La définition de Ce du dictionnaire français. Signification du mot et son éthymologie - De nombreux exemples d'usage en français ainsi que des citations.
Ce
Nature :
Prononciation :
Etymologie : Dans l'adjectif ce, cet, cette, ces, il y a deux formes qui ont une origine différente : 1° ce ; ancien français ço, ceo, iço, ice ; wallon, si ; picard, che, chu, cho, chou, éche, ches, ces ; provenç. aisso et so ; ital. ciò ; du latin ecce hoc, ce-o ou ç'-o ; hoc se trouve dans l'ancien français sous la forme de oc ou o ; 2° cet, cette, ces ; ancien français, cest, cist, icest, icist ; provenç. cest, sest, cist, sist, aicest, aicist, aquest, aquist ; espagn. aqueste ; ital. questo ; du latin ecce iste. Le parler populaire des nations romanes renforça de ecce les pronoms latins ; ecce, encore très visible, dans les formes icest, aicest, aqueste, est réduit au c dans les formes plus syncopées.
Notre dictionnaire de français vous présente les définitions de ce de manière précise, avec des exemples pertinents pour aider à comprendre la signification du mot.
Notre dictionnaire de définitions comprend des informations complémentaires telles que la nature du mot, sa prononciation, des exemples d'expressions, l'étymologie, les synonymes, les homonymes, les antonymes mais également les rimes et anagrammes. Quand la définition du mot s'y prête nous vous proposons des citations littéraires en rapport avec ce pour illustrer la compréhension du mot ou préciser le sens et de répondre à la question quelle est la signification de Ce ?
La définition de Ce
Il exprime, d'une façon indéterminée, l'idée que celui qui parle a dans l'esprit. C'est beau. C'est agréable. C'était le bon temps. Ce sera un jour de fête. Ce qui est vrai doit être dit. Ce qui est inspiré par le désintéressement est digne de louange.
Toutes les définitions de « ce »
Dictionnaire de l'Académie française, huitième édition
. Il sert, en quelque sorte, à montrer la personne ou la chose en question. Ce livre est à moi. Je me suis adressé à cet homme. Cette femme est mère de trois enfants. Ces livres sont intéressants. Il arrive souvent que, pour désigner plus fortement la personne ou la chose en question, on fasse suivre le nom de LÀ. C'est dans cette rue-là que j'habite. Il est impossible de sortir par ce temps-là. S'il s'agit de distinguer nettement l'une de l'autre deux personnes ou deux choses, on fait suivre le premier nom de CI et le deuxième de LÀ. C'est dans cette rue-ci que j'habite et non dans cette rue-là. Ce tableau-ci est de facture médiocre, mais ce tableau-là peut être regardé comme un chef-d'œuvre.
Littré
-
1
De cette nuit, Phénice, as-tu vu la splendeur?? Tes yeux ne sont-ils pas tout pleins de sa grandeur?? Ces flambeaux, ce bûcher, cette nuit enflammée, Ces aigles, ces faisceaux, ce peuple, cette armée, Cette foule de rois, ces consuls, ce sénat, Qui tous de mon amant empruntaient leur éclat, Cette pourpre, cet or, que rehaussait sa gloire Et ces lauriers encor témoins de sa victoire
, Racine, Bérén. I, 5.Ce, cet, cette, ces, suivis d'un substantif quel qu'il soit, permettent de le déterminer de nouveau par les adverbes de lieu ci et là. Ce livre-ci, ce livre-là. Cette plume-ci, ces plumes-là.
Ce, cette, ces, s'appliquent à ce qui va suivre.
Quand la vertu n'aurait que cet avantage de nous mettre à l'abri de toutes les tempêtes des passions
, Massillon, Carême, Dégoûts.Avec un adjectif pris absolument.
S'il restait un seul cas à examiner, ce seul suffirait pour empêcher la définition
, Pascal, Préf. Vide.Avec un adjectif possessif. Ce mien cousin que vous avez vu chez moi. Tournure archaïque et familière.
