Définition de « bâillant »


Notre dictionnaire de français vous présente les définitions du mot baillant de manière claire et concise, avec des exemples pertinents pour aider à comprendre le sens du mot.

Il comprend des informations supplémentaires telles que des exemples d'expressions, l'étymologie, les synonymes, les homonymes, les antonymes mais également les rimes et anagrammes et bien sûr des citations littéraires sur bâillant pour aider à enrichir la compréhension du mot Bâillant et répondre à la question quelle est la définition de baillant ?

ADJ genre (m) de 2 syllabes
Une définition simple : (fr-verbe-flexion|ppr=oui)

  • Participe présent du verbe bâiller.


    Définitions de « bâillant »


    Trésor de la Langue Française informatisé


    BAILLER, verbe trans.

    A.? Arch. et région. Donner, remettre, livrer, présenter :
    1. le père alexandre, piqué au vif. ? Le notaire? Pour quoi donc faire? Son ?il aigu fouille le visage de la servante qui recule un peu. la torine. ? ... Des fois, il vous baillerait peut-être un bon conseil... le père alexandre. ? Je me conseille bien tout seul, à cette heure! R. Martin du Gard, Le Testament du Père Leleu,1920, I, p. 1140.
    2. ruffin. ? Il était tout à l'heure près d'ici et voulait me donner un rubis. séverin. ? Dis-tu Frontin, serviteur de Fortuné? ruffin. ? Oui, celui-là même. séverin. ? Et quel rubis voulait-il te bailler? ruffin. ? Un gros rubis en cabochon, un peu écorné d'un côté, mais enchâssé à la vieille mode. Il dit que c'est une antiquité de votre maison. Camus, Les Esprits,adapté de P. de Larivey, 1953, II, 5, p. 491.
    Rem. Empl. comme synon. de donner (bailler un coup de main, Balzac, Les Paysans, 1844, p. 129; bailler Dieu sans confession, Balzac, Sur Catherine de Médicis, Le Martyr calviniste, 1841, p. 85) parfois même avec le sens de « faire don » (cf. ex. 2).
    ? Bailler des fonds. Cf. bailleur* de fonds :
    3. ? Anselme, j'ai jeté les yeux sur toi pour fonder une maison de commerce de haute droguerie, rue des Lombards, dit Birotteau. Je serai ton associé secret, je te baillerai les premiers fonds. Balzac, César Birotteau,1837, p. 92.
    4. Mais il n'est pas impossible que ce capital, réalisé sous forme de l'outillage et du fonds de roulement d'une filature ou d'une usine de construction mécanique, soit fourni aux coopérateurs par une société de capitalistes qui le leur baillerait en location, à charge pour eux d'assurer la fabrication et même l'achat et la vente. J. Wilbois, Comment fonctionne une entr.,1941, p. 61.
    ? Pop. et fam.
    ? Bailler (à qqn) le lièvre par l'oreille. Duper (qqn) au moyen de vaines promesses :
    5. Robespierre, Barras et le grand Napoléon, depuis plus de vingt ans, m'avaient appris à me taire, Bonaparte surtout; ce héros ne trompait pas. Il ne nous baillait pas le lièvre par l'oreille : jamais ne nous leurra de la liberté de la presse ni d'aucune liberté. Courier, Pamphlets pol.,Réponses aux anonymes, 1822, p. 150.
    ? En bailler à garder. ,,Duper, tromper adroitement`` (Lar. 19e, Nouv. Lar. ill.).
    ? P. ell. Vous m'en baillez d'une belle, vous me la baillez belle, vous me la baillez bonne. ,,Vous voulez m'en faire accroire`` (Ac. 1835-1932).
    ? Arg. Bailler une cotte rouge à une fille. ,,Lui prendre sa virginité`` (France 1907).
