Appela

appela au Scrabble

Quel nombre de points fait le mot appela au Scrabble ?

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Les rimes de « appela »

Les rimes de appela peuvent aider les poètes et les paroliers à trouver des mots pour former des vers avec une structure rythmique cohérente, mais aussi pour jouer avec les mots et les sons, découvrir de nouvelles idées et perspectives ce qui peut être amusant et divertissant.

Les rimes en la

Mots du jour

rafistola     gicla     régalât     récapitula     éboula     déferla     attabla     postulats     paella     écroula     héla     renfila     branla     pergola     méplats     raplapla     sembla     reboucla     excella     écoulât     pantela     batifola     mollahs     dégueula     déboula     troubla     décupla     douglas     racla     tombola     rigola     troublât     bousculât     bénévolat     boula     éclat     kula     gonfla     écoula     ravala     tripla     koalas     flagella     las     lilas     noella     impalas     nivelât     fellah     avunculat     

Les citations sur « appela »

1. Les soldats d'Attila s'appelaient les Huns parce que là où ils passaient, il n'y avait plus d'autres.
   
   
   Auteur : Claude Schnerb - Source : L'Humour vert (sous le pseudonyme de Claude Sergent), Éditions Buchet-Chastel, (1964)



2. Dans les années 1846, il y eut un spectacle qui fit fureur à Paris. C'étaient des femmes nues, vêtues seulement d'un maillot rose et d'une jupe de gaze, exécutant des poses qu'on appelait Tableaux vivants.
   
   
   Auteur : Victor Hugo - Source : Choses vues (1887-1900), II, IV, Les tableaux vivants



3. Comment s'étaient-ils rencontrés? Par hasard, comme tout le monde. Comment s'appelaient-ils? Que vous importe? D'où venaient-ils? Du lieu le plus prochain. Où allaient-ils? Est-ce qu'on sait où l'on va?
   
   
   Auteur : Denis Diderot - Source : Jacques le Fataliste et son maître (1796)



4. Ici gît un comédien - Oublié de tous, - Même de la mort, - Qui ne le rappela - Que lorsqu'il eut 102 ans.
   
   
   Auteur : Epitaphes anonymes - Source : Epitaphe d'un comédien



5. Elle vomissait tout ce qui lui rappelait son enfance, corps enseignant compris. Souvenirs de piquets et de coups de règle où institutrices et marraine se concordaient. Elle haïssait ceux qu'elle surnommait les « tortionnaires diplômés », avait en horreur programmes, règlements, emplois du temps.
   
   
   Auteur : Christophe Boltanski - Source : La cache



6. L'évidence, comme la beauté, est affaire de subjectivité, lui rappela Striker. Certains la voient où d'autres ne voient rien.
   
   
   Auteur : Cornell Woolrich, dit William Irish - Source : Irish revolver (1990)



7. A peine un engin volant s'est-il écrasé qu'un autre prend le relais, nouveau maillon de la chaîne qui peu à peu quitte la terre. Longtemps, on a eu le nez dans le paysage, on en était une part minuscule, enfouie, aveugle, on ne l'appelait même pas paysage, cette nature qu'on sentait avant de la voir – l'hostilité de la chaleur et du froid, les cultures à discipliner à la force des bras, le noir de la forêt dont on faisait les contes. Pour la changer en paysage, il a fallu prendre de la distance, celle que donnent la peinture comme la cartographie, appeler sublimes les lieux qu'on n'avait pas encore apprivoisés, les pôles, les mers, les montagnes acérées, classifier le monde et pour cela s'élever, toujours, dans des ballons, dans des avions, un jour dans des stations spatiales.
   
   
   Auteur : Hélène Gaudy - Source : Un monde sans rivage (2019)



8. Le nom de famille de mon père étant Pirrip, et mon nom de baptême Philip, ma langue enfantine ne put jamais former de ces deux mots rien de plus et de plus explicite que Pip. C'est ainsi que je m'appelai moi-même Pip, et que tout le monde m'appela Pip.
   
   
   Auteur : Charles Dickens - Source : Les Grandes Espérances (1860)



9. Je me jurais que mon destin ne stagnerait pas là, au coeur anonyme de cette ville monstrueuse, que ses promoteurs appelaient «ville nouvelle», fosse commune où les gens sont enterrés vifs avec leurs désirs.
   
   
   Auteur : Françoise Lefèvre - Source : Blanche, c'est moi (1993)



10. Il se rappela avec quelle éloquence elle avait un jour répondu à l’un des ses copains qui avait déclaré que flic était quand même plutôt un métier d’homme que de femme. Pas faite pour quoi au juste ? avait répliqué Sarah. Maîtriser la loi et les procédures ? Être intègre et juste ? Faire preuve de patience, de rigueur, de persévérance, de sang-froid ? Savoir s’adapter rapidement, mettre de coté l’émotion, la colère, le dégout ? Il me semble que toutes ces compétences sont partagées par les hommes et les femmes, non ? Comme la bêtise, l’arrogance et le mépris, qui font de très mauvais flics d’ailleurs.
    
    
    Auteur : Nicolas Beuglet - Source : Complot (2019)



11. Américanisation: Phénomène particulièrement développé dans l'ex Union Soviétique, à tel point que les enfants russes sont persuadés que l'ancien président Tchernenko s'appelait en fait Tchern and co.
    
    
    Auteur : Marc Escayrol - Source : Mots et Grumots (2003)



12. Tout à coup, il se rappela qu'il mourait.
    
    
    Auteur : James Blish - Source : L'Artiste et son oeuvre, nouvelle dans Universlia, 1982.