Nous [Constantin] ordonnons que cette notre donation demeure ferme jusqu'à la fin du monde
, Voltaire, M?urs, 10.
HISTORIQUE
Voy. CE 2.
SUPPLÉMENT AU DICTIONNAIRE
Ajoutez?: - REM.1?: Ces fêtes, les fêtes prochaines. Il y a une édition contrefaite de mon livre, laquelle doit paraître ces fêtes
, Rousseau, Lettre à Mme de Luxembourg, 28 mai 1762.
2. D'Alembert a dit?: Voici le nouveau thème que Raton pourrait essayer et que Bertrand lui propose en toute humilité?: première partie du thème?: cette, qu'on nomme aujourd'hui théologie, est ennemie des rois?; Raton le prouvera? en rappelant les histoires de Grégoire VII, d'Alexandre III, d'Innocent IV?
, D'Alembert, Lett. à Volt. 9 fév. 1773. Cette tournure est un latinisme dont Voltaire s'est servi le premier en traduisant une thèse de ses adversaires?: Illa, quam dicunt philosophiam, cette, qu'on nomme philosophie.
Encyclopédie, 1re édition
Ce, ces ; cet, cette ; ceci, cela ; celui, celle ; ceux ; celles ; celui-ci, celui-là ; celles-ci, celles-là.
Ces mots répondent à la situation momentanée où se trouve l'esprit, lorsque la main montre un objet que la parole va nommer ; ces mots ne font donc qu'indiquer la personne ou la chose dont il s'agit, sans que par eux-mêmes ils en excitent l'idée. Ainsi la propre valeur de ces mots ne consiste que dans la désignation ou indication, & n'emporte point avec elle l'idée précise de la personne ou de la chose indiquée. C'est ainsi qu'il arrive souvent que l'on sait que quelqu'un a fait une telle action, sans qu'on sache qui est ce quelqu'un là. Ainsi les mots dont nous parlons n'excitent que l'idée de l'existence de quelque substance ou mode, soit réel, soit idéal : mais ils ne donnent par eux-mêmes aucune notion décidée & précise de cette substance ou de ce mode.
Ils ne doivent donc point être regardés comme des vice-gerens, dont le devoir consiste à figurer à la place d'un autre, & à remplir les fonctions de substitut.
Ainsi au lieu de les appeller pronoms, j'aimerois mieux les nommer termes métaphysiques, c'est-à-dire, mots qui par eux-mêmes n'excitent que de simples concepts ou vûes de l'esprit, sans indiquer aucun individu réel ou être physique. Or on ne doit donner à chaque mot que la valeur précise qu'il a ; & c'est à pouvoir faire & à sentir ces précisions métaphysiques, que consiste une certaine justesse d'esprit où peu de personnes peuvent atteindre.
Ce, ceci, cela, sont donc des termes métaphysiques, qui ne font qu'indiquer l'existence d'un objet que les circonstances ou d'autres mots déterminent ensuite singulierement & individuellement.
Ce, cet, cette, sont des adjectifs métaphysiques qui indiquent l'existence, & montrent l'objet : ce livre, cet homme, cette femme, voilà des objets présens ou présentés. « Ce, adjectif, ne se met que devant les noms masculins qui commencent par une consonne, au lieu que devant les noms masculins qui commencent par une voyelle, on met cet, mais devant les noms feminins, on met cette », soit que le nom commence ou par une voyelle ou par une consonne. Grammaire de Buffier, pag. 189.
Ce, désigne un objet dont on vient de parler, ou un objet dont on va parler.
Quelquefois pour plus d'énergie on ajoûte les particules ci ou là aux substantifs précédés de l'adjectif ce ou cet ; cet état-ci, ce royaume-là ; alors ci fait connoître que l'objet est proche, & là plus éloigné ou moins proche.
