder attentivement ou attendre impatiemment, ce qu'on fait ordinairement avec une bouche béante, mais que par abus l'affinité de ces mots les a fait confondre, et prendre l'un pour l'autre.`` I.? Disparitions av. 1789. ? A.? L'homon. aboyer 2 « aspirer à, convoiter ». 1. Trans. dir. : Pour servir à l'ambition insatiable de toy, qui abayois la papauté. Régnier de La Planche, Hist. de l'Estat de France, [1576], I, 319 (Hug.). ? Cf. aussi au passif : Estant le Royaume abbayé par plusieurs grands princes... E. Pasquier, Recherches, II, 13 (Hug.). J'attendais longtemps un régiment vacant, aboyé des familles et des officiers... Saint-Simon, Mém., éd. la Pléiade, t. II, p. 28. ? Cf. aussi part. substantivé : Une si grosse abbaye ne vaquait pas tous les jours. Celle-ci ne l'était devenue que cet hiver et causa tant d'envie que les aboyants outrés de la voir donner ainsi se mirent à chercher ce que c'était que cet abbé de Chavigny. Id., ibid., t. III, p. 422. 2. Trans. indir. a) Aboyer à : L'un des amans abbaye à l'utile. Pontus de Tyard, Trad. de l'Amour de Léon Hebrieu (Hug.). C'est peu d'abboyer tant à ces honneurs si courts. J. de la Taille, Epitaph. de Henry II (Hug.). ? Rem. Abboyer aux nues « aspirer à ce que l'on ne peut atteindre » : Le cueur disoit bien que je n'abboyais pas aux nues. Larivey, La vefve, III, 2 (Hug.). b) Aboyer après, cf. 7 ex. ds Hug. dont : Tesmoin le pauvre Cahier, qui a abbayé après l'abbaye promise. A. d'Aubigné, Sancy I, 9 (Hug.). Ils sont trois ou quatre qui abboyent après cette charge. Ac. 1694. ? Rem. Ce dernier ex. est cité ds Ac. 1718, 1740, 1762, 1798. Ac. 1835 le signale comme vieilli. Il manque ds Ac. 1878 qui ne mentionne pas ce sens. Besch. 1845 au contraire de Littré, ne donne pas d'ex. de ce sens que toutefois il signale ,,Cet ambitieux aboie après les grandeurs.`` Littré. FEW le donne comme vieilli. B.? Emploi de l'inf. aboyer 1 comme subst. : Il prant plaisir en escoutant l'abbayer des chiens. Somme le roy [1475], ms. Troyes, fo104 vo(Gdf.). ? Cf. aussi ibid. 3 autres ex. : Ainsi. traistre, ton aboyer traistre m'a rendu le loyer de t'aimer plus cher qu'une mère n'aime sa fille la plus chère. Ronsard, Gayetez, 6 (Hug.). C.? Aboyer 1 trans. dir. « aboyer contre » (l'obj. dir. étant externe et inanimé) : Chassons ceste pétulence de chien, laquelle peut bien abbayer de loing la justice de Dieu... Calvin, Instit., VIII, p. 508 (Hug.). ? Cf. aussi ibid. 3 autres ex. ? Rem. 1. Pour aboyer 1 trans. dir. « aboyer contre » (l'objet dir. étant. externe mais animé) cf. inf. II A 2. 2. Pour aboyer 1 trans. dir. « vociférer » (l'ob. dir. étant interne) cf. inf. II B 2. D.? Aboyer 1 trans. indir. : De riens ne servent, ainz abaient Seur ceuls qui font le biau mestier. Watriquet (Gdf.). E.? Aboyer 1 dans expr. prépositionnelles ? Aboyer à la faim (« de faim ») : Par quelle tyrannie le povre peuple abboye à la faim, et meurt sans miséricorde. H. Estienne, Apol. pour Her., ch. 6 (Hug.). ? Rem. Pour aboyer 1 dans d'autres expr. prépositionnelles, cf. inf. II A 3. II.? Hist. des sens attestés apr. 1789. ? A.? Sém. sens I « crier » (sens propre en parlant du chien ou d'animaux assimilés). 1. Absolu. ? Grande stab. de ce sens premier dep. les orig., fin du xiies. cf. étymol. 1 et aussi : ? xves. : Le vieil biquet se repose, Desormais travailler n'ose, Abayer, un mot sonner. Ch. d'Orléans, 519 (IGLF). ? xvies. : Les chiens abbayoyent desja bien fort. Amyot, Aratus, 7 (Hug.). ? xviiies. : Le renard glapit, aboie et pousse un son triste. Buffon (Besch.). ? xixeet xxes. cf. sém. I. 2. Trans. dir. (l'obj. dir. étant externe mais animé :) ? Fin xiiies. : Nul autre chose ne me douls, Nes que du chien l'abeiment Qui m'abaie si malement. Ysopet, I, 51 (Gdf.). ? Fin xvies. : Ce sont chiens qui me peuvent abayer, non mordre. E. Pasquier, Lettres, XIX (Hug.). ? xviiies. : Moi, je ne tue pas un chien qui m'aboie. Diderot, Essai sur Cl. (Littré). ? Cf. aussi au passif : Pour n'estre assailly des chiens ni abbayé. G. Bouchet, Serees, [1584], II, 74 (Gdf.)