    B.? DR., vx. Donner à bail. Bailler à ferme; bailler par contrat, par testament; bailler et délaisser (Ac. 1798-1932).
    Rem. Concurrencé, sauf en matière de fourniture de capitaux (cf. ex. 3, 4), par donner à bail ou faire bail.
    C.? PÊCHE. ,,C'est l'action de jeter avec une petite sébile, à tour de bras, de la rogue de maquereaux, etc., détrempée dans de l'eau de mer, sur des filets traînés par des bateaux (...) pour prendre de la sardine`` (Will. 1831).
    Rem. Attesté également ds Ac. Compl. 1842, Besch. 1845, Lar. 19e, Littré, Guérin 1892, Nouv. Lar. ill., DG.
    PRONONC. ? 1. Forme phon. : [baje]. 2. Homon. : baillée, bail (p. rapp. aux formes conjuguées à rad. nu), de même baille.
    ÉTYMOL. ET HIST. ? 1. 1130-60 baillier « porter » (Couronnement Louis, 88, ds Gdf. : Esbahi fu de ce qu'il entendié, N'osa aler la courone baillier) ? xiiies., Enf. Ogier, ibid.; 1130-60 « recevoir, accepter » (Couronnement Louis, 1350, ibid. : Une fille ai, n'a si gente soz ciel, Ge la vos doing de gré et volentiers, Se la volez ne prendre ne baillier) d'où 1130-60 « saisir » (Ibid., éd. E. Langlois, 410 ds T.-L. : L'en li ameine le balcent en la place; Li cuens i monte que il estrier n'i baille); en a. fr. seulement; 2. 1144 « gouverner » (Charroi Nîmes, éd. Jonckbloet, 395, ibid. : De tot l'empire que ge ai a baillier) ? xiiies., ibid.; 3. a) 1130-60 bailler « donner » (Couronnement Louis, éd. E. Langlois, 252, ibid. : D'or et d'argent trente somiers li baille); 1534 « id. (des coups) » (Rabelais, Garg., éd. Marty-Laveaux, t. 1, ch. 35 : Il luy bailla de son fouet à travers les iambes si rudement que les noudz y apparoissoient); Rich. 1680 signale qu'il n'est pas du bel usage, hormis comme terme de pratique; déclaré ,,vieilli`` par Vaugelas, Remarques sur la langue fr., éd. Chassang II, 35 et empl. au xviies. par les burlesques (Brunot t. 3, p. 106 et t. 4, p. 244); loc. fam. : 1545 en bailler « jouer un tour à qqn » (Le Maçon, trad. de Boccace, Décaméron, VIII, 9 ds Hug.); 1594 la bailler belle à qqn « se jouer de qqn » (Godard, Les Desguisez, acte V, sc. 2 ds Anc. Théâtre françois, Paris, 1856, t. VII, p. 435); b) 1373 dr. « donner à bail » (Etat des biens de la commanderie de Beauvoir en Ponthieu, Arch. S 5543 ds Gdf.); 1404 bailler a rente (A.N. P 308, fo94 rods Gdf. Compl.); Ac. 1835 signale qu'il vieillit comme terme de pratique. Du lat. bajulare « porter » dep. Plaute (Asin., 660 ds TLL s.v., 1685, 77); en lat. médiév. « exercer, se charger de (une fonction) » viie-viiies. (Formulae Marculfi, 1, 1, p. 39, 20 ds Mittellat. W. s.v., 1315, 26) d'où bailler « gouverner »; en a. fr. aussi baillir « id. » (xies. Alexis ds Gdf.) dér. de bail*; le sens de « donner », qui ne semble pas se rencontrer en lat., s'est seulement développé dans l'aire gallo-romane (a. prov. bailar ca 1185 Dénombrement des possessions en Périgord de la famille Clarol ds Brunel 1926, p. 214) à partir du sens primitif de « porter »; en raison de la vitalité de donner et de ses nombreux dérivés, il a été à partir du xviies. concurrencé, puis évincé par ce mot.
    STAT. ? Fréq. abs. littér. : 86.
    BBG. ? Guiraud (P.). Le Jargon de la Coquille. Cah. Lexicol. 1967, t. 11, no2, p. 47.


    BÂILLER, verbe intrans.