Ce est souvent substantif, c'est le hoc des Latins ; alors, quoi qu'en disent nos Grammairiens, ce est du genre neutre ; car on ne peut pas dire qu'il soit masculin, ni qu'il soit féminin. J'entens ce que vous dites, istud quod. Ce fut après un solemnel & magnifique sacrifice, que, &c. Flechier, or. fun. Ce, c'est-à-dire, la chose que je vais dire arriva après, &c.
Dans les interrogations, ce substantif est mis après le verbe est. Qui est-ce qui vous l'a dit, dont la construction est ce, c'est-à-dire, celui ou celle qui vous l'a dit est quelle personne ?
Ce substantif se joint à tout genre & à tout nombre. Ce sont des Philosophes, &c. ce sont les passions ; c'est l'amour ; c'est la haine.
La particule ci & la particule là ajoûtées au substantif ce, ont formé ceci, & cela. Ces mots indiquent ou un objet simple, comme quand on dit cela est bon, ceci est mauvais : ou bien ils se rapportent à un sens total, à une action entiere ; comme quand on dit ceci va vous surprendre, cela mérite attention, cela est fâcheux.
Au reste ceci indique quelque chose de plus immédiatement présent que cela. Ecoutez ceci, avez-vous vû cela ? Vous êtes-vous apperçu de cela ? Venez voir ceci.
Ceci, cela, sont aussi des substantifs neutres ; ces mots ne donnent que l'idée métaphysique d'une substance qui est ensuite déterminée par les circonstances ou idées accessoires ; l'esprit ne s'arrête pas à la signification précise qui répond au mot ceci ou au mot cela, parce que cette signification est trop générale ; mais elle donne occasion à l'esprit de considérer ensuite d'une maniere plus distincte & plus décidée l'objet indiqué.
Ceci veut dire chose présente ou qui demeure ; cela signifie chose présentée & déjà connue. Vos isthæc intro auferte. Emportez cela au logis, dit Mde Dacier, Ter. And. act. I. sc. j. vers 1. Ainsi il faut bien distinguer en ces occasions la propre signification du mot, & les idées accessoires qui s'y joignent & qui le déterminent d'une maniere individuelle.
Il en est de même de il m'a dit ; la valeur de il est seulement de marquer une personne qui a dit, voilà l'idée présentée : mais les circonstances ou idées accessoires me font connoître que cette personne ou ce il est Pierre ; voilà l'idée ajoûtée à il, idée qui n'est pas précisément signifiée par il.
Celui & celle sont des substantifs qui ont besoin d'être déterminés par qui ou par de ; ils sont substantifs puisqu'ils subsistent dans la phrase sans le secours d'un substantif, & qu'ils indiquent ou une personne ou une chose. Celui qui me suit, &c. c'est-à-dire, l'homme, la personne ; le disciple qui, &c. D. Quel est le meilleur acier dont on se serve communément en France ? R. C'est celui d'Allemagne, c'est-à-dire, c'est l'acier d'Allemagne : ainsi ces mots indiquent ou un objet dont on a déjà parlé, ou un objet dont on va parler.
On ajoûte quelquefois les particules ci ou là à celui & à celle, & au pluriel à ceux & à celles ; ces particules produisent à l'égard de ces mots-là le même effet que nous venons d'observer à l'égard de cet.
Ceux est le pluriel de celui, & en ajoutant un s à celle, on en a le pluriel. Voyez Pronom. (F)
CE, (Géog.) ville de la Chine dans la province de Xansi, où elle est la troisieme entre les grandes cités.
Wiktionnaire
Adjectif démonstratif - français
ce \s?\ (cet devant un son voyelle)
- Déterminant utilisé pour mettre en évidence une chose ou une personne dont on a la représentation devant soi. Lorsque l'objet est en nombre multiple ou lorsqu'on veut appuyer encore plus sur ce qu'on veut montrer, on rajoute -ci ou -là (selon la distance) après le nom.