., ? Cf. aussi forme pronom. réciproque : Si vous voyez deux chiens qui s'aboient. La Bruyère (Littré). ? xixeet xxes. cf. sém. ex. 1, 11 et 18 qui ne sont que des survivances. 3. Trans. indir. et expr. prépositionnelles. a) Aboyer contre : Un autre chien estant à la garde d'un temple à Athènes, ayant aperçu un larron sacrilège qui emportoit les plus beaux joyaux se mit à abboyer contre lui tant qu'il peut. Montaigne, II, 12, 11, 201 (Hug.). ? Rem. Aboyer contre la lune (cf. aussi inf. aboyer à la lune et ex.) : He barks at the moon. (Cotgr.). b) Aboyer après (cf. aussi ex. 22) : Nous avons de tous côtés des gens qui aboient après nous. Molière (Besch.). c) Aboyer à dans : . Aboyer à son ombre « se tromper » : Laissez m'en faire, je n'abairay point à mon ombre. Greban., Mist. de la Passion, xves., vers 18561 (Gdf. Compl.) . Aboyer à qqn. : C'est le poursuivre en criant après luy. Nicot 1606. . Aboyer aux voleurs (Ac. 1964). . Aboyer au secours, cf. inf. II B 2. . Aboyer à la lune : C'est faire des efforts inutiles contre des gens qui sont au-dessus de nos atteintes. Rich. 1680. . Aboyer à l'exil (cf. ex. 25). . Aboyer à la mort (cf. ex. 6). . Aboyer à un morceau de bois (cf. R. Rolland, Jean-Christophe, Buisson ardent, 1911, p. 1359). . Aboyer au vent (cf. Id., ibid., p. 1263). ? Rem. 1. Toutes ces expr. (sauf aboyer à un morceau de bois et aboyer à l'exil) sont susceptibles d'être empl. au fig. 2. ,,Peut-être y aurait-il lieu de distinguer entre l'emploi des prépositions qui marquent le complément d'aboyer. Aboyer à semble dire perdre sa peine en aboyant c'est-à-dire crier contre quelqu'un ou quelque chose qu'on ne saurait atteindre comme en cette loc. proverbiale : aboyer à la lune. Aboyer contre donne à entendre que le chien est à l'attache, ce qui l'empêche de se mettre à la poursuite. Aboyer après emporte au contraire l'idée de poursuite. Aboyer après se dit au fig. et non pas aboyer contre``. (Besch. 1845). B.? Sém. sens II « crier » (sens fig. en parlant de l'homme ou d'une collectivité hum.) 1. Absolu. ? Grande stab. de ce sens, dep. les orig., mil. du xiies. cf. étymol. 1 : ? xvies. : On estime aussi vos gardes, vos descouvreurs, et avantcoureurs; ce sont vos chiens loyaux et bien abayans. Lemaire de Belges, Illust., I, 22 (Hug.). 2. Trans. dir. (l'objet. dir. étant interne) : ? xvies. : C'est un crime... d'abandonner le langage de son pays pour vouloir deterrer je ne sçay quelle cendre des anciens, et abbayer les verves des trepassez. Ronsard, Franciade, Préf. de 1587 (Hug.). Les autres, comme les chanoines et caffars, en abbayant le parchemin jour et nuit, et barbotant leur bréviaire, vendent leurs coquilles au peuple. Calvin, Instit., III, XX, 29 (Hug.). ? Rem. Abbayer le parchemin « chanter à l'église, à la synagogue », expr. qui a disparu. ? xixeet xxes. : Aboyer des injures, des paroles de mort, cf. ex. 16. Constr. attestée seulement pour le sens II, sauf dans l'ex. 4 aboyer au secours où il s'agit d'un chien (et où l'expr. figée au secours forme un tout qui joue le rôle d'un véritable obj. dir.; cf. aussi prop. obj. dir. dans : abaiant que aucuns secours lor venist, St Graal ds DG). 3. Trans. indir. et expr. prépositionnelles. ? Cf. sup. II 3 A, rem. 1 et aussi aboyer à son ombre « se tromper » (cf. sup. II A 3 c). C.? Sém. sens III (sens fig. en parlant de sons répétés et violents par des inanimés). 1. Suj. divers : Par tourbillons la vague qui se suit, contre les bords abaye d'un grand bruit. Ronsard. Franciade, I, III, 36 (Hug.). L'Enfer aboya (ex. 24). 2. Ventre, estomac affamé : Mon stomach abboye de male faim comme un chien. Rabelais, III, 15 (Hug.). La faim estoit on corps : pour à laquelle remedier abaye l'estomach. Id., III, 13 (Hug.). ? Cf. aussi avec jeu de mot sur aboyer 1 et aboyer 2 : Mon ventre affamé abaye comme l'oisillon qui bée. E. Pasquier, Jeux poet., III, II, 878 (Hug.). 3. Armes à feu (au passif) : Cette cavallerie espagnole... fut toujours abayée d'une escoupeterie. A. d'Aubigné, Hist. univ., XIV, 18 (Hug.); (= actif, une escoupeterie aboya). Cf. ex. 27.