    A.? [En parlant d'une pers.] Ouvrir involontairement la bouche en inspirant profondément et en contractant les muscles du visage, soit parce que l'on a faim ou sommeil, soit par ennui ou par fatigue; p. ext. s'ennuyer, avoir sommeil :
    1. Je n'ai jamais vu l'hôtel de Bourgogne aussi brillant : une aussi belle réunion méritait une meilleure pièce; c'était à qui bâillerait au parterre, et à qui dormirait dans les loges. Jouy, L'Hermite de la Chaussée d'Antin,t. 2, 1812, p. 7.
    2. Qui me rendra les sons de la cloche qui sonnait hier, au crépuscule, et le gazouillement des oiseaux qui chantaient ce matin dans les chênes! Et pourtant je m'ennuyais au coucher du soleil et je bâillais de fatigue à son aurore! Flaubert, La 1reÉducation sentimentale,1845, p. 180.
    3. ... le capitaine se rendait à ces petites soirées provinciales avec le même empressement qu'il eût mis à se rendre chez le dentiste, restait souriant et silencieux, et s'en allait, de cinq minutes en cinq minutes, bâiller d'ennui à la fenêtre. Courteline, Le Train de 8 h 47,1888, 1repart., 5, p. 57.
    SYNT. Bâiller d'ennui, de fatigue; bâiller à se décrocher la mâchoire; s'étirer et bâiller; bâiller et dormir.
    B.? P. anal. Être mal joint, s'entrouvrir, être béant.
    1. [En parlant d'une chose] :
    4. L'étoffe bâillant sur ses épaules, enveloppait d'ombre son visage, et l'on n'apercevait que les flammes de ses deux yeux. Flaubert, Salammbô,t. 1, 1863, p. 16.
    5. La porte en était vieille, comme toutes celles de la maison, et, si le panneau était encore solide, les jointures bâillaient, et les gonds étaient branlants. Daniel-Rops, Mort, où est ta victoire?1934, p. 38.
    2. [En parlant d'un animal] :
    6. Il voit venir à lui des crabes aux pinces crochues, (...), de grandes huîtres qui bâillent en faisant crier la charnière de leurs coquilles, ... Flaubert, La Tentation de st Antoine,1849, p. 406.
    ? Arg. Avoir la moule qui bâille. ,,Se dit d'une femme suprêmement excitée`` (Sandry-Carr. 1963).
    PRONONC. : [b?je], (je) bâille [b?:j]. Antérieurement à Passy 1914, les dict. indiquent que le l est mouillé, à l'exception de Land. 1834, Besch. 1845 et DG.
    ÉTYMOL. ET HIST. ? 1. Ca 1120 intrans. bäaillier « bâiller » (ici sous l'effet de la faim) (Ph. de Thaon, Bestiaire, éd. Walberg, 1944 ds T.-L. : Cetus at tel nature Que quant il volt mangier Cumence a bäaillier); d'où 1666 « s'ennuyer » (Boileau Satire 3, 179 : Et je ne sais pourquoi je bâille en la lisant [La Pucelle]; forme bâiller dans la lexicographie à partir de Fur. 1690; av. 1848 trans. bâiller sa vie « traîner dans l'ennui » (Chateaubriand ds Lar. 19e); 2. 1678-79 p. anal. « être ouvert, mal fermé » (La Font., VIII, 9 ds Rob. : Parmi tant d'huîtres toutes closes. Une s'était ouverte, et, bâillant au soleil, ... D'aussi loin que le rat voit cette huître qui bâille : Qu'aperçois-je? dit-il; c'est quelque victuaille); 1835 (Ac. : Bâiller [...] Cette étoffe, cette dentelle bâille. Elle n'est pas assez tendue). Empr. au lat. vulg. batac(u?)lare « bâiller » conservé par les gloses du xes. (Excerpta ex Codice Vaticano 1468 ds Goetz, CGL t. 5, p. 492, 46), issu de batare attesté aux viiie-ixes. au sens de « bâiller » (Goetz, op. cit., t. 5, p. 347, 50, Collectio amploniana à Erfurt Glossarium ampl. primum); dér. de bat- onomat. imitant le bruit du bâillement. Le fait que bâiller est dès l'a. fr. fréquemment attesté au sens de « soupirer après qqc. » (Énéas, éd. Salverda de Grave, 1231 ds T.-L.) a prob. contribué à sa confusion et à son interchangibilité avec bayer* (a. fr. baer, baier) 1668 (La Font. II, 13 ds Rob. : Outre la vanité de son art mensonger, c'est l'image de ceux qui bâillent aux chimères) puis à la disparition quasi totale de celui-ci.
    STAT. ? Fréq. abs. littér. : 987. Fréq. rel. littér. : xixes. : a) 706, b) 1 562; xxes. : a) 1 893, b) 1 615.
    DÉR.
    Bâilleur, euse, subst.Celui, celle qui bâille. ,,Le bâilleur stupéfait, bredouillait parfois une excuse, parfois épouvanté se levait en hâte, tirait la ficelle et quittait la voiture`` (G. Duhamel, Chronique des Pasquier,Le Notaire du Havre,1933, p. 118).? [b?j?:?], fém. [b?jø:z]. ? 1reattest. 1694 (Ac.). ? Fréq. abs. littér. : 2.
    BBG. ? Goug. Lang. pop. 1929, p. 26. ? Goug. Mots t. 1 1962, p. 177.