- Ce chien est adorable. (sous-entendu : il n'y a qu'un seul chien)
- Ce chien-ci est adorable. (sous-entendu : le chien dont on vient de parler, ou le plus proche)
- Ce chien-là est adorable. (sous-entendu : l'autre chien, le plus éloigné)
- Je vais prendre ce chemin.
- Je me suis adressé à cet homme.
- Cette femme est mère de trois enfants.
- Ces livres sont intéressants.
- Il est impossible de sortir par ce temps-là.
- Lorsqu'on veut mettre en évidence un objet ou une personne en rapport avec un(e) autre, on utilise les adverbes -ci et -là après chaque nom (bien que l'usage tende à utiliser les pronoms celui-là, celle-là, ceux-là ou celles-là cela pour éviter la répétition).
- Je ne veux pas prendre ce chemin-ci, mais ce chemin-là.
- Plutôt que d'acheter cette voiture-ci, je préférerais prendre celle-là.
- Dans les expressions où ce est utilisé avec un nom indiquant une période, le -ci représente le présent, alors que le -là représente le passé (la distance devient temporelle).
- Ces jours-ci, on ne le voit pas beaucoup.
- Cette semaine-ci, je ne pourrai pas venir.
- Qu'est-ce que tu fais encore debout à cette heure-ci ?
- Durant ces années-là, je voyageais en Europe.
- ? Je suis passé vers dix heures hier soir.
? À cette heure-là, je n'étais pas encore rentré.
- On l'utilise également pour reprendre l'objet ou la personne décrit dans la phrase précédente.
- La semaine dernière, j'ai lu L'Histoire sans fin de Michael Ende. Je ne connaissais pas ce livre.
- Je cherche depuis tout à l'heure un marteau. J'ai vraiment besoin de cet outil.
Pronom - ancien français
ce \Prononciation ?\
-
Ce, cela, ceci.
- Car ce sachent tot pecheor ? (La Vie de Marie l'Égyptienne, ms. 3516 de la Bibliothèque de l'Arsenal, f. 113v., 3e colonne)
- Mais il li dist, che ne peut estre ? (L'Atre perilleux, manuscrit 2168 français de la BnF. Édition anonyme publiée en 1868)
Nom commun - français
ce \k?z\ féminin
-
(Vieilli) Case.
- Par un usage général fort ancien, on a toléré certaines abréviations comme n'étant pas nuisibles, telles que celles de Mr ou sr pour Monsieur ou sieur ; Me pour maître ; Mme ou De pour Madame ou dame ; MM. pour Messieurs ; fol., ro, vo, ce, vol., no pour folio, recto, verso, case, volume, numéro ; led., lad., lesd. pour ledit, ladite et lesdits ou lesdites. ? (L. Vélain, Cours élémentaire du notariat français, Auguste Durand, Libraire, Paris, 1851)
Pronom démonstratif - français
ce \s?\ (c' ou ç' \s\ devant un son voyelle)
- Cette chose, cette situation, ce fait. Note d'usage : Utilisé en tant que pronom démonstratif neutre et impersonnel, presque toujours avec le verbe être et rarement aussi avec les auxiliaires devoir, pouvoir ou avoir au singulier[1][2][3], référant à la situation actuelle, à la phrase précédente ou à n'importe quelle chose qui n'est pas encore exprimée.
- Ainsi, vous serez en mesure de l'interroger depuis un autre téléphone et ce, même lorsque vous vous trouvez à l'étranger. ? (Pierre Mainguenaud, Vous avez une messagerie..., dans Mobiles magazine, juin 2001, page 60)
- Qui aurait pu penser que Claire se servirait du numéro de téléphone qu'il avait collé sur le frigo en cas de problème, et ce depuis neuf ans qu'il accompagnait cette excursion? ? (Maggie O'Farrell, En cas de forte chaleur, traduit de l'anglais (Irlande) par Michèle Valencia, Editions Belfond, 2014)
- Ce serait le comble qu'il ne vienne pas !
- C'est mon anniversaire aujourd'hui.