    aboie au Scrabble


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    Les rimes de « aboie »


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    Les rimes en wa

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    Les citations sur « aboie »

    1. Bon chien n'aboie pas à faux.

      Auteur : Proverbes français - Source : Proverbe


    2. Contrairement à l'idée requise,
      La parole n'est pas créatrice d'un monde;
      L'homme parle comme le chien aboie
      Pour exprimer sa colère, ou sa crainte.
      Le plaisir est silencieux,
      Tout comme l'est l'état de bonheur.


      Auteur : Michel Houellebecq - Source : La Possibilité d'une île (2005)


    3. Qui a chien
      N'aboie pas.


      Auteur : Charles de Leusse - Source : Au Sommet (2004)


    4. Ils ressemblent à des chiens, mais aboient avec les loups.

      Auteur : Libanios - Source : Discours


    5. Marche droit, et laisse le chien qui aboie.

      Auteur : Proverbes anglais - Source : Proverbe


    6. Chien au chenil aboie à ses puces,
      Chien qui chasse ne les sent pas.


      Auteur : Proverbes chinois - Source : Proverbe


    7. La lune se soucie-t-elle de l'aboiement d'un chien?

      Auteur : Robert Burton - Source : The Anatomy of Melancholy, II


    8. Plus la lune brille, plus le mâtin aboie.

      Auteur : Proverbes français - Source : Proverbe


    9. Les chiens aboient contre ceux qu'ils ne connaissent pas.

      Auteur : Héraclite - Source : Fragment


    10. Un chien sans dent aboie plus fort.

      Auteur : Proverbes latins - Source : Canis sine dentibus vehementius latrat.


    11. Un couple sans disputes, ça n'existe pas ma chérie - les jeunes s'engueulent par jalousie, les vieux par lassitude. C'est normal. Avec le temps, les aboiements se transforment en plaintes à peine audibles, en grognements de vieux chiens patauds qui sont les échos diminués de nos engueulades passées, et qui finissent par ressembler à nos corps mous, relâchés, décharnés. Avec le temps, regarde ton père et moi, on râle, on maugrée, on ne crie plus. On n'a plus l'énergie, physiquement je veux dire. Pas faute d'avoir envie de se barrer parfois. Mais à quoi bon tout recommencer, alors qu'on arrive au bout, ça y est. On s'est épuisés, on a consumé notre amour comme un cent mètres. Le tien commence alors fais-le durer, avec endurance, patience, sinon ça s'essouffle, ça s'étouffe.

      Auteur : Lilia Hassaine - Source : L’oeil du paon (2021)


    12. Gueule qui aboie fort, rarement mord.

      Auteur : Proverbe écossais - Source : Quelque six mille proverbes et aphorismes usuels ... (1856) - Charles Cahier


    13. L'Allemagne, il suffit de la renvoyer poliment à la niche : si elle aboie, on lui lâche un os.

      Auteur : Gilles Martin-Chauffier - Source : La femme qui dit non


    14. Tout chien qui aboie, ne mord pas.

      Auteur : Proverbes français - Source : Proverbe


    15. L'ironie sentimentale est un chien qui aboie à la lune cependant qu'il compisse les tombes.

      Auteur : Karl Kraus - Source : Dits et contredits (1975)


    16. Vieux chien n'aboie pas en vain.

      Auteur : Proverbes allemands - Source : Proverbe


    17. Il est aussi vain de reprocher aux spécialistes de l'information leur démagogie, leur autocensure, leur veulerie, leur avilissement et leur insolente complaisance aux aboiements du maître, que de prêcher l'honnêteté à un homme d'affaires.

      Auteur : Raoul Vaneigem - Source : Rien n'est sacré, tout peut se dire (2003)


    18. Comme un chien aboie à la lune, j'ai été fasciné par un reflet.

      Auteur : François Mauriac - Source : Le Noeud de vipères (1932)


    19. Chien au chenil aboie sur ses puces,
      Chien qui chasse ne les sent pas.


      Auteur : Proverbes chinois - Source : Proverbe


    20. Un chien n'est pas un bon chien parce qu'il aboie beaucoup.

      Auteur : Zhuangzi (Tchouang-Tseu) - Source : Sans référence


    21. Ce que le chien voit lorsqu'il aboie ne perturbe pas le mouton, qui reste calme.

      Auteur : Proverbes béninois - Source : Proverbes


    22. Jamais bon chien n'aboie à faux.

      Auteur : Proverbes français - Source : Proverbe


    23. Le chien aboie, la caravane passe.

      Auteur : Proverbes turcs - Source : Proverbe


    24. Chien qui aboie ne mord pas.

      Auteur : Proverbes français - Source : Proverbe


    25. Si tu ne peux mordre, n'aboie pas.

      Auteur : Proverbes anglais - Source : Proverbe


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    Les synonymes de « aboie»

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    Fréquence et usage du mot aboie dans le temps


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