13. L’Amérique, à la différence de la Russie, jouissait d’un régime qu’on appelait démocratique. Afin de pouvoir gouverner et avoir les mains libres pour organiser toutes sortes de combines lucratives, les dirigeants devaient d’abord se faire élire. Il existait deux groupes rivaux de corrupteurs, connus sous le nom de « partis politiques ». Celui des deux qui achetaient le plus de voix accédait au pouvoir.
    
    
    Auteur : Upton Sinclair - Source : La Jungle (1905)



14. Il lui trouvait un air mélancolique avec ses longues branches qui tombent. Il lui rappelait les mots de Victor Hugo : La mélancolie c'est le bonheur d'être triste.
    
    
    Auteur : Mélissa Da Costa - Source : Les lendemains (2021)



15. Oui il était marié. Il nageait dans ce qu'il appelait la vie conjucalme.
    
    
    Auteur : David Foenkinos - Source : La Délicatesse (2009)



16. Ils passaient, suivant la route, devant cette usine flamboyante inutile qu'on appelait pour lors la Chambre de Chérubin. Les propriétaires l'avaient fait bâtir mais n'avaient jamais jugé bon (ou désiré) de la faire fonctionner. Sans doute était – il plus profitable d'encaisser quelque rente pour la maintenir fermée ?
    
    
    Auteur : Edouard Glissant - Source : La Case du Commandeur (1981)



17. Il y avait une petite fois, pendant la canicule, un type qui était assis devant une fenêtre ouverte ; c'était un garçon démesuré, un peu voûté, et il s'appelait Adam ; Adam Pollo. Il avait l'air d'un mendiant, à rechercher partout les taches de soleil, à se tenir assis pendant des heures, bougeant à peine, dans les coins des murs.
    
    
    Auteur : J. M. G. Le Clézio - Source : Le procès-verbal (1963)



18. Madame de la Sablière appelait La Fontaine un fablier, qui portait naturellement des fables, comme un prunier des prunes.
    
    
    Auteur : Voltaire - Source : Dictionnaire philosophique portatif (1764), Fable



19. De sa mère, elle se rappelait les injustices, le manque de tendresse et de réconfort dans ses moments de peine.
    
    
    Auteur : Annie Degroote - Source : Les Perles de la Moïka (2013)



20. C'est en apprenant le montant de la pension qu'elle me demande que je m'aperçois que les seules fois où elle ne m'a pas menti c'est quand elle m'appelait: «Mon trésor.»
    
    
    Auteur : Patrick Sébastien - Source : Carnet de notes (2001)



21. (En s'adressant à un jeune élève qui a obtenu une deuxième place à un concours) - - Tout en le félicitant, il lui rappela que seule la place de premier était la bonne. - - Le deuxième, c'est le premier des derniers.
    
    
    Auteur : Michel Folco - Source : Dieu et nous seuls pouvons



22. Même éveillé, il garda ses rêves serrés contre lui. Ils lui rappelaient qui il était et ce qu'il voulait faire de sa vie. Ses rêves lui diraient quoi faire. Comment trouver sa place dans ce monde.
    
    
    Auteur : Gabriel Bá - Source : Daytripper. Au jour le jour (2012)



23. Il se remémora en souriant la théorie d'Espérandieu : son adjoint estimait qu'à partie d'un certain taux de costards-cravates au mètre carré on entrait dans ce qu'il appelait la « zone de compétence raréfiée », encore nommée par lui « zone des décisions absurdes », « zone du tirage de couverture à soi » ou « zone des parapluies ouverts ».
    
    
    Auteur : Bernard Minier - Source : Glacé (2011)



24. Je voulais faire durer le désir et je l'appelais amour. Peut-être avait-il un autre nom? Lequel? Je cherche encore. Passion, folie, délivrance, perdition? Je luttais déjà bec et ongles. Cet amour-là était, serait ma guerre.
    
    
    Auteur : Robert Lalonde - Source : Espèces en voie de disparition (2007)



25. Le souvenir... Le souvenir de ceux que nous avons aimés et qui ne sont plus parmi nous, le souvenir de la beauté que nous a léguée le passé, le souvenir de tous ceux qui nous ont permis d’être ce que nous sommes... Un monde sans souvenirs serait la platitude et l’ennui mêmes ? ne serait-ce que parce qu’il n’y aurait plus rien à combattre et à incliner. Voyez quelle nostalgie éveille au cœur des foules tout ce qui évoque les coutumes ancestrales, les langages du terroir, les rites de la communauté, les habitudes de l’enfance, les traditions de la patrie, grande ou petite, de la région, de la province, de la vallée, du fleuve, de la forêt, de l’île ? tout ce qui tranche enfin sur la morne grisaille de ce que l’un des nôtres ? Jean Cocteau ? appelait si joliment « l’espéranto visuel ». Renoncer à ses traditions, c’est accepter de devenir dans le temps ce que sont dans l’espace les personnes déplacées, c’est tomber dans la condition désastreuse de réfugié de l’histoire. « Car, nous dit un écrivain qu’admirait Roger Caillois ? Antoine de Saint-Exupéry ?, les rites sont dans le temps ce que la demeure est dans l’espace (...). Et je ne connais rien au monde qui ne soit d’abord cérémonial. Car tu n’as rien à attendre d’une cathédrale sans architecte, d’une année sans fêtes (...) ni d’une patrie sans coutumes. »
    
    
    Auteur : Jean d'Ormesson - Source : Réponse au discours de réception de Marguerite Yourcenar, Le 22 janvier 1981

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Les synonymes de « appela»

Fréquence et usage du mot appela dans le temps

Définition de appela présentée par dicocitations.com. Les définitions du mot appela sont données à titre indicatif et proviennent de dictionnaires libres de droits dont Le Littré, le Wiktionnaire, et le dictionnaire de l'Académie Française.