- Dépêche-toi, sinon, ce sera trop tard !
- Ça sonne ! Ce doit être lui !
- Profites-en ! Ce pourrait être ton dernier jour ici.
- Sur ce, au revoir !
- Ç'avait été plus intéressant qu'on ne l'avait imaginé.
- Dans les locutions conjonctives ce que, ce qui, ce dont, ce sur quoi, il sert à représenter une idée ou une action dont il a été question plus tôt.
- Les hirondelles s'envolent, ce qui montre que l'hiver n'est pas loin.
- Ce que je voulais dire, c'est que tu dois t'en occuper au plus vite.
- C'est exactement ce dont j'avais besoin.
- Le temps, c'est ce sur quoi il va falloir compter maintenant.
- Introduit une définition ou une redéfinition du mot précédent.
- Le temps, c'est de l'argent.
- La Révolution, c'est la France sublimée. ? (Victor Hugo, William Shakespeare, Troisième partie, Livre II, 1864)
- La patrie, pour elle, c'est la France. L'étranger, pour elle, c'est l'Allemagne. ? (Fustel de Coulanges, L'Alsace est-elle allemande ou française : réponse à M. Mommsen, 1870)
-
(C'est ? ; c'est ? qui ? ; c'est ? que ?) Introduit un focus, la nouvelle information la plus importante.
- Oui, c'est moi qui reçois cette lettre pressée, et c'est moi qui ris de toute mon âme de la ridicule frayeur qu'elle nous peint. ? (Donatien Alphonse François de Sade, Aline et Valcour, Lettre XII, 1795)
- Ce n'est point à la liberté politique que je veux renoncer ; c'est la liberté civile que je réclame, avec d'autres formes de liberté politique. ? (Benjamin Constant, De la liberté des Anciens comparée à celle des Modernes, 1819)
-
(C'est ? qui ?) Introduit une nouvelle information sans relation thème-rhème.
- ? Qu'est-ce qui se passe ?
? C'est mon bébé qui pleure.
- ? Qu'est-ce qui se passe ?
Trésor de la Langue Française informatisé
CE1, C', Ç', pron. dém. neutre et particule.
Désigne un objet inanimé (plus rarement un être animé) présent, tout au moins dans l'esprit du locuteur. Abrév. c' devant e, ç' devant a.CE2, CET, CETTE, CES, adj. dém.
[Ce devant un subst. (ou un pron.) masc. sing. commençant par une consonne ou un h aspiré, cet devant un subst. masc. commençant par une voyelle ou un h muet, cette devant un subst. fém. sing., ces devant un subst. plur.] Sert à désigner, montrer un être, un objet, une idée que le locuteur a présente sous les yeux ou dans sa pensée, la désignation pouvant dans le premier cas être accompagnée éventuellement d'un geste d'indication :Ce au Scrabble
Le mot ce vaut 4 points au Scrabble.
Informations sur le mot ce - 2 lettres, 1 voyelles, 1 consonnes, 2 lettres uniques.
Quel nombre de points fait le mot ce au Scrabble ?
Le calcul de points ne prend pas en compte lettre compte double, lettre compte triple, mot compte double et mot compte triple. Ces cases augmentent les valeurs des mots posés selon un coefficient indiqué par les règles du jeu de Scrabble.