    Wiktionnaire


    Adjectif - français

    bâillant \b?.j??\

    1. Qui bâille.
      • Rhages apparaissait surprise dans la torpeur amoureuse de la sieste, avec les allées et venues bâillantes de ses terrasses, la douce activité de somnambules des minuscules personnages qui cheminaient çà et là dans ses rues. (Julien Gracq, Le Rivage des Syrtes, José Corti, 1951)
    Wiktionnaire - licence Creative Commons attribution partage à l'identique 3.0

    Littré

    BÂILLANT (bâ-llan, llan-t', ll mouillées, et non bâ-yan) adj.
    • Qui bâille, qui s'entr'ouvre.

      Terme de botanique. Péricarpe bâillant, péricarpe qui, au moment de la maturité, se rompt et s'entr'ouvre.

      S. m. plur. Terme de zoologie. Passereaux dont le bec est largement fendu.

    Version électronique créée par François Gannaz - http://www.littre.org - licence Creative Commons Attribution
    BAILLER, verbe trans.
    ÉTYMOL. ET HIST. ? 1. 1130-60 baillier « porter » (Couronnement Louis, 88, ds Gdf. : Esbahi fu de ce qu'il entendié, N'osa aler la courone baillier) ? xiiies., Enf. Ogier, ibid.; 1130-60 « recevoir, accepter » (Couronnement Louis, 1350, ibid. : Une fille ai, n'a si gente soz ciel, Ge la vos doing de gré et volentiers, Se la volez ne prendre ne baillier) d'où 1130-60 « saisir » (Ibid., éd. E. Langlois, 410 ds T.-L. : L'en li ameine le balcent en la place; Li cuens i monte que il estrier n'i baille); en a. fr. seulement; 2. 1144 « gouverner » (Charroi Nîmes, éd. Jonckbloet, 395, ibid. : De tot l'empire que ge ai a baillier) ? xiiies., ibid.; 3. a) 1130-60 bailler « donner » (Couronnement Louis, éd. E. Langlois, 252, ibid. : D'or et d'argent trente somiers li baille); 1534 « id. (des coups) » (Rabelais, Garg., éd. Marty-Laveaux, t. 1, ch. 35 : Il luy bailla de son fouet à travers les iambes si rudement que les noudz y apparoissoient); Rich. 1680 signale qu'il n'est pas du bel usage, hormis comme terme de pratique; déclaré ,,vieilli`` par Vaugelas, Remarques sur la langue fr., éd. Chassang II, 35 et empl. au xviies. par les burlesques (Brunot t. 3, p. 106 et t. 4, p. 244); loc. fam. : 1545 en bailler « jouer un tour à qqn » (Le Maçon, trad. de Boccace, Décaméron, VIII, 9 ds Hug.); 1594 la bailler belle à qqn « se jouer de qqn » (Godard, Les Desguisez, acte V, sc. 2 ds Anc. Théâtre françois, Paris, 1856, t. VII, p. 435); b) 1373 dr. « donner à bail » (Etat des biens de la commanderie de Beauvoir en Ponthieu, Arch. S 5543 ds Gdf.); 1404 bailler a rente (A.N. P 308, fo94 rods Gdf. Compl.); Ac. 1835 signale qu'il vieillit comme terme de pratique. Du lat. bajulare « porter » dep. Plaute (Asin., 660 ds TLL s.v., 1685, 77); en lat. médiév. « exercer, se charger de (une fonction) » viie-viiies. (Formulae Marculfi, 1, 1, p. 39, 20 ds Mittellat. W. s.v., 1315, 26) d'où bailler « gouverner »; en a. fr. aussi baillir « id. » (xies. Alexis ds Gdf.) dér. de bail*; le sens de « donner », qui ne semble pas se rencontrer en lat., s'est seulement développé dans l'aire gallo-romane (a. prov. bailar ca 1185 Dénombrement des possessions en Périgord de la famille Clarol ds Brunel 1926, p. 214) à partir du sens primitif de « porter »; en raison de la vitalité de donner et de ses nombreux dérivés, il a été à partir du xviies. concurrencé, puis évincé par ce mot.