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Les mots proches de Ce
Ce, cet ; cette ; ces Ce Céans Ceci Cécité Céder Cédiller Cédrat Cédraterie Cèdre Cédule Ceindre Ceint, ceinte Ceinturage Ceinture Ceinturer Ceinturette Cela Céladon Célan Celation Célébrable Célébrateur Célèbre Célébré, ée Célébrer Celebret Célébrité Celer Célerin Célérité Céleste Célestement Célestin Célibat Celle Cellérage Cellérier, ière Cellier Cellularisme Cellule Cellulosique Cellulosiquement Celtique Celtisant Celui Celui-ci Cénacle Cendal Cendraille ce ce céans céara Ceaucé Ceaulmont Céaux Céaux-d'Allègre Ceaux-en-Couhé Ceaux-en-Loudun Cébazan Cébazat ceci cécidomyies cécile cécité céda cédai cédaient cédais cédait cédant cédant cédât cède cédé cédée cédées cèdent céder cédera céderai céderaient céderais céderait céderas cédèrent céderez céderiez céderons céderont cédés cédez cédiez cédions cédons cédrat cédratier cédrats cèdreMots du jour
Prescript Enlaidissement Dizenier ou dizainier Alterner Flairement Prosterné, ée Module Endémie Tisonnier Fanfariste
Les citations avec le mot Ce
- Mais l'histoire des audaces gnostiques et la persistance des courants manichéens a plus fait, pour la construction du dogme orthodoxe, que toutes les prières.Auteur : Albert Camus - Source : Le mythe de Sisyphe (1942)
- Ce que je ne dédaigne pas, monsieur, c'est la plainte d'un homme de coeur et de bonne foi, même quand il est injuste. Je cherche à l'éclairer : c'est pour moi un devoir de conscience. Auteur : Victor Hugo - Source : Correspondance, lettre à M. Pierre Vinçard rédacteur en chef de la Ruche populaire, le 2 juillet 1841
- L'Etre se parfaisant aux limites dernières
Il est tel que la masse arrondie de la sphère
Où du centre, un rayon, se propage en tout sens
N'admettant, çà ou là, plus ou moins de distance.Auteur : Harry Crews - Source : Le Poème, Fragments II - Les stagiaires sont invisibles. Vous pouvez répéter votre nom cent fois à un cadre supérieur, il ne s'en souviendra jamais, parce que ces gens-là n'ont aucun respect pour ceux qui sont en bas de l'échelle et qui travaillent gratuitement.Auteur : Shane Kuhn - Source : Guide de survie en milieu hostile (2014)
- Quand Georges rentra dans sa chambre à l'Hôtel du Centre, elle n'était plus jaune pipi et gris béton comme la veille, elle était jaune soleil et gris souris, mais une jolie souris.Auteur : Caroline Vermalle - Source : L'avant-dernière chance (2009)
- En cent ans je n'ai eu la langue trop bien pendue que deux fois : quand j'ai expliqué à l'ouest comment on fabriquait une bombe atomique, et quand j'ai fait la même chose à l'Est.Auteur : Jonas Jonasson - Source : Le Vieux qui ne voulait pas fêter son anniversaire (2011)
- N'est pas humble celui qui se hait.Auteur : Emil Cioran - Source : De l'inconvénient d'être né (1973)
- Il y a des gens qui font de l'argent, d'autres de la neurasthénie, d'autres des enfants. Il y a ceux qui font de l'esprit. Il y a ceux qui font l'amour, ceux qui font pitié. Depuis le temps que je cherche à faire quelque chose! Il n'y a rien à y faire.Auteur : Jacques Rigaut - Source : Ecrits (1970)
- Le langage essentiel du poème, du morceau de musique, du tableau et de la sculpture est le langage de la survie.Auteur : George Steiner - Source : Réelles présences. Les arts du sens (1991)
- Le cadeau est attouchement, sensualité: tu vas toucher ce que j'ai touché, une troisième peau nous unit. Je donne à X... un foulard et il le porte: X... me donne le fait de le porter; et c'est d'ailleurs ainsi que, naïvement, il le conçoit et le dit.Auteur : Roland Barthes - Source : Fragments d'un discours amoureux (1977)
- Être engagée, ça veut dire s'élever contre toutes les injustices ! S'élever autant contre l'homophobie que contre le racisme ordinaire.Auteur : Leïla Bekhti - Source : Entretien, numéro 823 de Marie Claire, avril 2021.
- Il y a des gens que j'ai envie de connaître tout de suite. Je devine qu'ils me plairont. Quand on a quelque distinction dans l'esprit, cela saute aux yeux.Auteur : Jacques Chardonne - Source : Eva ou le journal interrompu (1930)
- Ce Persan est un homme charmant... A part la petite manie qu'il a de vouloir couper la tête à tout le monde.Auteur : Simone Changeux, dite Anne Golon - Source : Angélique et le roy (1959)
- Je vois, par ce que vous me mandez, que nous ne tarderons pas à voir le Corneille (le Commentaire); n'oubliez pas de le louer beaucoup quand il est sublime, et, quand il est rabâcheur, faites-le sentir sans le dire.Auteur : Jean le Rond d'Alembert - Source : Lettre à Voltaire, 17 novembre 1762
- Si les rémunérations et les châtiments futurs ont quelque réalité, il est clair que ces rémunérations et ces châtiments doivent être proportionnés à une vie entière de vertu ou de vice.Auteur : Ernest Renan - Source : Souvenirs d'enfance et de jeunesse (1883), III, St-Nicolas du Chardonneret
- L'humilité de la vie nomade est une des images les plus fortes de l'Islam, le grand renoncement, le dépouillement des oripeaux mondains dans la nudité du désert - c'est cette pureté, cette solitude qui m'attirait moi aussi. Auteur : Mathias Enard - Source : Boussole (2015)
- Ce sont presque toujours de bons sentiments mal dirigés qui font faire aux enfants le premier pas vers le mal.Auteur : Jean-Jacques Rousseau - Source : Les Confessions (édition posthume 1782-1789)
- Sévérité bien ordonnée commence envers soi-même.Auteur : Pierre Reverdy - Source : En vrac (1956)
- On donne plus aisément des bornes à sa reconnaissance qu'à ses espérances et qu'à ses désirs.Auteur : François de La Rochefoucauld - Source : Sans référence
- L'espérance est une disposition de l'âme à se persuader que ce qu'elle désire adviendra, laquelle est causée par un mouvement particulier des esprits, à savoir par celui de la joie et du désir mêlés ensemble.Auteur : René Descartes - Source : Sans référence
- Le sommeil d'une femme qu'on regarde intensément conjure autour d'elle une innocence, une sécurité presque démente: il m'a toujours paru inconcevable de s'abandonner ainsi les yeux fermés à des yeux ouverts.Auteur : Julien Gracq - Source : La Presqu'île (1970), Le roi Cophetua
- Que me font ces vallons, ces palais, ces chaumières,
Vains objets dont pour moi le charme est envolé ?
Fleuves, rochers, forêts, solitudes si chères,
Un seul être vous manque, et tout est dépeuplé !Auteur : Alphonse de Lamartine - Source : L'Isolement (1820) - J'enrage contre certains salariés qui prennent bien garde de ne pas programmer leurs dépressions en même temps que leurs vacances.Auteur : Philippe Bouvard - Source : Bouvard de A à Z (2014)
- Olga était en effet de ces femmes modernes qui se dédoublent volontiers pour donner naissance à une personne qui vit et à une personne qui observe.Auteur : Milan Kundera - Source : La valse aux adieux (1976)
- Portez des coups continuels à votre amour-propre; ne blessez jamais celui des autres.Auteur : Félix Guillaume Marie Bogaerts - Source : Pensées et Maximes
Les citations du Littré sur Ce
- Et sur une rivale, et confuse, et trompée, Ressaisir avec gloire une place usurpéeAuteur : Corneille - Source : Tois. d'or, II, 5
- Il y eut un grand couvert chez Madame la Dauphine, où Monsieur le Dauphin dîna ; Villacerf, son premier maître d'hôtel, la servit avec le bâton ; la nef était sur la table du prêt [le dîner servi tout prêt]Auteur : DANGEAU - Source : Journal, t. XIII, p. 452
- J'entre dans le lieu saint ; et qu'est-ce à mes yeux que cette maison de Dieu ? c'est un désert, et le désert le plus abandonnéAuteur : BOURD. - Source : ib. p. 310
- Qui ont mis aucuns fumiers, terres et autres betuns ez place de la ville de DijonAuteur : DU CANGE - Source : betunium.