    bâillant au Scrabble


    Le mot bâillant vaut 10 points au Scrabble.

    baillant

    Informations sur le mot baillant - 8 lettres, 3 voyelles, 5 consonnes, 6 lettres uniques.

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    baillant

    Les rimes de « bâillant »


    On recherche une rime en J@ .

    Les rimes de bâillant peuvent aider les poètes et les paroliers à trouver des mots pour former des vers avec une structure rythmique cohérente, mais aussi pour jouer avec les mots et les sons, découvrir de nouvelles idées et perspectives ce qui peut être amusant et divertissant.

    Les rimes en j@

    Rimes de déviants      Rimes de riant      Rimes de bruyants      Rimes de orients      Rimes de verrouillant      Rimes de publiant      Rimes de brillants      Rimes de horrifiant      Rimes de babillant      Rimes de ployant      Rimes de dépouillant      Rimes de fuyants      Rimes de scarifiant      Rimes de dulcifiant      Rimes de terrifiants      Rimes de émoustillant      Rimes de baillant      Rimes de appropriant      Rimes de revoyant      Rimes de frayant      Rimes de riants      Rimes de glandouillant      Rimes de bénéficiant      Rimes de déshabillant      Rimes de chateaubriands      Rimes de distrayant      Rimes de défaillants      Rimes de détaillants      Rimes de frigorifiant      Rimes de lubrifiant      Rimes de coefficient      Rimes de enrayant      Rimes de privilégiant      Rimes de gradient      Rimes de soustrayant      Rimes de piaillant      Rimes de braisillant      Rimes de empaillant      Rimes de vivifiant      Rimes de frétillants      Rimes de écaillant      Rimes de démultipliant      Rimes de certifiant      Rimes de re-balbutiant      Rimes de justifiant      Rimes de télégraphiant      Rimes de déficients      Rimes de friand      Rimes de fuyants      Rimes de communiants     

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    Les citations sur « bâillant »

    1. Et de bals où il a dansé en bâillant à se tordre la bouche.

      Auteur : Jean le Rond d'Alembert - Source : Lettre au roi de Prusse, 19 décembre 1768


    2. La grande poche de côté restait bâillante, bien qu'on sentît qu'elle était vide; dans le coin l'étoffe avait cédé.

      Auteur : André Gide - Source : Les Faux-Monnayeurs (1925)


    3. Tout me lasse: je remorque avec peine mon ennui avec mes jours, et je vais partout bâillant ma vie.

      Auteur : François-René de Chateaubriand - Source : Mémoires d'outre-tombe (1848)


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    Les synonymes de « baillant»

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    Fréquence et usage du mot bâillant dans le temps


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