- Le ministère est trop occupé des parlements pour songer à persécuter les dissidents de FranceAuteur : Voltaire - Source : Lett. Pomaret, 24 oct. 1771
- J'ai pour toi la tendresse d'un amant, la franchise d'un ami, et l'inquiète vigilance d'un pèreAuteur : MARMONTEL - Source : Cont. mor. Bon mari.
- Il ne sait que par ouï-dire Ce que c'est que la courAuteur : Jean de La Fontaine - Source : Fabl. VII, 12
- Là [dans un temple] quelques auteurs avaient envoyé des offrandes pour reconnaissance de la vénus que leur avait départie le cielAuteur : Jean de La Fontaine - Source : ib. p. 167
- Mon règne naît encore, et cette impunité Porterait conséquence à mon autoritéAuteur : ROTROU - Source : ib. V, 4
- [Le peuple] estant encor pincé par la subtile main des financiers, c'est merveille dequoy il subsisteAuteur : LANOUE - Source : XIII
- Ce prince vouloit que d'Aubigné fut son entremetteur dans cette intrigue [amoureuse]Auteur : D'AUB. - Source : Vie, XXXIX.
- Je ne digere pas bien cette difference de mots [je ne la comprends pas]Auteur : MONT. - Source : I, 142
- Ces élans inquiets vers la postérité Ne sont pas de l'orgueil une vaine chimèreAuteur : LEGOUVÉ - Source : Épichar. et Nér. II, 2
- Plus l'estomac est bon, plus les membres profitent ; Quand il a de la force, ils sont forts, agissants ; Et quand il est débile, ils sont tous languissantsAuteur : BOURSAULT - Source : Fabl. d'Ésope, II, 5
- Un bruit qui courait d'elle en toutes ces provincesAuteur : Jean de La Fontaine - Source : Fianc.
- Le Sphinx est son emblème [d'Octave] et nous dit qu'il préfère Ce symbole du fourbe aux aigles de son pèreAuteur : Voltaire - Source : Triumv. II, 1
- Votre condescendance sera blâmée, vous n'en doutez pasAuteur : DIDER. - Source : Ess. s. Claude.
- On trouve une cavité et enfonceure, avec quelque bruit d'une petite crepitation ou craquementAuteur : PARÉ - Source : XIII, 13
- Elle a trois fois écrit, et, changeant de pensée, Trois fois elle a rompu sa lettre commencéeAuteur : Jean Racine - Source : Phèdre, V, 5
- Fuye ceste puerile ambition de vouloir paroistre plus fin, pour estre aultreAuteur : MONT. - Source : I, 166
- Sans oublier les deux crochets que ses cheveux noirs faisaient sur les tempes, selon la mode de ce temps-làAuteur : Jean-Jacques Rousseau - Source : Conf. I
- Jusques lors que ce passage me tumba entre mainsAuteur : MONT. - Source : I, 251
- Cette partie enveloppante et colorée qui est blanche dans le lis, s'appelle la corolle et non pas la fleur comme chez le vulgaire, parce que la fleur est un composé de plusieurs parties dont la corolle est seulement la principaleAuteur : Jean-Jacques Rousseau - Source : Lett. Élém. botan.
- Voicy celuy qui des cruels desroys Guidons rapporte, enseignes, pallefroys, Captifz liez, despoilles et charroysAuteur : J. MAROT - Source : p. 155, dans LACURNE
- Le tonnerre n'est qu'un grand phénomène électrique ; Franklin le force à descendre tranquillement sur la terre ; et, s'il foudroya Ajax Oïlée, ce n'est pas assurément parce que Minerve était irritée contre luiAuteur : Voltaire - Source : Dict. phil. Tonnerre, 1
Les mots débutant par Ce Les mots débutant par Ce
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